Depuis des années, la mensualité des joueurs algériens n’a pas cessé d’augmenter jusqu’à atteindre des chiffres astronomiques, provoquant un déficit budgétaire pour l’ensemble des clubs algériens jusqu’à la division interwilayas.
Pour la saison 2016-2017, l’effectif total des joueurs des clubs de Ligue 1 était de 343 joueurs. La masse salariale mensuelle a atteint les 471 540 millions de dinars, c’est-à-dire 47 milliards et 154 millions de centimes. De quoi assurer les salaires de milliers de travailleurs d’entreprises publiques et privées. La facture du football professionnel est très lourde. 22 joueurs de la Ligue 1 algérienne touchaient un salaire mensuel de plus de trois millions de dinars (300 millions de centimes). Ils représentaient 6% de l’ensemble des effectifs. C’est ce qu’avait indiqué la Ligue de football professionnel (LFP). La FAF a décidé en 2014 de plafonner les salaires des joueurs professionnels des Ligues 1 et 2 professionnelles, mais sans que cette décision soit appliquée.
En 2016, les présidents des clubs L1, dans l’incapacité de payer les salaires des joueurs, ont décidé à l’unanimité de plafonner les salaires de leurs joueurs à hauteur d’un million de dinars. Cette mesure n’était pas du goût des principaux intéressés. Les joueurs du championnat, notamment ceux de l’Entente de Sétif et de l’USM Alger, ont observé, lors d’un match ayant opposé ces deux équipes, une «grève» de cinq minutes, qui a coûté un avertissement aux deux capitaines.
Les joueurs se plaignaient du plafonnement des salaires. Pour cette saison sportive 2017/2018, le président du MCA, Kamel Kaci-Saïd, a décidé de rationaliser les dépenses, en s’attaquant directement à la masse salariale de ses joueurs, surtout que la Sonatrach avait accordé au manager mouloudéen la saison passée 80 milliards de centimes pour sortir, en fin de compte, les mains vides avec zéro objectif réalisé. De ce fait Kaci-Saïd a invité l’ensemble des cadres de l’équipe à revoir leur salaire à la baisse. Quelques cadres, à l’exemple de Derrardja et Hachoud, ont fait de la résistance avant de céder aux exigences de leur président, alors que d’autres éléments comme Balegh et Karaoui n’ont toujours pas accepté la proposition. Si Kaci-Saïd ne compte pas faire machine arrière, au risque de créer la division au sein du groupe, les récalcitrants cherchent une porte de sortie honorable en allant négocier, comme c’est le cas de Karaoui, avec d’autres présidents de clubs plus enclins à céder à leurs caprices.
A. Andalouss
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La fédération algérienne de natation (FAN) annonce avoir arrêté la liste des nageurs devant participer aux Jeux méditerranéens de Tarragone, Espagne du 22 juin au 1er juillet. La sélection nationale, composée de 10 athlètes (5 garçons et 5 filles), sera encadrée par trois entraîneurs, à savoir Ali Maânsri, Kouhil Abdelkahar et Barnier Olivier. La FAN précise que ces athlètes retenus sont en préparation continue. Par ailleurs, les athlètes boursiers tels que Sahnoune Oussama, Cherouati Souad, Melih Amel et Nefsi Rania se préparent d’une manière continue au sein de leurs clubs respectifs et prennent part d’ailleurs aux différents meetings et compétitions internationaux suivant les objectifs tracés par la direction technique nationale, précise Kaouah Abdelkader, le directeur des équipes nationales. Les athlètes retenus sont : Cherouati Nefissa Souad (400m NL-800m NL), Melih Amel (50m NL– 50m dos – 50m papillon), Nefsi Hamida Rania (200 et 400m, 4 nages, 50m brasse), Medjahed Nesrine (50m NL, 100M NL, 50m et 100m papillon), Kacha Samar Benazouza (50m 100m, 200 m papillon), Balamane Moncef Aïmen (50m, 100m, 200m brasse), Bouhamidi Mohamed Ryad (50m, 100m et 200m dos), Djaballah Mohamed Anis (400m et 1500m nage libre), Sahnoune Oussama (50m et 100m nage libre), Chouhar Ramzi (200m 4 nages, 400m 4 nages et 200m papillon).
Ah. A.
