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Diplomacy & Defense Think Tank News

Albert Bressand et Dominique Reynié – Quelle union de l’énergie après le brexit ?

Fondapol / Général - Wed, 20/07/2016 - 10:44

IDEES & DEBATS/ LE POINT DE VUE d’Albert Bressand et Dominique Reynié Quelle union de l’énergie après le Brexit ? On répète partout que le Brexit invite à repenser l’Europe. Oui, si nous partons des grands enjeux qui conditionnent la vie quotidienne des Européens. Considérons le cas de l’énergie, dont nul ne contestera l’importance. Or, […]

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Zukunft der Türkei: Die Straße gehört jetzt Erdogan

SWP - Wed, 20/07/2016 - 10:38
War der türkische Staatspräsident Recep Tayyip Erdogan in den Militärputsch eingeweiht oder nicht?...

La Turquie d’Erdogan : plus forte à l’intérieur, fragilisée à l’extérieur ?

IRIS - Wed, 20/07/2016 - 10:23

Trente-six ans après le dernier coup d’Etat militaire, la Turquie a vécu une nouvelle expression de ce moment de chaos mêlant et confrontant pouvoir militaire et pouvoir politique.

Malgré la contestation dont fait l’objet la dérive autoritaire du pouvoir de Recep Tayyip Erdogan et son projet d’islamisation de la société, le putsch ourdi par une partie de l’armée n’a pas reçu le soutien escompté (par les militaires factieux) auprès des acteurs de la vie politique, économique et sociale.

Pis, à la différence des épisodes passés, des milliers de civils sont sortis dans les rues, à l’appel express de Recep Tayyip Erdogan, pour faire barrage aux putschistes. Outre la démonstration de force de la puissance du charisme du « nouveau sultan », l’épisode a montré l’attachement populaire à la légitimité démocratique, jugée supérieure par l’écrasante majorité de l’opinion publique (même parmi les opposants de l’AKP). Preuve de la maturation d’un Contrat social fondé sur le principe démocratique, la société civile a rejeté toute supériorité présumée de la légitimité de l’institution militaire.

Gardienne autoproclamée des valeurs de la République kémaliste, l’institution militaire s’est révélée elle-même divisée au point de ne pas basculer en faveur du renversement du régime. Contrairement aux dernières tentatives de putsch (1960, 1971, 1980), ce nouvel épisode s’est soldé par un échec cinglant pour la fraction de l’armée qui s’est rebellée. Cet échec et les réactions internes qu’elles ont suscitées soulignent combien le pays a changé. En 1997, elle avait contraint à la démission le Premier ministre islamiste Necmettin Erbakan, mentor de l’actuel homme fort du pays.

On avait alors parlé de « coup d’Etat postmoderne », même s’il fut suivi d’une dissolution du Refah, le parti islamiste, qui fut d’ailleurs entérinée par la Cour européenne des Droits de l’homme. Les militaires en 2007 lancèrent une mise en garde sur le site de l’état-major pour tenter de bloquer une candidature AKP, le parti islamiste qui avait pris la succession du Refah, à la fonction de président de la République, alors élu par le Parlement. Ce fut un échec. Les électeurs donnèrent dans les urnes une large majorité au parti de M. Erdogan.

L’échec de la dernière tentative de coup d’Etat finit d’affaiblir l’institution militaire dans la Turquie post-kémaliste. L’« ennemi intérieur » prend une forme plus diffuse. Ancien allié privilégié de Recep Tayyip Erdogan, le prédicateur Fethullah Gülen, leader d’une puissante confrérie islamiste, est devenu son principal ennemi politique, ce malgré son exil aux Etats-Unis depuis 1999. Le premier accuse le second d’être à la tête d’un « Etat parallèle » qui cherche à déstabiliser le pays pour mieux précipiter la chute du régime. L’emprise de la confrérie sur nombre de mosquées, d’écoles et même au sein des services publics est réelle. La preuve d’un complot fomenté – avec l’aide des Etats-Unis ? – par Fethullah Gülen reste néanmoins à démontrer …

Si le pouvoir d’Erdogan semble a priori renforcé, la séquence actuelle reflète une réalité plus contrastée. La démocratie turque est plus fragile que jamais, notamment dans son versant juridique et libéral : la concentration du pouvoir dans les mains du pouvoir islamo-conservateur de l’AKP et de son « nouveau sultan » est-elle compatible avec le respect de l’Etat de droit ?

