TUNIS – Le club de volley-ball algérien, GS Pétroliers, s’est imposé devant son homologue palestinien de Chabab Djabalia sur le score de 3 sets à 0 (25-18, 25-15, 25-11), en match comptant pour la 4e journée du groupe D du Championnat arabe des clubs 2019 (messieurs), disputé lundi à Tunis.
C’est deuxième victoire des Algériens dans la compétition, après celle obtenue face aux Libyens de Souihli (3-1: 25-22, 25-20, 18-25 et 25-21), contre une défaite face aux Irakiens de Gaz Sud (2-3 : 25-23, 21-25, 25-21, 23-25 et 12-15).
A la faveur de cette victoire, le GSP rejoint la formation irakienne de Gaz du Sud qui a battu son homologue saoudienne d’Al Ittihad (3-2), en tête du classement du groupe D avec 7 points.
Le GS Pétroliers jouera son dernier match de poule, mardi (13h00), face à Al Ittihad d’Arabie Saoudite.
18 clubs arabes répartis en 4 groupes prennent part à cette compétition organisée par l’ES Tunis du 15 au 23 février dans les salles de Radès et de Zouaoui à Tunis.
Les deux premiers de chaque groupe seront qualifiés pour les quarts de finale.
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EL TARF – L’image du chahid de la glorieuse Guerre de libération nationale « demeure sacrée et sublime dans la poésie algérienne d’expression populaire et arabe classique », ont affirmé lundi à El Tarf des chercheurs et professeurs, lors d’une journée d’étude consacrée au Chahid dans la poésie tenue à l’université Chadli Bendjedid.
Les participants, des chercheurs, enseignants et experts représentants dix universités du pays, ont relevé que nombreux sont les poètes algériens talentueux qui avaient ou continuent à engager leurs plumes au service de la patrie, excellant dans l’art de »peindre » par le verbe l’image du Chahid, « indétrônable à jamais dans la mémoire collective ».
« Ces poètes ont su immortaliser la gloire du martyr en transmettant, par le verbe et la prose, leur militantisme et leur sacrifice pour l’indépendance du pays, suscitant également émotion et des sentiments de grand patriotisme chez ceux qui ont eu à les lire ou écouter », a-t-on soutenu.
Des poètes de renommée dont la créativité devrait être exploitée pour la sensibilisation des générations futures ont été, à cet te occasion, évoqués
à l’exemple du symbole de la poésie révolutionnaire feu Moufdi Zakaria dans son impressionnant hommage à Ahmed Zabana (1926-1956), premier martyr guillotiné ainsi que d’autres poètes connus tels Mohamed Laid Al khalifa, Mohamed Lakhdar Saisi, ou encore des poètes contemporains comme Mohamed Benraktane ou Hacene Dernoune.
Aussi, les participants ont recommandé de promouvoir ce type de rencontres et d’œuvrer pour qu’elles deviennent des séminaires internationaux permettant une plus grande contribution d’experts dans le domaine.
Organisée à l’occasion de la célébration de la journée nationale du Chahid, par le laboratoire du patrimoine et des études linguistiques relevant de la Faculté des lettres et des langues de l’université Chadli Bendjedid, une exposition consacrée au livre et témoignages sur la Guerre de libération national et les chouhada a été organisée, à côté d’une vente dédicace du livre dédié au fondateur de la base de l’Est, le colonel Amara Laskri dit Bouglez de l’écrivain, moudjahid et frère du défunt, Brahim Laskri.
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BOUIRA – Le centenaire du défunt moudjahid et artiste, Farid Ali, a été célébré lundi à la Maison de la culture Ali Zaâmoum de la ville de Bouira à travers une série d’activités artistiques, organisées dans le cadre des festivités commémorant la journée du chahid.
« Nous avons préparé un programme riche pour célébrer le centenaire du défunt Farid Ali de son vrai nom Khelifi Ali », a indiqué, à l’APS, Saliha Cherbi, directrice de la Maison de la culture Ali Zaâmoum.
Un atelier audio-visuel de la maison de la culture a réalisé un reportage sur le parcours artistique et patriotique de Farid Ali. Un court métrage a également été diffusé au cours de cette journée. La célébration a été aussi marquée par une chorale du Conservatoire régional de Bouira, qui s’est produit sur scène en reprenant quelques titres du répertoire de Farid Ali, dont la célèbre chanson « Ayemma Aâzizen uretsru ». Un autre titre phare de l’artiste « Dachou em khadmegh » a été interprété par Amiche Zilalsene, étudiant au Conservatoire régional de Bouira.
Une conférence sur le début de carrière du défunt artiste a également été animée.
A cette occasion, un diplôme d’honneur a été remis à la famille de Farid Ali. Des amis du défunt ont apporté des témoignages sur son engagement dans la Guerre de libération nationale et son militantisme.
Farid Ali est né le 9 janvier 1919 à Ikhelfounen, dans la commune de Bounouh, sur les hauteurs de Boghni (Tizi Ouzou). Après de brèves études chez les Pères blancs, il obtient son certificat d’études primaires et quitta son village pour se rendre à Alger, où il exercera de petits métiers, cordonnier à l’ex-rue Randon entre autres, pour subvenir aux besoins de sa famille.
La fréquentation, dans sa prime jeunesse, du célèbre bandit d’honneur Ahmed Oummeri, qui s’est rebellé contre le diktat colonialiste en bravant ses lois iniques, l’a déjà marqué. Aussi, lorsqu’il émigra en France en 1940, les militants nationalistes qu’il rencontra n’eurent aucun mal à le faire adhérer à leur cause.
A Paris, repéré et encouragé par les grands musiciens de l’époque, tel qu’Al Jamoussi et Missoum, il se consacre à cet art. Il nouera des amitiés avec plusieurs artistes algériens et maghrébins. Mais, soupçonné par les autorités françaises après un attentat contre un responsable de la radio française, il est expulsé vers l’Algérie en 1951.
De retour au pays, il milite au PPA-MTLD et rentre dans la clandestinité. Arrêté en 1956 à Bounouh, il sera emprisonné à Draa-el-Mizan où il subira les pires tortures. Libéré une année plus tard, en 1957, il s’engage dans la Guerre de libération.
A l’indépendance, il produit quatre titres, dont la chanson émouvante et patriotique « A yemma azizen uratsru » et fait une tournée à travers le pays. Parrainé par Chikh Nourredine, il rentre à la radio nationale où il enregistrera plusieurs autres titres avec lui.
Farid Ali est décédé un jour d’octobre 1981 après un séjour à l’hôpital de Boghni (Tizi Ouzou). Il a été inhumé dans son village natal de Bounouh.
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KHENCHELA – Une cargaison de 860.000 œufs a été exportée vers la Libye par la société de production d’aliments de bétail et d’œufs ‘Allawoui Mohamed Fateh’, dans la commune de R’mila (wilaya de Khenchela), a indiqué lundi le directeur des services agricoles (DSA), Rachid Rehamnia.
L’opération a été effectuée dimanche via le poste frontalier de Bouchebka (Tébessa) dans le cadre de la stratégie publique d’encouragement des exportations hors hydrocarbures, a indiqué le même responsable à l’APS.
D’autres cargaisons d’œufs seront expédiées « dans les prochains jours », at-il dit, conformément à l’accord avec la partie libyenne prévoyant l’expédition de 4 millions d’unités.
Selon la même source, l’effondrement du prix des œufs a conduit les producteurs à rechercher de nouvelles débouchées à travers l’exportation, favorisée par les facilités et les exonérations douanières accordées aux exportateurs.
Par ailleurs, le directeur des services agricoles a invité les pomiculteurs de la wilaya à s’orienter vers l’exportation de leur récolte qui a atteint la saison passée 1,3 million de quintaux, soit 86 % de la production nationale de pommes.
Leader national de la filière avicole, la wilaya de Khenchela a produit, au cours de la dernière saison agricole, 40 millions d’œufs, selon la même source.
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Une première opération d’exportation vers l’Italie de 300 tonnes de lingots d’aluminium a été effectuée lundi par l’Entreprise « Massabik El-Aurès » relevant de la zone industrielle de Khenchela.
En marge d’une cérémonie de départ de cette première cargaison vers l’Italie via le port de Bejaia, le directeur de wilaya du commerce, Djamel Hamzaoui, a estimé que cette opération « traduit la politique de l’Etat algérien, à savoir l’encouragement des exportations hors hydrocarbures ».
La valeur financière de cette opération d’exportation de 300 tonnes vers deux sociétés italiennes est de 301.000 euros et sera suivie « dans les prochains mois » par d’autres cargaisons selon les termes de l’accord conclu avec la partie italienne, a indiqué le même responsable qui a estimé que l’opération révèle l’appréciation du produit algérien sur les marchés internationaux.
Pour Amar Benlahrech, responsable de l’inspection divisionnaire des Douanes de la wilaya d’Oum El Bouaghi, dont la compétence inclut la wilaya de Khenchela, la présence des Douanes à Khenchela pour superviser cette opération d’exportation « s’inscrit dans le cadre des mesures prises par la Direction générale des Douanes portant exonération totale de tous droits douaniers », précisant qu’il a été procédé à la vérification et à l’apposition des scellés des Douanes algériennes sur site de l’entreprise exportatrice, pour faciliter le travail au niveau du port de Béjaia et lever au plus tôt la marchandise à exporter.
De son côté, le directeur de la chambre du commerce de l’industrie CCI-Chelia, Mohamed Saïd Meziane, a relevé que l’opération constitue « un pas en avant » en matière de promotion du commerce extérieur depuis les wilayas intérieures et permet la « consolidation des rapports économiques de l’Algérie avec les pays de la Méditerranée ».