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Plusieurs disciplines sportives seront réactivées à l’USM Bel-Abbès après la tenue prochaine de l’assemblée générale du club sportif amateur (CSA), a-t-on appris hier de la direction de cette formation.
«La direction de la jeunesse et des sports (DJS) de Sidi-Bel-Abbès nous a encouragés à réactiver les disciplines sportives mises en veilleuse depuis plusieurs années. Toutes les procédures administratives d’usage sont actuellement en cours pour organiser bientôt une assemblée générale ordinaire du CSA/USMBA, suivie d’une autre élective», a indiqué à l’APS, le directeur général de la Société sportive par actions (SSA) qui gère le club professionnel, Kaddour Benayad. L’USMBA était connue par le passé par ses nombreuses disciplines sportives qui activaient sur la scène nationale, renfermant de nombreux athlètes de talent. Mais ces disciplines ont été toutes dissoutes à la grande déception des sportifs de la ville, alors que les responsables du club amateur ont tous gelé leurs activités. «Il va y avoir une nouvelle composante de l’assemblée générale comprenant des membres ayant le profil indiqué pour justement relancer les disciplines dissoutes», a encore expliqué le même responsable qui compte d’ailleurs postuler à la présidence du club amateur. «Personnellement, je suis très emballé à l’idée de contribuer à cet ambitieux projet. Certes, les gens me connaissent par mon parcours footballistique à l’USMBA. Mais ils sont nombreux aussi à ignorer que j’avais également pratiqué le judo dans ce club», a-t-il poursuivi. Il a regretté au passage que la formation de la «Mekerra» ait perdu toutes ses autres disciplines sportives, ne conservant que le football, dont l’équipe professionnelle s’est illustrée en fin de saison passée en remportant le trophée de la Coupe d’Algérie, le deuxième dans l’histoire du club, synonyme d’une deuxième participation à la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) la saison prochaine.
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Malgré un léger retard de quelques jours occasionné par des pluies tardives inattendues survenues au début du mois de juin, la campagne moissons-battages sur le territoire de la wilaya de Aïn Defla vient de débuter, et même a bien débuté dès le retour du soleil et la hausse sensible des températures qui ont asséché les épis humidifiés.
Selon la DSA (Direction des services agricoles), déjà quelque 600 ha ont été moissonnés et 14 000 q engrangés, sur les 75 000 ha emblavés dont 55 556 ha de blé dur, 17 000 ha d’orge, le reste en superficies très réduites, de l’ordre de 3% environ, réparties entre le blé tendre et l’avoine.
Pour assurer un bon déroulement de la campagne, toujours selon la DSA, 398 machines ont été mobilisées et à pied d’œuvre sur les parcelles, dont 25 machines neuves appartenant à la CCLS et 4 au PMAT, l’ex-Onama. Pour ce qui est des aires de stockage, en plus des capacités propres au secteur de l’agriculture et à la CCLS, on a eu recours comme cela se répète chaque année aux locations et aux réquisitions wilayales pour emmagasiner la collecte de quelque 1 100 000 q sur une spéculation d’une production de 2 millions de quintaux.
A la date du lundi 18 juin, la CCLS a engrangé 13 003 q. Pour réunir toutes les conditions d’un bon déroulement de la campagne, ont été mobilisés 65 agents permanents et 80 saisonniers, une main-d’œuvre appelée à être renforcée en cas de nécessité.
Cependant, il ne s’agit pas seulement de moissonner et produire mais aussi faut-il protéger les parcelles à moissonner et les récoltes réalisées contre les incendies d’origines diverses, incendies dont les risques sont élevés pendant la campagne.
Pour protéger les récoltes, les équipes de la Protection civile doivent agir vite pour maîtriser le feu. Pour ce faire, la Direction de la Protection civile a installé 13 postes avancés disséminés dans les communes à haut potentiel de production au niveau de 13 localités. Au niveau de chacun des 13 postes, sont mobilisés 3 agents armés d’équipements d’intervention d’urgence prêts à intervenir en faction de 9h du matin à 20h, et ce, en cas de nécessité de renforts.
Il faut noter que durant l’été dernier, le bilan des incendies de récoltes a été très lourd. En effet, selon les statistiques établies par la Direction de la Protection civile qui avait procédé à 61 interventions en divers points du territoire de la wilaya, on a enregistré la destruction par les flammes de 100 ha de diverses céréales, la destruction de 42 730 bottes de foin dans 106 incendies comme ont été la proie du feu 4 586 arbres fruitiers.
