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Afrique

Quelque 25.000 familles affectées par les intempéries à travers le pays

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:41

EL-BAYADH – Quelque 25.000 familles ont été affectées à travers 21 wilayas suite aux dernières intempéries qu’a connues le pays, a affirmé mercredi dans la wilaya d’El-Bayadh la présidente du Croissant-Rouge algérien (CRA).

Présidant une opération de distribution d’aides au profit de 53 familles défavorisées de la commune de Labiodh Sidi-Cheikh (110 km Sud d’El-Bayadh), Saïda Benhabilès a indiqué qu’un appel a été lancé aux âmes charitables et partenaires du son organisation pour s’impliquer dans cette action de solidarité initiée par le CRA afin d’apporter assistance aux familles démunies.

Saluant l’action de proximité manifestée par les bénévoles de cette organisation humanitaire, la présidente du CRA a ajouté que cet élan de solidarité n’a pas ciblé uniquement les familles défavorisées algériennes, mais a profité également à des ressortissants étrangers, à l’instar de la prise en charge de 162 ressortissants étrangers de diverses nationalités africaines dans la commune d’El-Eulma (Sétif).

Mme. Benhabiles a, dans ce contexte, mis en avant l’importance de la solidarité et de la cohésion entre membres de la société qui, a-t-elle dit, « sont un héritage de valeurs nobles et authentiques qu’il appartient d’ancrer dans la société. »

La présidente du CRA a, lors de cette seconde journée de sa visite dans la wilaya d’El-Bayadh, visité plusieurs régions, dont celles d’El-Manhar et de Fedj El-Deffali où les aides de solidarité ont été favorablement accueillies par les bénéficiaires.

Mme Benhabilès s’était, lors de la première journée de sa visite, rendue à la localité enclavée de Dir El-Hassiène, dans la commune de Sidi-Taifour, où elle a procédé à une remise d’aides de solidarité, constituées de couvertures et d’effets vestimentaires, à des familles nécessiteuses, et s’est engagée à faire parvenir des chaises roulantes aux personnes aux besoins spécifiques.

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Zoukh: Relogement de 52.000 familles en trois ans à Alger

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:38

ALGER – Le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a affirmé mercredi à Alger, que plus de 52.000 familles avaient été relogées dans la wilaya d’Alger durant les trois dernières années (de 2014 à 2016).

Lors d’une conférence-débat au Forum du quotidien Echaab sur les projets et ateliers ouverts dans la wilaya d’Alger, M. Zoukh a indiqué qu’un grand nombre de famille avait bénéficié de logements, tous types confondus, à l’instar du logement social ppublic (36.000 unités), du logement public participatif (45.000), ainsi que des programmes AADL et LPP.

Les habitants des bidonvilles, des caves, des terrasses et des batisses menaçant ruine, ont bénéficié des opérations de relogement dans la wilaya d’Alger depuis l’année 2014 (de 1 à 22 opérations), a-t-il affirmé, indiquant que la 22ème opération de relogement dans la wilaya, qui est en cours de préparation, serait affectée aux familles résidant dans des habitations précaires, des haouchs, des caves et des chalets.

Les intempéries ont retardé cette opération et celles relatives à l’aménagement des nouvelles cités, a ajouté M. Zoukh.

La 22ème opération de relogement sera suivie d’autres opérations de relogement de 23 à 27, a-t-il ajouté.

– Plus de 15.000 recours enregistrés depuis 2014 –

Plus de 15.000 recours ont été introduits par les familles exclues des listes des bénéficiaires de logements sociaux depuis le début de l’opération de relogement dans la wilaya d’Alger, dont 7.500 recours acceptés, a déclaré le wali.

M. Zoukh a révélé que plus de 2.000 affaires liées à de fausses déclarations avaient été soumises à la justice. Plus de 70 logements ont été récupérées, a soutenu Zoukh.

En réponse à une question relative aux constructions inchevées, M. Zoukh a indiqué que ce dossier était en cours d’étude, soulignant que « le problème consiste en les personnes ayant érigé leurs construction sur des terres agricoles ou au niveau des forêts, suite à quoi leur situation ne peut être régularisée sauf sur décisions émanant des autorités centrales ».

-Des projets pour l’organisation du trafic routier et la propreté de l’environnement-

M. Zoukh a souligné que la wilaya d’Alger oeuvrait à trouver des solutions efficaces en vue d’organiser le trafic routier, rappelant la création d’une joint-venture algéro-espagnole chargée de l’élaboration d’une étude à même de régler ce problème.

Il a mis l’accent également sur le rôle des Algérois, appelés à contribuer à l’embellissement de la capitale, invitant ces dernier à se déplacer en métro, tramway, train, Etusa et bus privé, pour mettre fin aux embouteillages.

Quant à la propreté de l’environnement, M. Zoukh a fait savoir que 500 points noirs sur Alger avaient été pris en charge et aménagés en espaces verts.

« La capitale compte 25 forêts dont 13 aménagées et 12 à aménager prochainement », a-t-il ajouté.

Concernant la mise en place d’un plan ORSEC, le wali d’Alger a indiqué « qu’un contrat de deux ans a été signé avec un partenaire étranger pour élaborer une étude dans ce sens ».

Le relogement des familles résidant sur les deux rives de Oued El Harrach a permis d’éviter la « catastrophe » (Zoukh)

ALGER- Le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh a affirmé mercredi que le relogement, il y a quelques années, des 7.000 familles qui résidaient dans les bidonvilles construits sur les rives de oued El-harrach a permis d’éviter « la catastrophe », compte tenu des récentes intempéries.

Invité du Forum du quotidien Echaab, M. Zoukh qui présentait le plan stratégique d’Alger 2015-2035, a indiqué que Oued El Harrach avait connu cette année sa plus importante crue depuis 1954, précisant que si les services de la wilaya d’Alger n’avaient pas accélérés le relogement des 7.000 familles qui résidaient dans les bidonvilles construits sur les rives de l’Oued, Alger aurait connu une véritable catastrophe ».