D’autres expéditions de lingots d’aluminium vers l’Italie seront effectuées dans « les tous prochains mois conformément à l’accord conclu avec les mêmes entreprises italiennes », a assuré le gérant de l’Entreprise « Massabik El-Aurès », Belkacem Mezdaout.
Il a également fait état d’accords passés avec des entreprises de la Grèce, des Emirats arabes unis et de la France pour l’exportation de lingots d’aluminium, assurant que des discussions « sont en cours avec un autre opérateur indien intéressé par ce produit ».
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El-Houari Dilmi
Quelques dizaines de commerçants qui ont perdu leurs stands au niveau marché couvert de la ville de Tiaret ont observé un sit-in de protestation dimanche, pour attirer l’attention des autorités locales sur leur situation. En effet, fermé depuis plus de huit mois, le marché couvert, datant de l’époque coloniale et considéré comme une véritable armoirie de l’antique Tihert au vu de la charge symbolique qu’il représente au yeux des Tiarétiens, ne ressemble plus qu’à un amas de tôles érigées tout autour de l’imposante bâtisse, au niveau de la place du 17 octobre en plein cœur de la ville de Tiaret. «Nous sommes 70 commerçants à nous retrouver dans la rue ; on nous a promis de restaurer le marché dans les meilleurs délais alors que nous sommes déjà à 8 mois depuis sa fermeture», fulmine un poissonnier rencontré sur place. Pourtant, les travaux de restauration avaient bel et bien commencé avant que l’entrepreneur ne suspende l’opération pour des raisons inconnues.En juillet dernier, le maire de la ville, Rabah Boutheldja, avait déclaré à la presse que « face à l’urgence, l’APC a dû agir en débloquant 50 millions de dinars pour confier les travaux à une entreprise basée à Blida». Mais sur le terrain, rien ne se profile à l’horizon.
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Abbad Miloud
Youcef Yousfi, ministre de l’Industrie et des Mines, était, ce dimanche, l’hôte de la wilaya de Chlef où il a visité neuf unités industrielles implantées dans quatre communes. Au siège de la wilaya, le directeur de l’industrie et des mines de la wilaya lui a fait une présentation détaillée du secteur. Il a parlé des deux parcs industriels dont a bénéficié la wilaya : Dharidj dans la commune de Oued Sly et Douaidia dans celle de Boukader qui s’étendent respectivement sur une superficie de 110 et 200 hectares. Pour les zones d’activités, onze ont été créées en 2017, ce qui porte le nombre total à 26.Dans la commune de Oued Sly, la première étape de la visite a été l’ECDE. Dans un exposé, il lui a été présenté l’historique de la société avec les statistiques à l’appui. Les deux lignes produisent actuellement deux millions de tonnes de ciment par an. Avec l’achèvement des travaux de la 3e ligne de production, en cours de réalisation, la production va doubler, pour atteindre les 4 millions de tonnes par an. Cette ligne qui a été visitée par le ministre accuse un retard considérable. Son prédécesseur, lors d’une visite de travail et d’inspection, en avril 2017, avait instruit les responsables concernés pour prendre toutes les dispositions nécessaires afin de rattraper le retard : «en aucun cas, la mise en service ne doit excéder le 1er octobre 2017».
A quelques encablures, la délégation a visité le groupe moteur international (GMI Algérie). Le représentant du gouvernement a visité toutes les structures du groupe et a écouté les explications fournies par le directeur. Il a demandé de plus amples explications sur la nouvelle gamme de produits aux normes européennes dont le projet est en cours de réalisation. Il a insisté sur l’importance fondamentale que la société dispose d’un centre de formation doté de tous les moyens pédagogiques nécessaires. Dans la même commune, il a visité la nouvelle verrerie de Chlef (NOVER) spécialisée dans la production d’emballages en bouteilles et bocaux destinés pour l’industrie agroalimentaire, la production du flaconnage destiné à l’industrie pharmaceutique et la production de la verrerie de table.
A la commune de Sidi Akkacha, la délégation a visité l’unité «Ceramit Divindus» qui est une filiale de la céramique Divindus. Elle est spécialisée dans la production et la commercialisation des produits sanitaires en vitres et en grès fin. Une partie de la production est exportée vers l’Espagne, la Lybie, la Tunisie et le Sénégal.
A la commune de Chlef, le ministre a visité SAR la telloise qui est spécialisée dans la production de la tomate concentrée, le jus triple concentré et la confiture.
A la commune de Oum Drou, la première étape a été la visite de l’unité El Baraka Electronics Chlef dont l’activité est le montage et la commercialisation des produits électroménagers. La deuxième a été la visite de la société de construction de bâtiment, tous corps d’état (SOPREC). Elle est spécialisée dans les travaux d’aménagement en corps d’état secondaires et l’installation des équipements liés à l’énergie solaire.
Dans la même commune, le ministre a procédé à la pose de la première pierre d’un vaste parc pour les camions et les bus. Dans une déclaration, en fin de journée, le ministre a exprimé sa satisfaction pour le travail réalisé par les autorités locales. Un nombre appréciable de projets d’investissement sont inscrits notamment dans l’industrie, le bâtiment et l’agriculture. Leur concrétisation va permettre la création de milliers d’emplois. De plus, la wilaya renferme des richesses naturelles avérées qu’il faut absolument exploiter.
«La troisième ligne de production de l’ECDE va permettre à la fin 2019, d’atteindre 4 millions de tonnes de ciment par an dont une partie sera destinée à l’exportation. Cette capacité de production va faire de l’usine de ciment de Chlef la plus importante au niveau national. J’ai demandé aux responsables des unités industrielles d’augmenter la production pour satisfaire les besoins locaux puis procéder à l’exportation, bien que certaines d’entre elles exportent déjà à l’image de GMI Algérie et Ceramit Divindus. J’ai insisté sur la qualité des produits fabriqués afin de faire face à la rude concurrence internationale. L’assistance et l’accompagnement de l’Etat sont acquis. Encore une fois, je demeure optimiste».
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Tahar Mansour
La lutte contre les dealers de tout acabit continue, menée par des hommes intègres qui veillent à la préservation de la santé mentale de leurs concitoyens et il ne se passe presque pas de jour sans que leurs efforts ne soient couronnés de succès. Cette fois, c’est à Meftah, à l’extrême-est de la wilaya de Blida, que les gendarmes dépendant de la brigade de cette commune ont réussi à mettre la main sur une quantité de 8 kilos de kif traité, 400 comprimés psychotropes et une importante somme d’argent provenant de leur commerce illicite. L’affaire débuta suite à des informations recueillies par les gendarmes concernant des individus qui s’adonneraient au commerce de stupéfiants à travers la daïra de Meftah. Une enquête fut alors diligentée qui permit d’identifier les suspects, au nombre de trois, âgés entre 29 et 42 ans et qui furent arrêtés avec en leur possession la quantité de stupéfiants citée plus haut alors que la voiture utilisée pour le transport et le commerce de ce poison a été saisie. Les trois mis en cause ont été présentés à la justice et placés en détention préventive en attendant leur jugement.The post Meftah: Trois dealers sous les verrous appeared first on .
Khaled Boumediene
Au moment où l’Algérie a célébré, ce 18 février, la Journée du Chahid, de nombreux ayants droit de chahid de la wilaya de Tlemcen ont exprimé leur ras-le-bol, demandant que le ministère des Moudjahidine «s’engage à réparer les préjudices moraux et matériels subis par les fils et veuves de chahid, qui ont été délaissés et privés de leurs droits depuis l’indépendance de l’Algérie et la promulgation de la loi du moudjahid et du chahid en 1999».Selon une déclaration transmise à notre rédaction, ces ayants droit de chahid jugent «insuffisants et discriminatoires» les droits octroyés aux familles du chahid, qui ont souffert le martyre pendant la colonisation, après sept années de guerre aux conséquences dramatiques, puisque «1,5 million de martyrs sont tombés au champ d’honneur, des centaines de milliers de veuves et d’orphelins et des milliers de villages détruits par les forces coloniales françaises». Pour ces ayants droit, «aucun privilège moral ni matériel ne peut compenser la souffrance et l’abandon endurés par ces familles non seulement lors de cette période de guerre destructrice, mais aussi au lendemain de l’indépendance de l’Algérie où de nombreuses familles se sont retrouvées à même la rue sans aucune ressource ni aucune protection sociale ».
La question de la «reconnaissance de la responsabilité» des pouvoirs publics dans «l’abandon et la marginalisation des familles du chahid» revient d’une manière récurrente, comme l’indiquent les concernés dans leur document. «L’article 74 de la loi 99/07 du moudjahid et du chahid est discriminatoire, car s’il permet à certaines filles mariées sans emploi, ainsi que les divorcées, les veuves et les célibataires de toucher des pensions dérisoires de 15 000 DA par trimestre pour les mariées et 21 000 DA tous les trois mois pour les veuves, les célibataires et les divorcées, et ce, quel que soit le niveau de leurs ressources, alors qu’il aurait fallu leur octroyer au moins une pension mensuelle équivalente au salaire national minimum garanti.
Ces pensions humiliantes ne touchent pas tous les ayants droit de la famille du chahid, ce qui a favorisé des animosités et des litiges parmi ces mêmes membres de la famille du chahid. En outre, contrairement aux moudjahidine qui bénéficient continuellement d’augmentations de leurs pensions, celle du chahid n’a toujours pas été revalorisée depuis des années. Elle est reversée d’une manière injuste entre les membres de la famille du chahid après le décès de la veuve du chahid. Un autre problème, les titulaires de ces pensions dérisoires ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale et n’ont pas droit à l’assurance maladie.
