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Chinas Wirtschaft ist im vergangenen Jahr nach offiziellen Angaben um fünf Prozent gewachsen. Das teilte das Pekinger Statistikamt mit. Damit wurde das Wachstumsziel der Regierung von «rund fünf Prozent» erreicht.

Polish patients wait an average of 4.2 months for guaranteed medical care. Angiologists report the longest average wait time at 13.9 months, followed by endocrinologists at 12.1 months and vascular surgeons at 11.6 months.

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Der Testflug der Mega-Rakete Starship vom Donnerstag ist nicht nach Plan verlaufen. Dem US-Raumfahrtunternehmen SpaceX gelang zwar erneut das Wiederauffangen der unteren Raketenstufe, die obere jedoch explodierte über dem Atlantik.

Welchem ehemaligen Superstar an der Schnee-WM die Puste ausgeht. Was zwei wortkarge Weltmeister zu vermelden haben. Und mit wie vielen Toren FCZ-Ikone Blerim Dzemaili die Schweiz zum WM-Titel führt.

Wohnungsnot, Ausziehklauseln, Gewerbe und Nachtleben im Niedergang: Davos ächzt unter dem WEF. Eine Reportage aus dem Bergdorf.

Der Zürcher Familienvater Nathan P. (53) soll einen Auftragskiller auf seine Ex-Partnerin angesetzt haben, so die Anklage. Die Beweise scheinen eindeutig, doch sein Anwalt plädiert auf Freispruch. Blick analysiert die Verteidigungsstrategie.

Bassist Gabriel Spahni verlässt die Bieler Band Pegasus Ende Jahr. Sänger Noah Veraguth bleibt. Im Gespräch mit Blick sprechen die beiden Musiker über die Gründe, die zu diesem folgenschweren Entscheid geführt haben, und sagen, was die Trennung in ihnen bewirkt hat.

Bassist Gabriel Spahni verlässt die Bieler Band Pegasus Ende Jahr. Sänger Noah Verraguth bleibt. Im Gespräch mit Blick sprechen die beiden Musiker über die Gründe, die zu diesem folgenschweren Entscheid geführt haben und was die Trennung in ihnen bewirkt hat.

Ce week-end s’annonce marqué par un épisode hivernal intense, avec de fortes précipitations et des chutes de neige qui affecteront de nombreuses régions du pays. […]

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Verteidigungsministerin Viola Amherd geht in einer schwierigen Phase aus dem Amt. In ihrem Departement häufen sich die Baustellen. Das dürfte Armeechef Thomas Süssli nun noch verstärkt unter Druck setzen.

Markus Sinsel ist der Rennarzt bei den Lauberhorn-Rennen in Wengen. Mit uns spricht er über den üblen Sturz von Kilde vom vergangenen Jahr und wie die Sicherheitskräfte in diesem Jahr aufgestellt sind.

Dans le cadre du 29e tirage de la Tranche Commune Entente (TCE), un don de 190 millions FCFA à été fait à l'Agence Nationale de Transfusion Sanguine (ANTS) pour l'achat d'un véhicule de collecte de sang. La cérémonie de remise a eu lieu à la Loterie Nationale du Bénin, ce jeudi 16 janvier 2025 avec la présence des Directeurs Généraux des Loteries des pays membres du Conseil de l'Entente.

L'Agence Nationale de Transfusion Sanguine (ANTS) du Bénin bénéficie d'une enveloppe de 190 millions FCFA des Loteries des pays membres du Conseil de l'Entente. La remise du chèque a été effectuée par Ibrahim Zarani, Directeur Général de la Loterie Nationale du Burkina Faso, en présence des responsables des loteries et d'une représentante du ministère de la Santé. Agnès Vissoh, représentant le ministre Benjamin Hounkpatin, a salué cette initiative qui renforce les capacités de l'ANTS et s'inscrit dans une démarche de collaboration régionale pour la santé publique.

