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24 Heures au Bénin

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Updated: 18 hours 16 min ago

Un faux magistrat devant le procureur ce mardi

Sun, 09/05/2021 - 10:45

Un homme a été arrêté par la police vendredi 03 septembre 2021 pour usurpation de titre. Il sera présenté au procureur mardi 07 septembre.

Selon Le Potentiel, un marié a loué la salle de réception d'un restaurant pour célébrer son mariage. Il reste devoir une somme de 200.000 FCFA. Alors, il a sollicité un ami pour se rendre dans l'établissement où le mariage a été célébré.
Une fois sur les lieux, l'ami du marié s'est fait passer pour un magistrat menaçant tous les agents. Il avait sur lui une menotte.
Contacté par ses agents, le promoteur a fait appel aux policiers. Le magistrat en question a été arrêté et conduit à la Brigade criminelle à Agblangandan. La même source informe que le faux magistrat serait un pasteur. Il sera présenté au procureur de la République mardi prochain.

A.A.A

Categories: Afrique

Se vacciner après une infection à la Covid-19 !

Sat, 09/04/2021 - 22:51

La vaccination est actuellement l'une des solutions pour prévenir les formes graves de la maladie du Covid-19. La vaccination après une infection à la Covid-19 est-elle recommandée ? Lisez cet extrait de réponse publié sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé du gouvernement français.

Faut-il se faire vacciner si on a eu le Covid-19 ?

Conformément à l'avis de la Haute autorité de Santé du 11 février 2021, les personnes ayant déjà eu la Covid-19 peuvent se voir proposer l'administration d'une seule dose de vaccin. Ceci s'explique par le fait que les personnes ayant déjà été infectées conservent une mémoire immunitaire. Cette dose unique de vaccin joue ainsi un rôle de « rappel » après l'infection.

Au moment de l'entretien médical préalable à la première injection, la personne est invitée à préciser si elle a été infectée et, le cas échéant, à fournir au professionnel de santé le document l'attestant. L'entretien médical permet de déterminer si une deuxième dose reste recommandée.

Par ailleurs, depuis le 21 juin, des millions de tests sérologiques rapides (TROD sérologiques) sont proposés de façon systématique dans les centres de vaccination et les pharmacies de métropole. Ces tests ont pour objectif de détecter l'éventuelle présence d'anticorps due à une infection antérieure et ainsi de permettre aux personnes ayant un antécédent d'infection mais ne disposant pas de preuve de celle-ci de ne recevoir qu'une seule dose de vaccin.

De plus, les personnes qui ont reçu une première dose de vaccin et qui présentent une infection par le SARS-CoV-2 avec un test PCR, antigénique ou de sérologie positif dans les jours qui suivent cette première injection ne doivent pas recevoir la seconde dose dans les délais habituels, mais dans un délai de 2 à 6 mois après l'infection.

Dans tous les cas et après consultation des autorités scientifiques, il est nécessaire d'attendre au moins 2 mois après la fin des symptômes avant de procéder à la vaccination.

Categories: Afrique

Rufino d'Almeida échange avec les associations des handicapés

Sat, 09/04/2021 - 19:29

Le Maire Rufino d'Almeida a reçu vendredi 03 septembre 2021 des responsables d'associations des personnes handicapées de Bohicon.

Les responsables d'associations des personnes handicapées de Bohicon ont soumis leurs doléances au maire Rufino d'Almeida. La plupart des doléances ont été déjà prises en compte par le maire dans son programme d'actions.La séance a pris fin sur une note de satisfaction. Des représentants de plusieurs structures d'accompagnement ont également pris part aux échanges.

A.A.A

Categories: Afrique

Rufino d'Almeida réceptionne des infrastructures modernes

Sat, 09/04/2021 - 18:23

Le maire Rufino d'Almeida a réceptionné jeudi 02 septembre 2021 des infrastructures modernes construites à Bohicon.

Le marché central de Bohicon dispose désormais d'un bloc de logettes. L'infrastructure a été réceptionnée par le maire Rufino d'Almeida. Il s'est aussi rendu au Centre de santé de Sèmè. Il s'agit d'un centre de mise en quarantaine des personnes testées positives au Covid-19. Nouvellement construit, le centre est doté d'une trentaine de lits d'hospitalisation.
Le maire s'est assuré de la prise en compte par l'entrepreneur des observations faites lors de la mise en service de la salle de mise en quarantaine des cas de Covid-19.

A.A.A

Categories: Afrique

Louis Vlavonou présente ses condoléances à la famille Wadagni

Sat, 09/04/2021 - 18:20

Nestor Wadagni, père du ministre d'Etat béninois chargé de l'Economie et des Finances est décédé vendredi 03 septembre 2021. À travers un message publié sur sa page facebook, le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou présente ses condoléances à la famille éplorée.

« J''apprends avec une forte émotion la disparition de Dr Wadagni Nestor, Vice-président du Conseil Economique et Social du Bénin. Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancé », a écrit Louis Vlavonou. Il a exprimé sa sympathie et sa profonde compassion au ministre Romuald Wadagni, digne fils de l'illustre disparu.

Le président de l'Assemblée nationale a présenté ses « sincères condoléances aux familles éplorées et à l'ensemble des militants du parti Union Progressiste, notre formation politique commune ».

« Puisse Dieu le Père Céleste lui faire une place de choix dans sa sainte demeure ! » prie-t-il.

A.A.A

Categories: Afrique

Rufino d'Almeida reçoit le Bureau de développement Afrik'Alabama

Sat, 09/04/2021 - 17:22

Le Maire Rufino d'Almeida a reçu, jeudi 02 septembre 2021, à l'hôtel de ville une délégation du Bureau de développement Afrik'Alabama (BuDAL GIE). Les discussions ont porté sur la prochaine coopération avec la Mairie de Bohicon.

Conduite par la Présidente du Conseil d'Administration Mme Anick Santos, la délégation du BuDAL GIE a échangé avec Rufino d'Almeida sur les perspectives de coopération. La Mairie de Bohicon et l'Organisation envisagent un partenariat dans les domaines de la culture, du tourisme et du commerce et autres.

A.A.A

Categories: Afrique

LE PASSÉ, LE PRÉSENT ET L'AVENIR DU CORONAVIRUS

Sat, 09/04/2021 - 16:53

Le SARS-COV-2 va en réalité, dans trois à quatre ans, devenir un virus banal. Certains auront survécu parce qu'ils auront été prudents, d'autres seront morts parce qu'ils auront été idiots.

Toi qui me lis, si tu as encore des doutes, lis la suite si le cœur t'en dit.

Il y a quatre raisons qui préfigurent la disparition de la pandémie à moyen terme.

La première est que l'hôte (l'humanité) va s'habituer à son agresseur et la cohabitation commencera entre le SARS-CoV-2 et l'homme. C'en est ainsi de tous les virus. C'est ce qui s'est passé en 1890 avec la fameuse grippe russe. Selon des études phylogénétiques, cette pandémie qui serait certainement due au Coronavirus humain OC43 de code HCoV-OC43, s'était estompée après 6 ans de ravage.

La seconde raison est que la virulence du virus peut baisser naturellement et le COVID-19 deviendra une sorte de grippe banale, nécessitant peut-être une vaccination saisonnière. C'est une des théories qui permettent de présumer que le variant delta n'est pas si terrible qu'on veut nous le faire croire.

La troisième raison est naturellement la vaccination qui augmente l'immunité de l'hôte, l'homme, et fait reculer la pandémie du fait de la loi des grands nombres. Plus on est nombreux à être vaccinés, plus on barre la route au virus. Les défenses immunitaires aquises empêcheront le virus de sauter facilement d'un humain à un autre.
C'est comme si des gardes tentent de bloquer un passage. Plus il y aura de passages bloqués, moins le virus pourra passer d'une personne à une autre. C'est pour cela qu'il faut être nombreux à se faire vacciner, pour être nombreux à le bloquer.

La quatrième raison, hors catégorie, pour se faire vacciner c'est que l'humanité, ayant déjà vu d'autres, survivra de toute manière à cette pandémie. C'est à nous de savoir, si nous voulons fêter la fin officielle de la pandémie COVID19 sur terre ou sous terre.

Le seul des mobiles qui dépend de nous c'est la vaccination. L'Union européenne vient de dépasser les 70% de vaccination des deux doses, et passe à une troisième phase pour certains. Pendant ce temps, des ennemies de l'Afrique distillent plein de théories antivax. L'émotion disait Senghor est nègre : ils surfent là-dessus, et nous tombons dans leurs panneaux.

En réalité les trois premiers mobiles énoncés vont cohabiter, et seront renforcés par les barrières physiques que sont les gestes barrières que nous devrons certainement adopter pour deux trois ans encore : masque, lavage des mains, distanciation sociale, mouchage sécurisée (mouchoir ou coude).

Pour ne pas être laissé en rade et être terrassé par un virus qui va, dans le temps, s'atténuer d'une façon ou d'une autre, nous devons nous faire vacciner afin d'avoir les trois cordes à notre arcs. Nous ne sommes pas en 1890. Nous avons les vaccins en plus des deux mobiles scientifiquement avérés : usons en.

En attendant, chers amis, faites contre mauvaise fortune bon cœur : faites-vous vacciner.

Se faire vacciner, c'est aussi éviter le mouroir d'Allada. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est la réalité vécue quotidiennement et relayée par, ministres, députés, directeur des hôpitaux, professeurs d'université, et acteurs de la société civile qui, dans leurs communications hurlent à tue-tête :Allada est surbooké ; nous ne pourrons pas nous occuper de vous ; nous n'aurons plus de moyens ; nous n'avons plus d'oxygène…

Le fait réel, est que les gens meurent à Allada et en dehors comme des mouches, et ce dans toutes les couches sociales. Il faut certainement multiplier par des multiples de 10 leurs statistiques de malades et de décès pour s'approcher de la réalité.

Le pire à venir est, et j'en suis persuadé, que si nous continuons de bouder les vaccins au point de devoir en jeter après la péremption, lorsque l'UE aura atteint 80 à 90% de population vaccinée, la production de vaccins baissera, faute aussi de financement, malgré l'initiative COVAX.

Alors chers amis, au lieu de rester là à discutailler sur des théories complotistes à la noix, en toute amitié, courez vous faire vacciner. Ma démarche peu paraître égocentrique mais je suis convaincu qu'elle est aussi utile pour votre vie.

Ismaël Kaffo

Categories: Afrique

Faux ! Nestor Wadagni n'est pas mort du Covid-19

Sat, 09/04/2021 - 12:37

Nestor Wadagni n'est pas décédé de la Covid19. Il était admis au Centre Hospitalier Universitaire de Cotonou (CNHU).. C'est au cours de son évacuation sanitaire qu'il a rendu l'âme. Il n'était pas malade du Covid19

Categories: Afrique

19 colis de chanvre indien saisi, 1 individu arrêté

Sat, 09/04/2021 - 11:36

Les éléments du commissariat frontalier de Ouaké ont arrêté au petit matin du vendredi 03 septembre 2021, un individu pour trafic de chanvre indien.

L'individu a été interpellé par une équipe de patrouille alors qu'il transportait sur une motocyclette un sac suspect et un passager de Kémérida (Togo) en direction de Kassoua (Bénin). Le passager a sauté de la moto pour s'enfuir par la brousse. La fouille du sac a permis de découvrir 19 colis de chanvre indien soigneusement emballés. Une enquête est ouverte.

A.A.A

Categories: Afrique

Romuald Wadagni a perdu son père

Sat, 09/04/2021 - 11:00

Deuil dans la famille Wadagni. Le père du ministre d'État chargé de l'Economie et des Finances est décédé ce vendredi 03 septembre 2021 à Cotonou.

Le ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances a perdu son père, Nestor Wadagni. Le décès est survenu vendredi 3 septembre 2021 au Cnhu de Cotonou des suite de Covid-19.
Nestor Wadagni est le suppléant du député Dakpè Sossou à l'Assemblée nationale et vice-président du Conseil Économique et Social.
Il fut Directeur de cabinet de Bruno Amoussou, ministre d'Etat chargé du plan, de la prospective et du développement, dans le gouvernement de Kérékou.
Le père de Romuald Wadagni a obtenu récemment son diplôme de docteur en Statistiques-Probabilités de l'Institut de Mathématique et de Sciences Physiques (IMSP) de Dangbo.
Paix à son âme !

A.A.A

Le parcours de Nestor Wadagni

Nestor Wadagni est
Diplômé de l'École Nationale de la statistique économique de Paris (ENSAE-Paris). Il a travaillé à la Banque Centrale des État de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) d'octobre 1993 à décembre 2009. Dr. Nestor Wadagni y a occupé successivement le poste de Directeur Adjoint des Études, Directeur de la recherche et conseiller à la stabilité financière.
Ancien Directeur de Cabinet du ministre d'État Bruno Amoussou, il a aussi occupé le poste de Directeur des finances et beaucoup d'autres postes au ministère du plan comme, Directeur des études et de la planification, Directeur du plan d'Etat, Directeur du Centre National de Documentation et d'informatique. Il est depuis 2019, Vice-Président du Conseil Economique et Social (CES).
Nestor Wadagni est membre du parti Union Progressiste (UP), présidé par le patriarche Bruno Amoussou. Il est originaire de Lokossa dans le département du Mono.

Categories: Afrique

Voltaire et le Nègre en débat

Sat, 09/04/2021 - 09:21

(Par Roger Gbégnonvi)

​Dans le quotidien allemand, Der Spiegel, du 1er septembre 2021, l'information vous prend littéralement à la gorge : « 70 ans après leur exécution pour le viol d'une femme blanche, le gouverneur de l'Etat de Virginie (sud des Etats-Unis), Ralph Northam, a gracié à titre posthume sept jeunes Afro-Américains… Un moyen de compenser le fait que la condamnation à mort était motivée par des considérations raciales et ne résultait pas d'une procédure équitable, a expliqué l'homme politique démocrate mardi [31 août 2021]. » Les exécutés avaient entre 18 et 21 ans ; un seul avait 37 ans. Exécutés graciés à titre posthume.
​Vous relisez l'information. Et des choses vous traversent l'esprit. En désordre. Portées par une colère insensée puisque plus personne ne peut remonter le temps, juste un peu avant il y a 70 ans, remonter le temps pour alerter l'opinion internationale afin d'obtenir qu'un jury exclusivement composé de Blancs n'envoie pas trop facilement à la mort sept Noirs sur une accusation gravissime dont la véracité n'est peut-être pas solidement établie. Et il vous souvient que, certes contraints, les Noirs ont contribué à la prospérité des Etats-Unis. Mais ce fut à la manière des vaches et des chevaux dont aucun rapport circonstancié ne mentionne le travail pour la prospérité d'un pays. Or les Noirs aux Etats-Unis valaient gibier : on en tuait pour se désennuyer. Le 2ème amendement à la constitution en 1791 autorisa les milices et « garantit à tout citoyen américain le droit de porter des armes. » Pour abattre qui ? Aujourd'hui, libres et citoyens à part entière (?), les Noirs Américains ne se sentent pas concernés par le 2ème amendement. Il leur apparaît contre-nature d'user d'une loi qui facilitait et légalisait leur assassinat au temps où ils étaient esclaves. On les comprend.
​Et il vous souvient que Voltaire a écrit Le nègre de Surinam, texte dans lequel il a dénoncé l'atrocité de l'esclavage : « Oui, monsieur, dit le nègre ; c'est l'usage… Quand nous travaillons aux sucreries et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe ; je me suis trouvé dans ces deux cas : c'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. » Voltaire avait atteint et abattu l'immonde esclavage. C'est justement pourquoi, fin XVIIIème siècle et début XIXème siècle, les opposants à l'abolition de l'esclavage voulurent trouver en lui un allié de choix en tentant de ternir sa mémoire, son œuvre et son humanisme. Selon eux, Voltaire « avait pris une action de cinq mille livres sur un bâtiment négrier armé à Nantes par M. Michaud ». Le philosophe anti-esclavagiste aurait donc pris délibérément sa part des usufruits de l'esclavage !
​A supposer un seul instant que ce fût vrai, Voltaire aurait eu á se reprocher d'avoir manqué à l'impératif catégorique d'Emmanuel Kant, son collègue allemand des Lumières. Mais avant Kant et Voltaire, c'est le Pape Nicolas V qui, au XVème siècle, donna au roi Alfonso du Portugal « la libre et ample faculté d'envahir, de chercher, capturer, déporter et soumettre tous les Sarrasins [= les Noirs] et autres ennemis du Christ… et de réduire leur personne à l'esclavage perpétuel » (Bulle Romanus Pontifex). C'est le dominicain Las Casas qui, au XVIème siècle, eut pitié des Amérindiens qu'on décimait à la tâche et obtint qu'on leur substituât des Nègres, à ses yeux plus aptes à subir l'horreur de l'esclavage. On le fit évêque. A Ouidah cependant, le Vodun régnant, les uns vendaient les autres. Après Kant et Voltaire, c'est le Pape Pie XII qui, en 1944, ne voulut pas de soldats noirs à Rome lors à la libération par les troupes alliées. Et le 25 mai 2020, parents et amis ne purent que pleurer devant le corps sans vie de George Floyd, étouffé de sang-froid à Minneapolis parce qu'il était un Noir.
​L'intolérable, c'est d'accepter l'existence de l'intolérable. Refuser l'intolérable, c'est, à chaque instant, essayer de « faire quelque chose pour le bonheur ». Le bonheur de tous.

Categories: Afrique

Abiola Katchon signe avec le Club Salitas du Burkina Faso

Sat, 09/04/2021 - 09:08

Abiola Kachon va évoluer cette saison dans le championnat Burkinabé. En fin de contrat avec les Dragons de l'Ouémé, l'international Béninois (19 ans )vient de s'engager pour deux ans avec le club burkinabé de Salitas.
Abiola Katchon gardien de but des Ecureuils Junior est souvent cité comme parmi les gardiens les plus prometteurs du pays.

Categories: Afrique

Amazon Web Services lance son programme au Sénégal, au Rwanda et en RDC

Sat, 09/04/2021 - 06:00

Le leader mondial des plateformes de cloud computing, Amazon Web Services (AWS) lance pour la première fois au Sénégal, au Rwanda et en RDC le programme AWS re/Start, une formation de 12 semaines qui initie des jeunes africains de toutes conditions aux métiers du cloud. L'objectif est d'aider le continent à se saisir de la 4e révolution industrielle. En collaboration avec Education Development Center, GetINNOtized ou encore I.T Open Talk Africa, AWS re/Start s'inscrit dans le cadre du plan d'expansion d'AWS en Afrique Sub-Saharienne.

A l'heure où 3/4 des cadres supérieurs affirment que le manque de compétences techniques est un obstacle à l'utilisation du cloud computing - l'Afrique, où plusieurs de 10 millions de jeunes arrivent chaque année sur le marché de l'emploi - est le terrain d'une révolution numérique d'ampleur. C'est dans cette veine qu'AWS, implantée sur le continent depuis plusieurs années, y a déployé le programme AWS re/Start, dont le contenu pédagogique comprend à la fois cours magistraux et mise en pratique. A travers cette formation, les apprenants acquièrent des compétences en matière de Linux, Python, réseaux, sécurité et bases de données relationnelles. Un accompagnement à la rédaction d'un CV, ainsi que des simulations d'entretiens sont également prévus par ce cursus complet, encadré par des mentors professionnels et des instructeurs accrédités. A l'issue de la formation, les diplômés passent la certification AWS Certified Cloud Practitioner – reconnue par le secteur, qui valide leurs compétences en matière de cloud computing.
Au Sénégal, AWS re/Start est lancée conjointement par AWS et Education Development Center (EDC) - ONG américaine spécialisée dans l'éducation - à travers notamment son projet d'Amélioration des Performances de Travail et d'Entreprenariat au Sénégal (APTE-Sénégal), conçu en partenariat avec le gouvernement du Sénégal et la Fondation Mastercard.

En RDC, c'est avec I.T Open Talk Africa (Itot Africa) - une startup congolaise qui a pour dessein de combler le déficit de compétences numériques et professionnelles en RDC et plus généralement en Afrique subsaharienne francophone - que AWS collabore pour constituer un pipeline mondial inclusif et diversifié de nouveaux talents du cloud, en se concentrant sur les personnes éloignées de l'emploi.
Enfin, au Rwanda, AWS re/Start est dispensé en collaboration avec getINNOtized par le biais de son programme de formation phare Azubi Africa, ainsi qu'avec ITi Africa, un fournisseur de solutions rwandais spécialisé dans les services informatiques et de cloud computing.

Une formation gratuite en informatique d'ici 2025 pour 29 millions de personnes

L'expansion du programme AWS AWS re/Start – lancé en 2017 - dans ces trois pays s'inscrit dans la volonté d'Amazon Web Services de fournir à 29 millions de personnes dans le monde un accès gratuit à une formation en informatique dématérialisée d'ici 2025. Sur le continent africain, ce sont donc aujourd'hui 7 pays en particulier qui ont accès à AWS AWS re/Start - l'Afrique du Sud, le Ghana, le Nigeria, le Kenya, le Sénégal, la République Démocratique du Congo et le Rwanda.
Marine Houmeau, responsable du programme AWS re/Start pour l'Afrique subsaharienne, déclare : « C'est une véritable fierté pour Amazon Web Services que de lancer AWS re/Start, notre programme phare, au Sénégal, au Rwanda et en RDC. Après l'Afrique du Sud, le Ghana, le Kenya et le Nigeria, AWS continue d'encourager l'émancipation des talents africains à travers une formation aux métiers qui feront l'Afrique de demain. ».

Tejas Vashi, Global Team Lead du programme AWS re/Start, ajoute : "AWS re/Start" est une réussite lorsque les diplômés de notre programme lancent leur carrière dans le cloud. Grâce à un apprentissage basé sur des scénarios réels, des laboratoires et des cours, les apprenants peuvent acquérir les compétences dont ils ont besoin pour occuper un poste de premier échelon dans le domaine du cloud. En outre, AWS re/Start fournit une formation aux compétences d'employabilité, comme la rédaction de CV et l'accompagnement aux entretiens, afin de préparer les apprenants aux réunions et aux entretiens avec les employeurs, ainsi que des compétences en communication et en présentation, qui font toutes partie d'une expérience de développement holistique qui prépare les individus à l'emploi. »
Selina Adams, apprenante du programme AWS re/Start à Accra, Ghana, conclut : « AWS re/Start m'a permis d'acquérir des compétences en matière de cloud computing, alors que je n'avais aucune expérience dans le domaine de l'informatique. Depuis, de nouvelles portes et horizons se présentent, notamment en matière d'emploi. C'est pour cette raison que ce programme constitue un véritable tremplin. »

À propos de AWS re/Start

Le programme AWS AWS re/Start enseigne les fondamentaux du cloud AWS afin d'aider les apprenants à accéder à des postes juniors dans le domaine du cloud. Grâce à des exercices basés sur des scénarios, des ateliers pratiques et des cours, les apprenants acquièrent des compétences sur Linux, Python, les réseaux, la sécurité et les bases de données relationnelles. Les apprenants bénéficient d'une formation spécifique et développent des techniques efficaces de support, de dépannage, de transfert et d'automatisation des tâches de premier niveau. À ces postes, ils pourront exécuter des scripts Python, travailler sous le système d'exploitation Linux, exploiter les infrastructures réseau, accompagner l'intégration et le déploiement des solutions AWS et procéder à la résolution d'incidents. AWS AWS re/Start accompagne aussi les apprenants dans leur retour à l'emploi en les coachant et en les préparant aux entretiens avec les employeurs.

À propos d'Amazon Web Service

Depuis plus de 15 ans, Amazon Web Services est la plateforme cloud la plus complète et la plus largement adoptée au monde. AWS n'a cessé d'étendre ses services pour prendre en charge pratiquement n'importe quelle charge de travail dans le cloud, et elle propose aujourd'hui plus de 200 services complets pour le calcul, le stockage, les bases de données, la mise en réseau, l'analytique, l'apprentissage automatique et l'intelligence artificielle (IA), l'Internet des objets (IoT), le mobile, la sécurité, l'hybride, réalité virtuelle et augmentée (VR et AR), médias, et développement, déploiement et gestion d'applications à partir de 80 zones de disponibilité au sein de 25 régions géographiques, avec des plans annoncés pour 18 zones de disponibilité supplémentaires et six régions AWS supplémentaires en Australie, en Inde, en Indonésie, en Espagne, en Suisse et aux Émirats arabes unis. Des millions de clients - dont les start-ups à la croissance la plus rapide, les plus grandes entreprises et les principales agences gouvernementales - font confiance à AWS pour alimenter leur infrastructure, devenir plus agiles et réduire leurs coûts. Pour en savoir plus sur AWS, visitez aws.amazon.com.

Categories: Afrique

La Grande Bretagne va ouvrir un consulat à Dakhla

Sat, 09/04/2021 - 01:19

La Grande-Bretagne veut reconnaître la souveraineté du Royaume sur le Sahara marocain après les Etats-Unis d'Amérique et ouvrir un consulat à Dakhla.

Le média public britannique BBC a publié récemment la carte du Royaume du Maroc incluant les provinces du Sud. Fin décembre 2020, les Etats d'Unis d'Amérique ont reconnu la marocanité du Sahara. Ce qui a conduit à la publication de la carte complète du Maroc par plusieurs sites Web officiels américains et internationaux. Cet acte amène les observateurs nationaux et internationaux à anticiper sur la décision du Royaume-Uni relative à la question du Sahara marocain.

A sa sortie de l'Union Européenne, le Royaume-Uni a signé un accord avec le Maroc (couvrant les provinces du Sud) afin de continuer les échanges économiques. « Ce qui a été publié par certains sites espagnols sur l'éventualité de l'ouverture d'un consulat par la Grande-Bretagne au Sahara marocain, à l'instar des Etats-Unis d'Amérique, n'est pas nouveau, car plusieurs médias internationaux ont déjà évoqué l'existence d'un dialogue serein entre les diplomaties marocaine et britannique en ce sens », a déclaré l'avocat et spécialiste de la question du Sahara marocain Nouafal Bouamri à Libé rapporté par ‘'Libération''. Selon lui, « la reconnaissance de la marocanité du Sahara et l'ouverture d'un consulat dans la ville de Dakhla ou de Laâyoune ne seront qu'une traduction de la relation économique forte entre les deux pays ».

Nouafal Bouamri a également évoqué « l'information publiée récemment selon laquelle le Maroc attend un grand cadeau de la Grande-Bretagne à l'occasion de l'anniversaire de la Reine Elizabeth du fait de l'ancienneté des relations qui unissent les monarchies marocaine et britannique, d'autant plus que la Grande-Bretagne ne cesse de soutenir les résolutions du Conseil de sécurité relatives au conflit du Sahara appelant à une solution politique basée sur le projet d'autonomie proposé par le Royaume ».

A.A.A

Categories: Afrique

Dr Salim M. AlMalik de l'ICESCO échange avec les autorités ukrainiennes

Sat, 09/04/2021 - 01:19

Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a tenu le 2 septembre 2021 par visioconférence une séance d'entretien avec Mme Emine Dzhaparova, Première vice-ministre des Affaires étrangères d'Ukraine, avec la participation de Mme Vasilyeva Oksana Yuryevna, Ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire d'Ukraine au Royaume du Maroc.

L'entrevue a porté sur l'examen des perspectives de coopération entre les deux parties dans les domaines de l'éducation, des sciences et de la culture. Dr AlMalik a ouvert la séance, à laquelle ont participé nombre de responsables de l'ICESCO, en soulignant que celle-ci attache une grande importance à la promotion des valeurs de coexistence et de dialogue, et ce, par l'adoption de l'éducation pour la paix, le renforcement des capacités des femmes et des jeunes, l'assurance d'une éducation de qualité pour tous et la mise à profit des technologies modernes dans les domaines de l'éducation, de la culture et de la protection de l'environnement.

Il a indiqué que l'ICESCO établit ses programmes et activités pour atteindre ces objectifs en partenariat avec les autorités compétentes des États membres, et qu'elle est ouverte à la coopération avec les États non membres, les organisations internationales et les donateurs, au profit des États membres et des communautés musulmanes du monde entier.

Pour sa part, la Première vice-ministre des Affaires étrangères d'Ukraine a affirmé la volonté de son pays de construire une coopération fructueuse avec l'ICESCO, notant que pas moins de 1,5 million de musulmans vivent en Ukraine, un pays riche en sites historiques et en éléments du patrimoine immatériel.

Elle a également salué les rôles de l'ICESCO dans la protection du patrimoine, le développement de l'éducation et le renforcement des capacités des femmes et des jeunes.

Categories: Afrique

Mettre fin à une nouvelle vague de répression contre les manifestations pacifiques

Sat, 09/04/2021 - 01:18

Les autorités sud-soudanaises ont arrêté des militants de la société civile et un homme politique et fermé une station de radio et un groupe de réflexion universitaire, signalant une nouvelle vague de répression en réponse aux appels à des manifestations pacifiques, a déclaré Amnesty International.