Et si jamais elles se retrouvent affiliées, il est procédé à l’annulation automatique de leur pension ! L’article 25 de la loi 99/07 relatif à la retraite complémentaire permet uniquement aux moudjahidine de bénéficier de ce droit et prive les ayants droit du chahid. Pourquoi priver alors les ayants droit de cette retraite supplémentaire attendue impatiemment pour suppléer aux dépenses des fins de mois difficiles ? Plus incongru encore, des centaines de filles de chahid veuves sont également privées de leur droit à la pension instituée par l’article 25 de cette loi. Les fonctionnaires du Trésor public leur reprochent de bénéficier de la réversion de la retraite de leurs défunts maris. Leur situation est toujours en suspens !».
Les entraves à l’acquisition de logements sociaux compliquent par ailleurs la vie à certains ayants droit dont les pensions dépassent les 24.000 DA. «Les commissions d’attribution de logements éliminent tous les pensionnés dont le montant dépasse les 24.000 DA, ce qui est une injustice, car cette pension n’est pas reversée à leurs enfants en cas de leur décès, alors pourquoi les prive-t-on de ces logements à cause de cette pension qui prend fin dès le décès de l’ayant droit ?».The post Tlemcen: Le ras-le-bol des ayants droit de chahid appeared first on .
A. Zerzouri
Venus de plusieurs wilayas de l’Est, des représentants des policiers « abusivement » révoqués durant les années 90, dont le nombre atteint les 6 000 cas sur le territoire national, ont organisé, hier, un énième rassemblement devant le siège de l’Inspection régionale de la Police de l’Est, à la zone Palma, pour revendiquer une prise en charge sérieuse de leurs dossiers.Après avoir rendu hommage à leur collègue blessé mortellement, jeudi dernier, dans l’exercice de ses fonctions, et présenté leurs condoléances à la famille du défunt, les manifestants ont souligné qu’ils se sont regroupés, par la même occasion, pour attirer l’attention du nouveau directeur de la Sûreté Nationale (DGSN), Abdelkader Kara Bouhadba, installé ces derniers jours dans ses fonctions en remplacement de M. Mostefa Lahbiri.
Ces policiers, qui rappellent qu’ils ont été « injustement » radiés, faisant valoir les décisions de justice rendues en leur faveur, n’ont tout de même pas manqué de présenter le salut au nouveau DGSN, auquel ils souhaitent pleine réussite dans ses missions au service du pays.
«Nous sommes rassemblés ce lundi 18 février, une journée symbolique dédiée à nos vaillants Chouhada, pour afficher notre détermination à défendre notre cause jusqu’au dernier souffle, et peut-être bien que l’installation du nouveau DGSN est la clé pour régler les déboires des policiers injustement radiés», nous dira M. Maamar Meddour, un représentant des policiers révoqués. Ce dernier nous a remis un exemplaire de la lettre transmise, par le biais de l’Inspection régional de la police de l’Est, au nouveau DGSN, où toutes les explications sont fournies concernant les radiations abusives, les promesses de règlement de ce dossier qui traine depuis feu Ali Tounsi, ainsi que leurs souffrances face au mur de l’indifférence dans une période où l’on prône la réconciliation nationale et le pardon entre les Algériens.
Au bout de leur correspondance, les policiers révoqués «abusivement» ont demandé une audience officielle avec le DGSN, en présence des cadres qui ont eu à gérer, à un moment ou un autre, ce dossier des policiers radiés.The post Constantine – Les policiers révoqués «abusivement» dans la rue appeared first on .
A. E. A.
Dans la foulée de ses sorties en direction des populations, le wali de Constantine, A. Saïdoune, s’est rendu hier dans la cité populeuse de «Benchergui» et ce, à l’effet de s’enquérir des préoccupations de ses habitants, selon un communiqué de la wilaya reçu à la rédaction.Et, souligne le communiqué en question, le chef de l’exécutif a entamé sa visite dans ce quartier par l’inspection du projet de réalisation d’une sûreté urbaine et de l’annexe qui en dépend, où il n’a pas manqué d’insister sur la nécessité d’en accélérer les travaux de construction pour la livrer au mois de juin prochain.
Le plan d’aménagement de la cité, celui de la voirie, les réseaux d’assainissement des eaux usées et de l’alimentation en eau potable, principales préoccupations des habitants, ont été passés en revue par le premier responsable de la wilaya, qui a donné, dans ce cadre, des instructions aux directeurs de l’exécutif concernés pour une entame sans tarder des travaux nécessaires. Et en même temps de veiller autant à la qualité de ces derniers qu’au respect des délais qui leur sont fixés, a-t-il insisté.
Par ailleurs, et en marge de cette visite d’inspection, A. Saïdoune a rencontré les habitants de la cité en question, écoutant leurs préoccupations, dont il y a lieu de signaler qu’elles ont surtout tourné autour de l’aménagement de routes et de la réalisation d’un stade de proximité et d’une aire de jeux pour enfants, en sus de différentes questions concernant les raccordements aux réseaux divers. Le wali a promis à ses interlocuteurs la prise en charge de ces points, donnant des directives aux responsables concernés de veiller à ce que les travaux soient lancés sans retard.