Le wali d’Alger a ajouté que la même « catastrophe » aurait pu affecter près de 2.000 familles à Oued Ouchayeh qui ont également été relogées.

Quant aux mesures préventives contre les éventuelles catastrophes naturelles, le wali a rappelé que le bureau d’étude algéro-espagnol spécialisé dans l’aménagement urbain, qui a procédé à l’élaboration d’une étude de deux ans pour l’acquisition de matériels sophistiqués scannant les sols.

Concernant les familles sinistrées du fait de la remontée des eaux de certains oueds, à l’instar d’El Hamiz, et celles résidant dans de vieilles bâtisses à la Casbah et les bidonvilles de Bordj Elkiffan, la wali a indiqué « qu’elles peuvent regagner leurs maisons après les travaux de déblaiement en

attendant de les prendre en charge au titre de la 22e opération de relogement ou des opérations suivantes ».

En réponse à une question sur Oued Ouled Larbi à Dekakna à Douéra, où sont déversés les déchets solides des usines avoisinantes, Le wali d’Alger a affirmé qu’un « dossier concernant ce Oued et la foret de Oued Chebel, objet de pillage et d’actes de destruction, sera bientôt ouvert ».

Récupération de 500 assiettes foncières après élimination   des points noirs

Les services de la wilaya d’Alger ont pu récupérer près de 500 assiettes foncières après avoir éliminé un ensemble de points noirs qui faisaient office de décharges pour déchets solides. Grâce aux efforts de l’entreprise « ASROUT », ces espaces ont été libérés de cette accumulation de déchets empêchant ainsi toute sorte d’activité dans ces lieux, a affirmé M. Zoukh.

« Ces assiettes sont destinées à la construction d’espaces verts et de loisirs pour jeunes et enfants. Dans le cadre du plan vert, les services de la wilaya oeuvrent à l’aménagement de 25 forêts urbaines dont 13 ont été touchées par cette opération en attendant d’affecter des enveloppes financières pour les 12 restantes », a-t-il ajouté.

Ces forêts seront dotées d’éclairage public à l’instar de celles de Ben Aknoun, Bordj El Kiffan et autres dans le but de permettre au citoyen de bénéficier de ces espaces de jour comme de nuit durant la saison estivale.

Installation de 500 nouveaux éclairages à travers la capitale

Dans le cadre du plan d’aménagement, la wilaya d’Alger bénéficiera d’un système nouveau et efficace pour la circulation routière afin de désengorger le trafic routier à l’intérieur comme à l’extérieur de la ville.

M. Zoukh a révélé l’accord conclu récemment dans le cadre du partenariat algéro-espagnol pour la gestion des routes en mettant 500 feux de signalisation pour organiser le trafic routier.

Il a affirmé dans ce sens que le fait de garantir le transport, d’améliorer les conditions et d’obliger les transporteurs à respecter le cahier des charges ainsi que l’application des mesures coercitives, encourageraient les citoyens à utiliser les moyens de transports communs (privés ou publics), limitant ainsi l’utilisation des véhicules.

Dans ce cadre, le délai accordé aux transporteurs privés prendra fin prochainement, ce qui obligera ces derniers à respecter les conditions prévues ou se voir retirer définitivement l’autorisation de transport, a-t-il soutenu.

Répondant à une question sur la statut juridique de certains élus des communes de la capitale poursuivis en justice, M. Zoukh a indiqué que les autorités de wilaya appliqueraient la loi dans ce cadre.

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Numérisation de l’activité douanière début 2018 (DG)

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:35

SKIKDA- Le directeur général des Douanes algériennes, Kadour Bentahar, a affirmé mercredi à Skikda que l’activité douanière passera officiellement, début 2018, vers « un nouveau système informatique » qui consacrera sa numérisation.

En plus d’un accompagnement de l’investissement productif, la numérisation élèvera l’efficacité de l’appareil douanier dans l’intérêt de l’économie nationale et de sa protection, a ajouté M. Bentahar lors d’une visite de travail à la wilaya.

Le DG a notamment présidé le raccordement de l’inspection divisionnaire principale des hydrocarbures de la grande zone industrielle à la base de données de l’administration des douanes, afin de faciliter les opérations de déclarations douanières et donner davantage de précision aux données sur la valeur et les quantités des divers produits énergétiques et hydrocarbures.

Le nouveau code des douanes qui introduit des amendements de l’ordre de 45%, souligne le rôle économique et sécuritaire de l’administration douanière à travers, notamment, de la lutte contre la criminalité transfrontalière et assiste le douanier dans ses missions, a notamment relevé M. Bentahar.

Le même responsable a porté également l’accent sur le fait que ce nouveau code garantit un accompagnement « efficace » aux opérateurs économiques qui bénéficient de facilités à leur tête le guichet unique qui « sera généralisé à tous les ports ».

Le DG des douanes a également inspecté les services douaniers à l’entreprise portuaire de Skikda avant de visiter le guichet unique réservé à l’exportation au port sec.

Sur ce dernier site, M. Bentahar a insisté sur la présence des services agricoles au niveau des guichets uniques ainsi que des services du commerce et du port, saluant le fait que la wilaya de Skikda ait pris l’initiative d’assurer la présence de ces services.

La direction des douanes de Skikda a réalisé en 2016 des recouvrements douaniers estimés à 80 milliards de DA, alors que les exportations d’hydrocarbures ont connu une hausse de 10 %, ont indiqué les responsables douaniers.

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Renouvellement partiel des membres du Conseil de la concurrence

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:27

ALGER- Une nouvelle composante du collège du Conseil de la concurrence a été installée mercredi en remplacement des membres dont le mandat a expiré mi-janvier en cours, alors que son président, Amara Zitouni, a été reconduit à la tête du Conseil.

Sur neuf (9) membres du Conseil, quatre (4) ont été nouvellement installés alors que cinq (5) autres ont été reconduits, a expliqué à la presse M. Zitouni lors de la cérémonie d’installation.

Ainsi, Abdelmadjid Dennouni et Abdelmalek Benabbas (spécialistes en économie), Meriem Ammiche et Mohammed Tayeb Medjhahed (spécialistes en droit) ont été désignés comme nouveaux membres permanents dans cette institution de régulation par décret présidentiel.

