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Diplomacy & Defense Think Tank News

Ensuring No One is Left Behind: A High-Level Dialogue on Migration and Refugees

European Peace Institute / News - Wed, 20/07/2016 - 22:50

On Wednesday, July 20th IPI together with the Quaker UN Office, and the Permanent Missions of Finland, Mexico, and Morocco to the United Nations co-hosted a policy forum event to discuss the links between the SDGs and the upcoming summit that will address large movements of refugees and migrants.

Event Video

This is the first year of the implementation of the 2030 Agenda. The goal of the event was to connect the dots between the 2030 Agenda and the upcoming Summit on September 19th that will address large movements of refugees and migrants.  It will also support a positive narrative towards refugees and migrants and will call for an ambitious multilateral response to “reach the farthest behind first”. Currently we have the largest number of people on the move. What does the 2030 Agenda mean for them?

The spirit of the 2030 Agenda is of universality and inclusion. It aspires to “ensure that all human beings can enjoy prosperous and fulfilling lives.” As such, these new principles also apply to all migrants and refugees. Some of the questions that were discussed are: Can the 2030 Agenda provide a framework to support the needs of refugees and migrants? At the policy level, can the spirit of the 2030 Agenda permeate the global compacts to be adopted in the upcoming Summit on refugees and migrants?”

Introductory Remarks:
H.E. Mr. Kimmo Tiilikainen, Minister of Agriculture and the Environment of Finland
Mr. Peter Sutherland, United Nations Special Representative of the Secretary-General for International Migration
H.E. Mr. Omar Hilale, Permanent Representative of the Kingdom of Morocco and upcoming Co-Chair of the Global Migration Group

Speakers:
H.E. Mr. Miguel Ruiz Cabañas, Deputy Minister of Multilateral Affairs and Human Rights of Mexico
Ms. Karen AbuZayd, Special Adviser on the Summit on Addressing Large Movements of Refugees and Migrants
Ms. Christine Matthews, Deputy Director, United Nations High Commissioner for Refugees – New York Office

Moderator:
Dr. Adam Lupel, Vice-President, International Peace Institute

UN Secretary-General Candidate Susana Malcorra Speaks at IPI

European Peace Institute / News - Wed, 20/07/2016 - 22:30

On Tuesday, July 26th at 8:30am EST, IPI is hosting a Global Leaders Series presentation featuring H.E. Ms. Susana Malcorra, candidate for the position of UN secretary-general.

IPI Live Event Feed

If you can’t see the above video, view it directly on Facebook here (this works even if you don’t have a Facebook account).

At the event, Ms. Malcorra will discuss her experience and how it informs her vision of the future of global politics and the United Nations. She will address questions including how she would shape the job of UN secretary-general and define her priorities in office.

On May 23, 2016, Ms. Malcorra was officially nominated by Argentina for the position of UN secretary-general. She has been Minister of Foreign Relations since November 2015, named by Argentine President Mauricio Macri to his inaugural cabinet. In assuming the role, Ms. Malcorra resigned her position as Chef de Cabinet for UN Secretary-General Ban Ki-moon, a position she had held since March 2012. As Chef de Cabinet, she was also a member of the UN Senior Management Group (SMG), chaired by the UN Secretary-General, which serves as a forum for planning and information sharing in response to emerging challenges and cross-cutting issues.

Prior to this, in March 2008, Secretary-General Ban Ki-moon appointed Ms. Malcorra as Under-Secretary-General for Field Support—a role that provides dedicated support to UN peacekeeping field missions and political field missions. In her role as Under-Secretary-General, Ms. Malcorra served as the leading staff member at UN headquarters, overseeing more than 120,000 military, civilian, and police personnel deployed around the world.

Between 2004 and 2008, Ms. Malcorra served as Chief Operating Officer and Deputy Executive Director of the World Food Programme (WFP). Throughout her tenure, she supervised emergency and humanitarian operations in more than 80 countries, including leading the initial phase of the operational response to the Indian Ocean tsunami in December 2004.

Prior to entering the international civil service, Ms. Malcorra worked for 25 years in the private sector, advancing to leadership positions at IBM and later at Telecom Argentina, where she served as the first female Chief Executive Officer.

Discussion autour de l’ouvrage « La France EST la solution » de Frédéric Salat-Baroux

Fondapol / Général - Wed, 20/07/2016 - 15:06

Discussion autour de l’ouvrage « La France EST la solution » de Frédéric Salat-Baroux Discussion autour de l'ouvrage "La France EST la solution par fondapol

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Beyond Brexit: hacia una mayor cooperación estratégica entre España y el Reino Unido

Real Instituto Elcano - Wed, 20/07/2016 - 12:13
ARI 58/2016 - 20/7/2016
Luis Simón
El ruido mediático sobre las posibles implicaciones de una eventual salida británica de la UE (Brexit) no debe ser un obstáculo para una necesaria reflexión sobre el potencial de la relación bilateral entre España y el Reino Unido.

Albert Bressand et Dominique Reynié – Quelle union de l’énergie après le brexit ?

Fondapol / Général - Wed, 20/07/2016 - 10:44

IDEES & DEBATS/ LE POINT DE VUE d’Albert Bressand et Dominique Reynié Quelle union de l’énergie après le Brexit ? On répète partout que le Brexit invite à repenser l’Europe. Oui, si nous partons des grands enjeux qui conditionnent la vie quotidienne des Européens. Considérons le cas de l’énergie, dont nul ne contestera l’importance. Or, […]

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Zukunft der Türkei: Die Straße gehört jetzt Erdogan

SWP - Wed, 20/07/2016 - 10:38
War der türkische Staatspräsident Recep Tayyip Erdogan in den Militärputsch eingeweiht oder nicht?...

La Turquie d’Erdogan : plus forte à l’intérieur, fragilisée à l’extérieur ?

IRIS - Wed, 20/07/2016 - 10:23

Trente-six ans après le dernier coup d’Etat militaire, la Turquie a vécu une nouvelle expression de ce moment de chaos mêlant et confrontant pouvoir militaire et pouvoir politique.

Malgré la contestation dont fait l’objet la dérive autoritaire du pouvoir de Recep Tayyip Erdogan et son projet d’islamisation de la société, le putsch ourdi par une partie de l’armée n’a pas reçu le soutien escompté (par les militaires factieux) auprès des acteurs de la vie politique, économique et sociale.

Pis, à la différence des épisodes passés, des milliers de civils sont sortis dans les rues, à l’appel express de Recep Tayyip Erdogan, pour faire barrage aux putschistes. Outre la démonstration de force de la puissance du charisme du « nouveau sultan », l’épisode a montré l’attachement populaire à la légitimité démocratique, jugée supérieure par l’écrasante majorité de l’opinion publique (même parmi les opposants de l’AKP). Preuve de la maturation d’un Contrat social fondé sur le principe démocratique, la société civile a rejeté toute supériorité présumée de la légitimité de l’institution militaire.

Gardienne autoproclamée des valeurs de la République kémaliste, l’institution militaire s’est révélée elle-même divisée au point de ne pas basculer en faveur du renversement du régime. Contrairement aux dernières tentatives de putsch (1960, 1971, 1980), ce nouvel épisode s’est soldé par un échec cinglant pour la fraction de l’armée qui s’est rebellée. Cet échec et les réactions internes qu’elles ont suscitées soulignent combien le pays a changé. En 1997, elle avait contraint à la démission le Premier ministre islamiste Necmettin Erbakan, mentor de l’actuel homme fort du pays.

On avait alors parlé de « coup d’Etat postmoderne », même s’il fut suivi d’une dissolution du Refah, le parti islamiste, qui fut d’ailleurs entérinée par la Cour européenne des Droits de l’homme. Les militaires en 2007 lancèrent une mise en garde sur le site de l’état-major pour tenter de bloquer une candidature AKP, le parti islamiste qui avait pris la succession du Refah, à la fonction de président de la République, alors élu par le Parlement. Ce fut un échec. Les électeurs donnèrent dans les urnes une large majorité au parti de M. Erdogan.

L’échec de la dernière tentative de coup d’Etat finit d’affaiblir l’institution militaire dans la Turquie post-kémaliste. L’« ennemi intérieur » prend une forme plus diffuse. Ancien allié privilégié de Recep Tayyip Erdogan, le prédicateur Fethullah Gülen, leader d’une puissante confrérie islamiste, est devenu son principal ennemi politique, ce malgré son exil aux Etats-Unis depuis 1999. Le premier accuse le second d’être à la tête d’un « Etat parallèle » qui cherche à déstabiliser le pays pour mieux précipiter la chute du régime. L’emprise de la confrérie sur nombre de mosquées, d’écoles et même au sein des services publics est réelle. La preuve d’un complot fomenté – avec l’aide des Etats-Unis ? – par Fethullah Gülen reste néanmoins à démontrer …

Si le pouvoir d’Erdogan semble a priori renforcé, la séquence actuelle reflète une réalité plus contrastée. La démocratie turque est plus fragile que jamais, notamment dans son versant juridique et libéral : la concentration du pouvoir dans les mains du pouvoir islamo-conservateur de l’AKP et de son « nouveau sultan » est-elle compatible avec le respect de l’Etat de droit ?

Le coup d’Etat militaire avorté en Turquie a révélé le degré de tension qui traverse le pays comme l’appareil d’Etat. L’épisode a coûté la vie à plus de 300 personnes et a suscité une vague d’arrestations importante dans l’armée, la police, la magistrature et la société civile. La purge drastique qui vient d’être lancée est le signe d’une logique de répression implacable. Le président Recep Tayyip Erdogan sort politiquement renforcé de cette épreuve de force. Le spectre d’une « hyperprésidence » se précise dans un contexte d’instabilité et d’incertitude accru. Un discours martial – sur fond de recrudescence du conflit avec la rébellion kurde et des attentats de l’Etat Islamique – tend à renforcer la dérive présidentialo-autoritaire et nationaliste d’un pouvoir devenu une menace pour l’exercice de certaines libertés, y compris la liberté de la presse.

Les capitales mondiales, en général, et occidentales, en particulier, ont soutenu les institutions démocratiquement élues contre la tentative de putsch. La stabilisation du pilier du flanc sud-est de l’OTAN constitue un enjeu stratégique majeur dans une région frappée par la guerre syrienne, le djihadisme islamiste et la crise des réfugiés. Il n’empêche, les critiques et les prises de distance avec les dérives autoritaires et la vague de répression massive lancée par Erdogan s’expriment officiellement et se font plus précises de Washington à Berlin en passant par Paris. Une prise de distance qui révèle le déficit de confiance à l’égard de l’allié turc …

Dès lors, il revient au président Erdogan de ne pas transformer sa victoire politique sur le front intérieur en défaite diplomatique sur le front international. Sinon, c’est le spectre de l’isolement qui risque de se matérialiser au grand jour…

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