Une jeune femme âgée de 29 ans est morte noyée, dimanche 13 juin 2021, dans un marigot de Sèhocondji dans l'arrondissement d'Adjaha, commune de Grand-Popo.
Le corps sans vie d'une jeune femme de 29 ans a été repêché d'un marigot, dimanche 13 juin 2021 à Grand-popo. Selon le témoignage des parents, la jeune femme est allée à la recherche de l'eau lorsqu'elle n'est plus revenue. C'est sa bassine flottant sur les eaux du marigot qui a été retrouvée à l'arrivée des parents. Après quelques heures de fouillle, le corps sans vie de la femme a été retrouvée. Elle serait morte noyée mais les circonstances du drame ne sont pas encore connues.
Selon Frissons radio, le drame est survenu dans le marigot de Sèhocondji dans l'arrondissement de Adjaha.
M. M.
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La commune d'Adja-Ouèrè est confrontée depuis quelques années à un phénomène en matière d'éducation. Il s'agit de la déscolarisation et l'abandon des écoles créées dans les zones rurales. Le phénomène est surtout remarquable en milieu Holli, malgré la présence d'infrastructures scolaires et la disponibilité du personnel enseignant. Le constat fait dans certains établissements de la commune montre l'ampleur des réalités. Certains apprenants abandonnent les classes, attirés par les mirages du Nigéria voisin
A Kounocho, une localité situé à sept (07) kilomètres du centre-ville d'Adja-Ouèrè, l'école primaire publique créée depuis 2007, ne compte qu'une cinquantaine d'élèves comme effectif pour les six (06) classes (du CI au CM2) autorisées pour l'année scolaire 2016-2017. « A ma prise de service en 2014, il n'y avait que 20 élèves dans l'établissement. Nous sommes ici dans un milieu Holli et les parents n'aiment pas envoyer les enfants à l'école. Avant la création de cette école en 2007, il n'y avait pas d'élèves dans cette localité.
EPP Kounoucho
Les tout premiers sont ceux inscrits en 2007 à la création de l'école », a rappelé le directeur de l'école primaire publique (EPP) de Kounoucho, Janvier Basile Ahoudégnon. Non loin de là, l'effectif de l'école primaire publique de Houéligaba, créée en 1971, a dramatiquement chuté cette année scolaire. Selon le directeur de l'établissement, Anicet Idohou Fabiyi, de plus de 300 élèves l'année dernière, cet établissement vieux de plusieurs décennies, ne compte que 168 élèves pour l'année scolaire 2016-2017. Cette situation est due selon lui, à la fermeture de la cantine installée depuis plusieurs années dans l'école. « Le Programme alimentaire mondiale (PAM) a plié bagages l'année dernière. La cantine est fermée. C'est notre première année de vie sans cantine au niveau de l'école et c'est ce à quoi on assiste. La fermeture de la cantine a joué sur nous. Notre effectif a chuté de près de 50% cette année scolaire », a expliqué le directeur de l'EPP Houéligaba. A l'EPP Dagbla toujours dans la circonscription scolaire d'Adja-Ouèrè et située à quinze (15) kilomètres du chef-lieu de la commune, grâce aux efforts des enseignants, l'effectif est passé de la quatre vingtaine à cent vingt-huit pour les six classes autorisées, selon le directeur Félix Kouchimi. « L'effectif était plus que ça en décembre 2016. Mais juste après les fêtes de fin d'année et de nouvel an, bon nombre des apprenants a abandonné les classes pour se rendre au Nigéria à la recherche de gain facile », a-t-il poursuivi.
Contrairement à ces trois premières écoles, la réalité est tout autre au niveau des écoles primaires publiques de Kpoulou et d'Itchougbo où aucun apprenant n'a repris les classes après les congés des fêtes de fin d'année. Les enseignants y vont par moment et y restent sans élèves.
L'EPP Kpoulou, créée depuis des décennies et qui dispose d'infrastructures nécessaires, de mobilier et de résidence pour les enseignants, n'est pas du tout fréquentée. Il en est de même à Itchougbo où faute d'apprenants les deux enseignants (le directeur et un collaborateur) qui animent l'école sont devenus irréguliers. Aux dires des responsables en charge des enseignements maternel et primaire dans la commune d'Adja-Ouèrè, ces deux dernières écoles risquent d'être fermées, vu les réformes en cours dans le secteur. « Les enseignants qui sont affectés dans les écoles y vont et ne trouvent aucun élève. Mais à la fin du mois, ils doivent percevoir leur salaire sans pouvoir accomplir la mission pour laquelle ils sont recrutés. C'est une perte pour l'Etat », déplorent un conseiller pédagogique et un directeur d'école. Ils menacent même d'affecter les trois enseignants en service dans cet établissement. Le besoin se fait sentir ailleurs, ont-ils conclu.