M. Dennouni, qui préside également la Confédération générale du patronat du BTP, a été nommé vice-président du Conseil.

Concernant les membres reconduits pour un nouveau mandat, il s’agit d’Amara Zitouni en tant que président du Conseil, et Djilali Slimani, Mohamed Mounir Belabdelouahab et Mohamed El-Bey (spécialistes en économie) et Abdelhafid Bougandoura (juriste et membre d’une organisation de protection du consommateur).

Réactivé en 2013 après dix années d’hibernation, le Conseil de la concurrence est composé de douze (12) membres dont six (6) permanents et six (6) non permanents, nommés par décret présidentiel et exercent leurs fonctions à plein temps pour un mandat de quatre ans.

Six (6) membres sont choisis parmi les personnalités et experts ayant des compétences dans les domaines de la concurrence, de la distribution, de la consommation et de la propriété intellectuelle, quatre (4) membres sont choisis parmi les professionnels et deux (2) autres membres représentent

les associations de protection des consommateurs.

« Aujourd’hui, on se retrouve avec neuf membres, un nombre suffisant pour siéger et prendre des décisions en attendant de compléter la formation du collège avec trois autres membres », a indiqué M. Zitouni.

Les trois membres restants devraient être choisis parmi les magistrats de la Cour suprême ou de la Cour des Comptes pour permettre au Conseil de mieux jouer son rôle, a-t-il avancé.

Pour rappel, le Conseil de la concurrence est une autorité administrative autonome qui agit au nom et pour le compte de l’Etat pour faire respecter les règles de la concurrence. Il est placé auprès du ministre chargé du commerce.

Pour garantir une réelle connaissance et mise en oeuvre des principes et règles de concurrence, il a compétence de décision, de proposition et d’avis qu’il exerce de sa propre initiative ou à la demande du ministre chargé du commerce ou de toute autre partie intéressée.

Cette institution a pour principale mission de favoriser et de garantir, par tous moyens utiles, la régulation efficiente du marché et d’arrêter toute action ou disposition de nature à assurer le bon fonctionnement de la concurrence et à promouvoir la concurrence dans les zones géographiques ou les secteurs d’activité ou la concurrence n’existe pas ou est insuffisamment développée.

Le Conseil de la concurrence peut prendre toute mesure sous forme notamment de règlement, de directive ou de circulaire qui est publiée dans le bulletin officiel de la concurrence.

Il peut faire appel à tout expert ou entendre toute personne susceptible de l’informer. Il peut également saisir les services chargés des enquêtes économiques notamment ceux du ministère chargé du commerce pour solliciter la réalisation de toute enquête ou expertise portant sur des questions relatives aux affaires relevant de sa compétence.

Si des pratiques restrictives de concurrence sont relevées, le Conseil engage toutes les actions nécessaires pour y mettre fin de plein droit.

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Poisson: Stagnation de la production nationale

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:10

ALGER- Le secteur de la pêche enregistre une stagnation dans la production avec 100.000 tonnes de ressources halieutiques produites annuellement contre une demande estimée à 200.000 t/an, a indiqué mercredi à Alger le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chalgoum .

Ce net déséquilibre entre l’offre et la demande est la raison pour laquelle les prix du poisson demeurent « inaccessibles » à une large couche des consommateurs, a-t-il relevé lors d’une rencontre avec les professionnels du secteur.

En outre, a-t-il poursuivi, « les réserves des ressources halieutiques dans le bassin méditerranéen sont limitées, et ses 1,2 million de tonnes de ressources sont partagées par 23 pays méditerranéens ».

Dans ce sens, il a considéré que cette situation n’est que « motivante » pour faire en sorte que se développe la filière d’aquaculture dans les zones internes du pays.

Le ministre a fait aussi savoir que 122 projets d’investissements répartis sur le territoire national étaient finalisés et validés par les commissions techniques relevant du secteur.

Ces projets ont pour but de renforcer non seulement les capacités de production dans la filière halieutique (maritime) mais aussi d’investir davantage dans le domaine de l’aquaculture dans les régions internes.

Pour sa part, le directeur général de la pêche et de l’aquaculture auprès du même ministère, M. Taha Hamouche, a affirmé que quelque 2.500 microprojets étaient en phase de finalisation pour les lancer à travers plusieurs wilayas.

Abordant le quota de pêche de thon rouge de l’Algérie pour 2017 qui a été augmenté à 1.046 tonnes, le ministre a indiqué que la campagne de pêche de ce poisson débuterait en mai prochain.

Selon lui, 17 opérateurs nationaux disposent des moyens pour investir dans ce créneau et qu’un appel à manifestation d’intérêt sera lancé dans ce sens par la commission nationale de pêche du thon rouge pour postuler à la campagne de pêche de la saison 2017.

Par ailleurs, le ministre a évoqué l’actuelle forte hausse des prix de la pomme de terre mais a réitéré que le marché s’est vu tout récemment approvisionné par des quantités considérables de stocks de cette tubercule à un prix de 38 DA/kg pour répondre à la demande.

Il a relevé que le prix de la pomme de terre avait enregistré une augmentation pour atteindre un prix moyen national de 65 DA en conséquence des intempéries qui se sont traduites par des ruptures d’approvisionnement du fait que les agriculteurs accèdent difficilement à leurs champs submergés par les eaux de pluie et la neige, sans compter le problème de blocage des axes routiers pour en assurer le transport.

Selon lui, ce phénomène de hausse des prix de la pomme de terre est passager du fait que le problème n’est pas imputable à un manque de production mais plutôt à des perturbations climatiques.

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Le Koweït exécute sept personnes dont trois femmes et un prince

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:09

Sept personnes condamnées à mort au Koweït dans des affaires de droit commun, dont un membre de la famille régnante des Al-Sabah et trois femmes, ont été pendues mercredi, les premières exécutions depuis juin 2013, a annoncé un porte-parole du procureur général.

