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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Un président d’association tire la sonnette d’alarme: Des malades mentaux dangereux errent dans la ville

Sun, 02/10/2019 - 10:45

A. Zerzouri

  Dans une lettre adressée aux autorités locales, dont copie est en notre possession, le président de l’association «El Hayat», Mourad Benlarbi, tire la sonnette à propos des dangers que représentent les nombreux malades mentaux, qui errent dans le centre-ville, portant des gourdins et même des couteaux. «Tous les citoyens l’ont constaté ces derniers temps, les malades mentaux sont de plus en plus menaçants, ils s’attaquent aux passants, surtout aux femmes, allant jusqu’à porter atteinte aux mœurs», nous dira M. Mourad Benlarbi. Ajoutant qu’il a été témoin d’une scène où un malade mental, d’un comportement très violent, menaçait les gens avec un couteau.

«Nous avons alerté les autorités compétentes, administrative et judiciaire, pour prendre en charge ces cas, car leur place n’est pas dans la rue mais dans un centre psychiatrique», dira-t-il. «Et les familles de ces malades, où se cachent-elles, si l’on tient compte du fait que les centres psychiatriques n’ont pas la capacité de prendre en charge tous les malades mentaux ? C’est désolant de le relever, mais les familles abandonnent dans la rue leurs malades atteints de troubles psychiques, fait constater notre interlocuteur, chose qui augmente encore leur agressivité». Les malades mentaux sont souvent pris à partie par les jeunes qui les taquinent, allant jusqu’à les agresser et prendre la fuite, provoquant un sentiment de peur et une réaction défensive chez le malade, le poussant à chercher à se défendre par tous les moyens, d’où le recours aux armes blanches pour pouvoir se défendre contre les agresseurs.

Selon le docteur H. Rabah de l’hôpital psychiatrique de Djebel El Ouahch, le malade mental n’a pas automatiquement un comportement violent, et si tel est le cas, il faut voir quels sont les facteurs qui ont transformé son comportement et l’ont rendu dangereux. Citant dans ce sillage une probable perturbation dans la prise des doses de médicaments et autres influences de la rue sur la santé mentale déjà mal en point, non sans relever particulièrement l’abandon des malades par leurs familles, qui « enfonce le clou de la solitude et des souffrances du malade», dira-t-il. Pour sa part, le président de l’association «El Hayat» demande une intervention rapide pour trouver une solution à ce problème qui inquiète à plus haut point les citoyens. «Nous craignons le pire si on ne s’occupe pas rapidement de ce problème», soulignent les termes de la correspondance adressée au wali et aux autorités judiciaires.

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Massinissa: L’appel des habitants des 45 logements LSP

Sun, 02/10/2019 - 10:43

A. E. A.

     Les habitants des 45 logements LSP «Boulberdaa», situés en face du marché de Massinissa, se plaignent du comportement de nombreux commerçants informels de fruits et légumes, qui squattent l’espace devant le marché en question en y exposant leurs produits et ce, dans une pagaille totale, disent-ils. Selon leur représentant et vice-président du comité de quartier desdits logements, B. Hamoudi, «c’est infernal ce que nous vivons», affirme-t-il, sur un ton plein de colère, contre la situation pénible qui est devenue la leur, malgré eux, et aussi à cause de l’inaction des autorités locales.

Et d’indiquer d’abord qu’il y a lieu de savoir qu’il s’agit de près d’une trentaine de commerçants informels, vendant tous genres de fruits et légumes dans des camionnettes. Ils investissent les lieux très tôt la matinée et ne les quittent, pour certains d’entre eux, qu’en fin d’après-midi, alors que d’autres y demeurent jusqu’à la tombée de la nuit.

Et toute cette période est émaillée par des cris, des invectives, des prises de bec entre eux et même des bagarres, blasphémant et se lançant des gros mots. En outre, notre interlocuteur parlera de la saleté qui est un peu partout, car en partant, les marchands laissent les lieux jonchés de restes des fruits et légumes. Le résultat se traduit par des émanations de mauvaises odeurs. En plus, les nombreuses camionnettes stationnées obstruent les accès aux logements des riverains et au marché couvert, mais aussi gênent énormément la circulation des piétons comme des véhicules.

«Nous avons fait plusieurs démarches auprès de la police d’El Khroub, qui nous ont répondu qu’il faut s’adresser au commissariat de Massinissa. Malheureusement, dit-il, le problème reste entier et insupportable pour les habitants des 45 logements «Boulberdaa», et nous ne savons plus quoi faire.

Nous avons frappé à toutes les portes et il ne nous reste que celle du wali à laquelle nous y pensons sérieusement dans le sens de tenir un sit-in, ou se suffire d’une lettre de protestation», avoue-t-il.

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Alger: Inauguration de la nouvelle aérogare le 24 février prochain

Sun, 02/10/2019 - 10:35

La nouvelle aérogare d’Alger sera inaugurée à la fin du mois de février en cours, rapporte le site d’information Huffpost Algérie.

Cette nouvelle infrastructure aéroportuaire, qui devait ouvrir ses portes aux passagers en juillet 2018, offrira une capacité de 10 millions de voyageurs par an, et a coûté plus de 80 milliards de dinars, précise le média.

Par ailleurs, les passagers pourront emprunter cette nouvelle aérogare à partir du lendemain de l’inauguration en question, le 25 février prochain.

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Assainissement des listes électorales: Près de 600.000 électeurs au niveau de la wilaya

Sun, 02/10/2019 - 10:34

A.El Abci

       Les commissions administratives des APC n’ont reçu, jusqu’à maintenant, aucun recours au titre de la période fixée pour l’opération d’assainissement des listes électorales, soit du 7 au 11 du mois de février en cours, nous a indiqué, hier, le directeur de la réglementation et des affaires générales (DRAG) de la wilaya de Constantine, Chellali Dekkiche. Ajoutant que plus de 10.000 nouveaux inscrits et plus de 7.000 radiations ont été enregistrés durant cette période qui s’est étalée sur 15 jours et s’est achevée mercredi dernier, 6 février.

Soulignant qu’en conséquence, les préparatifs pour la présidentielle du 18 avril se font dans de bonnes conditions et sans accrocs majeurs. L’opération de la révision exceptionnelle des listes électorales, ajoute-t-il, a vu la réquisition de tous les moyens humains et matériels nécessaires et s’est déroulée dans une organisation sans faille. «Et cela, ajoute-t-il, en considération que notre administration centrale nous a dotés de plusieurs applications électroniques qui ont donné de grands effets sur l’opération d’assainissement des listes électorales». Et de faire savoir ainsi que le corps électoral au niveau de la wilaya a atteint, selon un bilan préliminaire, 587.821 électeurs.

