La France s'est engagée à restituer au Bénin 26 œuvres pillées durant la période coloniale. Le projet de loi nº 3221 relatif à la restitution de biens culturels à la République du Bénin et à la République du Sénégal publié sur le site de l'Assemblée nationale en France, renseigne sur les 26 biens culturels.
Cliquer pour lire le projet de loi
1. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.1 – Statue anthropomorphe du roi Ghézo ;
2. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.2 – Statue anthropomorphe du roi Glèlè ;
3. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.3 – Statue anthropomorphe du roi Béhanzin ;
4. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.4 – Porte du palais royal d'Abomey ;
5. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.5 – Porte du palais royal d'Abomey ;
6. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.6 – Porte du palais royal d'Abomey ;
7. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.7 – Porte du palais royal d'Abomey ;
8. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1893.45.8 – Siège royal ;
9. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.1 – Récade (insigne d'autorité) réservée aux soldats masculins du bataillon blu, composé uniquement d'étrangers ;
10. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.2 − Calebasses royales grattées et gravées d'Abomey, prise de guerre dans les palais royaux ;
11. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.3 − Autel portatif aseñ hotagati ;
12. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.4 − Autel portatif aseñ royal ante mortem du roi Béhanzin ;
13. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.5 − Autel portatif aseñ du palais royal incomplet ;
14. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.6 − Autel portatif aseñ du palais royal incomplet ;
15. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.7 − Trône du roi Glèlè ;
16. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.8 – Trône du roi Ghézo (longtemps dit « Trône du roi Béhanzin ») ;
17. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.9 – Autel portatif aseñ hotagati à la panthère, ancêtre des familles royales de Porto-Novo, d'Allada et d'Abomey ;
18. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.10 – Fuseau ;
19. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.11 − Métier à tisser ;
20. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.12 – Pantalon de soldat ;
21. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.13 – Siège tripode kataklè sur lequel le roi posait ses pieds ;
22. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.14 – Tunique ;
23. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.15 – Récade (insigne d'autorité) réservée aux soldats masculins du bataillon blu, composé uniquement d'étrangers ;
24. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.16 – Récade réservée aux soldats masculins du bataillon blu, composé uniquement d'étrangers ;
25. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.17 − Autel portatif aseñ du palais royal incomplet ;
26. Numéro d'inventaire du musée du quai Branly-Jacques Chirac : 71.1895.16.18 – Sac en cuir.
Quelques images des œuvres
Le Président nigérian, Muhammadu Buhari, a déliquatement remonté les bretelles à ses pairs ouest-africains qui créent des troubles dans leurs pays respectifs, par leur volonté de s’accrocher au pouvoir contre vents et marées. Dans le viseur, Alassane Ouattara, Alpha Condé, et bien sûr, Faure Gnassingbé. Alors que la sous-région ouest-africaine est de plus en plus […]
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Die Europäische Union kündigte bei der Weltklimakonferenz in Madrid 2019 ihren Europäischen „Green Deal” an, in dem sie das klare Ziel ausdrückt, Europa bis 2050 zum weltweit ersten klimaneutralen Kontinent zu machen. Bereits in der Vergangenheit hat sich die EU bei Klima- und Nachhaltigkeitsaspekten als global führend angesehen und sich kontinuierlich nach innen wie auch bei internationalen Verhandlungen für Fortschritte eingesetzt. Mit dem „Green Deal” erkennt die EU somit auch an, dass ihr Handeln im Binnenmarkt allein nicht reichen wird, um die Welt für den dringend notwendigen Übergang zu gelebter Nachhaltigkeit auf Kurs zu bringen.
Als global führender Akteur verpflichtet sich die EU, mit gutem Beispiel voranzugehen, und unter anderem Diplomatie, Handels- und Entwicklungskooperation für den Klima- und Umweltschutz zu nutzen sowie Nachhaltigkeitsstandards entlang der Wertschöpfungsketten zu setzen. Diese Absichten sind gut gemeint, und sie bieten Partnerländern sicher vielfache Möglichkeiten, bei der eigenen „grünen Transition” voranzukommen. Aber insbesondere für Entwicklungsländer dürfen potenzielle Herausforderungen und Zielkonflikte nicht übersehen werden.
Die Europäische Union kündigte bei der Weltklimakonferenz in Madrid 2019 ihren Europäischen „Green Deal” an, in dem sie das klare Ziel ausdrückt, Europa bis 2050 zum weltweit ersten klimaneutralen Kontinent zu machen. Bereits in der Vergangenheit hat sich die EU bei Klima- und Nachhaltigkeitsaspekten als global führend angesehen und sich kontinuierlich nach innen wie auch bei internationalen Verhandlungen für Fortschritte eingesetzt. Mit dem „Green Deal” erkennt die EU somit auch an, dass ihr Handeln im Binnenmarkt allein nicht reichen wird, um die Welt für den dringend notwendigen Übergang zu gelebter Nachhaltigkeit auf Kurs zu bringen.
Als global führender Akteur verpflichtet sich die EU, mit gutem Beispiel voranzugehen, und unter anderem Diplomatie, Handels- und Entwicklungskooperation für den Klima- und Umweltschutz zu nutzen sowie Nachhaltigkeitsstandards entlang der Wertschöpfungsketten zu setzen. Diese Absichten sind gut gemeint, und sie bieten Partnerländern sicher vielfache Möglichkeiten, bei der eigenen „grünen Transition” voranzukommen. Aber insbesondere für Entwicklungsländer dürfen potenzielle Herausforderungen und Zielkonflikte nicht übersehen werden.