L’une des trois suppliciées est une Koweïtienne qui avait été condamnée pour avoir mis le feu à une tente lors d’un mariage, provoquant la mort de 57 personnes. Les deux autres femmes sont de nationalité philippine et éthiopienne.

Cheikh Fayçal Abdallah Al-Jaber Al-Sabah, le premier membre de la famille régnante à jamais avoir été exécuté, avait lui été condamné pour avoir tué par balle en 2010 un autre membre des Al-Sabah avec lequel il avait un différend.

Les autres suppliciés sont deux Egyptiens, condamnés pour meurtre avec préméditation, et un ressortissant du Bangladesh condamné pour enlèvement et viol.

La Koweïtienne Nusra al-Enezi avait été reconnue coupable d’un crime qui avait suscité une vive indignation au Koweït. Selon la justice, elle avait mis le feu en 2009 dans une tente lors du remariage de son époux, provoquant la mort de 57 personnes, principalement des femmes et des enfants.

Cette femme avait déclaré lors de son procès avoir voulu se venger de son mari.

La Philippine et l’Ethiopienne sont des employées de maison qui ont assassiné, selon la justice koweïtienne, des membres des familles de leurs employeurs.

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Accord d’investissement de près de 300 millions usd entre un groupe privé algérien et un groupe agricole américain

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:05

ALGER- Un protocole d’accord portant sur un investissement de 250 à 300 millions de dollars (environ 25 à 30 milliards de DA), dans le domaine agricole a été signé lundi à Alger entre le groupe laitier algérien privé Tifralait et le groupe agricole international américain.

Aux termes de cet accord, les deux groupes vont créer une joint-venture pour la réalisation d’un méga projet agricole dans la wilaya d’Adrar (sud) s’étendant sur une superficie totale de 25.000 hectares (ha).

L’accord a été signé par le P-dg de Tifralait, Mohamed Medjekane et le président du groupe américain, Dale Didion, en présence du ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche Abdesselam Chelghoum, du président du Conseil d’affaires algéro-américain Smail Chikhoun et du président de la Confédération des industriels et des producteurs (CIPA), Abdelaziz Henni.

Ce projet qui sera réalisé selon la règle du 51/49% régissant l’investissement étranger en Algérie et donnant la majorité du capital à la partie algérienne, touche plusieurs filières agricoles dont la pomme de terre, les engrais, les céréales, l’élevage de bovins laitier, les aliments de bétails, le maïs et le soja.

Concernant la filière lait, les deux partenaires visent à atteindre une production de 190 millions de litres de lait/an et 20.000 tonnes de viandes rouges/an.

Il s’agira également de produire 22.000 tonnes/an de céréales et 105.000 tonnes d’aliments de bétails. Le projet vise la création de 1.500 postes d’emplois.

L’exécution de ce projet se fera par plusieurs phases, la première concernera la culture céréalière avec l’aménagement de 1500 ha dès l’année en cours.

Dans la deuxième étape, les partenaires passeront aux cultures fourragères et à la pomme de terre avant de se lancer dans l’élevage de bovins laitiers avec l’importation de 3.000 vaches laitières en moyenne par an, l’objectif étant d’arriver à 15.000 vaches au bout de cinq à six ans, a expliqué M. Chikhoune.

La troisième phase de ce mega projet sera consacrée à l’activité de transformation de la pomme de terre (flocons de pomme de terre déshydratée) et à la production de poudre de lait.

« C’est un projet très important qui va se réaliser graduellement étant donné les multiples techniques qui seront introduites dans chaque filière et à chaque étape », a souligné M. Chikhoune.

Le consortium américain compte au moins six sociétés américaines dont des multinationales issues notamment de plusieurs Etats dont l’Idaho et la Californie ainsi que des experts dans différents domaines auxquels fera appel la société mixte pour la concrétisation de ses différents projets à Adrar.

L’entreprise Tifralait a commencé comme producteur de lait en 1987 dans la wilaya de Tizi-Ouzou avant de passer à l’activité transformation de lait.

M. Chelghoum a, pour sa part, salué la conclusion de ce partenariat, le deuxième du genre après celui d’El Bayadh conclu en 2016. « Cela signifie que la coopération entre l’Algérie et les Etats-Unis va bien », a-t-il dit, et ce, grâce, a-t-il ajouté, à « la volonté politique » exprimée par les deux pays.

Il a souligné, dans ce contexte, que la stratégie du gouvernement algérien accorde une « importance capitale » à l’investissement privé et au partenariat privé-privé et privé-public.

« Les Américains, par leur pragmatisme ont donné, aujourd’hui la preuve que le marché algérien est porteur notamment dans le domaine agricole », a-t-il soutenu.

« Vous avez tout à gagner en s’associant avec des opérateurs américains », a dit M. Chelghoum en s’adressant aux opérateurs algériens.

En mars prochain, une mission d’affaires composée d’opérateurs algériens sera organisée par le Conseil d’affaires algéro-américain pour visiter des Etats américains et chercher des partenaires dans le domaine agricole, a indiqué M. Chikhoune.

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Messahel souligne la nécessité pour la Libye d’avoir des institutions « fortes »

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 19:03

ALGER – Le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, a souligné mercredi à Alger la nécessité pour la Libye de se doter d’institutions fortes « pour combattre le terrorisme et le crime organisé ».

Lors d’une rencontre avec la presse nationale, M. Messahel a affirmé que l’urgence pour la Libye « est d’aller vers des institutions fortes à leur tête une armée et un gouvernement d’union nationale pour notamment combattre le terrorisme et le crime organisé », estimant que les Libyens « ont les capacités de reconstruire leur pays ».

A cette occasion, le ministre a réitéré la position algérienne pour le règlement de la crise libyenne basée sur le respect de la souveraineté de la Libye, la non-ingérence dans ses affaires internes et le dialogue interlibyen, affirmant que l’Algérie « jouit de la confiance des différentes parties libyennes en étant à équidistance de toutes ces parties ».

Pour M. Messahel, la solution politique à cette crise « ne doit pas être imposée mais doit émaner des Libyens eux-mêmes dans le cadre d’un dialogue  impliquant toutes les parties libyennes concernées ».

