Une journée historique et chargée d’événements s’annonce, aujourd’hui Mardi 9 avril 2019, Abdelkader Bensalah sera officialisé président par intérim. Le mouvement populaire se poursuit et les étudiants persistent.
Le congrès du Parlement est convoqué aujourd’hui pour constater la vacance définitive du pouvoir et pour désigner le président du conseil de la nation, Abdelkader Bensaleh, président par intérim. Il sera ainsi à la tête du pays pour une période de 90 jours, période durant laquelle des élections doivent être préparées.
Le peuple refuse et le mouvement se poursuit, comme chaque mardi une marche d’étudiants est prévue pour aujourd’hui. Ils ne font pas d’exception pour ce jour, au contraire ! Ils brisent ainsi les règles émises dernièrement et qui interdisent tous rassemblent, mais apart celui du vendredi, la police a reçu pour ordre de disperser tout le manifestatns, même par force.
Abdelkader Besnalah Président du conseil de la nation et son vice président Djamel Ould Abbès sont une continuation systématique du pouvoir honni. Un 8ème vendredi de contestation est en vue, le peuple dont les revendications semblent être ignorées, est décidé! Le mouvement populaire se poursuivra jusuqu’au départ totale de système.
M.A.Y
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Par Hasna YACOUB
Une fois les démissions de Bensalah et Belaïz formulées, il peut y avoir deux voies. La première, celle de rester dans l’esprit de l’article 102, en choisissant d’élire un remplaçant à Bensalah. La seconde c’est de déclarer que dans le respect des articles 7 et 8 de la Constitution, un président (ou un présidium) de consensus sera choisi pour mener la période de transition.
Les parlementaires ont rendez-vous aujourd’hui au Palais des nations. Ils doivent siéger, en chambres réunies, pour prendre acte de la déclaration de vacance définitive de la présidence de la République à la majorité des 2/3 des membres. Une déclaration de vacance transmise faut-il le rappeler, il y a quelques jours, par le Conseil constitutionnel au Parlement à la suite de la démission du président Bouteflika, le 2 avril dernier.
Normalement et dans le respect de l’article 102 de la Constitution, une fois le constat de la vacance établi par le parlement, ce dernier charge de l’intérim du chef de l’Etat, pour une période maximale de 90 jours, le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah. En cas de la vacance de la présidence du Conseil de la nation, pour quelque cause que ce soit, le Conseil constitutionnel se réunit à nouveau et c’est son président Tayeb Belaïz qui devra assumer la charge de chef de l’Etat dans les mêmes conditions à savoir qu’il ne sera pas candidat à l’élection présidentielle qu’il est tenu d’organiser durant la période de transition et qu’il respecte à la lettre l’article 104 de la Constitution. Or, ce schéma ne peut nullement constituer une solution de consensus puisque le peuple exige le départ des 3B: Bensalah, Bedoui et Belaïz. Mais pas seulement. Des parlementaires qui rejettent l’option Bensalah ont annoncé leur boycott au conclave d’aujourd’hui.
Même le quotidien El Moudjahid a évoqué l’option d’une transition sans Bensalah. Que va décider Ahmed Gaïd Salah dont l’intervention le 2 avril dernier, avait précipitéle départ de Abdelaziz Bouteflika? Le chef d’état-major s’est engagé, au nom de l’armée, à respecter la volonté populaire. Il a promis d’accompagner la transition pour mener le pays vers une nouvelle République en déclarant que la solution à la crise algérienne réside aussi dans les articles 7 et 8 de la Constitution. Il s’agira donc de donner une solution politique à la crise, inspirée de la Constitution.
Autrement dit, le Parlement devra confirmer la vacance du pouvoir et Abdelkader Bensalah ainsi que Tayeb Belaïz devront déposer leurs démissions respectives. A partir de ce moment-là, il pourra y avoir deux voies. La première, celle de rester dans l’esprit de l’article 102, en choisissant d’élire un remplaçant à Bensalah. Cette opération devra se faire dans le respect des articles 5 et 6 du règlement intérieur de la chambre haute qui précisent les modalités à suivre.
Dans le cas de vacance de la présidence du Sénat, l’institution a 15 jours pour élire un nouveau président. Un ou plusieurs candidats peuvent se présenter et l’élection se déroulera au scrutin secret ou à main levée en cas de candidature unique. En cas d’absence de majorité absolue, un deuxième tour est organisé et en cas d’égalité des voix, le candidat le plus âgé est déclaré élu.