Gaston Zossou, Directeur Général de la Loterie Nationale du Bénin, a rappelé l'importance vitale de cette aide face à la pénurie de sang dans les hôpitaux.

Ali Idi, Secrétaire Exécutif Adjoint du Conseil de l'Entente, a souligné que ce geste illustre la solidarité des pays membres, combinant à la fois le renforcement de l'intégration régionale et le financement de projets communs dans chaque pays hôte.

Le 29e tirage de la Tranche Commune Entente (TCE) est prévu pour ce vendredi au Palais des Congrès de Cotonou.
M. M.

L'Institut culturel roumain accueil une exposition inédite, réalisée à l'initiative de l'Union des Architectes de Roumanie : « ARCHI-FEMMES. L'Architecture féminine en Roumanie au XXe siècle », qui met en lumière les portraits de sept femmes exceptionnelles qui ont marqué la profession d'architecte pendant le XXe siècle : Virginia Andreescu-Haret, Henrietta Delavrancea-Gibory, Ioana Grigorescu, Rodica Mănciulescu, Margarita Brender i Rubira, Solange d'Herbez de la Tour, Sanda Hanciu-Popa. (…)

- Agenda / Roumanie, Région parisienne

LG Electronics (LG) continue de s’imposer comme un modèle de durabilité, en intégrant l’Indice Mondial de Durabilité Dow Jones (DJSI World) pour la treizième année […]

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Le 16 janvier 2025, le Bénin a marqué l'histoire financière africaine en devenant le premier émetteur souverain de l'année, avec une double transaction d'envergure totalisant 1 milliard de dollars. Cette performance renforce non seulement la réputation du pays en matière de gestion innovante de la dette publique, mais illustre également son attractivité croissante sur les marchés internationaux.

Une émission obligataire sous le signe de l'excellence

Le Bénin a mobilisé 500 millions de dollars grâce à une nouvelle émission obligataire internationale, assortie d'une échéance finale de 16 ans et d'un coupon en euros de 6,48 %, obtenu via une couverture de change intégrale. La durée moyenne de cette émission dépasse de trois ans celle réalisée en février 2024, traduisant la confiance accrue des investisseurs dans la solidité de l'économie béninoise.

L'opération, précédée de trois jours de roadshow intensif auprès de plus de 60 investisseurs internationaux, a connu un véritable engouement. Le livre d'ordres a atteint 3,5 milliards de dollars, soit une souscription sept fois supérieure au montant recherché. Ce fort intérêt a permis de réduire le rendement à l'émission de 75 points de base en une journée, témoignant de la qualité des actifs béninois aux yeux des plus grands gestionnaires mondiaux.

Un partenariat stratégique avec Deutsche Bank

En parallèle, le Bénin a sécurisé un crédit de 500 millions d'euros auprès de Deutsche Bank, avec une maturité de 15 ans et un taux avantageux de 6,0 %. Ce financement bénéficie d'une garantie partielle innovante de 200 millions d'euros accordée par l'Association Internationale de Développement (IDA), une première depuis le lancement de la plateforme de garanties de la Banque Mondiale en juillet 2024.

L'objectif de cette opération est double : racheter une partie de l'Eurobond 2032 pour prolonger la maturité moyenne de la dette publique et réaliser des économies sur le service de la dette. Ces économies seront réinvesties dans des projets conformes au cadre de financement des Objectifs de Développement Durable (ODD), alignés sur les ambitions du Programme d'Actions du Gouvernement (PAG).

Un succès financier et stratégique

Cette double mobilisation consolide la position du Bénin comme un acteur pionnier en Afrique en matière d'ingénierie financière. En étendant la durée moyenne de sa dette et en réduisant ses coûts de financement, le pays se dote d'une plus grande résilience face aux chocs économiques.

