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Diplomacy & Defense Think Tank News

Vierter Bayerischer Familienrechtstag der Hanns-Seidel-Stiftung

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 21/07/2016 - 13:46
Trennen sich die Eltern, stellt sich unweigerlich die Frage nach der Versorgung der Kinder. Das Umgangsrecht ist insofern ein Dauerbrenner mit stets aktuellen Bezügen. Es beschäftigt die Justiz und Anwälte, Psychologen, Sachverständige sowie Jugendämter und die zahlreichen Beratungsstellen.

La UE y la amenaza al Estado de Derecho en Polonia

Real Instituto Elcano - Thu, 21/07/2016 - 12:52
ARI 60/2016 - 21/7/2016
Carlos Closa
La defensa del respeto del Estado de Derecho por parte de los Estados miembros de la UE continúa careciendo de mecanismos poderosos y el caso polaco es la prueba más reciente.

Coup d’Etat en Turquie : à qui cela profite-t-il ?

IRIS - Thu, 21/07/2016 - 12:48

Un coup d’État manqué a secoué la Turquie dans la nuit du 15 au 16 juillet. Pourquoi une partie de l’armée s’est-elle ainsi soulevée ? Comment comprendre l’échec du coup d’Etat des militaires ?

Nous savons que depuis maintenant plus de 10 ans, le pouvoir civil, incarné par le Parti de la Justice et du Développement (AKP) du président Erdogan, et l’institution militaire, sont engagés dans un bras de fer. En Turquie, l’armée se présente, à tort ou à raison, comme le garant de la laïcité, des valeurs kémalistes et républicaines. Celle-ci a vu d’un bien mauvais œil l’accession au pouvoir de l’AKP, considéré comme un parti islamiste. L’opposition entre les pouvoirs civil et militaire a été notamment ponctuée pendant plusieurs années de grands procès contre une partie de l’état-major, accusé de fomenter des complots pour renverser l’exécutif.
Depuis lors, l’armée est rentrée dans les rangs. L’institution militaire n’a plus les capacités d’intervention sur la scène politique, ce qui ne lui permet plus d’organiser des coups d’éclat comme en 1960, en 1971, en 1980, voire en 1997. Les rapports de force institutionnel, politique et social entre le pouvoir politique et l’armée s’est complètement modifié depuis.
Pour autant, il demeure au sein des forces armées des noyaux durs nationalistes ou ultra kémalistes qui n’acceptent pas la mainmise du pays par l’AKP. Ils ont ainsi tenté d’agir contre ce qu’ils considèrent être des politiques liberticides en tentant d’organiser un putsch. Ceci étant, et c’est certainement une leçon essentielle, seule une partie de l’armée s’est engagée dans le renversement du pouvoir politique alors que les autres coups d’Etat ont traditionnellement été assumés par l’état-major lui-même. Les putschistes ont ainsi fait preuve d’un total amateurisme puisque leur projet a été déjoué en quelques heures.
Il faut également noter que la société civile a évolué et n’est désormais plus encline à accepter une prise en main des affaires politiques par l’armée. C’est certainement une preuve de maturité qui, combinée à l’aventurisme des putschistes, a entraîné l’échec du coup d’Etat, ce qui est une bonne nouvelle pour la Turquie.

Comment analysez-vous la réponse du président Erdogan au coup d’Etat ? Pourrait-il l’avoir orchestré pour renforcer son pouvoir, éliminer ses adversaires et engager la présidentialisation du système politique, comme certains le soupçonne ?

Une des premières réactions du président Erdogan a été d’appeler à la mobilisation citoyenne contre la tentative de putsch. Des milliers de personnes, bien évidemment organisées par l’AKP, sont descendues dans la rue pour riposter à l’initiative des militaires. Cela démontre le fort potentiel de mobilisation dont dispose le parti.
Erdogan s’est ensuite adonné à un réflexe complotiste puisqu’il a rapidement accusé Fethullah Gülen d’être à l’instigation du coup d’Etat. Cette imputation ne mérite aucun crédit dans la mesure où les gülenistes sont soumis à une répression depuis plusieurs années, ne disposent pas de l’implantation nécessaire au sein de l’armée pour fomenter un coup d’Etat réussi, et n’ont pas pour habitude de recourir à de telles procédés.
Dans un troisième temps, Erdogan a lancé une campagne de répression intense, démontrant ainsi une fois de plus son extraordinaire sens politique. Le président turc est capable de se saisir d’une situation de déstabilisation potentielle de son pouvoir pour prendre des mesures qui se soldent, depuis samedi dernier, par des milliers d’arrestations et de mises à l’écart d’abord de militaires, de fonctionnaires, puis de magistrats, d’intellectuels, etc. Il est peu plausible qu’une telle vague de répression ait pu se produire en l’absence de listes existant au préalable.
Cette donnée est extrêmement préoccupante, l’existence d’un tel répertoire étant peut-être plus préoccupante que la tentative de coup d’Etat elle-même. Lorsque dans un pays qui se prétend être un Etat de droit, des officines liées au gouvernement préparent une telle liste, tout est possible et la liberté est très gravement menacée. La réponse d’Erdogan est clairement disproportionnée et va bien au-delà de la simple défense légitime des institutions étatiques.

Dans quelle mesure l’instabilité turque peut-elle remettre en cause la géopolitique régionale, de l’appartenance de la Turquie au Conseil de l’Europe et à l’Otan, à la lutte contre Daech ?

L’instabilité de la Turquie peut effectivement poser problème. Concernant le Conseil de l’Europe, la question du rétablissement de la peine de mort envisagée en Turquie devrait logiquement être source de difficultés. Si une telle mesure était adoptée, le Conseil de l’Europe pourrait probablement suspendre la Turquie pendant quelque temps. Pour autant, le chaos politique turc ne remet aucunement en question l’appartenance du pays à l’Otan. La Turquie, indépendamment de ses dérives, est un élément trop important pour l’équilibre régional mais également pour l’alliance occidentale actuellement à l’œuvre dans la lutte contre Daech. Les rapports entre la Turquie et l’Union européenne pourraient cependant se ternir et remettre en cause l’accord d’association du 18 mars concernant les réfugiés.
Pour ce qui est de la lutte contre l’Etat islamique, la situation politique turque ne devrait pas faire lever le pied aux autorités dans leur engagement contre ce groupe djihadiste. Certes, pendant quelques jours les opérations turques contre Daech ont été suspendues, mais c’est provisoire, la Turquie faisant face à une vague d’attentats orchestrée par l’organisation et devant s’en défendre. Les jeux d’alliances ne devraient donc pas être impactés.
Enfin, concernant la géopolitique régionale, quelque peu éclipsée par l’actualité, la Turquie s’est significativement rapprochée d’Israël, puis de la Russie, pays avec lequel les relations étaient exécrables depuis le mois de novembre. De plus, le Premier ministre turc a déclaré, quelques jours avant la tentative de coup d’Etat, qu’il était nécessaire de revoir la politique de la Turquie à l’égard de la Syrie. Ces éléments participent à la réinsertion de la Turquie, qui connaissait un relatif isolement dans le jeu régional. C’est une donnée plutôt positive puisque, indépendamment des graves contradictions politiques qui l’affectent, la Turquie, de par sa taille, sa dimension et sa situation géographique, possède encore un potentiel rôle de stabilisation régionale.

Zurück auf Los

SWP - Thu, 21/07/2016 - 11:44

Zum fünften Jahrestag der Unabhängigkeit ist der Konflikt im Südsudan erneut aufgeflammt. Nach fast zwei Jahren Krieg zwischen den Truppen von Präsident Kiir und Vizepräsident Machar war dieser erst im April 2016 mit seinen Ministern und einem Teil seiner Truppen zurück in die Hauptstadt Juba gekommen, um gemeinsam mit dem Kabinett seines Gegners Kiir eine Übergangsregierung der Nationalen Einheit zu bilden. Beide Seiten blockierten jedoch die Umsetzung des Friedensabkommens vom August 2015, in anderen Landesteilen wurde der Waffenstillstand mehrfach gebrochen. Am 7. Juli begannen die Sicherheitskräfte der beiden Kontrahenten in Juba aufeinander zu schießen. In den folgenden Tagen starben mehr als 300 Menschen. Keiner der beiden Anführer besitzt die vollständige Kontrolle über die kämpfenden Einheiten. Inzwischen hat Machar mit seinen Truppen Juba verlassen. Nun stellt sich die Frage nach der weiteren Gültigkeit des Friedensabkommens und der Legitimität der beiden Führer. Die Vereinten Nationen (VN) sind mit über 13000 Soldaten vor Ort und die Afrikanische Union (AU) will eine Eingreiftruppe zur Friedenserzwingung entsenden.

Erweiterung gen Norden? Schweden, Finnland und die NATO

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 21/07/2016 - 00:00
Schweden und Finnland rücken immer näher an die NATO heran, bislang aber ohne die Vollmitgliedschaft anzustreben. Daran wird sich wohl auch vor den Parlamentswahlen 2018 bzw. 2019 nichts ändern. Für die NATO wäre die Aufnahme der Nordeuropäer unkompliziert und brächte zahlreiche Vorteile, vor allem für die nordisch-baltische Sicherheit, aber auch bei Themen wie der NATO-EU-Kooperation und der Politik der Offenen Tür. Trotz gewisser Risiken, allen voran die absehbare Reaktion Russlands, könnte Deutschland zwei wichtige und verlässliche Partner in der NATO gewinnen.

Ensuring No One is Left Behind: A High-Level Dialogue on Migration and Refugees

European Peace Institute / News - Wed, 20/07/2016 - 22:50

On Wednesday, July 20th IPI together with the Quaker UN Office, and the Permanent Missions of Finland, Mexico, and Morocco to the United Nations co-hosted a policy forum event to discuss the links between the SDGs and the upcoming summit that will address large movements of refugees and migrants.

Event Video

This is the first year of the implementation of the 2030 Agenda. The goal of the event was to connect the dots between the 2030 Agenda and the upcoming Summit on September 19th that will address large movements of refugees and migrants.  It will also support a positive narrative towards refugees and migrants and will call for an ambitious multilateral response to “reach the farthest behind first”. Currently we have the largest number of people on the move. What does the 2030 Agenda mean for them?

The spirit of the 2030 Agenda is of universality and inclusion. It aspires to “ensure that all human beings can enjoy prosperous and fulfilling lives.” As such, these new principles also apply to all migrants and refugees. Some of the questions that were discussed are: Can the 2030 Agenda provide a framework to support the needs of refugees and migrants? At the policy level, can the spirit of the 2030 Agenda permeate the global compacts to be adopted in the upcoming Summit on refugees and migrants?”

Introductory Remarks:
H.E. Mr. Kimmo Tiilikainen, Minister of Agriculture and the Environment of Finland
Mr. Peter Sutherland, United Nations Special Representative of the Secretary-General for International Migration
H.E. Mr. Omar Hilale, Permanent Representative of the Kingdom of Morocco and upcoming Co-Chair of the Global Migration Group

Speakers:
H.E. Mr. Miguel Ruiz Cabañas, Deputy Minister of Multilateral Affairs and Human Rights of Mexico
Ms. Karen AbuZayd, Special Adviser on the Summit on Addressing Large Movements of Refugees and Migrants
Ms. Christine Matthews, Deputy Director, United Nations High Commissioner for Refugees – New York Office

Moderator:
Dr. Adam Lupel, Vice-President, International Peace Institute

UN Secretary-General Candidate Susana Malcorra Speaks at IPI

European Peace Institute / News - Wed, 20/07/2016 - 22:30

On Tuesday, July 26th at 8:30am EST, IPI is hosting a Global Leaders Series presentation featuring H.E. Ms. Susana Malcorra, candidate for the position of UN secretary-general.

IPI Live Event Feed

If you can’t see the above video, view it directly on Facebook here (this works even if you don’t have a Facebook account).

At the event, Ms. Malcorra will discuss her experience and how it informs her vision of the future of global politics and the United Nations. She will address questions including how she would shape the job of UN secretary-general and define her priorities in office.

On May 23, 2016, Ms. Malcorra was officially nominated by Argentina for the position of UN secretary-general. She has been Minister of Foreign Relations since November 2015, named by Argentine President Mauricio Macri to his inaugural cabinet. In assuming the role, Ms. Malcorra resigned her position as Chef de Cabinet for UN Secretary-General Ban Ki-moon, a position she had held since March 2012. As Chef de Cabinet, she was also a member of the UN Senior Management Group (SMG), chaired by the UN Secretary-General, which serves as a forum for planning and information sharing in response to emerging challenges and cross-cutting issues.

Prior to this, in March 2008, Secretary-General Ban Ki-moon appointed Ms. Malcorra as Under-Secretary-General for Field Support—a role that provides dedicated support to UN peacekeeping field missions and political field missions. In her role as Under-Secretary-General, Ms. Malcorra served as the leading staff member at UN headquarters, overseeing more than 120,000 military, civilian, and police personnel deployed around the world.

Between 2004 and 2008, Ms. Malcorra served as Chief Operating Officer and Deputy Executive Director of the World Food Programme (WFP). Throughout her tenure, she supervised emergency and humanitarian operations in more than 80 countries, including leading the initial phase of the operational response to the Indian Ocean tsunami in December 2004.

Prior to entering the international civil service, Ms. Malcorra worked for 25 years in the private sector, advancing to leadership positions at IBM and later at Telecom Argentina, where she served as the first female Chief Executive Officer.

Discussion autour de l’ouvrage « La France EST la solution » de Frédéric Salat-Baroux

Fondapol / Général - Wed, 20/07/2016 - 15:06

Discussion autour de l’ouvrage « La France EST la solution » de Frédéric Salat-Baroux Discussion autour de l'ouvrage "La France EST la solution par fondapol

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Beyond Brexit: hacia una mayor cooperación estratégica entre España y el Reino Unido

Real Instituto Elcano - Wed, 20/07/2016 - 12:13
ARI 58/2016 - 20/7/2016
Luis Simón
El ruido mediático sobre las posibles implicaciones de una eventual salida británica de la UE (Brexit) no debe ser un obstáculo para una necesaria reflexión sobre el potencial de la relación bilateral entre España y el Reino Unido.

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