Question: est-ce qu’un nouveau président du Sénat, choisi parmi ses membres, sera accepté par le peuple? Quel nom fera consensus? Difficile d’y croire à voir la feuille de route exigée par le peuple qui parle de changement radical sans aucun visage apparenté au «système à dégager».
Quelle autre solution reste-t-il alors? Il reste la deuxième voie. Elle est simple et beaucoup plus directe. Il s’agit pour le vice-ministre de la Défense de prendre ses responsabilités, comme il l’a fait le 2 avril dernier, et de déclarer que dans le respect des articles 7 et 8 de la Constitution, un président (ou un présidium) de consensus sera choisi pour mener la période de transition. Ce dernier aura à sa charge de nommer un gouvernement de compétences, de réviser la loi électorale, d’installer une commission indépendante pour chapeauter l’ensemble des opérations liées à l’élection présidentielle qui permettra au peuple d’élire son président en toute démocratie. Cette solution pourrait contenter le peuple, sortir l’Algérie de l’impasse et lui éviter une longue période de turbulences et de vide.
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M. Zeggai
Trois matches sont programmés aujourd’hui et demain dans le cadre de la mise à jour du calendrier du championnat de Ligue 1 Mobilis. Des rencontres qui revêtent une importance capitale pour les formations concernées et dont les résultats auront un impact sur le classement. La première aura lieu au stade du 5-Juillet entre le MCA et le MCO. La victoire est impérative pour les deux équipes aux ambitions diamétralement opposées. Les Mouloudéens d’Alger insistent sur les trois points, qui leur permettront de détrôner l’ESS de la quatrième place et surtout se racheter de leur dernier échec essuyé face au NAHD. Les conditions d’avant-match ne s’annoncent guère favorables au MCA compte tenu de cette cascade d’absences de joueurs pour diverses raisons, ce qui met dans l’embarras le nouveau coach Mohamed Mekhazani. Azzi et Hachi sont indisponibles jusqu’à la fin de saison. Bendebka et Benaldjia sont suspendus, Hachoud et Hachi blessés, Dieng malade, alors que Arous est incertain au même titre que Derrardja. En revanche, on annonce la présence de Lamara, Hadouche et Tebbi qui, même s’ils sont incertains, pourraient être récupérés. Une situation qui complique la tâche de l’entraîneur du MCA, qui a du mal à trouver des solutions face à un MCO dont le groupe est au complet, car Cavalli n’aura que l’embarras du choix. Belle opportunité donc pour les Oranais du Mouloudia qui n’ont pas droit à l’erreur pour maintenir intactes leurs chances de maintien. Une victoire sera des plus salutaires pour le MCO, qui entend prendre ses distances par rapport à la zone rouge.A Tadjenanet, le CRB sera amoindri face au DRBT dans un choc décisif pour le maintien de ces deux formations. Sayoud (blessé), Bechou (suspendu) et Soumana qui n’était pas encore qualifié à cette rencontre de la 19e journée du mois de février dernier, rateront ce rendez-vous. Un vrai casse-tête pour Abdelkader Amrani. Car, il faut l’avouer, il est très difficile de se passer de trois titulaires face à un team qui joue également sa survie et de surcroît sur son terrain. Deux points séparent ces deux antagonistes et le vaincu risque de se retrouver dans une mauvaise posture.
Enfin, pour ce qui est de la rencontre de demain, l’USMBA en découdra avec le NAHD dans un match considéré comme celui de la dernière chance pour les Belabésiens. Ce sera très difficile pour l’USMBA qui vit actuellement une crise interne sans précédent due à une mauvaise gestion et des joueurs inconscients du danger qui guette le club de la Mekerra. Le nouvel entraîneur de l’USMBA, Sid Ahmed Slimani, risque de ne pas se trouver sur le banc en raison de la situation conflictuelle avec son ancien club, l’ASMO.The post Ligue 1 – Mise à jour: Duel à six points à Tadjenanet, l’USMBA joue sa survie appeared first on .
A l’aube du processus de changement que connait notre pays suite à la révolution pacifique du peuple algérien qui a exprimé sa volonté, lors des derniers mouvements populaires de contestations à travers l’ensemble des wilayas du pays.
