Toutes les dispositions ont été prises par le gouvernement pour éviter tout appel à la violence et à l'insurrection en cette période marquée par l'élection présidentielle d'avril prochain. Le ministre de la communication et de la poste, Alain Orounla l'a martelé ce dimanche 28 février 2021 sur l'émission ‘'Ma part de vérité'' de Golfe TV.
« Aucun Béninois, aucun membre du gouvernement, aucun acteur politique ne voudrait revivre ce que notre pays a connu les 1er et 02 mai 2019 », a souligné le ministre porte-parole du gouvernement. Et ceci, observe-t-il, en raison des mêmes acteurs qui avaient appelé au boycott, qui ont fait preuve de terrorisme, qui ont affolé les Béninois en leur interdisant d'aller voter parce qu'ils ne retrouvaient pas leurs comptes et leurs intérêts. « Tout est mis en œuvre par le gouvernement afin que cette situation ne se reproduise. Toutes les dispositions sont prises », a insisté Alain Orounla. A en croire le ministre de la communication, le gouvernement a eu l'occasion de se prononcer là-dessus officiellement pour décourager et dissuader avant même que l'idée ne germe ou ne naisse, toute velléité, d'appel au boycott, à l'insurrection, et au terrorisme.
Selon le ministre de la communication, ce sont les acteurs politiques qui n'ont jamais le courage de leurs opinions qui instrumentalisent les concitoyens, et les plus jeunes.
Profitant de l'occasion, il invite chaque parent à parler à ses enfants, aux adolescents ou aux jeunes majeurs qui, pour lui, sont plus fragiles et plus faciles à manipuler. « Que chaque instituteur, chaque professeur, toute personne qui a de l'autorité, de l'influence sur les jeunes (les mineurs, les jeunes majeurs) parlent afin qu'ils ne se lancent pas dans cette aventure », a-t-il lancé.
« Que la sensibilisation soit faite », a recommandé le porte-parole du gouvernement car, « ce que nous avons en partage, c'est ce petit pays aux grandes potentialités ; les potentialités ne peuvent pas devenir des réalités si on rentre dans des affrontements et des confrontations où il peut y avoir des situations malheureuses ou préjudiciables ». « Nous ne voulons pas revivre, et le président de la République est le premier à vouloir l'éviter d'en arriver à des situations où on a été obligé de priver de liberté un certain nombre de compatriotes, et qu'il a fallu que le président soit amené à prendre une loi d'amnistie pour que ces jeunes (fauteurs de troubles), recouvrent la liberté, a-t-il ajouté.
Alain Orounla précise qu'il ne serait pas à l'avantage du pays que de telles situations se reproduisent et que le gouvernement soit obligé de sévir. A cet effet, il invite les acteurs, tous ceux qui peuvent avoir de l'influence à sensibiliser les citoyens vers des comportements de paix.
F. A. A.
Victime d'une agression par balle et évacué en France pour des soins, la situation de l'ancien ministre Galiou Soglo a été évoquée par le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement sur Golfe TV ce dimanche 28 février 2021.
Bientôt un mois que les enquêtes sur la tentative d'assassinat de l'ancien ministre Galiou Soglo ont été lancées. Le ministre de la communication a donné les raisons pour lesquelles l'opinion publique n'est pas encore informée des suites de l'enquête.
‹‹Les services de police, les enquêteurs sont impatients d'écouter Galiou Soglo sur ce qui est arrivé ››, a indiqué Alain Orounla. Selon le ministre porte-parole du gouvernement, l'audition de la principale victime sur l'agression du vendredi 05 février est la prochaine étape de la procédure.
M. M.
Alain Orounla, ministre de la communication et porte-parole du gouvernement s'est prononcé, dimanche 28 février 2021 sur Golfe TV, sur la liste des candidats retenus à l'élection présidentielle du 11 avril 2021.
‹‹Conformément aux candidatures retenues par le CENA et la Cour constitutionnelle, le gouvernement constate que ce sont trois duos qui se sont conformés à la législation et composés d'hommes politiques de qualité et représentatifs de l'opinion et des électeurs béninois. On n'arrive pas à ce niveau par hasard dans un contexte où les candidatures sont un peu plus potassées››, a indiqué Alain Orounla.