EPP Houéligaba
EPP Dagbla
EPP Kpoulou abandonnée par les apprenants
La résidence des enseignants abandonnée à cause de la déscolarisation à Kpoulou
Directeur EPP Kounoucho
Déscolarisation et abandon scolaire en milieux Hollis
Les acteurs identifient les causes du phénomène
Plusieurs causes sont à la base de la déscolarisation et de l'abandon scolaire des jeunes en milieux Hollis, dans la commune d'Adja-Ouèrè, selon les enseignants. Les directeurs d'école Janvier Basile Ahoudégnon, Félix Kouchimi et Idohou Anicet Fabiyi dressent une liste de facteurs. Il s'agit de l'ignorance et la fuite de responsabilité des parents, la pauvreté, l'exode rural, les cérémonies ruineuses, le fort taux d'analphabétisme, le désintéressement, la proximité du Nigéria, le non suivi des apprenants, la culture, l'absence de cantine dans les écoles, le manque de politique d'accompagnement, les difficultés d'accès aux écoles, la transhumance etc.
Bon nombre de parents d'élèves en milieu Holli pensent, qu'une fois qu'ils n'ont pas été instruits, il n'est pas question d'envoyer leurs enfants à l'école. « Nos parents ne nous ont pas habitués à envoyer les enfants à l'école. C'est progressivement que nous allons nous mettre au pas grâce à des sensibilisations et à d'autres appuis », a confié un parent d'élève. « Notre préoccupation majeure est qu'il faut former les nouvelles générations à ce pourquoi on a été formé aussi pour la relève », a déclaré Michel Ogoudjobi, un parent d'élève à Kpoulou. Selon M. Ogudjobi, à base d'une forte sensibilisation et des appuis des pouvoirs publics, les parents d'élèves en milieu Holli pourront changer totalement leur mentalité et commencer à instruire et à maintenir les enfants à l'école.
Pour Jean Sènankpon Aholo, chef de l'arrondissement de Kpoulou, en dehors du manque de moyen (la pauvreté), il y a aussi le phénomène de la transhumance, la mauvaise collaboration entre enseignants et parents d'élèves, le manque et l'absence d'enseignants et le phénomène du trafic d'enfants qui font que les parents d'élèves ont de réticence à envoyer leurs enfants à l'école dans les zones rurales. Selon lui, la communauté Hollie n'a pas connaissance des bienfaits de l'école.
« Avant, les parents d'élèves prenaient prétexte sur le seul bachelier de Kpoulou qui, faute de moyen n'a pas poursuivi les études et a rejoint le village sans emploi. Chaque fois, c'est son exemple qu'ils avancent pour démobiliser les gens lors des sensibilisations. Mais, j'ai eu des négociations avec le maire et le jeune homme a été recruté par une société de la place et a gagné un bon contrat. Ils sont en train de comprendre. Mais ils disent que sans la fin de la période de transhumance, les enfants ne vont pas reprendre le chemin de l'école car, l'un d'entre eux a été abattu par les bouviers au début de la saison. Nous avons d'autres séances de sensibilisations en vue. Nous allons essayer de les ramener à la raison », a expliqué l'élu local fatigué de la situation. « La majorité des enfants sont allés aussi au Nigéria juste après les fêtes de nouvel an mais, des dispositions sont en train d'être prises pour les ramener afin qu'ils reprennent les classes », a-t-il ajouté.
Des actions pour renverser la tendance
Pour freiner le phénomène de la déscolarisation et de l'abandon scolaire des jeunes en milieu Holli, les directeurs d'écoles ont confié avoir mené des séances de sensibilisation avec les associations des parents d'élèves de chaque localité et même avec la coordination communale de bureau de l'association des parents d'élèves d'Adja-Ouèrè. D'après eux, ces séances ont été faites à travers des portes-à-portes dans les villages, les églises et autres confessions religieuses et même à travers des assemblées générales.
Les structures étatiques et des Organisations non gouvernementales ne sont pas restées en marge des actions sur le terrain.
De 2006 à 2013, l'Unicef a fait la promotion de l'accès et le maintien des enfants dans les écoles à travers la mise en œuvre du projet Educom dans certaines écoles d'Adja-Ouèrè. Selon la chef service de l'éducation, de la santé, de l'action sociale et de l'artisanat à la mairie d'Adja-Ouèrè, Florentine Alavoyédo, au cours de la mise en œuvre du projet Educom dans la commune, un comité communal était mis en place et a pour rôle, la sensibilisation des parents d'élèves sur des thèmes donnés dans les localités des écoles ciblées pour la scolarisation des enfants. Mais depuis la fin du projet, le comité ne fonctionne plus, faute de moyen. Du coup, la déscolarisation et l'abandon scolaire ont resurgit sous d'autres formes dans certaines localités surtout en milieu Holli où certains enfants aident les parents dans les champs en période d'intenses activités agricoles et alors que d'autres vont en aventure au Nigéria, a-t-elle souligné. « La maigre ressource financière de la commune explique le fait que les activités dans ce sens sont bloquées dans les écoles », a évoqué Mme Alavoyédo avant de rappeler qu'il y aussi d'autres organisations non gouvernementales qui interviennent dans domaine et qui œuvrent pour la scolarisation des enfants dans certaines localités.
Mais ces actions sont loin de combattre efficacement la déscolarisation et l'abandon scolaire dans les milieux Holli à Adja-Ouèrè.