Par millions le peuple algérien a exprimé son désir d’instaurer un état de droit et de consacrer la démocratie comme seul moyen de gouvernance et une rupture avec le mode et les pratiques passés. Pour cela nous vous proposant cette modeste contribution de sortie de crise et une vision de la gestion de la phase de transition démocratique qui aboutira à l’élection du président de la république sur la base de la volonté du peuple qui aura pour mission de construire les institutions de la république pour servir le peuple et faire face aux enjeux de politique, économique et sociétal .
Cette contribution est une feuille de route pour la construction d’une république démocratique suite aux évènements successifs de contestation populaires qui ont aboutis à une crise institutionnelle matérialisée par la démission du président de la république.
1. Prendre acte de la vacance de la présidence de la république ;
2. Suspendre la constitution ainsi que:
– L’assemblée populaire nationale ;
– Le conseil de la nation ;
– Le conseil constitutionnel.
3. Démission du gouvernement Bédoui
4. Mise en place d’un conseil présidentiel composé de cinq (05) personnalités nationales consensuelles issues de la société civile.
Pendant une période n’excédant pas 12 mois, le conseil présidentiel procédera à :
– L’installation d’un gouvernement d’union nationale, composée de technocrates ;
– La mise en place d’une conférence nationale pour la refonte de la constitution consacrant un état de droit notamment par l’indépendance des pouvoirs républicains à savoir le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire et de veiller à l’indépendance du pouvoir de la presse et des médias.
La composante de la conférence nationale comprend l’ensemble des compétences et forces vives de la société, équitablement réparties sur le territoire national. Le règlement intérieur de la conférence nationale est préalablement arrêté par le conseil présidentiel qui fixera principalement :
– La durée de la conférence (éventuellement une période de prolongation raisonnable) ;
– La présidence de la conférence ;
– Le secrétariat de la conférence ;
– La mission qui est : La refonte de la constitution algérienne ;
– Les modalités de fonctionnement ;
– Etc.
5. Adoption de la constitution algérienne par le peuple pour voie référendaire.
6. Election du Président de la république selon la constitution adoptée par référendum qui veillera à l’application de cette dernière qui constitue le lancement du processus de la construction des institutions de la république algérienne.
NB : Ces mécanismes ne peuvent, à notre avis, être instaurés que par la seule institution qui s’est engagée à accompagner le peuple dans sa dynamique, pour le changement de système de gouvernance, à savoir l’ANP.
Alger, le 08-04-2019
Mr BOUZIDI Ahmed, architecte libéral,
Mr CHEBALLAH Mohamed, architecte libéral.
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Plusieurs dizaines de manifestants journalistes se sont rassemblés hier devant la grande poste d’Alger malgré le dispositif policier déployé sur les lieux.
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Le neveu de Mahieddine Tahkout (fils de son frère) a été interpelé dans un barrage de police à El Tarf près des frontière algero tunisienne .
Selon le site d’information interlignes. Le neveu de Tahkout serait en infraction à la réglementation des changes car on a trouvé 6000 euros en sa possession sans l’avis de retrait bancaire d’un compte devise. Après avoir été entendu par la police, il sera présenté dans la soirée ou demain dans la matinée devant le procureur de la république d’El Tarf.
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Dans un communiqué diffusé ce lundi, la wilaya de Tizi-Ouzou a annoncé la libération de 6 730 logements squattés.
« Dans le cadre de l’évacuation des logements en cours de réalisation dans les daïras de Tizi-Ouzou, Draa Ben Kheda, Draa El Mizan, Boghni et Ouaguenoun, et indûment occupés, 6730 logements ont été libérés grâce au recours à la force publique » rapporte le communiqué.
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Un journaliste de l’ENTV a accusé, ce lundi, le nouveau directeur de la chaîne public, Lotfi Cheriet d’être un pion de Said Bouteflika.
Il faut rappeler Lotfi Cheriet a fait partie du staff de la chaîne El Wiam TV, créée pour promouvoir le quatrième mandat.
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Plus de 500 jeunes demandeurs d’emploi ont bloqué lundi les quatre accès du complexe sidérurgique Sider El Hadjar (Annaba) pour réclamer des emplois directs au sein de cette structur, a-t-on appris de son directeur général, Chamseddine Maâtallah.
« La Direction de l’emploi de la wilaya a établi, sous la pression des demandeurs d’emploi, une liste de 800 jeunes bénéficiaires de poste de travail au sein de Sider El Hadjar, alors que ce dernier n’a pas signalé l’existence de postes d’emploi vacants », a précisé à l’APS ce même responsable.
Une fois cette liste dévoilée par la Direction de l’emploi, les jeunes concernés se sont rendus au complexe Sider El Hadjar, pour réclamer les postes de travail qui leurs ont été décernés par la Direction de l’emploi.
« La Direction du complexe a dès lors informé ces jeunes qu’ils ne pouvaient pas être recrutés au sein du complexe Sider, mais certains d’entre eux ont bloqué les accès du complexe empêchant les travailleurs d’y pénétrer et rejoindre leurs postes, notamment ceux qui travaillent selon le système de rotation », a ajouté M. Maâtallah.
Cette situation a contraint, par ailleurs, la Direction de Sider à fermer le Haut fourneau de manière « temporaire » consécutivement à l’impossibilité des travailleurs à rejoindre leur postes respectifs et assurer leur rotation, tandis que de jeunes protestataires ont réussi à se faufiler à l’intérieur du complexe, suscitant une certaine agitation parmi les travailleurs d’El Hadjar, ont confié, à cet effet, des employés.
A noter que l’APS a tenté, en vain, de contacter la Direction de l’emploi de la wilaya à ce sujet.
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Le Général de corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, a entamé aujourd’hui une visite de travail et d’inspection à la 2e Région militaire, à Oran.
Le général de corps d’armée a entamé cette visite de travail et d’inspection, dans le cadre du suivi de l’état d’avancement de l’exécution du programme de préparation au combat pour l’année 2018-2019, à travers l’ensemble des unités de l’ANP et dans toutes les Régions militaires.
Il supervisera, mardi l’exécution d’un exercice démonstratif avec munitions réelles, qui sera exécuté par des unités relevant des Forces Terrestres et Aériennes, en vu d’évaluer la deuxième phase du programme de préparation au combat 2018/2019, a ajouté la même source, relevant qu’il présidera également, lors de cette visite, une rencontre d’orientation avec les cadres et les personnels de la Région et inspectera quelques unités.
Au niveau de la Base Aérienne Bousfer, et à l’issue de la cérémonie d’accueil, en compagnie du général-major Meftah Souab, Commandant de la 2ème RM, le général de corps d’armée a souligné, devant les cadres de la Région, que sa présence, en personne, pour assister à ce genre d’exercice démonstratif avec munitions réelles, « découle de l’intérêt extrême qu’il porte au suivi du degré d’exécution des programmes annuels tracés, ainsi qu’à l’évaluation sur le terrain du degré de disponibilité opérationnelle atteint par les unités de l’ANP et dont on peut réellement être fier ».
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Les préparatifs pour la convocation des deux chambres du Parlement, ce mardi 9 avril 2019, en vue de constater la vacance définitive du poste du président de la République se poursuivent sur fond de lectures divergentes quant à la modalité à prôner en vue de combler le vide constitutionnel au summum de la pyramide du pouvoir exécutif.
C’est dans cette optique que la commission parlementaire mixte s’est réunie, dimanche, et présidée par le sénateur Salah Goudjil, en sa qualité de doyen de sénateurs en vertu de la loi organique 16-12 fixant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Sénat ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres du Parlement et le gouvernement.
Dans un communiqué, le Parlement a précisé que “cette réunion a été consacrée à l’examen et au débat du projet de règlement du déroulement des travaux de la réunion du Parlement, siégeant en chambres réunies, prévue le mardi 09 avril en vue de prendre acte de la déclaration du Conseil constitutionnel constant la vacance définitive du poste du président de la République et d’activer l’application de l’article 102 de la Constitution”, sachant que cette commission a été installée par le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah lors de la réunion des deux bureaux du Parlement, qui s’est tenue le 4 avril dernier, au siège de la Chambre haute du parlement.
En effet, cette réunion intervient dans un contexte marqué par une divergence quant à la voie à emprunter, dont la solution constitutionnelle a été rejetée par des millions d’Algériens qui réclament l’application d’une solution politique.
