Elmondta, hogy a tanácskozást, az első képsorok nyilvános bemutatását követően, zárt és védett videorendszerben folytatják. Közölte, hogy a közép-európai idő szerint várhatóan délután négykor kezdődő videokonferencia a moszkvai várakozások szerint alapos lesz és sokáig eltart.
Peszkov szerint a két elnök közvetlenül fog beszélni egymással. A szóvivő nem tudta megmondani, hogy amerikai oldalon ki lesz még jelen Biden mellett. Elmondta, hogy Putyin minden komolyabb találkozó előtt megbeszélést folytat az illetékes miniszterekkel, mindazokkal, “akiket a kétoldalú kapcsolataink alakítóinak nevezünk”.
A szóvivő a tárgyalás várható témái között nevezte meg az Ukrajna körül kialakult feszültséget, a NATO infrastruktúrájának közeledését Oroszország határai felé, valamint Putyin biztonsági garanciákról szóló kezdeményezését, amely kizárná az észak-atlanti szövetség további keleti bővítését.
Peszkov hangsúlyozta, hogy a biztonsági garanciák nem egyoldalúak, hanem csakis kölcsönösek lehetnek. Mint mondta, a feleknek meg kell vitatniuk, hogyan hajtják végre a genfi orosz-amerikai csúcson elért megállapodásokat. Megfogalmazása szerint a kétoldalú kapcsolatok “továbbra is meglehetősen siralmas állapotban vannak”.
Ígéretet tett arra, hogy a Kreml sajtószolgálata tájékoztatni fog a tárgyalások eredményéről. Nemmel válaszolt arra a kérdésre, hogy Putyin várhatóan tesz-e nyilatkozatot a találkozó után.
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Le processus de recouvrement des fonds pillés et détournés vers l’étranger devient l’une des préoccupations de l’exécutif actuel. Tout en se lançant dans une nouvelle démarche à l’échelle arabe, l’Algérie explique sa stratégie en la matière.
Prenant part à la 37e session du Conseil des ministres arabes de la Justice qu’il a présidé, le ministre de la Justice Abderrachid Tabi a dévoilé la stratégie de l’Algérie dans la récupération des fonds détournés vers l’étranger.
D’emblée, le garde des Sceaux indique que l’Algérie avait proposé au Conseil « l’élaboration d’un protocole arabe de coopération afin de récupérer les fonds détournés à l’étranger, qui viendra compléter la Convention arabe contre la corruption ».
Lors de son allocution, le ministre algérien est revenu sur la stratégie de l’Algérie dans la récupération de l’argent issu de la corruption transféré à l’étranger. En effet, il a expliqué « que l’État algérien œuvrait à récupérer ses fonds pillés conformément à « une démarche globale approuvée par le Président de la République ».
Cette dernière nécessite, selon lui, « l’intensification de la coopération internationale et arabe ». Dans ce sens, il rappelle le parcours que l’Algérie a connu au cours des deux dernières années.
« Les efforts de l’Algérie dans la lutte contre la corruption »Ainsi, il indique que ce processus « a commencé par l’élection d’Abdelmadjid Tebboune président de la République en décembre 2019, qui a lancé plusieurs réformes pour l’édification de l’Algérie nouvelle, puis l’amendement constitutionnel adopté par le peuple lors du référendum du 1er novembre 2020 ».
Concernant la lutte contre la corruption, l’intervenant a mis l’accent sur les efforts de l’Algérie dans la lutte contre ce phénomène. Entre autres démarches, il cite « la mise en place d’une Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption »
Cette autorité, explique encore le ministre de la Justice « dispose de larges prérogatives dans ce domaine, dont la mise en place d’une stratégie nationale de transparence et de probité ».
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Son procès s’est ouvert hier à Paris. Devant la cour d’assises spéciale, cet Algérien quadragénaire avait foncé, en 2017, sur des militaires français à Levallois blessant six d’entre eux, dont deux grièvement, avant de prendre la fuite. Aujourd’hui sur un fauteuil roulant, l’accusé est jugé pour « tentative d’assassinats sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste ».
L’algérien qui nie toujours avoir prémédité cet attentat, souligne que son problème de santé était à l’origine de cet accident. En effet, lors de son procès il indique d’emblée que qu’il était venu en France en 2009 « pour se soigner » et non pour « faire des problèmes ».
Une thèse qui ne tient pas route !Campant sur sa position, le mis en cause nie en bloc toutes les accusations qui lui sont adressés. Il explique alors que c’était un accident. « Qu’il avait perdu le contrôle de sa voiture en raison d’un malaise », selon le média français Ouest France.
Etalant son dossier médicale, l’Algérien explique qu’en 2001, un cavernome cérébral (malformation de vaisseaux sanguins) a été détectée par les médecins. Faute de soins en Algérie, le mis en cause se voit alors contraint d’aller en Europe.
Vivant quelques années dans la précarité due essentiellement à sa maladie, il trouve enfin un emploi comme chauffeur VTC en 2017.
Un attentat « soigneusement » préparéLa thèse de l’accident n’a pas convaincu la chambre d’accusation. Cette dernière met en avant les résultats des expertises médicales ainsi que les témoignages des victimes qui, selon la même source, ont évoqué une « accélération soudaine du véhicule qui s’est déporté » pour percuter les militaires avant de prendre la fuite en insistant sur le « regard déterminé » du conducteur.
Blessé au niveau de sa colonne vertébrale lors de son arrestation, le ressortissant algérien est depuis en fauteuil roulant trainant avec lui un lourd dossier pénal. Pour le parquet antiterroriste « l’attaque à la voiture bélier étant un mode opératoire d’attentat préconisé par l’EI ».
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