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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Sidi-Bel-Abbès: Installation du nouveau procureur général

Mon, 07/30/2018 - 16:23

Dans la matinée d’hier, l’inspecteur général, M. Tayeb Benhachem, du ministère de la Justice, a présidé, en présence des magistrats, des autorités locales et de la presse, une cérémonie d’installation du nouveau procureur général près la cour de Sidi-Bel-Abbès, s’agissant en l’occurrence de M. Boucherafa Tayeb, en remplacement de M. Djelloul Lahcen Mohamed. Ce nouveau procureur désigné à la tête de la cour de Sidi-Bel-Abbès a, auparavant, occupé les fonctions de procureur général adjoint au niveau du tribunal de Aïn-Témouchent et bien avant, il était magistrat au niveau du tribunal de Sidi Bel-Abbès.
A. M.

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Relizane: La placette, un espace totalement dégradé

Mon, 07/30/2018 - 16:20

Plusieurs habitués de la placette nous ont saisis pour signaler à l’autorité compétente, et particulièrement la chef de l’exécutif, la situation désastreuse dans laquelle baigne l’endroit, appelé affectueusement par eux «la placette».
Rien ne va plus dans cet espace censé accueillir les familles et les enfants du quartier ou de passage pour y respirer un air sain à l’ombre des arbres séculaires.
En parlant d’arbres, certains d’entre eux sont en train de dépérir en attendant que les autres suivent faute de soins et surtout d’arrosage. Les saletés qui jonchent ces endroits sont pour la plupart issues des terrasses de cafés qui cernent la place. Au pied de ces arbres, nous avons vu des cartons de jus, des paquets de cigarettes vides, des mégots à profusion et le marc de café qui y est abandonné en grande quantité.
Il y a lieu de penser, d’ores et déjà, à trouver une solution pour sauver cet espace dont les plates-bandes sont totalement dégarnies, malgré le geste fait par certains habitants du quartier qui ont essayé de planter quelques arbustes décoratifs mais les actes de vandalisme y ont mis fin.
L’histoire du petit rosier planté par un ancien du quartier est toujours présente dans les esprits car à chaque fois qu’un bouton de rose apparaissait, une main indélicate l’arrachait. Entouré d’un grillage et arrosé quotidiennement, il n’a pas échappé à l’indélicatesse des passants. Alors, la solution adoptée a été de repiquer le rosier dans son jardin afin qu’il échappe aux prédateurs. Pourquoi pas alors une grille de protection autour de la place et en interdire l’accès durant le temps requis pour son aménagement ? Les habitants du quartier promettent de la protéger et de veiller à sa propreté.
Cette solution avait été adoptée pour la placette et a donné des résultats appréciables.
A. Rahmane

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Hattab:”Nous sommes meilleurs dans l’organisation que l’Espagne!”

Mon, 07/30/2018 - 16:16

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab n’a pas pu digérer la pluie de critiques qui s’est abattue sur le comité d’organisation des Jeux africains de la jeunesse (JAJ) qu’a abrités l’Algérie du 18 au 27 juillet dernier, indiquant que l’Algérie a assuré une meilleur organisation que l’Espagne, pays hôte des Jeux méditerranéens qui se sont déroulés en juin dernier.

Intervenant lors d’une conférence de presse donnée dimanche au Centre international de conférences (CIC) Abdellatif Rahal, le ministre de la Jeunesse et des Sports a estimé qu’il ne fallait surtout pas s’arrêter sur de petits détails pour ternir l’image de l’Algérie, estimant que ce qui était arrivé à l’un des membres de la délégation tunisienne était un acte isolé.

Pour le ministre, il serait tout à fait naturel de relever quelques insuffisances lors de chaque manifestation, soutenant que l’Algérie avait réussi dans l’organisation de la 3e édition des JAJ et serait démarquée de certains pays en matière d’organisation, dont l’Espagne. “Nous avons participé aux Jeux méditerranéens à Tarragone et notre délégation s’est égarée à cause d’un problème d’organisation.  D’ailleurs, plusieurs délégations s’en sont également plaintes”, a-t-il dit.

Et Hattab d’enchaîner:”Cette édition est synonyme du succès et les insuffisances n’ont pas pris le dessus sur les résultats obtenus comme le témoignent des délégations en dehors de l’Algérie…Nous avons réussi à organiser ces Jeux et les critiques étaient simplement injustes”.

Par ailleurs, l’interlocuteur n’a pas manqué de piquer les fédérations qui n’ont obtenu aucune médaille, affirmant que son département a mobilisé tous les moyens pour une meilleure préparation des athlètes. “A l’avenir, décrocher une médaille sera obligatoire d’autant plus que nous offrons tout ce dont les athlètes et les fédérations ont besoin”, a-t-il insisté.

Bilal Ouahab / Traduit par: Moussa. K.

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Convention des Nations Unies et de l’Union Africaine contre la corruption: Les ratifier, pour quoi faire ?

Mon, 07/30/2018 - 16:13

L’Office des Nations unies contre le crime et la drogue (UNODC), dont le siège est à Vienne, a piloté, de 2001 à 2003, le processus de rédaction de la Convention des Nations unies contre la corruption, Uncac, selon l’acronyme anglais. Le 15 décembre 2000, sous l’égide des Nations unies, 124 pays sur les 148 représentés ont signé une convention contre la criminalité transnationale organisée.