Le coup d’Etat militaire avorté en Turquie a révélé le degré de tension qui traverse le pays comme l’appareil d’Etat. L’épisode a coûté la vie à plus de 300 personnes et a suscité une vague d’arrestations importante dans l’armée, la police, la magistrature et la société civile. La purge drastique qui vient d’être lancée est le signe d’une logique de répression implacable. Le président Recep Tayyip Erdogan sort politiquement renforcé de cette épreuve de force. Le spectre d’une « hyperprésidence » se précise dans un contexte d’instabilité et d’incertitude accru. Un discours martial – sur fond de recrudescence du conflit avec la rébellion kurde et des attentats de l’Etat Islamique – tend à renforcer la dérive présidentialo-autoritaire et nationaliste d’un pouvoir devenu une menace pour l’exercice de certaines libertés, y compris la liberté de la presse.

Les capitales mondiales, en général, et occidentales, en particulier, ont soutenu les institutions démocratiquement élues contre la tentative de putsch. La stabilisation du pilier du flanc sud-est de l’OTAN constitue un enjeu stratégique majeur dans une région frappée par la guerre syrienne, le djihadisme islamiste et la crise des réfugiés. Il n’empêche, les critiques et les prises de distance avec les dérives autoritaires et la vague de répression massive lancée par Erdogan s’expriment officiellement et se font plus précises de Washington à Berlin en passant par Paris. Une prise de distance qui révèle le déficit de confiance à l’égard de l’allié turc …

Dès lors, il revient au président Erdogan de ne pas transformer sa victoire politique sur le front intérieur en défaite diplomatique sur le front international. Sinon, c’est le spectre de l’isolement qui risque de se matérialiser au grand jour…

Wer sind die neuen Gründer?

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 20/07/2016 - 00:00
Die umfangreichste Untersuchung von deutschen Startups ist der seit 2013 jährlich durchgeführte Deutsche Startup Monitor (DSM). 2015 hat sich die Konrad-Adenauer-Stiftung am DSM mit einer Sonderfrage beteiligt. Hier die Ergebnisse.

Charles-Antoine Schwerer présente sa note « la concurrence au défi du numérique »

Fondapol / Général - Tue, 19/07/2016 - 19:07

Charles-Antoine Schwerer présente sa note « la concurrence au défi du numérique » Charles-Antoine Schwerer présente sa note « la concurrence au défi du numérique » par fondapol

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Demystifying Intelligence in UN Peace Operations

European Peace Institute / News - Tue, 19/07/2016 - 18:30

On July 18th, IPI together with the Permanent Mission of the United Kingdom to the United Nations cohosted a policy forum and report launch to unpack the concept of intelligence in UN peace operations.

Event Video

While the use of intelligence to support UN peace operations through an improved situational awareness has over many years proved to be indispensable across all operations, the concept has traditionally been controversial due to the multilateral nature of the UN. Today, with UN peace operations involved in more and more volatile and dangerous situations, there seem to be growing signs of acceptance among member states that the strengthening of the intelligence capacity in UN missions is necessary, not only to fulfill mission mandates more effectively but importantly to ensure the improved safety and security of UN staff. Furthermore, in 2015, the report of the High-Level Independent Panel on Peace Operations and the follow-up report of the Secretary-General on The Future of Peace Operations made calls to strengthen the analytical capabilities of peace operations to better be able to deal with complex environments. In advance of the launch of the UN intelligence framework currently being developed by the UN Department of Peacekeeping Operations, this policy forum will reflect on the nature of intelligence in UN peace operations, as well as its modalities and limitations.