Il a indiqué que l’accord politique du 17 décembre 2015, signé sous l’égide de l’Onu, « a été conclu pour gérer une transition » en prévoyant la mise en place de trois institutions, à savoir la chambre des représentants, le Haut comité d’Etat et le Conseil présidentiel du gouvernement d’union nationale.

« Ce processus onusien tarde à être mis en œuvre et il y a risque de dérives », a-t-il fait remarquer.

Concernant les efforts de l’Union africaine (UA) pour le règlement de la crise libyenne, il a rappelé la mise en place d’un Comité de cinq chefs d’Etat africains pour la gestion de cette crise, ajoutant que l’Algérie avait demandé l’élargissement de ce Comité aux pays voisins.

« Notre demande a été entendue et retenue et le Comité s’est transformé en 5+7 », a-t-il souligné.

Dans le cadre de ces efforts, le Comité chargé de la Libye se réunira vendredi à Brazzaville (Congo) au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA.

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Le président Bouteflika charge Sellal de le représenter au sommet sur la Libye à Brazzaville

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 18:51

ALGER- Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a chargé le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de le représenter aux travaux du sommet du Comité de Haut niveau sur la Libye qui se tiendra vendredi à Brazzaville (République du Congo), indique mercredi un communiqué des services du Premier ministre.

Mandaté par l’Union africaine, le Comité de Haut niveau aura à se pencher sur « l’évolution du dossier libyen et sur les voies et moyens susceptibles de parvenir à une solution rapide et consensuelle à ce conflit », précise-t-on de même source.

Outre les représentants des pays membres du Comité, il réunira, notamment, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays limitrophes de la Libye, ajoute le communiqué.

Le Premier ministre sera accompagné du ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel.

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Plus 8,8 millions mines de l’ère coloniale détruites, fin des opérations de déminage

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 18:27

ALGER- Le nombre de mines datant de l’ère coloniale détruites par l’Armée nationale populaire le long des frontières Est et Ouest du pays s’élèvent à 8.854.849 mines, a indiqué mercredi à Alger un responsable du ministère de la Défense nationale, qui a annoncé la fin des opérations de déminage et de destruction de ces mines.

« L’achèvement de l’opération de déminage couronne plus de 50 années d’efforts continuels et de travail sur le terrain pour l’éradication définitive du fléau des mines de notre pays, ce qui a permis la destruction de 8.854.849 mines », a déclaré le général Boualem Madi, directeur de la communication, de l’information et de l’orientation de l’Etat-Major de l’ANP, dans une allocution au nom du général de Corps d’Armée, Vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-major de l’ANP.

M. Madi, qui intervenait lors d’un point de presse organisé au niveau du Musée Central de l’Armée, a mis aussi l’accent sur l’importance de la réussite de l’opération de déminage et ses résultats positifs aux dimensions humanitaires et de développement.

L’achèvement de l’opération de déminage et de destruction des mines a permis « la livraison aux autorités locales de 62.421,194 ha de terres assainies afin de les exploiter dans le cadre de la relance du développement local dans les zones frontalières », a-t-il indiqué.

« Ces opérations accomplies par des détachements spécialisés du Génie de Combat relevant du Commandement des Forces terrestres, se sont déroulées dans des conditions très difficiles, à commencer par l’effet des conditions météorologiques, la difficulté des reliefs, l’intensité des massifs forestiers ainsi que l’effacement des repères des lignes minées », a-t-il expliqué.

« Les efforts laborieux de l’ANP en termes de destruction des mines témoignent du respect de l’Algérie envers ses engagements internationaux, notamment l’article 5 de la convention d’Ottawa, relatif à l’interdiction de l’emploi, du stockage, de la production et du transport des mines antipersonnel, ce qui a été couronné par l’organisation de la première opération de destruction des stocks de mines antipersonnel, au mois de décembre 2004 au polygone de tirs de Hassi Bahbah

(1ère Région militaire), supervisée par le Président de la République, Chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale », a-t-il poursuivi.

Cette première opération « a été suivie par plusieurs autres opérations de destruction de mines, clôturées lors d’une cérémonie organisée au mois de novembre 2005, sous l’égide du Président de la République, et ce, en présence du corps diplomatique accrédité en Algérie, des observateurs internationaux, des organisations non gouvernementales, ainsi que des représentants de la société civile », a-t-il rappelé.

Le responsable du MDN a affirmé que « l’intérêt particulier qu’accorde le Haut Commandement de l’ANP, à sa tête le général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’Etat-Major de l’ANP, à l’assainissement total de nos frontières des mines, à travers la mobilisation de tous les moyens humains et matériels pour la réussite de ce projet humanitaire

et de développement, atteste du solide lien entre l’Armée et sa Nation et reflète la détermination de l’Algérie et de son Armée nationale populaire à anéantir ce fléau hérité de la période coloniale ».

Ce fléau « a coûté la vie à des citoyens innocents et causé des milliers de victimes tout au long des bandes frontalières Est et Ouest du pays, que ce soit durant la période coloniale ou même après l’Indépendance, et confirme une fois encore le professionnalisme et la compétence caractérisant les unités spécialisées chargés de cette mission délicate », a-t-il ajouté.

De son côté, le colonel Ahcen Ghorabi, chargé du dossier de déminage au niveau du ministère de la Défense nationale a présenté des détails sur le déroulement des opérations de déminage et de destruction des mines dès leur début en 1963 jusqu’à la fin de l’opération en décembre 2016, pour qu’un débat soit ouvert avec l’audience.

Un film documentaire sur les opérations de déminage le long des frontières a également été projeté.

A l’issue, une visite au pavillon réservé aux opérations de déminage, au niveau du Musée Central de l’Armée a été organisée au profil des journalistes.

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La « lutte collective » des pays frontaliers et partenaires de la Libye contre le terrorisme au coeur de l’atelier du CAERT

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 18:19

ALGER- L’importance de la « lutte collective » des pays voisins de la Libye et de l’ensemble de ses partenaires contre le terrorisme et l’extrémisme violent aux frontières, a été soulignée mercredi à Alger lors d’un atelier organisé par le Centre africain d’étude et de recherche sur le terrorisme (CAERT).