Die Europäische Union kündigte bei der Weltklimakonferenz in Madrid 2019 ihren Europäischen „Green Deal” an, in dem sie das klare Ziel ausdrückt, Europa bis 2050 zum weltweit ersten klimaneutralen Kontinent zu machen. Bereits in der Vergangenheit hat sich die EU bei Klima- und Nachhaltigkeitsaspekten als global führend angesehen und sich kontinuierlich nach innen wie auch bei internationalen Verhandlungen für Fortschritte eingesetzt. Mit dem „Green Deal” erkennt die EU somit auch an, dass ihr Handeln im Binnenmarkt allein nicht reichen wird, um die Welt für den dringend notwendigen Übergang zu gelebter Nachhaltigkeit auf Kurs zu bringen.
Als global führender Akteur verpflichtet sich die EU, mit gutem Beispiel voranzugehen, und unter anderem Diplomatie, Handels- und Entwicklungskooperation für den Klima- und Umweltschutz zu nutzen sowie Nachhaltigkeitsstandards entlang der Wertschöpfungsketten zu setzen. Diese Absichten sind gut gemeint, und sie bieten Partnerländern sicher vielfache Möglichkeiten, bei der eigenen „grünen Transition” voranzukommen. Aber insbesondere für Entwicklungsländer dürfen potenzielle Herausforderungen und Zielkonflikte nicht übersehen werden.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, s’est exprimé, ce mardi 8 septembre, sur la baisse des contaminations au coronavirus (Covid-19) qu’a connu l’Algérie depuis quelques semaines. Dans une déclaration à la presse lors de la signature du protocole sanitaire pour le référendum sur la révision constitutionnelle, […]
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En vue d'assurer la continuité des activités pédagogiques dans le contexte actuel de crise sanitaire du Coronavirus, le ministère des enseignements maternel et primaire (MEMP) a bénéficié d'un don de l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ICESCO).
Le don offert grâce à l'appui de financier de la fondation MISK est composé d'un ordinateur portatif et de 322 Smartphones. D'une valeur de 23,6 millions FCFA, il vise à faciliter l'enregistrement et la diffusion des cours en ligne au profit de 175 écoles primaires publiques des zones défavorisées.
Selon le représentant du secrétaire exécutif de l'ICESCO-Bénin, Soulémana Yessoussou, rapporté par La Nation, ce don s'explique par le fait que le Bénin est membre de cette organisation islamique depuis 1987. Depuis lors, le pays dirigé par le président Patrice Talon a participé à toutes les activités de l'ICESCO. Ce qui lui permet de bénéficier du Programme d'appui à ses Etats membres afin de soutenir leurs efforts face à la crise sanitaire liée au Covid-19 dans la formation et l'apprentissage des écoliers.
Après avoir exprimé ses remerciements à ICESCO et à la Fondation MISK, le directeur de cabinet du ministère des enseignements maternel et primaire, Avodagbé Dèwanou a souligné que ce geste vient fouetter les actions du gouvernement dans le cadre de la promotion de l'enregistrement et de la diffusion des cours en ligne en vue de réduire la propagation du Covid-19. Il garantit également le droit à l'éducation en ces temps de crise sanitaire, a-t-il ajouté.
Pour la secrétaire générale de la Commission nationale béninoise pour l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation (CNBU/UNESCO), Adélaïde Fassinou Allagbada, le don offert est le reflet de la solidarité que l'organisation a voulu témoigner au Bénin en ces temps de Coronavirus.
Suivant la clé de répartition, les écoles disposant entre 4 et 6 cours recevront deux Smartphones et celles disposant entre 2 et 3 classes en prendront un.
F. A. A.
L’insécurité est toujours d’actualité au Togo. Les braquages ont toujours lieu et le dernier en date s’est déroulé ce 7 septembre 2020. Le bilan fait état de plusieurs millions emportés par les hors-la-loi. C’est dans la capitale togolaise que s’est déroulé le braquage, et plus précisément aux encablures de l’hôtel Todman, le lundi 7 septembre […]
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VIENNA, 8 September 2020 – International co-operation and multilateral approaches are needed to maintain resilience and stability of the cyber-ICT environment, concluded participants of the high-level conference of the OSCE Albanian Chairmanship that ended today in Vienna.
Agron Tare, Deputy Minister for Europe and Foreign Affairs of Albania said that securing the cyber ecosystem requires “engagement, collaboration and co-ordination amongst all relevant stakeholders to preserve a functioning and stable ICT environment.”
Deputy Minister Tare also stressed the role the OSCE plays in regional efforts to develop new ideas on establishing a stable cyber/ICT environment and putting those ideas into practice, thus contributing to global efforts.
“The OSCE – through its sixteen existing confidence-building measures - has provided us with a platform to build trust and capacities, enhance co-operation and reduce tensions that may stem from the use of ICTs,” Tare said, noting that it is important to make them work for all OSCE participating States.
Referring to the OSCE Informal Working Group, which set an example for how to drive co-operation forward in the field of cyber/ICT security, the Deputy Minister noted its flagship “Adopt-a-CBM” initiative, inaugurated in 2018 by the Hungarian Chair of the Informal Working Group established by Permanent Council Decision 1039. He noted that the initiative is “the most promising way ahead regarding the implementation of the confidence-building measures.”
Péter Sztáray, Minister of State for Security Policy, Ministry of Foreign Affairs and Trade of Hungary, said that the pandemic added a new threat to existing global challenges and, more than anything showed that all countries rely heavily on cyber/ICT technologies to maintain daily business, enable most critical infrastructure systems and drive economic and social growth. “In the future there will be an even heavier reliance on digital infrastructure. That is why international co-operation, a multilateral approach on both global and regional level is needed more than ever,” Sztáray said.
More than 200 high-level representatives from OSCE participating States, Partners for Co-operation, the United Nations, and other international organizations, academia and civil society participated in the conference, which took place in person at the Hofburg conference centre in Vienna and via videoconferencing.