Le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou a clôturé les travaux de la 1ère session ordinaire de l'année 2020 ce lundi 06 juillet.
Selon le chef du parlement béninois, la production législative de ladite session est nettement faible par rapport à la session précédente. Cela s'explique selon lui par le contexte politique marqué par les activités électorales liées aux communales 2020 et la crise sanitaire de la Covid-19, qui ont contraint les parlementaires à un service minimum.
« Toutefois, je reste persuadé que nous arriverons très bientôt à bout de l'ennemi commun que nous combattons tous les jours et à chaque instant à travers le strict respect des gestes barrières identifiés pour limiter la propagation du fameux virus », a rassuré Louis Vlavonou. Ainsi, le parlement pourra se remettre plus aisément dans la dynamique qui lui est imprimé depuis mai 2019, a-t-il rappelé.
F. A. A.
Le préfet de l'Atacora, Lydie Déré Chabi Nah, a lancé dans la matinée de ce lundi 06 juillet, les épreuves de l'examen du Certificat d'études primaires (CEP) à l'école urbaine centre de Toucountouna.
Pour cet examen qui se déroule dans un contexte particulier de la pandémie du Coronavirus, le préfet a d'abord et avant tout constaté la mise en place de toutes les mesures barrières contre la Covid-19. « Vous avez donc l'obligation d'observer les gestes barrières aussi bien dans les salles de composition que pendant la pause et même à la maison », a-t-elle rappelé aux candidats et aux surveillants de salles.
Lydie Déré Chabi Nah a par la suite exhorté les candidats à travailler afin de hisser le département de l'Atacora au rang des meilleurs. Au total, 403 candidats dont 197 filles composent à l'école urbaine centre de Toucountouna.
L'autorité préfectorale au cours du lancement, promis de primer les premiers de chaque commune du département. Elle n'a pas manqué de galvaniser les 11 candidats malvoyants et sourds muets de Péporiyakou.
Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire de l'Atacora, Robert Médard N'Tcha, a exhorté pour sa part, les candidats à la sérénité à lire correctement les épreuves et à répondre convenablement aux questions.
Pour le compte du département de l'Atacora, 10.366 candidats dont 4461 filles composent dans 35 centres.
F. A. A.
Le Tribunal de première instance de Parakou statuant en matière criminelle a condamné ce lundi 06 juillet 2020, un chasseur a 7 ans d'emprisonnement ferme pour coups mortels.
Selon Frissons Radio, les faits remontent à 2013, un chasseur de N'Dali âgé d'environ 60 ans a infligé un châtiment corporel à un présumé voleur de coq appartenant à son voisin. Les coups et blessures ont entraîné la mort du présumé voleur.
En détention depuis 2013, le chasseur condamné à 7 ans d'emprisonnement pour coups mortels retourne en prison pour purger sa peine.
A.A.A
Le Chef de l'Etat Patrice Talon a par décret n°2020-311 en date du 17 juin 2020 procédé à la nomination de 104 élèves-officiers aux grades de sous-Lieutenant, Lieutenant, Capitaine ou homologue.
Les nouveaux officiers ont été nommés sur proposition conjointe du ministre délégué auprès du président de la République chargé de la défense nationale et du ministre de l'intérieur et de la sécurité.
Sur les 104, il y a 93 élèves-officiers de l'armée de terre nommés sous-Lieutenant, Lieutenant ou Capitaine. 06 nouveaux officiers des forces navales ont été nommés Enseigne de vaisseau de 1ère classe ou Enseigne de vaisseau de 2ème classe.
02 nouveaux officiers des forces aériennes ont été promus au grade de Lieutenant et de sous-Lieutenant. 03 ex-gendarmes ont reçu le grade de sous-Lieutenant.
A.A.A.
L'examen du Certificat d'études primaires (CEP) a démarré ce lundi 06 juillet 2020 sur toute l'étendue du territoire national. Comme dans les autres départements, le préfet du Littoral, Jean-Claude Codjia a procédé au lancement des épreuves dans la matinée au complexe scolaire Jéricho.
