L'ancien ministre annonce son intention de reprendre la tête de la ville de Nice et assure n'avoir « pas de contact de près ou de loin » avec Emmanuel Macron.
M. Estrosi a affirmé que sa « seule ambition » était « de servir [s]a ville ».
Au lendemain de l'élection d'Emmanuel Macron, auquel il avait apporté son soutien, Christian Estrosi a annoncé lundi soir sa démission de la présidence de la région Paca et son intention de redevenir maire de Nice.
La justice soupçonne pourtant que ce système de kits a donné lieu, en 2012, à des surfacturations de la part de la société Riwal, qui était alors le prestataire du FN.
Près de 35 000 électeurs ont rempli un bulletin virtuel sur Internet pour signifier au président élu qu’ils avaient voté par défaut. Une dizaine d’entre eux se sont rendus, lundi, au siège du parti.
Emmanuel Macron s’est entouré de personnalités politiques ou issues de la société civile pour construire son mouvement En Marche ! Parmi elles, certaines seront appelées à jouer un rôle au sein de son gouvernement. Revue d'effectif.
Voyez les seulement. Fébriles, baignés des humeurs de l'angoisse, à jaboter, supputer, guetter. Ils se feraient damner pour savoir et subissent, stoïques, les caprices d'un temps fort maussade. Le tout jeune roi se tient coi: sa parole se fait à présent rare et ses apparitions suscitent tout à la fois ferveur et inquiétude. [...]
Le village de la Haute-Marne a voté à 90,24 % pour la candidate du Front national. Sur place, la déception se mêle à l’espoir d’une victoire aux législatives.
Quelles sont les leçons du second tour de cette présidentielle ? Gérard Courtois, éditorialiste au « Monde », a répondu à vos questions.
Plusieurs milliers de personnes ont défilé, lundi 8 mai, pour mettre en garde Emmanuel Macron, nouveau président élu, contre sa volonté de réformer rapidement le code du travail.
Cartes, analyses, décryptages… Après l’élection d’Emmanuel Macron, nous vous proposons une sélection de nos meilleurs contenus.
François Baroin, qui dirige la campagne pour les législatives, menace ses troupes en cas de défection pour le camp Macron.
Avec l’élection d’Emmanuel Macron, seule "la moitié du chemin" a été parcourue, selon un cadre du mouvement rebaptisé "La République en marche". La bataille des législatives dans six semaines s’annonce comme le troisième tour de la présidentielle.
Des centaines de personnes ont défilé lundi entre les places de la République et de la Bastille, à Paris, pour lancer un premier avertissement social à Emmanuel Macron, au lendemain de son élection à la présidence de la République.
Les quatre millions de bulletins blancs ou nuls et les 12 millions d’abstentionnistes de ce second tour dessinent des résultats très différents lorsqu’on les comptabilise.
Emmanuel Macron a démissionné lundi de son poste de président du mouvement fondé il y a un an. Il y est remplacé par Catherine Barbaroux, qui était jusque-là déléguée d’En marche !
Comme il est de coutume lorsqu'un nouveau président est élu, des chefs d'Etat à travers le monde ont adressé un message à Emmanuel Macron.
Dans la foule, en ce jour férié, le même souci de « préparer le troisième tour des législatives ». « C’est parti pour un quinquennat de luttes », prévient une banderole en tête de cortège.
« Hollande dégage », « Hollande démission », « La gauche m’a tuer »… Sur le Web, les militants hostiles au chef de l’Etat sortant se mettent déjà en ordre de bataille contre le prochain.
Au second tour de l’élection présidentielle, les deux candidats ont fait quasiment jeu égal dans les villes tenues par le parti de Marine Le Pen.
Pages