A l’occasion de cette rencontre tenue autour du thème: « La situation sécuritaire en Libye et son impact sur la sécurité frontalière des pays du voisinage », le directeur de la prospective, de la programmation et de la planification politique au ministère des Affaires étrangères, Hamid Boukrif, a souligné la nécessité de faire face collectivement au terrorisme et l’extrémisme violent.

« C’est collectivement que nous vaincrons ce fléau et c’est ensemble que nous sécuriserons nos frontaliers pour en faire des espaces de gestion et de coopération entre nos pays et nos peuples », a insisté M. Boukrif.

Il a, à cette occasion, rappelé l’impact de la sécurité en Libye sur les pays voisins et la menace qui pèse sur la sécurité globale, précisant que « le défi est de revivifier l’approche commune de l’unité de l’Etat et de la cohésion du peuple libyen », dans le but de protéger ses acquis et ses aspirations à la paix et au développement.

Le responsable algérien a, par ailleurs, réaffirmé « l’intérêt partagé de conforter le gouvernement actuel de Libye, de soutenir le dialogue inclusif entre toutes les forces libyennes », affirmant que la solution à la crise libyenne ne peut provenir que des Libyens eux mêmes.

M. Boukrif a, en outre, appelé à « user de nos influences modératrices et fraternelles pour faire du cadre de concertation en place, avec l’appui et l’engagement du Représentant spécial du SG des Nations unies et l’implication effective des partenaires réunis »

Il a, en outre, expliqué que l’engagement de l’Algérie dans la résolution de la crise en Libye « se traduira par notre capacité à maintenir notre cohésion face à la menace terroriste, à lutter contre les commanditaires de la division et de la discorde et à oeuvrer ensemble avec les autorités légitimes pour bâtir un grand espace de sécurité et de développement ».

Pour le représentant algérien, la mise en place d’un gouvernement d’entente nationale légitime qui siège à Tripoli et les actes légaux, « participe de l’approche privilégiée par l’Algérie pour conforter l’autorité de l’Etat, renforcer ses institutions et consolider la politique menée en vue de garantir l’unité et l’intégralité du pays, et reconstruire une économie dynamique au service du peuple libyen ».

La solution en Libye doit être « inter-libyenne »

Au cours des deux journées de travaux, les représentants nationaux des points focaux du CAERT et experts africains, vont examiner la situation et l’impact sécuritaire en Libye sur les frontières du voisinage, et la manière pour lutter contre le terrorisme qui représente une menace « transnationale » et ce dans le cadre du renforcement de la sécurité entre les frontières.

Selon le directeur du CAERT, Larry Gbevlo-Lartey Esq, cet atelier qui réunit les pays partageant leurs frontières avec la Libye, « sera axé sur les aspects opérationnels et techniques » en vue de lutter « ensemble » et « efficacement » contre le terrorisme et l’extrémisme violent.

« Toutes les contributions des spécialistes du CAERT vont être soumises pour élaborer des propositions et recommandations qui seront remises aux acteurs politiques pour s’en servir dans la prise des décisions politiques », a-t-il précisé.

De son côté, l’Ambassadeur norvégien en Algérie, Arne Gjermundsen, dont le pays est partenaire du CAERT, a estimé que « la solution à la crise libyenne ne peut provenir que des Libyens eux mêmes », ajoutant que le rôle des pays de l’Europe et voisins est « uniquement de faciliter le dialogue inter-libyen pour arriver à une solution politique à même d’instaurer la paix et le sécurité dans ce pays ».

« La crise libyenne est une préoccupation de tout le monde, non seulement pour les Libyens, pour les pays voisins mais aussi pour l’Europe », a-t-il renchéri.

Il a, à cet effet, réitéré le soutien financier de son pays aux « efforts infatigables des pays voisins et surtout ceux déployés par l’Algérie en tant que facilitateur de dialogue entre les Libyens ».

Convaincu que l’atelier va contribuer dans le bon sens, l’Ambassadeur norvégien a rappelé que « les pays voisins et l’Union africaine jouent un rôle de premier rang en coopération avec les Nations unies ».

Prévu sur deux jours, les travaux de l’atelier se poursuivront à huis-clos. Plusieurs représentants nationaux des points focaux du CAERT prennent part à cet atelier, à savoir  la Libye, l’Algérie, la Tunisie, l’Egypte, le Tchad, le Soudan et le Niger de même qu’un haut responsable d’un service de sécurité des frontières de chacun des Etats membres de l’UA.

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La dignité des ressortissants et réfugiés des pays africains en Algérie est préservée (CRA)

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 18:09

AMMAN- L’Algérie a réaffirmé mercredi que la dignité des ressortissants et réfugiés, des pays africains en particulier, est préservée affirmant qu’elle ne ménageait aucun effort pour leur apporter toute l’aide humanitaire nécessaire.

Dans une déclaration à l’APS en marge de la participation de l’Algérie à la 9e conférence des sociétés de la Croix rouge et Croissant rouge de la MENA se tenant à Amman, le Secrétaire général du Croissant Rouge Algérien (CRA), Bachir Abadeli a souligné « la ferme volonté politique de l’Etat algérien à préserver les valeurs algériennes authentiques, et ses efforts visant à préserver la dignité des ressortissants et réfugiés des pays africains en leur apportant toute l’aide humanitaire nécessaire contrairement à ce que prétendent certaines parties concernant la maltraitance des Africains ».

Le CRA est déterminé « ne ménager aucun effort pour préserver la dignité des réfugiés des pays africains en Algérie » a affirmé M.Abadeli.

L’Algérie est « considérée comme un pays leader en matière de droits de l’Homme, en témoignent les organisations humanitaires qui ont rendu hommage à l’Algérie et au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en lui  décernant la médaille de chevalier de l’Humanité pour ses efforts en matière de défense des droits des réfugiés des pays africains », a-t-il souligné.