Il sonnait environ 08h30 quand l'autorité préfectorale a lancé l'examen avec l'épreuve de Lecture qui sera suivie dans la journée des épreuves d'Expression écrite, d'Education scientifique et technologique.
Dans son message à l'endroit des candidats, le préfet après avoir expliqué les efforts consentis par le gouvernement pour le déroulement normal de l'examen, les a invités au calme et à la concentration.
Présent à la cérémonie de lancement, le premier adjoint au maire de Cotonou, Randys Romain Ahouandjinou au nom du maire, a invité les candidats à la sérénité.
17.323 candidats composent pour le compte du département du littoral.
F. A. A.
Dans le cadre du dépistage de la maladie du Coronavirus, 04 sites sont prévus dans la ville de Cotonou, capitale économique du Bénin.
Selon la répartition qui est faite, c'est le centre de santé d'Agbato à Akpakpa qui est retenu pour les habitants des 1er, 2ème, 3ème et 4ème arrondissements. Ceux des 5ème et 6ème arrondissements pourront se faire dépister à l'Hôpital de la mère et de l'enfant (Homel-Lagune) à Tokpa-Hoho, zone du Lycée Technique F. M. Coulibaly.
Du 7ème au 10ème arrondissements, c'est Ciné le Bénin à Maro-Militaire qui est retenu.
Les populations habitants les 11ème, 12ème et 13ème arrondissements pourront se faire dépister au Centre de Santé de Cadjèhoun à côté de l'Eglise catholique Bon Pasteur.
Le Bénin selon le ministre de la santé compte environ 1300 cas confirmés de Coronavirus. Le tiers est déclaré guéri, les 2/3 sous traitement et 21 décès.
F. A. A.
Dans une interview accordée à la Radio nationale, le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou a expliqué les raisons pour lesquelles l'Ecole primaire publique d'Agoua située dans la commune de Bantè, dans le département des Collines, a été choisie pour accueillir le lancement officiel de l'examen du CEP 2020.
Selon le ministre des enseignements maternel et primaire, la lecture des statistiques dans cet arrondissement de la commune de Bantè a permis de se rendre compte que « le taux de scolarisation est encore faible, et très faible ». Il en est de même du taux de réussite à l'examen du CEP dans cet arrondissement qui selon le ministre, « reste encore faible ».
Une situation qui a amené les autorités à « donner la priorité à cette localité pour que les populations continuent de croire à l'école, continuent de considérer que l'école est une nécessité. « C'est un droit pour les enfants », a insisté Salimane Karimou exhortant les populations à continuer d'envoyer leurs enfants à l'école. Une fois que les enfants sont à l'école, poursuit-il, on doit pouvoir également les accompagner pour que « le taux de réussite soit vraiment très très élevé ».
Au total, 215 candidats sont inscrits à l'examen du Certificat d'Études Primaires au Complexe Scolaire d'Agoua.
F. A. A.
La crise de la pandémie du Coronavirus n'a pas impacté la tenue de l'examen du Certificat d'Etude Primaire, édition 2020. Dans la commune d'Abomey-Calavi, c'est le Collège d'Enseignement Général de Zinvié qui a servi de cadre au lancement officiel dudit examen par le maire Angelo Evariste Ahouandjinou accompagné pour la circonstance du Chef d'Arrondissement de Zinvié Christophe Aissi.