Rappelons que pour endiguer ce fléau, de multiples campagnes de sensibilisation des exploitants agricoles ont été menées aussi bien par les services de la Protection civile que par la Direction des services agricoles tout au long de l’année.
Karim O.
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Dans le cadre de la préparation aux Jeux méditerranéens de Tarragone, Espagne, qui auront lieu du 22 juin au 1er juillet, la direction technique nationale de la fédération algérienne de volley-ball (FAVB) organise les stages précompétitifs pour les deux sélections appelées à défendre les couleurs nationales. Ainsi, la sélection seniors hommes est déjà à pied d’œuvre à Zéralda (17-19 juin) tandis que le stage de l’équipe nationale espoir U23 dames se déroule à Azazga, dans la wilaya de Tizi-Ouzou (17 au 19 juin). Par ailleurs, la DTN annonce avoir retenu 24 volleyeuses de la sélection des cadettes pour un stage d’une dizaine de jours à Azazga, Tizi-Ouzou (17 au 26 juin), dans le cadre de la préparation des Jeux africains de la jeunesse qu’abritera Alger cet été.
Ah. A.
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Les services de l’investissement à la Direction de l’énergie et des mines de la wilaya de Aïn-Témouchent ont affirmé que la commission chargée du suivi des projets d’investissements a étudié, jusqu’à la fin du mois de mai, 1 451 dossiers relatifs aux projets d’investissements dont 534 ont reçu l’aval de la commission.
Ces projets, qui ont une valeur financière de 124 milliards de dinars, sont répartis sur plusieurs secteurs et permettront de créer 22 130 postes d’emploi. A noter que les mêmes services redoublent leurs sorties sur le terrain pour le suivi des projets lancés en vue de les accompagner et d’endiguer les problèmes qu’ils rencontrent notamment dans la zone des activités à Tamazoura, cette zone qui s’étend sur une superficie de 150 hectares et sur laquelle les responsables tablent pour générer des entrées fiscales pour la commune elle-même et pour la wilaya de Aïn-Témouchent.
Par contre, des correspondances ont été adressées aux investisseurs qui ont bénéficié de parcelles de terrain et qui n’ont pas encore démarré leurs projets, soit à Tamazoura où 24 correspondances ont été adressées aux concernés ou à la zone des activités au chef-lieu de wilaya où 39 autres correspondances ont été envoyées.
Ces investisseurs réfractaires seront remplacés par d’autres investisseurs sérieux en vue de créer des projets réels et assurer des postes d’emploi et, par conséquent, générer des entrées fiscales.
Aménagement de 7 routes menant à des douars et villages à Oued-Sebbah
Les services de la commune de Oued-Sebbah ont décidé d’accorder une importance à l’aménagement des différentes routes reliant les douars et villages rattachés à la commune de Oued-Sebbah et dont le nombre avoisine la trentaine.
Selon M. Hamida Baroudi, président de l’APC, la priorité sera donnée au chef-lieu de commune après la réception d’un projet de raccordement des différents réseaux à l’instar de l’eau potable, l’assainissement et le gaz naturel.
Il faut signaler que l’étude relative à l’aménagement des routes pour 7 groupements urbains a été achevée. Elle concerne Zouaïria, Slaïmia-Raïda à partir de la ville de Oud-Sebbah sur une distance de 11 kilomètres, ainsi que la route menant du douar Ghelaïmia sur une distance de 4 km et la route vers le village de Sidi-Slimane à partir de Oued-Sebbah sur une distance de 3 km, une autre route vers le douar de Ouled-Kaddour à partir de la route nationale sur une distance de 3 km.
Le douar Es-Saïda n’est pas en reste du fait que cette concentration urbaine compte un point important sachant que les camions et engins passent par cette localité qui est distante du cheflieu de commune de 5 bornes kilométriques.
S. B.
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Près de 40 combattants étrangers pro-régime ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi dans des frappes sur des positions du régime dans l’est de la Syrie, soit le raid le plus meurtrier depuis février, selon une ONG.
Ces frappes ont visé la ville d’al-Hari, située près de la frontière irakienne, où des milices étrangères se battent au côté du régime de Bachar al-Assad, dans un pays ravagé par une guerre complexe depuis plus de sept ans. «Trente-huit combattants non syriens dépendant des milices loyales au régime ont été tués», a indiqué à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. L’Observatoire, qui dispose d’un vaste réseau de sources à travers le pays, n’a toutefois pas été en mesure d’identifier l’origine de ces tirs, les plus meurtriers depuis des mois contre les forces du régime d’après l’ONG. Les médias d’Etat syriens ont attribué ces frappes à la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis, une affirmation qui a toutefois été démentie par une source au sein de ces forces antijihadistes. Citant une source militaire, l’agence officielle Sana a affirmé que plusieurs personnes avaient été tuées et blessées par des appareils de la coalition américaine, sans fournir de bilan précis. «Il n’y a pas eu de frappes de la part des forces américaines ou de la coalition dans cette zone», a réagi auprès de l’AFP une source de la coalition, indiquant toutefois «être au courant de frappes (…) ayant tué et blessés plusieurs combattants de Kataëb Hezbollah», une milice chiite irakienne patronnée par l’Iran.
Offensives distinctes
Al-Hari est située dans la province orientale de Deir Ezzor, riche en pétrole, où les forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par les Etats-Unis, et les forces gouvernementales syriennes, appuyées par la Russie, mènent des offensives distinctes contre le groupe Etat islamique (EI). L’EI a perdu l’essentiel du territoire qu’il contrôlait depuis 2014 en Syrie et en Irak. Mais le groupe ultra-radical reste présent dans des zones désertiques transfrontalières, notamment dans la province de Deir Ezzor. Les forces gouvernementales contrôlent les terres à l’ouest du fleuve Euphrate, qui traverse la province de Deir Ezzor, tandis que les FDS se battent pour expulser l’EI d’une série de villages situés sur la rive est, près de la frontière irakienne. Une ligne dite de «déconfliction» qui longe le fleuve est en place depuis 2017 afin d’empêcher tout affrontement entre prorégime et FDS. La coalition, qui intervient en Syrie depuis 2014 pour combattre l’EI, a néanmoins frappé des forces du régime ces dernières années. Le 24 mai, douze combattants pro-régime ont péri dans un raid aérien contre des positions de l’armée syrienne au sud de Boukamal, une ville reprise à l’EI par le régime en novembre dernier et située à quelques kilomètres de la frontière. L’OSDH et des médias d’Etat syriens avait attribué cette frappe à la coalition, mais le Pentagone avait nié. Le 7 février, la coalition a reconnu avoir tué au moins 100 combattants prorégime, dont cinq Russes selon Moscou, dans la province de Deir Ezzor, en représailles à une attaque contre des positions des FDS. En septembre 2016, des raids contre des positions militaires du régime, également dans l’est, avaient coûté la vie à plus de 60 soldats syriens. La coalition avait alors indiqué avoir pris les forces du régime pour des jihadistes.
«Couloir vital»
Les frappes contre al-Hari interviennent au lendemain de la reprise par les FDS de Dachicha, un village situé dans le nord de la province de Hasakeh. Dachicha représentait un «fief important» de l’EI dans cette province et se trouvait sur un «couloir vital» reliant autrefois les territoires des jihadistes en Syrie et en Irak, selon le directeur de l’OSDH. «Pour la première fois en quatre ans, Dachicha, une ville réputée pour le transit d’armes, de combattants (…) entre l’Irak et la Syrie, n’est plus contrôlée par les terroristes de l’EI», a commenté lundi Brett McGurk, l’envoyé spécial du président américain auprès de la coalition anti-EI. Déclenché en 2011 par la répression par le régime de manifestations pacifiques pro-démocratie, le conflit en Syrie s’est complexifié au fil des ans avec l’implication de pays étrangers et de groupes jihadistes, sur un territoire morcelé. Il a fait plus de 350.000 morts et jeté à la rue des millions de personnes.
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La sortie de la première promotion des médecins spécialistes en addictologie est prévue à Constantine en septembre prochain, a fait savoir lundi à Alger la directrice de la prévention et de la communication à l`Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT).
La première promotion de médecins addictologues sortira en septembre prochain à Constantine à l’occasion de l’organisation d’un colloque national sur l’importance de la formation continue des médecins praticiens pour l’amélioration de la prise en charge des toxicomanes, et ce presque deux ans après la création d’une nouvelle spécialité de formation en sciences médicales, à savoir « le Diplôme d’études supérieures en addictologie » au profit des médecins généralistes et de praticiens dans des centres spécialisés à travers le pays, a précisé à l’APS Mme Gueddache Ghania.