A new report by IPI, CIC, and NUPI, titled “Demystifying Intelligence in UN Peace Operations: No Magic Bullet,” presents recommendations for the UN and its member states. Panelists reacted to this report, which strives to unpack the concept of intelligence at the UN through identifying the organizational needs and requirements for analysis and processed information, as well as assessing the current structures in place at UN headquarters and in field missions, paving the way for suggestions on how decision-makers could better be supported.

Panelists discussed how the approach of the UN has developed over the years, and how missions in the field have adapted in different ways to fill the crucial gap of information needed for early warning, the protection of civilians, and the safety and security of its staff. They also reflected on ways to consolidate the interests of member states, and to energize them to assure that UN field missions can best be equipped to fulfill the objectives set out in their mandates.

Speakers:
H.E. Mr. Matthew Rycroft, Permanent Representative of the United Kingdom to the United Nations
H.E. Mr. Hervé Ladsous, United Nations Under Secretary-General for Peacekeeping Operations (TBC)
Dr. Alexandra Novosseloff, Senior Visiting Fellow, Center on International Cooperation (CIC)
Ms. Olga Abilova, Policy Analyst, International Peace Institute (IPI)

Moderator:
Mr. Arthur Boutellis, Director of the Brian Urquhart Center for Peace Operations, International Peace Institute (IPI)

Convention républicaine : quelle dynamique pour Donald Trump ?

IRIS - Tue, 19/07/2016 - 14:30

La Convention nationale du Parti républicain américain s’est ouverte lundi dans un climat tendu. Quel est l’état d’esprit actuel à Cleveland ? Les divisions internes, les défections historiques par leur ampleur ou encore les tentations d’une candidature parallèle menacent-elles l’unité du Grand Old Party ?

Le climat est plutôt tendu à Cleveland, mais peut-être plus encore à l’extérieur qu’à l’intérieur de la Convention. En effet, en l’absence d’alternative, le Parti républicain semble se mettre en ordre de marche derrière Donald Trump qui devrait vraisemblablement rassembler les cadres sur sa candidature. En revanche, beaucoup de manifestants se trouvent à l’extérieur de la Convention. Dans les jours qui vont suivre, la ville risque d’être à cran et de vivre avec une forte présence policière chargée de quadriller les rues. Les partisans de Donald Trump et les soutiens du port d’armes sont mobilisés à Cleveland, tout comme les opposants à la candidature du milliardaire, notamment des mouvements féministes ou des partisans de Black Lives Matter. Cette proximité participe à accroître les crispations et le risque d’affrontement.
En interne, plusieurs grands leaders du Parti républicain ont affiché leur soutien à Trump et vont l’exprimer lors de la Convention en qualité d’intervenants. Paul Ryan, le speaker de la Chambre des représentants, et certainement l’un des personnages les plus importants du Parti, en fait partie aux côtés de Mitch McConnell, chef de la majorité au Congrès, et des anciens candidats à la primaire républicaine que sont Ted Cruz, Marco Rubio et Ben Carson.
Il est vrai que plusieurs personnalités, dont la famille Bush et Mitt Romney, ont signifié leur vive opposition à la candidature de Donald Trump et ne participeront pas à la Convention. Pour autant, les leaders républicains sont de plus en plus nombreux à le rejoindre. Cette dynamique résulte notamment de l’absence de candidature alternative, le Parti républicain ayant été incapable de faire émerger une personnalité crédible capable de concurrencer Trump. De plus, les membres du Parti républicain ont en tête d’autres élections qu’ils ne veulent pas perdre : le renouvellement d’un tiers du Sénat et de l’intégralité de la Chambre de représentants, d’autant que les sénateurs républicains sont deux fois plus nombreux que les sénateurs démocrates à remettre leur siège en jeu. Il est donc essentiel de ne pas envoyer de message négatif à l’électorat et de ne pas s’aliéner de vote en faveur des républicains pour ces autres scrutins