Le porte-parole du gouvernement a fustigé l'opinion selon laquelle les candidatures ne sont pas de bonnes factures. Il a qualifié de ‹‹prétentieux››, les candidats malheureux qui tiennent de tels propos. ‹‹Il ne faut jamais sous-estimer son adversaire, car rappelez-vous, c'est probablement parce que le candidat Patrice Talon a été sous-estimé qu'il a créé la surprise. Loin de ce que pensent certains, cette élection est loin d'être un match amical››, a précisé le ministre de la communication.
M. M.
Bernard Kouagou N'Dah, précédemment conseiller communal des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) dans la commune de Boukoumbé n'est plus. Il a été fauché par la mort dans un accident de circulation.
L'ex conseiller communal revenait de Cotonou après les travaux du conseil national de son parti quand le véhicule le transportant a eu un accident.
Le secrétaire exécutif national des FCBE, Paul Hounkpè à travers un communiqué en date de ce samedi 27 février 2021 a porté l'information à la connaissance du public.
Bernard Kouagou N'Dah rentrait afin de rendre compte de l'activité à laquelle il a participé à sa base à Boukoumbé quand le sort en a décidé autrement.
F. A. A.
Par la décision EP 21-017 en date du 22 février 2021, la Cour constitutionnelle a validé la liste des duos retenus provisoirement par la Commission électorale nationale autonome (CENA) pour la présidentielle d'avril prochain. En compétition le 11 avril prochain, Patrice Talon, candidat à sa propre succession aura face à lui, Alassane Soumanou et Corentin Kohoué. Deux candidatures qualifiées ‘'d'outsiders'', et qui ne laissent plus l'ombre d'un doute sur un KO pour chantre de la Rupture et du Nouveau Départ.
Si Alassane Soumanou est plus ou moins connu des Béninois en raison de ses activités sur l'échiquier politique national, et les hautes fonctions qu'il a exercées dans le pays (ministre et ancien DG du port), tel n'est pas le cas pour Corentin Kohoué. Et ces deux candidats seront face à Patrice Talon dont le bilan au terme des 05 premières années, est l'un des plus séduisants depuis le renouveau démocratique.
Pour beaucoup de citoyens, Patrice Talon est le meilleur choix. En témoigne le nombre de parrains requis pour sa candidature (118). Beaucoup veulent voir l'ex magnat du coton continuer les œuvres de construction du Bénin.
Malgré le contexte favorable à sa réélection, les choses ne sont pas prises à la légère du côté du pouvoir.
La liste du comité de campagne rendue publique il y a quelques jours, est la preuve que la mouvance présidentielle entend déployer la grande artillerie pour aller à l'assaut de l'électorat béninois.
Toutes les formations politiques soutenant les actions du chef de l'Etat y sont représentées. Et chacune d'elles entend mouiller le maillot pour un KO de Patrice Talon au soir du 11 avril 2021. « Un autre scénario que le ‘' coup KO'' n'est pas envisageable », apprend-on des proches de la mouvance présidentielle.
F. A. A.
Le ministre de l'Eau et des Mines, M. Samou S. Adambi a lancé le vendredi 26 février 2021, les travaux de la Phase II du Projet de Renforcement du Système d'Alimentation en Eau potable de la ville de Parakou et environs. La cérémonie a connu la présence du Préfet du Borgou, du Maire de la ville de Parakou, du Directeur général de la Soneb, des têtes couronnées et notables et des populations de Parakou.
« La cérémonie de ce jour réaffirme notre engagement et intérêt du Président de la République, Son excellence M. Patrice Talon pour l'émancipation et le bien-être des populations de la ville de Parakou et des localités environnantes. Sa ligne est claire, celle de faire de l'accès à l'eau potable une réalité pour tous. Point n'est de doute que le Président de la République est résolument engagé à gagner ce pari », a déclaré le ministre de l'Eau et des Mines.