Les actions menées par le passé ont amené quelques parents a changé un peu leurs mentalités, selon certains acteurs. Pour la plupart des directeurs, les sensibilisations ont amené certains parents qui ont commencé à inscrire les enfants dans les écoles. Selon eux, les enfants y restent du CI au CE1 seulement. « Les parents dès qu'ils constatent que les enfants deviennent majeures et peuvent déjà leur porter assistance, ils les enlèvent de l'école pour qu'ils les accompagnent dans les champs. D'autres enfants, de leur propre gré, abandonnent les classes et se rendent au Nigéria à la recherche du gain facile. A l'approche de période des fêtes, les jeunes dès qu'ils aperçoivent leurs frères revenus du Nigéria avec quelques matériels ambitionnent d'y aller et commencent par mener des démarches. Bon nombre y vont avec la complicité des parents, d'autres voyagent sans le consentement de la famille et c'est après qu'on constate leur absence à l'école », ont témoigné plusieurs responsables d'établissements primaires. Selon eux, c'est la proximité du Nigéria qui est surtout à la base du faible taux de scolarisation des enfants en milieux Hollis dans la commune d'Adja-Ouèrè.
Proximité du Nigéria, principale cause de la déscolarisation
EPP Kpoulou dépourvue d'apprenants
La frontière nigériane, située à quelques kilomètres d'Adja-Ouèrè, attire les jeunes Hollis qui, choisissent volontairement ou avec la complicité des parents d'immigrer dans ce pays voisin où ils espèrent avoir de meilleures conditions de vie, en abandonnant les écoles. Abèountoko, Ilaro, Abéokouta, Oyo, Ibadan sont quelques-unes des villes du Nigéria qui accueillent un nombre considérable de ces jeunes gens. Selon les témoignages, ces mineurs sont soient placés auprès de tiers personnes, soient exploités dans les carrières de sable, de pierre ou dans des plantations agricoles pour servir de la main d'œuvre. Ces enfants, une fois sur le terrain, poursuivent leur périple à travers des contrats entre des intermédiaires et leurs parents. « Les jeunes dès qu'ils voient leurs aînés revenir, ambitionnent d'y aller et font tout possible pour s'y rendre. En début d'année scolaire, les enfants inscrits restent jusqu'en décembre au plus tard. A l'approche des fêtes de fin d'année, les jeunes inondent les milieux avec des étrangers. Juste après les fêtes, on constate les absences dans les écoles. Après, on se rend compte que les enfants sont partis travailler au Nigéria. Surtout qu'il est facile de s'acheter une moto après un ou deux ans de travail. Il y a ce problème du Nigéria qui joue beaucoup sur les effectifs surtout que ce pays se situe juste à quelques pas de notre localité », explique Janvier Basil Ahoudégnon, directeur de l'école primaire publique de Kounoucho.
Le même constat est fait par le directeur de l'EPP Dagbla. Félix Kouchimi a déclaré avoir perdu deux de ses apprenants de la classe du CE2, qui se sont portés au Nigéria soit disant qu'ils iront chercher de l'argent pour des réalisations. « On va dans les maisons, les parents cachent les enfants. Ils disent qu'en lieu et place de l'école, les enfants vont les accompagner au champ ou bien à un âge donné, ils se rendront au Nigéria pour l'amélioration de leurs conditions de vie et leur prise en charge », a souligné M. Kouchimi tout en déplorant le comportement des parents d'élève qui, selon lui exploitent mal la proximité du Nigéria.
Pour d'autres acteurs du secteur éducatif, cette proximité du géant voisin, constitue un handicap pour l'éducation des enfants surtout dans les zones rurales. A les écouter, ces enfants ne se soucient guère de leur avenir et ne pensent qu'aux biens matériels.
Le directeur Idohou Anicet Fabiyi estime que la proximité du Nigéria favorise l'exode rural et le développement d'une forme de trafic d'enfants dans les localités d'Adja-Ouèrè, ce qui selon lui n'encourage pas la scolarisation des enfants.
La proximité du Nigéria constitue un facteur déterminant dans la déscolarisation et l'abandon scolaire des jeunes non seulement en milieux Hollis mais aussi dans toutes les zones rurales de la commune d'Adja-Ouèrè.
La pauvreté, la fuite de responsabilité et l'ignorance des parents en sont les principales causes, selon les acteurs du milieu. Ceux-ci pensent que pour réduire le phénomène, il faut réinstaller des cantines dans toutes les écoles périphériques, instaurer d'autres mesures de gratuité de l'école à travers lesquelles on doit garantir l'accompagnement des enfants afin d'encourager les parents à les suivre et à les maintenir dans les écoles. Aussi, faut-il des dispositions pour contrer les phénomènes d'exode rural, de trafic d'enfants et d'exode de mineurs qui se développent clandestinement dans les localités surtout en milieu Holli dans la commune d'Adja-Ouèrè.
