Alors que l’Algérie enregistre de moins en moins de cas de contamination à la covid-19, les appels à la vaccination se multiplient et s’accordent tous à dire qu’il s’agit de la meilleure période pour se protéger du virus. Le bilan quotidien du ministère de la Santé confirme cependant la stabilité sanitaire que connait le pays depuis plus d’un mois.
Aujourd’hui, le 04 octobre 2021, l’Algérie a enregistré 126 nouveaux cas de contamination à la covid-19. Outre les infections, le dernier bilan émis par le ministère de la Santé déplore également 4 nouveaux décès. Le communiqué indique enfin que le pays a enregistré 91 nouvelles guérisons et que 16 patients se trouvent en soins intensifs.
Les derniers chiffres dévoilés par le département de Abderrahmane Benbouzid ont fait monter le total des contaminations en Algérie à 203.754 cas. Le pays a déploré, depuis le début de la pandémie, pas moins de 5830 contaminés décédés à cause des complications liées au virus.
Vaccination contre la covid-19 : une troisième dose ?La campagne de vaccination contre la covid-19 en Algérie a touché 50 % de la population concernée, indique le ministre de la Santé Abderahmane Benbouzid. Cependant, et au moment où l’on parle d’ajout de troisième dose, moins d’un tiers du chiffre avancé par le ministre a déjà reçu sa deuxième dose.
Selon Benbouzid, plusieurs pays « n’ont pas encore examiné la possibilité d’administrer une troisième dose de vaccin ». En s’appuyant sur ce constat, le ministre affirme que l’introduction d’une troisième dose dans la campagne de vaccination en Algérie est, pour le moment, écartée.
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Dans une affaire étrange, un squelette d’un homme, repêché du fond du lac de Paladru, en Isère, au sud de la France, a été identifié onze ans plus tard.
L’histoire remonte au mois de mars 2010, où une équipe de plongeurs des sapeurs-pompiers a découvert des ossements à 18 mètres de profondeur dudit lac, a-t-on appris de France 3.
La même source a ajouté que les plongeurs ont contacté, par la suite, la gendarmerie. Cette dernière a envoyé sur place des plongeurs spécialistes, qui ont réussi à l’époque à remonter 80 % des ossements d’un corps humain.
Après le lancement d’une enquête pour identifier le squeltte, les ossements ont été confiés à l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN), où des analyses ADN et une datation au carbone 14 ont été réalisées. Ces dernières ont prouvé que le cadavre appartenait à un homme décédé entre 1955 et 1963.
Dans le même contexte, des appels à témoins ont été lancés pour tenter d’identifier les ossements, mais aucune personne ne s’est manifestée. Sur ce, le procureur de la République à Bourgoin-Jallieu a classé l’affaire, en 2016, et les ossements en questions ont été inhumés sous X.
Les ossements appartiennent à un homme d’origine algérienneCet été, une femme d’origine algérienne tombe sur un article, qui date du 2012, de Dauphiné Liberé. Ce dernier relate la découverte d’ossements dans le lac du Paladru. Par coïncidence, cette femme est la sœur de l’homme dont les ossements ont été repêchés dans ledit lac en 2010.
Immédiatement, elle appelle la gendarmerie pour leur expliquer que son frère a disparu alors qu’il se baladait en barque sur le lac avec un ami, précisant qu’il se serait jeté à l’eau, mais n’aurait jamais refait surface, et ce, le 18 juin 1961.
Après ces témoignages, un test ADN a été réalisé, où le résultat dévoilé récemment, à la fin du mois de septembre passé, a affirmé qu’il s’agit bien de la sœur de la victime, a indiqué France 3.
Il convient également d’indiquer que la même source a révélé que la victime est d’origine algérienne, précisément de Constantine, ajoutant qu’elle était venue travailler en France afin de subvenir aux besoins de sa famille.
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La France a souvent été la première destination des étudiants algériens, la qualité de l’enseignement supérieur semble attirer nos étudiants de plus en plus.
Ces dernières années, nous avons vu une hausse de 44% entre 2013 et 2018 dans le nombre d’étudiants algériens inscrits. Alors qu’en 2019, ils étaient 31 196 à choisir l’Hexagone pour poursuivre leurs études et construire leur avenir.
Cette année, le président de l’association « Algériens des deux rives » et leurs amis (ADDRA) Jugurtha Aiyed révèle, dans une publication sur sa page Facebook, que plus de 31 000 étudiants algériens se sont inscrits dans les universités françaises.
Le président a également dit que ce nombre démontre une aubaine pour le développement de la France et une perte pour l’Algérie, faisant allusion à la « fuite des cerveaux » dont notre pays souffre depuis des années.
