La 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), qui récompense les meilleures productions cinématographiques, séries et documentaires d'Afrique, a dévoilé son palmarès officiel ce samedi 23 octobre.
CANAL+ se réjouit de ce palmarès attribuant des récompenses prestigieuses à des productions et co-productions cinématographiques, séries et documentaires, adressant tout particulièrement ses félicitations aux productions ayant bénéficié d'un financement et d'un accompagnement par le Groupe CANAL+ : Une Histoire d'amour et de désir, de Leyla Bouzid (Tunisie), Prix Étalon de bronze de Yennega, d'une valeur de 5 millions de FCFA, dans la catégorie « Fiction long-métrage ».
Par ailleurs, des prix spéciaux ont été décernés aux séries et films long-métrage suivants : Mami Wata, le mystère d'Iveza, une série CANAL+ ORIGINAL créée par la réalisatrice gabonaise Samantha Biffot, 2ème prix dans la catégorie Séries ; Les Trois Lascars, du réalisateur burkinabè Boubacar Diallo, Prix spécial CEDEAO de l'intégration pour le meilleur film ouest-africain, d'une valeur de 15 millions de FCFA ; Le Père de Nafi (Baamum Nafi), du réalisateur sénégalais Mamadou Dia, Prix spécial UEMOA de long-métrage, d'une valeur de 10 millions de FCFA ; Lingui, du réalisateur tchadien Mahamat Saleh Haroun, Prix spécial de l'Assemblée nationale du Burkina Faso, d'une valeur de 5 millions de FCFA.
Enfin, CANAL+ tient également à chaleureusement saluer les talents primés personnellement dans la catégorie « Meilleure collaboration artistique » : Alassane Sy, récompensé par le Prix de la meilleure interprétation masculine pour sa performance dans Le Père de Nafi (Baamum Nafi) ; Samuel Teisseire, Prix du meilleur décor pour le film La Nuit des rois du réalisateur Philippe Lacôte (Côte d'Ivoire).
A travers ces différentes récompenses, le Groupe CANAL+ est fier d'accompagner et de mettre sous les projecteurs des talents africains, aujourd'hui applaudis et reconnus pour la qualité de leurs productions, réalisations et interprétations artistiques.
En tant que partenaire historique de la production audiovisuelle africaine, le Groupe CANAL+ soutient le Fespaco, véritable carrefour stratégique de l'art cinématographique continental.
A propos du Groupe CANAL+Le président russe Vladimir Poutine et le premier ministre britannique Boris Johnson estiment que Moscou et Londres doivent établir la coopération dans certains domaines, a annoncé lundi le service de presse du Kremlin suite à un entretien téléphonique entre les deux leaders.
"Le président russe et le premier ministre britannique ont évoqué l'état des relations bilatérales et ont souligné qu'il était nécessaire d'établir la coopération entre Moscou et Londres dans certains domaines, malgré l'existence de problèmes bien connus", a précisé le Kremlin.
Les deux leaders se sont également entendus pour "maintenir les contacts nécessaires sur les sujets évoqués au cours de l'entretien".
Source : TASS
Cotonou, le 22 octobre - Le Groupe MTN a été reconnu sur la liste Fortune Change the World 2021. La liste « Change the World » est un classement mondial des 53 premières entreprises qui réalisent un progrès mesurable en s'attaquant aux problèmes sociaux urgents dans le cadre de leur stratégie commerciale.
"MTN est fier de figurer sur la liste « Change the World » de Fortune. Nous nous engageons à changer le monde en apportant des contributions significatives aux sociétés des marchés dans lesquels nous opérons", déclare Ralph Mupita, Président Directeur Général du Groupe MTN. "Nos réseaux, produits et services sont fournis dans le but de réduire la fracture numérique en facilitant les communications numériques et l'inclusion financière."