Encadré
Témoignages de quelques jeunes Hollis qui ont abandonné les classes
« J'ai abandonné l'école faute de moyens »
Joseph Ladélé Igué a abandonné l'école en 4ème
Teint noir, yeux marron, taille moyenne, l'air malheureux, Igué Ladélé Joseph, est originaire de Idogbo Kounoucho dans la commune d'Adja-Ouèrè. Agé d'environ dix-huit ans, ce jeune élève nanti de Cep vient d'abandonner l'école en classe de 4ème au Ceg Adja-Ouèrè. C'est avec un visage désespéré qu'il s'ouvre à nous par son histoire. « Hum ! Moi présentement, j'accompagne mes parents aux champs. Ils n'ont plus de moyens pour me maintenir à l'école. Ce qu'ils produisent ne donne plus en tant que tel. Ils ont de difficultés à joindre les deux bouts. Depuis quelques années, c'est moi-même qui m'arrangeais pour me payer les fournitures et assurer ma scolarité à travers des mains d'œuvre que je portais un peu partout. Je n'ai pu rien faire cette année scolaire, c'est pourquoi j'ai abandonné l'école et j'accompagne mes parents dans leurs activités », a confié Joseph. Il poursuit avec un ton nourri d'espoir. « Je pense reprendre l'école. J'ambitionne de devenir enseignant ou cadre de l'administration. En ville et même au collège, je vois nos professeurs, des jeunes intellectuels bien habillés. Il me plaît aussi de devenir un jour comme eux », espère-t-il. « Mais faute de moyen, le sort est en train de décider autrement et je me retrouve aujourd'hui avec mes parents aux champs », regrette Joseph. Il lance un appel aux personnes de bonne volonté pour divers appuis afin qu'il puisse reprendre le chemin de l'école pour obtenir tout au moins son BEPC.
Echoroko et Ogoudikpè ont abandonné l'école à cause des bouviers
Echoroko Bidémi et Ogoudikpè Ogoulayé ont abandonné les classes, après avoir passé deux ans à l'école primaire. Aujourd'hui, ils ne veulent plus retourner dans ce lieu d'éducation. Ils envisagent tous de s'inscrire dans des ateliers d'apprentissage de métier artisanal. Tous âgé de moins de dix-huit ans, ces enfants qui portent actuellement assistance à leurs parents ont confié avoir abandonné l'école à cause du comportement des bouviers transhumants. Selon eux, en période de transhumance, bon nombre d'entre eux sont massacrés par les éleveurs peulhs sur les routes, raison pour laquelle ils ne veulent plus retourner à l'école.
Echoroko Bidémi a abandonné les classes au CE2 à l'EPP Kpoulou
Ogoudikpè Ogoulayé a quitté les classes au CE2
Encadré
Les Hollis à Adja-Ouèrè
Selon l'histoire, le peuple Holli est parti d'Ilé-Ifê au Nigéria vers le 16ème siècle pour venir s'installer au sud-est du Bénin dans la dépression médiane à Issaba dans la commune de Pobè. Ce peuple purement agricole a été marqué par des migrations progressives dans tous les sens à la recherche des terres fertiles. Dans la commune d'Adja – Ouèrè, cette communauté est majoritaire dans plusieurs arrondissements notamment dans les zones rurales d'accessibilité difficile et n'aime pas envoyer les enfants à l'école. C'est un peuple à caractère de défense sauvage, irréversible et endurant sur un sol hydromorphe d'accessibilité impossible ou non adapté lors à des rivalités tribales. Il est aussi caractérisé par des cicatrices raciales tachetées de noir à l'intérieur au visage et sur d'autres parties du corps humain (la poitrine et les bras) qui marquent la différence entre le Holli et les Yoruba ainsi que les Nagos.
Les Hollis sont aussi mélangés à d'autres ethnies notamment les Fons ou les Mahi dans certaine localités dans la commune d'Adja – Ouèrè mais le phénomène ne frappe pas à l'œil dans les zones où ils sont minoritaires. Dans les milieux purement Holli comme les quelques-uns ciblés, on sent que mis à part les conditions (la pauvreté, le manque de moyen et autres) les parents Hollis n'ont pas du tout la volonté d'envoyer les enfants à l'école. Les quelques-uns qui le font, ne donnent même pas de petit déjeuner aux enfants. Tout le temps les enfants viennent à l'école avec des boules d'akassas en lieu et place du petit déjeuner le matin et le déjeuner à midi. A en croire les acteurs du système, la gratuité de l'école décrétée par le gouvernement défunt prend en compte tous ses aspects selon la mentalité des Hollis qui malgré tout n'envoient pas les enfants à l'école. Par rapport aux statistiques, les responsables d'écoles n'ont pas accepté donner des détails par classe. Mais à l'EPP Kounoucho sur sept écoliers il ne reste qu'un seul qui va représenter les tous prochains jours l'école au CEP 2017. Les six autres ont abandonné et l'administration a été obligée de jumeler le CM1 et le CM2 qui n'ont que 06 (six) comme effectif. Même l'effectif de l'école qu'a donné le directeur, les enfants présents dans les six classes n'atteignent pas la cinquantaine qu'il a déclarée.
La déscolarisation est spécifique au peuple Holli. Dans les autres communes du département, là où cette communauté est majoritaire le phénomène est remarqué. Les localités ciblées sont en majorité occupées par les Hollis. Kpoulou est arrondissement mais le chef-lieu Kpoulou dont il s'agit dans le papier est un milieu purement Holli. Il en est de même pour Kounoucho et Itchougbo. A Houéligaba et Dagbla, les Hollis sont avec les Mahis et c'est pourquoi les effectifs diffèrent à ceux des autres écoles.
Adja-Ouèrè est l'une des communes du département du Plateau. Elle s'étend sur une superficie de 550 km² et compte 81.497 habitants. La population d'Adja-Ouèrè est composée de Nagots, de Hollis, de Mahis, de Wémès, d'Adjas, Fons et Gouns.
Entourée des communes de Pobè, Kétou, Zangnanado et Ouinhi, Adja-Ouèrè, située à 6 km au nord-ouest de Pobè est une zone essentiellement agricole. C'est une zone cosmopolite où dominent majoritairement les populations Holli. Cette communauté qui n'est pas la moindre dans la commune, n'a pas grande connaissance de l'importance où des bienfaits de l'école. Dans les localités où habitent les Hollis se développent, depuis plusieurs années, le phénomène de la déscolarisation et de l'abandon scolaires. Kounoucho, Houéligaba, Dagbla, Itchougbo et Kpoulou sont quelques-unes des localités rurales où se développe ce phénomène dans la commune d'Adja-Ouèrè.
Le Chef d'un quartier du 3è arrondissement de Parakou et son conseiller ont été violentés par deux jeunes parce que l'élu local les auraient empêché de prélever du sable sur son territoire.
Deux jeunes âgés respectivement de 22 et 23 ans dont l'un est diplômé en aménagement du territoire et l'autre, conducteur d'engin lourd ont eu une vive altercation avec le chef quartier de Dokparou dans le 3è arrondissement de Parakou. Selon les faits rapportés par Frissons radio, la dispute a éclaté parce que les jeunes, désœuvrés, estiment qu'on ne devrait pas les empêcher de prélever du sable. L'un des jeunes donne un coup de tête à l'élu local qui perd deux (02) dents. Un conseiller venu à la rescousse de l'élu a été également pris à partie.
L'affaire est portée à la police.
M. M.
L'Arabie saoudite interdit cette année le pèlerinage à la Mecque aux étrangers. Par communiqué en date du lundi 14 juin 2021, le gouvernement de Patrice Talon prend acte de cette décision.
Président du Comité d'Orientation et de Supervision du Hadj, le ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Aurelien Agbénonci informe les fidèles musulmans que pour des raisons de sécurité et de préservation de la santé des pèlerins à causes de la pandémie du Covid-19, les autorités saoudiennes ont décidé de limiter la participation au Hadj 2021. Seuls 60.000 Saoudiens y compris les résidants étrangers en Arabie saoudite seront autorisés à effectuer le Hadj.
Prenant acte de la décision, le gouvernement béninois exhorte les fidèles musulmans à s'y conformer. Le gouvernement rassure également la communauté musulmane de l'intérêt qu'il porte à l'accomplissement de ce cinquième pilier de l'islam.
A.A.A
Le Directeur Général de la Police républicaine (Dgpr), Soumaïla Yaya a donné des instructions pour empêcher toute sortie du territoire des engrais quelle que soit sa nature et sa quantité. C'est à travers un message radio en date du 14 juin 2021.
Directeur de la sécurité publique, commandant central des unités spéciales de surveillance des frontières ainsi que tous les autres directeurs départementaux de la Police républicaine ont été instruits à l'effet de mettre fin à toute sortie frauduleuse des engrais du territoire du Bénin.
Selon le message radio du Directeur Général de la Police républicaine (Dgpr), Soumaïla Yaya, en date du 14 juin 2021, il faut intensifier également les renseignements aux fins de mettre à nu tous les autres modes de dissimulation des engrais.
M. M.
Âgé de 28 ans, Joachim Hodé, jeune pharmacien et passionné de bois a été reçu ce lundi 14 juin 2021 au palais de la Marina par le chef de l'Etat Patrice Talon.
La rencontre intervient suite à un reportage suivi par le chef d'Etat sur Joachim Hodé à la télévision nationale. Impressionné par ses réalisations, Patrice Talon a décidé de féliciter de vive voix le jeune homme. « Je suis fier d'avoir des compatriotes talentueux comme vous qui sortent de leur zone de confort (...) », a déclaré le président Talon à l'entame de la rencontre.
Joachim Hodé a pu créer sa société de production de mobiliers en bois Fenou service HD. Dans ses échanges avec le chef de l'Etat, il a rappelé sa formation de pharmacien et sa passion pour le bois. « Durant mon adolescence, j'ai eu la chance d'être élevé par mon oncle menuisier de formation auprès duquel j'ai découvert la passion pour l'ébénisterie. Une fois mon diplôme de pharmacien obtenu au terme de mes études universitaires, j'ai fait le choix d'approfondir ma passion et surtout de montrer un autre visage du pharmacien qui n'est plus aujourd'hui qu'un spécialiste du médicament ou un cadre d'officine », raconte Joachim Hodé.