En lançant officiellement les épreuves de l'examen du Certificat d'Etudes Primaire (Cep) dans la commune dont il a pris les rênes le 09 juin dernier, le maire Angelo Evariste Ahouandjinou a déclaré à la presse que sa démarche s'inscrit dans la vision du Président de la République qui entend faire du sous-secteur de l'éducation un véritable outils de développement. Pour lui, la ressource humaine bien instruite est gage d'un véritable développement d'où son engagement à s'impliquer personnellement dans la tenue effective sans anicroche de cet examen.« J'ai été très satisfait de constater que les différents acteurs ont joué leur partition pour que ces examens se déroulent dans les conditions normales en tenant compte de cette atmosphère particulière de Covid 19.Les enfants sont bien installés, nous avons fait pratiquement le tour de toutes les salles pour voir si la distanciation sociale est respectée. En premier lieu nous avons vu le dispositif de lavage de mains. Nous même, nous avons sacrifié à cette tradition. Les enfants sont à l'aise et nous leur avons prodigué les conseils qu'il faut parce que notre souci c'est de voir tous ces élèves réussir malgré les conditions difficiles dans lesquelles ces examens se déroulent » a laissé entendre le maire Angelo Evariste Ahouandjinou. Le centre d'examen du Cep 2020 de l'école centre de Zinvié est transféré au Ceg Zinvié dans le souci de respecter la distanciation sociale puisque ces examens se déroulent dans un contexte particulier de la pandémie du Covid 19.le Chef d'Arrondissement de Zinvié dont la ville accueille cet examen, a pris toutes les dispositions nécessaires pour permettre aux candidats d'observer strictement les gestes barrières en riposte au Covid 19. « Je voudrais au lancement officiel du Cep, remercié le maire et lui rendre un hommage mérité pour avoir choisi Zinvié comme le lieu de lancement officiel de ces examens. Ces examens que nous abordons dans un contexte particulier marqué par la pandémie du Coronavirus. Donc il est venu voir si les gestes barrières sont respectés. Est-ce que les mesures de distanciation sont respectées dans les salles de classes. C'est le premier constat qu'il est venu faire. Et il est satisfait de ce constat-là. Les populations de Zinvié réitèrent à la délégation du maire leur satisfaction morale que le maire ait commencé ces premières actions à partir de Zinvié. Monsieur le maire soyez en remercier », a déclaré Christophe Aissi. Après le lieu du lancement officiel, la délégation conduite le maire Angelo Ahouandjinou s'est rendue successivement dans les centres de composition de Zinvié-Fandji, Kpanroun, Akassato, Ahossougbéta, Calavi centre puis à Xlacomey.
De 3.5, le Bénin a enregistré un score de 3.6 en matière des progrès dans l'évaluation de la politique et des institutions nationales (Country Policy and Institutional Assessment-Cpia). Nathalie Picarelli, économiste à la Banque Mondiale dans un entretien accordé à La Nation, a expliqué ce résultat positif du pays.
Selon Nathalie Picarelli, l'évaluation Cpia de la Banque Mondiale consiste à établir un état des lieux sur les progrès réalisés par les pays, dans le cadre du renforcement de la qualité de leurs politiques et de leurs institutions afin de favoriser une croissance durable, et de réduire la pauvreté.
C'est une évaluation qui se fait tous les ans pour les pays éligibles aux fonds Ida (fonds à conditions concessionnelles pour les pays à faibles revenus) et se base sur 16 critères représentant les dimensions institutionnelles d'une stratégie efficace de réduction de la pauvreté.
Sur l'importance des scores Cia, Nathalie Picarelli a indiqué qu'ils jouent un rôle essentiel et constituent l'un des critères qui déterminent la répartition des prêts concessionnels et des dons Ida. « Les pays les plus performants sur la base de leur score Cpia pourraient s'attendre à avoir une enveloppe plus conséquente afin de stimuler la croissance et promouvoir une prospérité partagée.
Deuxièmement, l'évaluation annuelle Cpia permet de mettre en avant une idée directrice de la Banque Mondiale : le développement s'obtient à partir des réformes institutionnelles mises en œuvre et par la mise en place de politiques publiques solides », a-t-elle expliqué.
Selon l'économiste, il ne s'agit pas avec le Cpia d'évaluer la performance sur des critères qui peuvent être affectés par la conjoncture (comme la Covid-19 par exemple) mais les réformes structurelles.
« La publication annuelle des scores par la Banque Mondiale permet de faire un suivi et de reconnaître les efforts entrepris par les gouvernements des pays membres de l'Ida », a ajouté Nathalie Picarelli. Selon elle, les scores Cpia ne sont pas des acquis. Tous les ans, les équipes pays de la Banque Mondiale évaluent les progrès mais aussi les reculs, et proposent les arguments en faveur de la notation. Elle précise qu'il y a un processus interne d'harmonisation et de contrôle pour s'assurer que les notations sont cohérentes aux efforts réalisés par rapport aux autres pays membres de l'association.