Les partisans de cette option insistent sur la souveraineté populaire explicitement exprimée dans l’article 7 de la Constitution qui stipule: “Le peuple est la source de tout pouvoir. La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple”.
Il semble que l’institution militaire ait opté pour l’option politique, d’autant que le chef d’état major de l’Armée, Ahmed Gaïd Salah qui a indiqué que la solution réside dans l’application des articles 102, 7 et 8 de la Constitution.
Une option qui semble prônée eu égard de l’éditorial du journal public “El Moudjahid” qui, paraît-il, aurait choisi d’aller vers une période une période de transition sans Abdelkader Bensalah.
“Un tel programme précis n’est ni déraisonnable ni forcément difficile à réaliser. Dans un premier temps, et si l’on tient à le prendre en charge et à ne pas s’éloigner de la légalité et du processus constitutionnel, il faudrait trouver le plus tôt possible une solution à la question de la présidence du Conseil de la nation, du moment que l’actuel figure ne semble pas être tolérée par le mouvement citoyen”, peut-on lire dans l’éditorial du journal qui ajoute: “Là aussi, estime encore El Moudjahid, ce n’est pas impossible de trouver un homme consensuel qui ait l’étoffe et le sens de l’État, pour conduire cette courte transition, l’essentiel étant de surmonter les divisions et ne pas tourner en rond”.
Mohamed Meslem / Traduit par: Moussa. K.
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Le Parti des Travailleurs de Louisa Hanoune a accusé le nouveau premier ministre Noureddine Bedoui d’être responsable de la répression des manifestations depuis le vendredi dernier .
Le Parti des Travailleurs, a dressé das un communiqué un bilan des répressions. Ainsi donc l’information rapportée par la presse sur l’envoi d’une instruction du Premier ministre, Nourreddine Bédoui, au Ministre de l’Intérieur, par laquelle il lui demande d’interdire toutes les marches et les rassemblements de la semaine, mise à part la marche du vendredi, semble se confirmer par cette répression.
Le parti réaffirme par ailleurs que toute tentative de sauvetage du système en place, périmé et condamné, que ce soit par les moyens de la manœuvre politique ou, de surcroît sécuritaires et répressifs, est vaine et ne peut conduire notre pays qu’à des lendemains incertains et des voies sans issues.
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Le Front des Forces Socialistes (FFS) a dévoilé, ce lundi 8 avril, sa feuille de route pour un « changement radical du système »
Le parti Socialistes considèrent que l’entêtement du pouvoir à imposer la voie constitutionnelle comme seule option ne répond pas aux aspirations et aux revendications populaires. Une constitution imposée par un régime autoritaire ne saurait être porteuse d’une solution à une crise éminemment politique.
Le peuple exige le changement du système par la voie d’une solution politique et consensuelle qui aboutira à une véritable transition démocratique.
Les parlementaires du FFS exhortent les décideurs à être à l’écoute de la révolte de nos compatriotes mobilisés pour une 2e République et un Etat de Droit.
Les parlementaires du FFS mettent en garde contre toute tentative de répression ou de détournement de ce mouvement populaire et pacifique au bénéfice d’une alternance clanique au sein de ce système maffieux et corrompu.
Les parlementaires du FFS restent convaincus que seule une transition démocratique au terme d’un processus constituant et l’élection d’une Assemblée Constituante permettra aux Algériennes et aux Algériens d’exercer leur souveraineté et de recouvrir leur droit à l’autodétermination.
Il va de soi que les parlementaires du FFS ne cautionneront pas la mascarade constitutionnelle qu’ils veulent imposer comme solution.
Par ailleurs, les parlementaires du FFS dénoncent les pratiques staliniennes d’un groupe qui a squatté la Direction du parti et qui, en violation des statuts et au mépris de nos instances, continue dans la purge des militants qui refusent d’obéir à leur entreprise de normalisation du FFS.
Ce groupe qui a fait main basse sur la direction du Parti, rejeté par la base militante et par l’écrasante majorité du Conseil national persiste à recourir à la violence pour empêcher tout débat au sein des structures et ainsi se soustraire au devoir statutaire de rendre des comptes.
Les parlementaires du FFS ne reconnaissent pas les décisions unilatérales et anti-statutaires prises par une commission dissoute par le Conseil national et notifiées par un Premier secrétaire illégitime et illégal.