Le closing financier des opérations est prévu pour le 23 janvier 2025, tandis que celui du rachat d'Eurobond interviendra le 29 janvier 2025. Ce timing parfaitement orchestré illustre l'efficacité de la stratégie béninoise en matière de gestion de la dette publique.

Une trajectoire exemplaire pour l'avenir

Au-delà des chiffres, ces transactions traduisent une vision claire : celle d'un Bénin résolument tourné vers l'avenir, capable de mobiliser des ressources significatives pour financer des projets structurants. Ce succès témoigne également de la reconnaissance internationale de la gestion rigoureuse et transparente de ses finances publiques.

Avec ces opérations, le Bénin envoie un signal fort : il est prêt à relever les défis économiques mondiaux tout en restant fidèle à ses engagements de développement durable. Un modèle à suivre pour le continent africain.

Source : https://www.nasuba.info/economie/le-benin-ouvre-2025-en-beaute-avec-une-mobilisation-historique-de-1-milliard-de-dollars-sur-les-marches-internationaux/

Un projet agricole de grande envergure, fruit d’une collaboration algéro-italienne, devrait voir le jour dans la commune de Hassi El Gara, au sud de la […]

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Ce vendredi 17 janvier 2025, Cotonou sera le théâtre de la 29ème édition du tirage de la Tranche Commune Entente, un événement majeur pour les amateurs de loto 5/90. Le Palais des Congrès accueillera cette grande fête du jeu de hasard.

Les parieurs des cinq pays membres du Conseil de l'Entente attendent avec impatience ce moment tant espéré. En présence des Directeurs généraux des loteries nationales des États membres, ainsi que des experts du secteur, le tirage sera supervisé par le secrétaire général adjoint du Conseil de l'Entente. Les festivités ont débuté dès lundi, avec des séances de travail qui ont préparé le terrain pour cette grande soirée.

L'événement, diffusé en direct sur la SRTB, offrira aux participants la chance de repartir avec une somme faramineuse de 20 millions FCFA. Mais ce n'est pas tout ! Le tirage s'inscrit dans un cadre de transparence rigoureuse, avec toutes les mesures nécessaires mises en place par le Bénin, pays hôte.

En parallèle, cette édition soutient une noble cause : l'Agence Nationale de Transfusion Sanguine bénéficie d'une généreuse enveloppe de 190 millions FCFA, contribuant ainsi à une action de solidarité d'envergure nationale.

Les habitants de Cotonou, ainsi que les parieurs venus des quatre coins du pays, sont impatients de vivre ce moment unique, qui pourrait transformer plusieurs d'entre eux en millionnaires. Bonne chance à tous les participants et que la chance soit avec eux !
M. M.

L'Agent Judiciaire du Trésor (AJT) a invité une liste de 49 personnes à retirer des pièces les concernant à partir du lundi 20 janvier 2025. Les personnes concernées doivent se rendre à l'annexe de l'Agence Judiciaire du Trésor (AJT) sis à Akpakpa, Cotonou, dans la rue pavée de l'ex SONICOG menant à la Cité Vie Nouvelle.

By External Source
Jan 16 2025 (IPS-Partners)

 
Adenike Oladosu is a leading Nigerian ecofeminist, climate justice leader and researcher. She was appointed as an ECW Global Climate Champion on World Environment Day in June 2024. In December of last year, Adenike was honored by #BBC100Women, selected as one of the BBC’s 100 most influential and inspiring women from around the world. She was also a finalist for the Pritzker Emerging Environmental Genius Award.

Adenike earned a first-class degree in Agricultural Economics. She is one of Africa’s most vocal environmental activists. In 2019, she became a recipient of the Ambassador of Conscience by Amnesty International – Nigeria for her fight for climate justice and human rights. She is a writer both for her blog post and for the international newspaper. Adenike is a two-term Nigerian youth delegate to the United Nations Climate Change Conference since COP25 in Spain and subsequent COPs. She started her pan-African climate justice movement called “I Lead Climate Action Initiative”. Through her initiative, she has empowered more than 30,000 Indigenous women and girls in different communities and mobilized millions of people for climate action as the initiator of the Fridays For Future in Nigeria, and the first African to join the movement in 2018. Adenike has developed a curriculum on climate change and ecofeminism in Africa. She is also pioneering the interconnection between climate change and democracy.