Enfin et pour ce qui a trait au lycée d’une capacité de 1.000 places pédagogiques, en construction à la cité Benchergui, le wali a insisté pour qu’il soit achevé et livré à la prochaine rentrée scolaire 2019-2020.
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A.El Abci
Des citoyens, en majorité des femmes, non bénéficiaires des décisions de pré-affectation, venant de plusieurs quartiers du centre-ville de Constantine (Belouizdad, Larbi Ben M’hidi et 19 Juin), mais aussi de la nouvelle ville de Ali Mendjeli, dans la commune d’El Khroub, ont tenu hier un sit-in devant le cabinet du wali pour protester contre leur « exclusion injuste » du droit au logement social. Ainsi, s’estimant lésés par ce sort qui leur a été réservé, ils déclarent qu’ils se sont rassemblés pour rappeler leur cas au premier responsable de la wilaya, à qui ils imputent la faute commise par son administration faite de « hogra et de mépris », disent-ils.Selon leur représentante, Mme Sabrina, « nous avons droit à des logements neufs et décents et nous ne cesserons de le faire valoir, ici même, sinon nous sommes capables de porter notre dossier aux ministères de l’Habitat et de l’Intérieur, à Alger, et de nous y plaindre. On nous dit, poursuit-elle, que notre cas sera étudié une fois qu’on aura terminé avec le recasement de ceux qui ont les fameuses décisions de pré-affectation. Autrement dit, s’exclame-t-elle, nous qui avons déposé nos demandes de logements dans les années 1990 et même avant, récépissé de l’APC faisant foi, nous devons attendre que le problème de tous ceux qui l’ont fait bien après soit résolu pour qu’on daigne enfin étudier notre cas », dit-elle. Et de rappeler que les autorités locales, et à leur tête le wali, se sont toujours vantées d’accorder la priorité aux demandes les plus anciennes, « mais là c’est apparemment le contraire qui s’est fait. Nous réclamons de voir nos noms figurer dans la prochaine liste à afficher. Et c’est là le moins qu’on puisse exiger, pour nous, et c’est aussi là le minimum que la wilaya puisse faire pour se racheter de sa faute à notre égard», ajoute-t-elle.
Par ailleurs, ceux ayant déposé des recours après le relogement des habitants de Aouinet El Foul, de la cité Emir Abdelkader et la rue de Roumanie, notamment, se sont rassemblés devant le siège de la daïra s’inquiétant de ce qui est advenu de leurs dossiers, déposés depuis 2013 pour ce qui est des cas de cette dernière rue. Les protestataires font savoir qu’ils sont près d’une cinquantaine de familles qui s’interrogent sur tout ce temps passé sans qu’ils soient fixés sur leurs cas. « A chaque fois, affirment-ils, on nous dit c’est pour la semaine ou le mois prochain, nous invitant à plus de patience et cela depuis 2013 », soutiennent les concernés.
Les protestataires devant le cabinet du wali comme ceux devant la daïra se sont dispersés sans avoir été reçus pour cause d’absence des deux responsables.
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A. Z.
Deux individus impliqués dans deux affaires de «possession de psychotropes destinés à la vente» ont été neutralisés, ces derniers jours, par les éléments de la 16e sûreté urbaine à l’intérieur de l’université des frères Mentouri Constantine «1».Suite à une alerte transmise aux services de sécurité, faisant état de la présence d’un individu suspect dans l’enceinte de l’université des frères Mentouri Constantine 1′, les policiers mettront au point un plan qui permettra l’arrestation du mis en cause en possession de 30 comprimés psychotropes et une somme d’argent évaluée à 1.835 dinars, dont la moitié en pièces de monnaie, constituant le revenu des ventes des psychotropes, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya.
Les mêmes services ont été alertés une deuxième fois, en moins de 24h, au sujet de la présence d’un autre individu suspect dans le même campus, qui sera arrêté en possession de 45 comprimés psychotropes. Au total, 75 comprimés psychotropes ont été saisis par les policiers. A l’issue des procédures pénales dans les deux dossiers distincts, les mis en cause, âgés de 22 et 23 ans, ont été présentés devant le parquet local sous le grief de possession et commercialisation de psychotropes dans l’enceinte du campus.
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A. Z.
L’intervention des sapeurs-pompiers de l’unité principale ‘Benattallah Med Cherif’ de la nouvelle ville Ali Mendjeli, dans la soirée de dimanche, à 22h55, au niveau d’un appartement de l’unité de voisinage n°18, a permis de sauver la vie de quatre membres d’une même famille, âgés entre 18 mois et 37 ans, trouvés dans un état critique, souffrant de difficultés respiratoires, de vomissements et de maux de tête, à la suite de l’inhalation de monoxyde de carbone se dégageant du chauffe-bain, indique un communiqué de la Protection civile. Après avoir reçu les premiers soins sur place, les victimes ont été évacuées vers l’hôpital de la nouvelle ville Ali Mendjeli, souligne la même source.The post Ali Mendjeli: 4 membres d’une même famille, dont un bébé, sauvés de l’asphyxie appeared first on .