Tandis que les nouvelles applications électroniques mises à disposition par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales ont permis la radiation de 7.977 cas et l’inscription de 10.446 nouveaux inscrits surtout au niveau des deux nouvelles villes de Ali Mendjeli et Massinissa, dit-il. Et d’affirmer que « les cas des familles relogées dans ces deux nouvelles villes ont été pris en charge par le moyen de la nouvelle application concernant les transférés, ce qui a nous permis de traiter au cours de cette période plus de 12.000 cas.

Tous ces cas ont été présentés aux juges, note-t-il, qui président les commissions administratives communales (composées d’un magistrat, du P/APC et du secrétaire général de la commune concernée ainsi que deux électeurs de cette dernière désignés par le juge), qui ont procédé après les vérifications nécessaires aux dites inscriptions et radiations.

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Cheikh Sekkal Abderrahmane (1910-1985): Un grand nom de la littérature musicale andalouse en Algérie

Sun, 02/10/2019 - 10:32

El Hassar Salim

     L’art musical andalou fait partie d’une passionnante odyssée avec ses grands poètes, ses musiciens et ses esthètes. Au panthéon de l’histoire de cette musique figurent de grands noms de poètes mais aussi des maîtres qui ont joué un rôle important, en tant que passeurs contribuant à rendre sa mémoire impérissable.

Le maître Si Abderrahmane Sekkal est l’une de ces figures sym boliques du mouvement contemporain des Jeunes cultivés de la nouvelle génération des artistes épris du patrimoine. Doté d’une vaste culture littéraire, musicale et poétique, il est dans le paysage impliqué par l’avènement de l’homme nouveau, parmi les membres de l’élite qui va entrer en scène pour jouer un rôle de défenseur de l’héritage, à l’aube du XXe siècle. Favorisé par son confort, en tant que rentier, il fit le choix d’un travail que personne n’osait faire: celui de fouiller la mémoire des anciens musiciens, encore en vie, à un moment où le grand maître Cheikh Larbi Bensari dominait, seul, la scène de cette musique après la disparition de Mohamed Benchaâbane dit Boudelfa, Ménouar Benattou, maâlam Médioni dit ‘Maqchiche’, les Frères Mohamed et Ghaouti Dib, Mouley Djilali Ziani…

Le souci de protection du legs musical a certes, il faut le signaler, figuré parmi les préoccupations d’homme de lettres, d’esthètes et même de ‘faqihs’-mélophiles dont nous citerons Ibn Dhurra Trari tilimsani al-andaloussi (m. en 1875), Cheikh Mohamed Benmérabet (m. en 1880), Cadi Choaib Aboubekr (1843-1927) comptant parmi les figures savantes issues de la médersa « Tachfiniya » détruite, comme on le sait, trente ans après l’occupation coloniale définitive de la ville, en 1842. Le faqih Mohamed Benmerabet est l’auteur de « Kitab djawahir al-hissan » (Les perles de la sagesse), datant de 1855, découvert à la bibliothèque de Paris, publié en 1882, S.N.E.D, annoté par le professeur Abdelhamid Hadjiat, de la faculté de Lettres d’Alger. Le manuscrit d’Ibn Dhurra datant de 1868 revêt un intérêt plus particulier compilant les œuvres poétiques entrant dans la composition classique des noubas : m’çader, btaïhi, dardj ou inçiraf codifiées de la sorte depuis le XVe s, une musique dont on a tendance à remonter l’apparition à Zyrieb. La musique dite andalouse telle léguée à ce jour, par les musiciens–passeurs, est en vérité, le produit d’un processus d’inventivité, de reproduction et surtout de production continue, quintessence du génie des poètes et des artistes, jusqu’au XIXe siècle.

Elève d’une des premières écoles libres fondées par le savant « azharite» Mohamed Bouaroug à Sidi al-Djabbar et de la médersa en tant qu’auditeur libre. Si Abderrahmane Sekkal fréquente ensuite les Nawadis dont la mission se situant entre traditionalisme et modernité, nationalisme et libération, il était influencé, à son époque, par divers courants situés entre «Renaissants» et «Rénovants» et dont Tlemcen n’était pas un terrain neutre et qu’un certain conformisme a fait, malheureusement, disparaître de la vie culturelle, à l’indépendance. Ces lieux d’une belle expérience, connurent de beaux jours, motivant partout les jeunes à une prise de conscience.

Les «Nadis», espaces d’une belle expérience jamais renouvelée

C’est au milieu éclectique du «Nadi islami», créé en 1924, qu’il fut gagné à l’option, celle de protéger le patrimoine. C’est en qualité tout d’abord d’esthète qu’il va s’intéresser à l’histoire de cet art, puis en tant que poète avant de venir à la pratique de la musique. C’est en scrutant la mémoire de cette musique qu’il en vint à découvrir ses variantes traditionnelles tombées dans l’oubli jusqu’à se distinguer par son répertoire unique, ne se laissant pas enfermer dans une tradition et une culture tout en les maîtrisant parfaitement. Ses émules notent que « dans sa nonchalante élégance, il n’avait besoin ni d’admiration ni de l’opinion des autres et qu’il ne cherchait point à tomber dans le piège des musiciens se faisant appelés «grands maîtres». Ils ont gardé de lui le souvenir d’un homme de culture, doué d’une initiation parfaitement synchrone, accompagnant chaque nouba d’explications sur son déroulement, sa composition.

Cheikh Abderrahmane Sekkal était en bonne fréquentation au sein du milieu de l’élite ,dans l’éveil et la prise de conscience où la recherche de l’identité apparut comme un mouvement de libération. «Nadi islami» lui offrira l’occasion de rencontres décisives avec de grands noms de la musique andalouse dont Cheikh Moulay Djilali Ziani – Chérif (1850-1934) de la lignée Ménouar Benattou, un maître d’une généalogie musicale à part, représentant un autre style d’école à Tlemcen. Le professeur Abdelkader Mahdad, féru de culture andalouse, se mêlant également de politique avec Ferhat Abbès, est là, pour encourager sa quête de patrimoine et préfacer l’anthologie que Si Mohamed Bekkhoucha et Si Abderrahmane Sekkal vont, ensemble, publier, intitulée : «Nafh al-azhar» (Senteurs des fleurs ou Printanières), à Tétouan, en 1934.

En hommage à leur maître, Cheikh Mouley Djilali Ziani: «Une longue pratique de l’art oral a donné à Cheikh Mouley Djilali Ziani un savoir étendu et sûr. A l’âge de dix ans, il débutait en qualité de guitariste (kouitra) dans la troupe du célèbre Ménouar Benattou où il acquit, bien vite, une brillante renommée. Aujourd’hui, artiste accompli, il n’a pas moins de quatre-vingts ans partagés entre les fêtes et les voyages au Maroc, à Alger et dans le Sud. Son langage, émaillé de nos plus riches expressions, est plein d’enseignements pour qui aime l’arabe». C’est auprès des derniers musiciens de la génération des vieux maîtres de la fin du XIXe siècle, à savoir Cheikh Mouley Djilali Ziani Chérif (1850-1934) dont il restait, encore, quelques représentants Mâallem Abdelkader Kermouni Serradj (1855-1946) et Maallem Mohamed Tchouar (1845-1933), de généalogie musicale différente étant, chacun d’eux, disciple soit du Maalem Médioni Ichou (1800-1899) dit Maqchiche, des frères Ghaouti (1830-1917) et Mohamed Dib (1832-1915) ou Cheikh Ménouar Ben Attou (1800-1875) et qui possédaient, chacun, son style et un répertoire propre, que le jeune Abderrahmane va faire son apprentissage.

«L’école de Cheikh Mouley Djilali Ziani expliquait Cheikh Abderrahme Sekkal accordait une valeur intellectuelle aux textes poétiques et cela, selon une tradition très ancienne de la chanson», c’est la mémoire musicale des grands maîtres; M’naouer Ben Attou (1800-1875) et Mouley Djilali Ziani (1850-1934) qui s’est perpétuée avec ses variantes, son goût mais aussi, sa richesse aux plans, tant de la mélodie que du rythme. Avec ces maîtres, les mélomanes reconnaissaient plus de pureté et d’originalité, à l’interprétation musicale de la nouba, attachés à la sacro-sainte tradition, opposés à toute velléité de mode.

Des connaissances spécifiques de l’aire culturelle du « Gharnati »

Cheikh Abderrahmane avait du sens pour produire des mots, en tant que poète-compositeur. Il entretenait avec la musique andalouse des liens de goût et de plaisir. Il doit surtout sa vaste maîtrise de l’héritage andalou à un musicien d’une mémoire exceptionnelle, mais aussi une bibliothèque vivante de la musique traditionnelle, sur ses différents volets et arcanes classiques, voire Cheikh Mouley Djilali Ziani-Chérif (1850-1934). Il parlait de ce maître « d’une grande humilité », disait-il avec condescendance, fier d’être un de ses derniers disciples. Il était très détaché à la société des musiciens de l’époque, pratiquant lui, l’art pour l’art, détendeur d’un patrimoine d’une variété très riche, plus riche encore que celle, reconnaît Abderrahamane Sekkal, de son contemporain héritier de Cheikh Mohamed Benchâabane dit Boudelfa (1840-1914), de la fin du XIXe s, Cheikh Larbi Bensari (1860-1964). Il était détenteur de la tradition d’un autre maître d’école Mâalem Ménouar Benattou (1800-1875), Disciple de Hadj Hammadi Baghdadli (1780-1860), dont la vie fut partagée, entre Fès et Tlemcen.

Ce vieux maître était, aussi, très présent parmi les maîtres de la «Ala» et reconnu pour avoir vulgarisé la « çanaa-gharnata», au Maroc et introduit dans le répertoire musical algérien les œuvres des grands aèdes marocains du «Malhoun», du XVI et XIXe siècles. Il fit introduction de ces chansons dans le genre musical populaire de standard dit «Gherbi» toponyme faisant référence à la région de l’oriental au Maroc. Cheikh Ménouar Benattou laissa au Maroc de nombreux disciples continuateurs de sa tradition de spécificité de l’aire culturelle du «Gharnati», entre autres, Cheikh Abdelaziz Tlemçani et Cheikh Mohamed Benghabrit, membres de l’orchestre représentant la «Ala» marocaine dirigée par Cheikh Omar Djaïdi, au congrès, sur le thème de la musique arabe, au Caire, en 1932… De la même école appartenait la lignée des maîtres juifs dont, Rouch Makhlouf dit «B’taïna» (1850-1931), Ibého Bensaïd (1889-1972), Joseph Benguennoun dit Zouzou (1890-1972) qui finirent, pour la plupart, leur vie à Rabat, Tétouan, Oujda, Salé… au Maroc.

Le professeur Kamal Malti reconnaît l’existence d’autres styles à Tlemcen «… Mâallem Abdelkader Karmouni Serradj, la figure emblématique de Mouley Djilali Ziani semblent avoir représenté, témoigne-il, une tradition sinon différente du moins complémentaire de celle transmise par Cheikh Larbi Ben Sari…».

Le «Gharnati», un art en partage sur plusieurs variantes

C’est en effet, dans cette autre tradition de l’école musicale andalouse de Tlemcen que puise le savoir de Cheikh Abderrahmane Sekkal, cet érudit qui adoubait particulièrement le jeu du «rebab» et de la «kouitra» et qui se distinguait par sa culture et son goût personnel affiné. Il affectionnait de parler de littérature et de musique et, de ce fait, il était en affinité avec les hommes de lettres vivant en son temps. La spécificité du répertoire musical andalou de Cheikh Abderrahmane Sekkal varie, à la fois, en rythmes avec l’usage, à titre d’exemple, du « K’sid maraba’a » (4/4) et l’exercice de chants d’auteurs classiques tels Ibn Sahl Al-andaloussi, Lissan eddine Ibn El-Khatib, Ibn Zoumrouk Al-andaloussi, Abi Djamaa Et-Talalissi Et-tilimçani, Ibn Khamis Et-tilimçani, Ibn Nachit….

Le système de rythmes appliqué aujourd’hui à l’interprétation des séances ou noubas porte l’empreinte de l’héritage de Cheikh Larbi Bensari qui, par sa seule présence, pendant près d’un siècle, sur la scène scène musicale, a fini par imposer son style, au détriment d’autres formes d’expression préexistante et dont on retrouve les traces chez d’autres maîtres descendants des autres lignées musicales qui pratiquaient l’usage du rythme dit «m’rabaa» (4/4) qu’utilisait rarement cheikh Larbi Bensari, sinon dans ses enregistrements, les années «30».Le maitre de Abderrahmane Sekkal était surtout sollicité pour les concerts classiques de goût en compagnie des mélomanes connaisseurs. Par sa culture musicale originale, il était le seul à faire ombrage, pour nombre de morceaux, à Cheikh Larbi Bensari qui , depuis la disparition des grands maîtres Mohamed Benchaabane dit Boudelfa, les frères Dib, Moulay Djilali Ziani, Mâllem Karmouni Serradj… dominait jusqu’à la fin de sa vie, la scène musicale, à Tlemcen. Avec Cheikh Moulay Djilali Ziani, Cheikh Abderrahmane Sekkal a appris à exécuter sous d’autres registres «m’çedrine», «dradj» et «btaihiate»…