La campagne interne de dénigrement des cadres, des parlementaires et des élus du parti ne nous empêchera pas de rester impliqués et mobilisés auprès de nos concitoyens pour l’avènement d’une Algérie libre, démocratique et heureuse.
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C’est plutôt un bon signe pour notre révolution que la France ne veuille pas de Me. Bouchachi et se mette à le dénigrer d’ailleurs en même temps que certains en Algérie.
Mais voilà tout ce qu’ils ont trouvé à lui reprocher c’est son âge! (France24)
A 65 ans et en plein forme, Me Bouchachi est décrit dans les médias français comme “ un vieux, qui ne pourra pas faire face aux exigences d’un peuple dans la majorité de la population est moins de 25 ans..”
En fait le choc et l’attitude des médias d’intérêts français a été engendrée par une remarquable interview que Me. Bouchachi a accordée à la BBC dans un parfait anglais avec l’attitude mesurée et pondérée que l’on lui connais.
Un futur président algérien qui s’exprime directement et sans intermédiaire en anglais, est déjà perçu comme une menace pour les intérêts gratuits de la France en Algérie, d’autant plus que Me. Bouchachi sera sans doute le seul candidat contre et hors régime et qu’une réévaluation de “la relation spéciale” établie avec le clan Bouteflika risque de prendre place au désavantage du président Macron qui a soutenu ouvertement le régime contre le peuple algérien.
Dans les prochains jours et dès que la date de l’élection présidentielle sera connue, la propagande anti Bouchachi se fera mieux distinguer.
Tout comme le régime qui agit comme une force étrangère en Algérie cherchant à négocier “ un plan de retrait “ ou carrément saboter l’élection présidentielle si toutefois leurs candidats “propres” n’arriveront pas à gagner en popularité, la France de Macron se prononce déjà quant à l’élection de Me. Bouchachi qui remettra en cause la présence de la France en Algérie avec ses réseaux et ses intérêts consentis par une bande de voyous qu’elle a cautionné sans vergogne depuis 1999.
Vidéo de France24:
Chafik Ben Guesmia
Cbenfuesmia@yahoo.com
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Un journaliste a été interpellé aujourd’hui par les services de sécurités à la Grande Poste d’Alger en marge d’un rassemblement contre le système.
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L’avocat et défenseur des droits de l’Homme Salah Dabouz Arrêté hier vient d’être libéré et mis sous contrôle judiciaire .
Il faut rappeler que Maître Salah Dabouz est poursuivi dans trois affaires: La première affaire remonte à la période d’emprisonnement du docteur Kamel Eddine Fekhar et dont l’avocat Salah Dabouz s’y été opposé. Il est donc accusé de « l’introduction d’objets interdits dans un établissement pénitencier »
La deuxième affaires est du à ses publications sur les réseaux sociaux à travers lesquelles il aurait critiqué quelques décisions de la justice. « C’est suite à cela que le parquet général de Ghardaïa a rendu un communiqué condamnant ce genre de propos. Il a ordonné l’exercice de poursuite contre Salah Dabouz ainsi que certaines personnes qui auraient partagé ses publications dont Kamel Eddine Fekhar, militant Mozabite et le syndicaliste de la coordination des lycées d’Algérie (CLA), Hadj Brahim». Me Dabouz est également poursuivi dans une troisième affaire mais dont nous ignorants les détails.
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D’après le site d’informations interlignes l’avocat, Salah Dabouz, arrêté hier 7 avril suite à une instruction d’un juge du tribunal de Ghardaia, est poursuivi dans trois affaires.
La première affaire remonte à la période d’emprisonnement du docteur Kamel Eddine Fekhar et dont l’avocat Salah Dabouz s’y été opposé. Il est donc accusé de « l’introduction d’objets interdits dans un établissement pénitencier »
La deuxième affaires est du à ses publications sur les réseaux sociaux à travers lesquelles il aurait critiqué quelques décisions de la justice. « C’est suite à cela que le parquet général de Ghardaïa a rendu un communiqué condamnant ce genre de propos. Il a ordonné l’exercice de poursuite contre Salah Dabouz ainsi que certaines personnes qui auraient partagé ses publications dont Kamel Eddine Fekhar, militant Mozabite et le syndicaliste de la coordination des lycées d’Algérie (CLA), Hadj Brahim». toujours selon la même source cité auparavant.