Lancée en 2016, cette promotion, première du genre au niveau national, compte une quarantaine d’addictologues spécialisés dans différents types de drogues pour superviser la prises en charge des toxicomanes dans les 40 centres de désintoxication à travers le territoire national, a-t-elle ajouté.
Ces médecins poursuivent actuellement des cours hospitalo-universitaires dans des services spécialisés à Alger et Blida et ils sont encadrés par des médecins algériens et étrangers en vue de renforcer leurs compétences et mettre à leur disposition de nouveaux moyens d’intervention, a indiqué Mme Gueddache.
« La sortie de cette première promotion en cette nouvelle spécialité est le fruit d’un accord interministériel entre les ministères de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière et de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique », a-t-elle encore ajouté.
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GENEVE- Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Zeid Al Hussein a fait état lundi de la disposition de son bureau à suivre « de nouveau et le plutôt possible » la situation des droits de l’Homme au Sahara Occidental à travers l’envoi d’une mission technique et la présentation d’un rapport aux parties compétentes et concernées par la cause sahraouie, et ce conformément à la dernière résolution pertinente du Conseil de sécurité.
Dans un rapport adressé aux travaux de la 38è session ordinaire du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, ouverts lundi à Genève (Suisse), Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme s’est félicité de la résolution 2414, adoptée récemment, par le Conseil de sécurité concernant le Sahara Occidental, « encourageant fortement » le renforcement de la coopération avec le Haut-Commissariat aux droits de l’Homme relevant des Nations unies et ses mécanismes.
A noter qu’un grand nombre d’organisations internationales des droits de l’Homme appellent constamment, depuis 2015, le Haut-Commissariat aux droits de l’Homme à lever la confidentialité sur les rapports relatifs aux visites de sa mission technique au Sahara Occidental entre 2015 et 2016, « et qui relèvent, sans aucun doute, les violations et les atteintes aux droits de l’Homme perpétrées systématiquement par les services militaires et sécuritaires marocains contre les civils sahraouis, notamment les militants des droits de l’Homme et les journalistes « , selon des médias sahraouis.
Le Conseil des droits de l’Homme examine, lors de cette 38è session ordinaire, qui se poursuivra jusqu’au 6 juillet prochain, la situation des droits de l’Homme dans nombre de pays, dont le Myanmar, la Palestine, la Syrie, et le Yémen.
La session portera, en outre, sur un nombre de questions dont les droits de la femme et de l’enfant, la discrimination raciale et le trafic des êtres humains.
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L’aérogare de « Debdaba » qui a été lancée par l’ex-wali et le ministre actuel de l’habitat, devait être l’unique en Algérie à être spécialisée dans le transport de marchandises. Mais malheureusement , en arrivant sur les lieux et a vu d’œil, on aurait cru qu’il s’agit de la construction d’une gare routière, car le premier signe qui nous fait croire qu’il s’agit d’un aérodrome, c’est bien la tour de contrôle or, les travaux de réalisation de celle-ci ainsi que ceux de l’extension de la piste d’atterrissage de 2000m sont complètement à l’arrêt.
En effet, pour un projet livrable en août 2018, il n’y a pas de périmètre de sécurité. Dans ce cas de figure, il est inconcevable de réceptionner une aérogare sans piste d’atterrissage terminée, pourtant il aurait été plus judicieux pour une rentabilité économique et sociable de terminer les travaux en même temps, dire que l’enveloppe financière déjà dégagée du budget de la wilaya s’élève à 100 millions de dinars. Nous avons pris la peine de poser la question aux riverains où est passée l’entreprise qui devrait faire les travaux de la piste. La réponse nous donne froid au dos, et bien cette entreprise a laissé tomber la piste pour un autre projet juste à côté qui est le dédoublement de la route de Souk Ellil et cela est dû à un litige qui reste à vérifier bien sûr avec l’entreprise l’ENNA qui s’occupe de la sécurité de la navigation aérienne dans l’espace aérien algérien et qui aurait fait suspendre les travaux de l’extension de la piste. Ceci dit reste à savoir pourquoi ? Puisque son rôle est la sécurité de la navigation aération dans le pays et s’il y a problème de ce côté-là jusqu’à quand trouvera-t-on la solution pour qu’enfin la wilaya de Mostaganem verra son aérodrome opérationnel vu que la première pierre fut déposée le 24-10-2012. Notons que le taux d’avancement des travaux du terminal de l’aérogare seule chose visible sur les lieux varie entre 60 et 70% livrable dans 2 mois. C’est bien dommage de réceptionner une aérogare sans piste d’atterrissage, pourtant 6 mois se sont écoulés depuis le 28 décembre 2017 lors de la visite de Monsieur Zaalane Ministre des transports à Mostaganem, il a bien insisté on cite : ‘’Notre souci est de livrer chaque projet dans les délais’’.The post Mostaganem: Une aérogare sans piste d’atterrissage appeared first on .