Des progrès significatifs
Selon Nathalie Picarelli, le Bénin au cours de l'année écoulée a fait des progrès significatifs dans quatre domaines particuliers. La gestion économique du pays souligne-t-elle, a été améliorée grâce à la publication de statistiques régulières et complètes sur la gestion de la dette, ainsi qu'à l'introduction de budgets programmatiques, et les progrès soutenus en matière de consolidation fiscale.
Dans le domaine de la gestion économique, le Bénin a le deuxième score le plus élevé en Afrique, après l'Ouganda, a informé l'économiste.
Deuxièmement, le secteur financier a été rendu plus résilient en poursuivant les réformes sur les exigences des normes internationales des accords de Bâle II et de Bâle III. Troisièmement, le meilleur processus de planification du secteur de la santé a permis d'augmenter la note relative au capital humain.
Enfin, des progrès ont été réalisés en matière de droits de propriété avec une meilleure transparence du système d'administration foncière, la publication en ligne du cadastre et surtout l'adoption d'un décret facilitant la conversion des permis d'habiter en titres fonciers pouvant être reconnus comme des garanties par le régulateur bancaire (Commission bancaire de l'UEMOA).
Cette réforme devrait également améliorer la rentabilité des banques, a confié Nathalie Picarelli soulignant qu'à la fin du mois d'octobre, environ 600 garanties avaient été formalisées, correspondant à 72 milliards de francs CFA de garanties sous-jacentes.
Le Cpia de l'année 2020 a couvert 75 pays dont 39 en Afrique. Selon l'économiste de la Banque Mondiale, pour chaque critère, les performances des pays sont notées sur une échelle allant de 1 (faible) à 6 (fort).
Pour ce qui concerne le Bénin, un atelier a été organisé en novembre dernier avec les différents acteurs gouvernementaux et la Société civile, a rappelé Picarelli.
F. A. A.
Les critères d'évaluationLes ministres Eléonore Yayi Ladékan de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, et Mahougnon Kakpo des enseignements secondaire, technique et la formation professionnelle ont procédé au lancement officiel des épreuves écrites de l'examen du Baccalauréat session de juillet 2020 pour les candidats des séries F1, F2, F3, F4, EA, et G1 au Lycée technique Coulibaly de Cotonou dans la matinée de ce lundi 06 juillet. Au total, 1.250 candidats composent pour ce Bac technique qui a démarré ce lundi au même titre que l'examen du CEP.
Fière de l'organisation de l'examen, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore Yayi Ladékan a salué la présence remarquée de candidats filles. Profitant de l'occasion, elle a souligné qu'il est bien possible pour les femmes de faire les séries scientifiques.
Ravi de l'organisation et du respect des gestes barrières de la Covid-19, le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Mahougnon Kakpo, a rappelé que le Bac technique a démarré depuis la semaine dernière avec la filière F3. Les candidats souligne-t-il, ont fait preuve d'une sérénité ; chacun muni de son masque, et les gestes barrières sont observés. A l'entrée des salles, il y a le dispositif de lavage des mains à l'eau et au savon ainsi que des flacons de gels hydro alcooliques pour permettre aux candidats de se désinfecter avant de s'installer, a observé le ministre. L'organisation de l'examen selon Mahougnon Kakpo, est aussi parfaite vue qu'il s'agit d'un examen technique qui requiert des dispositions particulières.
F. A. A.
Les Forces cauris pour un Bénin émergent (FECBE) n'ont pas été informées en amont de la création d'un poste de vice-présidence introduite dans la constitution modifiée. Le secrétaire exécutif national, Paul Hounkpè dans un entretien accordé à la radio nationale ce lundi 06 juillet 2020 l'a rappelé.
Pour celui-ci, la création d'un poste de vice-présidence n'a pas été discutée lors du dialogue politique d'octobre dernier et auquel la formation politique qu'il dirige a pris part. Les FCBE selon Paul Hounkpè, ont été mis devant le fait accompli. « Nous n'avons jamais dit au dialogue qu'il y aura création de vice-président. On n'en a même pas débattu », a dénoncé l'acteur politique. A l'en croire, la création de ce poste ne règle aucun problème.