Oladosu holds a residency fellowship at the Panel on Planetary Thinking at Justus Liebig University in Giessen, Germany on using Earth Observation to restore shrinking Planetary Spaces: A Case Study of Lake Chad. She was a past fellow at The New Institute in Hamburg, Germany on black feminism and polycrisis. Oladosu was awarded the International Climate Protection Award by the Alexander von Humboldt Foundation on the protection of Lake Chad as a peace and conflict resolution pathway, achieving protection through mapping and data generation.

ECW: Congratulations on being honored as a #BBC100Women 2024: one of BBC’s 100 most influential and inspiring women from around the world! As ECW’s Global Climate Champion – and a leading advocate on climate, education and gender equality – what are three key messages you want to send to world leaders on the climate-education crisis?

Adenike Oladosu: Number one. Education is one of the most powerful weapons we have to solve the climate crisis.

Number two. Empowerment in education is key to unlocking the potential of innovation.

Number three. Education must be included in the climate finance decision-making process. It is a necessary tool to prevent even more crisis-impacted children from being pushed from the safety and protection of quality learning environments. It will also be key in addressing the growing displacement crisis and can be used as a mechanism to address loss and damage to critical infrastructure.

ECW: At this year’s COP29 in Baku, you joined the ECW delegation to connect the dots between climate action and education action. Why should education be embedded into climate finance decisions to accelerate the ambition of Nationally Determined Contributions, National Adaptation Plans, and other climate actions?

Adenike Oladosu: Education is important because we need to deal with the immediate impacts of the climate crisis Right Here, Right Now. In the most vulnerable countries, education can be used as a tool to prevent forced migration and internal displacement. Think about it this way: climate crises, such as droughts and floods, regularly lead to displacement. This results in more out-of-school children. The number of hours or days lost in school might not be replaceable.

These are all avoidable consequences of climate change, especially if there is financing to respond to those realities. Climate financing could serve as an aid to prevent current and future loss and damage. In terms of education, this includes the loss of valuable infrastructure like the tens of thousands of schools destroyed by the floods in Pakistan, lives lost because sufficient early warning systems are not in place, and the economic losses that prevent communities from building resilient economic systems. If those out-of-school children – or children that lack access to consistent quality education – are brought back to the classroom, we could see amazing impact on all Sustainable Development Goals and the goals outlined in the Paris Agreement. We can also use education as a system to pay back communities for the loss and damage generated by climate change.

Schools are valuable community hubs. Free education and healthy school meals could serve as an incentive to children. Quality education can also foster a learning environment that prepares tomorrow’s leaders with the green skills they need to strive and set the pace for innovation and technology.

Everyone has a solution to give. I urge every country to include education in their Nationally Determined Contributions and National Adaptation Plans. Education in itself is an adaptation strategy. No investment in education is a waste; it is both an adaptation and mitigation measure. Connecting education with climate finance can save lives, build resilience and foster peace. Children – especially those on the frontlines of the world’s most severe humanitarian crises – did not cause the climate crisis, and yet they bear the brunt of its impacts. It is our responsibility to do whatever it takes to keep them in the classroom. Education Cannot Wait and its donors and strategic partners are creating a value proposition to connect education with climate action. Education provides a key entry point to address loss and damage, anticipatory action, disaster risk reduction and resilience building, and is an essential element of our plans to address this devastating crisis.

ECW: In your homeland of Nigeria, the climate crisis is derailing development gains, triggering conflicts and displacing children. In all, 18 million girls and boys are out of school. How is climate change impacting education in Nigeria and the Lake Chad area, and how can education be leveraged as a tool to build climate resilience?