Yazid Alilat
La date butoir de clôture des inscriptions des commerçants au registre de commerce électronique n’a pas été reportée, et reste fixée au 11 avril prochain, a affirmé M. Aïssa Bekkaï, directeur général de la régulation au ministère du Commerce. Il a expliqué hier lundi à la radio nationale qu’il y a 800.000 commerçants qui se sont déjà inscrits et ont leur registre de commerce électronique, alors que le nombre global de commerçants est de deux millions, détenteurs des anciens registres de commerce. «Un décret a mis en obligation les commerçants pour s’inscrire électroniquement avant le 11 avril 2019 », a-t-il indiqué, avant de souligner qu»’une campagne de sensibilisation a été lancée pour inciter les commerçants à s’inscrire et respecter cette échéance». «Le registre de commerce électronique a été mis en place pour l’assainissement de la liste des commerçants et la lutte contre l’exercice frauduleux de l’activité commerciale, ainsi que la maîtrise du nombre d’inscrits au registre de commerce», explique M. Bekkaï.Il a indiqué en outre que cette opération pilote a été lancée au niveau de la wilaya d’Alger et «nous avons formé 500 cadres et on les a dotés de tablettes électroniques pour faciliter le contrôle des commerçants. Après la wilaya d’Alger, l’opération sera généralisée au niveau national». Sur la facilitation des procédures d’accès à l’activité commerciale, M. Bekkaï a indiqué qu»’il y a un programme du gouvernement pour la facilitation de la procédure administrative, et c’est pour cela que le ministère a mis en œuvre une série de mesures de facilitation, comme le local pour la création d’une activité commerciale». «Là, a-t-il dit, on se contente d’un petit signal pour la domiciliation», mais, ajoute-t-il, «il y a une vingtaine de règles pour faciliter l’accès à l’activité commerciale».
Le ministre du Commerce Saïd Djellab a indiqué dimanche que les jeunes porteurs de projets pourraient domicilier leur siège social auprès d’un commissaire aux comptes, d’un expert-comptable, d’un avocat ou d’un notaire, ou encore dans la résidence du représentant légal de la société pour une durée maximale de deux années renouvelable une fois. L’obligation d’avoir un local pour obtenir le registre de commerce a été abandonnée par le ministère. Pour les personnes physiques, le domicile habituel est suffisant.En fait, «nous tablons sur l’évolution de l’activité commerciale, et c’est pour cela qu’on facilite l’acte commercial le plus possible», a relevé M. Bekkaï. D’autre part et concernant le renouvellement du registre de commerce pour les importateurs, il a expliqué que «nous avons opté pour les importateurs et les revendeurs en l’état, et cette obligation vise à ce qu’il y ait un renouvellement du registre de commerce chaque deux ans pour maîtriser le nombre de ces intervenants sur le marché». Selon M. Bekkaï, il y a 42.160 commerçants dans la revente en l’état et 14.625 doivent renouveler leur registre de commerce, soit 34,7%. «Nous avons accordé un second délai de six mois après la promulgation de l’arrêté qui sera en vigueur dans quelques jours».
Enfin, sur l’instauration du dispositif additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS), introduit pour certains produits importés dont la taxe ira jusqu’à 200%, M. Bekkaï a rappelé que ce dispositif a été instauré «pour assurer des équilibres, comme la liberté d’accès au commerce extérieur, l’encouragement de la production nationale, ne pas priver le citoyen des produits de l’extérieur, et assurer un équilibre entre la fonction de la production et la fonction de l’importation».
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Ali Chabana
La police a interpellé un individu âgé de 24 ans, sa fouille corporelle a permis la saisie de 8 pierres précieuses ainsi qu’un détecteur de métaux. Le mis en cause arrêté a été déféré devant les instances judiciaires et ce, pour détention de marchandise d’origine étrangère introduite sur le territoire national par le biais illégal de la contrebande, a-t-on indiqué de source sécuritaire.The post Tébessa: Saisie de pierres précieuses, une arrestation appeared first on .
R.N.
Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, présentera la Déclaration de politique générale lundi prochain devant l’Assemblée populaire nationale (APN), a-t-on appris hier auprès de l’Assemblée.La Déclaration de politique générale qui sera présentée en séance plénière devant les députés de l’APN, sera suivie d’un débat général qui se poursuivra jusqu’à mercredi, alors que les réponses de M. Ouyahia aux questions et préoccupations des députés sont programmées jeudi 28 février dans l’après-midi, précise la même source.