Selon le secrétaire exécutif des FCBE, les députés en votant la constitution modifiée, ont exclu les voix discordantes dans le débat relatif à la création de ce poste. Ils auraient pu l'ouvrir pour que plusieurs autres apportent leurs contributions. « Il n'y a pas de disposition qui ne soit pas sans risque », a-t-il fait savoir.
F. A. A.
Le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou a procédé au lancement officiel des épreuves écrites de l'examen du Certificat d'études primaires (CEP) à l'Ecole primaire publique d'Agoua, commune de Bantè, département des Collines dans la matinée de ce lundi 06 juillet 2020.
Avant de lancer officiellement les épreuves, le ministre Salimane Karimou a effectué une visite guidée dans le centre afin de s'assurer du respect des règles barrières de la Covid-19. S'adressant aux candidats, il a invité ces derniers à la sérénité et à donner le meilleur d'eux-même. Selon le ministre des enseignements maternel et primaire, l'examen annuel du cycle primaire se déroule dans des circonstances peu ordinaires. Mais tout est mis en œuvre pour que l'année académique soit sauvée et les objectifs atteints, a-t-il rassuré avant de formuler ses vœux de bonne chance aux candidats.
F. A. A.
Le maire de la commune de Bohicon, Rufino d'Almeida accompagné de ses adjoints, Bertin Agbo et Élisabeth Agbossaga, et du DDEMP du Zou, Pierre Hounkandji, a procédé au lancement des épreuves du Certificat d'études primaires (CEP) ce lundi 06 juillet à l'EPP de Adamè, dans l'arrondissement d'Avogbanna.
« L'examen, ce n'est pas un concours. N'ayez pas peur », a déclaré le maire avant de formuler le vœu que tous les candidats soient admis. Me Rufino d'Almeida a souhaité que la commune de Bohicon ait le meilleur taux de réussite dans le Zou et pourquoi pas au Bénin.
Lmaire a par ailleurs invité les candidats au respect des règles barrières de la Covid-19, notamment le port de masques, et à éviter la tricherie.
Selon le directeur départemental des enseignements maternel et primaire (DDEMP) du Zou, l'EPP Adamè est un nouveau centre. Raison pour laquelle elle a servi de cadre au lancement officiel de l'examen.
Présent à la cérémonie de lancement, le secrétaire général de la préfecture d'Abomey, Julien Wankpo a exhorté les candidats à la sérénité et surtout, à ne pas paniquer.
F. A. A.
Le préfet du département du Mono, Komlan Sèna Sedzro Zinsou, à la tête d'une délégation composée du directeur départemental des enseignements maternel et primaire, Bossou Lambert Mawoussi, du maire de la Commune d'Athiemé, Saturnin Dansou, a procédé au lancement officiel des épreuves écrites du Certificat d'études primaires (CEP) session de juillet 2020, au Complexe scolaire d'Athiemé-centre dans la matinée de ce lundi 06 juillet 2020.
Selon le préfet du Mono, le choix porté sur Athiemé se justifie du fait que c'est une commune difficile d'accès en saison pluvieuse. A en croire Komlan Sèna Sedzro Zinsou, ce choix a été fait pour « anticiper sur d'éventuelles difficultés››. Il a ensuite dopé le moral des candidats et surveillants de salles afin que tout se passe dans la paix et dans la quiétude.
Le directeur départemental des enseignements maternelle et primaire, Bossou Lambert Mowoussi s'est réjoui pour sa part, de la sérénité dans laquelle se déroule l'examen malgré cette pandémie de la covid-19. Il a exhorté les candidats de mettre chaque fois leurs cache-nez aussi bien dans le centre de composition qu'ailleurs dans la ville.
Le maire de la commune d'Athiémé, Saturnin Dansou a remercié les acteurs impliqués dans l'organisation de cet examen pour le choix porté sur sa commune.
Au total, 11634 candidats répartis dans 50 centres composent dans le département du Mono dans le strict respect des gestes barrières de la Covid-19.
F. A. A.
Une industrie de la place recherche dans le cadre de son exploitation : Deux (02) Electrotechniciens
Description du poste : Electrotechnicien
Sous l'autorité du responsable de Service, il veille :
au bon état des équipements et automates industriels des lignes de production et des utilités ;
au bon état des installations industrielles ;
à la mise en œuvre du Plan de maintenance électrique et électronique avec efficacité ;
au suivi technique de la maintenance électrique préventive et curative des machines ;
au respect du manuel des procédures et des procédures internes.
Profil du candidat :
Etre titulaire d'une licence en Génie Electrique Industriel ;
Avoir une habilitation en Electricité industrielle ;
Avoir une bonne connaissance des procédés de la maintenance électrique et industrielle ;
Etre capable de diagnostiquer et d'intervenir sur les machines en cas de panne ;
Avoir une bonne connaissance de base en électronique et instrumentalisation ;
Savoir lire et interpréter les schémas électriques ;
Savoir réaliser le câblage d'une armoire électrique ;
Un minimum de deux (02) années d'expérience dans une industrie serait un atout ;
Avoir une grande disponibilité et une capacité à travailler sous pression ;
Etre âgé de 22 ans au moins et de 35 ans au plus au 31 décembre 2020.
Liste des pièces à fournir pour la constitution des dossiers
Une lettre manuscrite de motivation adressée au Directeur général de ladite structure ;
Un Curriculum vitae détaillé précisant les emplois occupés et les tâches accomplies ainsi que les copies des diplômes ;
La preuve des années d'expérience dans les différents domaines faisant objet du présent avis ;
Une photocopie légalisée de l'acte de naissance et de la pièce d'identité nationale ;
Un casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois.
Les dossiers complets seront adressés à l'adresse suivante :
sosjob@yahoo.fr au plus tard le 10 juillet 2020. Contact : 00229 96 94 13 00
Seuls les candidats présélectionnés seront convoqués pour la suite du processus de recrutement.
La Direction des Ressources Humaines
Le processus de désignation du nouveau roi de Savalou est suspendu, et ce, jusqu'à nouvel ordre. Par conséquent, les activités au sein du palais sont interdites et les portes de la Cour royale resteront fermées. C'est la décision prise par le tribunal de première instance de deuxième classe de Savalou dans le conflit qui oppose les différents protagonistes de la succession au trône des Sohavi.
Selon la décision du tribunal de Savalou, tout contrevenant s'expose à une amende de 5 millions FCFA par acte et par jour.
A l'origine de ce blocage dans la désignation du nouveau roi, une histoire familiale entre pères et fils, renseignent des sources proches de la Cour royale. « Jusqu'à preuve du contraire, un oncle ne peut pas aller se mettre à genoux devant son fils. Je suis son oncle et il y a un autre Ganfon comme moi, Romain Ganfon qui est aussi son oncle », a confié Evariste Ganfon. Ce prétendant au trône précise que tous sont candidats et que Arsène Ganfon, le Vidaho désigné au palais de Savalou le 15 Mai 2020 devait s'écarter et laisser la place à ses aînés.
Pour résoudre cette crise, le tribunal a proposé la mise en place d'une commission ad hoc composée de 07 membres dont 04 de la collectivité et 03 personnalités provenant d'une autre collectivité. Ces trois sages vont siéger en tant qu'observateurs, a confié le prétendant.
Ainsi, le comité de régence qui sera mis en place se chargera de tout le processus, et déposer son rapport d'activités qui devra être examiné au tribunal le 21 Juillet 2020.
Ce comité peut procéder à la désignation du régent conformément à l'acte du 11ème roi de Savalou, sa majesté Dadah GANDIGBE GBAGUIDI 11.
Suite au constat relatif aux conflits que suscite chaque succession au trône, ce dernier a instauré le Règne par rotation entre les quatre lignées des GBAGUIDI. Un principe qui a pour objectif, de pacifier le royaume des Mahi.
F. A. A.
L'examen du Certificat d'études primaires (CEP) démarre ce lundi 06 juillet 2020 sur toute l'étendue du territoire national. Cette année, c'est à l'école primaire publique d'Agoua de Bantè, département des Collines que le lancement officiel a été fait par le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou.
Au total, 206 313 candidats dont 96 614 filles répartis dans 746 centres iront à l'assaut de ce premier diplôme qui ouvre les portes du collège aux apprenants. Les candidats à besoins spécifiques selon les statistiques, sont au nombre de 77 dont 19 aveugles, 6 candidats à infirmité motrice d'origine cérébrale et 52 sourds muets.
A travers un message, le ministre Salimane Karimou a formulé ses vœux de succès à tous les candidats pour qu'à l'heure de proclamation des résultats, que tout le monde puisse se réjouir de ce que un taux de réussite à la hauteur des efforts soit atteint.
F. A. A.
Le Bénin à la date de ce dimanche 05 juillet compte 1300 cas confirmés de Covid-19, le tiers déclaré guéri et les 2/3 restants sous traitement. Le nombre de décès est de 21.
Selon le ministre de la santé, l'augmentation du nombre de cas confirmés n'a rien à voir avec les dernières élections communales et municipales.
« Si c'était vraiment ça qui explique la flambée des cas, ce n'est pas maintenant que nous aurions eu la flambée. Nous l'aurions eu depuis longtemps, depuis qu'on a fait les élections », a-t-il démontré.
Selon le ministre de la santé, si les élections étaient à l'origine de la flambée du nombre de cas confirmés, on l'aurait constaté au lendemain desdites élections. Pour lui, plusieurs autres hypothèses expliqueraient cette montée vertigineuse des chiffres liés au Covid-19. Il a évoqué à titre illustratif, la fraîcheur et l'humidité de ces derniers jours du fait des pluies. « Nous sommes entrés dans la saison pluvieuse, et ça coïncide effectivement avec la recrudescence des cas sur toute la zone côtière, ce n'est pas seulement du Bénin qu'il s'agit », a indiqué Benjamin Hounkpatin.
F. A. A.
En raison de la crise sanitaire du Coronavirus et son impact sur l'activité économique sur les plans mondial, sous-régional et national, les prévisions budgétaires de l'année 2021seront réduites de 3,5%. Le député Gérard Gbénonchi, président de la Commission des finances et des échanges de l'Assemblée nationale a annoncé la nouvelle ce dimanche 05 juillet sur l'émission Zone Franche de Canal3.
Selon le député, le taux de croissance de 7,6% prévu pour le Bénin sera revu à la baisse soit à 3,5%. La crise sanitaire qui secoue le monde entier avec son corollaire des mesures de confinement prises par un certain nombre de pays, rappelle-t-il, ont atteint négativement l'économie mondiale.
« Au plan régional, c'est la même chose, et au plan interne, le Bénin n'y échappe pas », a indiqué le président de la Commission des finances et des échanges.
M.Gbénonchi a souligné que le Fmi dans ce contexte a projeté qu'au plan mondial, « la croissance ne sera plus ce qu'elle était ». Pour cette raison, le gouvernement a annoncé que le taux de croissance sera revu à 3,5%.
A en croire le député, le projet de loi de finances n'est pas encore détaillé. Il s'agit pour le moment des grandes orientations.
Concernant le projet de loi des finances exercice 2021, le ministre de l'économie et des finances Romuald Wadagni a soumis le débat d'orientation budgétaire aux parlementaires le lundi 29 juin dernier.
F. A. A.
100 milliards de francs CFA, c'est le montant que le gouvernement du Bénin entend mobiliser sur le marché des titres au 3ème trimestre de l'année 2020.
Selon l'Agence UMOA-Titres, le Bénin veut uniquement mobiliser les Obligations Assimilables du Trésor (OAT) auprès des investisseurs du marché financier régional.
D'ores et déjà, le 02 juillet 2020, il y a une levée de fonds d'un montant de 25 milliards de FCFA, et le Bénin entend mobiliser l'épargne des personnes physiques et morales pour assurer la couverture des besoins de financement du budget.
F. A. A.