Les mélomanes se rappelleront des concerts familiaux et privés où Cheikh Abderrahmane Sekkal, avec sa voix chaude et son rebab, égrenant des zadjals inédits, entrant dans la composition de nouba «maya». Prisant particulièrement le mode «Mouel», les séances pouvaient durer des heures et des heures, exécutant sur plusieurs variantes des « M’cedrine » ou chants à temps lent et autres: «Btaihiate», «Dradj»…

Un patrimoine inédit de chants

Son répertoire comptait des pièces inédites, telles: «Nouar Banafsedj Bada» (m’çeddar rasd), «Akhbirouni ma li mahboubi wa mal» (m’çedder rasd),» «Layali es-saoud» (m’çeddar dil), «Ya ghazali rouf bil wissal» (m’ceddar rasd ed–dil), «soultan al-ghouzlan» (m’çeddar sika), une autre version de « salli houmoumek» (m’ceddar zidane),»Ach yaamal al–achek meskin» (m’ceddar reml al-achiya), «Sel mandaran fi douja talala» (m’eddar ghrib), «Kamli fi sabili el gharam» (m’eddar raml maya)… Philanthrope et fin mélomane, il éprouvait, le plus souvent, aussi le plaisir d’exécuter en public les «R’biiyate» (les Printanières) du patrimoine des poètes populaires tlemceniens Said ben Abdallah El Mandassi, Ahmed Bentriqui, Mohamed Ben M’Saïeb, Mohamed Bendebbah… et aussi, marocains. Son penchant était surtout porté sur les œuvres des grands auteurs du «zadjal» de l’école poétique de Grenade et de Tlemcen, du XIV et XVe s, tels Ibn Sahl, Ibn al-Khatib, Ibn Nâchit et Abi Djama’a Talalissi tilimsani… voire respectivement: «Hal dara dhab el hima», «djadaka al-ghitou», «Açabani mard al hawa»…

Il fut le dernier interprète de la célèbre poésie chantée du poète populaire du «zadjal-Beldi» tlemcenien Said al-Mandassi auteur d’al-Akikia» (la Cornaline), un trésor de beauté et de littérature, restée, malheureusement, inédite à ce jour. En tant qu’acteur au sein du mouvement des «Nawadis» ou cercles à Tlemcen dont «Nadi Islami», créé en 1924, Cheikh Abderrahmane Sekkal a participé au mouvement de renaissance, mobilisant l’élite, les années «30».A l’indépendance, il fut pionnier en créant, à Oran, en 1964, la première association musicale «En-Nahda», avec Hadj Hammou Ben Tabet et Mustapha Bendimered, formant une pléiade de talents et maîtres reconnaissants dont Benali Bensmail, Fethi Tabet, Mokhtar Allal, le défunt Amine Mesli, Dr Yahia Ghoul, à la tête de deux associations « En Nahda » et « Nassim al-Andalous » qui, à Oran se déploient, voilà près d’un demi-siècle à la tâche méritoire de préservation de l’héritage musical et son immense prestige littéraire et musical. Cheikh Mokhtar Allal, dans la relève se déploie avec ses grandes qualités de passeur – pédagogue pétri d’humilité et d’humanité, à transmettre le savoir de l’héritage du vieux maître, témoin d’une des plus vieilles traditions d’école du « Gharnati », en Algérie et au Maghreb.

Disparu, en 1985, le défunt Cheikh Abderrahmane Sekkal fut enterré au cimetière de la ville de Sid El-Houari, à Oran.

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Tébessa: Le trafic de psychotropes prend de l’ampleur

Sun, 02/10/2019 - 10:32

Ali Chabana

      Si autrefois, c’était les saisies de kif traité qui faisaient l’actualité des activités des différents services de sécurité, des quantités plus au moins importantes récupérées chez des dealers ou de gros bonnets connus dans le milieu des narcotrafiquants, de la drogue destinée à être écoulée sur le marché national, ou celle transitant par notre pays vers les pays voisins, avant d’atterrir en Europe. Depuis, la donne a sensiblement changé, la tendance est plutôt avec l’apparition d’autres formes de stupéfiants plus variés et plus dangereux, de plus en plus de saisie de drogues dures et des psychotropes, pour ne pas les citer.

Les saisies deviennent légion, les services de la police, pour ne citer qu’eux, effectuent de véritables razzias, notamment en milieu urbain, dans des endroits les plus insolites, toutes les catégories de la population juvénile y sont mpliquées, chez les deux sexes. Les psychotropes sont en fait des médicaments destinés initialement aux malades, sauf qu’en cours de route les produits médicamenteux sont détournés par d’autres consommateurs, pour d’autres fins. Les spécialistes avertissent de l’ampleur prise par le phénomène, ces dernières années, les volumes interceptés sont l’exemple d’un fléau rampant, aux conséquences incommensurables sur l’équilibre et la santé de la société dans son ensemble.

Certaines affaires liées aux psychotropes traitées par la police sont édifiantes d’un mal qui plonge ses racines dans les profondeurs de la société parmi les jeunes et les moins jeunes, quand ces saletés parviennent même aux établissements éducatifs, au campus universitaire, aux centres de formation. Que faut-il faire ? Suffira-t-il de convoquer un parterre de spécialistes pour en discuter et puis quelle parade faudra-t-il opérer ? La solution répressive, la sensibilisation, ont-elles donné des résultats ? Beaucoup d’interrogations restent en suspens. Les parents sont eux aussi désemparés devant ce danger permanent qui guette leurs enfants. Les services de sécurité (gendarmerie, police, douanes et armée) sont aux aguets. La question est de savoir comment procéder au contrôle de ces produits, en impliquant les uns et les autres, une opération certes difficile, mais incontournable, au risque de se faire avaler par l’hydre. Selon les experts, les psychotropes agissent sur le système nerveux et le paralysent. La violence prise sous toutes ses formes est l’une des émanations de la consommation des drogues. Les psychotropes dans toutes leurs variétés sont donc plus nocifs que le cannabis par exemple. De par sa situation géographique de wilaya frontalière, Tébessa devient ainsi très exposée au trafic des stupéfiants dont les psychotropes. Les passeurs assurent le convoyage, la sonnette d’alarme est retentie, il est temps d’endiguer ce raz de marée, provoqué par des gens sans vergogne, leur seul souci, le gain facile et rapide.