La phase II du projet d'un coût global de 7,4 milliards de FCFA consiste en une densification et extension du réseau de distribution d'eau potable de la Soneb dans les rues habitées. Il s'agit d'un linéaire de 610 km de conduites en PVC/PEHD de diamètres variant entre 75 et 160 mm. La longueur globale du réseau de distribution d'eau passera de 725 à 1335 km, soit environ le double de l'existant.
L'entreprise CGC-TOGO va exécuter les travaux sous le contrôle et la surveillance du bureau d'études IGIP AFRIQUE pour un délai de 20 mois. La cérémonie a été aussi l'occasion pour les personnes affectées de recevoir les chèques de dédommagement.
Les nouveaux membres du Conseil de Régulation de l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste (ARCEP BENIN) ont prêté serment ce vendredi 26 février 2021 dans la salle d'audience de la Cour Suprême. La cérémonie s'est déroulée devant un représentant du ministère Public et du Greffier en Chef de la Cour Suprême.
Nommés par décret n°2021-062 du 10 février 2021, les cinq membres du Conseil de Régulation ont juré de « bien et fidèlement remplir leurs fonctions de membres de l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste, en toute indépendance et en toute impartialité, de façon digne et loyale et de garder le secret des délibérations, même après la cessation de leurs fonctions ». Il s'agit de Messieurs Flavien BACHABI, et Goundé Désiré ADADJA, Mesdames Carrelle TOHO ACCLASSATO, Fanta SANGARE BOURAIMA et Nina Esther GANDJI.
Le Président de la Cour a mis un accent particulier sur les enjeux et défis actuels de l'Autorité de Régulation dans les secteurs du numérique et de la poste. « L'enjeu est de faire assurer par la puissance publique l'encadrement juridique nécessaire d'un secteur en pleine mutation technologique à un rythme déroutant », a indiqué le président de la Cour.
Les membres du Conseil de Régulation de l'ARCEP Bénin ont été sélectionnés au terme d'une procédure d'appel à candidatures.
A.A.A
Le bilan matériel du Bénin transfiguré en cinq ans de labeur porte en filigrane un bilan immatériel à l'importance indépassable : la confiance retrouvée en soi Béninois, l'assurance que, loin d'être nuls, les Béninois sont capables de s'organiser ensemble pour le progrès de l'homme ici et maintenant. Reconnaître et saluer ce bilan immatériel reflété par le bilan matériel de la Rupture ne saurait signifier allégeance à X ou à Y, capitulation, renonciation á son idéologie politique, quand on en a une. Car en démocratie, il est du devoir légitime de l'opposition politique de chercher les zones d'ombre, de les mettre en exergue à l'attention du pouvoir afin que nul n'aille croire que tout est beau dans le meilleur des mondes. Mais si la politique est l'art d'organiser la cité en vue de son progrès constant, la critique politique, noblesse de la démocratie, ne peut pas consister à jeter le bébé avec l'eau du bain, elle doit rester l'art d'amener les dirigeants à ne pas s'assoir sur leurs lauriers. La critique politique ne peut pas faire abstraction totale d'une certaine honnêteté politique.
Or, le 13 janvier 2021, le Front pour la Restauration de la Démocratie au Bénin a parié sur le tout noir du rien-ne-va et exigé, entre autres, « le retour de tous les citoyens béninois contraints à l'exil ». Contraints à l'exil par eux-mêmes. Soit l'on ne veut pas rendre compte de choses graves que la justice vous reproche – c'est le cas en l'occurrence –, soit l'on ne veut pas se laisser dicter sa vie par un régime autocratique – ce fut le cas sous le PRPB –, soit l'on ne croit pas en l'honnêteté des gens de justice commis pour vous juger, etc., alors on se cache et on décampe. On reviendra, peut-être de guerre lasse. L'exilé quitte son pays la mort dans l'âme. Lui seul décidera de quand il reviendra pour rendre compte et retrouver la joie.
Or, le 18 février 2021, le Groupe National de Contact adresse une puissante et longue lettre au Chef d'Etat-Major des Forces Armées Béninoises pour lui demander de prendre ses responsabilités en ce qui concerne, entre autres, « la défense légitime de la Constitution du 11 décembre 1990 ». Au vu des plus de cent ampliations urbi et orbi, l'impression prévaut que le Groupe National de Contact n'a pas grande confiance dans le succès de l'entreprise. Il se souvient sans doute que d'éminentes personnalités, un Vendredi Saint, s'y sont essayées en plein marché à Cotonou, et que le peuple les a ignorées, méprisées. Avec l'armada appelée en renfort à la fin de sa lettre, le Groupe National de Contact espère-t-il, cette fois-ci, arrêter le peuple en marche et le renvoyer à ses anciens démons, à son ancienne misère ?
Or, entre le 13 janvier et le 18 février, le grand parti d'opposition, Les Démocrates, a désigné son candidat à la Présidence de La République. Et ce fut la surprise. Tous pensaient en effet, compte tenu de la fringance du leader du parti, qu'il était son candidat naturel. L'inattendu porte-drapeau est, certes, auréolé de réputations, mais n'a jamais été vu, au Bénin, s'afficher avec les opposants, et son opposition à la Rupture ne paraît pas non plus une chose évidente. Sa mise en orbite présidentielle troubla les vrais démocrates. Que fait-on du respect du peuple ? Dans les cases enfumées et les salons huppés, on se demanda si de noires divinités ne tiraient pas, dans l'ombre, les ficelles du grand parti Les Démocrates.
La cohérence entre les trois lieux ci-dessus s'appelle déficit de probité, absence d'honnêteté. Certes, l'on dit chimérique l'honnêteté en politique. Or « Dans un paysage baigné de lumière, il y a des ombres. » Et celui qui s'attache à ne voir que les ombres et pas la lumière commet le mystérieux « péché contre l'Esprit », dont Jésus-Christ a dit qu'il est le seul que Dieu ne pardonne pas. Puissent donc les opposants béninois voir, eux aussi, la lumière apparue à l'horizon du Bénin, et œuvrer pour qu'elle triomphe des ombres et baigne l'ensemble du paysage béninois. Pour le progrès de l'homme. Pour le bonheur de tous.
Une rumeur circule depuis ce vendredi sur la disparition du célèbre artiste de la musique béninoise d'inspiration traditionnelle Gbessi Zolawadji.
Pendant que certains artistes dont Miss Espoir apportent un démenti sur la tragique nouvelle, des membres de sa famille et même des acteurs du showbiz auraient confirmé le décès de ce monument de la culture béninoise.
Aux dernières nouvelles, l'artiste est bien vivant. Il a fait une apparition vidéo
D. M.
Le président Patrice Talon a échangé ce vendredi 26 février 2021 avec une délégation de l'Association nationale des producteurs de riz au Nigeria (RIFAN) conduite par M. Aminu Muhammad Gronyo.
En marge de sa visite de travail le 19 janvier 2021 à Abuja, le Chef de l'Etat Patrice Talon avait rencontré les membres de l'Association des producteurs de riz au Nigéria (RIFAN).
La rencontre à Cotonou a permis de poursuivre les échanges pour la dynamisation de la production du riz au Bénin.
« L'incident récent de la fermeture des frontières nous donne l'occasion d'aller plus loin, au-delà des mots, au-delà des verbes pour concrétiser cette intégration afin que nos économies fonctionnent pour le Développement réel de chacun des deux pays, pour notre épanouissement au lieu que nos activités économiques fonctionnent pour la contrebande et pour des activités illégales. Nous avons décidé de saisir cette occasion de fermeture des frontières pour réfléchir à notre intégration réelle pour notre développement », a déclaré le Président Talon.
Le Bénin qui est à plus de 400.000 tonnes de production du riz, ambitionne d'atteindre 1 million de tonnes de riz en 2022. Pour que l'objectif soit atteint, les autorités béninoises ont décidé ensemble avec les producteurs nigérians du riz de mettre en place une coopération dynamique d'échanges et de partage d'expériences et d'expertise.
« Le Bénin est un pays agricole, le Nigéria aussi mais également une grande puissance économique ; et donc le Bénin et le Nigéria peuvent se compléter notamment dans le domaine agricole et dans le domaine rizicole. C'est pour cela que nous avons décidé de nous appuyer sur l'expérience nigériane de développement de la production du riz pour satisfaire les besoins de nos populations béninoises, nigérianes et même africaines », a indiqué le chef de l'Etat.
Pour Patrice Talon, le Bénin a « le potentiel, produire pour nous nourrir, produire pour commercialiser et arrêter d'importer des produits de l'étranger pour enrichir les producteurs étrangers et parfois même à notre détriment sanitaire ». Cette vision poursuit-il qui n'est pas nouvelle mais qui, maintenant, a besoin d'être concrétisée, pousse à augmenter la production agricole dans nos pays notamment au Bénin.
Le ministre de l'agriculture, Gaston Cossi Dossouhoui a annoncé la participation, dès la semaine prochaine, du Bénin au festival du riz à Abuja.
Les échanges ont eu lieu en présence des ministres Gaston Dossouhoui de l'agriculture, Aurelien Agbénonci des Affaires étrangères et Romuald Wadagni de l'économie et des finances.
A.A.A
Les responsables de la Fondation MTN ont célébré jeudi 25 février, avec les jeunes orphelins de Comè, la première édition du partage de l'amitié et de l'amour. Des vivres et des téléphones smartphone ont été offerts à ses jeunes démunis en présence des autorités de Comè.
Ils sont au total 18 jeunes orphelins avec qui la Fondation MTN a partagé des moments de joie pour exprimer leur amour à l'endroit des couches vulnérables. Ces jeunes démunis, proviennent des communes de Bopa, Grand-popo et Comè. Identifiés comme étant des orphelins démunis et vulnérables, ils ont reçu chacun, de la Fondation MTN un appui constitué d'un smartphone et un sac de riz. Ce geste s'inscrit dans le cadre de la célébration du ‘'Yello Love-Month'' mois de février considéré comme le mois de l'amour. « ‘' Yello love-month'' est une action dédiée aux personnes démunies, aux orphelins et autres. MTN est une structure commerciale mais qui a en son sein un département qui est destiné aux œuvres sociales », a expliqué Lionel Codjo représentant de la Fondation MTN. Pour lui, avec cet outil de communication par excellence, ces jeunes peuvent s'ouvrir désormais au monde a souligné monsieur Codjo. « Désormais avec ce téléphone smartphone vous pouvez communiquer, appeler vos proches et vos parents. Vous pouvez bénéficier aussi des services que nous appelons mobile money pour envoyer et recevoir de l'argent. Désormais, vous pouvez être sur la toile. C'est-à-dire aller sur internet, envoyer et recevoir des messages, faire des recherches etc… ».
Les autorités ont salué l'initiative de la Fondation MTN. Elles espèrent d'autres initiatives qui visent à faire reculer la pauvreté. « La Fondation MTN a démontré qu'elle est capable de soutenir les couches vulnérables. C'est pourquoi le maire me charge de vous transmettre trois messages. D'abord un motif de satisfaction, le second message de reconnaissance à MTN et le 3ème message, le maire de la commune de Comè exhorte MTN à accompagner sa commune dans la lutte contre la pauvreté », a indiqué le représentant, du Maire Pierre Hounnouvi.
Le porte-parole des bénéficiaires n'a pas caché ses sentiments, Randolphe Codjo a remercié MTN et promet de faire un bon usage de son smartphone. « Nous remercions les ONGs, et les autorités locales ainsi que les responsable de MTN-Bénin pour leur geste d'amour », a fait savoir Randolphe Codjo.
Il faut préciser qu'avant Comè, la Fondation MTN avait lancé le mercredi 23 février, à la mairie de Bassila la première édition du partage, de l'amitié et de l'amour au plan national.
Marcel HOUÉTO
Quelques images de la cérémonie
La traque engagée par la Brigade économique et financière (BEF) contre les faussaires de factures normalisées portent déjà ses fruits. Au moins 30 opérateurs économiques sont déjà épinglés et répondront de leurs actes devant les autorités judiciaires.
Depuis un moment, des individus mal intentionnés tentent de contourner la réforme de facturation normalisée introduite par le gouvernement du président Patrice Talon. Ayant pris connaissance du fait, les responsables de l'administration des impôts ont saisi la BEF. Les enquêtes ouvertes ont conduit à l'interpellation d'une trentaine d'opérateurs économiques.
Le mode opératoire des faussaires selon nos sources, consistent à fabriquer de faux codes QR sur de fausses factures en scannant ceux contenus sur les vraies factures normalisées. Ils font également recours aux services d'informaticien qui tentent de modifier les données des factures normalisées.
F. A. A.
Le président Patrice Talon a échangé ce vendredi 26 février 2021 avec une délégation de l'Association nationale des producteurs de riz au Nigeria (RIFAN) conduite par M. Aminu Muhammad Gronyo.
En marge de sa visite de travail le 19 janvier 2021 à Abuja, le Chef de l'Etat Patrice Talon avait rencontré les membres de l'Association des producteurs de riz au Nigéria (RIFAN).
La rencontre à Cotonou a permis de poursuivre les échanges pour la dynamisation de la production du riz au Bénin.
« L'incident récent de la fermeture des frontières nous donne l'occasion d'aller plus loin, au-delà des mots, au-delà des verbes pour concrétiser cette intégration afin que nos économies fonctionnent pour le Développement réel de chacun des deux pays, pour notre épanouissement au lieu que nos activités économiques fonctionnent pour la contrebande et pour des activités illégales. Nous avons décidé de saisir cette occasion de fermeture des frontières pour réfléchir à notre intégration réelle pour notre développement », a déclaré le Président Talon.
Le Bénin qui est à plus de 400.000 tonnes de production du riz, ambitionne d'atteindre 1 million de tonnes de riz en 2022. Pour que l'objectif soit atteint, les autorités béninoises ont décidé ensemble avec les producteurs nigérians du riz de mettre en place une coopération dynamique d'échanges et de partage d'expériences et d'expertise.
« Le Bénin est un pays agricole, le Nigéria aussi mais également une grande puissance économique ; et donc le Bénin et le Nigéria peuvent se compléter notamment dans le domaine agricole et dans le domaine rizicole. C'est pour cela que nous avons décidé de nous appuyer sur l'expérience nigériane de développement de la production du riz pour satisfaire les besoins de nos populations béninoises, nigérianes et même africaines », a indiqué le chef de l'Etat.
Pour Patrice Talon, le Bénin a « le potentiel, produire pour nous nourrir, produire pour commercialiser et arrêter d'importer des produits de l'étranger pour enrichir les producteurs étrangers et parfois même à notre détriment sanitaire ». Cette vision poursuit-il qui n'est pas nouvelle mais qui, maintenant, a besoin d'être concrétisée, pousse à augmenter la production agricole dans nos pays notamment au Bénin.
Le ministre de l'agriculture, Gaston Cossi Dossouhoui a annoncé la participation, dès la semaine prochaine, du Bénin au festival du riz à Abuja.
Les échanges ont eu lieu en présence des ministres Gaston Dossouhoui de l'agriculture, Aurelien Agbénonci des Affaires étrangères et Romuald Wadagni de l'économie et des finances.
A.A.A
Le parti Nouvelle Force Nationale (NFN) vient d'avoir son récépissé définitif d'existence.
Le parti Nouvelle Force Nationale (NFN) a une existence légale conformément à la nouvelle charte des partis politiques et au nouveau code électoral.
Le ministère de l'intérieur a délivré le récépissé définitif au NFN.
Le Président du parti Apollinaire Avognon et ses lieutenants peuvent s'en réjouir.
M. M.
Décédé le vendredi 05 février dernier, le député Jean-Pierre Babatoundé sera conduit à sa dernière demeure ce samedi 27 février 2021 à Kétou, sa ville natale, dans le département du Plateau. En prélude à ces obsèques, le parlement béninois lui a rendu un dernier hommage ce vendredi 26 février au palais des gouverneurs à Porto-Novo.
Dans l'oraison funèbre prononcée par le président de l'Assemblée nationale, Louis Vlavonou a rappelé les qualités de l'illustre disparu. « Au terme d'une vie remplie, dévouée au service de la nation et à ta progéniture ; tu retournes, réunissant autour de toi cette nation au sein de laquelle tu as servi, elle à qui, ta vie durant, tu t'es dévoué en fils laborieux et en digne partisan identifié comme exemple de discipline au sein des formations politiques où tu as milité », a-t-il déclaré .
Jean-Pierre Babatoundé fut colonel des douanes à la retraite. Il a également occupé par le passé plusieurs autres postes à savoir, ministre de l'environnement et de la protection de la nature sous le régime de Boni Yayi de 2006 à 2007, maire de Kétou, et député élu de la huitième législature sous la bannière du parti Union Progressiste.
F. A. A.
La syndicaliste Thérèse Waounwa critique la candidate recalée à l'élection présidentielle Reckya Madougou.
< J'interviens ici au nom des femmes revendeuses des marchés, mais pas seulement en leur nom. J'interviens aussi au nom de toutes les femmes du Bénin, pas des femmes qui sont restées à l'écart des combats qui voient leurs consœurs dégagées des brouettes et se taisent et qui viennent bavarder aujourd'hui comme des Reckya Madougou pour dire qu'elle veut être présidente >, a déclaré la syndicaliste ce vendredi 25 février lors d'un forum du CSTB.
Thérèse Waounwa n'est pas du côté de la candidate Madougou. < Je suis avec les femmes qui nourrissent leurs mouvements qui se battent pour que leur famille mange à la maison>.
Par un arrêté ministériel en date du mardi 23 février dernier, le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle et technique, Mahugnon Cakpo, a suspendu 20 cadres de son département ministériel. Les mis en cause sont impliqués dans des dossiers de mauvaise gestion.
Liste des cadres suspendus
Direction Départementale des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle de Djougou
BOUKARI Rabiou, Chef du Service Social Scolaire
Lycée Agricole Médji de Sékou
AINADOU Coffi, Proviseur
HAGLI Koffi, Intendant
Lycée Technique Agricole d'Adja-Ouéré
BOSSA Armel Freddie, Intendant
Lycée Technique Agricole d'Adjahonmé
KOSSOKO Oscar, Proviseur
HOUNYEVA K. Romuald, Intendant
Lycée Technique Agricole d'Akodeha
TALON Abel, Proviseur
TOULASSI A. Louis, Intendant
TOKPANOU Clément, Censeur
Lycée Technique Industriel d'Ina
AKADJAME Aristide, intendant
Lycée Technique Agricole d'Ina
MOUMOUNI Ibrahim, Proviseur
NOUHOUN Daouda, Intendant
SALIFOU N. Iliwanou, ex-intendant, actuellement gestionnaire comptable au CEG Hubert MAGA de Parakou
Lycée Technique Agricole de Banikoara
CHABI Fidel, Intendant
SOUMANOU Aboudou Djaroufou, ex-intendant, actuellement gestionnaire comptable au CEG Tinré de Parakou
Lycée Technique Agricole de Djougou
ALLAGBE Parfait, Proviseur
KOUAGOU Barnabé, Intendant
Lycée Technique Agricole de Kika
OMONGBO Mamah, Proviseur
GBIAN Léopold, Intendant
Lycée Technique Agricole de Kpataba
SAHI Sotima Isaac, Intendant.
Eric Gilson, le directeur commercial et de la clientèle de la Société béninoise de l'énergie électrique (SBEE) a poursuivi ce vendredi 26 février, sa visite à la Direction régionale du Littoral 2 (DRL2) et ses 4 agences. Comme dans les deux premières étapes de sa tournée qui l'ont conduit respectivement à la Direction régionale de l'Atlantique et celle du Littoral 1, et leurs agences, le but de la visite est de prendre contact avec le personnel en place, de s'enquérir des conditions de travail pour une amélioration de la qualité de service.
« Le déplacement de la délégation de la Direction Commerciale et de la clientèle (DCC) conduite par son directeur, pour s'enquérir des difficultés auxquelles sont confrontées les quatre agences de la Direction régionale du Littoral 2 pour mieux servir les clients est une initiative à saluer. Parce que cette équipe qui s'est installée il y a un an est arrivée avec pour mission principale, la volonté de mieux servir le client », a fait savoir le Directeur régional du Littoral, Claude Fernand Dossou.
Malgré les efforts fournis pour mieux satisfaire la clientèle et améliorer les conditions et l'environnement de travail, monsieur Dossou a reconnu qu'il y a des difficultés. Mais la visite du Directeur commercial et de la clientèle est source de motivation. Pour lui, « cette équipe qui s'est installée est arrivée dans le souci de s'occuper davantage des clients parce qu'ils ont une politique orientée essentiellement client ».
Pour Pélagie Essou Cheffe de l'agence d'Akpakpa centre, l'environnement de travail constitue la première difficulté. « La grande difficulté que nous avons ici c'est le local, le local ne correspond à rien et ça ne donne pas une bonne image de la SBEE. Nous sommes également confrontés à cette situation par rapport à la clientèle qui essaie de nous comprendre. Mais il faut que la direction générale fasse quelque chose pour améliorer les conditions de travail du personnel et surtout l'accueil clientèle », a-t-elle avouée.
Mais il est nécessaire de souligner que la nouvelle équipe dirigeante fournit des efforts. C'est le cas de l'Agence de Sèkandji, une représentation toute neuve, inaugurée l'année dernière et qui présente une autre image plus appréciable de la SBEE. Il en est de même pour l'agence de Kpondéhou dont le confort est à saluer.
Il faut aussi remarquer la qualité des services de dépannage et de traitement des dossiers d'abonnement qui sont traités dans des délais raisonnables. « Nous intervenons dans les brefs délai. Pour les interventions de dépannage qui ne nécessite pas de changement de compteur, en moyenne dans un délai de 2 heures, nous arrivons à satisfaire les clients », a précisé Marcel Allagbé, chef service dépannage de l'agence de Sèkandji.
Eric Gilson a écouté les uns et les autres. Pour lui, la prise de contact est une étape importante. Il a demandé que les problèmes évoqués, lui soient adressés par courrier pour une étude et la recherche de solution.
Globalement les difficultés sont de trois ordres. Le problème lié à la connexion internet, le cadre de travail dans certaines agences pour un bon accueil client et l'insuffisance de ressources humaines. « Nous allons travailler ensemble pour améliorer les choses. Il ne s'agit pas d'activer un interrupteur, mais d'activer les choses progressivement et de donner une dynamique », a rassuré monsieur Gilson.
De façon générale, la qualité des services dans les quatre agences (agence d'Akpakpa centre, de Sèkandji, de Pk5 et de Kpondéhou) placées sous l'autorité de la Direction régionale du Littoral 2 a connu une nette amélioration.
La direction générale de la sbee est vraiment engagée pour la satisfaction de la clientèle. Progressivement a martelé Eric Gilson, le visage de la SBEE va changer.
Marcel HOUÉTO
Pour service rendus à la nation, 55 députés de la 8ème législature ont été admis dans l'ordre national du Bénin. 52 récipiendaires ont été faits grands officiers, et 03 autres grands commandeurs de l'ordre national.
Dans le rang des officiers de l'ordre national, on retrouve les députés Dominique Atchawé, Adam Bagoudou, Euric Guidi, Gildas Agonkan, Orden Alladatin, Sossou Dakpè, Florentin Tchaou, Richard Allossohoun, Anani Amavi Joseph, et Cyprien Togni.
Les trois commandeurs de l'ordre national sont : Robert Gbian, Dominique Atchawé et Jean-pierre Babatoundé, à titre posthume.
F. A. A.