Paris, le 20 août 2019 - Le programme régional Pour les Femmes et la Science, mené par la Fondation L'Oréal en partenariat avec l'UNESCO en Afrique subsaharienne, va célébrer sa dixième édition cette année, en novembre prochain, à Dakar au Sénégal. À cette occasion, la Fondation L'Oréal annonce une action renforcée dans cette région du monde, pour mieux soutenir les femmes scientifiques africaines et contribuer au développement de l'excellence scientifique au féminin en Afrique.
La Science et l'innovation, deux leviers indispensables aux challenges de l'Afrique
« Le monde a besoin de science et la science a besoin des femmes. » Cette conviction, au cœur du programme international Pour les femmes et la science, mené depuis 1998 par la Fondation L'Oréal en partenariat avec l'UNESCO, s'illustre tout particulièrement en Afrique.
« Il est essentiel de mettre en avant et soutenir les extraordinaires chercheuses du continent, qui sont indispensables pour développer une recherche inclusive en Afrique, pour l'Afrique et menée par des Africain·e·s. », affirme Alexandra Palt, Directrice Générale de la Fondation L'Oréal, dans une tribune publiée dans l'édition du magazine Jeune Afrique, datée du 11 août 2019. Cette tribune paraît alors qu'en France, à Biarritz, va se tenir le Sommet du G7, dont la thématique centrale sera la lutte contre les inégalités et où seront représentés le Burkina Faso, l'Égypte, le Rwanda et le Sénégal.
Trop peu de femmes africaines scientifiques
Aujourd'hui, il n'y a tout simplement pas assez de femmes scientifiques en Afrique. Parmi les chercheurs mondiaux, on compte seulement 2,4 % de scientifiques africains, dont à peine 30 % sont des femmes. Au Kenya, seulement 75 des 300 étudiants qui obtiennent un doctorat chaque année sont des femmes sur une population totale de 48 millions d'habitants. Au Tchad, seuls 5 % des chercheurs sont des femmes, et en Afrique de l'Ouest, seuls 8 % des laboratoires de recherche sont dirigés par des femmes.
Pour soutenir les femmes de science africaines, dans le cadre du programme régional L'Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science dédié à l'Afrique subsaharienne, la Fondation L'Oréal et l'UNESCO ont accompagné et mis en lumière et 129 Jeunes Talents, doctorantes et post-doctorantes.
Doubler le nombre de jeunes chercheuses d'Afrique subsaharienne accompagnées
À l'occasion de la 10ème édition du programme Afrique subsaharienne, la Fondation L'Oréal a souhaité renforcer son engagement dans cette partie du monde.
À partir de cette année, deux programmes distincts seront menés : l'un dédié à l'Afrique du Sud qui récompense 7 Jeunes Talents, et l'autre se déployant dans les 48 autres pays de la région subsaharienne, au bénéfice de 20 autres chercheuses, doublant ainsi le nombre de jeunes femmes scientifiques qui seront soutenues.
Dans le cadre de ce deuxième programme, durant l'été 2019, 15 doctorantes et 5 post- doctorantes originaires d'une quinzaine de pays d'Afrique subsaharienne et pionnières dans de nombreux domaines scientifiques, ont été sélectionnées pour l'excellence scientifique de leurs travaux par un jury d'experts, parmi près de 400 candidatures éligibles. Le palmarès sera rendu public en octobre prochain.
Formation et Cérémonie à Dakar, en novembre
Elles seront rassemblées à Dakar, au Sénégal, à la mi-novembre 2019, avec les 7 Jeunes Talents d'Afrique du Sud, pour bénéficier d'un programme de formation qui viendra compléter leur parcours académique. L'objectif : leur donner davantage les moyens de poursuivre leur carrière et de briser le plafond de verre. Cette formation de trois jours sera dispensée par des experts internationaux sélectionnés par la Fondation L'Oréal et abordera différentes disciplines : leadership, management, négociation, communication et prise de parole en public.
À l'issue de cette formation, une Cérémonie de remise de diplômes se déroulera le 21 novembre. Les 20 brillantes chercheuses d'Afrique subsaharienne se verront remettre une dotation pour financer leurs recherches - 10 000 € pour les doctorantes et 15 000 € pour les post-doctorantes. La Cérémonie se tiendra en présence d'un public distingué, venu de tout le continent africain, composé de représentants des pouvoirs publics, de l'UNESCO, de scientifiques, de femmes influentes, d'universitaires, d'intellectuels, de leaders d'opinion et d'organisations promouvant l'égalité des genres.
Enfin, les Jeunes Talents seront mises à l'honneur au travers d'une campagne médiatique d'ampleur, afin de faire rayonner leur excellence et sensibiliser le public à l'importance des femmes en science.