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Suite à la fièvre aphteuse, des éleveurs indemnises : 1 million de cts pour chaque mouton perdu

Sat, 02/09/2019 - 21:03
L’inspection vétérinaire de Mostaganem informe l’ensemble des éleveurs  de la wilaya ,  assurés ou non assurés  dont  le cheptel a été frappés par  l’épidémie de la fièvre aphteuse  ou la peste des petits ruminants  qui  ont causé la perte de 362 têtes de moutons à ce jour, et qui a enregistré la présence de 21 foyers  au sein de 9 communes de la wilaya, qu’ils seront tous indemnisés. A cet effet, l’inspection affirme également que le recensement des éleveurs touchés par cette épidémie a pris fin et qu’ils  seront bientôt indemnisés financièrement. Ainsi, il a été fixé  d’indemniser  par un million de centimes pour la perte de chaque ovin et 800 mille  centimes pour   chaque caprin. Cette opération  sera totalement financée par l’Etat qui s’engage à répondre  présent face aux catastrophes naturelles et des conséquences qui en résultent, telle que cette épidémie  qui vient de frapper  les  animaux domestiques, dont certains éleveurs ont perdu un grand nombre de leur cheptel. D’autre part, la direction des services agricoles  a  réservé 25.000 doses de vaccins  contre la fièvre aphteuse qui  sera organisée et prise en charge par les vétérinaires  qui  vaccineront  le cheptel sain  à titre préventif pour l’immuniser  contre la maladie  . D’autres mesures préventives ont été également prises, dont la fermeture des marchés à bestiaux à travers tout le territoire de la wilaya, et l’interdiction de transport d’animaux domestiques de la wilaya vers d’autres wilayas. En dernier, l’ensemble  des éleveurs ont été  sensibilisés sur la maladie, et priés de faire consulter  tout animal présentant des signes maladifs  auprès du plus proche vétérinaire du lieu de résidence.

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Cancer : Faire suivre le dépistage par une prise en charge thérapeutique, une obligation

Sat, 02/09/2019 - 21:02

Le dépistage d’un cancer doit être systématiquement suivi en cas de diagnostic positif d’une prise en charge thérapeutique du patient, a indiqué samedi à Tizi-Ouzou le président de la conférence des doyens des facultés de médecine et membre du comité de coordination du plan national anti-cancer, le Professeur Salah-Eddine Bendib.

Intervenant lors de la deuxième journée de formation continue en cancérologie, organisée au siège de l’Assemblée populaire de wilaya de Tizi-Ouzou par la Société algérienne de formation continue en cancérologie (SAFCC), le Pr Bendib a souligné que « tout dépistage organisé exige la mise en place d’un réseau de prise en charge identifié ».

Qualifiant de « faute éthique grave » d’organiser une opération de dépistage et dire à une patiente chez laquelle on a découvert cette pathologie « vous avez un cancer du sein, débrouillez-vous pour vous soigner », ce spécialiste a indiqué que le plan national anti-cancer 2015/2019, qui prévoit le lancement à travers le territoire national le « dépistage organisé » basé sur la formation, une deuxième lecture des résultats par un centre spécialisé et une prise en charge thérapeutique, « exige pour toute opération de ce genre, l’identification de tout le réseau pour une prise en charge parfaite et complète du patient ».

S’adressant à ses collègues, aux autorités locales et aux représentants du mouvement associatif, présents à cette rencontre à laquelle a pris part le wali Abdelhakim Chater, le Pr Bendib a exprimé la disponibilité du comité de coordination du Plan national anti-cancer à aider la wilaya de Tizi-Ouzou à mettre en place un dépistage organisé du cancer du sein, si les moyens humains et matériels nécessaires sont réunis conformément au cahier des charges régissant cette opération (conformément au plan national anti-cancer).

Le Pr Bendib a rappelé, que le premier dépistage organisé du cancer du sein a été lancé le 2 février dernier dans la wilaya de Biskra.

Il sera prochainement étendu à quatre autres zones pilotes retenues dans le plan national anti-cancer, à savoir Laghouat qui est déjà programmée pour le 12 de ce même mois, puis Tipasa, Tlemcen, Maghnia, Constantine et Jijel. « Ces dépistages organisés qui toucheront des femmes âgées entre 40 et 69 ans seront progressivement étendus à l’ensemble du territoire national », a-t-il dit.

Lors de cette rencontre les différents intervenants, qui ont déploré un diagnostic tardif du cancer du sein, ont rappelé que cette pathologie est la première cause de mortalité chez la femme et que 12 000 nouveaux cas sont enregistrés chaque année.

Dans la wilaya de Tizi-Ouzou, M. Chater a indiqué que sur 1 200 nouveaux cas de cancer déclarés annuellement, environ 400 sont des cancers du sein. L’ensemble des intervenants ont insisté sur l’importance du dépistage précoce du cancer du sein pour augmenter les chances de guérison. À ce propos il a été souligné que neuf cancers du sein sur 10 guérissent lorsqu’ils sont diagnostiqués et pris en charge dès apparition de la maladie.

Le chef de service oncologie au Centre Pierre et Marie Curie (Alger), le Pr Kamel Bouzid a relevé que le diagnostic et la prise en charge précoce du cancer du sein « permet d’avoir un traitement curatif qui évite la mutilation (ablation du sein), mais aussi de réduire le coût de la prise en charge thérapeutique d’un cas au stade avancé de la maladie, voire métastatique, évalué à plus de 10 millions de DA par an et par personne contre 600 000 DA pour un cancer pris en charge juste après son apparition ».

Le président SAFCC, Dr Salah Laouar Abdelhamid, a indiqué que le diagnostic tardif du cancer en Algérie est dû essentiellement à « l’absence d’information sur le dépistage et la non généralisation de ce dernier à l’ensemble du territoire national ».

Cette situation peut changer, a-t-il dit, « grâce au Plan national anti-cancer et à la nouvelle loi sanitaire qui sont les outils institutionnels très importants qui permettent aux professionnels de la santé de travailler dans un cadre organisé et de mener des actions coordonnées avec des objectifs bien définis ».

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Éducation : Les négociations Ministère-Syndicats sans aucun accord !

Sat, 02/09/2019 - 19:16

Les négociations entre la ministre de l’Éducation nationale  et les syndicats autonomes sont restés au point mort et sans aucune avancée palpable. Ces derniers renvoient la balle à la tutelle et attendent du « concret ». Meziane Meriane, coordinateur national du Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest), a fait le point, estimant que  » suite aux  différentes réunions que nous avons tenues avec les représentants du ministère, nous avons été surpris de voir le projet de Procès verbal  totalement  différent  à ce qui a eu lieu dans les dites rencontres. M.Meriane s’étonne d’ailleurs qu’ »il y a eu des réponses qui n’ont aucun lien avec les points débattus lors des réunions avec les représentants du ministère ». C’est pourquoi, dit-il, « ce que nous voulons c’est du concret et nom pas des promesses ». En attendant la prise en charge des problèmes des syndicats, l’école algérienne  reste frappée par une instabilité durant ce 2e trimestre de l’année scolaire en cours.

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Blida : Un homme tente d’égorger sa femme

Sat, 02/09/2019 - 19:14

Un jeune homme de la commune de Bouarfa, relevant de la wilaya de Blida,  s’est fait lyncher par la foule après avoir tenté d’égorger sa femme dans une place publique. A cause d’un différend, le suspect, âgé de 29 ans, s’en est pris violemment à sa jeune épouse au niveau d’un arrêt de bus. La prenant en filature, selon Ennahar, il lui a balafré le visage avec un couteau. L’époux agressif ne s’est pas arrêté là. Dans un geste de défiance, il a tenté de l’égorger devant les passants. Suite à quoi certains d’entre eux se sont interposés. Le jeune ne s’est pas calmé pour autant, il a tenté en effet d’agresser la foule. Résultat : il s’est fait lyncher. Constatant que l’étau se resserré autour de lui, le suspect a tenté de prendre la fuite. Il s’est fait arrêté par les forces de l’ordre. Agée de 23 ans, la victime, quant à elle, a été transportée à l’hôpital.

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Pourquoi le président Bouteflika ?

Sat, 02/09/2019 - 19:11

L’annonce de Bouchareb, le coordinateur du FLN lors d’un rassemblement organisé  samedi dernier, de la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à la prochaine élection présidentielle du 18 Avril 2019, semble venir mettre fin au suspens  et à toutes les spéculations. Il sera l’unique candidat du FLN  et de l’alliance présidentielle, il sera également l’unique candidat de tous les Algériens, pour  ses œuvres engagées qui témoigneront et témoignent toujours que Bouteflika a consolidé les bases du développement durable et ouvert des horizons nouveaux pour la relance et le redéploiement de l’économie. Ce processus n’a rien sacrifié aux engagements et responsabilités de l’Etat pour la préservation des acquis sociaux et la promotion de la justice sociale, garants de la cohésion sociale et, au-delà, du front intérieur sans lequel le pays ne pourrait faire face aux défis sécuritaires multiples auxquels il est confronté dans son environnement régional. Les investissements massifs consentis dans le domaine de l’infrastructure ont contribué à une amélioration substantielle des conditions de vie de la population. Les principaux indicateurs permettent de mesurer les progrès réalisés sur la voie du développement économique et social. On relèvera ainsi que le revenu par habitant a continué à s’améliorer pour se hisser à près de 4 000 dollars, celui du chômage de baisser pour se situer à 11,7%. L’Indice du Développement humain place l’Algérie en première position au Maghreb et en troisième position en Afrique et plus de 3,6 millions de logements livrés. Rien que pour le mois de décembre 2018, pas moins de 40 000 logements ont été distribués à l’échelle nationale. Enfin, le niveau de la dette extérieure ne représente plus que 2,7% du PIB. Ce qui place l’Algérie parmi les 10 pays les moins endettés du monde. D’autres succès ont  enregistrés dans maints domaines sont le fruit de la conviction et du programme d’un président qui a voué toute sa vie au service de l’Algérie et de son peuple. Un challenge qui consolide les bases du développement et de la réussite pour une société qui a connu de grandes épreuves et un déchirement profond, et qui a su, à chaque fois, grâce à ses femmes et à ses hommes, les surmonter. Voilà pourquoi, le Président Abdelaziz Bouteflika sera  l’unique candidat que  le peuple  soutiendra  et saura encore choisir !

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Tizi-Ouzou: trente opérateurs au salon national du jeune investisseur

Sat, 02/09/2019 - 17:35

Un total de 38 promoteurs économiques représentants 12 wilayas prendront part au Salon national du jeune investisseur du 12 au 14 de ce mois à Tizi-Ouzou, ont indiqué samedi les organisateurs de cette manifestation.

Le salon qui sera abrité par l’auberge de jeune de Tala-Allam (commune de Tizi-Ouzou), sera accompagné par l’ensemble des organismes publics qui participent au processus d’investissement, banques, assurances et dispositifs d’aides à l’emploi, ainsi que la Chambre de commerce locale.

Au programme de cette manifestation, une exposition permanente, des conférences et tables rondes, des formations gratuites au profit des promoteurs participants sur plusieurs aspects liés à l’investissement et un concours du meilleur projet.

Une conférence inaugurale sur la promotion de « l’entreprenariat auprès des jeunes en Algérie » sera animée conjointement, à l’ouverture du salon par l’ancien secrétaire d’Etat chargé des statistiques et de la prospective, Bachir Messitfa et l’économiste Smail Lalmas.

Deux séminaires de formation, sont, aussi, inscrit au menu dont l’un sur la compréhension des « principales dispositions du code des marchés publics et des délégations du service publics » et un autre sur la « prospective sur l’état des lieux et l’économie numérique en Algérie ».

Pour comprendre les mesures d’encouragement et d’appui à la promotion de l’emploi, contenues dans la loi 06-24 du 11 décembre 2006, une table ronde sera organisée en collaboration avec la direction locale de l’emploi.

La clôture du salon sera marquée par l’organisation de la finale d’un concours pour la sélection de 03 meilleurs projets parmi une dizaine de concurrents sélectionnés depuis un mois et demi.

L’objectif attendu de ce salon est  » de contribuer à promouvoir l’investissement et l’entreprenariat local en mettant en relation l’ensemble des acteurs intervenants dans ce créneau » a soutenu, Anis Bentayeb, président de la boite organisatrice.

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Oran: 13 candidats à l’émigration clandestine secourus et 2 corps sans vie repêchés au nord de Cap Aiguille

Sat, 02/09/2019 - 17:35

 Treize candidats à l’émigration clandestine ont été secourus en mer, vendredi soir, au nord de Cap Aiguille (Oran) par les unités du groupement territorial des gardes-côtes d’Oran, a-t-on appris, samedi, auprès de la cellule de communication de ce corps constitué.

Sur les 18 personnes se trouvant à bord d’une embarcation, 13 ont été secourues par les gardes-côtes, à 13 miles, au nord de Cap Aiguille (Oran), a indiqué à l’APS la même source, précisant qu’il s’agit de 11 étrangers et de deux algériennes. Cette opération de sauvetage est intervenue suite au chavirement de l’embarcation à bord de laquelle se trouvaient ces candidats à l’émigration clandestine.