Quels sont les enjeux de la Convention nationale ?
Les enjeux de la Convention nationale sont doubles.
Le vote des délégués sur la plateforme du Parti, c’est-à-dire la profession de foi des républicains, est certainement le premier enjeu. D’après ce que l’on a pu en voir, ce programme est très marqué à droite, clairement ultraconservateur. Par exemple, sur les sujets de société, la feuille de route républicaine réaffirme le mariage entre un homme et une femme, condamne l’union homosexuelle et soutient l’enseignement obligatoire de la Bible dans les écoles publiques. En termes économiques, le projet se distingue également pour ses positions très conservatrices lorsqu’il rejette toute régulation du secteur de l’énergie et considère le charbon comme une énergie propre. L’influence de Donald Trump dans le texte programmatique transparaît également. La construction d’un mur le long de la frontière mexicaine y est ainsi approuvée. C’est donc un projet extrêmement conservateur qui est envisagé pour les 4 ans à venir, situé encore plus à droite que celui adopté en 2012.
Le deuxième enjeu de cette Convention est la capacité ou non de Donald Trump de faire émerger un maximum de soutiens sur sa propre candidature et faire en sorte que le plus possible de délégués votent en sa faveur. Le candidat doit envoyer un message d’unité à l’électorat, ce qui est assez paradoxal puisque jusqu’alors, Donald Trump s’est évertué à dénoncer les « losers » et les traîtres de l’establishment républicain. Désormais, il est contraint de les faire entrer dans son giron et de s’appuyer sur la hiérarchie républicaine. C’est le deuxième grand enjeu de la Convention et il est en passe de réussir.

Le futur candidat républicain à la présidentielle a sélectionné Mike Pence pour l’accompagner durant la campagne en tant que vice-président. Comment analysez-vous ce choix ? Alors que la question raciale prend une importance considérable en Amérique, quelle impulsion souhaite donner Donald Trump à sa campagne présidentielle ?
Mike Pence est un choix stratégique. En sélectionnant ce gouverneur de l’Indiana, Donald Trump envoie un message ultraconservateur à l’Amérique. En effet, M. Pence est connu pour ses positions réactionnaires sur les libertés sexuelles, sur l’immigration ou encore sur l’écologie. Il est par exemple opposé à l’avortement quelles que soient les circonstances, y compris en cas de malformation du fœtus ou de viol. C’est donc une caution que Donald Trump souhaite envoyer au monde conservateur, lui qui a divorcé deux fois et que Ted Cruz, notamment, a décrit comme incarnant la société new-yorkaise décadente.
Ce choix révèle aussi une stratégie. M. Trump semble vouloir faire le plein de voix dans l’électorat traditionnel du Parti républicain : un profil plutôt « blanc », non diplômé du supérieur, âgé de plus de 50 ans, masculin et protestant. Il cible le cœur de l’électorat et ne semble pas convoiter une base électorale élargie aux femmes et aux minorités. C’est un pari risqué dans la mesure où cet électorat, certes encore majoritaire, ne cesse de se rétrécir en termes démographiques.
Concernant la question raciale, elle est d’ores et déjà au programme d’Hillary Clinton qui a promis de s’engager contre les discriminations et les violences policières. Or, à l’instar de la quasi-totalité des leaders républicains, Donald Trump a du mal à aborder la thématique du racisme, préférant évoquer des problèmes de désordre et dénoncer le laxisme d’Obama sur la sécurité intérieure. L’ordre et la sécurité constituent à la fois des thèmes majeurs de la Convention, mais aussi des arguments de vente de Donald Trump, présenté en homme providentiel seul capable de réinstaurer l’ordre aux Etats-Unis. La question raciale va donc naturellement s’inviter dans l’agenda républicain, mais sous l’angle du rétablissement de la sécurité et d’un amalgame entre immigration et insécurité, non de la lutte contre les discriminations.