Les éditeurs de la liste "Change the World" ont noté que de nombreux lauréats de cette année se battent pour mettre fin à la mise en second plan de certains besoins sociétaux, amplifiée par la pandémie. Ces entreprises investissent dans la santé à long terme de leurs activités en soutenant ceux qui se trouvent au bas de l'échelle économique mondiale, notamment en distribuant les vaccins COVID-19 dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Depuis le début de la propagation du COVID-19, MTN s'est engagé à jouer un rôle dans la lutte actuelle contre la pandémie, par le biais de notre campagne mondiale de sensibilisation au port du masque #wearitforme et #onemorepushafrica. Répondant à l'appel à la vaccination sur le continent africain, MTN a fait un don de 25 millions de dollars pour soutenir le programme de vaccination COVID-19 de l'Union Africaine. Ce don aux Centre Africain de Contrôle et de Prévention des maladies (Africa CDC) permettra d'obtenir jusqu'à sept millions de doses de vaccin COVID-19 pour les agents de santé du continent.
Le besoin urgent de rester connecté a également été constaté pendant la pandémie, et le trafic de données a augmenté de 110 % en 2020. MTN a pu combler les lacunes en matière de connectivité en améliorant l'accès à ses services, tout en fournissant des solutions numériques et financières aux consommateurs et aux entreprises, tout en contribuant à l'inclusion numérique des communautés les plus vulnérables et marginalisées du Continent Africain.
Pour MTN, une meilleure connectivité ne signifie pas moins d'éco-responsabilité. MTN travaille avec ses partenaires pour s'assurer que nous limitons notre impact sur l'environnement et que nous préservons la biodiversité autour de chaque pylône que nous construisons. MTN s'est également fixé des objectifs scientifiques visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 47 % d'ici 2030 et à atteindre des émissions nettes nulles d'ici 2040.
Pour nous, il s'agit de faire partie de la solution à long terme, d'exploiter le pouvoir des partenariats pour agir rapidement afin de relever les défis posés par la pandémie, tout en donnant la priorité à notre personnel, à nos clients et à nos communautés, ainsi qu'à la protection de nos activités et de l'environnement. C'est pour cette raison que nous continuons à croire au pouvoir de l'action collective pour faire une différence significative, en concentrant nos efforts là où les besoins sont les plus grands.
Les ministres de la santé Benjamin Hounkpatin, des affaires sociales Véronique Tognifodé, de la justice Séverin Quenum et le porte-parole du gouvernement Wilfried Léandre Houngbédji ont animé une conférence de presse conjointe, lundi 25 octobre 2021, à la salle Fleuve Jaune du ministère des Affaires étrangères à Cotonou. La loi portant modification de la loi N°2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction, la loi N°2021-11 portant mesures spéciales de répression des infractions commises à raison du sexe et de protection de la femme en République du Bénin étaient au cœur des échanges.
Les dispositions de la loi N°2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction indiquent trois conditions dans lesquelles l'avortement peut être pratiqué. En conférence de presse conjointe avec d'autres ministres, lundi 25 octobre 2021, le ministre de la santé Benjamin Hounkpatin a expliqué que ces cas ne constituent qu'une infirme partie des possibilités offertes à une « femme confrontée à la complexité de garder une grossesse ».
La loi modificative de la loi N°2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction légalisant l'avortement prévoit les cas d'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG), qui peuvent recueillir la demande d'IVG et où cela peut se faire, a souligné le ministre de la santé.
La loi interdit et punit la promotion de l'IVG, selon Benjamin Hounkpatin. A en croire le ministre, une obligation de conseil est faite au médecin qui doit pratiquer l'IVG. Celui-ci doit expliquer à la femme ou aux parents de la fille mineure l'entreprise dans laquelle elle s'engage ainsi que les conséquences éventuelles.
« L'Interruption volontaire de grossesse est suffisamment encadrée », a martelé le ministre de la justice Séverin Quenum. L'objectif de la loi n'est pas de contrôler les naissances, a rappelé le ministre.
Pour les conférenciers, le vote de loi modificative de la loi N°2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction sonne comme la fin de l'hypocrisie face aux conséquences des « avortements clandestins »
Marc MENSAH
Les conducteurs de mini bus ou taxi qui feront des chargements ou déchargements hors parc aux abords des différents axes routiers du département de l'Ouémé à partir de ce mardi 26 octobre 2021 verront leurs véhicules systématiquement immobilisés et mis en fourrière pour dix (10) jours francs.
Les agents de police sont instruits pour « réprimer avec la dernière rigueur » les ‘'chargements hors parc'' sur le territoire du département de l'Ouémé à partir de ce mardi 26 octobre 2021, selon une note adressée aux Commandants d'unité de la police Républicaine du Département de l'Ouémé, parvenue à 24haubenin.
Désormais, les conducteurs de mini bus ou taxi qui feront des chargements ou déchargements hors parc aux abords des différents axes routiers dudit département verront leurs véhicules systématiquement immobilisés et mis en fourrière pour dix (10) jours francs.
La libération des véhicules arraisonnés est conditionnée par le paiement au trésor public de l'amende forfaitaire de 6000 FCFA, conformément à l'arrêté du Préfet et les frais de fourrière.
« Cette répression est permanente jusqu'à l'éradication totale de ce phénomène de chargement hors parc, qui est à la base de plusieurs accidents de circulation et d'incivisme routier », indique la note.
M. M.
Trois (03) enfants ayant en commun les mêmes parents et une de leur tante sont décédés, dimanche 24 octobre 2021, à Dovi, commune de Zagnanando, à la suite d'une intoxication alimentaire.
Quelques instants après la consommation d'un repas cuisiné par la jeune sœur à leur père, trois (03) enfants ont eu des douleurs intenses à l'estomac.
Les trois enfants ainsi que leur tante décèdent avant leur admission à l'hôpital.
Les faits se sont produits, dimanche 24 octobre 2021, à Dovi, commune de Zagnanando.
Le diagnostic indique une intoxication alimentaire.
Le décès des quatre personnes a plongé la mère de famille dans état dépressif. Elle suit des soins depuis la survenue du drame.
M. M.
Un accident survenu dans la matinée du dimanche 24 octobre 2021 a fait une victime.
Un véhicule en provenance de Parakou pour N'Dali a percuté un motocycliste à la hauteur du carrefour ‘'Boko'' dans la matinée du dimanche 24 octobre 2021.
Le motocycliste, un homme de 40 ans, est mort sur-le-champ.
Selon Frissons radio, le corps de la victime a été remis au chef village de la localité pour inhumation.
Le conducteur du véhicule à l'origine de l'accident mortel est gardé-à-vue pour homicide involontaire.
Selon les témoins, l'accident est le fait du conducteur du véhicule qui roulait à vive allure.
M. M.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), a condamné ce lundi 25 octobre 2021, 03 cybercriminels.
05 ans de prison, et un million d'amende, c'est la sentence rendue par les juges de la juridiction spéciale.
Les mises en cause ont été reconnus coupables des faits d'escroquerie par le biais d'un système électronique.
F. A. A.
Opération ‘'coup de poing'' menée par la police au marché de Dassa-Zoumè, département des Collines, vendredi 22 octobre 2021.
Plusieurs commerçantes de produits pharmaceutiques contrefaits ont abandonné leurs étalages au marché de Dassa-Zoumè, vendredi 22 octobre 2021. Et pour cause, les policiers étaient descendus sur lieux.
Les agents de police ont été informés de la vente de faux médicaments dans le marché.
Deux-cent vingt-trois (223) kilogrammes de faux médicaments ont été saisis au cours de l'opération policière dénommée ‘'coup de poing''.
La police a interpellé deux suspects, toutes des femmes.
M. M.
Un ressortissant nigérian a été interpellé à l'aéroport international cardinal Bernadin Gantin de Cotonou pour « faux certificat ».
Un Nigérian a été arrêté à l'aéroport de Cotonou après la présentation de ses titres de voyage. Le passeport qu'il détenait était un « faux » ainsi que la carte de séjour de Lesotho établie en son nom.
Le mis en cause s'est fait établir ces documents dans l'optique de se rendre aux Etats-Unis d'Amérique, a informé Frissons radio.
Poursuivi pour « faux certificat », le procès du ressortissant nigérian s'ouvre le 15 décembre 2021
M. M.
Le Nigeria est devenu le premier pays africain à lancer sa propre monnaie digitale de banque centrale (eNaira), a fait savoir ce lundi le président du pays Muhammadu Buhari.
"Notre pays est devenu le premier en Afrique et l'un des premiers au monde à créer et à mettre en circulation une monnaie digitale pour ses citoyens", a-t-il déclaré relayé par le journal nigérian Punch.
Muhammadu Buhari a souligné que le lancement d'eNaira donnerait de l'élan non seulement à l'économie nigériane mais aussi africaine. La nouvelle monnaie peut être utilisée pour des paiements en ligne et des investissements. eNaira n'est pas une cryptomonnaie. Toutes les opérations avec son utilisation sont contrôlées par les superviseurs financiers du Nigeria.
Source : TASS
Les autorités américaines ne peuvent pas faire grand-chose pour aider les pays européens à surmonter la crise énergétique. Washington ne peut pas donner des ordres aux entreprises privées à qui elles devraient vendre leur gaz naturel liquéfié (GNL). C'est ce qu'a déclaré lundi à une conférence de presse destinée aux journalistes étrangers le conseiller américain à la sécurité énergétique mondiale Amos Hochstrein.
On lui a demandé si les États-Unis pouvaient aider l'Europe à surmonter la crise énergétique en lui livrant du GNL. "Je pense que les États-Unis livrent déjà des quantités suffisantes de GNL sur le marché. Le gouvernement américain ne donne pas d'indications à nos entreprises à qui elles doivent vendre leur produit", a répondu Amos Hochstrein.
"Je ne pense pas que le gouvernement américain puisse faire encore quelque chose. Les États-Unis sont déjà un des plus grands exportateurs du gaz sur le marché mondial, ils détiennent une part du marché très importante".
La crise dans le secteur gazier européen s'est exacerbée cet automne, quand les prix sur le marché spot ont grimpé rapidement pour dépasser 1.000 dollars pour 1.000 m3 et friser 2.000 dollars sur fond du faible taux de remplissage des réserves gazières européennes.
TASS
Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) a eu lieu du 16 au 23 octobre 2021. 13 des 30 prix officiels ont récompensé des œuvres soutenues par l'OIF.
La 27e édition du Fespaco s'est achevée le 23 octobre 2021au Burkina Faso. Le réalisateur somalien Ahmed Khadar a reçu la récompense la plus prestigieuse du Festival avec son film « La Femme du fossoyeur ».
Outre l'Etalon d'or de Yennenga, les principaux autres prix (documentaire, court-métrage de fiction et série) sont revenus à des œuvres co-financées par le Fonds Image de la Francophonie. Le film « Freda » de la réalisatrice haïtienne Gessica Géneus, a obtenu le second prix du long-métrage de fiction.
Onze autres films et séries aidés par le fonds d'aide de l'OIF ont été récompensés lors de la cérémonie officielle du Fespaco ainsi que lors de la remise des prix des séries.
Le long-métrage « La nuit des rois » de l'Ivoirien Philippe Lacôte a reçu le prix du meilleur décor. Celui du scénario est allé au film « Les anonymes » du Rwandais Mutiganda Wa Nkunda. Celui du montage est attribué au film égyptien « Souad », d'Ayten Amin. Le premier prix du documentaire est revenu à « Garderie nocturne » de Moumouni Sanou et celui du court-métrage à « Serbi (Les tissus blancs) » de Moly Kane. Le film « Tabaski » de Laurence Attali a reçu une mention et « Traverser » de Joël Akafou a obtenu le prix Paul Robeson du film documentaire.
La compétition réservée aux films burkinabè a sacré les deux documentaires « Après ta révolte, ton vote » de Kiswendsida Parfait Kaboré et « Sur les traces d'un migrant » de Delphine Yerbanga.
Dans la compétition séries, les deux premiers prix sont allés également à des œuvres soutenues par le Fonds Image de la Francophonie : « Walabok » de la Sénégalaise Fatou Kandé Senghor et « Mami Wata » de la Gabonaise Samantha Biffot. Cette dernière série, ainsi que le long-métrage burkinabè « Les trois lascars », qui a reçu, dans le cadre des prix spéciaux, le prix de la CEDEAO, ont bénéficié du soutien de l'Union européenne et de l'Organisation des Etats ACP dans le cadre du projet Clap ACP mis en œuvre par l'OIF en partenariat avec le FONSIC, fonds d'aide de Côte d'Ivoire.
A noter que 7 des 13 prix officiels remportés par les films et séries soutenus par l'OIF au FESPACO sont l'œuvre de réalisatrices.
27 films et séries soutenus par Le Fonds Image de la Francophonie étaient présentés lors de cette édition du festival panafricain, dont cinq hors compétition.
Le total des financements apportés par le Fonds à ces œuvres s'élève à 797 000 €. Le Fonds d'aide de l'OIF intervient depuis plus de 30 ans au service des films et séries des pays francophones d'Afrique, du Moyen-Orient, de l'Asie du Sud-Est, des Caraïbes et du Pacifique.
L'OIF compte 88 États et gouvernements, 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
A.A.A
Les autorités maliennes ont déclaré lundi, persona non grata le représentant spécial de la Communaute économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) Hamidou Boli à cause des actes incompatibles avec son statut a rapporté l'AFP citant la télévision d'État du Mali.
Il a été souligné que le diplomate avait 72 heures pour quitter le pays. Le gouvernement malien ne précise pas pour quelles actions Hamida Boli est expulsé.
Depuis août 2020, le Mali a connu deux coups d'État militaires.
Après le premier, la Cédéao avait pris l'initiative de ramener le Mali à un régime civil. Suite à une série de consultations avec les autorités militaires, un compromis a été trouvé. Selon ce compromis, les élections présidentielles et législatives devaient avoir lieu au Mal, en février 2022, et toutes les institutions du pouvoir civil devaient être rétablies vers cette date. En échange, la Cédéao a abandonné sa politique de sanctions contre le Mali.
Cependant, ces derniers mois on voit des signes qui font supposer que des difficultés géopolitiques menacent de ralentir la transition au Mali.
Rédaction
Pascal Essou, Médiateur de la République du Bénin et son homologue du Burundi, l'honorable Edward Nduwimana, étaient en tête-à-tête dans la matinée de ce lundi 25 octobre 2021 au siège du Médiateur à Porto-Novo.
L'Ombudsman de la République du Burundi a effectué, en compagnie d'une délégation, une visite de travail et d'amitié, lundi 25 octobre 2021, au Médiateur de la République du Bénin, Pascal Essou.
Pour le Médiateur du Bénin, la présence de l'Ombudsman du Burundi au Bénin est l'expression de la vitalité de la coopération qui existe entre les deux pays. C'est également le signe fort que les processus de médiation entre le Bénin et le Burundi doivent « se renforcer davantage et se consolider pour asseoir un vivre-ensemble cohérent », a fait savoir Pascal Essou à son homologue du Burundi.
Edward Nduwimana a remercié son hôte pour l'accueil réservé à la délégation burundaise.
L'Ombudsman de la République du Burundi est en visite au Bénin depuis le 23 octobre 2021. Au cours de son séjour, Edward Nduwimana va explorer avec Pascal Essou les pistes d'un partenariat entre les deux institutions. Des échanges de partage d'expériences sur le renforcement des mécanismes locaux de médiation et la culture du dialogue sont également au menu de la visite.
La visite de travail de la délégation burundaise au Bénin prend fin le 29 octobre prochain.
M. M.
Les éléments de la police républicaine ont procédé, dimanche 24 octobre 2021, à l'interpellation de quatre (04) présumés terroristes à Kouandé, dans le département de l'Atacora.
Des présumés terroristes dans les mailles de la police républicaine. Selon les informations rapportées par Le Potentiel, quatre présumés terroristes ont été arrêtés par les forces de sécurité de l'arrondissement de Orou Kayo, dans la commune de Kouandé. Ils seront présentés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).
A.A.A
L'ambassadeur de la République du Bénin près la Fédération de Russie, SEM. André Akambi Okounlola-Biaou, s'est entretenu, lundi 25 octobre 2021, avec Mikhaïl Bogdanov, Représentant spécial du Président de la Fédération de Russie pour le Moyen-Orient et les pays d'Afrique et Vice-Ministre russe des Affaires étrangères.
L'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Bénin près la Fédération de Russie a présenté ses lettres de créances ce lundi 25 octobre 2021 à Moscou.
Le renforcement des relations traditionnellement amicales entre la Russie et le Bénin, notamment l'intensification du dialogue politique et l'élargissement de la coopération mutuellement bénéfique dans les domaines commercial, économique, humanitaire, et autres sujets étaient au coeur des échanges entre Mikhaïl Bogdanov, Représentant spécial du Président de la Fédération de Russie pour le Moyen-Orient et les pays d'Afrique et Vice-Ministre russe des Affaires étrangères et l'ambassadeur de la République du Bénin près la Russie, SEM. André Akambi Okounlola-Biaou.
M. M.
Les parents d'un étudiant âgée de 22 ans brûlé vif, jeudi 21 octobre 2021, au quartier Gbira à Parakou, exigent que justice soit rendue. Le jeune homme tué n'était pas un braqueur.
Le jeune homme brûlé vif à Gbira dans le 3è arrondissement de Parakou a été innocemment tué par les populations.
Selon les parents de la victime, Eloi Dogo est étudiant en année de licence à la Faculté des sciences juridiques et politiques de l'université de Parakou. Il est originaire de Savalou et habitait Waï-Waï, une zone du quartier Banikanni dans le deuxième arrondissement de Parakou.
Le jour du drame (jeudi 21 octobre 2021), Eloi Dogo a quitté très tôt sa maison pour se rendre à l'heure dans la structure de micro finance dans laquelle il travaille. « Mais il n'aura pas eu assez de chance devant une population surexcitée qui était à la recherche de deux braqueurs qui, plus tôt, avaient attaqué un chauffeur venant de Nikki pour Parakou », indiquent les parents de la victime.
Selon la chronologie des faits, dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 octobre 2021, entre 3h30 et 4h, deux jeunes hommes ont braqué un chauffeur de taxi à l'aide d'un couteau et d'un fusil. Blessé, le chauffeur alerte les habitants mais les deux jeunes hommes s'enfuient.
Le lendemain matin, sur les lieux du forfait, une dame aurait identifié un jeune homme qui passait par là comme l'auteur de la tentative de vol. Les zemidjans et d'autres personnes se sont rués sur le jeune homme et l'exécutent sans autre forme de procès.
Selon des témoins, Eloi Dogo a fait savoir à ses bourreaux qu'il se trompaient sur sa personne. « Vous allez me tuer innocemment (…). C'est la vérité que je dis. Je n'ai pas volé (…). Je vais au boulot », s'est lamenté le jeune étudiant, jeudi 21 octobre, peu avant sa mise à mort. Malgré ses supplications, Eloi Dogo a été brûlé vif à l'aide de pneus et de l'essence.
Ses parents exigent que les personnes impliquées dans son exécution répondent leur crime devant la justice.
M. M.
Jacques Paradis n'est plus Directeur général de la Société béninoise d'énergie électrique (SBEE). La décision a été prise par le Conseil d'Administration en sa séance du vendredi 22 octobre 2021. Le Directeur administratif et financier Francis Perani est désigné pour assurer l'intérim du DG sortant pour une période d'un mois, précise la décision signée par le Président du Conseil d'Administration (PCA) Moïse Achille Houssou.
Selon la décision du Conseil d'Administration, M. Perani a été désigné DG par intérim pour ''nécessités de service''.
C'est le 11 septembre 2019 que le Conseil des ministres a décidé de confier le gestion déléguée de la SBEE à la société canadienne Manitoba Hydro International Ltd. Par cette décision, le gouvernement de Patrice Talon entend consolider les réformes en cours à la SBEE pour assurer durablement la bonne gestion de la société afin que celle-ci puisse offrir de meilleurs services aux consommateurs.
La passation de service entre Jacques Paradis et son prédécesseur, Laurent Tossou, a eu lieu mardi 05 novembre 2019.
« Ce que nous voulons, c'est de faire en sorte que les clients, après notre départ, soient satisfaits. Tout au long de notre mandat de quatre ans, nous allons faire énormément d'efforts pour la satisfaction des clients. (...)››, avait promis Paradis après sa prise de service.
L'accès aux locaux et aux services de la Préfecture d'Abomey est conditionné à la présentation d'une preuve de vaccination contre la Covid-19 ou d'un test PCR datant de moins de 48 heures.
Le préfet du département du Zou a indiqué dans une note en date du lundi 25 octobre 2021 que « conformément à la décision du Conseil des Ministres, en sa séance du 20 octobre 2021, l'accès à la Préfecture d'Abomey à tout usager de ses services est conditionné à la présentation du pass vaccinal ou du résultat PCR datant de moins de 48 heures ».
Le préfet a instruit également les chefs services et autres responsables de la préfecture à prendre des dispositions pour le respect de la décision. « J'attache une importance particulière au respect strict des instructions contenues dans la présente note par tout chef de service et autres acteurs en poste à la Préfecture d'Abomey », martèle Firmin A. Kouton.
M. M.