La Déclaration de politique générale comprend six chapitres relatifs au bilan du gouvernement dans les différents secteurs et une conclusion axée sur « les vertus de la continuité ». Elle comprend une évaluation du bilan du gouvernement qui « reflète de nombreuses avancées dans la mise en œuvre du programme du président de la République ». « Ces avancées soulignent les vertus de la continuité, qu’il s’agisse de la continuité dans le quinquennat actuel de son Excellence le Président Abdelaziz Bouteflika, ou qu’il s’agisse de la continuité dans le processus de reconstruction nationale conduit par le chef de l’Etat », souligne le document.
La Déclaration est accompagnée d’annexes résumant les résultats du quinquennat 2014-2018, mais aussi de la période allant de 1999 à 2018. Il s’agit d’un bilan quinquennal 2014-2018 « riche en réformes et en réalisations », note le document, soulignant que « les cinq dernières années qui sont riches en avancées dans la modernisation de l’Etat, ont été marquées par l’exécution quasi-totale des engagements pris par le chef de l’Etat lorsqu’il s’est présenté devant le peuple en avril 2014 ». Pour ce qui est du bilan 1999-2018, il est qualifié de « véritable renaissance nationale, fruit de la continuité ». Le document cite notamment le rétablissement de la paix et de la réconciliation nationale, ainsi que les « réalisations physiques imposantes », entre autres la livraison totale de plus de 4 millions de logements, l’évolution des indicateurs du développement humain (les taux de scolarisation, de raccordements à l’eau potable, aux réseaux d’assainissement, à l’électricité proches de 100%), de même que le remboursement par anticipation de plus de 25 milliards USD de dettes.
Pour ce qui est des chapitres de la Déclaration de politique générale, le premier est consacré à l’amélioration de la gouvernance et le renforcement de l’Etat de droit, réparti en quatre sections, à savoir la modernisation de la gouvernance territoriale et des rapports avec les citoyens, la numérisation de l’administration publique et la poursuite de la modernisation de la gouvernance financière. Le deuxième chapitre relatif à l’économie englobe plusieurs secteurs, notamment l’agriculture, le développement rural, la pêche, l’industrie, les mines, l’énergie, le tourisme, l’artisanat et le commerce. Le troisième chapitre du document concerne la consolidation des infrastructures de base, alors que quatrième chapitre s’intéresse au développement humain dans divers domaines.
Le cinquième chapitre est consacré au développement social et culturel et comprend sept sections. Enfin, le sixième chapitre concerne la communauté nationale à l’étranger, la politique étrangère et la défense nationale.
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Naït Ali H.
Un autre réseau de faux-monnayeurs vient d’être démantelé par les éléments de la sûreté de la daïra de Ouaguenoune (15 km à l’est de Tizi Ouzou), le troisième en quelques mois, avons-nous appris hier.Composé de trois individus natifs de Tigzirt, Mekla et Tizi Ouzou, le réseau s’est spécialisé dans le trafic de faux billets de 2.000 dinars. Un million et 32.000 dinars en faux billets (516 coupures de 2000 dinars), trois véhicules et le matériel utilisé ont été saisis suite au démantèlement de cette bande de faux-monnayeurs. Les mis en cause, âgés entre 38 et 48 ans, ont été présentés devant le tribunal de Tigizrt territorialement compétent.
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K. Assia
Suite à des investigations approfondies, les éléments de la brigade de recherches et d’investigations de la sûreté de la wilaya d’Oran sont parvenus à démanteler un réseau de cinq membres impliqué dans la détention et la commercialisation des stupéfiants. Les mis en cause âgés entre 21 et 30 ans ont été appréhendés à bord d’une Renault Clio en possession de six capsules de cocaïne soit un poids global de 15 grammes, des comprimés psychotropes, un montant de 21 millions de centimes et 50 euros. L’un des membres du réseau faisait l’objet de deux mandats d’arrêt pour coups et blessures volontaires et vol. Présentés au tribunal, deux d’entre eux ont été placés sous mandat de dépôt alors que les trois autres ont bénéficié de la liberté provisoire.Toujours dans le cadre de la lutte contre la détention et la commercialisation des stupéfiants, trois autres individus âgés entre 20 et 45 ans ont été appréhendés par les services de la 4ème sûreté urbaine. Ils ont été arrêtés à bord d’un véhicule dont la fouille a donné lieu à la saisie de 100 grammes de kif traité et d’une somme d’argent de 8, 6 millions de centimes. Ils ont été présentés au tribunal et placés sous mandat de dépôt. Au total, cinq dealers ont été écroués par les services de la police.
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K. Assia
La bande spécialisée dans le vol des plaques et accessoires des véhicules vient de tomber dans les filets de la 10ème sûreté urbaine. L’enquête a été ouverte à la suite d’une plainte déposée pour vol.Les enquêteurs ont arrêté deux individus et ont récupéré les objets volés. Deux armes blanches ont été aussi saisies. Ils seront présentés au tribunal à l’issue des investigations. Par ailleurs, une moto volée a été également récupérée par les services de la 9ème sûreté urbaine.
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