Il a cité dans ce contexte le Haut commissariat pour les réfugiés (HCR) qui a salué les efforts consentis par le CRA, et classé les centres d’accueil des réfugiés maliens à Bordj Badji Mokhtar et Timiaouine « parmi les meilleurs centres ».

Rappelant que les immigrés bénéficiaient de 37% des services sanitaires au niveau de l’hôpital de Tamanrasset, le même responsable a indiqué que les cas graves sont évacués vers les hôpitaux d’Alger aux frais de l’Etat algérien.

Par ailleurs, M. Abadeli a présenté l’approche du CRA dans la résolution de certaines situations humanitaires, qui, a-t-il dit, a été saluée par certaines organisations humanitaires, au point que certains pays ont adopté l’approche algérienne dans la résolution des questions des réfugiés dans les pays voisins à travers la création de microprojets permettant à ces derniers de rester dans leur pays et renoncer à l’immigration.

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Le président gambien Adama Barrow attendu jeudi après-midi à Banjul

France24 / Afrique - mer, 25/01/2017 - 17:48
Le président gambien Adama Barrow, toujours en exil à Dakar à la suite de la crise post-électorale qui a touché le pays, est attendu jeudi après-midi à Banjul pour prendre ses fonctions à la tête de l'État.
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Télédiffusion Algérie : mise en service d’une nouvelle station terrienne

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 16:35

Télédiffusion Algérie (TDA) a annoncé, mercredi dans un communiqué, la mise en service d’une nouvelle station terrienne SES4 du Téléport Bouchaoui, à Alger. Ainsi, les radios régionales de la Radio Algérienne et Fil Data APS vont pouvoir basculer vers la nouvelle installation.

Ce basculement, prévu le mardi 31 janvier 2017 à 1 heure du matin, va entrainer, informe TDA, une coupure de toutes les radios régionales de la Radio Algérienne sur le satellite SES4 et Eutelsat ESWA (ex. AB3).

Cette intervention technique n’entrainera aucun changement dans les paramètres techniques de réception des deux satellites SES4 et Eutelsat E5WA (ex. AB3), qui resteront inchangés, précise TDA dans son communiqué.

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APN: reprise des travaux jeudi en séance plénière consacrée aux questions orales

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 16:34

L’Assemblée populaire nationale (APN), reprendra ses travaux jeudi en séance plénière consacrée aux questions orales, a indiqué mercredi un communiqué de l’Assemblée.

Six (6) questions orales sont programmées lors de cette séance: deux (2) questions au ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, deux (2) questions à la ministre de l’Education nationale et deux (2) questions à la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, ajoute le communiqué.

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Des manifestants ferment la route Tizi Ouzou- Alger

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 16:34

Des manifestants ont bloqué la route reliant Tizi Ouzou à Alger, au niveau de Bordj Menaïel, rapporte le site d’information TSA.

« La route nationale RN12 reliant la wilaya de Tizi Ouzou à Alger, a été fermée à la circulation, ce mercredi 25 janvier, en début d’après-midi, par des dizaines de manifestants à hauteur de Bordj Menail, dans la wilaya de Boumerdès. (…) la route a été barricadée à l’aide de pneumatiques en flammes, de pierres, de troncs d’arbres et d’autres objets hétéroclites. Des milliers d’automobilistes qui ont emprunté cet axe routier névralgique pour rallier la capitale ou Tizi Ouzou dans le sens inverse sont restés bloqués. »

L’article détaille les revendications des manifestants  » (…) les manifestants réclamaient de l’État la prise en charge d’un garçon atteint d’une maladie grave et nécessitant son évacuation à l’étranger. De nombreux manifestants auraient également voulu profiter de l’occasion pour dénoncer leur abandon par les autorités suite aux dernières importantes chutes de pluie qui ont occasionné de nombreux désagréments aux habitants. »

Aux environs de 15h, un dispositif de gendarmerie a été déployé sur les lieux pour tenter de rouvrir la route.

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Lancement du projet du nouveau parc d’attractions d’Oran « Habibas Land »

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 16:30

Le projet du nouveau parc d’attractions d’Oran « Habibas Land », prévu dans le site du millenium (Est de la ville), vient d’être lancé, a annoncé mardi le wali, Abdelghani Zaalen, lors d’une rencontre de présentation de cette opération d’investissement.

Cet investissement est crée dans le cadre d’un partenariat public-privé, engageant l’établissement public de gestion du parc d’attractions et de loisirs, un EPIC relevant de la wilaya, et une société chinoise de droit algérien, conformément à la règle 51/49.
Ce projet s’étalera sur une superficie globale d’environ 17 hectares. Il comprend plusieurs infrastructures attractives, de loisirs et de détente avec des jeux en plein air et aquatiques, selon la présentation faite à l’assistance.
Ses initiateurs ont mis en exergue la qualité des équipements répondant aux standards internationaux en matière de technologie et de sécurité.

Des activités scientifiques de loisirs sont prévues dans cet espace de détente qui offrira, entre autres, des prestations diverses comme la restauration, l’hébergement ainsi que d’autres services.
Nécessitant un investissement de près de 7,5 milliards DA, cette opération sera concrétisée en quatre phases, dont la première donnera lieu à l’ouverture d’aires d’attraction, prévue le 5 juillet prochain qui coïncidera avec les festivités du recouvrement de la souveraineté nationale et la fête nationale de la jeunesse.

Les trois autres étapes permettront progressivement la réception d’autres espaces du projet, comportant un parcking de 3.000 places et d’autres tels que les structures destinées aux sports extrêmes et le parc aquatique. La réception totale du projet est prévue vers la fin de l’année 2018.

Ce projet a pour objectif de créer un site attractif multifonctionnel pour la population et de doter la capitale de l’Ouest d’infrastructures modernes visant le renforcement de son statut de ville métropolitaine de la Méditerranée.
La présentation de l’étude préliminaire de ce projet a été suivi d’un débat, en présence des membres de l’exécutif de la wilaya ainsi que des élus qui ont notamment relevé la nécessité d’adapter les plans architecturaux des infrastructures de ce parc au style moderne tout en préservant l’identité nationale et son histoire. Le plan de masse du projet représente les caractéristiques et la forme de l’emblème national.