Adenike Oladosu: In Nigeria, 18 million girls and boys are out of school. This is a loss and damage issue directly related to the climate crisis. Throughout the country, and especially in the Lake Chad area, we are faced with the multiple effects of climate change; from slow to rapid events including droughts and floods. When these events occur, millions become victims.

For families who cannot afford a daily meal and earn less than $1 a day, education is not a priority. Their priority is survival. So, girls are pushed into marriage at a young age. They are also tasked with many of the household chores, such as walking long distances to get water. This eventually leads to dropping out of school due to the loss of livelihood and drought respectively. Meanwhile, boys are becoming vulnerable to recruitment into dangerous terrorist groups. They become the perpetrators of violence in their communities rather than the changemakers. If those millions of children out of school are educated, they could become innovators, technicians, educators, and other professionals to add value to their society and become pacesetters. With education, the dreams of the 18 million girls and boys who are out of school could become a reality. They could become agriculturalists, providing climate-smart innovations to tackle hunger and climate change, or public health experts to tackle environmental health issues – even become the president of a country, leading the way in making better decisions that could position citizens and cities towards sustainability. Furthermore, education could also open the space for solving pressing issues so that, one day, we can save Lake Chad from drying out.

Education could help in making the right choices and delivering on the promise of Universal Human Rights. This entails children and adolescents knowing their rights to clean water or preventing them from joining harmful groups. Education is a human right, along with the right to life and liberty, freedom from slavery and torture, freedom of opinion and expression, and the right to work and play an active part in society. Climate justice must also be considered a human right.

ECW: Climate change affects girls differently than boys; with girls more impacted, especially when it comes to their education. What steps would you take to empower girls in our global efforts to save our people and our planet from the catastrophic risks of climate change?

Adenike Oladosu: The most outstanding empowerment for girls is skills acquisition and education. I encourage other girls to have both because it will become useful at every stage of one’s life. It is a lifesaving tool in providing solutions to the world’s biggest problems.

My recent documentary with ZDF, tells the reality of a girl child whose life and future has been impacted by the climate crisis. Providing them with an enabling environment that could support their continuous learning can be both lifesaving and life-transforming. One example is the ability to get water within their reach rather than walking a long distance. This could save time and energy, which could be converted to reading their books. Another example is the educational approach of enlightening the traditional rulers on the best practices that could help value and support the rights of the girl child. Furthermore, education can support the livelihood (a climate-smart livelihood) of the parents so that the girl child is not used as a hawking tool around the streets and to prevent them from being exposed to sexual violence and other threats. We can also provide scholarships and other incentives in return for commitments from girls and their communities to attend school. Additionally, climate finance could help in preventing those crises and offers a quick and effective response, because at displacement camps, girls are vulnerable to human rights abuses and other grave violations.

ECW: We all know that ‘readers are leaders’ and that reading skills are key to every child’s education. What are three books that have most influenced you personally and/or professionally, and why would you recommend them to others?

Adenike Oladosu: Becoming by Michelle Obama, Unbowed: A Memoir by Maathai Wangari, We Should all be Feminists by Chimamanda Ngozi Adichie. These three books have one thing in common: they are deeply and closely related to the entanglement of the women’s vision of the world and how society perceives us. The struggles and the pain of how they evolve to be a great woman. It ties to my life story of where I came from and who I have become. Professionally, it gives me the courage to use my skills, platforms and activism to change the world. And reminds me that I can be what I want to be and break gender biases.

They are all educated women who have risen to affluence and become powerful. I have a story to tell and a solution I can offer to the world in different ways. From politician to activist to writer. They are all changemakers trying to transform the world. If they can do it, I can and so can we. Their story is our story.

 

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Israel is likely to be more than happy to let Europe take a leading role in funding the reconstruction of Gaza.

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