Le mardi 26 juin 2018 aura lieu l’inauguration de la mosquée « Emir Abdelkader »d’Annecy (France), en présence du Préfet de Haute Savoie, du Maire Jean-Luc Rigaut. Un « événement » tant attendu par la population musulmane locale qui espérait la concrétisation de ce projet depuis 13 ans déjà.
Le retard était essentiellement due à l’opposition rencontrée. Le blocage n’émanaient pas uniquement de quelques riverains, mais également de personnes et associations qui n’avaient aucune relation avec le quartier, ni avec la rue, ni avec la région. Ainsi il y avait parmi les opposants des associations connues pour leur positions islamophobes. Elles ont portées leur refus jusqu’à la Cour de cassation pour annuler le projet.
Il faut noter qu’il s’agit de la reconstruction d’une ancienne mosquée (remontant aux années 70) incendiée par un groupe de néonazis.
L’initiative du lancement de cette mosquée a reçu l’appui de l’Ambassadeur Idriss Jazairy, président d’honneur de l’association « Nouvel Avenir » (qui a pris en chage le dossier depuis plusieurs années), en plus de l’homme d’affaires algérien, Djjillali Mehri.
Pour l’architecture de la mosquée, elle a été conçue par Mahieddine Benyoucef, conjuguant modernité et tradition. S’étalant sur une superficie de 1.220m2, la mosquée «Emir Abdelkader» est située à la ville historique et touristique d’Annecy.
Elle peut accueillir plus de 500 fidèles, avec possibilité d’extension jusqu’à au moins 1.000 fidèles. Elle dispose également d’une salle de conférence d’une centaine de personnes et de cinq salles de classe.
Imène AMOKRANE
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La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima-Zohra Zerouati a indiqué lundi que l’Algérie compte relancer le Barrage vert avec des mécanismes scientifiques et techniques précis à même de garantir davantage de protection des régions du Nord et de lutte contre l’avancée des sables.
Invitée au Forum du quotidien Ech-Echaab pour débattre des questions de l’environnement et des enjeux du secteur à l’occasion de la Journée mondiale contre la désertification (17 juin), la ministre a affirmé que le danger croissant de la désertification impose de réfléchir à des mécanismes scientifiques et d’autres techniques en vue de relancer le Barrage vert, qui est à même de garantir davantage de protection dans le cadre de la lutte contre ce phénomène naturel.
Elle a ajouté que l’Algérie, consciente des problèmes environnementaux et écologiques, a appelé cette année à valoriser les projets de protection de l’environnement et à investir dans ce domaine.
Abordant les questions environnementales, la ministre a indiqué que notre pays plaide, à travers ses participations aux rencontres sur l’environnement dans différents pays du monde, pour la réactivation de l’effort environnemental, mettant l’accent sur la nécessité de donner à l’Algérie le temps pour arriver au niveau des pays développés en la matière.
Soulignant que l’Algérie a fait du dossier de l’environnement un secteur vital, Mme. Zerouati a rappelé les articles 19 et 68 de la Constitution 2016 stipulant que l’Etat garantit l’utilisation rationnelle des ressources naturelles ainsi que leur préservation au profit des générations futures et que le citoyen a droit à un environnement sain.
Mettant en avant le renforcement des cadres institutionnel et législatif de l’environnement depuis l’année 2000 avec des lois claires, le ministre a ajouté que l’Algérie est entrée dans l’investissement hors des hydrocarbures, s’appuyant sur la rationalisation des ressources et la mise en place d’un plan d’action afin d’atteindre les objectifs de la transition énergétique.