Depuis 03 ans, il conçoit avec son équipe des mobiliers divers (lits, armoires, etc.).
« Cela fait au total 15 ans que je travaille le bois, cela ne m'a pas empêché de faire mes 6 ans de formation universitaire pour sortir diplômé en pharmacie en 2017 », a-t-il indiqué.
Pour le chef de l'Etat, Joachim Hodé est un symbole pour la jeunesse de ce pays. Il est important poursuit Patrice Talon, qu'au-delà de nos formations respectives, nous travaillions à développer le talent ou la passion qui sommeille en chacun de nous.
« Notre potentiel individuel doit être révélé. Vous pouvez compter sur mon soutien personnel et sur celui de l'Etat », a déclaré le chef de l'État.
Le président de la République a saisi l'occasion pour encourager tous les Béninois d'ici et d'ailleurs qui activement repoussent leurs limites et s'investissent dans leurs passions à continuer davantage. « Sachez qu'aucun sacrifice n'est vain et que vos efforts seront bénéfiques et reconnus tôt ou tard », a-t-il ajouté.
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Alors que le coup d'envoi devrait être donné à 17 heures ce lundi 14 juin 2021, la rencontre entre ”Les Écureuils" du Bénin et les "Leone Stars" de la Sierra Léone est reportée au mardi 15 juin 2021.
Les 6 joueurs Sierra leonais et les deux membres de leur staff technique vont reprendre les tests PCR ce soir ( lundi 14 juin 2021).Les résultats seront attendus le mardi matin.
La Confédération Africaine de Football tient à la tenue du match Bénin-Sierra Léone comptant pour la 6è et dernière journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations Can, Total Cameroun 2021. À la suite de la contestation des résultats du test Covid-19 déclarant positifs six joueurs de l'équipe de la Sierra-Léone, la Caf a décidé de la reprise des tests.
M. M.
Dans le cadre des travaux de renforcement et de réhabilitation du réseau de distribution de l'électricité au niveau régional, la SBEE annonce des coupures d'électricité du lundi 14 au vendredi 18 juin 2021 de 8 heures à 16 heures.
Sont concernées par les coupures d'électricité, les localités des départements de l'Atacora, de la Donga et du Borgou. Les travaux seront menés à Parakou, N'Dali (du 14 au 17 juin), Alafiarou-Agbassa (du 16 au 18, du 21 au 25 juin) et Pénéssoulou -Alédjo (14 au 18 juin). Le réseau, informe la SBEE doit être toujours considéré sous tension pendant toute la durée des coupures.
En détention préventive suite à la mise en liberté d'un présumé terroriste, deux (02) magistrats ont été libérés ce lundi 14 juin 2021. Il s'agit de l'ancien procureur près le tribunal de Kandi et de son substitut.
Leur mise en liberté fait suite au non lieu du juge en charge du dossier. Poursuivis pour « intelligence avec une organisation de terrorisme, abus de fonction et corruption », Karimi Abdoul Adéoti, procureur près le tribunal de Kandi, son substitut Alphonse Amoussou et le commissaire de Kandi, Abrazizou Ali Baba ont été placés sous mandat de dépôt le 26 mai 2020. Selon les faits, il leur est reproché une "libération suspecte" du sieur Sadam Oumarou, arrêté dans le parc de la Pendjari.
M. M.
Le Match de la 6e et dernière journée des éliminatoires de la Can 2021 (Groupe L) Sierra Leone-Bénin n'a pas encore démarré au stade Lansana Conte de Nongo à Conakry en Guinée. Six joueurs sierra-léonais sont testés positifs au covid-19.
A quelques minutes du Match, les résultats des tests Covid-19 de six joueurs sierra-léonais se sont révélés positifs au covid-19 selon le médecin Covid-19 de la Confédération africaine de football. L'information est confirmée par la Fédération Béninoise de Football à travers une publication sur sa page Facebook. Deux membres de l'encadrement technique de la Sierra Leone sont également testés positifs au Covid-19. Les résultats des tests Covid-19 annoncés à la mi-journée étaient tous négatifs dans le rang des béninois. La Sierra Leone conteste et refuse de jouer le match.
Prévu le 30 mars dernier à Freetown, le match Sierra Leone- Bénin avait été reporté pour le mois de juin après la découverte de cinq cas positifs au Covid-19 dans l'effectif des « Écureuils ». La Fédération Béninoise de Football (Fbf) a saisi la Caf et le Tas suite à ces tests Covid-19 truqués puisque, aucun joueur du Bénin n'avait le Covid-19. Le Tas a confirmé la décision de la Caf relative au report du match pour ce lundi 14 juin à 17 heures.
A.A.A
Les Écureuils du Bénin jouent ce lundi soir, le match en retard avec la Sierra Léone dans le cadre de la 6e et dernière journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations CAN Total Cameroun 2021.
Le Bénin n'a besoin que d'un match nul pour être qualifié pour la CAN 2021.
Voici le Onze entrant du Bénin (Saturnin Allagbé, Samadou Bourou, Olivier Verdon, Khaled Adénon, Youssouf Assogba , Adéoti Jordan, Djiman Koukou, Cebio Soukou, Marcellin Koukpo, Jodel Dossou, Steve Mounié).
