Invité de l'émission Zone Franche de la télévision Canal 3, dimanche 17 novembre 2019, Gaston Zossou, actuel Directeur Général de la Loterie Nationale du Bénin (LNB) s'est prononcé sur l'actualité béninoise notamment le dialogue politique, la révision de la Constitution, les modifications faites au code électoral. Il a aussi apprécié les réformes opérées par le gouvernement Talon.
« Je suis profondément fier, parce que ce qui a été dit de bon est en train de se mettre en place de façon graduelle et certaine. Nous sommes dans une logique de relèvement impétueux de notre pays. Mais j'ai pleine conscience qu'il y a encore un vaste champ à labourer », a affirmé Gaston Zossou.
D'après le partisan, « les réformes politiques ou institutionnelles ont leurs déclinaisons dans les administrations et au niveau de la vie des citoyens chaque jour ».
Pour lui, « si les réformes obstruent des carrières, arrachent des prébendes à des individus ou à des groupes d'individus, cela n'équivaut pas à dire que ces réformes ne sont pas bonnes. Bien souvent, les choses les plus fécondes, on les fait avec un groupe contre l'inertie du plus grand nombre ». L'invité de l'émission Zone Franche admet qu'il y a des difficultés par rapport à la mise en œuvre de certaines réformes.
En ce qui concerne le dialogue politique, il se réjouit de sa tenue et des propositions qui ont permis l'adoption de certaines lois. Gaston Zossou apprécie aussi les innovations apportées dans la loi fondamentale du Bénin. « Quand on passe de 250 000 000 FCFA comme caution à l'élection présidentielle pour descendre à 50 000 000 FCFA, on diminue l'importance de l'argent d'une nature corruptible. Et on met plutôt un critère d'acceptation pour remplacer la puissance de l'argent », indique-t-il.
Gaston Zossou a également évoqué le poste de vice-président et le parrainage. « Le poste de vice-président directement rattaché aux élections générales garantira que cette synchronisation ne soit brisée en cas de vacance de pouvoir du Président de la République et le parrainage quant à lui nous éloigne des partis politiques de fiefs et nous rapproche de la création d'une nation à travers un président qui aura un minimum de représentation un peu partout », explique-t-il.
La correction d'une injustice
La nouvelle loi fondamentale promulguée par le chef de l'Etat Patrice Talon renferme une innovation en faveur des femmes. Le nombre de députés est porté de 83 à 109 sièges dont 24 exclusivement réservés aux femmes à raison d'une femme par circonscription électorale.
« Dans notre société où il y a 50 ans, on a dit aux filles de rester à la maison et les garçons à l'école. C'est normal qu'il y ait plus d'hommes en position de force que de femmes. C'est donc la correction d'une injustice. Cependant, la vraie correction viendra quant au niveau de l'école, il y aura autant de filles à l'école que de garçons. Ce qui entraînera autant de femmes que d'hommes dans les administrations et dans les gouvernements », note-t-il.
Selon M. Zossou, le peuple doit soutenir les réformes en cours pour que le Bénin se développe.
A.A.A
Un événement sans précédent dans ce monde - 100 000 nouveaux membres de la congrégation en un an.
Naître de nouveau comme congrégation avec le niveau de connaissance d'un pasteur à travers l'étude biblique de 6 mois.
"Augmentation géométrique, non pas la force des hommes mais celle de Dieu"
"100 000 personnes ont été évangélisées et ont suivi l'étude biblique et tout cela s'est passé en 10 mois. Ces choses n'ont pas pu se faire par la force des hommes, mais celle de Dieu. Ceci n'est possible que parce que Dieu est présent."
Shincheonji, Eglise de Jésus, le Temple du Tabernacle du Témoignage (Président Man-Hee Lee, Shincheonji, Eglise de Jésus comme ci-dessous) a accueilli avec succès la « Cérémonie de Remise de Diplômes des 100.000' le 10 où 100.000 personnes ont été officiellement enregistrées comme membres de la congrégation et ont écrit une nouvelle histoire pour répandre l'évangile.
Le nombre total de diplômés ce jour-là s'élevait à 103 764. Notamment, le taux d'évangélisation de ces diplômés a été confirmé à 142%, ce qui indique que la croissance géométrique de Shincheonji, Eglise de Jésus est à portée de main.
SCJ a accueilli la cérémonie de remise des diplômes de la classe 110 du Centre de Mission Chrétienne de Sion ce jour-là. La cérémonie de remise de diplômes a eu lieu simultanément dans différentes parties du monde en raison du manque d'espace. Les villes métropolitaines, le centre de formation de la tribu de Andrew Busan, le temple de la tribu de Gwangju Peter, ainsi que trois autres villes et 112 pays à travers le monde, dont les Etats-Unis, l'Europe, l'Asie, l'Afrique et l'Océanie, ont également participé à la cérémonie de remise de diplômes.
La cérémonie de remise des diplômes signifie l'enregistrement officiel en tant que nouveaux membres de l'église de Shincheonji, Eglise de Jésus, après 6 mois d'études bibliques au Centre Missionnaire Chrétien de Sion, qui est une institution gratuite d'éducation biblique dirigée par Shincheonji, Eglise de Jésus.
M. Man-Hee Lee, Président de Shincheonji, Église de Jésus, a souligné lors de la cérémonie de remise de diplômes que "Dans le livre de l'Apocalypse, les secrets du royaume des cieux que Dieu doit accomplir sont écrits. On dit que l'Écriture ne peut pas être brisée. La révélation qui a été écrite il y a 2000 ans doit être entièrement accomplie telle qu'elle est écrite."
Il dit aussi : "Il doit y avoir une réalité physique qui est apparue selon l'Apocalypse. Le but de Dieu est de créer le Royaume de Dieu en récoltant les fruits mûrs de la semence qui a été semée il y a 2 000 ans. Dieu crée le nouveau royaume de Dieu et le nouveau peuple avec ceux qui sont nés avec la semence de Dieu aujourd'hui."
Le Président Lee a poursuivi en déclarant : " Le monde qui est créé à l'époque de l'Apocalypse est le monde de Shincheonji. Il y a le nouveau ciel et la nouvelle terre écrits dans Apocalypse chapitre 21. Cela signifie qu'une génération s'éteint et que la nouvelle génération arrive."
Le président Lee a fortement insisté en disant : "Puisque c'est la grâce de Dieu que vous obtenez votre diplôme aujourd'hui, vous devez remercier Dieu et Jésus. Puisque nous croyons en Dieu, nous devrions être la lumière glorieuse comme la famille de Dieu et ses enfants. Aussi, nous devons comprendre parfaitement la bible. C'est ce que nous devons faire."
Aaron Kim, en tant qu'orateur représentatif des diplômés, s'est présenté comme un missionnaire né dans une famille de trois générations de pasteurs travaillant au Brésil. Il a dit : "la chose la plus déchirante quand j'étudiais au Centre Missionnaire Chrétien de Sion était de réaliser que "j'étais celui qui enseignais la fausse vérité aux personnes".
Il nous a demandé "Comment puis-je laver mes péchés en m'appelant pasteur de Dieu, mais en semant la semence du diable ?" et il a fortement insisté en disant : "Maintenant, je m'implique pleinement à l'œuvre d'évangélisation et de la récolte et je rends grâce à Dieu et à Jésus qui m'ont délivré pour toujours".
Dans son discours, Suji Choi a déclaré : "J'ai été plus dévouée à mon église que quiconque et j'ai été témoin de la réalité du monde religieux qui travaille au sein du système de radiodiffusion chrétienne. J'ai regardé toutes les vidéos réalisées par la distribution chrétienne concernant Shincheonji, Eglise de Jésus et je connaissais toutes les rumeurs qui circulaient sur Internet. La raison pour laquelle je suis encore ici aujourd'hui est que "Shincheonji, Église de Jésus, Le Temple du Tabernacle du Témoignage' est le temple promis de Dieu et le seul endroit où la parole de vie sort au second avènement de Jésus."
En ce qui concerne cette cérémonie de remise de diplômes, le fait d'avoir 100 000 nouveaux membres de la congrégation en un an est considéré comme l'événement le plus inédit, non seulement en République de Corée, mais aussi dans le monde entier. C'est comme si 10 églises comptant 10 000 membres avaient été fondées en un an.
En particulier, il est important de comprendre qu'il n'est possible d'entrer à Shincheonji, Eglise de Jésus qu'après avoir terminé les 6 mois d'études et avoir passé l'examen de fin d'études. Au lieu de devenir des croyants passifs qui écoutent simplement le sermon, 100 000 nouveaux membres de la congrégation sont capables de prêcher l'évangile au même niveau qu'un pasteur. Cela va conduire à un grand mouvement à l'intérieur du monde religieux chrétien.
Shincheonji, Église de Jésus, Centre Missionnaire Chrétien Sion a des directives très strictes pour l'obtention du diplôme car les étudiants doivent progresser dans les niveaux élémentaire, intermédiaire et avancé de la Genèse à l'Apocalypse, et ils doivent obtenir plus de 90% de points à l'examen qui est passé après chaque niveau afin d'obtenir leur diplôme.
Alors que les églises traditionnelles se concentrent principalement sur les enseignements moraux ou l'histoire, le point que Shincheonji, Eglise de Jésus souligne est la prophétie et son accomplissement, se concentrant sur la vérification des réalités physiques. Cela conduit à la perspective qu'il y aura des changements dans le point de vue fondamental de la vie de foi au sein du monde religieux chrétien.
Une personne de Shincheonji, Église de Jésus, a déclaré : "Avoir 100 000 diplômés dans le monde entier à la fois est l'événement le plus inédit dans le monde. De plus, il y a environ 200.000 personnes qui sont actuellement aux études et avec cette tendance, le nombre de Shincheonji, Eglise de Jésus, dépassera 1 million de membres d'ici 3 ans."
Il a continué en disant : "100 000 personnes ont été évangélisées, ont étudié la Bible et ont obtenu leur diplôme en 10 mois. Ces choses n'ont pas pu se faire par la force des hommes, mais celle de Dieu. C'est seulement possible si Dieu est avec eux". Il a également souligné que "selon la promesse de la Bible, les vagues de changements dans le monde religieux ont déjà commencé et ne feront que s'accélérer avec le temps".
Les Écureuils du Bénin ont dominé les Leone Stars de la Sierra-Leone au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo, ce dimanche 17 novembre, par le score de 1 but à 0 dans un match comptant pour la 2 ème journée des éliminatoires de la Can 2021.
En images les temps forts de ce match
L'exploitation des ressources minières du Bénin ont de belles perspectives. Situé dans la même zone géographique que le Togo, le Nigéria, le Niger et le Burkina-Faso dotés d'importantes ressources du sous-sol, le Bénin regorge aussi de ressources minières exploitables pour son développement économique.
Selon l
Toujours dans le nord-est et ouest du pays, et vers la région sud côtière, le Bénin dispose des gisements de phosphates. Celui à la frontière nigérienne a une teneur moyenne de 25% et s'élève à 5 millions de tonnes selon les estimations de l'époque. Des estimations vieilles de plus de 20 ans qui, selon les officiels béninois ne reflètent pas la réalité des réserves du pays », a souligné Nourédine Amadou.
Pour lui, « les données existantes sur les réserves datent parfois de 20 à 30 ans et ne reflètent pas toujours le potentiel minier du pays. Rien que les quantités récoltées dans l'exploitation artisanale dépassent les estimations de l'époque ».
F. A. A.
Suite aux incidents survenus dans la région de Pobè et au niveau de la région d'Igolo principalement dans le dernier village avec le Nigéria, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération Aurélien Agbénonci a fait appel à l'ambassadeur du Nigéria pour avoir des explications.
Selon le chef de la diplomatie béninoise les incidents survenus dans les régions frontalières du côté du Nigéria ne sont pas acceptables. « Notre gouvernement ne saurait accepter des attaques contre les paisibles populations. Nous sommes dans une dynamique de dialogue avec le Nigéria. Nous sortons d'une réunion tripartite qui a eu lieu à Abuja le 14 novembre dernier où nous avons trouvé une voie de sortie pour que les questions liées à la fermeture de la frontière, à la lutte contre les fraudes puissent être réglées de la manière la plus conforme au traité de la CEDEAO, aux traités internationaux », a déclaré le ministre des Affaires étrangères. Aurélien Agbénonci déplore le fait que des individus dans la chaîne de responsabilité à la base essaient d'envenimer cette situation « alors qu'au haut niveau des deux Etats, nous recherchons des solutions ».
Vive protestation de @AAgbenonciMAEC suite aux incidents inacceptables intervenus dans régions frontalières #beninonigerianes. A l'ambassadeur du #Nigeria, il a exprimé l'indignation de @gouvbenin et invité le Nigeria à rechercher et punir les auteurs de ces actes de vandalisme pic.twitter.com/9MBUXBm3uD
— BENIN DIPLOMATIE (@BeninDiplomatie) November 16, 2019
« J'ai saisi par écrit mon collègue du Nigéria, nous avons élevé cette protestation dans les formes diplomatiques qu'il faut et nous attendons de nos amis du Nigéria qu'ils puissent tirer les conséquences de ces actes que nous avons adressé à leur chancellerie ici pour que la paix puisse revenir et que nous puisions vivre dans un esprit de concorde et dans la sérénité », souhaite le ministre des Affaires étrangères.
« Nous condamnons tout acte qui pourrait créer des tensions, des litiges entre les deux pays. Nous essayons d'identifier les responsables de ces actes au niveau de la région de Pobè », a informé l'ambassadeur du Nigéria, Emmanuel Kayodé Oguntuasé.
Selon lui, les résultats de l'enquête actuellement en cours seront connus incessamment. « Nous ne souhaitons qu'aucun incident du genre revienne empirer la situation actuelle au niveau des frontières », indique-t-il.
Lors de la réunion tripartite, annonce l'ambassadeur du Nigéria, « nous avons décidé qu'il fallait rouvrir dans les meilleurs délais les frontières », puisque des frontières voisines ne peuvent rester indéfiniment fermées.
Dans la matinée du jeudi 14 novembre 2019, un affrontement est survernu entre les douaniers nigérians et les populations de la localité de Aderomou à la hauteur de Okeita, dans la commune de Pobè. Des douaniers armés ont franchi les frontières pour défoncer les magasins se trouvant sur le territoire du Bénin. Ils ont vidé les magasins de leur contenu, notamment le riz. Une situation qui n'a pas été du goût des populations.
A.A.A
(Par Roger Gbégnonvi)
« Que votre langage soit : ‘‘Oui ? oui'', ‘‘Non ? non'' : ce qu'on dit de plus vient du Mauvais » (Matthieu, 7/37). L'auteur aurait pu ajouter ‘‘et conduit au Mauvais''. Serait-ce vers ce port, qui est un abîme, que se dirigent les Béninois ? Par trois fenêtres choisies, on observera les incohérences qu'ils cultivent avec constance et inconscience ou… malignité.
Fenêtre 1.- Parents disparus :- Dans un contexte rural de simplicité de la vie mais de mortalité infantile élevée, nos ancêtres ont pensé que « la progéniture est une richesse ». Nous le croyons encore. Chez les plus pauvres d'entre nous, cette croyance aboutit à 6 enfants environ pour une femme, à 15 environ pour un homme polygame. Pour les enfants regroupés autour d'elles, les mères font ce qu'elles peuvent sans pouvoir faire des miracles. Organisations religieuses, ONG d'ici et d'ailleurs, viennent en renfort sans pouvoir faire des miracles. Une partie de ladite ‘‘richesse'' se retrouve donc ‘‘enfants de la rue''. Dans sa langue maternelle vous demandez au petit mendiant où sont ses parents. Croyant que vous l'accusez de leur disparition, il prend peur et s'enfuit… en route vers le Mauvais. Car demain, sous prétexte d'une vie meilleure, une tête brûlée peut l'enrôler pour une cause décérébrée.
Fenêtre 2.- Vacarme répandu :- Le Décret N° 2001-294 du 8 août 2001 porte Règlementation du bruit en République du Bénin, et stipule en son article 9 : « L'usage de tout appareil de communication (sirène, haut-parleur, avertisseur sonore) gênant pour le voisinage est interdit, sauf si leur emploi est exceptionnel et réservé au signalement d'accident ou d'incident grave. » Bof, on s'en balance ! Dans les maisons on met la musique à fond la caisse. Dans la cité, les buvettes font assaut de décibels. Du haut des minarets et du chœur des églises prophétiques, l'annonce du salut est relayée par des entonnoirs percutants. Et la nuit, Aimé Césaire a toujours raison : « Tenez ! Ecoutez ! Quelque part dans la nuit, le tam-tam bat… Quelque part dans la nuit, mon peuple danse… Et c'est tous les jours comme ça… Tous les soirs… » Ce peuple dans une agitation permanente et qui ignore le silence de la rencontre avec soi-même est un peuple en perdition, en route vers le Mauvais.
Fenêtre 3.- Saleté étendue :- La Loi-cadre sur l'Environnement en République du Bénin, Loi N° 98-030 du 12 février 1999, stipule en son article 67 : « Les déchets doivent faire l'objet d'un traitement adéquat, afin d'éliminer ou de réduire à un niveau requis leurs effets nocifs sur la santé de l'homme, les ressources naturelles, ou la qualité de l'environnement en général. » Bof, on s'en balance ! Et l'on entasse les ordures ménagères à ciel ouvert au bord des rues, et on les déverse dans les flaques d'eau en saison des pluies. Les cochons en divagation s'arrêtent et s'y vautrent, heureux. Les mouches s'y posent, joyeuses, et ramènent dans les maisons les maladies dont on accusera la sorcellerie que l'on voit partout désormais. Et il est vrai qu'un peuple adepte de la saleté physique est en route vers la saleté mentale de la sorcellerie, en route vers le Mauvais le plus ignoble et le lus assassin.
Par les trois fenêtres ci-dessus ouvertes, on voit les Béninois satisfaits, à l'aise dans la logique de leurs incohérences. Ils posent l'enfant comme un trésor pour abandonner le trésor à la rue. Ils affirment les vertus du silence et de la propreté pour promouvoir vacarme et saleté. Dieu, qui se respecte et respecte l'homme, ne fait pas de miracle. Dieu ne s'oppose pas à la logique. Dieu ne sauvera donc pas les Béninois de la logique de leurs incohérences et de leurs contradictions entretenues. Il revient aux Béninois, et à eux seuls, de s'entrouvrir les portes du bien-être terrestre par le respect de leurs textes, le respect de leur parole donnée, le respect de leur personne. Que oui et non ne s'équivalent pas sur leurs lèvres. Alors le Dieu de leur Foi et de leur Espérance leur sourira. Dieu de leur Force aussi. Par Elle, ils grandiront.
La modernisation de la Société béninoise d'énergie électrique (SBEE) est en cours. Selon l'agence Ecofin, la compagnie Itron est sélectionnée pour la modernisation du système de distribution électrique de la SBEE. Elle doit fournir 40 000 compteurs intelligents et une plateforme de gestion du prépaiement de l'énergie. Une fois mis en place, ces nouveaux équipements permettront de faciliter l'achat via internet.
Les consommateurs béninois pourront payer leurs factures sur internet et depuis leur téléphone par le biais d'applications.
Avec plus de 600 000 clients dans sa base, la SBEE compte désormais sur ces nouvelles technologies qui seront installées pour améliorer la collecte de ses revenus.
Les équipements serviront également de base au déploiement des applications d'automatisation de la distribution électrique ainsi qu'au renforcement de la résilience du réseau électrique national.
« Nous avons un nombre croissant de consommateurs qui utilisent l'électricité prépayée et nous sommes impatients de mettre en place la technologie d'Itron. Nous ambitionnons également d'équiper plus de clients avec les solutions de prépaiement afin d'améliorer la fourniture, l'efficacité et la fiabilité de l'énergie », a confié
à Smart Energy
Adjamassouhon Wilfrid, un cadre de la SBEE.
La révolution s'annonce belle pour la SBEE.
G.A.
4.000 milliards de FCFA, c'est le montant du projet de boucle ferroviaire prévu pour relier les Etats membres de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). L'annonce a été faite la semaine dernière au cours de la réunion des ministres en charge des Transports de l'organisation qui s'est tenue à Abidjan en Côte d'Ivoire.
Selon la Commission de l'UEMOA, la boucle ferroviaire va relier les capitales ouest-africaines telles que Abidjan, Ouagadougou, Niamey, Cotonou et Lomé. Il sera question de procéder à une réhabilitation de 1946 km de rails et la construction de 1088 km.
Ledit projet nécéssite plus de 4 000 milliards FCFA pour sa réalisation et 11 milliards en ce qui concerne les travaux d'études.
D'après Paul Koffi Koffi, Commissaire chargé du département de l'aménagement du territoire communautaire et des transports de l'UEMOA, le projet de boucle ferroviaire va permettre entre autres de : booster le niveau des échanges commerciaux entre les pays de l'UEMOA, de réduire le coût des transports et d'améliorer la compétitivité des économies de la région au niveau du commerce mondial.
A.A.A
Au cours d'une cérémonie de remise des diplômes du troisième cours de formation supérieure du Collège nigérian des douanes et du personnel à Gwagwalada à Abuja, Hameed Ali, contrôleur général des services des douanes nigérianes (NCS) a expliqué les raisons pour lesquelles les frontières doivent restées fermées en dépit des pressions qu'exercent les pays concernés. Pour lui, le Nigéria devait d'abord penser à sa survie avant de considérer l'impact de la fermeture sur ses voisins.
Selon Hameed Ali, le Nigéria avait la chance de disposer d'une population de 200 millions d'habitants, capables de consommer tous ses produits, ce qui rendait le besoin immédiat de clientélisme externe inutile. Citant l'exemple de la Chine, indique que ce pays avait fermé ses frontières pendant plus de deux décennies, mais demeure aujourd'hui une des économies les plus fortes.
Le contrôleur général des services des douanes nigérianes a émis le vœu que les exercices sur les frontières se poursuivront pendant un certain temps de sorte que le pays puisse non seulement, purifier son processus, mais aussi parvienne à jeter les bases de sa croissance et de son développement. « C'est ce dont nous avons besoin pour que nos industriels réfléchissent et se développent », a-t-il précisé. Autrement, le pays va avoir un problème profond, a souligné Hameed Ali.
Pour lui, au moment où le Nigéria va commencer à exploiter le libre-échange continental africain, il sera un dépotoir pour chaque produit d'Afrique. « Nous devons donc être en mesure de développer notre capacité de pouvoir répondre à nos besoins en termes de biens et de services afin de pouvoir contrôler l'afflux d'autres biens », a expliqué le controleur des douanes. A l'en croire, si les frontières ne restent pas fermées, d'autres produits viendront et les industries nigérianes continueront à mourir. Il dit attendre avec impatience une situation dans laquelle les industriels capitaliseront sur cet exercice afin de pouvoir se développer et fournir les éléments dont le pays a besoin.
« Il n'y a rien qui soit produit aujourd'hui que nous ne puissions pas consommer au Nigeria. Nos industriels n'ont pas besoin de regarder vers l'extérieur pour trouver le marché, nous l'avons ici. Et nous devons développer ce marché››, a insisté le contrôleur des douanes.
Pendant que les pays voisins s'empressent de la réouverture des frontières, le Nigéria selon Hameed Ali doit d'abord examiner son intérêt stratégique.
F. A. A.
Loi N° 2019-44 portant financement public des partis politiques en République du Bénin.
L'Assemblée nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 novembre 2019, la loi dont la teneur suit :
CHAPITRE I
DES DISPOSITIONS GENERALES
Article 1er : La présente loi a pour objet de définir les conditions et les modalités du financement public des partis politiques en application des dispositions de l'article 39 de la loi n°2018-23 du 17 septembre 2018 portant Charte des partis politiques en République du Bénin.
Article 2 : Les crédits affectés au financement public des partis politiques sont inscrits au Budget général de l'Etat.
Article 3 : Ce financement public complète les ressources privées des partis politiques telles que définies à l'article 32 de la loi portant Charte des partis politiques.
Article 4 : Le financement public des partis politiques est destiné exclusivement à la couverture partielle de dépenses effectuées dans le respect des dispositions de la loi portant Charte des partis politiques, de la législation et des règlements en vigueur.
Article 5 :Le financement public des partis politiques concourt, entre autres :
au fonctionnement des partis ;
à la promotion de leur programme politique ;
à leur participation aux consultations électorales ;
à la formation de leurs militants ;
à l'éducation civique et politique de leurs membres et des citoyens en général.
CHAPITRE II
DES CONDITIONS ET MODALITES DU FINANCEMENT PUBLIC
Article 6 : Sont éligibles au bénéfice du financement public, les partis politiques qui remplissent les conditions ci-après :
avoir un siège national et des bureaux départementaux, tous installés dans des locaux exclusivement destinés aux activités du parti et distincts d'un domicile ou d'un bureau privé ;
justifier de la tenue régulière des instances statutaires du Parti ;
justifier les ressources financières et leur utilisation.
Article 7 : Le montant total annuel du financement public aux partis politiques est fixé par la loi de finances.
Article 8 : La Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) répartit le montant du financement public alloué aux partis politiques.
Article 9 : Le montant total annuel du financement public aux partis politiques est réparti entre les partis, en fonction du nombre de leurs députés et de leurs élus communaux à raison de :
60% au prorata des élus communaux ;
40% au prorata des députés.
Article 10 : Le nombre de députés et des élus communaux visé à l'article précédent est celui issu des résultats des dernières élections législatives et communales.
Article 11 : Le montant annuel du financement affecté à chaque parti politique peut faire l'objet de virements échelonnés en fonction de la trésorerie de l'Etat sans qu'aucune tranche ne soit inférieure au quart (1/4) de la dotation budgétaire.
CHAPITRE III
DU SUIVI DU FINANCEMENT PUBLIC DES PARTIS POLITIQUES
Article 12 : Tout parti politique est tenu de produire à la Cour des comptesses états financiers, au plus tard, le 30 Avril de chaque année.
Article 13 : En cas de fusion de plusieurs partis politiques, le financement bénéficie au nouveau parti.
Article 14 : En cas de dissolution d'un parti politique bénéficiaire, le versement du financement est arrêté à partir du premier jour du mois de la dissolution.
CHAPITRE IV
DU CONTROLE ET DES SANCTIONS
Article 15 : Les partis politiques bénéficiaires du financement public sont soumis au contrôle de la Cour des comptes et de l'Inspection Générale des Finances.
Article 16 : Tout manquement par un parti politique aux dispositions de l'article 12 de la présente loi entraîne automatiquement la perte du bénéfice du financement de l'année en cours sans préjudice des sanctions pénales prévues par la législation en vigueur.
CHAPITRE V
DES DISPOSITIONS FINALES
Article 17 : La présente loi sera publiée au journal officiel et exécutée comme loi de l'Etat.
Fait à Porto-Novo, le14 novembre 2019
Le Président de l'Assemblée nationale,
Louis G. VLAVONOU.-
Les partis politiques au Bénin sont désormais financés sur le budget général de l'Etat. Les députés de la huitième législature ont adopté jeudi 14 novembre 2019, la loi N° 2019-44 portant financement public des partis politiques en République du Bénin.
La loi en 5 chapitres renfermant 17 articles définit les conditions et les modalités du financement public des partis politiques en application des dispositions de l'article 39 de la loi n°2018-23 du 17 septembre 2018 portant Charte des partis politiques en République du Bénin.
Les partis politiques bénéficiaires du financement public sont soumis au contrôle de la Cour des comptes et de l'Inspection Générale des Finances.
Selon l'article 2 de la loi « les crédits affectés au financement public des partis politiques sont inscrits au Budget général de l'Etat ». Complétant les ressources privées des partis politiques, le financement public des partis politiques est destiné « exclusivement à la couverture partielle de dépenses effectuées dans le respect des dispositions de la loi portant Charte des partis politiques, de la législation et des règlements en vigueur ». Il concourt entre autres : « au fonctionnement des partis ; à la promotion de leur programme politique ; à leur participation aux consultations électorales ; à la formation de leurs militants ; à l'éducation civique et politique de leurs membres et des citoyens en général ».
« Sont éligibles au bénéfice du financement public, les partis politiques qui remplissent les conditions ci-après : avoir un siège national et des bureaux départementaux, tous installés dans des locaux exclusivement destinés aux activités du parti et distincts d'un domicile ou d'un bureau privé ; justifier de la tenue régulière des instances statutaires du Parti ; justifier les ressources financières et leur utilisation », pricise l'article 6 de la loi.
Le montant total annuel du financement public aux partis politiques est fixé par la loi de finances et « la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) répartit le montant du financement public alloué aux partis politiques ».
« Le montant total annuel du financement public aux partis politiques est réparti entre les partis, en fonction du nombre de leurs députés et de leurs élus communaux à raison de : 60% au prorata des élus communaux ; 40% au prorata des députés », stipule l'article 9.
Le montant annuel du financement affecté à chaque parti politique peut faire l'objet de virements échelonnés en fonction de la trésorerie de l'Etat sans qu'aucune tranche ne soit inférieure au quart (1/4) de la dotation budgétaire.
S'agissant du suivi du financement public des partis politiques, « Tout parti politique est tenu de produire à la Cour des comptes ses états financiers, au plus tard, le 30 Avril de chaque année », conformément à l'article 12 de la loi.
Les articles 13 et 14 disposent qu' « en cas de fusion de plusieurs partis politiques, le financement bénéficie au nouveau parti » et « en cas de dissolution d'un parti politique bénéficiaire, le versement du financement est arrêté à partir du premier jour du mois de la dissolution ».
Aussi, les partis politiques bénéficiaires du financement public sont-ils soumis au contrôle de la Cour des comptes et de l'Inspection Générale des Finances.
« Tout manquement par un parti politique aux dispositions de l'article 12 de la présente loi entraîne automatiquement la perte du bénéfice du financement de l'année en cours sans préjudice des sanctions pénales prévues par la législation en vigueur », précise l'article 16.
A.A.A
Le gouvernement entend offrir aux population un allègement fiscal pour l'année 2020. Ceci se remarque aisément à travers le budget programme envoyé pour étude à l'Assemblée nationale.
Ainsi le projet de budget 2020 prévoit un allègement de la fiscalité pour les ménages et les entreprises. On note à travers ce projet que le nombre d'impôts passe de 48 en 2019 à 35 en 2020. Il s'agira entre autres de l'extension du régime d'exonération des droits et taxes de douanes et de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur l'importation ou l'acquisition en République du Bénin des panneaux solaires photovoltaïques formant un ensemble, à l'exclusion des batteries.
La loi de finances prévoit le réaménagement des modalités de paiement des acomptes de la Taxe Professionnelle Synthétique pour les nouvelles entreprises et la reconduction de l'exonération des droits et taxes de douane et de la TVA sur les récipients de gaz. La reconduction de l'exonération des droits et taxes de douane et de la TVA sur les autobus, autocars et minibus destinés au transport en commun.
En plus de ces exonérations, le budget 2020 prévoit plusieurs autres mesures d'allègement fiscal et la dispense de pénalité de retard accordée aux contribuables qui souscrivent spontanément, pour la première fois, leurs déclarations en régularisation des affaires réalisées au titre des exercices antérieurs y figurent en bonne place. Contrairement aux budgets précédents, le gouvernement met en place son dispositif purement social pour soulager les populations.
G.A.
La prochaine Coupe d'Afrique des nations sera accueillie par le Cameroun, en 2021. À moins de deux ans du coup d'envoi de la phase finale, les éliminatoires de cette CAN-2021 ont débuté dès le mois de novembre 2019. Une longue campagne de 144 matches qui se tiendra à travers toute l'Afrique, jusqu'à novembre 2020. Voici le programme complet des rencontres à venir ainsi que les résultats de celles qui ont déjà été disputées.
• Groupe A : *Mali, Guinée, Tchad, Namibie
1re journée
Namibie 2 – 1 Tchad
Mali 2 – 2 Guinée
2e journée
Guinée – Namibie le 17 novembre 2019 Tchad – Mali le 17 novembre 20193e journée (dates à confirmer)
Guinée – Tchad le 31 août 2020 Mali – Namibie le 31 août 20204e journée (dates à confirmer)
Tchad – Guinée le 8 septembre 2020 Namibie – Mali le 8 septembre 20205e journée (dates à confirmer)
Guinée – Mali le 5 octobre 2020 Tchad – Namibie le 5 octobre 20206e journée (dates à confirmer)
Namibie – Guinée le 9 novembre 2020 Mali – Tchad le 9 novembre 2020• Groupe B : *Burkina Faso, Ouganda, Soudan du Sud, Malawi
1re journée
Malawi 1 – 0 Soudan du Sud
Burkina Faso 0 – 0 Ouganda
2e journée
Ouganda – Malawi le 17 novembre 2019 Soudan du Sud – Burkina Faso le 17 novembre 20193e journée (dates à confirmer)
Ouganda – Soudan du Sud le 31 août 2020 Burkina Faso – Malawi le 31 août 20204e journée (dates à confirmer)
Malawi – Burkina Faso le 8 septembre 2020 Soudan du Sud – Ouganda le 8 septembre 20205e journée (dates à confirmer)
Ouganda – Burkina Faso le 5 octobre 2020 Soudan du Sud – Malawi le 5 octobre 20206e journée (dates à confirmer)
Malawi – Ouganda le 9 novembre 2020 Burkina Faso – Soudan du Sud le 9 novembre 2020• Groupe C : Ghana, Afrique du Sud, Soudan, Sao Tomé-et-Principe
1re journée
Soudan 4 – 0 Sao Tomé-et-Principe
Ghana 2 – 2 Afrique du Sud
2e journée
Afrique du Sud – Soudan le 17 novembre 2019 Sao Tomé-et-Principe – Ghana le 18 novembre 20193e journée (dates à confirmer)
Ghana – Soudan le 31 août 2020 Afrique du Sud – Sao Tomé-et-Principe le 31 août 20204e journée (dates à confirmer)
Soudan – Ghana le 8 septembre 2020 Sao Tomé-et-Principe –Afrique du Sud-ouest le 8 septembre 20205e journée (dates à confirmer)
Sao Tomé-et-Principe – Soudan le 5 octobre 2020 Afrique du Sud – Ghana le 5 octobre 2020*6e journée (dates à confirmer)*
Ghana – Sao Tomé-et-Principe, le 9 novembre 2020
Soudan – Afrique du Sud, le 9 novembre 2020
• *Groupe D* : *RD Congo, Gabon, Angola, Gambie*
*1re journée*
Angola 1 – 3 Gambie
RD Congo 0 – 0 Gabon
*2e journée*
Gabon – Angola, le 17 novembre 2019
Gambie – RD Congo, le 18 novembre
*3e journée (dates à confirmer)*
Gabon – Gambie, le 31 août 2020
RD Congo – Angola, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Gambie – Gabon, le 8 septembre 2020
Angola – RD Congo, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Gambie – Angola, le 5 octobre 2020
Gabon – RD Congo, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Angola – Gabon, le 9 novembre 2020
RD Congo – Gambie, le 9 novembre 2020
• *Groupe E* : *Maroc, Mauritanie, Burundi, République centrafricaine*
*1re journée*
République centrafricaine 2 – 0 Burundi
Maroc 0 – 0 Mauritanie
*2e journée*
Mauritanie – République centrafricaine, le 19 novembre 2019
Burundi – Maroc, le 19 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Maroc – République centrafricaine, le 31 août 2020
Mauritanie – Burundi, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
République centrafricaine – Maroc, le 8 septembre 2020
Burundi – Mauritanie, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Mauritanie – Maroc, le 5 octobre 2020
Burundi – République centrafricaine, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
République centrafricaine – Mauritanie, le 9 novembre 2020
Maroc – Burundi, le 9 novembre 2020
• *Groupe F* : *Cameroun (qualifié), Cap-Vert, Mozambique, Rwanda*
*1re journée*
Cameroun 0 – 0 Cap-Vert
Mozambique 2 – 0 Rwanda
*2e journée*
Rwanda – Cameroun, le 17 novembre 2019
Cap-Vert – Mozambique, le 18 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Cameroun – Mozambique, le 31 août 2020
Cap-Vert – Rwanda, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Mozambique – Cameroun, le 8 septembre 2020
Rwanda – Cap-Vert, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Rwanda – Mozambique, le 5 octobre 2020
Cap-Vert – Cameroun, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Mozambique – Cap-Vert, le 9 novembre 2020
Cameroun – Rwanda, le 9 novembre 2020
• *Groupe G* : *Égypte, Togo, Kenya, Comores*
*1re journée*
Égypte 1 – 1 Kenya
Togo 0 – 1 Comores
*2e journée*
Kenya – Togo, le 18 novembre 2019
Comores – Égypte, le 18 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Kenya – Comores, le 31 août 2020
Égypte – Togo, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Comores – Kenya, le 8 septembre 2020
Togo – Égypte, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Kenya – Égypte, le 5 octobre 2020
Comores – Togo, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Égypte – Comores, le 9 novembre 2020
Togo – Kenya, le 9 novembre 2020
• *Groupe H* : *Algérie, Zambie, Zimbabwe, Botswana*
*1re journée*
Algérie 5 – 0 Zambie
Zimbabwe 0 – 0 Botswana
*2e journée*
Botswana – Algérie, le 18 novembre 2019
Zambie – Zimbabwe, le 19 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Zambie – Botswana, le 31 août 2020
Algérie – Zimbabwe, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Zimbabwe – Algérie, le 8 septembre 2020
Botswana – Zambie, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Botswana – Zimbabwe, le 5 octobre 2020
Zambie – Algérie, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Zimbabwe – Zambie, le 9 novembre 2020
Algérie – Botswana, le 9 novembre 2020
• *Groupe I* : *Sénégal, Congo, Guinée-Bissau, Eswatini*
*1re journée*
Guinée-Bissau 3 – 0 Eswatini
Sénégal 2 – 0 Congo
*2e journée*
Eswatini – Sénegal, le 17 novembre 2019
Congo – Guinée-Bissau, le 17 novembre 2020
*3e journée (dates à confirmer)*
Sénégal – Guinée-Bissau, le 31 août 2020
Congo – Eswatini, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Guinée-Bissau – Sénégal, le 8 septembre 2020
Eswatini – Congo, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Eswatini – Guinée-Bissau, le 5 octobre 2020
Congo – Sénégal, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Sénégal – Eswatini, le 9 novembre 2020
Guinée-Bissau – Congo, le 9 novembre 2020
• *Groupe J* : *Tunisie, Libye, Tanzanie, Guinée équatoriale*
*1re journée*
Tanzanie 2 – 1 Guinée équatoriale
Tunisie 4 – 1 Libye
*2e journée*
Libye – Tanzanie, le 19 novembre 2019
Guinée équatoriale – Tunisie, le 19 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Tunisie – Tanzanie, le 31 août 2020
Libye – Guinée équatoriale, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Tanzanie – Tunisie, le 8 septembre 2020
Guinée équatoriale – Libye, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Libye – Tunisie, le 5 octobre 2020
Guinée équatoriale – Tanzanie, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Tanzanie – Libye, le 9 novembre 2020
Tunisie – Guinée équatoriale, le 9 novembre 2020
• *Groupe K* : *Côte d'Ivoire, Niger, Madagascar, Éthiopie*
*1re journée*
Côte d'Ivoire – Niger, le 16 novembre 2019
Madagascar – Éthiopie, le 16 novembre 2019
*2e journée*
Niger – Madagascar, le 19 novembre 2019
Éthiopie – Côte d'Ivoire, le 19 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Niger – Éthiopie, le 31 août 2020
Côte d'Ivoire – Madagascar, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Éthiopie – Niger, le 8 septembre 2020
Madagascar – Côte d'Ivoire, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Niger – Côte d'Ivoire, le 5 octobre 2020
Éthiopie – Madagascar, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Côte d'Ivoire – Éthiopie, le 9 novembre 2020
Madagascar – Niger, le 9 novembre 2020
• *Groupe L* : *Nigeria, Bénin, Sierra Leone, Lesotho*
*1re journée*
Nigeria 2 – 1 Bénin
Sierra Leone 1 – 1 Lesotho
*2e journée*
Bénin – Sierra Leone, le 17 novembre 2019
Lesotho – Nigeria, le 17 novembre 2019
*3e journée (dates à confirmer)*
Nigeria – Sierra Leone, le 31 août 2020
Bénin – Lesotho, le 31 août 2020
*4e journée (dates à confirmer)*
Sierra Leone – Nigeria, le 8 septembre 2020
Lesotho – Bénin, le 8 septembre 2020
*5e journée (dates à confirmer)*
Bénin – Nigeria, le 5 octobre 2020
Lesotho – Sierra Leone, le 5 octobre 2020
*6e journée (dates à confirmer)*
Nigeria – Lesotho, le 9 novembre 2020
Sierra Leone – Bénin, le 9 novembre 2020
(Source ; France24)
L'Etat a prévu pour l'année 2020 la réalisation de 228 projets pour un montant de 476,718 milliards FCFA. C'est ce qu'a annoncé le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané ce vendredi 15 novembre 2019, au cours d'un point de presse tenu à la suite de la présentation du Projet du Programme d'Investissement Public 2020 faite aux députés.
« Le projet du Programme d'Investissement Public (PIP), c'est-à-dire l'ensemble des projets et programmes prévus par l'Etat pour être exécutés au cours de l'année 2020, comporte 228 projets pour un montant de 476,718 milliards de FCFA. Il est également en hausse de plus de 51 milliards par rapport à 2019. Les ressources intérieures contribuent à hauteur de 265,518 milliards de FCFA soit 55,7% pour le financement de 129 projets exclusivement financés par le Budget National », informe le ministre d'Etat. Abdoulaye Bio Tchané rappelle que « depuis le deuxième semestre de l'année 2018, les grands projets inscrits dans le PAG ont connu leur démarrage physique » et « 2019 a été une année d'accélération desdits projets ».
« En 2020, les projets atteindront une vitesse de croisière », souligne-t-il.
Ces projets phares relèvent de plusieurs secteurs : Eau potable, Transports, Electricité, Enseignement, Santé, Logements et Equipements Collectifs, Protection de l'Environnement ».
Il cite en exemple la poursuite des Programmes d'accès à l'eau potable en milieu rural ; le Projet de Renforcement du Système d'Alimentation en Eau Potable des Villes de Cotonou, Parakou ; Dassa, Savè, Glazoué et environs et la construction d'une Centrale Thermique de 136 MW à Maria Gléta en Mode PPP.
D'autres projets et programmes sont entre autres : la généralisation du volet santé (Accès universel aux soins de santé) du projet ARCH ; le Projet de développement de programmes immobiliers d'habitat social et économique ; le Programme des Villes Durables ou encore ; le Projet de contournement nord de la ville de Cotonou et le Projet de construction d'un échangeur au carrefour Vèdoko à Cotonou.
« (...) L'économie béninoise, depuis 2016, fait preuve d'une résilience saluée de tous. La dernière revue du Fonds Monétaire International le prouve à suffisance et la Banque Mondiale l'atteste à travers le Doing Business. Dans ces conditions, le Gouvernement maintient le cap sur les objectifs fixés dans son Programme d'Action (PAG 2016-2021) », a-t-il conclu.
A.A.A
Le projet de loi de finances pour la gestion 2020, de la documentation budgétaire et du projet de Programme d'Investissement Public (PIP) gestion 2020 ont été présentés ce vendredi 15 novembre 2019, à l'Assemblée nationale.
Au terme des présentations faites aux députés, le ministre d'Etat à travers un point de presse a donné plus de détails sur lesdits projets.
Le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané a annoncé pour 2020 un projet de budget de près 2000 milliards FCFA et un PIP de 477 milliards FCFA. Selon lui, ce budget général de l'Etat est en hausse pour plus de social. « Au titre de l'année 2020, le projet de loi de finances avoisine 2.000 milliards de francs CFA, précisément 1 986,910 milliards de FCFA. Il est en hausse de 109,367 milliards de FCFA, soit un taux d'accroissement de 5,8% », indique-t-il.
Le projet de loi de finances, gestion 2020 affirme le ministre d'État est orienté vers l'investissement, le social et l'allègement fiscal. En dehors des mesures sociales prévues dans les secteurs de l'éducation, de la santé et de la protection sociale, l'année 2020 sera marquée par « la mise en œuvre du nouveau programme spécial d'insertion dans l'emploi annoncé par le Chef de l'Etat, à la veille du premier août dernier ». Selon Abdoulaye Bio Tchané ledit programme consistera à recruter à la charge de l'Etat, 2000 diplômés qui seront placés dans les entreprises publiques et privées pour une période de deux ans.
Allègement de la fiscalité pour les ménages et les entreprises
D'après le ministre d'Etat, « le projet de budget 2020 prévoit un allègement de la fiscalité pour les ménages et les entreprises », ce qui va entraîner « moins d'impôts à payer pour les Béninois ». « Le nombre d'impôts passe de 48 en 2019 à 35 en 2020 », annonce-t-il.
Pour les ménages et les entreprises explique Bio Tchané, ces mesures se traduiront par « l'extension du régime d'exonération des droits et taxes de douanes et de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur l'importation ou l'acquisition en République du Bénin des panneaux solaires photovoltaïques formant un ensemble, à l'exclusion des batteries ».
Il cite aussi « le réaménagement des modalités de paiement des acomptes de la Taxe Professionnelle Synthétique pour les nouvelles entreprises ; la reconduction de l'exonération des droits et taxes de douane et de la TVA sur les récipients de gaz ; la reconduction de l'exonération des droits et taxes de douane et de la TVA sur les autobus autocars et minibus destinés au transport en commun et plusieurs autres mesures d'allègement fiscal.
A tout cela s'ajoute, « la dispense de pénalité de retard accordée aux contribuables qui souscrivent spontanément, pour la première fois, leurs déclarations en régularisation des affaires réalisées au titre des exercices antérieurs ».
Le ministre précise que pour 2020, « les indicateurs macroéconomiques vont continuer à s'améliorer avec un taux de croissance économique en accélération de 7,6%, un taux d'inflation maîtrisé à 0,6% largement en dessous du seuil communautaire de 3%, un déficit budgétaire de 1,8% du PIB conforme aux critères de l'UEMOA ; et un taux d'endettement contenu et viable à 38,7% du PIB, également en dessous du seuil communautaire de 70% ».
Le ministre d'Etat a aussi annoncé que l'ensemble des projets et programmes prévus par l'Etat pour être exécutés au cours de l'année 2020, comporte 228 projets pour un montant de 476,718 milliards de FCFA.
A.A.A
Communauté des Béninois au Maroc
(Cobem), c'est la nouvelle association qui rassemble les ressortissants béninois au Royaume chérifien.
Les membres du bureau ont été élus lors de l'assemblée générale tenue le 2 novembre 2019 à l'ambassade du Bénin près le Royaume du Maroc.
Les membres du bureau exécutif du Cobem ont été installés le 9 novembre 2019.
L'association est présidée par Moutinou Dourotimi Amidou.
La Cobem est composée d'un bureau exécutif, d'un conseil consultatif et d'un commissariat aux comptes.
L'association regroupe les ressortissants béninois au Maroc de toute les couches socioprofessionnelles : travailleurs, étudiants, stagiaires, religieux, artistes, médecins, médecins militaires et autres.
Le bureau exécutif élu pour un mandat de deux ans mènera sa mission en collaboration avec l'ambassade du Bénin près le Maroc.
Moutinou Dourotimi Amidou est expert en gestion des ressources naturelles et lutte contre les changements climatiques pour le développement durable. Il a été vice-président de l'Association des étudiants et stagiaires béninois au Maroc (Asebem).
Le nouveau président de la Cobem fut Secrétaire général adjoint de l'Organisation des jeunes africains, section Rabat (Maroc).
A.A.A
Les réformes engagées au Bénin par le gouvernement Patrice Talon ont permis une amélioration du climat des affaires, attirant bon nombre d'investisseurs. Le ministre de l'Economie et des finances Romuald Wadagni a reçu ce mardi 12 novembre 2019, à Sèmè City un groupe d'investisseurs américains.
Lors de cette séance de travail, les hommes d'affaires américains ont apprécié les opportunités d'affaires au Bénin.
Le ministre de l'Economie et des finances Romuald Wadagni a présenté aux 04 représentants des différents groupes, les réformes menées par le gouvernement Talon en matière de l'environnement des affaires.
Des réformes qui ont permis au Bénin de se présenter aujourd'hui comme l'une des zones économiques les plus prometteuses en Afrique.
Les investissements de ces groupes sont axés sur des secteurs qui « prônent des solutions novatrices notamment les échanges maritimes avec un focus sur les marchés émergents en Afrique et en Asie ».
« Nous sommes un groupe d'investisseurs venu échanger avec les autorités béninoises sur les risques et opportunités d'investissement et mieux comprendre les dynamiques macroéconomiques au Bénin. La rencontre a été très instructive et nous avons été bien accueillis », a confié Marc Zeepvat du groupe Transnational Resaarch Coopération.
Selon lui, les « discussions ont également porté sur la question de la fermeture des frontières avec le Nigéria, la collaboration du Bénin avec le Fonds monétaire international (FMI) et les actions du Programme d'Actions du Gouvernement (PAG) ».
« Notre visite au Bénin nous permet d'affirmer que les perspectives sont très bonnes et nous sommes très optimistes », a-t-il déclaré.
A.A.A
L'ancien directeur général de la police nationale, Louis Philippe Houndégnon ne pourra pas renouveler son passeport diplomatique.
A la suite d'une demande de renouvèlement de cette pièce administrative, le ministre de l'intérieur et de la sécurité publique lui aurait opposé un refus.
Selon les informations rapportées par le journal Banouto, l'inspecteur général de la police a travers une correspondance en date du 18 septembre 2019, a informé le chef de l'Etat que le ministre de l'intérieur a refusé d'engager les formalités de renouvellement de son passeport « sans aucune motivation ». Il a par ailleurs précisé que le ministre l'avait instruit d'honorer les frais d'établissement, et ce n'est qu' « après avoir produit le récépissé du paiement » qu'il lui a signifié son refus.
Pour lui, l'administration refuse de « tenir compte d'une situation juridiquement protégée ».
F. A. A.
La quatrième rentrée judiciaire de la Cour de justice de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (CJ-UEMOA) démarre officiellement le mercredi 20 novembre 2019 à partir de 10h. La direction de la Communication de l'organisation sous-régionale à travers un communiqué de presse, a rendue l'information publique ce vendredi 15 novembre 2019.
« La Cour de Justice et la protection des droits de l'Homme dans l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine », c'est le thème retenu pour cette rentrée qui sera lancée au cours d'une audience publique solennelle au siège de ladite institution, à Ouagadougou, au Burkina-Faso.
La Cour de Justice de l'UEMOA tient sa 4ème rentrée judiciaire le 20 novembre 2019 à 10h à son siège, Place du Mémorial aux Héros Nationaux à Ouaga 2000.
Thème « La Cour de Justice et la protection des droits de l'homme dans l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine ». pic.twitter.com/Z8iRp6leeD
— UEMOA_Officiel (@UEMOA_Officiel) November 15, 2019
La 4ème rentrée de la CJ-UEMOA s'effectue conformément à l'article 17 de l'Acte Additionnel n°10/96 du 10 mai 1996 portant Statuts de la Cour de justice de l'UEMOA. Selon cette disposition, « la Cour fixe la date et la durée des vacances judiciaires ainsi que les modalités de son fonctionnement pendant cette période ».
L'article 12.5 du Règlement n°01/2012/CJ du 21 décembre 2012 relatif à son règlement administratif stipule qu' « une audience dite de « rentrée judiciaire » a lieu au terme de la période des vacances judiciaires, au cours de laquelle il est constaté la clôture de l'année achevée et l'ouverture de l'année nouvelle ».
La Cour de Justice de l'UEMOA a été créée par le traité de l'Union et le Protocole additionnel n°1. Elle a pour mission de veiller au respect du droit quant à l'interprétation et l'application du Traité de l'Union.
La Cour est composée de huit (08) Membres nommés par la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'UEMOA pour un mandat de six (06) ans renouvelable. Les Membres désignent en leur sein pour trois (03) ans, le Président et répartissent entre eux les fonctions de Juges et d'Avocats généraux.
F. A. A.