L’Algérie s’engage à baisser les gaz à effet de serre de 7% à l’horizon 2030 à travers une série de mesures dont l’utilisation du Gaz de pétrole liquéfié(GPL) pour les véhicules et la réduction de l’usage des pesticides chimiques.
Elle a fait savoir également que son secteur s’attèle à l’élaboration d’une carte nationale sur l’effort fourni dans le domaine de l’environnement pour la concrétisation des objectifs du développement durable à l’horizon 2035.
Par ailleurs, Mme Zerouati a indiqué que la politique environnementale en Algérie repose également sur la prise en charge des déchets en tant que source génératrice de richesse et de postes d’emploi, précisant que 13 millions de tonnes par an, font l’objet de tri au niveau national et que 50% de ces déchets sont récupérés.
Relevant que la valorisation des déchets demeure « faible » en Algérie, elle a appelé à œuvrer à l’intensification des efforts en la matière en vue de parvenir au recyclage des déchets et à la création d’une industrie forte dans ce domaine.
Concernant la valorisation des déchets, la ministre a souligné que 2 milliards de dollars ont été investis durant les 15 dernières années, faisant état de la possibilité de la création de 4.000 postes d’emploi à moyen-terme et de 20.000 postes d’emploi à long-terme, uniquement en matière de récupération des déchets.
Soulignant que plus de 2.000 décharges anarchiques ont été éradiquées en l’espace des 10 dernières années, ce qui prouve que l’Algérie a adopté un plan judicieux de lutte contre la pollution environnementale.
Pour ce qui est des Centres d’enfouissement technique (CET), la ministre a révélé que 34 wilayas seront dotées en stations d’épuration mobiles au niveau des CET en vue de prévenir la pollution.
Elle a rappelé que des textes réglementaires sont en cours d’élaboration pour mettre en place un système » Eco-collecte » ou collecte écologique pour encourager les entreprises à investir le domaine de la récupération et du recyclage du plastique.
Elle a, à ce titre, déclaré que ce système permettra de créer un environnement favorable aux petites entreprises pour la récupération et le recyclage du plastique.
Concernant les énergies renouvelables, Mme Zerouati a indiqué que son département soutient et valorise la politique de promotion de l’utilisation des énergies renouvelables hors réseau, indiquant que 60% des besoins en énergie renouvelables hors réseau sont exprimés par les agriculteurs, selon un sondage effectué par le ministère entre novembre 2017 et mars 2018.
A ce propos, Mme Zerouati a souligné que son département œuvre avec le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales à la concrétisation de ce projet au niveau des communes, faisant état, d’autres parts, de la tenue de rencontres avec le ministère de l’Agriculture sur la diversité biologique.
En réponse aux questions des journalistes sur l’opération de reboisement, la ministre a expliqué que les programmes de reboisement existent au niveau de toutes les wilayas et que son département encourage cette opération, faisant état d’une coopération avec le ministère de l’Education pour la participation de 7 millions d’élèves aux opérations de reboisement, et ce de manière graduelle.
Concernant la pollution, Mme Zerouati a indiqué que l’Algérie est l’un des pays non responsables de la pollution existante.
Elle a fait état, par ailleurs, de la fermeture de 13 unités industrielles à cause de la pollution, ce qui reflète la détermination du ministère à lutter contre la pollution sous toutes ses formes.
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Le Conseil de la Nation a arrêté lors d’une réunion de son Bureau le programme de ses travaux jusqu’à la clôture de sa session le 2 juillet prochain, indique un communiqué du Conseil.
Le bureau du Conseil de la nation a tenu lundi une réunion, présidée par M. Abdelkader Bensalah, président de cette instance parlementaire, pour arrêter le programme des travaux de la période s’étalant du 27 juin au 2 juillet 2018, précise la même source, qui annonce la reprise des travaux à partir du mercredi 27 juin par une première plénière consacrée à la présentation et au débat du projet de la loi organique fixant les conditions et modalités de mise en œuvre de l’exception d’inconstitutionnalité et du projet de loi organique relatif à l’Académie algérienne de la langue amazighe.
Le Conseil poursuivra ses travaux le 28 juin en séance plénière consacrée à la présentation et au débat du projet de loi de finance complémentaire (PLFC) 2018.