Les Écureuils du Bénin jouent ce lundi soir, le match en retard avec la Sierra Léone dans le cadre de la 6e et dernière journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations CAN Total Cameroun 2021.
Le Bénin n'a besoin que d'un match nul pour être qualifié pour la CAN 2021.
Voici le Onze entrant du Bénin (Saturnin Allagbé, Samadou Bourou, Olivier Verdon, Khaled Adénon, Youssouf Assogba , Adéoti Jordan, Djiman Koukou, Cebio Soukou, Marcellin Koukpo, Jodel Dossou, Steve Mounié).
Cet adage souvent lancé à la volée sans grande foi s'est révélé si vrai que j'en ai fait aujourd'hui ma devise personnelle et celle de toute ma famille.
J'étais juste parti faire du footing aux alentours de la maison. Loin des grandes routes et de la dense circulation urbaine. Il sonnait à peine 17h. La visibilité était très bonne. De plus, je connaissais bien le parcours puisque j'ai l'habitude de le faire deux à trois fois par semaine. Et pourtant ce jour-là l'accident est arrivé. Mon pied a flanché sur une dalle posée en équilibre précaire. En moins d'une fraction de seconde ma jambe parti en vrille. Je tombai de tout mon poids. La suite fut douloureuse, éprouvante, stressante... Ce fut l'immobilisation temporaire, une incapacité partielle. Heureusement, j'avais pensé à prévenir ce risque. J'avais souscrit L'INDIVIDUEL ACCIDENT de la GAB SA. Presque tous les frais d'hospitalisation et de pharmacie m'ont été remboursés et en sus je bénéficie d'une indemnité mensuelle conséquente. C'est tout ça qui colorie un peu le ciel de ma vie malgré ma situation.
UN SEUL CONSEIL : PRÉVENEZ ! CAR LE RISQUE NE PREVIENT PAS.
Le Roi Mohammed VI a donné des instructions aux compagnies notamment Royal Air Maroc pour le retour au pays des Marocains Résidant à l'Etranger (MRE) à des prix abordables.
Selon le communiqué du cabinet royal diffusé ce dimanche 13 juin 2021, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a donné « ses Très Hautes Instructions aux autorités compétentes et à l'ensemble des intervenants dans le domaine du transport, afin d'œuvrer à la facilitation des Marocains résidant à l'étranger au Maroc à des prix abordables ».
Sa Majesté le Roi a ordonné à « l'ensemble des intervenants dans le domaine du transport aérien, en particulier la compagnie Royal Air Maroc, ainsi qu'aux différents acteurs du transport maritime, de veiller à pratiquer des prix raisonnables qui soient à la portée de tous, ainsi que d'assurer un nombre suffisant de rotations, afin de permettre aux familles marocaines à l'étranger de rentrer au pays et renouer avec leurs familles et proches, particulièrement dans le contexte de la pandémie de la Covid-19 ».
Le Souverain exhorte tous les opérateurs du tourisme, aussi bien dans le domaine du transport que de l'hôtellerie, à prendre les dispositions nécessaires afin d'accueillir les membres de la communauté marocaine résidant à l'étranger dans les meilleures conditions et aux meilleurs prix.
A.A.A
L'Institut de Mathématique et de Sciences Physiques (IMSP) de Dangbo a procédé, jeudi 03 juin 2021, à une cérémonie de remise de diplôme de fin de formation aux premiers docteurs en statistique et probabilités. 11 lauréats (7 Béninois, 2 Camerounais, 1 Burundais et 1 Rwandais) ont reçu leurs parchemins. Ils sont de la première et deuxième promotion.
Liste des lauréats
1-Fulbert Kuessi Allogninsodé (Béninois)
2-Kora Hafiz Bété (Béninois)
3-Armando Sosthène Balogoun (Béninois)
4-Mètolidji Raymond Affossogbé (Béninois)
5-Marie Reine Kakpo (Béninoise)
6-Amour Gbaguidi Amoussou (Béninois)
7-Nestor Wadagni (Béninois)
8-Jean de Dieu Nkurunziza (Burundais)
9-Charline Uwilingiyimana (Rwandaise)
10-Babel Guemdjo Kamdem (Camerounais)
11-Christelle Dleuna Nyoumbi (Camerounaise)
AAA.
Mésentente entre la Coordination Générale de la Résistance Béninoise dans la Diaspora (CG/RBD) et le Collectif pour la Sauvegarde de la Démocratie au Bénin (CSDB). Par communiqué en date du 10 juin 2021 fait à Paris, la Coordination Générale de la Résistance Béninoise dans la Diaspora (CG/RBD) dénonce la tenue d'une Assemblée générale organisée par visioconférence le samedi 05 juin 2021, par le Bureau du Collectif pour la Sauvegarde de la Démocratie au Bénin (CSDB).