Un nouveau départ qui nécessite de l’aideChanger de continent pour poursuivre ses études et commencer une nouvelle vie est une aventure assez compliquée, ça peut fatiguer ou décourager nos jeunes ambitieux. Cependant, beaucoup d’associations en France sont à l’écoute de ces nouveaux étudiants.
C’est pour cela que l’ADDRA organise des ateliers « Bienvenue en France », ayant pour but d’informer sur le rôle et le fonctionnement des institutions en France. Mais ce n’est pas tout, l’association répond également à toutes les questions que posent les nouveaux étudiants, et leur présente des outils et méthodes utiles pour leur vie d’étudiant.
Un autre type d’association est indispensable pour les étudiants notamment les nouveaux n’ayant pas d’emploi, Emmaüs, qui permet aux étudiants de s’équiper de tout pour l’université et logement, il suffit donc de s’y présenter avec sa carte d’étudiant pour bénéficier des promotions.
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Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Youcef Belmahdi, à l’instar de plusieurs personnalités politiques algériennes, n’a pas manqué de répondre à la dernière diatribe du président français, Emmanuel Macron. Le ministre a notamment qualifié les « détracteurs de l’Algérie » de « mangeurs de rats ».
Youcef Belmahdi, aujourd’hui, le 04 octobre, lors de l’ouverture de la conférence nationale des cadres de son département, s’exprimait à propos d’un accord entre son ministère et celui de Abderrahmane Benbouzid, dans le but de garantir la santé des élèves des écoles coraniques.
Sans crier gare, le ministre indique que « cette nation (l’Algérie) possédait une histoire avant que ceux qui n’en ont pas une n’osent l’attaquer ». Belmhadi souligne que « cette nation a été autrefois la gardienne de la méditerranée ». Il va même juste qu’à dire « qu’il n y avait pas de mot à dire dans cette mer que pour l’Algérie ».
« Ils mangeaient des rats ! »Belmahdi, enchaine et se déchaine. Après voir indiqué que l’Algérie, à un certain moment de l’histoire, dictait sa loi dans le bassin méditerranéen, il rappelle qu’elle était également une nation généreuse. Le ministre des Affaires religieuses rappelle que l’Algérie « exportait sa bienfaisance vers ce pays qui souffrait d’une famine durant laquelle on y mangeait des rats ».
Pendant cette famine, toujours selon le ministre, l’Algérie aidait les Français, « les nourrissait et les abreuvaient sans demander des remerciements ». Cette « aide », selon Belmahdi, s’est faite dans le cadre d’une volonté purement religieuse dictée par les enseignements d’un islam qui invite à « nourrir les détenus même s’ils ne sont de notre religion ».
Le ministre des Affaires religieuses livre ensuite son analyse sur les raisons qui ont poussé Macron « à s’attaquer à l’Algérie ». Selon lui, il s’agit « d’une crainte d’un véritable décollage du développement en Algérie ». Pour conclure, Belmahdi fait l’éloge de l’ANP. Il indique notamment que « notre armée n’est pas comme le reste des armées mercenaires et dénuées d’identité ».
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Le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a réagi ce lundi 4 octobre 2021 aux derniers propos du président français Emmanuel Macron sur l’Algérie.
En marge de sa visite de travail et d’inspection, effectuée à Oran, le Premier ministre a déclaré que « les déclarations proférées à l’égard de l’Algérie se projettent sur leur auteur », dans sa réponse aux à la dernière sortie médiatique du président français.
Emboitant le pas à la réaction de la présidence de la République aux propos de Macron sur l’Algérie, Benabderrahmane a ajouté que « l’Algérie n’acceptera jamais de telles déclarations ».
En réponse aux questions de Macron à propos de « l’existence de la nation algérienne avant la colonisation française », le premier responsable au gouvernement algérien a indiqué que l’Algérie est ancrée dans l’histoire ».
À ce propos, il n’a pas manqué d’évoquer des figures emblématiques de l’histoire de l’Algérie. « Vous n’avez qu’à demander à Massinissa, Medghassen et à l’Émir Abdelkader », a-t-il déclaré.
L’Algérie rejette « l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures »Pour rappel, l’Algérie a réagi officiellement aux déclarations du chef de l’État français. Dans un communiqué publié samedi dernier, la résidence de la République a indiqué que l’Algérie a exprimé samedi son rejet « catégorique de l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures ».
« À la suite des propos non démentis que plusieurs sources françaises ont attribués nommément au Président de la République française, l’Algérie exprime son rejet catégorique de l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures que constituent lesdits propos », peut-on lire dans le communiqué.
Rappelant également que plusieurs autres responsables et personnalités politiques ont réagi aux propos de Macron sur l’Algérie. Pour sa part, l’ancien diplomate Abdelaziz Rahabi a déploré « le niveau de ces déclarations non démenties de la part des autorités françaises ».
Dans un poste publié sur sa page Facebook, il a affirmé que ces déclarations constituent « un discours sur l’Algérie qui s’adapte à chaque échéance électorale ». Ainsi, il estime que « l’Algérie devient désormais un sujet de débat récurrent » ou carrément « un problème de politique interne pour la France ».
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Les autorités espagnoles ont classé l’Algérie dans la liste rouge des pays touchés par le Coronavirus, en matière de lutte contre la propagation de ce virus mortel, et ce, depuis juin 2020, au moment où la première vague de contaminations faisait beaucoup de victimes dans les hôpitaux algériens.
Selon le ministère espagnol de la Santé, de la Consommation et de la Protection sociale, les voyageurs provenant de l’Algérie doivent impérativement être vaccinés contre la Covid-19. Autrement, ces derniers doivent présenter une preuve qu’ils sont guéris du Covid-19 au cours des derniers mois. Sinon, ils doivent présenter le résultat d’un test PCR négatif.
Récemment, les mêmes autorités ont mis à jour ladite liste, mais l’Algérie n’a pas été concernée par ce changement, ce qui veut dire que les ressortissants algériens seront toujours soumis à l’exigence de certaines conditions, avant de joindre le territoire espagnol.
Conditions d’entrer en Espagne : la mise à jour d’Air AlgériePar ailleurs, la compagnie nationale de transport aérien, Air Algérie, a publié, ce dimanche 03 octobre, sur sa page Facebook officielle, de nouvelles conditions pour les Algériens souhaitant voyager en Espagne.
» Vous voyager en Espagne, assurez-vous de remplir toutes les conditions d’entrée et de vous enregistrer obligatoirement en ligne sur le site www.spth.gob.es « , a écrit ladite compagnie.
Il est à noter que ces nouvelles conditions sont mises en place afin de s’adapter aux mesures du gouvernement espagnol concernant les voyages depuis l’Algérie.
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Souvent avec les footballeurs binationaux, un choix cornélien s’impose dans leur carrière lorsqu’il s’agit de choisir le pays à représenter, oscillant entre choix du cœur ou de raison, la prise de décision est très difficile.
Il s’agit cette fois-ci d’une pépite, évoluant à Crystal Palace. Michael Olise n’a pas deux nationalités, mais quatre. Né en Angleterre, d’un père nigérien et d’une mère franco-algérienne, on peut dire que le jeune âgé de 19 ans a l’embarras du choix.
La Star de Championship anglaise a brillé avec le club de Reading, il a intéressé beaucoup de clubs à l’instar de Chelsea, Liverpool, Leeds, Arsenal ou encore le Milan AC, il a réellement charmé la Premier League et a fini par s’engager pour une durée de cinq ans avec le club londonien de Crystal Palace.
Élu meilleur jeune joueur en Championship grâce à ses 7 buts et 12 passes décisives, le milieu de terrain a décliné le Nigéria en mars 2021, ce dernier espère représenter l’Algérie, selon le journaliste sportif de BBC Oluwashina Okeleji, l’agent de Michael Olise l’a incité et convaincu à choisir les Verts.
L’équipe nationale de l’Algérie, un choix réunissant le cœur et la raisonL’Algérie possède un riche effectif de joueurs performants et notre équipe pèse sur l’échelle continentale, de quoi attirer beaucoup de joueurs et de pépites. C’est le cas de Yanis Lagha, convoqué par deux sélectionneurs de deux équipes U18, il préfère l’Algérie.
Le cas contraire existe également comme pour Sami Tlemçani, le gardien de but de Chelsea a choisi le Maroc et a décliné l’offre de Belmadi.
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Tout le monde sait que l’obtention d’un visa américain n’est pas quelque chose de simple, notamment pour les Algériens, mais le hasard peut parfois faire des heureux.
En fait, beaucoup de citoyens algériens espèrent obtenir un visa pour les États-Unis en tentant leur chance à la loterie de la fameuse » Green Card « .
En effet, chaque année, plus de 50 000 personnes à travers le monde obtiennent leur permis de séjour grâce au tirage au sort de la Green Card américaine, organisée chaque année au 4e trimestre, à partir du mois d’octobre, jusqu’au mois prochain.
Parmi tous les participants, seulement 55 000 chanceux, de nationalités différentes, obtiendront leur permis de travail. Il s’agit d’un document officiel qui leur permet d’être un résident permanent aux États-Unis,
Quelles sont les conditions de participation requises ?Afin de pouvoir participer à ce tirage au sort, obtenir la citoyenneté américaine et vivre aux USA, deux conditions essentielles sont requises. Pour la première, le candidat doit faire partie d’un pays éligible, comme c’est le cas de l’Algérie.
En effet, la politique de l’immigration des États-Unis est basée sur le souhait de préserver la mixité de sa population qui est essentiellement constituée d’immigrants, donc, le pays ne délivre pas la Green Card aux citoyens des pays pour lesquels beaucoup de visas ont été attribués ces cinq dernières années.
En ce qui concerne la deuxième condition, le candidat doit également avoir fait des études secondaires pour un niveau d’étude équivalent au Bachelor (niveau baccalauréat en Algérie), ou, à défaut, avoir occupé durant ces cinq dernières années un poste d’une durée de deux ans ou plus, et acquis une formation ou une expérience professionnelle de 2 ans minimum.
Comment participer à cette loterie ?Pour participer, il suffit de se connecter sur le site officiel et répondre à un questionnaire portant sur l’état civil, lieu de résidence, coordonnés mails et téléphoniques, niveau d’études et situation familiale. Par la suite, le candidat doit transmettre une photo datant de moins de six mois, au format 600×600.
Une fois le formulaire rempli et validé, aucune modification supplémentaire n’est plus possible. Sachant que toute erreur commise, conduit à une élimination de la candidature.
Il est à noter que la demande d’inscription dans le site officiel est entièrement gratuite. En outre, sur ledit site, tout est soit en langue anglaise, soit en langue espagnole.
Pour les résultats de ce tirage au sort, ils seront publiés le mois de mai de l’année prochaine sur le même site.
Il convient également d’indiquer qu’il n’y a pas que cette loterie pour obtenir une Green Card. Un autre type de visa appelé » visa L-1 » est aussi un moyen de prétendre au permis de travail.
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Le premier ministre Aïmene Benabderrahmane, a entamé aujourd’hui sa visite dans la wilaya d’Oran. Cette visite survient dans le cadre de la préparation à l’accueil des jeux méditerranéens de 2022. Profitant de cette occasion, le premier responsable du gouvernement a fait des déclarations censées booster la cadence des projets en cours dans la capitale de l’ouest.
Dès son arrivée à l’aéroport, Aïmene Benabderrahmane s’est montré particulièrement attaché au respect des délais de réalisation des projets. Le premier ministre s’est également penché sur les problèmes administratifs. Il a notamment estimé que la politique de la réalisation des projets en Algérie doit dépasser ses freins administratifs pour se focaliser sur sa dimension purement technique.
Chantiers : « il n’y a qu’en Algérie qu’on ne travaille que 8 heures par jour »Le premier ministre, en visite dans la wilaya d’Oran, a insisté sur l’importance de respecter les délais de réalisation des projets. Aïmene Benabderrahmane a notamment déclaré que « tous les chantiers de réalisation de projets fonctionnent avec un système 3×8 sauf en Algérie ». L’homme fort du gouvernement a ensuite appelé les chantiers à adopter « ce système de 24 h afin d’éviter les retards ».
Aïmene Benabderrahmane s’est ensuite penché sur le volet administratif de la réalisation des projets. En Algérie, a-t-il estimé, cela constitue un véritable frein. Le premier ministre, en parlant d’un projet qui n’a pas vu le jour aptès 13 ans de son lancement, a déclaré que « en treize ans certains pays construisent des villes entières ». Il enchaine ensuite en soulignant que dorénavant il faudra « étudier les projets profondément avant le lancement de leurs chantiers ».
Avant l’octroi d’un ODS, « je reste 3 ans en phase d’étude, peu importe », lâche le premier ministre, qui insiste sur l’importance de « la maturation des projets ». Si cela est respecté, estime Benabderrahmane, les projets vont être réceptionnés dans les délais et sans dépasser l’enveloppe qui leur a été initialement allouée.
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Le Premier ministre Aïmene Ben Abderrahmane a réitéré ce lundi 3 octobre, son appel aux opérateurs privés d’investir dans le domaine du transport aérien.
En marge d’une visite qu’il a effectuée aujourd’hui dans la wilaya d’Oran, le Premier ministre a inspecté les travaux d’extension au niveau de l’aéroport Ahmed Ben Bella. Ben Abderrahmane a indiqué que cette infrastructure « constitue la façade et l’image de l’Algérie en général et de la wilaya d’Oran en particulier ».
De ce fait, le premier responsable du gouvernement a appelé à la nécessité du « suivi immédiat des travaux et de l’accélération des travaux d’extension » de cette infrastructure. Depuis cet aéroport, Ben Abderrahmane a tenu à réitérer son appel aux opérateurs privés d’investir dans le domaine du transport aérien.
Dans ce sens, le Premier ministre a indiqué que les privés devront s’intéresser au secteur du transport aérien, tout en soulignant que plusieurs demandes et dossiers d’opérateurs privés sont en cours d’étude au niveau de son département.
Dans le même contexte, il a indiqué que l’Algérie a besoin de compagnies de transport aérien et d’investisseurs privés afin de contribuer au processus d’exportation. À ce propos, il a également insisté sur la nécessité d’une utilisation optimale des infrastructures.
« L’investissement est ouvert, pour certains secteurs jusque-là interdits »En outre, le responsable a mis l’accent sur l’importance de la maintenance et du suivi quotidien afin de mettre en valeur les infrastructures publiques en les présentant dans de meilleures conditions pour l’exportation.
Dans le même sillage, il a également souligné la nécessité de soumettre les travailleurs de l’aéroport à une formation dans le domaine de l’hygiène, sécurité et environnement et dans la maintenance des équipements.
Pour rappel, le Premier ministre a déjà appelé, le 23 juillet dernier, que l’investissement dans le domaine du transport aérien est désormais ouvert au privé. L’appel a été fait lors d’une séance de réponses aux questions des sénateurs dans le cadre du débat du Plan d’action du Gouvernement.
Ben Abderrahmane a, en effet, appelé les investisseurs privés à investir prochainement le domaine des transports aérien et maritime, jusque-là non autorisé, précisant que « l’investissement est désormais ouvert, particulièrement pour certains secteurs jusque-là interdits officieusement et qui sont actuellement autorisés officiellement ».
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Le président français Emmanuel Macron vient de remettre en cause une tranche assez large de l’histoire algérienne. En réponse, l’Algérie a vite réagi en rappelant notamment « les crimes de la France coloniale » et en « rejetant toute ingérence dans ses affaires intérieures ». A priori, tout porte à croire que le dossier de la mémoire revient de nouveau au point de départ.
Samedi dernier, le journal français le Monde a publié un article dans lequel il rapporte des déclarations du chef de l’État français. Lors d’une rencontre avec « les petits enfants de la guerre d’Algérie », il s’en est violemment pris aux dirigeants algériens tout en remettant « l’histoire officielle » de l’Algérie.
Selon le même journal qui s’est dit présent lors de la rencontre tenue jeudi 30 septembre dernier, Macron a invité dix-huit jeunes à l’Élysée. Il s’agit de Français d’origine algérienne, de binationaux et de certains Algériens. L’historien chargé du dossier de la mémoire du côté français, Benjamin Stora a été également présent.
Pour expliquer le contexte, il convient de noter que les 18 jeunes conviés par Macron sont principalement des petits fils de combattants du Front de libération nationale (FLN), de militaires français, appelés, harkis ou rapatriés (pieds-noirs et juifs), précise encore le journal.
D’emblée, le chef de l’État français affirme qu’il était « frappé, durant ces dernières années, de voir à quel point l’histoire et les mémoires de la guerre d’Algérie étaient la matrice d’une grande partie de nos traumatismes ».
« Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? »Selon lui, « il y a des souffrances qui ont été tues, et qui se sont construites comme étant irréconciliables. Or, je pense tout l’inverse ». Ensuite, il lâche qu’après son indépendance en 1962, l’Algérie s’est construite sur « une rente mémorielle », entretenue par « le système politico-militaire ».
S’attardant sur le volet historique et mémoriel entre les deux rives de la méditerranée, ce qui était d’ailleurs l’objet évoqué de la rencontre, Macron a parlé « d’une histoire officielle totalement réécrite » qui « ne s’appuie pas sur des vérités », mais sur « un discours qui repose sur une haine de la France ».
Toujours dans la même lancée, le président français est allé encore plus loin, en se demandant : « Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question ».
Dans ce sillage, il a rappelé qu’il y a eu « de précédentes colonisations ». À titre d’exemple Macron fait allusion, selon le même journal, à l’Empire ottoman. « Fasciné de voir la capacité qu’a la Turquie à faire totalement oublier le rôle qu’elle a joué en Algérie et la domination qu’elle a exercée », a-t-il déclaré.
La réaction de l’AlgérieSuite à tout ce qui a été dit, l’Algérie a réagi officiellement, d’abord en rappelant son ambassadeur en France pour consultation, ensuite via un communiqué dans lequel elle a tenu à remettre l’histoire dans son contexte.
Dans son communiqué, la présidence de la République a évoqué des propos non démentis attribués au président français. Suite de quoi, « l’Algérie exprime son rejet catégorique de l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures que constituent lesdits propos », lit-on dans le communiqué.
Concernant les déclarations de Macron sur l’histoire, l’Algérie a affirmé que « les propos en question portent une atteinte intolérable à la mémoire des 5.630.000 valeureux martyrs ». Il s’agit, selon la même source des martyrs « qui ont sacrifié leurs vies dans leur résistance héroïque à l’invasion coloniale française ainsi que dans la Glorieuse Révolution de libération nationale ».
Dans une réplique assez claire, l’Algérie a rappelé à la France et à l’auteur des déclarations controversées que les crimes de la France coloniale existent bel et bien et ne peuvent pas être omis ni effacés.
« Les crimes de la France coloniale en Algérie sont innombrables »« Les crimes de la France coloniale en Algérie sont innombrables et répondent aux définitions les plus exigeantes du génocide contre l’humanité ». « Ces crimes qui ne sont pas prescriptibles ne sauraient faire l’objet d’une manipulation des faits et d’interprétations atténuantes », précise-t-on encore.
À ce propos, l’Algérie n’a pas manqué d’énumérer les atroces « crimes coloniaux » commis par la France, que tentent d’occulter « les nostalgiques de l’Algérie française ».
Selon le communiqué, les « nostalgiques de l’Algérie française » tentent « d’occulter les exactions, massacres, enfûmades, destructions de villages, des centaines de ‘’Oradour-Sur-Glane’’, éradications de tribus de résistants ».
Il s’agit donc de « génocides en séries que les acrobaties conceptuelles et les raccourcis politiques ne parviendront jamais à occulter », ajoute encore la présidence de la République algérienne.
Apologie du colonialisme et légitimité de luttes de la libération nationaleDans leur réaction, les autorités algériennes ont parlé d’une « malencontreuse intervention qui heurte fondamentalement les principes devant présider à une éventuelle coopération algéro-française en matière de mémoire »,
Mais aussi, de « l’incorrigible défaut de tendre vers la promotion d’une version apologique du colonialisme au détriment de la vision établie par I’Histoire de la légitimité de luttes de la libération nationale ».
Ceci dit, l’Algérie considère « que rien ni personne ne peut absoudre les puissances coloniales de leurs crimes, y compris les massacres du 17 octobre à Paris dont l’Algérie et sa communauté établie en France s’apprêtent à commémorer dans la dignité ».
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La rentrée de 2021 est celle de tous les problèmes. Outre la crise économique et politique que le pays traverse, les écoles algériennes sont menacés de connaitre une énième grève alors que les cours n’ont pas encore commencé. C’est face à ce risque que l’Organisation nationale des parents d’élèves, s’est montrée particulièrement hostile aux projets des syndicats.
L’Organisation nationale des parents d’élèves n’a pas hésité à aller jusqu’à menacer les syndicats de les attaquer en justice s’ils concrétisent leurs projets de grève. Cette démarche est mue par la volonté de « garantir l’intérêt des élèves », estime l’organisation nationale.
École : syndicats contre parents d’élèvesDans un communiqué rendu public hier dimanche, l’Organisation nationale des parents d’élèves a indiqué qu’elle « suit avec grand intérêt ce qui se passe dans le milieu éducatif », et qu’elle « contribue avec tous ses efforts dans le cadre des lois en vigueur ».
L’Organisation nationale des parents d’élèves ne manque pas d’évoquer « certains syndicats qui miroitent des grèves alors que les cours n’ont pas encore commencé ». Face à ce qu’elle considère comme étant « un obstacle » dressé face aux « efforts de l’état » pour « la promotion de l’école », l’ONPE menace de « recourir à la justice afin de garantir l’intérêt des élèves et d’éloigner l’école sur toutes les formes de pression ».
Il est à rappeler que les menaces des syndicats de recourir à la grève ne sont pas complètement dénués de raisons. Les contractuels, pour ne citer qu’eux, se trouvent au cœur d’un chaos qui les éloigne tout espoir de titularisation. La pénurie du manuel scolaire constitue, elle aussi, un indicateur dangereux des problèmes de gestion dont souffre l’école algérienne. Il ne faut pas aussi oublier la crise économique dont souffre le pays, et qui n’a pas manqué de touché les enseignants au même titre que tous les travailleurs du pays.
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La fermeture de l’espace aérien, une décision prise par les autorités algériennes suite à la propagation du Coronavirus. Cette dernière vise essentiellement à limiter la circulation du virus mortel dans le pays.
Le 1er juin dernier, les mêmes autorités ont annoncé la réouverture partielle des frontières aériennes, avec un programme de vols internationaux desservant sept pays, à savoir, la France, l’Espagne, la Russie, la Turquie, la Tunisie, l’Italie et l’Allemagne.
Quelque temps après, un nouveau programme de vols internationaux a été mis en place. Ce dernier a augmenté le nombre de vols de 32 à 64 par semaine, avec les sept pays précités, dont 48 vols uniquement entre la France et l’Algérie. Mais cette augmentation n’a pas été suffisante.
En effet, de nombreux ressortissants algériens à l’étranger n’ont pas pu rejoindre le pays à cause du manque des billets d’avion, et ce, malgré les 64 vols hebdomadaires opérés.
Ainsi, les Algériens résidant aux États-Unis, le Canada, la Belgique, et autres pays non concernés par le nouveau programme de vols, trouvent des difficultés majeures pour se rendre au territoire national, où ils sont obligés à faire des escales afin d’y arriver. Un problème que la diaspora dénonce fortement.
Des députés de l’émigration insistent sur la réouverture totaleÀ ce titre, une réunion a été tenue, ce dimanche 03 octobre 2021, regroupant les représentants de la diaspora à Paris, Marseille et Washington, ainsi que le président de l’APN, Ibrahim Boughali, où la réouverture totale des frontières aériennes était au cours du débat.
» Cette rencontre a été organisée pour répondre à la première préoccupation de la communauté algérienne à l’étranger et pour poursuivre les contacts avec les hauts responsables de l’État afin de viser l’ouverture totale des frontières « , a affirmé le représentant de la diaspora à Paris, le député Abdelouahab Yagoubi.
Il a ajouté : » lors de ladite réunion, on a également abordé d’autres sujets qui préoccupent les Algériens, dont l’intensification des vols en provenance de divers pays et villes européens, en Amérique du Nord et capitales arabes, le lancement des croisières, l’ouverture des frontières terrestres avec la Tunisie et la situation particulière de notre communauté au Maroc « .
Le député souligne que les points précités resteront » une priorité » jusqu’à ce qu’ils soient pleinement pris en charge par le gouvernement.
De son côté, le représentant de la diaspora à Marseille, Tawfiq Khedim, a fait savoir, dans une publication sur sa page Facebook, que le président de l’APN » a promis de transmettre cette correspondance au président de la République « .
Ajoutant ainsi, que » cette préoccupation restera présente jusqu’au retour des vols et des croisières pour répondre aux besoins de la communauté à l’étranger « .
L’article La réouverture des frontières au cœur d’une réunion au sommet de l’APN est apparu en premier sur .
La crise entre Paris et Alger a monté d’un cran durant la journée d’hier dimanche. Comme réaction aux dernières sorties du président français, l’Algérie a décidé d’interdire son espace aérien à l’aviation militaire française. Quelles sont les raisons d’un soudain regain des tensions ?
Si les démarches entreprises par les autorités françaises, en « rendant considération aux harkis ayant combattu aux côtés de la France durant la guerre d’Algérie », pourtant mal perçues par de nombreux cercles en Algérie n’ont pas eu grand impact sur les relations, les dernières déclarations de Macron ont suscité des réactions presque inédites.
Durant le cours de la semaine dernière, une autre décision des autorités françaises a suscité l’ire d’Alger. En effet, la France a décidé de réduire drastiquement la délivrance de visas pour les ressortissants algériens (de -50%), marocains (de -50%) et tunisiens (de -30%).
Pour appuyer cette décision, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a déclaré à l’adresse de ces pays maghrébins, notamment l’Algérie : « Tant que vous ne reprenez pas vos compatriotes, on n’accepte pas vos compatriotes ».
Comme première réaction, la diplomatie algérienne a convoqué l’ambassadeur de France à Alger, François Gouyette afin de lui notifier « une protestation formelle du gouvernement » après la décision de Paris de réduire de moitié les visas accordés aux Algériens souhaitant se rendre en France.
Ces « propos non démentis » à l’origine de la criseEn une semaine, les prémices d’une crise se sont clairement dessinées. Pourtant, ces deux « incidents » n’ont guère enclenché une dégradation notable des relations entre les deux pays. Il aura fallu attendre jusqu’à la fin de la semaine pour que les évènements s’accélèrent en faveur d’une crise qui n’a pas encore livré tous ses secrets.
Samedi dernier, le journal français Le Monde rapporte des propos proférés par le président français lors d’une rencontre tenue deux jours plus tôt entre lui et une vingtaine de jeunes descendants de protagonistes de la Guerre d’Algérie.
Selon ce journal, Emmanuel Macron a déclaré qu’après son indépendance en 1962, l’Algérie s’est construite sur « une rente mémorielle », entretenue par « le système politico-militaire ». Mais pas que ça, puisqu’il avait également remis en cause « une histoire officielle totalement réécrite » par l’Algérie qui « ne s’appuie pas sur des vérités », mais sur « un discours qui repose sur une haine de la France ».
Toujours dans l’épineux volet historique entre les deux pays, Macron n’a pas hésité à se demander : « L’Algérie était-elle un pays avant le colonialisme français ? », puis ironisant sur la façon dont l’Algérie présente, selon lui, les Français comme « les seuls colonisateurs », oubliant la domination ottomane entre le XVIᵉ et XVIIᵉ siècles.
Macron passe des éloges aux critiques : l’impressionnant revirementAlors que les deux chefs de l’État n’hésitaient pas à évoquer, à chaque occasion qui se présente, la stabilité des relations entre eux et entre leurs pays respectifs, Macron a décrit, dans sa dernière sortie, le président algérien Abdelmadjid Tebboune comme « pris dans un système très dur ». Un système affaibli par le Hirak, selon lui. « Vous pouvez voir que le système algérien est fatigué, il a été affaibli par le Hirak », a déclaré Macron.
Avant ce revirement, l’on se rappelle les propos du même Macron, en novembre 2020, qui faisait l’éloge de Tebboune sur les colonnes de la revue Jeune Afrique. Le chef d’État français y avait loué le « courage » de son homologue, assurant qu’il allait faire « tout son possible » pour l’aider dans la période de transition après le Hirak.
Ainsi, les réactions de l’Algérie se sont enchainées. La dernière en date remonte, en effet, à hier dimanche, lorsque l’Algérie a décidé d’interdire le survol de son territoire aux avions militaires français, ce dimanche. La veille, Alger annonçait le « rappel immédiat pour consultation » de son ambassadeur à Paris Mohamed Antar-Daoud.
Ce rappel a été justifié par « une situation particulièrement inadmissible engendrée par les propos irresponsables et non démentis » d’Emmanuel Macron. La présidence de la République algérienne a aussi publié un communiqué dans lequel elle a exprimé sa réaction officielle aux propos « non démentis de Macron ».
« À la suite des propos non démentis que plusieurs sources françaises ont attribués nommément au Président de la République française, l’Algérie exprime son rejet catégorique de l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures que constituent lesdits propos », peut-on lire dans le communiqué.
Évoquant le volet historique remis en cause par Macron, notamment l’existence de la Nation algérienne avant la colonisation, la présidence qualifie cela « d’appréciations superficielles, approximatives et tendancieuses énoncées en ce qui concerne l’édification de l’État national algérien ».
Des relations pourtant pas mauvaises avant ces revirementsIl convient de rappeler que les relations entre les deux pays avant ces derniers incidents vont en s’améliorant, notamment après l’ouverture du dossier de la mémoire. En juillet 2020, la France a restitué les crânes de 24 résistants algériens décapités au XIXᵉ siècle lors de révoltes dans le sud de l’Algérie contre l’occupant français.
Quelques mois avant, soit en mars de la même année, la France a reconnu, pour la première fois, que l’avocat algérien Ali Boumendjel, mort en mars 1957, a été torturé et tué par l’armée française lors de la Bataille d’Alger.
Cela sans oublier la reconnaissance par le président français durant sa campagne électorale en 2017, de la colonisation comme « crime contre l’humanité », et ce, lors d’une visite à Alger. Ainsi, tout porte à croire que les relations sont en train de virer au pire au vu des derniers développements. L’on s’attend actuellement à de nouvelles réactions officielles et claires des deux parties.
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Plus que quelques jours nous séparent des matchs tant attendus. Nos Verts joueront le 8 octobre à Blida au stade Mustapha Tchaker pour le premier match contre le Niger, comptant pour la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2022 au Qatar. Alors que nous avons un peu oublié la malédiction des blessures, elle frappe encore.
Beaucoup de joueurs algériens ont été blessés, chose qui a suscité la crainte puisque l’Algérie allait affronter le Niger sans ses éléments clés. Une fois la liste finale des 25 joueurs dévoilée, le soulagement a régné, le riche effectif de l’Algérie est bien présent. Seulement pour apprendre que le sélectionneur de l’équipe nationale Djamel Belmadi devra apporter des changements dans l’attaque des Fennecs, qui se fera sans Adam Ounas à cause de sa blessure.
L’international algérien souffrant d’une élongation au niveau de la cuisse droite ne jouera pas dans la double confrontation.
Kebbal et Amoura convoqués, mais toujours pas Delort !Belmadi convoque deux autres joueurs pour la première fois à savoir Ilan Kebbal de Reims et Mohamed Amoura, l’attaquant de Lugano suite à la blessure d’Ounas.
Pour rappel, