France

On se gausse volontiers des déclarations "scientifiques" de religieux musulmans fondamentalistes, pour qui le Coran contient la réponse à toutes les questions que l'humanité se pose (au point qu'ils y découvrent des allusions à la relativité ou à la mécanique quantique).

Le cortège rassemblant Manuel Valls et les autres membres du gouvernement l'accompagnant à Nice a été hué à son arrivée, puis à son départ de la promenade des Anglais, sous les cris de "assassins!" ou de "démission!".

Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen..., le premier secrétaire du PS condamne la "surenchère déplacée" survenue dans les heures qui ont suivi l'attentat.

 

 

La présence de Manuel Valls sur la promenade des Anglais a suscité des réactions très hostiles et une violente colère, qui mettra du temps à se dissiper.

quo vadis ? «Les nations ne jettent pas à l’écart leurs antiques moeurs comme on se dépouille d’un vieil habit; il en résulte des lambeaux qui forment, avec les nouveaux vêtements, une effroyable bigarrure. » Chateaubriand, Le Génie du Christianisme III, I, 8   «CORRUPTIO OPTIMI PESSIMA» (la corruption du meilleur donne le pire).   Homme pas net cela le ruine que faut-il faire ?

J’avais quitté le port …pour l’arrière-pays et la paix des montagnes.   Je suis resté sidéré longtemps sur les bords glacés de cette nuit qui n’en finissait pas. C’était comme si un ravin avait pénétré mes yeux, comme si ses pierres avaient noué ma langue, asséché ma bouche.   L’inexplicable.   Il n’y avait rien à dire. Sauf à se rassurer à quelques étiquettes près. Car c’est cela qui assomme, ce qui peut se passer dans la tête d’un homme. C’était là que s’établissait le silence.

L’entourage qui téléphone pour demander si tout va bien, ou dire que tout va bien suscite en celui qui reçoit tous ces messages que quelque chose de grave est arrivé. Loin, et de plus dans son lit, on est un peu dans l’abstraction. La télé, le lendemain, fait surgir l’abominable. On savait que cela arriverait mais l’on a évité, jusque là, de penser à la proximité parce que l’on a des enfants, des amis et aussi des inconnus, des inconnus proches. On les protège. On se protège. On

La vie a de ses tours qui aggravent souvent les tragédies. Dans ma retraite d’été je suis entouré de beautés (nature, livres, poésie), je médite sur ce que j’écris et ce que je peins et vers midi j’apprends la triste nouvelle de l’attentat à Nice. Nice est une des villes que j’ai dans le coeur, j’y ai des amis, des amis artistes, nombreux, j’y ai des souvenirs d’artistes disparus, des lieux et une image où déambulant sur la promenade des Anglais mon fils égara sa peluche préférée. Cette

Le texte porté par la ministre du Travail sera adopté définitivement cette semaine. Les syndicats ont annoncé une journée de mobilisation le 15 septembre.

Pierre Charon, sénateur Les Républicains de Paris depuis 2011, ami et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, est moqueur. Et il n'hésite pas à le revendiquer !

Le Premier ministre était sur la promenade des Anglais pour la minute de silence. Il a été sifflé par la foule à son arrivée et à son départ.

Polémique à l'Inspection générale des affaires sociales. Le directeur est accusé par certains de ne pas avoir communiqué un rapport au gouvernement.

Ce lundi se tenait le troisième conseil de sécurité et de défense depuis l'attentat commis sur la promenade des Anglais le 14 juillet qui a tué 84 personnes.

Près de 42.000  personnes se sont réunies ce lundi à midi à Nice pour rendre hommage aux 84 victimes et aux blessés de l'attentat du 14 juillet. A son arrivée sur la Promenade des Anglais, Manuel Valls a...

Une minute de silence a été observée, lundi, à midi, dans toute la France, pour rendre hommage aux victimes de l’attentat de Nice qui a fait 84 victimes, le 14 juillet, sur la Promenade des Anglais.

"Tout ce qui aurait dû être fait depuis 18 mois" et l'attentat de Charlie Hebdo "ne l'a pas été", a accusé Nicolas Sarkozy. Réponse de l'exécutif trois jours après l'attentat de Nice: "Aucun gouvernement n'a fait autant jusqu'à présent pour lutter contre le terrorisme".

Dans un moment essentiel de la vie nationale, les dirigeants politiques français offrent un spectacle consternant. Alors qu'ils ont manifesté professionnalisme et sens de l'intérêt national après les attentats de 2015, ils semblent aujourd'hui, tous, avoir oublié qu'ils doivent incarner, en ces heures graves, les valeurs essentielles de notre pays.

"Tout ce qui aurait dû être fait depuis 18 mois ne l'a pas été", a déclaré l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy.