Jingtao Peng, ambassadeur de la République Populaire de la Chine près le Bénin a été reçu en audience mardi 13 août 2019, au cabinet du président de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC), Rémi Prosper Moretti. Les deux personnalités ont mené des discussions relatives à la formation des journalistes et des fonctionnaires des médias et au don de matériels.
Au terme des échanges, SEM. Jingtao Peng a souligné qu'il s'agit d'une visite de courtoisie dont la finalité est de renforcer les relations de coopération entre l'institution chargée de réguler le travail des médias et l'Ambassade de Chine.
Pour l'ambassadeur Jingtao Peng, les médias et la HAAC occupent une place primordiale dans la mise en œuvre des réformes au Bénin.
Le diplomate a renouvelé la disponibilité de la Chine à accompagner le Bénin dans tous les secteurs de développement.
Akpédjé AYOSSO
Bénin / HAAC : Jingtao PENG au cabinet du Président Rémi Prosper MORETTI https://t.co/ai23DYyKjX pic.twitter.com/t46kHoXHeg
— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) August 13, 2019
« Engagement politique des jeunes pour le développement de Djougou », c'est le thème de la conférence qui a mobilisé les jeunes et les cadres de la commune de Djougou le week-end écoulé. Invité à ces assises, le ministre d'Etat chargé du plan et du développement,Abdoulaye Bio Tchané, natif de la localité, a profité de l'occasion pour inviter toute la jeunesse béninoise et celle de Djougou en particulier à plus d'engagement.
« Mes chers frères et sœurs jeunes de Djougou et d'ailleurs, intéressez-vous aux affaires de votre cité, aux affaires de votre collectivité », a lancé le ministre d'Etat. Cet engagement selon Abdoulaye Bio Tchané ne peut se faire si les jeunes n'ont pas confiance en eux-mêmes. Il a par ailleurs invité la jeunesse à redéfinir ses rapports avec la notion de l'engagement.
Parmi les participants à cette conférence, il y avait Malick Gomina et Nouhoum Bida.
F. A. A.
Bio Tchané invite la jeunesse à plus d'engagement https://t.co/wOMIHJPvSy #wasexo #feedly
— @JeremyG (@JSoukpo) August 13, 2019
La compétition nationale de robotique dénommée « BéninBot Challenge 2019 » a démarré ce mardi 13 août 2019 au centre d'innovation Sèmè City. Organisée sous l'initiative Femcoders Robotics et de l'Ong Rachael Orumor en partenariat avec l'ambassade des Etats Unis près le Bénin et le centre d'innovation Sèmè City, cette première édition est marquée par 02 jours d'apprentissage et de mise à l'épreuve en matière de science robotique.
Réunissant les élèves et les enseignants issus des collèges et lycées de Cotonou et de Parakou, les participants bénéficient non seulement d'une formation approfondie en science robotique donnée par des experts américains, mais aussi des ateliers robotiques. Aussi, ont-ils l'occasion d'échanger avec les équipes robotiques du Togo et du Nigéria.
Selon Diane Aniambossou, chargée de l'expérience utilisateur à Sèmè City, l'initiative lancée par Femcoders Robotics entre en ligne avec les objectifs du centre qui est un campus d'innovation regroupant des établissements d'enseignements supérieurs et de formations professionnelles.
Ce qui se passe en ce moment ! Préparatifs de demain ! @BeninBotOficiel #beninbotChallenge @GeekOnHeels01 pic.twitter.com/PfllqVtxnA
— Sèmè City (@SemeCity) August 13, 2019
Rappelant la mission de Sèmè City qui est de mettre le savoir, l'innovation et l'esprit d'entreprise au service du développement durable et inclusif, elle souligne que la robotique fait partie de ce qu'on appelle « l'industrie 4.0 ». Cette dernière décrit la quatrième révolution industrielle qui offre plusieurs opportunités d'innovations.
A en croire Diane Aniambossou, grâce à ces élèves formés en science robotique, « le continent africain pourrait probablement même brûler des étapes en matière d'industrialisation et passer directement à l'étape de l'usine du futur où une grande partie des services et de la production sera assurée par des robots ». Elle invite les participants à laisser libre cours à leur imagination et créativité afin de créer des robots qui pourraient par exemple servir à livrer des médicaments dans des zones difficiles d'accès, des robots policiers qui vont gérer le trafic routier et contribuer à limiter les accidents de circulation.
Une formation en science robotique depuis 2017
Mme Rachael Orumor, fondatrice de l'Ong Rachael Orumor formant notamment les filles en science robotique a indiqué que Femcoders Robotics a initié depuis 2017 la formation en science robotique des jeunes dans les collèges publics du Bénin. Compte tenu des succès enregistrés par ses programmes, Femcoders Robotics a pensé à la compétition afin de réunir les élèves pour qu'ils puissent réfléchir ensemble et voir quel est l'impact de ce qu'ils font sur le plan national.
« BéninBot Challenge 2019 est une compétition qui se base sur un jeu de collections où les enfants doivent assembler et programmer des robots qui vont permettre de pouvoir ramasser quelques objets et dans la vie réelle ça peut être utilisés dans plusieurs contexte », explique Mme Rachael Orumor.
Pour Michel Oka, représentant de la ministre de l'économie numérique et de la communication, l'initiative s'aligne avec l'un des projets phares du gouvernement du Bénin qui est la généralisation de l'usage du numérique par la formation et l'éducation. Cette activité va permettre aux apprenants de renforcer leurs capacités dans le domaine du numérique, mais aussi d'avoir de l'innovation dans le but de contribuer à la résolution de certains problèmes de la communauté.
La délégation américaine qui a commencé l'aventure avec l'Ong Rachael Orumor en 2017 signale que le but commun est d'insérer la formation en science robotique dans les écoles. Le coach Rodger Dohn de l'équipe Spyder note que beaucoup de progrès ont été enregistrés dans les écoles de Cotonou et de Parakou.
Pour lui, la formation en science robotique devrait être considérée comme une matière au même titre que les mathématiques et autres.
Les élèves étant les leaders de demain, le coach Alex Szeto de l'équipe inspiration a invité tous les parents, gouvernements et partenaires à accompagner l'Ong Rachael Orumor pour un futur rayonnant du Bénin, de l'Afrique et du monde.
La compétition prend en compte 13 écoles issues des CEG publics du Bénin notamment 6 écoles de Cotonou et 7 CEG de Parakou.
Elle sera sanctionnée par un jeu robotique inter-collèges et les meilleurs seront primés.
Akpédjé AYOSSO
Dans le cadre de l'édition 2019 de la Coupe Ufoa-Fx qui va se jouer du 28 septembre au 13 octobre 2019 au Sénégal, le Bénin affronte la Guinée le 1er octobre prochain à 20 heures au stade Lat Dior de Thiès. L'équipe gagnante de ce match affrontera le 03 octobre le vainqueur de la rencontre Sénégal # Guinée Bissau. Les perdants de ces deux rencontres s'affronteront le même jour.
THE WAFU CUP OF NATIONS SENEGAL 2019 IS COMING pic.twitter.com/iz1DWR59i1
— UFOA B/WAFU B (@UfoawafuB) August 10, 2019
Les demi-finales vont se jouer du 08 au 09 octobre et la finale le 13 octobre à 17 heures au stade Lat Dior de Thiès.
F. A. A.
En vue de pouvoir offrir le sacrifice de mouton à Allah et fêter en beauté l'Aïd El-Kébir, plusieurs fidèles musulmans sont tombés dans les pièges de structures illégales de collecte d'épargne dans les villes de Parakou et de Djougou. Contrairement aux moutons, aux sacs de riz et autres produits qui leur avaient été promis, les épargnants n'ont fait que constater la disparition des structures à quelques jours de la fête de Tabaski.
Selon le récit fait par les journalistes de la radio nationale, à Parakou, c'est la structure dénommée Solidarité, Partage et Paix qui a réussi à emporter des sommes allant de 400.000 à 600.000 FCFA chez des épargnants.
Selon le témoignage d'une des victimes, c'est à 05 jours de la Tabaski qu'ils devraient entrer en possession de leurs biens. Mais contre toute attente, la structure n'a pas ouvert ses portes jusqu'à ce que la fête s'achève, et nul ne sait où la retrouver.
De même, à Djougou, c'est ‘'Secours pour la Paix et la Prospérité'' (SPP-Bénin) qui a arnaqué les fidèles musulmans. Au nombre des produits proposés aux clients après l'ouverture de ses portes en début d'année, figure la tontine Tabaski. Là aussi, tout le personnel a disparu à quelques jours de la fête emportant sur lui, les sous des épargnants.
Cette situation témoigne une fois encore, de la présence et de la prolifération sur le territoire, des structures illégales de collecte d'épargne malgré la rocambolesque affaire dite Icc-Services et consorts qui a fait perdre à des milliers de citoyens plusieurs milliards de francs CFA.
Les populations sont donc appelées à la vigilance.
F. A. A.
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Le préfet Daniel Valère Setonnougbo a effectué une tournée de sensibilisation en vue d'inciter à une organisation pacifique des festivités de la divinité Oro dans le Plateau. Cette tournée achevée en fin de week-end du 10 août par l'étape de Pobè a permis de s'entretenir avec les élus locaux, sages, dignitaires et responsables des couvents du culte Oro.
Les dignitaires, sages et responsables de couvent du culte Oro ont été entretenus sur une organisation pacifique de leurs festivités.
Pour ces manifestations prévues pour démarrer le 15 août prochain dans le Plateau, les dignitaires ont été invités par le préfet à éviter l'occupation des voix publiques, des écoles, des alentours des centres de santé. Ils sont aussi appelés surtout à éviter les actes de vandalisme et de trouble à l'ordre public au cours de toutes les manifestations de la divinité Oro. Même si le chargé de mission du préfet Barnabé Oladjèhou, souligne qu'on ne peut pas interdire les manifestations du culte Oro dans le département du Plateau, il rappelle que leur devoir est de l'encadrer pour éviter tout dérapage.
Outre cette information portée à leur connaissance, les adeptes du culte Oro, ont été entretenus sur la bonne collaboration dans la localité notamment entre les fidèles et responsables des autres confessions religieuses et eux-mêmes pour une bonne cohabitation pendant la période desdites manifestations.
G.A.
Le tribunal de première instance de Parakou s'est prononcé ce lundi 12 août 2019 sur un dossier de viol dans le cadre de la première session criminelle de l'année 2019.
A la barre, Pierre Sambiéni, jeune élève en classe de 4ème est accusé de viol. En détention depuis le 22 mai 2018, il recouvre sa liberté.
Selon le rappel des faits, dans la nuit du 1er janvier 2018 à N'Dali dans le département du Borgou, les frères Pierre Sambiéni, Pascal et Eric Sollah avaient invité Mlle X. Y. pour une sortie. Ensemble, les 04 jeunes sont allés dans un bar se saouler. Ivre, la jeune demoiselle est conduite au domicile des frères Sollah. Profitant de son ivresse, Pierre Sambiéni abusa d'elle.
Accusé de viol, il a reconnu les faits devant le juge.
Dans sa sentence, la Cour présidée par la magistrat Lionel Dossou Nouwatin l'acquitte au bénéfice du doute. Mis sous mandat de dépôt le 22 mai 2018, il recouvre sa liberté après 15 mois derrière les barreaux.
La défense est assurée par la bâtonnier Yvon Détchénou et le ministère public est représenté par Bachirou Amadou Assouma.
L'audience n'a pas été ouverte au public.
F. A. A.
Les manifestants de N'dali sont revenus à la charge dans l'après-midi de lundi 12 août 2019. Munis d'armes artisanales, les manifestants ayant constaté l'exfiltration des braqueurs ont décidé d'affronter les policiers. En dehors des blessés enregistrés dans la matinée de lundi, le bilan fait état de 3 morts du côté des populations.
Les affrontements entre policiers et populations ont débuté très tôt lundi 12 août 2019. Cela fait suite à l'arrestation par la Police de certains malfrats ayant avoué leurs braquages antérieurs dans lesquels plusieurs personnes ont trouvé la mort.
Les populations mécontentes voulaient en découdre avec ces présumés braqueurs en essayant d'entrer dans le commissariat de N'dali. La police a dû lancer des gaz lacrymogènes pour disperser la foule.
Akpédjé AYOSSO
Les députés de l'Assemblée nationale sont invités par le président Louis Vlavonou à prendre part à la séance plénière qui aura lieu le mercredi 14 Août 2019 à 10 heures au palais des Gouverneurs à Porto-Novo.
L'ordre du jour de la séance portera sur les points tels que la désignation des membres du Conseil d'Orientation et de Supervision de la Liste Électorale Permanente Informatisée (COS-LEPI) et la clôture de la cinquième session extraordinaire de l'année 2019.
Akpédjé AYOSSO
Le Président du Conseil National du Dialogue Social (CNDS), Monsieur Guillaume ATTIGBE a été reçu en audience ce lundi 12 août 2019 par le Président de la Cour constitutionnelle, le Professeur Joseph DJOGBENOU.
Mr ATTIGBE est arrivé à la Haute juridiction avec une délégation composée de Monsieur Christophe HOUESSIONON, Secrétaire général et de Monsieur Bernard AHISSOU, secrétaire permanent du CNDS.
Au cours de cette rencontre, il a été question de présenter au Président de la Cour constitutionnelle, les activités, les difficultés et les perspectives pour l'ancrage du dialogue social au Bénin. Cette rencontre a aussi permis au président du CNDS de recevoir les conseils du Professeur DJOGBENOU pour la réussite de sa mission. « Vous faites partie de la nouvelle nomenclature institutionnelle républicaine ; et le CNDS est un instrument essentiel pour la gouvernance » a dit le Président DJOGBENOU.
Créé le 07 Août 2017, le Conseil national du dialogue social a pour but d'œuvrer pour la bonne marche du dialogue social entre les syndicats, le patronat et le gouvernement.
Le nouveau Conseil créé est un organe autonome dont les membres sont issus aussi bien du secteur public que du privé et représentatif au plan sectoriel que départemental.
A leur sortie d'audience, le Président du CNDS et la délégation qui l'accompagne se sont prêtées aux questions de la Presse. (Suivons l'audio).
H. H.D. AP/PCC
Le Ministre d'état Abdoulaye BIO TCHANÉ, membre du présidium du Bloc Républicain, à la tête d'une forte délégation, a échangé en fin de matinée de ce lundi 12 août avec les militants de Djougou.
L'objectif de cette sortie est de remercier les militants de Djougou pour avoir offert les deux sièges de la 13eme circonscription électorale au parti du cheval blanc, lors des législatives du 28 avril dernier.
Saluant cette démarche du Ministre d'État chargé du Plan et du Développement, les militants ont réaffirmé leur appartenance au Bloc Républicain. Ils promettent se mettre en ordre de bataille pour les élections locales et communales de 2020 pour un succès encore plus éclatant.
Répondant à certaines préoccupations, le numéro 2 du Gouvernement a rappelé les principales actions de l'exécutif en cours dans la commune. Il s'agit du projet ARCH dont la phase pilote touche les communes de Djougou, Ouaké et Copargo, de la construction de la route Djougou-Banikoara, des chantiers d'approvisionnement en eau potable, du projet SWEDD qui démarre bientôt...
Autour de Abdoulaye BIO TCHANÉ ce lundi à la maison des jeunes de Djougou, se trouvaient les deux députés de Djougou (Wallys Zoumarou et Nuhum Bida), le coordonnateur communal BR, Radji Soumanou, Malick Gomina ou encore les sages, notables, dignitaires religieux et têtes couronnées de la localité. Deux jours plus tôt, c'est à dire samedi dernier, Abdoulaye BIO TCHANÉ avait fait le même exercice avec les militants de Ouaké et Sèmeré. Dans les prochaines semaines, ce sera le tour des communes de Bassila et de Copargo.
Finafa H.
Quelques images de la rencontre
Les populations et la police républicaine à couteaux tirés dans la commune de N'dli. Et pour cause, la mise aux arrêts de présumés braqueurs. Selon l'information relayée par la Radio Deeman Fm, les populations tentent d'entrer de force au commissariat de police en vue d'en extraire des présumés braqueurs. Lesdits malfrats auraient avoué être auteurs de plusieurs braquages lors desquels plusieurs personnes ont été tuées.
Pour le moment, la situation est sous contrôle puisque la police a dû utiliser des gaz lacrymogènes pour disperser la foule en furie.
Le bilan provisoire fait état de deux blessés parmi les manifestants.
Aux dernières nouvelles, la situation est loin de s'apaiser de sitôt.
Les forces de sécurité ont demandé des renforts pour maîtriser les insurgés.
G.A.
Les 05 meilleurs bacheliers de 2019 se sont envolés dans la nuit de dimanche 11 août 2019 pour Paris à bord du vol Air France. Accompagné de l'opérateur économique Thierry Gandaho, promoteur du Prix d'excellence Gandaho, les bacheliers bénéficient d'un séjour d'une semaine de vacances à Paris.
Promouvoir l'excellence et célébrer les talents, tel est l'objectif poursuivi par le sieur Thierry Gandaho en organisant la première édition ‘'Prix d'excellence Gandaho 2019''. Entièrement à ses propres frais, le séjour des 05 premiers bacheliers au Baccalauréat, session de juin 2019, est une initiative appréciée par la ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Marie-Odile Attanasso.
« C'est un évènement que nous devons célébrer (...). Je n'ai jamais vu cette initiative d'un promoteur privé qui est d'envoyer des lauréats faire un voyage comme prix d'excellence », a-t-elle affirmé lors de la cérémonie officielle de remise de billets d'avion vendredi 09 août 2019.
Les premiers bacheliers ayant reçu un billet d'avion aller-retour sur les vols d'Air France vont séjourner à l'hôtel Belfast à Paris. Ils visiteront les plus grand sites touristiques de France : Disneyland, Arc de Triomphe, musée de Louvre, musée d'Orsay, Château et Jardins de Versailles, Château de Chantilly.
Aussi, chaque bachelier bénéficie-t-il de 900 euros (589 500 FCFA) pour faire du shopping.
Tout est prévu pour faire de ce séjour, un souvenir inoubliable pour les 05 premiers bacheliers 2019 dont 03 filles et 02 garçons.
Akpédjé AYOSSO
Il n'est plus de ce monde. Yves Sèdjro, artiste chanteur béninois est décédé dimanche 11 août 2019.
Originaire de Porto-Novo et très connu du public branché, Yves Sèdjro est l'aîné d'une famille de 04 enfants. Membre de plusieurs groupes, il a débuté sa carrière solo en 2005 et lance en 2006 son album Overdoz qui a connu de succès.
En 2013, il sort un nouveau single intitulé « Que veux-tu ? », sous label la Nouvelle Donne Music.
Il a également collaboré sur plusieurs singles et fait des featurings avec des artistes tels que : K'libr Volkanik, Duce, Eric Le Blanc, Moonlove, Dragomir, Vano.
Yves Sèdjro est très connu à travers les morceaux Assitché Dafogbé, Tagba, Désolé.
Akpédjé AYOSSO
La communauté musulmane a célébré ce dimanche 11 août 2019, la fête de l'Aïd El-Kébir encore appelée ‘'Tabaski''. C'est l'une des fêtes les plus importantes de la religion musulmane qui permet de commémorer la soumission de Ibrahim à son Dieu, Allah.
A Lokossa dans le département du Mono, c'est aux environs de 09 heures que l'Imam Abdoulaye Taofiki a démarré la prière. Après avoir exécuté les deux raquâtes prévues pour ce jour, il a prié le Seigneur pour que les bénédictions de la solennité de la Tabaski jaillissent sur tout le monde. « Ce jour est tellement grandiose parce que Dieu fait descendre les anges. Partout l'on prie, les anges nous entourent », a déclaré l'Imam.
Les fidèles musulmans de Lokosssa n'ont pas oublié de prier pour le président de la République, Son Excellence Patrice Talon. « Nous avons prié pour le chef de l'Etat pour toutes les actions qu'il entreprend pour le développement de notre pays. Nous avons prié pour sa famille […], toute la population, toute la nation. Nous avons prié pour la paix parce que sans la paix, on ne peut pas faire le développement », a confié un fidèle musulman, cadre de la localité.
Dans la ville de Kandi, dans le département de l'Alibori, le préfet Mouhamadou Moussa, le maire Bachabi et le député Démolé Moko, ont participé à la prière qui a été dite par l'Imam central à la place Idi.
Fier d'avoir pris part à ce moment de prière et de communion, le préfet de l'Alibori a souligné qu'on doit faire en sorte que la foi musulmane puisse être renforcée. Il a exhorté Allah à faire jaillir ses bénédictions sur le Bénin et sur le chef de l'Etat Patrice Talon. Avec la prière, et celle des autres confessions religieuses, toutes les actions engagées par le chef de l'Etat vont aboutir, a assuré l'autorité préfectorale.
Selon le député Démolé Moko, la « prière a été faite sur le sceau de la paix, la promotion et de la cohésion nationale, la promotion du savoir-vivre, du pardon des uns envers les autres pour que le Bénin puisse avancer, pour que pour les joutes électorales à venir, nous puissions tout faire dans la paix ».
Selon lui, des prières ont été également faites pour que les récoltes soient abondantes.
Après avoir rendu grâce à Dieu et remercié les populations de Kandi, le maire Bachabi a prié pour les populations béninoises et le chef de l'Etat. « Que Dieu veille sur lui afin que nous puissions l'accompagner dans l'œuvre salutaire qu'il entreprend pour le peuple », a confié le maire de Kandi.
F. A. A.
La Direction générale des Impôts a perçu une taxe de 3000 FCFA comme taxe pour chargement de moutons par véhicule. Le constat a été fait samedi 10 août 2019 au niveau du site de vente de moutons dans la commune de Zè.
Selon les informations, il s'agit d'une taxe de développement local appliquée au véhicule qui transporte les marchandises ou animaux.
Certains vendeurs expliquent que l'institution de cette taxe est l'une des causes de la cherté des bêtes en cette période de la Tabaski.
D. M.
Sous l'autorité du Secrétaire Exécutif, les spécialistes contribueront à la mise en œuvre efficace et efficiente de la mission du CNE.
Appels d'offres
Dans la perspective de la mise en place de la structure interne du Secrétariat Exécutif, le Président du Conseil National de l'Education(CNE) lance un appel à candidatures pour les postes ci-après :
1 spécialiste en suivi-évaluation des politiques publiques ;
1 spécialiste en sciences de l'Éducation ;
1 spécialiste en Économie et Statistiques de l'Éducation ;
1 spécialiste, juriste institutionnaliste.
Sous l'autorité du Secrétaire Exécutif, les spécialistes contribueront à la mise en œuvre efficace et efficiente de la mission du CNE.
Les conditions générales et spécifiques de candidature ainsi que les éléments constitutifs du dossier sont affichés au siège de l'ex CI-CNE (Cotonou, dans la rue de l'ambassade des Pays-Bas) et publiés dans le journal « La Nation » du lundi 05 au vendredi 16 août 2019.
Les personnes intéressées, appartenant aux catégories ci-dessus mentionnées, sont invitées à déposer leur dossier de candidature au siège de l'ex CI-CNE à Cotonou, les jours ouvrables, du lundi 05 au vendredi 23 août 2019 à 12h00 au plus tard.
Les TDRs complets comportant les attributions du CNE, le cahier de charges des spécialistes, sont à retirer sur demande au secrétariat du CNE ou à l'adresse email : recrutementspecialistescne@gmail.com
1. CONDITIONS GÉNÉRALES
Les candidats à tous les postes énumérés ci-dessus doivent remplir les conditions générales suivantes :
être de nationalité béninoise ;
avoir une très bonne connaissance du système éducatif national ;
avoir un casier judiciaire vierge ;
ne pas avoir fait l'objet d'une sanction disciplinaire ou pénale pour une faute commise dans l'exercice de ses fonctions ;
jouir d'une crédibilité résultant d'une expertise avérée dans le système éducatif national ;
être de bonne moralité et jouir de ses droits civiques ;
présenter des garanties suffisantes de disponibilité ;
avoir préalablement renoncé à son mandat électif, politique ou syndical, lorsqu'il en exerce.
être disposé à satisfaire les modalités de détachement ou de mise en disponibilité pour les cadres de l'administration publique.
2. CONDITIONS SPÉCIFIQUES
Sous l'autorité du Secrétaire Exécutif, les spécialistes apportent une assistance-conseil au CNE dans leur domaine d'expertise de manière à contribuer, dans son champ thématique de compétence, à l'atteinte des objectifs et à la visibilité du CNE.
D'une manière spécifique, les profils recherchés pour chacun des postes, doivent satisfaire aux critères relatifs aux domaines de compétence, cahier de charges, qualifications générales et spécifiques et aux exigences d'expériences professionnelles résumés ainsi qu'il suit :
2.1. Spécialiste en suivi-évaluation des politiques publiques (H/F)
Avoir un diplôme de l'enseignement supérieur de niveau au moins master (Bac+5) d'ingénieur statisticien planificateur ou en management public ou en sciences de gestion ou équivalent.
Avoir des qualifications spécifiques en :
planification, évaluation des politiques publiques, analyse des politiques publiques, programmation, budgétisation, suivi-évaluation ;
gestion des politiques, stratégies de développement macroéconomique et des financements du système éducatif ;
gestion axée sur les résultats de développement (GARD) et du budget-programme ;
gestion du cycle du projet de développement ;
analyse institutionnelle et développement organisationnel ;
informatiques : Suite MS office, MS Project, STATA/SPSS, gestion des bases de données et de l'Internet ;
avoir un minimum de dix (10) ans de pratique professionnelle effective en analyse et suivi-évaluation des politiques publiques ;
avoir une expérience pratique des procédures d'élaboration des dossiers d'appel d'offres et de passation des marchés publics ;
avoir participé à des études spécifiques sanctionnées par des publications de rapports / articles / ouvrages ou autres ;
avoir une aptitude au travail en équipe ;
avoir des connaissances ou des aptitudes dans les domaines ci-après sont des atouts :
une connaissance de système(s) éducatif(s) étranger(s) et de l'anglais ;
une expérience de gestion de projets et programmes de développement, pour le compte d'un organisme international, d'une ONG Internationale ou d'une institution nationale publique ou privée ;
une familiarité avec les relations institutionnelles entre les acteurs du système éducatif.
2.2. Spécialiste en sciences de l'Éducation (H/F)
Avoir un diplôme de l'enseignement supérieur de niveau au moins master (Bac+5) en sciences de l'Éducation ou équivalent ;
avoir des qualifications spécifiques en :
administration du système éducatif ;
ingénierie de la formation et des systèmes d'emploi ;
ingénierie pédagogique ;
financements du système éducatif ;
gestion des politiques et stratégies de développement ;
gestion des ressources humaines ;
informatique : Suite MS office, MS Project et de l'Internet ;
avoir un minimum de dix (10) ans de pratique professionnelle effective en sciences de l'éducation ;
avoir une expérience pratique des procédures d'élaboration des dossiers d'appel d'offres et de passation des marchés publics ;
avoir participé à des études spécifiques sanctionnées par des publications de rapports / articles / ouvrages etc. ;
avoir des connaissances ou des aptitudes dans les domaines ci-après sont des atouts :
une connaissance de système(s) éducatif(s) étranger(s) et de l'anglais ;
une connaissance de la gestion du cycle de projet de développement ;
une connaissance en analyse institutionnelle et en développement organisationnel ;
l'aptitude au travail en équipe ;
une familiarité avec les relations institutionnelles entre les acteurs du système éducatif ;
une expérience de gestion de projets et programmes de développement, pour le compte d'un organisme international, d'une ONG Internationale ou d'une institution nationale publique ou privée.
2.3. Spécialiste en économie et statistiques de l'éducation (H/F)
Avoir un diplôme de l'enseignement supérieur de niveau au moins master (Bac+5) en économie et statistiques de l'éducation ou équivalent ;
avoir des qualifications spécifiques en :
gestion des politiques et stratégies de développement macroéconomique ;
financements du système éducatif ;
gestion axée sur les résultats de développement (GARD) et du budget-programme ;
planification, évaluation des politiques publiques, analyse des politiques publiques, programmation, budgétisation, suivi-évaluation ;
gestion du cycle du projet de développement ;
analyse institutionnelle et développement organisationnel ;
procédures d'élaboration des dossiers d'appel d'offres et de passation des marchés publics ;
informatique : Suite MS office, MS Project, STATA/SPSS, gestion des bases de données et de l'Internet ;
avoir un minimum de dix (10) ans de pratiques professionnelles effectives en économie et statistiques de l'éducation ;
avoir une expérience pratique des procédures d'élaboration des dossiers d'appel d'offres et de passation des marchés publics ;
avoir participé à des études spécifiques sanctionnées par des publications de rapports / articles / ouvrages ;
avoir des connaissances ou des aptitudes dans les domaines ci-après sont des atouts :
une connaissance du système éducatif étranger et de l'anglais ;
une aptitude au travail en équipe ;
une familiarité avec les relations institutionnelles entre les acteurs du système éducatif ;
une expérience de gestion de projets et programmes de développement, pour le compte d'un organisme international, d'une ONG Internationale ou d'une institution nationale publique ou privée.
2.4. Spécialiste, juriste institutionnaliste (H/F)
avoir un diplôme de l'enseignement supérieur de niveau au moins master (Bac+5) en droit public ou équivalent ;
avoir des qualifications spécifiques et une aptitude à :
la veille juridique ;
l'analyse et à l'évaluation des institutions publiques ;
la rédaction des textes normatifs ;
l'analyse et à l'évaluation des textes législatifs et règlementaires ;
la gestion des contrats et des traités ;
l'environnement informatique : Suite MS office, MS Project et de l'Internet ;
avoir un minimum de dix (10) ans de pratiques professionnelles effectives en droit public, en administration générale et en management des services publics ;
avoir une expérience pratique des procédures d'élaboration des dossiers d'appel d'offres et de passation des marchés publics ;
avoir participé à des études spécifiques sanctionnées par des publications de rapports / articles / ouvrages ;
avoir des connaissances ou des aptitudes dans les domaines ci-dessous sont des atouts :
une connaissance de système(s) éducatif(s) étranger(s) ;
une familiarité avec l'anglais ;
une connaissance de la gestion du cycle de projet de développement ;
une connaissance en développement organisationnel ;
une aptitude au travail en équipe ;
une familiarité avec les relations institutionnelles entre les acteurs du système éducatif ;
une expérience de gestion de projets et programmes de développement pour le compte d'un organisme international, d'une ONG Internationale ou d'une institution nationale publique ou privée.
3. CONTENU DU DOSSIER
Le dossier de candidature doit contenir les pièces suivantes :
une lettre de motivation de trois (03) pages au maximum (Police Times New Roman, Taille 12, Interligne 1,5 ; Marges 2,5) à adresser à Monsieur le Président du Conseil National de l'Education ;
un curriculum vitae de trois (03) pages au maximum (Police Times New Roman, Taille 12, Interligne 1,5 ; Marges 2,5) indiquant l'adresse complète du candidat ;
la photocopie légalisée des diplômes les plus pertinents à partir du MASTER ;
la photocopie légalisée des attestations de formations dans le domaine considéré ;
un certificat médical de visite et contre-visite datant de moins de trois mois ;
un certificat de nationalité légalisé ;
un casier judiciaire datant de moins de trois mois ;
la preuve des expériences acquises, notamment les copies des attestations et certificats de travail ou tout autre document tenant lieu.
4. DÉPÔT DES DOSSIERS DE CANDIDATURES
Les personnes intéressées par le présent appel à candidatures sont priées de déposer leur dossier de candidature sous pli fermé avec la mention « Candidature au poste de ……………………………….. », au plus tard le 23 Août 2019 à 12h00 au siège de l'ex CI-CNE à Cotonou, dans la rue de l'ambassade des Pays-Bas ; Tél : (229) 69-59-15-97.
5. SÉLECTION
La sélection consiste en une présélection par étude de dossier et en un entretien oral de sélection
La présélection se fera sur la base de l'examen uniquement du dossier fourni.
Seul(e)s les candidat(e)s présélectionné(e)s seront contacté(e)s aux adresses email et téléphoniques mentionnées dans leur CV ou dans leur lettre de motivation.
Les candidatures féminines sont vivement souhaitées.
Fait à Cotonou, le 31 juillet 2019
Le Président du CNE
Professeur Noël A. GBAGUIDI
— Présidence du Bénin (@PresidenceBenin) August 8, 2019
A travers une ordonnance portant mesures provisoires en date du 08 août 2019, la Cour africaine des droits de l'homme et des peuplesrejette une plainte de l'ex-président de la République Boni Yayi contre l'Etat béninois.
L'ex chef d'Etat Boni Yayi représenté par son avocat Me Renaud Agbodjo, avocat au barreau du Bénin a déposé une plainte le 11 juin 2019 à la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples dans laquelle, il évoque les évènements survenus après les élections législatives du 28 avril 2019 qui ont eu lieu sans l'opposition.
L'ancien président de la République y mentionne sa supposée arrestation à son domicile puisque la police et l'armée ont encerclé son domicile le 1er mai 2019. Il fait part des soulèvements des populations des1er et 2 mai pendant lesquels l'armée a tiré à balles réelles sur les manifestants, « causant d'énormes pertes en vies humaines et des arrestations en masse ».
Boni Yayi évoque également sa plainte devant la Cour de justice de la CEDEAO, son assignation à résidence surveillée, son audition manquée par le juge d'instruction à cause de sa santé. Aussi, dans sa plainte a-t-il rappelé que les manifestants illégalement arrêtés entre le 1er et le 13 mai 2019 ont comparu devant le juge des flagrants délits le 28 mai 2019 et que la durée de la détention excède le délai prévu à l'article 402 du Code de procédure pénale.
Le président d'honneur du parti FCBE n'a pas manqué de signaler la levée du dispositif sécuritaire installé autour de son domicile à Cadjéhoun dans la nuit du 21 au 22 juin 2019, ce qui lui a permis de quitter le Bénin pour la France en vie de recevoir des soins médicaux.
Yayi accuse l'Etat d'avoir violé ses droits
Selon l'ex président de la République, l'Etat béninoisa violé plusieurs de ses droits prévus par les instruments internationaux auxquels le Bénin est partie. Il relève le droit à la vie et à l'intégrité physique de la personne humaine, le droit à la liberté de manifestation et de réunion, le droit à la liberté d'expression, le droit d'être jugé dans un délai raisonnable.
Ainsi, l'ex Chef d'Etat demande à la Cour de déclarer sa requête recevable, d'ordonner qu'il soit sursis à tout acte de poursuite, d'instruction et de jugement contre l'ancien député Guy Mitokpè et les 64 personnes détenues dans l'affaire des soulèvements de Cadjèhoun, la remise en liberté provisoire des manifestants détenus ‘'arbitrairement'' jusqu'à la décision sur le fond de sa requête et la levée de tous les obstacles à sa liberté de circulation.
Motifs de rejet de la plainte de Yayi contre l'Etat
S'agissant de la levée des obstacles à la liberté de circulation de Boni Yayi, la Cour estime que cette demande est devenue sans objet dans la mesure où les barrières policières ont été levées permettant à l'ex président de se rendre en France pour ses soins.
Pour la demande sursis à tout acte de poursuite d'instruction et de jugement contre l'ex député Guy Mitokpè et les 64 personnes détenues, « la Cour note que pour sa propre situation, le requérant a évoqué des raisons de santé ne lui permettant pas de répondre à la convocation du juge ». Aussi, l'Etat a-t-il permis à Boni Yayi de quitter le territoire pour des soins médicaux.
La Cour rejetant la demande estime qu' « en dehors des raisons de santé évoquées, les circonstances de l'espèce ne révèlent pas une situation dont la gravité et l'urgence présenteraient un risque de dommages irréparables pour Boni Yayi et les autres personnes ci-dessus visés ».
En ce qui concerne la demande de remise en liberté provisoire des manifestants détenus arbitrairement jusqu'à la décision sur le fond de sa requête, la Cour souligne que « l'ex président n'a pas fourni la preuve de l'extrême gravité de la situation et dans les circonstances de l'espèce, la demande relève des mesures à ordonner après examen du fond de l'affaire ».
En conséquence, cette demande est également rejetée.
La Cour à l'unanimité « décide de ne pas accorder les mesures ».
L'Etat béninois est représenté par Mme Irène Aclombessi, Agent Judiciaire du Trésor.
Akpédjé AYOSSO
Quelques heures avant la fête de la Tabaski, des cas de vol de moutons ont été enregistrés dans le département de l'Alibori, notamment dans les localités de Garadebou, de Mongou et de Kandi.
Selon le commissaire central de Kandi, Jude Adjahoutole, c'est autour de 02 heures du matin que les ‘'sans foi ni loi'' ont été interpellés en plein opération. L'équipe de patrouille de la police a réussi à arrêter 04 sur les 05 malfrats, a-t-il informé.
Le commissaire rassure les populations que la police va continuer ses patrouilles dissuasives et les accentuer. « Tant qu'ils seront dans la nuit pour opérer, nous seront dans la nuit pour les en dissuader », a-t-il martelé.
Face aux cas de vol enregistrés dans la ville de Kandi et ses environs, le directeur départemental de la police républicaine de l'Alibori, Roger Gniro invite les populations à plus d'attention sur leurs biens.
Les cas de vol enregistrés dans la ville sont généralement causés par des gens qui viennent d'ailleurs et profitent de la naïveté des populations, a expliqué le fonctionnaire de police.
En dehors des moutons, des motos ont été retrouvées chez les voleurs interpellés. Ils seront présentés lundi prochain au procureur.
La communauté musulmane célèbre ce dimanche 11 août 2019, la fête de la Tabaski. Une fête au cours de laquelle tout fidèle musulman est appelé à offrir le sacrifice du mouton à Allah.
F. A. A.