La wilaya d’Oran enregistre le lancement de plusieurs projets d’investissement dans le domaine des loisirs et de tourisme d’attraction, à l’exemple du futur parc du lac Daya Morsli (Sebkha) et un autre qui sera implanté à Messerghine.

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360 projets d’investissement agricole validés dans la wilaya de Tébessa, depuis juin 2016

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 16:28

Trois cent soixante (360) projets d’investissement dans le domaine agricole ont été validés et deux cent soixante-sept (267) attestations préliminaires de sélection d’investisseurs ont été attribuées dans la wilaya de Tébessa depuis juin 2016, a indiqué lundi le directeur des services agricoles (DSA), M. Makhlouf Harmi.
Le même responsable a affirmé que six cent trente-sept (637) dossiers d’investissement sur mille cent soixante-dix (1.170) dossiers déposés ont été étudiés durant cette même période conformément à la stratégie d’encouragement et d’orientation de l’investissement agricole et qui a donné lieu à la création de cinq (05) périmètres agricole au sud de la wilaya sur une surface avoisinant les 34.000 hectares.

Dans ce sens le DSA a annoncé la réalisation de cinq nouveaux périmètres agricoles dans le cadre de l’extension de la surface d’investissement dans le secteur de l’agriculture pour permettre, a-t-il dit la domiciliation des demandes croissantes en terres agricole pour le besoins de l’investissement.
Les nouveaux périmètres agricoles seront implantés dans les localités de Souguiyas et Btita (commune de Bir El Ater), Boumoussa et El Friche dans la commune de Tlijène et Medila dans la commune de Sath Kentis, a-t-on précisé, faisant état également de l’extension des périmètres Aleb Essadra dans la commune de Negrine et Rgrag Errih (commune de Ferkane).

Des efforts sont en cours pour relancer l’investissement dans le domaine des industries de transformation des produits agricoles notamment dans les régions connues pour leur « fort » rendement agricole, a-t-il déclaré, précisant que des projets de réalisation d’unités de collecte de lait, de transformation de légumes de chambre froide et de stockage étaient en cours d’étude dans le cadre de l’investissement.
Le DSA a fait savoir que la wilaya de Tébessa est appelée à accueillir, à l’avenir, des projets aquacoles au vu de la disponibilité d’eaux salées nécessaires à ce type d’activité.

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Somalie : attentat meurtrier des Shebab dans un hôtel de Mogadiscio

France24 / Afrique - mer, 25/01/2017 - 16:28
Au moins 28 personnes ont été tuées et 43 blessées mercredi dans un double attentat à la voiture piégée contre un hôtel du centre de Mogadiscio, accompagné d'une attaque menée par des combattants shebab armés.
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Tarik Ibn Zyad (Aïn Defla): 40 familles isolées suite à l’effondrement d’un pont

Algérie 360 - mer, 25/01/2017 - 16:10

Les pluies diluviennes qui se sont abattues sur tout le territoire de la wilaya n’ont pas manqué de provoquer de nombreux dégâts. Inondations d’habitations, problèmes d’étanchéité, effondrements de murs, ponts submergés par les oueds en crue parce que mal ou pas curés du tout pendant la saison sèche, avaloirs bouchés parce que pas entretenus, ce qui dénote de graves carences des secteurs concernés par la gestion des réseaux d’évacuation.
Dans la commune de Tarik Ibn Zyad à l’extrême sud-est de la wilaya, c’est une importante agglomération, celle des Bouradjaâ, distante de quelques 6 km du chef-lieu de la commune qui se trouve totalement isolée par l’effondrement d’un pont, emporté par la force des eaux de l’oued qui a donné son nom à la localité.

Mardi matin, il y a eu une tentative de pose d’un pont d’urgence préfabriqué par la société «Batimétal» une tentative qui a échoué parce que les eaux ont élargi le lit de la rivière qui est passé de 10 à 15 mètres de largeur. Au milieu de la journée, des équipes étaient à pied d’œuvre pour tenter de poser des rallonges pour enjamber l’oued en cru.
A El Attaf, c’est un mur qui s’est effondré en plein centre-ville, heureusement aucune victime n’est à signaler mais seulement deux véhicules qui ont été endommagés.

Au sud d’El Abadia, c’est la zaouia de Sidi Ahmed Bencherki qui a été sévèrement inondée par le Chélif en crue ainsi que de larges zones sur les deux rives tout le long de sa traversée d’est en ouest de la wilaya. Certes, ces précipitations importantes qui s’abattent sur tout le territoire de la wilaya laissent présager d’une année agricole florissante avec un taux élevé de remplissage enregistré dans cinq grands barrages et dans la dizaine de retenues collinaires, sans compter l’élévation des niveaux des nappes aquifères qui constituent les importantes réserves pour l’irrigation et l’eau potable.

Cependant, alors que la saison hivernale bat son plein avec ses chutes importantes des températures, des élèves dans certains lycées et collèges grelottent de froid. C’est le cas du lycée de Bordj émir Khaled qui n’est pas chauffé faute de gaz alors que le lycée ouvert depuis deux ans possède toute l’installation mais pas de poste de détente, pourtant compris dans l’enveloppe du marché. Selon les informations dont nous avons pu disposer, l’entrepreneur refuse d’installer ce poste parce que le secteur concerné ne lui a pas réglé des situations financières antérieures, et ainsi les lycées continuent de subir les affres du froid rigoureux qui sévit depuis décembre 2016.

Toujours à Bordj Emir Khaled, au niveau du CEM où existe une demi-pension où prennent leurs déjeuners quelque 200 élèves, les cuisines utilisent toujours les bonbonnes de gaz, ce qui n’est pas sans danger. Les frais d’installation du gaz ne peuvent être couverts par le budget de fonctionnement de l’établissement.
Les élèves du lycée Ahmed-Embarek-Ezendari vivent la même situation parce que selon des parents d’élèves, c’est la chaudière qui est en panne depuis deux ans et que le secteur concerné n’a pas pris en charge le problème.

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