Par ailleurs, deux corps sans vie, de sexe masculin, ont été repêchés par les mêmes unités du groupement territorial des gardes-côtes d’Oran.

Trois autres passagers sont portés disparus, a-t-on ajouté de même source, faisant savoir que les opérations de recherche se poursuivent en mer.

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France (gilets jaunes) : un manifestant a eu la main arrachée !

Sat, 02/09/2019 - 17:27

Un manifestant présent dans le cortège des « gilets jaunes » à Paris a eu la main arrachée samedi à la mi-journée, à hauteur de l’Assemblée nationale où les tensions étaient vives, ont rapporté des secouristes.

Cet homme a été évacué par les pompiers, un bandage au bout de l’avant-bras. La chaîne de télévision RT a diffusé des images du manifestant blessé. La cause de la blessure n’était pas connue dans l’immédiat. Mais, selon un témoin direct qui a filmé la fin de la scène, Cyprien Royer, il s’agit d’une « grenade de désencerclement » lancée par les forces de l’ordre, alors que des manifestants tentaient d’enfoncer les palissades protégeant l’entrée de l’Assemblée nationale.

La victime est « un photographe +gilet jaune+ » qui « prenait des photos des gens en train de pousser les palissades de l’Assemblée nationale » à la mi-journée, a rapporté cet homme de 21 ans. « Quand les flics ont voulu disperser les gens, il a reçu une grenade de désencerclement au niveau de son mollet, il a voulu mettre un coup de main dedans pour ne pas qu’elle explose vers sa jambe et elle a explosé quand il l’a touchée », a affirmé M. Royer.

« On l’a mis sur le côté, on a appelé les street-medics, c’était pas beau: il hurlait de douleur, il n’avait plus aucun doigt, il n’avait plus grand-chose au-dessus du poignet », a-t-il témoigné.

La préfecture de police a confirmé à l’AFP qu’un « manifestant blessé à la main » a été pris en charge par les pompiers, sans plus de précisions.

De même source, peu avant 13H00 GMT, dix personnes avaient été interpellées. Vers la mi-journée, la situation avait commencé à se tendre autour de ce cortège parti des Champs-Elysées pour rallier le Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel. Des tirs de grenades lacrymogènes ont répondu à des jets de projectiles, selon l’agence. Quelques abribus ont été cassés sur le passage du cortège.

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Tissemsilt: 16e anniversaire de la mort du moudjahid Benyoucef Benkhedda

Sat, 02/09/2019 - 17:27

 Une exposition de photos, d’affiches et de livres mettant en exergue le parcours militant de  Benyoucef Benkhedda a été ouverte samedi au musée du moudjahid de la wilaya de Tissemsilt à l’occasion de la commémoration du 16e anniversaire de la mort de ce moudjahid (1923-2003) organisée sous le slogan « Combat d’un homme ».

Le programme, qui braque la lumière sur l’itinéraire militant du regretté moudjahid Benyoucef Benkhedda qui fut proclamé Président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) le 28 août 1961, prévoit également, durant les deux jours de la manifestation, une visite à des écoles primaires pour donner aux élèves un aperçu historique sur la vie de ce moudjahid et une conférence animée par le directeur du musée sur cette personnalité historique.

Le musée diffuse aussi sur son portail électronique et sa page officielle sur réseaux sociaux un aperçu sur le parcours de ce moudjahid.

Né en 1923 à Berrouaghia (Médéa), Benyoucef Benkhedda a entamé son activité politique au début des années 40 au sein du Parti du peuple (PPA), puis au comité de rédaction du quotidien « La nation algérienne », avant de prendre part au congrès du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) en 1947 où il fut élu membre de la centrale, puis secrétaire général en remplacement de Hocine Lahouel.

Il rejoignit les rangs de l’Armée de libération nationale en 1955 et fut désigné membre du Conseil national de la révolution algérienne, puis membre du comité de coordination et d’exécution.

Feu Benkhedda a été désigné président du GPRA en 1961 en remplacement de Ferhat Abbes jusqu’à septembre 1962 . il est mort le 4 février 2003 à Alger.

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Accidents de la circulation : 08 décès et 17 blessés en 48 heures

Sat, 02/09/2019 - 17:21

Huit (08) personnes ont trouvé la mort et 17 autres ont été blessées durant les dernières 48 heures dans 08 accidents de la circulation survenus sur le territoire national, indique, samedi dans un communiqué, la Direction générale de la Protection civile.

« Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Saïda, avec deux (02) personnes décédées et deux (02) autres blessées, suite à une collision entre deux (02) camions, survenue sur le C.W n 09, commune et daïra d’El-Hassasna », est-il détaillé.

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Les Jeux méditerranéens d’Oran (JM-2021) auront un « cachet écologique »

Sat, 02/09/2019 - 17:21

 Les Jeux méditerranéens prévus en 2021 à Oran se distingueront par leur « cachet écologique », a affirmé samedi le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, lors d’une visite de travail dans la wilaya.

« Les JM-2021 d’Oran auront un cachet écologique », a souligné le ministre en inspectant le chantier du stade de football en voie d’achèvement au sein du complexe olympique en construction à Belgaïd, dans la daïra de Bir El-Djir.

« L’empreinte écologique assignée à l’événement des JM-2021 est un objectif à la mesure de l’excellence atteinte par la wilaya d’Oran dans différents domaines de l’économie verte », a soutenu M. Hattab.

Il a, dans ce contexte, mis l’accent sur la performance relevée dans la capitale de l’Ouest, notamment dans les domaines de traitement et de recyclage des déchets, de l’économie de l’eau et de la gestion des espaces verts.

Le ministre s’est également félicité de l’état d’avancement des travaux, tout en insistant auprès des responsables de l’entreprise de réalisation sur le respect des engagements contractuels pour la concrétisation des étapes à venir selon les délais convenus.

Les délais annoncés, dans ce cadre, par les responsables du projet tablent sur la livraison du stade de football en avril prochain, tandis que la réception des infrastructures complémentaires est fixée à avril 2020.

Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Jeunesse et des Sports a fait savoir que trois autres grands complexes de standard international seront livrés cette année à Tizi Ouzou, Baraki et Bouira.

« Ces acquis comptent parmi les plus importantes réalisations à voir le jour à la faveur du programme du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, permettant ainsi à l’Algérie de gagner sa juste place dans le cercle des nations organisatrices de rendez-vous sportifs majeurs », a indiqué M. Hattab.

Le ministre a, par la même occasion, donné le coup d’envoi d’une campagne de plantation d’arbres dans le périmètre du complexe olympique, avant d’achever sa visite au chevet de Kaddour Bekhloufi (âgé de 85 ans), ancienne gloire du football algérien et membre de l’équipe du FLN.

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Asphyxie au monoxyde de carbone : 9 décès en 48 heures à Alger et Skikda

Sat, 02/09/2019 - 17:16

Neuf (09) personnes sont décédées à Alger et Skikda, durant les dernières 48 heures, par asphyxie au monoxyde de carbone CO émanant des appareils de chauffage et chauffe-bains, indique, samedi dans un communiqué, la Protection civile.

« Les secours de la protection civile sont intervenus pour prodiguer des soins de première urgence à 23 personnes incommodées par le monoxyde de carbone CO émanant des appareils de chauffage et chauffe-bains, à Blida, Alger, Skikda, Constantine, Jijel, Ain Defla, Djelfa, Tlemcen, Béchar, Saïda, M’sila et Annaba », précise la même source.

« Les victimes ont été prises en charge sur les lieux puis évacuées vers les structures de santé par les secours de la protection. Par contre, 09 personnes sont décédées intoxiquées par le monoxyde de carbone CO émanant de chauffe-bains, dont 06 à Alger et 03 autres à Skikda », est-il détaillé.

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Algérie/Gabon: discussions pour une facilitation réciproque de l’investissement

Sat, 02/09/2019 - 17:14

 Des discussions bilatérales seront « très prochainement » entamées sur la facilitation aux opérateurs économiques algériens d’investir au Gabon et aux gabonais d’investir en Algérie, a indiqué l’ambassadeur d’Algérie au Gabon Mohamed-Antar Daoud.

« Nous avons proposé (aux autorités gabonaises) de créer un groupe de travail mixte pour étudier les moyens de rendre avantageuses les conditions d’investissement », et pour les Algériens au Gabon et pour les gabonais en Algérie, a déclaré le diplomate dans une interview accordée écemment au quotidien gabonais Le Journal coopération internationale.

Il a, d’autre part, mis en exergue certaines démarches qui seront bientôt concrétisées pour stimuler les échanges entre les deux pays.

La prochaine étape sera la mise en place par Air Algérie, juste après l’inauguration du nouvel Aéroport international d’Alger, d’une liaison aérienne Alger-Libreville à raison de trois vols directs par semaine et avec un tarif concurrentiel, a-t-il indiqué au journal gabonais, qui a consacré un dossier spécial pour la coopération algéro – gabonaise à la suite de l’exposition spécifique des produits algériens, tenue à Libreville du 27 novembre au 2 décembre 2018.

Il y aura lieu d’étudier également la mise en place d’une ligne maritime, selon lui.

Revenant sur l’exposition spécifique des produits algériens à Libreville, couronnée par la signature de 12 accords de partenariat entre les hommes d’affaires des deux pays et d’un accord de coopération entre les deux chambres de commerce algérienne et gabonaise, M. Daoud l’a qualifiée de « franc succès ».

Ce succès a été, selon lui, le fruit d’une bonne qualité d’organisation, aussi bien au niveau gabonais qu’algérien, d’une diversité des produits exposés couvrant plusieurs secteurs (l’agriculture, l’agroalimentaire, l’électronique, la climatisation, l’électroménager, la pharmacie, le machinisme agricole….) et enfin de l’intérêt accordé par les hautes autorités gabonaises.

Il a également cité comme facteur de réussite de cette manifestation la décision prise par l’Etat de prendre en charge la totalité des frais du transport des marchandises et de la location des stands, alors qu’auparavant 80% seulement de ces frais étaient pris en charge.

Pour lui, les accords signés lors de l’exposition « ont posé les jalons du partenariat entre les entreprises privées algériennes et gabonaises » alors que l’accord de coopération entre les deux chambres de Commerce « constitue désormais le socle de la coopération future » entre les opérateurs des deux pays.

Estimant que le Gabon constituait une « priorité » pour l’Algérie, Libreville pouvant « constituer un centre de rayonnement vers les autres pays d’Afrique Centrale », a-t-il affirmé, ajoutant que l’avenir de l’Algérie « ne saurait se concevoir en dehors de l’Afrique ».

A noté que la Commission mixte algéro-gabonaise ne s’est pas réunie depuis 1987. La dernière exposition des produit algériens au Gabon remonte à 1985.

Accordant lui aussi une interview au même journal gabonais, le président du club des entrepreneurs et des industriels de la Mitidja (CEIMI), Kamel Moula, a appelé à encourager les exportations algériennes vers le Gabon en développant un comptoir de la production nationale pour faire connaitre ses innovations à ce pays africain ami.

« L’exposition spécifique des produits algériens qui avait eu lieu récemment (du 27 novembre au 2 décembre derniers) dans la capitale gabonaise a permis de démontrer que la production algérienne était de qualité et d’un haut niveau de compétitivité », a-t-il indiqué.

S’agissant de l’accord signé entre les deux chambres de commerce algérienne et gabonaise, M. Moula a estimé que cela permettrait aux opérateurs économiques des deux pays d’élaborer ensemble une stratégie de communication pour permettre aux consommateurs gabonais d’investir sur les offres commerciales algériennes.

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2 bombes de confection artisanale détruites à Boumerdès et Médéa

Sat, 02/09/2019 - 17:00

 Deux (02) bombes de confection artisanale ont été détruites, vendredi à Boumerdès et Médéa, par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP), indique, samedi dans un communiqué, le ministère de la Défense nationale (MDN).

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, des détachements de l’Armée nationale populaire ont détruit, le 08 février 2019, lors de deux opérations distinctes menées à Boumerdès et Médéa/1eRM, deux (02) bombes de confection artisanale », précise la même source.

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements combinés de l’ANP ont intercepté, à Sétif/5eRM et Biskra/4eRM, deux (02) individus en possession de deux (02) fusils de chasses de confection artisanale, une (01) paire de jumelles, (816) cartouches de différents calibres, ainsi que des outils de remplissage de cartouches et divers objets, tandis que (3500) unités de tabac ont été saisies à Ghardaïa/4 RM », est-il ajouté. »Au niveau de la 2ème Région militaire, une unité des Garde-côtes a réussi, lors d’une opération de recherche et de sauvetage menée à (09) miles marins au Nord-ouest de Cap Igoui à Oran, à secourir (15) candidats à l’émigration clandestine de différentes nationalités, qui ont été pris en charge par les services compétents ».

« Par ailleurs, des éléments des Garde-côtes ont déjoué, à Oran, des tentatives d’émigration clandestine de (23) personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, alors que (06) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été arrêtés à Naâma et Tlemcen », conclut le MDN.

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