Contact presse :
Eric Bazin - eb@lelab.info - +33 6 27 94 52 01
Suivez la Fondation L'Oréal sur Twitter @4WomeninScience et sur Facebook @ForWomeninScienceSA
#FWIS #Fondationloreal
Le ministre du Cadre de vie et du développement durable José Tonato réagit face aux actes d'incivisme notoire qui se multiplient dans l'agglomération du Grand Nokoué et particulièrement dans la ville de Cotonou. Par un communiqué en date du mercredi 21 août 2019, tenant lieu d'ultime avertissement, José Tonato invite les citoyens à s'abstenir de ces actes répréhensibles.
Selon le communiqué du ministre du cadre de vie, le dépôt d'ordures ménagères dans les lieux non autorisés, la défécation à l'air libre notamment sur les berges et les plages, l'élevage des animaux dans les agglomérations, le rejet des eaux usées sur les voies publiques et dans les caniveaux, l'utilisation des cimetières et lieux publics comme dortoirs, sont des actes qui n'honorent pas notre pays.
Communiqué relatif aux actes d'incivisme notoire constatés dans l'agglomération du Grand Nokoué et particulièrement dans la ville de Cotonou. #Wasexo #CadreDeVieBenin pic.twitter.com/1xTsoxjTER
— José Tonato (@JoseTonato) August 21, 2019
Pour José Tonato, « cette situation ne saurait perdurer impunément », puisque en agissant ainsi, « ces individus compromettent les efforts consentis par le gouvernement pour l'amélioration du cadre de vie ».
« Par ailleurs, les berges, les plages et nos plans d'eau ne peuvent servir de lieu de défécation ou de réceptacle pour les dépôts des déchets solides ménagers, les eaux usées, les boues de vidanges », ajoute José Tonato.
Le ministre du Cadre de vie et du développement durable rappelle que « nul n'est censé ignorer la loi et que toute personne a droit à un environnement sain ». Il invite donc les uns et les autres à s'abstenir de poser dorénavant de tels actes répréhensibles.
« En tout état de cause, toute personne surprise en flagrant délit de tels actes d'incivisme sera tenue responsable des déconvenues qui en découleraient conformément aux dispositions du code d'hygiène publique, de la loi portant aménagement, protection et mise en valeur du littoral, de celle portant interdiction de l'utilisation des sachets plastiques non biodégradables et de la loi-cadre sur l'environnement en République du Bénin », prévient le ministre.
Les chefs de quartiers, les élus locaux, les élus communaux, les maires, les préfets ainsi que tous les agents des collectivités locales et assimilés sont chargés d'informer largement les populations.
Le ministre du Cadre de vie et du développement durable compte « sur le sens élevé de responsabilité, le civisme et l'esprit patriotique de chacun et de tous en vue d'adopter et de promouvoir des comportements éco-citoyens ».
Akpédjé AYOSSO
Difficile de passer les frontières entre le Bénin et le Nigéria ce mercredi 21 août 2019. Le grand voisin de l'Est a fermé ses frontières à la hauteur de Chikanda et environs. Au niveau de l'Etat de Kwara state et aux autres frontières, les passages sont filtrés avec minutie.
De sources proches du Nigéria, la fermeture des frontières s'inscrit dans le cadre de l'opération dénommée ‘'Boader Green'', qui va durer 28 jours.
Au cours de ladite opération, les forces nigérianes de sécurité vont accorder une attention particulière aux mesures interdisant l'exploitation du bois, la sortie frauduleuse des produits pétroliers, l'importation des véhicules d'occasion, du riz et certains produits interdits par voie terrestre.
Cette mesure pourrait avoir de sérieuses répercussions sur de nombreux produits surtout la flambée du prix de l'essence de contrebande.
F. A. A.
Ayant pris l'engagement de faire la médiation au lendemain des incidents du 1er et 2 mai 2019, le clergé a décidé de faire une pause jusqu'à la tenue fin octobre de la Conférence épiscopale.
Réunis au sein d'un comité restreint, les évêques du Bénin ont décidé de mettre provisoirement un terme à leur médiation. Cette pause voulue par les évêques court jusqu'à la tenue de la plénière de la prochaine Conférence épiscopale prévue à Parakou fin octobre. Selon les informations révélées par Rfi, le clergé a du mal à obtenir un rendez-vous avec le chef de l'Etat malgré que deux demandes d'audience soient introduites le 28 juin et le 19 juillet sans une suite favorable. Une audience pour laquelle les évêques devront rendre compte au chef de l'Etat de leur rencontre avec les différents acteurs.
Selon le clergé, même si les consultations continuent, rien de concret n'est prévu avant la tenue de la conférence épiscopale.