Dans un contexte de crise qui secoue la CG/RBD depuis la création d'un courant politique au sein de la diaspora : la “Coalition S'engager pour le Bénin (CEB)”, le Bureau du Collectif pour la Sauvegarde de la Démocratie au Bénin (CSDB) a organisé le 05 juin, une Assemblée générale. Selon la CG/RBD, l'AG est organisée en violation de la charte de fonctionnement de la Résistance dans la Diaspora adoptée le 21 décembre 2019. L'AG s'est tenue sans les membres légitimes et la « feuille de route adoptée au sein de la CG/RBD pour résoudre cette crise et qui incluait une AG de consensus n'a pas été respectée par les membres démissionnaires de la CG/RBD, tous membres de la Coalition S'engager pour le Bénin et qui sont aujourd'hui les auteurs de cette AG de carnaval ». A en croire la CG/RBD, « cette AG a fait de l'exclusion son mode opératoire, a empêché le débat franc sur la crise en cours au niveau de la CG/RBD, et a organisé des élections avec des candidats présélectionnés ».
Oui pour le resserrement des rangs de la diaspora autour d'objectifs précis
La Coordination Générale de la Résistance Béninoise dans la diaspora (CG/RBD) dénonce ‘'cette mascarade d'AG'' et le coup de force qui a abouti à la prise en otage de l'association CSDB, un mouvement de masse, par le courant politique “Coalition S'engager pour le Bénin”. Elle se désolidarise des résolutions et des actes issus de l'AG et réaffirme que la « Résistance béninoise dans la diaspora est le creuset de tous les Béninoises et Béninois résidents à l'extérieur du pays et qui veulent réellement se battre aux côtés du peuple béninois contre la dictature autocratique de Patrice Talon en œuvre depuis avril 2016 et cela, sans égard à leurs chapelles politiques ».
La CG/RBD rend le groupe politique “S'engager pour le Bénin” responsable des divisions qui pourraient résulter de ses manœuvres d'embrigadement au sein de la diaspora béninoise. Tout en disant non à la caporalisation et à l'instrumentalisation de la Résistance béninoise dans la diaspora, la CG/RBD prône le resserrement des rangs de la diaspora autour d'objectifs précis pour l'efficacité de la lutte nécessaire contre la dictature au Bénin.
Le ministre d'Etat chargé de l'Economie et des finances Romuald Wadagni est dorénavant le nouveau gouverneur de la Banque Mondiale. Il remplace le ministre d'Etat chargé du développement et de la coordination de l'action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané.
Suite à la formation du premier gouvernement de Patrice Talon II, Abdoulaye Bio Tchané n'est plus membre du Conseil des gouverneurs de plusieurs instances financières. Selon Africa Zoom, il s'agit entre autres de la Banque Mondiale et de la Banque islamique de développement (BID). Le ministre d'Etat chargé de l'économie et des finances Romuald Wadagni assure cette fonction autrefois confiée au ministre du Plan.
Organe de décision suprême, le Conseil des Gouverneurs est composé d'un Gouverneur et d'un Gouverneur suppléant pour chacun des États membres.
Abdoulaye Bio Tchané était depuis 2016, membre d'office du Conseil des gouverneurs de la Banque africaine de développement (BAD), de la Banque islamique de développement et de la Banque Mondiale.
AAA.
Le ministre d'Etat chargé de l'Economie et des finances Romuald Wadagni est dorénavant le nouveau gouverneur de la Banque Mondiale. Il remplace le ministre d'Etat chargé du développement et de la coordination de l'action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané.
Suite à la formation du premier gouvernement de Patrice Talon II, Abdoulaye Bio Tchané n'est plus membre du Conseil des gouverneurs de plusieurs instances financières. Selon Africa Zoom, il s'agit entre autres de la Banque Mondiale et de la Banque islamique de développement (BID). Le ministre d'Etat chargé de l'économie et des finances Romuald Wadagni assure cette fonction autrefois confiée au ministre du Plan.
Organe de décision suprême, le Conseil des Gouverneurs est composé d'un Gouverneur et d'un Gouverneur suppléant pour chacun des États membres.
Abdoulaye Bio Tchané était depuis 2016, membre d'office du Conseil des gouverneurs de la Banque africaine de développement (BAD), de la Banque islamique de développement et de la Banque Mondiale.
AAA.
Le préfet Alain Orounla et le Premier Adjoint au Maire de Cotonou Randyx Romain Ahouandjinou, ont procédé ce lundi 14 juin 2021 au lancement du BEPC au CEG Dantokpa.
Pour le compte du département du Littoral, le top a été donné au CEG Dantokpa par les autorités préfectorale et municipale. Le préfet Alain Orounla et le Premier Adjoint au Maire Randyx Romain Ahouandjinou ont officiellement lancé les épreuves à 8 heures. C'était en présence du Directeur Départemental de l'enseignement Secondaire Robert Gbodjinou, de l'adjoint au Maire Chef du 6ème Arrondissement Dénis Gnonlonfoun et autres. Les autorités ont invité les candidats à la sérénité et à la concentration. Sur les 145.934 inscrits, 14 993 candidats composent dans le Littoral.
Le lancement officiel au plan national a été fait par le ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, M. Kouaro Yves Chabi, au CEG de Tokpa-Domè, dans la commune de Kpomassè, département de l'Atlantique.
A.A.A