La hausse des arrestations arbitraires et d'autres mesures intervient après que la Coalition du peuple pour l'action civile (PCCA), un groupe de critiques du gouvernement récemment formé, a appelé à des manifestations pacifiques dans tout le pays le 30 août pour forcer le gouvernement à démissionner, citant « » direction défaillante ».

« Nous assistons à l'émergence d'une nouvelle vague de répression au Soudan du Sud visant les droits à la liberté d'expression, d'association et de réunion pacifique, a déclaré Deprose Muchena, directeur régional d'Amnesty International pour l'Afrique orientale et australe.

« Les manifestations pacifiques doivent être facilitées plutôt que réprimées ou empêchées par des arrestations, du harcèlement, un déploiement de sécurité intensif ou toute autre mesure punitive. »
S'adressant aux médias hier, le ministre de l'Information, des Technologies de la communication et des Services postaux a déclaré que le gouvernement « a empêché [la manifestation] … d'avoir un Soudan du Sud pacifique », arguant que toute manifestation appelant à un changement de direction n'est pas pacifique.

Arrestations

Dans la période précédant les manifestations prévues, le Service de sécurité nationale (NSS) du pays a arrêté Kuel Aguer Kuel, l'ancien gouverneur intérimaire de l'État du Bahr el-Ghazal du Nord et l'un des cofondateurs du PCCA dans la capitale, Juba, le 2 août. . Les autorités continuent de le détenir à la prison centrale de Juba avec un accès très limité à sa famille. Il a été inculpé de cinq infractions contre l'État, dont la subversion du gouvernement constitutionnel ; insurrection, banditisme, sabotage ou terrorisme ; provoquer la désaffection parmi les forces de police ou les forces de défense ; publier ou communiquer de fausses déclarations préjudiciables au Sud-Soudan ; et portant atteinte à l'autorité ou insultant le président. Deux autres cofondateurs, Ibrahim Awolich et Rajab Mohandis, se sont cachés par crainte d'être arrêtés. Les autorités ont également fermé le Sudd Institute, un groupe de réflexion pour lequel Awolich travaille.

Amnesty International a documenté une augmentation des arrestations arbitraires à travers le pays dans les jours qui ont précédé les manifestations prévues. Entre le 25 et le 28 août, quatre autres hommes ont été arrêtés dans la ville méridionale de Yei, dont un évêque, soupçonnés de soutenir le PCCA et de mobiliser des personnes pour participer aux manifestations prévues. Ils sont détenus dans un centre de détention du renseignement militaire et ont été inculpés de trahison, un crime passible de mort en vertu de la loi sud-soudanaise, et d'avoir participé à un rassemblement dans l'intention de promouvoir la violence publique, les atteintes à l'ordre public ou le sectarisme.

Le 27 août, le NSS a brièvement arrêté trois travailleurs des médias à Bor, une ville au nord de la capitale Juba. Ce même jour dans la matinée, à Wau, dans l'ouest du Soudan du Sud, le NSS a arrêté trois membres de la société civile qui distribuaient des T-shirts pour une marche pacifique de sensibilisation sur la violence sexiste avant de les relâcher plus tard dans la journée. Au moins deux autres hommes ont été arrêtés en relation avec la marche pacifique et le NSS a empêché la marche d'avoir lieu.

Arrêt d'Internet

À la veille des manifestations prévues, Amnesty International a commencé à recevoir des informations faisant état de perturbations d'Internet qui ont duré jusqu'en fin d'après-midi du lundi 30 août. Les graphiques publiés par des experts en mesure de réseau, ainsi que les rapports des médias, fournissent des preuves solides des perturbations du réseau. La coupure d'Internet, que le ministre de l'Information, des Technologies de la communication et des Services postaux a attribuée à des problèmes techniques, a pris fin par hasard dès qu'il est devenu évident que les manifestations prévues pour le 30 août n'avaient pas eu lieu. Amnesty International soupçonne que la fermeture d'Internet pourrait avoir été une tentative délibérée des autorités de faire dérailler les manifestations.

« Les coupures et les interruptions d'Internet affectent négativement la capacité des personnes à exercer leurs droits à la liberté d'information, d'expression, d'association et de réunion pacifique. Les autorités sud-soudanaises et les fournisseurs de services Internet doivent clarifier leur rôle dans la perturbation », a déclaré Deprose Muchena.

Les entreprises ont la responsabilité de respecter les droits de l'homme partout où elles opèrent. Si la fermeture des services Internet a été formellement ou officieusement ordonnée par le Soudan du Sud, les fournisseurs d'accès Internet doivent s'opposer à ces mesures et exercer une diligence raisonnable en matière de droits humains afin d'identifier, de prévenir et d'atténuer les impacts négatifs sur les droits humains d'une telle fermeture ou ceux découlant de leur activité. des relations.

Au cours de la semaine qui a suivi les manifestations avortées, Amnesty International a reçu de nouvelles informations faisant état de harcèlement d'acteurs de la société civile à travers le pays, notamment à Juba, Yei, Bor et Wau, certains soupçonnant qu'ils étaient surveillés par les forces de sécurité. Le 1er septembre, un militant de premier plan de la société civile a signalé que deux de ses employés avaient été emmenés par des membres du Service de sécurité nationale après des jours de surveillance gouvernementale du bureau de l'organisation. Les deux hommes ont été libérés après des heures d'interrogatoire.

Fond

Le PCCA a été formé le 30 juillet par un groupe d'hommes politiques sud-soudanais,
de membres de la société civile et de dirigeants de groupes de réflexion. Dans sa déclaration, il condamne ce qu'il dit être des problèmes fondamentaux au Soudan du Sud, notamment le manque de services de base, la corruption, le chômage, le manque de responsabilité et de respect des droits humains. Citant un leadership défaillant comme cause de ces problèmes, il appelle les dirigeants actuels, y compris le président Salva Kiir et le vice-président Riek Machar, à se retirer.
Le 2 février 2021, Amnesty International a publié un rapport détaillé sur la surveillance illégale et incontrôlée des communications au Soudan du Sud et sur la manière dont elle est utilisée pour harceler et intimider les journalistes, les militants et les critiques, créant un climat de peur et d'autocensure.

Les autorités sud-soudanaises ont empêché les manifestations dans un passé récent. En juillet 2019, les arrestations, les menaces et le déploiement massif de l'armée ont fait dérailler les manifestations appelées par le Mouvement du carton rouge à Juba, dissuadant les manifestants de descendre dans les rues de la capitale.

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Les nouvelles mutations des officiers à la police

Sat, 09/04/2021 - 00:59

De nouvelles mutations à la Police. Le Directeur Général de la Police Républicaine a signé, ce 03 septembre 2021, une décision portant mutation générale des officiers de la Police républicaine au titre de l'année 2021. (Voir Décision)

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Respectons les gestes barrières

Sat, 09/04/2021 - 00:29
Voir en ligne : www.moov-africa.bj
Categories: Afrique

Un individu arrêté pour tentative de vol à Corpago

Sat, 09/04/2021 - 00:24

La police a arrêté, jeudi 3 septembre 2021, à Pélébina (Djougou), un individu pour tentative de vol de moto à Pabegou, commune de Copargo.
Le propriétaire d'une motocyclette a été réveillé par des bruits dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 août 2021 aux environs de 2 heures du matin à Pabegou, commune de Copargo. Un individu s'est introduit dans la chambre et tentait de voler sa moto.
Le suspect a pris la fuite lorsque le propriétaire a donné l'alerte.
La police a ouvert une enquête qui a permis d'appréhender le suspect jeudi dernier à Pélébina (Djougou).
M. M.

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L'interdiction des sorties incontrôlées a régulé le prix des vivriers (W. Houngbédji)

Sat, 09/04/2021 - 00:21

Le prix des produits vivriers a baissé depuis quelques semaines sur le marché béninois. C'est le fruit de l'interdiction des sorties incontrôlées des vivriers du territoire national, selon le secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement. Wilfried Léandre Houngbédji a échangé à bâtons rompus sur divers sujets avec les journalistes, vendredi 03 septembre 2021, au siège du groupe de presse Le Matinal.

Le maïs, le gari, etc ne sont plus cédés à des prix renchéris depuis quelques semaines comme peuvent le constater les consommateurs béninois. L'un des facteurs qui ont permis d'atteindre cet objectif est la mesure d'interdiction des sorties de produits viviers hors du marché béninois.
« Le gouvernement a interdit les sorties incontrôlées de vivriers. Cette mesure a permis que le produit reste sur le marché et que cela serve à réguler les prix. S'il sortait, il y en aurait eu de moins en moins et la logique économique, c'est que la rareté entraîne un renchérissement des prix », a expliqué le porte-parole du gouvernement, vendredi 03 septembre 2021, aux professionnels des médias.
« (…) Nous avons réussi à faire que les prix des produits agricoles soient restés à un niveau presque inchangé. Nous avons tout intérêt à ce qu'ils ne s'envolent pas comme on l'a observé. Ils ont commencé donc à se réajuster. Une légère baisse est observée. Le gouvernement va continuer son action pour que les produits étant de plus en plus disponibles, (…) nous revenions à de niveaux de prix assez compétitifs pour le consommateur », a ajouté Wilfried Léandre Houngbédji. Le porte-parole du gouvernement souhaite la fin de la conjoncture observée au niveau international.
Selon le secrétaire général adjoint du gouvernement, la cherté, autrefois observée, est la cause de la pression exercée par les autres pays sur les produits vivriers du Bénin. Malgré cette pression, le Bénin n'était pas en période de soudure. En prenant l'exemple du gari, le porte-parole du gouvernement indique que le produit était disponible mais « c'est la forte demande qui a induit le renchérissement des prix chez nous (Bénin, ndlr) ».
M. M.

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