En attendant une suite à la demande d'audience, le clergé continue de montrer sa disponibilité à aller au bout de cet engagement pour que la paix soit préservée au Bénin.
En attendant la poursuite ou non de cette médiation, la conférence épiscopale ont lancé un appel à la prière pour le pays,
au terme du pèlerinage marial à Dassa dimanche du 18 août dernier.
G.A.
La Fondation Kundi Africa a réussi à fixer dans les esprits la première semaine de Septembre comme date de tenue du Leadership Day. Initié en 2017, ce rendez-vous de partage du savoir est une occasion pour les jeunes béninois de se familiariser avec les compétences sociales. Que ce soit à Cotonou ou à Lomé, avec Hanane Anoua ou Nabou Fall, plus de 600 jeunes ont déjà été impactés à travers ce rendez-vous servant également de tribunes de partage d'expériences.
Le Leadership Day Cotonou 2019, qui se tiendra à Canal Olympia sis à Wologuèdè, accueillera comme conférencière principale Sherrifa Akanni, une spécialiste des ressources humaines travaillant pour le Groupe de la Banque Mondiale à Washington aux Etats-Unis. Titulaire d'un Bachelor of Arts, en ressources humaines à la Strayer University aux Etats-Unis ainsi que d'un diplômes de psychologie et de littérature anglaise, Sherrifa Akanni a travaillé à Aspen Group en tant que consultante en ressources humaines pour des clients comme AMTRAK, Nothern Virginia Community College et la Banque mondiale avant d'intégrer cette dernière en 2008. Elle anime actuellement la fonction ressources humaines au sein du Centre International pour le Règlement des Différends relatifs aux Investissements (CIRDI) qui est une des entités du groupe. A cheval sur les transformations dans le monde du travail, elle travaille également en tant que consultante en gestion informatique au sein de la même unité. Elle sera la première béninoise, conférencière principale du Leadership Day et son parcours servira à rendre le thème accessible aux participants.
Cette édition s'inscrit sous le thème : le futur du travail. Selon le Président de la Fondation Kundi Africa, "le thème de cette année reflète les considérations majeures issues des premières éditions. Nous avons fait le bilan et nous nous sommes rendus compte que le besoin réel de notre audience jeune était l'orientation professionnelle que ce soit en tant qu'entrepreneur ou comme employé. Nous nous sommes donc assignés comme objectif de mobiliser des professionnels des ressources et des responsables d'entreprises pour en discuter avec eux."
Cette année verra donc des interventions de différents panélistes issus du secteur privé, du secteur public et aussi des entrepreneurs et mettra l'accent sur le présent du travail et les enjeux liés à son futur : la globalisation, l'intelligence artificielle, la robotisation avancée, les évolutions dans le domaine des données, le travail collaboratif.
La Fondation Kundi Africa a mis clairement en avant le futur avec une priorité donnée à la prospective pour permettre aux jeunes de se projeter. 290 participants sont attendus pour bénéficier de ce programme qui s'impose dans sa régularité comme le rendez-vous du leadership.
Paul Tonon
Leadership Day : Kundi Africa Foundation forme gratuitement les jeunes à l'emploi - https://t.co/F2iKWyJsw1
— Hanane Anoua (@hananeanoua) September 10, 2017
Les associations de chasseurs n'auront plus droit de cité dans la commune de Savè. C'est la décision prise par le roi Adetùtù Onishabê au cours d'une cérémonie traditionnelle en présence des têtes couronnées, des sages et de la population.
Cette décision selon le roi, vise à prévenir d'éventuels dérapages et pérenniser l'héritage de paix légué par les ancêtres.
Se référant aux violences survenues en juin dernier dans la localité, les autorités traditionnelles affirment avoir totalement perdu tout contrôle sur les associations des chasseurs. Pour le roi Adetùtù Onishabê et son conseil, il s'agit de faits porteurs de gènes du trouble et qui fâchent les ancêtres.
Les violences de juin dernier dans la région constituent « une offense contre nos ancêtres qui ont lutté pour nous donner ce bel héritage qu'est la paix », a-t-il insisté.
Durant ladite cérémonie, le roi et les têtes couronnées de Savè ont prié les mânes des ancêtres pour un retour total à la paix au Bénin.
F. A. A.
Les patrouilles permanentes organisées de jour comme de nuit par la direction départementale de la police républicaine du département des Collines, notamment sur l'axe Glazoué-Parakou portent leurs fruits. Plusieurs divorcés sociaux sont tombés dans les filets de la police républicaine ces dernières heures.
Au total, trois braqueurs, quatre ravisseurs d'enfants et deux demandeurs de rançon ont été interpellés et mis aux arrêts.
Les trois braqueurs sont écroués à la prison civile d'Abomey.
Les deux rançonneurs seront présentés jeudi prochain à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
F. A. A.
Si le développement économique et la croissance démographique du continent africain sont inédits à l'échelle mondiale, ils ne doivent cependant pas faire oublier que les États africains font face à des défis majeurs : dérèglement climatique, pauvreté, accès inégal à l'éducation ou encore raréfaction des ressources naturelles. Pour les relever, la science et l'innovation sont des leviers essentiels, et il est indispensable que les femmes puissent contribuer pleinement et équitablement au développement de solutions issues de la science,en favorisant l'innovation et en enrichissant la recherche au niveau local. C'est le combat que porte la Fondation L'Oréal en Afrique.
Pourquoi cet engagement ? Parmi les chercheurs mondiaux, on compte seulement 2,4 %1 de scientifiques africains, dont à peine 30 % sont des femmes. Aujourd'hui, il n'y a tout simplement pas assez de femmes scientifiques en Afrique, avec de fortes disparités selon les pays. En Afrique de l'Ouest, seuls 8 % des laboratoires de recherche sont dirigés par des femmes.
En Afrique subsaharienne, de nombreuses difficultés se dressent devant les scientifiques, femmes ou hommes de manière indifférenciée, en particulier dans les pays les plus pauvres du continent, où le manque de financement et l'insuffisance des ressources impactent lourdement les infrastructures des laboratoires et la qualité de la recherche. Les femmes doivent cependant surmonter d'autres obstacles bien spécifiques cette fois. La faible présence des femmes en science et le manque de rôles modèles, comme la perpétuation de traditions culturelles profondément ancrées, qui attribuent certains rôles aux femmes, n'encouragent pas les jeunes filles à entamer des études scientifiques. Et pour celles qui songent à se lancer dans la recherche, équilibrer études et obligations familiales représente un défi de taille, que viennent parfois encore renforcer les verrous propres à la structure du système académique.
Il est donc essentiel de mettre en avant et soutenir les extraordinaires chercheuses du continent, qui sont indispensables pour développer une recherche inclusive en Afrique, pour l'Afrique et menée par des Africain·e·s.
Depuis la création du Prix international L'Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science, puis celle du programme dédié à l'Afrique subsaharienne, 11 femmes scientifiques d'exception et 129 Jeunes Talents, doctorantes et post-doctorantes, toutes issues du continent africain, ont été accompagnées et mises en lumière.
Cette année, notre programme Afrique subsaharienne fête son dixième anniversaire. À cette occasion, nous avons souhaité renforcer notre engagement. Pour mieux soutenir toutes les chercheuses où qu'elles soient sur le continent, nous avons décidé de créer deux programmes distincts : l'un dédié à l'Afrique du Sud, et l'autre se déployant dans les 48 autres pays de la région subsaharienne.
Nous allons ainsi doubler le nombre de jeunes femmes scientifiques qui bénéficieront de notre programme. Ainsi, pour l'année 2019, 20 Jeunes Talents originaires d'une quinzaine de pays d'Afrique subsaharienne, pionnières dans de nombreux domaines scientifiques, ont été sélectionnées parmi près de 400 candidatures. Elles seront rassemblées à Dakar, en novembre prochain, pour suivre une formation au leadership, qui leur permettra d'être mieux armées pour mener leur carrière, et être célébrées lors d'une cérémonie prestigieuse.
Il est indispensable que l'Afrique puisse compter sur ses meilleurs talents. Parce que l'Afrique a besoin de Science, et que la Science a besoin des femmes.
Alexandra PALT
Directrice Générale de la Fondation L'Oréal
Suivez la Fondation L'Oréal sur Twitter @4WomeninScience et sur Facebook @ForWomeninScienceSA
#FWIS #Fondationloreal
Va-t-on vers la suppression dėfinitive des activitės des individus extėrieurs å l'administration douanière communėment appelės Klėbė aux côtės des agents de la douane bėninoise ? C'est la question que l'on se pose depuis la semaine ėcoulėe. Dans la note de service numėro 2367/Dgddi/Ddal/R3 du 12 août 2019, le receveur de la douane Cotonou-port, Idrissou Imorou, a fait remarquer que, malgrė les dispositions de l'article 47 de l'arrêtė 2019 numėro 2015 numėro 4480-c/Mefpd/Cab/Sgm/Dgdi du 19 août 2015 portant code d'ethique et de bonne conduite des fonctionnaires de la direction gėnėrale des douanes et droits indirects et les instructions fermes du Directeur gėnėral contenues dans deux notes de service, certains agents des douanes continuent de s'appuyer sur la collaboration des Klėbė dans l'exėcution de leurs tâches. "Cette attitude, qui constitue une violation des dispositions rėglėmentaires et une dėsobėïssance å l'autoritė, ne saurait être tolėrėe plus longtemps. Il indique qu'il attachera du prix au respect de cette disposition. Selon les informations, tout douanier qui serait pris en violation de cette mesure, risque la radiation.
Pour mettre en application cette disposition, ce lundi 19août 2019, transitaires, Klėbė et agents se sont entretenus sur la question. En plus, les parcs de vente de vėhicules d'occasion å Sèmè-Podji sont interdits aux Klėbė et autres personnes non transitaires.
De leur côtė, les Klėbė disent avoir dėjà formalisė leur situation. Ils ont crėė l'Association nationale des indicateurs et aides de la douane bėninoise prėsidėe par Xavier Zanclan. Ce dernier soutient que ses collègues peuvent travailler avec les autoritės bėninoises. Comment ils exerceront leur activitė avec les nouvelles mesures de l'administration des douanes ?
Jules Yaovi Maoussi
La revue du Plan de travail annuel (Pta) du ministère l'Industrie et du Commerce s'est ouverte ce lundi 19 août 2019. Au menu, les rendements du ministère pour le compte du premier semestre 2019.
Elle sera meublée de quatre communications dont la première met en exergue les résultats globaux de l'exécution du Pta au 30 juin.
La deuxième sera axée sur la présentation des résultats du programme « Appui au secteur privé » et la troisième au programme Industrie ; la quatrième au programme Commerce.
Quant à la dernière, elle sera consacrée au programme Pilotage et soutien aux services.
En deçà des prévisions, les rendements du ministère de l'industrie et du commerce doivent être revus. C'est dans ce cadre que se déroule la presente revue du Pta. Ainsi, l'objectif est d'identifier les facteurs de blocage intervenus au cours de la mise en œuvre des activités programmées au premier semestre de l'année en cours. Il sera question de trouver des approches de solutions et procéder aux réaménagements nécessaires au Pta 2019. Il s'agira donc selon le ministre Serge Ahissou de procéder à un examen minutieux des résultats puis d'identifier les causes des écarts entre les réalisations et les prévisions. Ensuite, il sera question de trouver des approches de solutions pour améliorer le tableau de bord du second semestre.
Le ministre précise que le rendement à l'issue du premier semestre est tout sauf satisfaisant. Ainsi, le niveau d'exécution du Pta au 30 juin présente au plan physique, 26,40% contre 67,27% attendu et au plan financier, 32,27% et 17,82% au niveau de la base d'ordonnancement.
Pour M. Ahissou, « plusieurs difficultés ont dû empêcher d'explorer au mieux les possibilités d'utilisation du potentiel humain du ministère pour atteindre les résultats projetés au premier semestre au profit de la population ». Il appelle donc à un nouveau dynamisme permettant l'atteinte des objectifs de développement conformément au Programme d'actions du gouvernement (Pag).
G.A.
Le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Mahougnon Kakpo, était sur le site de construction du lycée technique et professionnel d'Akokponawa à Possotomè, dans la commune de Bopa lundi 19 août 2019. Objectif : s'enquérir de l'évolution des travaux et s'assurer que le lycée pourra effectivement ouvrir ses portes dès la prochaine rentrée.
Outre les difficultés notées de part et d'autres, le ministre s'est dit satisfait de l'évolution à un rythme soutenu des travaux de construction de trois ateliers, du bloc pédagogique, de l'infirmerie et du bloc administratif. Ce qui rassure de l'ouverture imminente du lycée dès la prochaine rentrée.
Plusieurs disciplines seront disponibles. Il s'agit entre autres, des métiers de la mode et du vêtement, des BTP, de l'électrotechnique, de la Pêche et la Comptabilité Gestion.
A travers l'ouverture de ce lycée, le troisième dans le département du Mono, les populations de Bopa et environs autrefois obligées d'aller faire former leurs enfants dans les Centres de Formartion Professionnelle et d'Apprentissage (CFPA) des communes voisines, voient ainsi leurs peines soulagées.
Le coût initial global du projet de construction du lycée technique et professionnel d'Akokponawa est d'environ 20 milliards FCFA et remonte aux années 2003.
F. A. A.
Les travaux de la 18ème session du Centre international de formation des avocats francophones (Cifaf) ont été ouverts lundi 19 août à Cotonou. Présidée par le ministre de la Justice et de la Législation, Maxime Séverin Quenum en présence du directeur du Cifaf, l'ancien bâtonnier Jacques Miga, cette session se déroule du 19 août au 13 septembre 2019.
« La déontologie de la profession, le droit processuel, la pratique professionnelle avec un accent particulier sur la pratique du droit communautaire Ohada ». C'est sur ces centres d'intérêt qu'est axée la formation initiale organisée par le Cifaf.
16 pays d'Afrique francophone sont représentés à ladite session.
Le bâtonnier Yvon Détchénou souligne que « La formation permet de progresser, de mieux appréhender les difficultés rencontrées quotidiennement dans l'exercice de notre profession. Elle permet aussi de satisfaire notre curiosité pour saisir l'évolution législative, jurisprudentielle et doctrinale qui caractérise le droit aujourd'hui et les nouveaux marchés du droit que cette évolution impose à notre pratique ». Cette proposition est désignée « Promotion Monsieur Bertin Cocou Amoussou ».
S'adressant aux récipiendaires, le directeur du Cifaf dira : « Vous avez été choisis par vos barreaux respectifs pour y prendre part. Soyez-en fiers. Car désormais, vous appartenez à cette grande famille qu'est le Cifaf ».
A l'endroit du Garde des sceaux, il déclare : « Le Cifaf est honoré et je me réjouis en particulier de votre présence à cette cérémonie. Cela témoigne de l'importance que le gouvernement accorde à la formation des avocats ».
Il a par ailleurs, salué l'Ecole régionale supérieure de formation des magistrats (Ersuma) et l'Organisation internationale de la Francophonie pour leur soutien renouvélé à l'organisation des formations du Cifaf. « La formation continue est pour les avocats ce qu'est la maintenance pour les appareils››, a souligné le ministre Maxime Séverin Quenum. Pour le ministre de la justice, cette 18ème session du Cifaf s'ouvre dans un contexte particulier lié, entre autres, au dynamisme et à l'ambition du Cifaf de réussir une intégration africaine effective autour du droit communautaire. « Je voudrais vous inviter à suivre avec le sérieux qui caractérise l'avocat. Car notre métier est celui qui nous apporte, à titres personnel et collectif, notre raison de vivre », a-t-il martelé.
G.A.
Plusieurs responsables de l'administration parlementaire nommés le 14 août dernier ont pris fonction ce lundi. Plusieurs passations de témoins dont celui du secrétaire général administratif entrant, Mariano Ogoutolou et le sortant, Thomas Dassi.
Nommés par le président de l'Assemblée nationale, Mariano Ogoutolou a pris désormais fonction au poste de Secrétaire général administratif (Sga) du parlement dès ce lundi. Il est suivi d'autres responsables nommés par le chef du parlement. Il s'agit de Clément Houinou, nouveau secrétaire général administratif adjoint (Sgaa), Richard Sinsin, directeur de l'Unité de contrôle et d'évaluation du budget (Unaceb) et Fiacre Vidjangninou, directeur par intérim de la Cellule d'analyse des politiques de développement de l'Assemblée nationale (Capan) cumulativement avec ses fonctions actuelles de chef service communication du Parlement.
La cérémonie de passation de charges a été présidée par le directeur de cabinet du président de l'Assemblée nationale, Mathieu Ahouansou.
Le nouveau secrétaire général administratif de l'Assemblée nationale, Mariano Ogoutolou n'a pas manqué de remercier le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou pour cette mission à lui confiée. Il a rappelé que c'est pour la première fois dans l'histoire de l'hémicycle qu'un agent parlementaire directement recruté par l'Assemblée nationale est promu à ce poste. Conscient de la charge qui est le sien, il espère réussir avec le soutien de tout le personnel parlementaire car dira-t-il, « C'est au vu de cette réussite que les hommes politiques et les autorités pourront désormais faire confiance à la famille du personnel parlementaire ».
Mariano Ogoutolou indique que « Le secrétariat général administratif constitue la cheville ouvrière du travail législatif qui, en fait, est un travail collectif dont l'efficacité requiert l'engagement de tous sans exclusion aucune ». Il appelle tout le personnel à une franche collaboration afin de former une équipe soudée qui travaille avec rigueur et professionnalisme et qui adopte les meilleures pratiques administratives.
G.A.
Les travaux de construction en cours au siège du groupe Canal+ dans le quartier Tokpa Xoxo à Cotonou sont sources de pollution.
Les riverains ainsi que les malades de l'Homel sont menacés. L'indice de poussière est énorme dans la cette zone qui abrite un hôpital de référence. Et pour cause, l'entreprise ayant à charge l'exécution des travaux de reconstruction ou de rénovation du siège de Canal+,n'a pas pris les mesures nécessaires de protection des riverains contre la poussière. Les usagers éprouvent d'énormes difficultés respiratoires. Ils se désolent également d'autres nuisances induites par les mêmes travaux. Les garde-malades et le personnel hospitalier de l'HOMEL se plaignent. L'entreprise travaille de jour comme de nuit sans répit.
Face à la gravité de la situation, il urge que les responsables de Canal + prennent les mesures idoines pour protéger la zone de l'Homel et les riverains contre les nuisances atmosphériques liées à leur chantier en cours d'exécution.
G.A.
Les responsables et animateurs de sept (07) radios communautaires des départements du Borgou, de l'Alibori, de l'Atacora et de la Donga ont pris part les 19 et 20 Août 2019, à un atelier d'échanges sur la contribution des radios communautaires dans la mise en œuvre du Plan stratégique pays du Programme Alimentaire Mondial (PAM) au Bénin sur la période 2019-2023.
Organisé par le PAM, les travaux de cet atelier se sont déroulés à l'hôtel Soleil d'Afrique à Parakou.
Amener les responsables et animateurs des radios communautaires des départements du Nord (Alibori, Borgou, Atacora, Donga) à sensibiliser les communautés à la base sur les rôles qu'elles sont appelées à jouer pour le succès du Programme d'alimentation scolaire à travers leurs programmes respectifs. Tel est l'objectif visé par le PAM en organisant les 19 et 20 Août à Parakou, l'atelier d'échanges sur la contribution des radios communautaires dans la mise en œuvre de son Plan stratégique pays au Bénin (2019-2023).
Au cours de cet atelier, les représentants des 07 radios communautaires, à travers différentes communications et projections, se sont imprégnés des domaines d'actions et des activités du PAM au Bénin, et particulièrement du Programme des cantines scolaires afin de donner d'une part une meilleure visibilité aux activités du Plan stratégique pays du PAM au Bénin et susciter davantage l'engagement manifeste de la communauté autour du Programme d'alimentation scolaire d'autre part pour son succès.
Lors de la cérémonie d'ouverture officielle des travaux, le représentant du chef sous-bureau du PAM à Parakou M. Olympe Kouagou, souligne que « le Programme d'alimentation scolaire concerne directement les communautés et qu'il faut favoriser la communication autour de ce programme pour permettre aux communautés pour lesquelles ce programme est mis en place et développé de le comprendre et de s'impliquer davantage dans sa mise en œuvre pour le bien-être des enfants ».
Les médias, partenaires privilégiés du PAM pour passer les messages
« Pour atteindre les objectifs du Programme d'alimentation scolaire dans notre pays, les radios communautaires constituent pour nous des partenaires privilégiés pour passer nos différents messages », a déclaré Olympe Kouagou. Selon lui, les radios communautaires véhiculent les informations jusqu'à la base. C'est pourquoi, il invite les représentants de ces radios à participer activement aux travaux pour l'atteinte des résultats du partenariat.
Mme Cathérine Monra Imorou, Chef Service Alimentation Scolaire (CSAS) à la Direction départementale de l'enseignement maternel et primaire du Borgou, après avoir salué les professionnels des médias pour avoir répondu massivement à l'appel du PAM, les exhorte à jouer leur partition en associant les communautés dans la mise en œuvre du Programme d'alimentation scolaire dans leurs départements. L'éducation et la nutrition des enfants constituent une priorité pour l'État béninois, a-t-elle souligné.
Cet atelier fait suite à celui de Bohicon qui a réuni en début du mois d'août une quinzaine de radios communautaires du sud pour le même exercice.
Juliette MITONHOUN
Les responsables et animateurs de sept (07) radios communautaires des départements du Borgou, de l'Alibori, de l'Atacora et de la Donga ont pris part les 19 et 20 Août 2019, à un atelier d'échanges sur la contribution des radios communautaires dans la mise en œuvre du Plan stratégique pays du Programme Alimentaire Mondial (PAM) au Bénin sur la période 2019-2023.
Organisé par le PAM, les travaux de cet atelier se sont déroulés à l'hôtel Soleil d'Afrique à Parakou.
Amener les responsables et animateurs des radios communautaires des départements du Nord (Alibori, Borgou, Atacora, Donga) à sensibiliser les communautés à la base sur les rôles qu'elles sont appelées à jouer pour le succès du Programme d'alimentation scolaire à travers leurs programmes respectifs. Tel est l'objectif visé par le PAM en organisant les 19 et 20 Août à Parakou, l'atelier d'échanges sur la contribution des radios communautaires dans la mise en œuvre de son Plan stratégique pays au Bénin (2019-2023).
Au cours de cet atelier, les représentants des 07 radios communautaires, à travers différentes communications et projections, se sont imprégnés des domaines d'actions et des activités du PAM au Bénin, et particulièrement du Programme des cantines scolaires afin de donner d'une part une meilleure visibilité aux activités du Plan stratégique pays du PAM au Bénin et susciter davantage l'engagement manifeste de la communauté autour du Programme d'alimentation scolaire d'autre part pour son succès.
Lors de la cérémonie d'ouverture officielle des travaux, le représentant du chef sous-bureau du PAM à Parakou M. Olympe Kouagou, souligne que « le Programme d'alimentation scolaire concerne directement les communautés et qu'il faut favoriser la communication autour de ce programme pour permettre aux communautés pour lesquelles ce programme est mis en place et développé de le comprendre et de s'impliquer davantage dans sa mise en œuvre pour le bien-être des enfants ».
Les médias, partenaires privilégiés du PAM pour passer les messages
« Pour atteindre les objectifs du Programme d'alimentation scolaire dans notre pays, les radios communautaires constituent pour nous des partenaires privilégiés pour passer nos différents messages », a déclaré Olympe Kouagou. Selon lui, les radios communautaires véhiculent les informations jusqu'à la base. C'est pourquoi, il invite les représentants de ces radios à participer activement aux travaux pour l'atteinte des résultats du partenariat.
Mme Cathérine Monra Imorou, Chef Service Alimentation Scolaire (CSAS) à la Direction départementale de l'enseignement maternel et primaire du Borgou, après avoir salué les professionnels des médias pour avoir répondu massivement à l'appel du PAM, les exhorte à jouer leur partition en associant les communautés dans la mise en œuvre du Programme d'alimentation scolaire dans leurs départements. L'éducation et la nutrition des enfants constituent une priorité pour l'État béninois, a-t-elle souligné.
Cet atelier fait suite à celui de Bohicon qui a réuni en début du mois d'août une quinzaine de radios communautaires du sud pour le même exercice.
Juliette MITONHOUN
Les Ecureuils espoirs ont dominé cet aprés-midi au stade René Pleven à Cotonou, les Diables rouges du Congo Brazzaville par le score de 2 buts à 0. La sélection béninoise a ouvert le score grâce à une réalisation de Akinyoola Samson à la 24 ème minute de jeu.
Le second but béninois est intervenu en seconde période à la 78 ème grâce à Aubin Videkon.
Il faut souligner que la sélection béninoise prépare le tournoi de l'Ufoa qui se déroulera à Dakar du 28 septembre au 15 octobre prochain.
M. H.
Sur invitation de son homologue japonais, le président de la République, Son Excellence Patrice Talon prendra part du 28 au 30 août prochain à Yokohama, à la septième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD 7).
Le thème retenu pour cette rencontre périodique entre le Japon et les pays africains est : « Afrique et Yokohama, partagent une vision pour le futur ».
Durant ces assises, des bailleurs de fonds et des responsables gouvernementaux vont discuter des moyens de développer la coopération entre le continent africain et la 3ème puissance économique mondiale.
Dans le cadre du TICAD, le Bénin a bénéficié de plusieurs actions dont la construction de l'hôpital de zone d'Allada, et l'exécution de la Phase II du Projet de vulgarisation de l'aquaculture continentale (Provac).
Plusieurs autres études sont en cours pour des projets dans le domaine de l'électricité.
Durant son séjour au Japon, le chef de l'Etat aura un tête-à-tête avec le président japonais.
Le Bénin va participer au TICAD 7 https://t.co/rcxibZ98In #wasexo #feedly
— @JeremyG (@JSoukpo) August 8, 2019
Une rencontre avec le premier-ministre, Shinzo Abe est également annoncée.
Inaugurée en 1993, le TICAD vise la promotion d'un dialogue politique de haut niveau entre les dirigeants africains et leurs partenaires dans le domaine du développement. Les rencontres du TICAD sont organisées sous la houlette du Japon, et co-organisées par les Nations-Unies, le Programme des Nations-Unies pour le Développement, la Banque Mondiale et la Commission de l'Union Africaine. C'est une coopération qui permet au Japon d'occuper une place centrale dans la promotion d'un dialogue international pour le développement de l'Afrique.
Environ 4500 participants sont attendus aux assises du TICAD 2019.
F. A. A.
Le Barreau béninois a encore perdu un de ses avocats. Il s'agit de Me Habib Bah, décédé dans la matinée de ce lundi 19 août 2019. L'avocat béninois est revenu de la Mecque dans la nuit du dimanche 18 août 2019. Il a rendu l'âme quelques heures après sa descente de l'avion.
Sa disparition fait suite à celle de Me Kounon Wilfried décédé mercredi 7 août, à Cotonou, des suites d'un accident de circulation.
C'est la deuxième fois que le deuil frappe l'Ordre des avocats du Bénin en moins de deux semaines.
A.A.A