La séance de dimanche 1 juillet sera consacrée au vote du PLFC 2018, du projet de la loi organique fixant les conditions et modalités de mise en œuvre de l’exception d’inconstitutionnalité, du projet de loi organique relatif à l’Académie algérienne de la langue amazighe, du projet de loi modifiant et complétant l’ordonnance 71-28 portant Code de Justice militaire, ainsi que le PLFC 2018, a ajouté la même source.
Une réunion de l’instance de coordination est prévue le 1 juillet, tandis que la clôture de la session parlementaire ordinaire du Conseil de la Nation 2017-2018 a été décidée, après consultation entre les bureaux des deux chambres du Parlement et le gouvernement, pour lundi 2 juillet 2018.
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Le Haut représentant de l’Union africaine (UA), Donald Kaberuka, effectue une visite en Algérie pour discuter avec les autorités algériennes des propositions du président en exercice de l’UA, Paul Kagamé, sur la réforme de l’Organisation continentale, indique lundi un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
« Le Haut représentant de l’Union africaine (UA), Donald Kaberuka, a été dépêché à Alger par le Président rwandais, président en exercice de l’UA, Paul Kagamé, pour discuter avec les autorités algériennes des propositions du président Kagamé, chargé par ses pairs de superviser le processus de mise en œuvre de la réforme de l’UA », précise la même source.
« Ces propositions portent notamment sur la rationalisation des modes de gestion et de l’action de l’Organisation continentale et des nouvelles modalités de son financement », souligne le communiqué.
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Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, a affirmé lundi à Alger que le ministère public avait mis en mouvement l’action publique dans plusieurs wilayas au sujet des appels à la violence contre les femmes relayés récemment sur les réseaux sociaux.
Il a entre autres indiqué qu « aucune pitié ne sera manifestée à l’égard de ceux qui veulent faire revenir l’Algérie à la décennie noire (90) et la destruction du pays », a-t-il soutenu. « Pour ce qui est de l’utilisation des réseaux sociaux pour diffuser la violence contre la femme, le ministère public a mis en mouvement une action publique dans plusieurs wilayas et l’auteur de ces crimes a été identifié et placé en détention », a déclaré le ministre en réponse aux questions des députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) concernant la loi organique fixant les modalités d’application de l’exception d’inconstitutionnalité.
Il a affirmé que l’instruction « se poursuit pour déterminer l’identité des autres instigateurs », mettant en garde les jeunes contre « ce genre de comportements ». « Toute action punie par le code pénale entraine une mise en mouvement systématique de l’action publique par le ministère public qui protège les intérêts du peuple », a assuré M. Louh, qui a relevé que l’Algérie « dispose d’une instance compétente et des techniques pour l’identification du coupable ».
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Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya a affirmé que toutes les conditions de mise en œuvre du projet de loi organique relative aux lois de finances, présenté lundi devant le Conseil de la nation, seront réunies à l’horizon 2023.
Répondant aux questions et préoccupations des membres du Conseil de la nation, lors du débat ayant suivi la présentation du texte, le ministre a indiqué que la modernisation de l’administration des finances et le parachèvement de la numérisation de l’ensemble de ses services se déroulent à un bon rythme et prendront fin avant 2023, date prévue pour l’entrée en vigueur du nouveau texte.
Le premier argentier du pays a assuré, à ce propos, que le nouveau texte conférera au Parlement davantage de prérogatives en matière de contrôle et opérera de profonds changements dans la gestion des deniers publics.
Alors que plusieurs intervenants se sont éloignés de l’objet du texte en débattant de questions relatives à l’économie en général, d’autres se sont interrogés sur la capacité de l’administration des finances à appliquer les conditions de ce texte complexe.
Intervenant dans ce cadre, le sénateur Noureddine Belatrech (Front de libération nationale « FLN ») a mis en avant l’urgence de rattraper le retard qu’accuse les administrations algériennes en matière d’informatisation, tandis que le sénateur Abdelkader Mouloukhoua (Rassemblement national démocratique « RND ») a dit craindre que l’application de la loi « soit confrontée » aux conséquences de ce retard.
Le membre du Conseil, Hachemi Djiar (désigné) a indiqué que la réussite de mise en de la loi dépendra de l’efficacité des personnes chargées de son application et de leur capacité à distinguer l’essentiel du secondaire sur le plan socio-économique.
Pour sa part, Nouara Saadia Djafer (désignée) a salué les larges prérogatives que confère le texte au Parlement en matière de contrôle et de suivi du travail du Gouvernement.
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