Género y elecciones presidenciales en EEUU en 2016

Real Instituto Elcano - Tue, 19/07/2016 - 12:38
ARI 57/2016 - 19/7/2016
María Solanas Cardín

La elección de la primera mujer candidata de uno de los dos grandes partidos a las elecciones presidenciales de EEUU de 2016 podría muy bien tener un impacto en la promoción de la igualdad de género en las políticas internas y la política exterior.

Denkbare Überraschungen

SWP - Tue, 19/07/2016 - 11:47

Russlands Außenpolitik hat in den vergangenen Jahren zahlreiche unerwartete Wendungen genommen, von der Annexion der Krim bis zur militärischen Intervention in Syrien. Das Überraschungsmoment für Deutschland und die EU ergibt sich dabei aus einer Mischung von politischer Intransparenz in Russland, Fehlwahrnehmungen auf westlicher Seite und der gezielten Instrumentalisierung von Unberechenbarkeit durch die russische Führung.
Um das analytische Denken über russische Außenpolitik zu erweitern und besser auf künftige Ereignisse vorzubereiten, werden hier auf der Basis wissenschaftlich angeleiteter Vorausschau elf mögliche Situationen beschrieben, zu denen russische Außenpolitik in den kommenden Jahren führen könnte. Die Autor/innen der Studie beschäftigen sich in vier thematischen Schwerpunkten mit russischer Politik gegenüber EU-Mitgliedstaaten, gegenüber anderen Regionen, in den Bereichen Internet, Energie und Sicherheit sowie in Eurasien.

Ohne Anspruch auf Vollständigkeit reflektieren die Beiträge »denkbare Überraschungen« in der russischen Außenpolitik, die für Deutschland und Europa sowohl große Herausforderungen oder gar Gefahren als auch Möglichkeiten für intensivere Zusammenarbeit mit sich bringen könnten. Die Autor/innen nutzen dabei ihre wissenschaftliche Expertise, um bestehende Trends sichtbar zu machen und in die Zukunft zu extrapolieren. Sie haben sich die beschriebenen Situationen nicht aus-, sondern existierende Strukturen und Entwicklungen weitergedacht. Die Studie erhebt nicht den Anspruch, ein bestimmtes Geschehen zu prognostizieren oder die Zukunft vorherzusagen. Sie beschäftigt sich mit »möglichen Zukünften«.

Inhaltsverzeichnis

Sabine Fischer / Margarete Klein
Einleitung: Denkbare Überraschungen in der russischen Außenpolitik
S. 5

Liana Fix / Ronja Kempin
Rechtsruck in Paris: Der Kreml und die französischen Wahlen
S. 15

Susan Stewart
Russland lanciert eine facettenreiche Kampagne zur Diskreditierung Deutschlands
S. 20

Dušan Reljic
Russland stellt Serbien vor die Wahl: Satellit oder Faustpfand
S. 27

Alexandra Sakaki
Durchbruch im Kurilen-Streit zwischen Japan und Russland
S. 33

Azadeh Zamirirad
Russland löst die USA als Sicherheitspartner des Irak ab
S. 39

Marcel Dickow
Das EurasiaNet – oder wie das Internet zerbrach
S. 47

Oliver Meier
Russlands Rückzug aus der nuklearen Rüstungskontrolle
S. 52

Kirsten Westphal
Das Gazprom-Exportmonopol fällt
S. 57

Sebastian Schiek
Konfrontation im »Hinterhof«: Russland greift militärisch in Kasachstan und Tadschikistan ein
S. 65

Franziska Smolnik
»Republik Ossetien – Alania«: Zusammenschluss Nord- und Südossetiens in der Russischen Föderation
S. 71

Sabine Fischer / Margarete Klein
Russland nach den Duma-Wahlen: Reformorientierte Regierung und nationalistische Außenpolitik
S. 80

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