L’Uncac, adoptée en 2003, est entrée en vigueur en décembre 2005 — trois mois  après le dépôt de la 30e ratification —, l’Algérie l’ayant ratifiée en 2004.
Ce texte vise à lutter plus efficacement contre les mafias en renforçant la coopération entre les États et en harmonisant leur législation. Parmi les engagements contenus dans le document, on note : «incriminer la participation à un groupe criminel organisé, le blanchiment d’argent, la corruption et l’entrave au bon fonctionnement de la justice».
Ces quarante dernières années, les Nations unies ont adopté de nombreuses résolutions et recommandations contre la corruption. Il faut rappeler la résolution 3514 de l’Assemblée générale, en date du 15 décembre 1975, dans laquelle l’Assemblée condamnait, entre autres, toutes les pratiques de corruption, y compris les actes de corruption commis par des sociétés transnationales.  Au sein du Conseil économique et social des Nations unies, dont le siège est aussi à Vienne, en Autriche, il existe une «commission pour la prévention du crime et pour la justice pénale» qui traite notamment des questions de corruption et de crime organisé.
En 2001, les Nations unies devaient réunir les représentants de ses États membres et des partenaires internationaux pour adopter une nouvelle convention contre la corruption. Le 2e Forum mondial sur la lutte contre la corruption, qui a eu lieu à La Haye du 28 au 31 mai 2001, aux Pays-Bas, devait contribuer à la préparation de l’initiative des Nations unies. On y a abordé les questions d’intégrité et de bonne gouvernance, l’application des lois, les douanes, la corruption, la transition et le développement, et enfin le gouvernement et le monde des affaires. Après des travaux préparatoires et près de deux années de négociations formelles à Vienne, échelonnées sur sept sessions, la cérémonie de signature de la Convention des Nations unies contre la corruption a eu lieu à Mérida, au Mexique, du 9 au 11 décembre 2003.

L’alibi de la protection de la souveraineté
La lecture de cette convention a été  source d’espoir comme de déception. Du côté de l’espoir peuvent être mises en avant l’étendue et la diversité des sujets traités. Tout ce qui touche de près ou de loin à la corruption semble avoir été abordé tant au niveau des mesures préventives que des incriminations, des questions relatives à la confiscation et à la saisie, à la coopération internationale, à la restitution des fonds détournés…  Nettement plus décevantes sont les précautions de vocabulaire qui semblent retirer toute force contraignante à cette convention : «d’une manière compatible avec les principes fondamentaux de son système juridique», «selon qu’il convient», «peut adopter», «dans toute la mesure possible dans le cadre de son système juridique interné»… Si l’on ajoute à cela les dispositions qui apparaissent dès l’article 4 sur la protection de la souveraineté, l’inquiétude gagne. Cet article rappelle avec vigueur les principes de l’égalité souveraine, de l’intégrité territoriale et de la non-intervention dans les affaires intérieures d’autres Etats. Aussi serait-il facile de se laisser convaincre que cette convention n’est qu’un instrument illusoire. N’oublions pas toutefois que ce texte, sur lequel un grand nombre d’Etats se sont mis d’accord, est le signe que la corruption est enfin perçue, au plus haut niveau international, comme un mal contre lequel il faut lutter. Plus encore, les négociations serrées auxquelles cette convention a donné lieu sont la preuve que les Etats considèrent que la signature d’une telle convention pourrait un jour leur être opposée, tant par leur population que par d’autres Etats ou par des institutions internationales.

Crise au sein du Comité consultatif africain
La plus grande évolution sur le continent africain a été l’adoption au mois de juillet 2003 — lors du Sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine à Maputo, au Mozambique ­—­­ de la Convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
L’entrée en vigueur de cette dernière requiert 15 ratifications.  L’Algérie est le 15e pays africain à avoir ratifié cette convention (juillet 2006) : elle est entrée en vigueur en août 2006.
La convention entend renforcer l’arsenal juridique de la lutte contre la corruption en établissant la liste de tous les délits qui devraient être sanctionnés par la législation nationale, en matière de corruption, et en présentant des mesures permettant de les détecter et de les instruire.  La convention délimite également la juridiction des États-parties, définit l’assistance juridique mutuelle en matière de lutte contre la corruption et infractions assimilées, encourage l’éducation et la sensibilisation du public sur les effets néfastes de la corruption et offre un cadre pour le contrôle et la supervision de son application. Une faiblesse de cet instrument est   qu’elle laisse à chaque signataire l’option de renoncer à certaines des dispositions, voire à l’ensemble de celles-ci.
Concernant le mécanisme de suivi — défini par l’article 22 —, la CUA a prévu la création d’un «comité consultatif sur la corruption et les infractions assimilées» au sein de l’Union africaine.  Composé de 11 experts, ce comité a pour fonction principale de «promouvoir et d’encourager l’adoption et l’application de mesures de lutte contre la corruption», en établissant notamment «des partenariats avec la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, la société civile africaine, les organisations gouvernementales et non gouvernementales, afin de faciliter le dialogue sur la lutte contre la corruption et les infractions assimilées». Mais ce «comité consultatif» n’a pas brillé par son efficacité depuis sa création : plus grave, il y a quelques semaines, un de ses membres les plus éminents a démissionné avec fracas, confirmant  publiquement la paralysie de cette structure… C’est dire que l’adoption et la ratification de ces conventions n’est pas une fin en soi, surtout quand la volonté politique à les traduire en actes concrets est inexistante.

Office central de répression de la corruption
Le gouvernement veut le réformer

Selon une dépêche de l’APS (Algérie presse service), le ministre de la Justice, gardes des Sceaux, a annoncé, jeudi 19 juillet 2018, à Tipasa, la formation d’un groupe de travail restreint début septembre prochain qui se chargera de la «réforme» de l’Office central de répression de la corruption (OCRC), et ce, dans le but de «consolider davantage les mécanismes à même de contribuer à la lutte contre ce phénomène». «Il est devenu impératif de réactiver les mécanismes de prévention qui est de la responsabilité de tous les secteurs et de la société de façon générale et qui est considérée comme l’un des moyens efficaces de lutte contre la criminalité», a-t-il ajouté. Créé par une ordonnance du chef de l’Etat le 26 août 2010, l’OCRC a pour mission d’effectuer des recherches et des enquêtes en matière d’infractions de corruption. Les infractions en matière de corruption  prévues par la  loi du 20 février 2006 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption relèvent de la compétence des juridictions à compétence étendue conformément aux dispositions du code de procédure pénale. Les officiers de police judiciaire relevant de l’OCRC exercent leurs missions conformément aux dispositions du code de procédure pénale et de la loi du 20 février 2006.

Installé 3 ans après sa création
Leur compétence territoriale s’étend sur tout le territoire national en matière d’infractions de corruption et des infractions qui leur sont connexes.
Il a fallu attendre trois longues années pour que l’OCRC soit installé, en 2013, alors que son directeur général — Abdelmamek Sayeh— avait été nommé en… 2011. Placé à ses débuts sous la tutelle du ministère des Finances, il sera «récupéré» en 2014 par le ministère de la justice.
Un décret présidentiel signé le 8 décembre 2011 précisera que l’OCRC peut recourir à l’auto-saisine en exploitant les informations rapportées par la presse ou par d’autres sources, comme il peut être saisi par l’Inspection générale des finances, la Cellule de traitement du renseignement financier, les commissions nationales des marchés, les services de police ou encore par de simples citoyens.
En avril 2016, un nouveau directeur général, Mohamed Mokhtar Rahmani,  est nommé à la tête de l’OCRC. Ce dernier dispose de l’autonomie d’action et de gestion (décret présidentiel du 23 juillet 2014) ; son directeur général établit le rapport annuel d’activités de l’Office qu’il adresse au ministre de la Justice.
Deux arrêtés interministériels fixent le nombre d’officiers et d’agents de la police judiciaire relevant des ministères de la Défense nationale et de l’Intérieur (10 pour chacun des deux ministères) mis à la disposition de l’OCRC, arrêtés signés le 10 avril 2012.
Djilali Hadjadj

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Canicule: Ruée vers les villes du littoral tlemcénien

Mon, 07/30/2018 - 16:13

C’est un phénomène nouveau, beaucoup de familles originaires du Grand Sud (Adrar, Tamanrasset, Béchar) cherchent à fuir la grande canicule, en trouvant refuge au nord, où la température est plus clémente. Ces familles ne viennent pas spécialement pour la fraîcheur des plages au bord de la mer, mais elles cherchent à louer des appartements dans les villes de l’Ouest pour toute la durée de l’été.
Ces familles ont pris l’habitude de venir à Aïn-Témouchent ou à Tlemcen, dès les premières chaleurs, passer leurs vacances, parfois chez des proches, qui à leur tour sont pris en charge lors des vacances d’hiver dans le Sud algérien. Ce genre d’échange existe depuis longtemps, mais il a tendance à s’intensifier ces dernières années et tout le monde trouve son compte.
M. Zenasni

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Aïn-Témouchent: Les parasols envahissent la plage de Terga

Mon, 07/30/2018 - 16:12

La plage de Terga est la destination la plus prisée par les citoyens de la wilaya de Aïn-Témouchent et même par ceux venant des wilayas avoisinantes. Cependant, cette plage, outre le fait de payer le parking à 100 dinars au lieu de 50 dinars annoncé pompeusement avant l’ouverture de la saison estivale, il n’y a pas un lieu où les estivants peuvent poser leurs propres parasols, tant des parasols de ceux qui gèrent les espaces existants envahissent toute la longueur de la plage ; le simple estivant est sommé de payer le prix du parasol et des chaises qui occupent tout l’espace. Heureusement que cette situation n’est pas générale à travers les plages de la wilaya, puisque à 10 minutes de cette plage de Terga, on peut aller à la plage de Chatt el-Hilal, connue péjorativement par Oued el-Hallouf (la rivière du sanglier). Là, l’estivant trouvera toutes les commodités nécessaires pour passer un séjour agréable, les parkings sont gratuits, les parasols et les chaises sont à la disposition des estivants qui le désirent, le sable doré attirera des centaines, voire des milliers de personnes à cette belle plage dont la sécurité est assurée pour tout le monde.

La waâda de Sidi Saïd : une opportunité pour des réconciliations
La fête traditionnelle annuelle de Moulay Tayeb a pris fin hier au quartier populaire et populeux de Sidi Saïd, une fête qui a duré 3 jours complets et qui a drainé la grande foule des quatre coins de la wilaya et même d’autres wilayas environnantes.
De nombreuses troupes folkloriques venant de plusieurs wilayas du pays dont celles du Sud algérien ont pris part à cette manifestation culturelle qui est considérée comme un lieu de rencontre et de réconciliation pour les gens qui avaient des différends par le passé.Le dernier jour de cette waâda, des défilés des troupes folkloriques ont eu lieu à la place du 9-Décembre-1960 au centre-ville de Aïn-Témouchent .
Le vice-président de l’association de Sidi Saïd M. Belkadi Mohamed dira à propos de cette fête que cette manifestation culturelle est organisée chaque année,elle est accompagnée par la danse de Touat et sous les salves de baroud, il ajoutera que c’est une opportunité de rassembler tout le monde pour prier et réciter le Coran ainsi que pour réunir les gens qui étaient en conflit en vue de les réconcilier. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine.
S. B.

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Mostaganem: Un baigneur gravement blessé par un jet-ski

Mon, 07/30/2018 - 16:08

Un baigneur âgé de 25 ans a été, avant-hier vers 16h45 mn, violemment percuté par un jet-ski dans une zone interdite à la baignade, tout près de la plage de Sokhra à l’est du chef-lieu de wilaya.
La victime qui souffre d’une grave blessure à la tête a été évacuée à l’hôpital de Sidi Lakhdar où elle est gardée en observation. Le pilote de l’engin a été localisé et appréhendé par les gendarmes.
Ce énième accident de la mer rappelle une fois de plus la nécessité et l’urgence de l’installation de balises délimitant la zone de navigation de ces engins.
Abder Bensadok

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El-Bayadh: Un cadavre retiré du fond d’un puits

Mon, 07/30/2018 - 16:08

Les éléments de la Protection civile de la wilaya d’El-Bayadh ont retiré, dans la journée de samedi dernier, le corps sans vie d’un jeune homme du fond d’un puits d’irrigation, sis dans une exploitation agricole dans la commune de Sidi-Slimane.
La victime a été transférée à la morgue de l’hôpital d’El-Bayadh; cependant une enquête a été aussitôt ouverte par la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de cette disparition tragique, a-t-on appris.
B. Henine

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Secousse tellurique de magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter à Boumerdes

Mon, 07/30/2018 - 15:35

ALGER- Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée lundi à 10h32 dans la wilaya de Boumerdes, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L’épicentre de cette secousse a été localisé à 8 Km au nord-ouest de Zemmouri (sur mer) dans la même wilaya, précise la même source.

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Investissements touristiques dans la wilaya de Béjaia : Le ministre du Tourisme appelle à la levée des blocages

Mon, 07/30/2018 - 13:05

Sur les lieux, le premier responsable du secteur a donné une instruction pour faciliter les procédures administratives aux investisseurs dans le secteur du tourisme.

En visite de travail et d’inspection, hier, dans la wilaya de Béjaïa, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a appelé les autorités locales “à lever tous les obstacles et les blocages” qui freinent le lancement de pas moins de 56 projets prévus dans le secteur du tourisme à travers le territoire de la wilaya.
Selon M. Benmessaoud, Béjaïa dispose de ressources humaines, d’un savoir-faire et d’un riche passé historique.
Des atouts qu’il faut conjuguer pour faire du tourisme la locomotive du développement dans la wilaya. Et c’est dans ce sens qu’il a plaidé pour l’investissement dans les stations thermales, sources de revenus non négligeables pour les communes, tout en rappelant, au passage, que le pays compte quelque 282 stations thermales fonctionnelles. À Amizour, où il a effectué sa première halte, le ministre du Tourisme a inspecté le projet de réalisation d’un hôtel privé initié par Moussa Garet dont le taux d’avancement est de 55%.  Lancé en 2015 après la levée de quelques contraintes bancaires, ce projet prévoit la réalisation d’un établissement hôtelier de 578 lits et 63 chambres. D’un coût de quelque 1,3 milliard de dinars, sa réception est prévue pour l’année prochaine. Sur les lieux, le ministre Benmessaoud a donné une instruction pour faciliter les procédures administratives aux investisseurs dans le secteur du tourisme. La tournée du ministre s’est poursuivie à Melbou où il a inspecté les travaux de réalisation de la résidence touristique le Remora appartenant à Mouloud Ouazene. D’une capacité d’accueil de 374 lits, la structure hôtelière, dont l’ouverture est prévue pour l’année prochaine, a coûté 850 millions de dinars et générera quelque 250 postes d’emploi, indique-t-on. Après l’inauguration de l’hôtel Tababort d’une capacité d’accueil de 90 lits à Souk El-Tenine, le ministre du Tourisme s’est rendu à Aokas où il a visité la nouvelle plage autorisée à la baignade, Achrit.
Lors de sa virée dans cette station balnéaire, le ministre a été accueilli par des citoyens qui l’ont interpellé sur la menace qui pèse sur la bande boisée d’Aokas, où sont prévues plusieurs structures hôtelières dans le cadre du Calpiref. Ces derniers ont saisi l’occasion de cette visite pour réclamer l’annulation pure et simple des projets initiés par le très controversé ex-wali Ahmed Hamou Touhami, dans le cadre du Calpiref. Ensuite, la délégation officielle s’est dirigée vers la commune limitrophe de Tichy, où elle a inauguré la résidence touristique Mersel-Hocine de 104 lits et effectué une visite du projet en cours de réalisation de l’hôtel El-Moudayna de Mourad Djermani, d’une capacité d’accueil de 154 lits.  Dans la même ville, M. Benmessaoud a eu droit à la présentation du projet de modernisation de l’hôtel Les Hammadites appartenant à l’Entreprise de gestion touristique de l’Est (EGTE). La visite du ministre s’est clôturée dans la ville de Béjaïa par la visite d’une exposition et une inspection des projets de réalisation de trois structures hôtelières. Il s’agit de l’hôtel Le Belvédère de 125 lits, de l’hôtel Azemour, au lieudit Les Oliviers, d’une capacité d’accueil de 200 lits et enfin celui de Yougarithene Palace, sis à la Brise de mer, d’une capacité de 252 lits.

H. KABIR

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Absence de hauts responsables aux obsèques de Bencherif: Les habitants de Djelfa dans la rue

Mon, 07/30/2018 - 13:01

Par Moncef Wafi

Djelfa ne décolère toujours pas, sa population continuant de protester contre l’absence de représentants du gouvernement à l’enterrement, mardi dernier, de l’une des figures nationales, le colonel Ahmed Bencherif.

Ainsi, des milliers de personnes ont participé, hier, à une marche populaire, scandant des slogans hostiles au pouvoir. La foule a brandi des banderoles sur lesquelles il était, notamment, inscrit «Bencherif est plus grand que vous». Le cortège, qui a sillonné les rues de Djelfa, a voulu s’émanciper de toute tentative de récupération partisane ou associative rappelant le caractère «populaire» de la marche.

L’absence de hauts responsables de l’Etat aux funérailles d’Ahmed Bencherif, ancien patron de la Gendarmerie nationale, a provoqué la colère des Djelfaouis. L’affront est tel que pour exprimer leur colère face à ce manque de considération qualifié d’«impardonnable», les habitants de la région se mobilisent sur les réseaux sociaux et menacent même de boycotter les élections présidentielles de 2019. Pour les gens de la région, ce qui s’est passé le jour de l’enterrement de Bencherif est synonyme de «mépris» et de «marginalisation» envers la population des Ouled Naïl.

En guise de réparation, ils exigent la présence de hauts responsables à l’occasion du quarantième jour de sa disparition et de lui rendre hommage pour ses exploits et sa participation à l’édification de l’Etat algérien, après l’indépendance. Un communiqué des «notables et libres» de la wilaya, rendu public, samedi dernier, avait considéré l’absence d’officiels à l’enterrement du colonel comme un «affront» et une «hogra».

Pour rappel, deux jours après les obsèques, une délégation ministérielle, conduite par le ministre de l’Intérieur, Nourredine Bedoui, s’était rendue sur la tombe du défunt. La foule, visiblement très remontée contre le gouvernement, avait encerclé la délégation officielle, tout en scandant des slogans hostiles, compliquant les déplacements des ministres, même lors de leur sortie du cimetière. Ahmed Bencherif a été inhumé dans l’après-midi de mardi dernier, après la prière d’El Assar, à Hassi Bahbah, dans la wilaya de Djelfa. Selon sa dernière volonté, il a été enterré aux côtés de son père et de sa mère au cimetière de Ain Maabed. Issu d’une famille de notables de la grande tribu des Ouled Nail, Bencherif a eu droit à des obsèques à la mesure de sa notoriété. Le wali de la wilaya de Djelfa a dû écourter son congé annuel et a été contraint de reprendre du service pour organiser les obsèques du défunt. Ainsi, les autobus du transport universitaire de la wilaya ont été réquisitionnés pour assurer le transport des nombreuses personnes qui se sont déplacées des différentes communes de Djelfa pour assister à l’enterrement. La famille du défunt a également, préparé plus de 4.000 repas pour les personnes venues des différentes régions du pays présenter leurs condoléances à la famille Bencherif. Premier commandant de la Gendarmerie nationale de l’Algérie indépendante, Bencherif est décédé le 21 juillet, à Paris, à l’âge de 91 ans. Ancien colonel de l’ALN, il a été condamné à mort par l’armée coloniale. Après l’indépendance de l’Algérie, il a été ministre de l’Environnement.

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Oran: 13 harraga interceptés au large d’Arzew

Mon, 07/30/2018 - 13:00

Par K. Assia

Lors d’une patrouille en mer, les gardes-côtes ont intercepté, hier matin, à 6 miles marins, au nord-ouest d’Arzew, un groupe de 13 candidats à l’émigration clandestine. Ces jeunes ont embarqué, à partir de la plage de Cap Carbon et avaient l’intention de rejoindre les côtes espagnoles, mais les gardes- côtes, à bord d’une vedette, ont avorté cette tentative d’émigration clandestine. Les jeunes ont été conduits au port d’Arzew et une enquête a été ouverte pour déterminer les tenants et aboutissants de cette affaire.

Les forces navales de la façade maritime ouest ont mis en échec depuis le lundi dernier, plusieurs tentatives d’émigration clandestine, à partir d’Oran, Mostaganem et Ghazaouet. Pas moins de 77 ‘harraga’ ont été interceptés, depuis lundi à ce jour, à l’ouest du pays.

En début d’année, une commission présidée par le wali d’Oran et composée des services des gardes-côtes, de la gendarmerie et de la sûreté de la wilaya d’Oran, avait été installée afin de plancher sur le phénomène de l’émigration clandestine, étudier son évolution et dégager des solutions pour lutter contre ce fléau. Les services de sécurité dont les éléments du Groupement de la gendarmerie et la sûreté d’Oran ont, pour leur part, renforcé leur dispositif sur la terre ferme. Souvent, ces jeunes qui tentent l’aventure font appel à des réseaux d’intermédiaires qui leur procurent embarcation et carburant contre d’importantes sommes d’argent. A Oran, 8 réseaux de passeurs ont été démantelés par les services de la sûreté de la wilaya dont un à Sidi Lahouari.

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Des douaniers formés à identifier les fraudeurs

Mon, 07/30/2018 - 12:59

Par K. Assia

Une cinquantaine d’agents douaniers relevant des quatre inspections divisionnaires d’Oran port, Oran extérieur, d’Arzew et d’Ain Témouchent ont suivi, hier, une formation portant sur l’identification des fraudeurs autrement dit comment reconnaître toute infraction et procéder ainsi à des contrôles ciblés, lors du traitement des voyageurs.

Ce stage de perfectionnement concerne les douaniers exerçant au service de la visite des voyageurs y compris celui des brigades. Trois thèmes ont été animés à l’occasion dont celui relatif à la communication présenté par la sous-directrice de l’informatique et de la communication. Le second thème porte sur le cadre législatif et réglementaire pour le traitement des voyageurs et a été animé par le sous-directeur du contentieux et du recouvrement, alors que la troisième communication a été consacrée aux techniques de renseignements douaniers animée par le chef de la cellule du renseignement douanier et de l’investigation. Le but de cette formation, initiée par la direction générale des Douanes algériennes est de permettre aux agents des douanes d’identifier l’infraction et le fraudeur surtout lors de la saison estivale où un couloir vert est mis à la disposition des voyageurs.

Certains n’hésitent pas à recourir, cependant, à ces mesures de facilitation pour introduire des produits prohibés ou autres ce qui explique les motivations de cette formation explique-t-on. Outre l’identification de la fraude, il s’agit aussi de maîtriser les textes de loi et aussi bien communiquer.

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Tlemcen: Le littoral pris d’assaut par des familles du sud du pays

Mon, 07/30/2018 - 12:57

Par Khaled Boumediene

Le littoral de la wilaya de Tlemcen (73 km) fait face actuellement à un rush sans précédent des centaines de familles venues des wilayas des Hauts plateaux et du grand sud du pays.

Ce phénomène touche même les wilayas littorales avoisinantes d’Aïn Témouchent, Oran et Mostaganem, à cause de la vague de chaleur qui frappe cet été la partie sud du pays qui connait parfois des températures supérieures à 40°C. Elles ont même dépassé les 50 °C par endroits.

Fuyant ce climat étouffant et caniculaire, de nombreux citoyens d’Ouargla, Adrar, Tindouf, Tamanrasset, Timimoune, Béchar et d’El Bayadh, Ain Sefra, Naama et Mecheria ont pris d’assaut les plages de Marsa Ben M’hidi, Moscarda 1 et 2, Ain Adjroud, Sydna Youchaâ, Agla, Tafsout, Oued Abdellah, Bider, Ouled Benayad et même les plages de Sidi Maârouf, Bir El Malah et M’khelled non autorisées à la baignade pour y passer leurs vacances.

« Jamais une si importante masse de vacanciers des wilayas du grand Sud n’avait auparavant envahi les villes côtières et les plages surveillées et non surveillées de la wilaya», dit-on à la direction du tourisme de Tlemcen.

Ces familles du Sud logent dans des maisons privées, des hôtels, des pavillons, des chambres et même dans des garages loués à fort prix. Certaines familles ont même édifié, ces dernières années, leurs habitations sur des lots de terrain achetés chez des privés à Honaine, Marsa Ben M’hidi (Chaib Rasso), Ain Adjroud, Souk Tleta et Sidna Youchaa pour y passer leurs vacances au bord de la plage durant la saison estivale. D’autres jeunes passent leurs nuits à même leurs voitures garées dans les rues et boulevards.

Une grande partie de ces familles passent des séjours de 1 à 3 mois. «La chaleur de cette année je ne l’ai jamais vécue, et ce n’est pas pour rien que je suis ici moi et ma famille. Le quotidien est difficile pour les habitants du Sud en cette période de fortes chaleurs, ils souffrent jour et nuit. Là-bas, ce n’est pas comme ici, il y a la fraîcheur et le climat doux, il y a des pics de chaleur en pleine journée et les températures sont toujours élevées la nuit, et même les climatiseurs ne fonctionnent pas à cause de la chaleur. Adrar ma ville, par exemple, est une véritable fournaise, et ses habitants suffoquent, accablés par cette chaleur de l’été où il fait toujours aussi chaud en cette fin du mois de juillet.

On est comme dans une grosse marmite en train de cuire sans faire le moindre effort, et on n’a ni lieu aquatique, ni aucun espace de villégiature ou refuge pour échapper à la canicule », se lamente un enseignant-retraité de la ville d’Adrar rencontré à Honaine. Un autre habitant de Tindouf interrogé sur le prix de location de son appartement à Marsa Ben M’hidi, a indiqué à notre journal que « L’essentiel pour moi et ma famille est de fuir la fournaise et passer l’été à la fraicheur. D’ailleurs, tous les ans, je ramène ma famille ici à la plage de Port-Say que j’aime bien, car il y a beaucoup de possibilités pour louer un logis et puis elle est très animée la nuit, il y a une belle ambiance, la sécurité et toutes les commodités nécessaires aux estivants ». Pour joindre l’utile à l’agréable, ces familles du Sud se rendent durant leur séjour à la ville de Tlemcen pour visiter les sites et lieux historiques et le plateau de villégiature de Lalla Setti, et faire leurs emplettes au prestigieux espace commercial de la Kissaria jouxtant la Grande Mosquée du centre-ville où règne tout au long de la journée une activité commerciale intense avec prédominance d’un public féminin qui s’affaire dans les différents magasins de tissus, bijoux et objets artisanaux. Beaucoup de ces familles font aussi un détour vers les merveilleuses grottes de Beni-Add à Ain Fezza (20 km à l’Est de la ville des Zianides), pour admirer les splendides stalactites formées par dame nature depuis presque 65 000 ans.

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Constantine – Hamma Bouziane: La réalisation d’un château d’eau à l’arrêt depuis 7 ans !

Mon, 07/30/2018 - 12:54

Par A. Mallem

La semaine passée, les habitants de la ville de Hamma Bouziane ont été confrontés à un manque d’eau potable suite à un problème de refoulement intervenu au niveau d’une conduite principale qui était bouchée.

Selon les services de la Seaco qui ont été interrogés à ce sujet, le problème a été réglé mercredi dans la soirée par l’équipe technique de cette société. N’empêche que la ville enregistre toujours un déficit en la matière et un habitant de cette localité sur deux reçoit l’eau potable dans son robinet domestique, nous ont affirmé des citoyens de cette ville.

« Cela dure depuis presque 7 ans », nous a-t-on affirmé, en racontant que cette ville dispose de deux châteaux d’eau, l’un assez ancien qui continue toujours à approvisionner la ville, mais il ne suffit pas aux besoins de toute la population. « Alors que le nouvel ouvrage hydraulique, ont poursuivi nos interlocuteurs, a été construit dans le quartier des carrières de pierres et il n’a pas été réceptionné depuis l’année 2011 quand il fut achevé, soit 7 ans !», ont-ils affirmé. Selon eux, cette carence est due à la découverte, après coup, d’une malfaçon dans les vannes qui devaient prendre l’eau de ce château. Et depuis lors, il a été laissé à l’abandon.

Nos interlocuteurs se sont demandé pourquoi cette autre carence des gestionnaires des affaires de la cité qui les ont privés d’eau durant tout ce temps. Nous avons posé la même question au président de l’assemblée populaire communale de Hamma Bouziane, M. Abderrezak Filali, et celui-ci a répondu en affirmant que l’ouvrage était géré auparavant par le secteur de l’urbanisme et de la construction et ce secteur n’était pas arrivé à obtenir un financement pour ce projet. «Maintenant, a indiqué le maire, l’APC a décidé de prendre à son compte de terminer ce projet qui sera financé sur le budget communal. L’entreprise qui a été chargée de le terminer et de le rendre fonctionnel vient d’être installée». Aussi, ajoute le maire, «bientôt le problème du déficit en eau de la ville de Hamma Bouziane sera réglé».

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Constantine – Sit-in de demandeurs de logements devant le siège de la daïra

Mon, 07/30/2018 - 12:53

Par A. El Abci

Des dizaines d’habitants de la vieille ville (Souika, Rabein Echarif, Casbah), qui n’ont pas bénéficié de relogement et qui ont déposé des recours, se sont rassemblés hier devant le siège de la daïra pour réclamer l’affichage de la liste des cas recours ainsi que celle du recensement de 2011.

Selon leur représentant, B. Fouad, qui est en même temps président de l’association « Ichrak el moustakbal », qui n’est pas encore agréée mais dont le dossier a été déposé, il s’agit de 300 cas de familles composées de célibataires de plus de 40 ans, de nouveaux mariés, d’oubliés de recensement, de femmes vivant seules… etc., qui n’ont pas eu d’appartements et qui on fait des recours, comme cela leur a été demandé. Et de poursuivre que le problème qui se pose a trait à la liste du recensement de 2011, qui n’a jamais été affichée et qui est toujours tenue au «secret », dans les tiroirs, malgré le fait qu’elle soit à la base des attributions de logements. «C’est sur la base des données de la liste de recensement en question, que le travail de la daïra est mené en matière de distribution de logements, selon une déclaration du premier responsable de cette dernière, qui nous été faite auparavant», dira-t-il. Et de souligner que, toujours d’après ce responsable, tous les nouveaux mariés avant 2018 ont droit au relogement et le problème qui se pose pour eux ne consiste pas en l’année du mariage, mais juste dans le fait qu’ils figurent ou pas dans la liste de recensement de départ.

« Seule cette liste peut nous indiquer qui a droit et qui n’a pas droit au relogement parmi les 300 cas de familles qui ont déposé des recours, dont ce que l’on appelle les nouveaux mariés représentent la plus grosse partie avec près de 50 cas», dira-t-il encore.

Notre interlocuteur fera savoir également que le cas des attributions de 1.762 logements aux habitants de la vieille ville, demeure un gros point d’interrogation devant le refus persistant de l’affichage de la fameuse liste de recensement 2011.

En effet, notera-t-il, il est impossible de savoir sur quelle base ces attributions ont été effectuées et ce, s’il y a des intrus ou si au contraire elle est indemne de cas de Passe-droit.

En fin de matinée, le chef de daïra s’est montré disposé à recevoir les protestataires, sans cependant le secrétaire général de l’association, chose que les concernés ont refusé. Ils ont alors décidé de se disperser non sans promettre de revenir plus nombreux la prochaine fois.

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Skikda: Chaussée inondée et gaspillage par des fuites d’eau

Mon, 07/30/2018 - 12:50

Par A.Boudrouma

A la cité Mohamed Bouchama, dans la partie Est des monts de Béni Malek, en cette période estivale, l’eau coule à flots… Pas dans les robinets en tous cas ! Bien sûr que non, cela aurait été trop beau d’ailleurs, ici, comme dans d’autres cités certainement, les gens ont été beaucoup plus habitués à une distribution parcimonieuse de cette précieuse ressource. En effet, ces derniers temps tous les matins que Dieu fait, les habitants de cette partie de la ville pourtant très prisée n’en finissent pas de râler car confrontés au ruissellement incessant d’énormes quantités d’eau en provenance de canalisation d’AEP fuyardes situées à l’amont.

‘’Dès qu’on ouvre les vannes pour alimenter en eau le quartier, c’est le cauchemar qui s’installe même au sein des foyers. On attendra ainsi de longues heures jusqu’à la fermeture de ces vannes et souvent l’eau s’écoule avec un grand débit n’épargnant rien sur son passage. Certains riverains qui nous ont contactés témoignent que cette situation qui dure pourtant depuis plus de deux mois n’interpelle pas grand monde. Ils ont soutenu « nous avons bien réclamé auprès des responsables de l’ADE à maintes reprises mais aucune mesure n’est venue concrétiser leurs vagues promesses sans lendemain… ».

Sur le terrain, il est aisé de constater de visu, non seulement l’énorme gaspillage d’eau fournie à partir de la station de dessalement d’eau de mer mais aussi les dégâts occasionnés à la chaussée qui est devenue impraticable par endroits surtout à proximité de la polyclinique. Le comble c’est que des riverains se plaignent aussi des infiltrations plus ou moins importantes qui parviennent jusque chez eux occasionnant des dégâts à leurs habitations et « tout semble indiquer que la solution à ce problème n’est pas pour demain au vu de la fuite en avant adoptée par tous les responsables concernés contactés, à commencer par l’ADE ! ».

Selon les explications que l’on nous a fournies, les importantes fuites d’eau sont localisées au niveau de l’ancienne chambre de vannes située plus haut. Un des habitants a soutenu « certes, un projet de réalisation par l’ADE d’une nouvelle chambre de vannes a vu le jour, les travaux ont été entamés, l’ouvrage devait être d’ores et déjà terminé mais pour des raisons qu’on ignore il n’est pas encore prêt! ». En tous cas, affirme-t-on, les grosses quantités d’eau qui continuent à se déverser sont en train d’aggraver la situation.

Le problème a été largement relayé à travers les réseaux sociaux avec force détails et photos à l’appui. Et malgré cela, les citoyens ne désespèrent pas de voir une intervention énergique des autorités pour remettre les pendules à l’heure en mettant fin au gaspillage d’eau et à leur calvaire.

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Air Algérie: Les techniciens gèlent leur grève

Mon, 07/30/2018 - 12:47

Respectant la décision de la justice, le syndicat national des techniciens de maintenance de la compagnie algérienne Air Algérie, a annoncé le gel du préavis de grève.

Rappelons que le SNTMA avait déposé un préavis de grève le 9 Juillet, pour une grève illimitée à partir du 31 Juillet 2018.

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Constantine – Habitants de la ferme des 3 Martyrs: Ni logement social, ni rural !

Mon, 07/30/2018 - 12:41

Par A. M.

A l’évidence, les habitants de la ferme des 3 Martyrs située à Chaabersas, sur la route secondaire, pratiquement à mi-chemin entre la ville de Constantine et la ville d’El-Khroub, se trouvent dans une situation peu enviable.

« Nous sommes totalement coincés car nous ne pouvons obtenir ni l’aide de la Caisse nationale du logement (CNL) au titre de l’habitat rural malgré le fait que nous possédons les décisions d’attribution qui nous ont été délivrées par les secteurs concernés, ni ne pouvons faire valoir notre prétention au logement social car, aux yeux de la CNL, nous avons bénéficié du logement rural. Il y a parmi nous des citoyens qui ont établi des dossiers pour le logement social depuis l’année 1995 et, à cause de cette situation, ils n’ont obtenu de logement dans aucun des programmes qui sont passés. Voilà en clair notre situation, une situation qui, faut-il le dire, ne manque pas d’ambiguïté», nous a expliqué succinctement hier le responsable de l’association de quartier de la ferme les 3 Martyrs, M. Zermani Yazid.

Ce dernier a commencé par expliquer la genèse de l’affaire en affirmant que les riverains avaient bénéficié au cours de l’année 2012 de près de 270 décisions d’attribution au titre du logement rural, décisions qui ouvrent droit au bénéfice de l’aide de l’Etat de 120 millions de centimes.

« Il y a quatre mois de cela, a-t-il dit, nous avons reçu la visite du président de l’APC et du chef de la daira de Constantine. Et ce dernier nous avait rassurés en nous disant qu’il n’y a pas de problème sur ce dossier du logement.

Il nous demanda alors de lui remettre la liste des gens qui préfèrent être fixés sur leurs terres et bénéficier du logement rural, et ceux qui optent pour le logement social. Nous avons exécuté sa demande en lui remettant les listes demandées. Par la suite, nous avons tenté à plusieurs reprises d’être reçus dans son bureau, mais sans résultat. Le 10 du mois de juillet dernier, nous l’avons rencontré lors d’une audience qui nous avait été accordée par le P/APC de Constantine, et le chef de daïra nous a surpris fortement en nous déclarant qu’il ne peut nous donner de logement rural et que les décisions que nous possédons n’ont plus de valeur, ni de logement social, et encore moins procéder à la régularisation de notre situation.

« Je n’ai rien à vous donner», nous a-t-il déclaré textuellement. Que devons-nous comprendre maintenant ? Nous avons adressé une pétition au wali par l’intermédiaire d’un élu de l’APW et d’après ce dernier, le chef de l’exécutif de la wilaya devrait nous répondre sous quinzaine.

Nous attendons sa réponse ». Et à la fin, notre interlocuteur nous a signalé que ses concitoyens de la ferme des 3 Martyrs ne cessent de protester à travers les chaînes de télévision privées qu’ils reçoivent pratiquement au rythme d’une chaîne par semaine pour leur raconter leur « mésaventure » avec le dossier du logement.

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Constantine – Affaire de l’abattoir clandestin: Des peines entre 3 mois et 3 ans de prison, deux relaxes

Mon, 07/30/2018 - 12:38

Par A. Zerzouri

  Mis en délibéré dimanche 22 juillet, le verdict dans l’affaire de l’abattoir clandestin, qui a défrayé la chronique le premier jour du ramadhan dernier, est tombé hier.

La cour de Constantine a prononcé des peines allant de 3 mois à 3 ans de prison, alors que deux accusés ont bénéficié de la relaxe. Le ministère public avait, pour sa part, requis le maintien de la condamnation prononcée par le tribunal de première instance. Rappelons que les 8 accusés, âgés entre 29 et 57 ans, qui comparaissaient dans cette affaire pour les chefs d’inculpation de « constitution de groupe de malfaiteurs, création d’un abattoir clandestin, possession de vaches, d’agnelles et même d’un mulet à l’effet de les égorger pour leur commercialisation, mise en vente de viandes impropres à la consommation constituant un danger pour la santé humaine ainsi que l’utilisation d’un sceau d’estampillage falsifié», ont été condamnés à 5 ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de première instance.

Et, hier, à la suite de l’appel interjeté par les concernés, et à l’issue du réquisitoire sévère du ministère public, qui a rappelé les graves actes commis par les accusés et leur danger sur la santé publique, ainsi que les plaidoiries des avocats, qui ont globalement plaidé l’innocence de leurs clients, la cour de Constantine a rendu son verdict, condamnant trois accusés à 3 ans de prison ferme, deux autres à 2 ans de prison ferme et un sixième accusé condamné à 3 mois de prison ferme, alors que deux autres accusés ont été relaxés, selon une source proche de la défense, constituée de plusieurs avocats.

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