L’avocat est également poursuivi dans une troisième affaire mais dont nous ignorants les détails.
M.A.Y
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Dans un communiqué diffusé par la sûreté nationale et reçu par notre rédaction, la sûreté de la wilaya d’Alger déclare avoir arrêté des individus ayant volés des équipement médicaux d’un hôpital universitaire. Le communiqué détaille qu’ils ont pu récupérer 4000 gants médicaux, 200 couvertures de différentes tailles et 200 mètres de Gaze non stérilisés.
L’opération qui a été accomplie par le service de sûreté de la commune de Bouzerah affirme que le premier suspecté a été arrêté au bord d’une voiture de taxi, il travaillé dans la pharmacie de l’hôpital. Les équipements volés se trouvaient dans la même voiture dont le chauffeur et le deuxième suspect, les investigations approfondies le troisième suspect a également été arrêté. Ils sont tous les trois présentés devant le procureur de la république.
M.A.Y
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Le Parlement siégeant dans ses deux chambres (Conseil de la nation et Assemblée populaire nationale) se réunira mardi au Palais des nations (Alger), en vue de prendre acte de la déclaration du Conseil constitutionnel constant la vacance définitive du poste du président de la République et activer l’application de l’article 102 de la Constitution.
Ce congrès du Parlement, qui intervient en application de l’article 102 de la Constitution, a été décidé lors de la réunion jeudi dernier des bureaux des deux chambres du Parlement.
Le Conseil constitutionnel avait constaté mercredi la vacance définitive de la Présidence de la République, après la démission de Abdelaziz Bouteflika et communiqué immédiatement l’acte de déclaration de vacance au Parlement conformément à la Constitution.
La Commission parlementaire mixte chargée de l’élaboration du règlement du déroulement des travaux de la réunion du Parlement siégeant en chambres réunies, a tenu dimanche sa réunion au siège du Conseil de la nation.
Cette commission, installée par le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah lors de la réunion des bureaux des deux chambres du Parlement, est présidée par le doyen du Conseil, Salah Goudjil.
L’article 102 de la Constitution dispose qu »en cas de démission ou de décès du président de la République, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la Présidence de la République ».
Il communique immédiatement l’acte de déclaration de vacance définitive au Parlement, qui se réunit de plein droit. Le Président du Conseil de la Nation assume la charge de Chef de l’Etat pour une durée de 90 jours au maximum, au cours de laquelle des élections présidentielles sont organisées, sachant que le Chef de l’Etat, ainsi désigné, ne peut pas être candidat à la Présidence de la République.
Pendant cette période de 90 jours, le Chef de l’Etat dispose de prérogatives très réduites par rapport à un président élu. Il ne peut être fait application des dispositions prévues aux alinéas 7 et 8 de l’article 91 et aux articles 93, 142, 147, 154, 155, 208, 210 et 211 de la Constitution.
Selon les dispositions de ces articles, le Chef de l’Etat ne dispose pas des prérogatives du Président de la République notamment en matière de nomination de membres de gouvernement, de droit de grâce, de remise ou de commutation de peine, ou de saisir, sur toute question d’importance nationale, le peuple par voie de référendum.
Il ne dispose pas également des prérogatives relatives à la dissolution de l’Assemblée populaire nationale, la tenue d’élections législatives anticipées, ou la révision constitutionnelle.
La réunion du Parlement intervient dans un contexte marqué par la démission des parlementaires de certains partis comme le Front des forces socialistes (FFS) et le Parti des travailleurs (PT), dans le sillage du mouvement populaire entamé le 22 février dernier, alors que d’autres formations politiques ont décidé de boycotter cette réunion, à l’instar, du Mouvement pour la société de la paix (MSP).
D’autres partis, notamment ceux de l’opposition, ont estimé que l’application de l’article 102 de la Constitution ne règle pas la crise politique actuelle, appelant à d’autres solutions politiques consensuelles dans l’esprit des articles 07 et 08 de la Constitution.
L’article 7 stipule que le peuple est la source de tout pouvoir et la souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple, au moment ou l’article 8 énonce que le pouvoir constituant appartient au peuple. Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne, et aussi par voie de référendum et par l’intermédiaire de ses représentants élus.
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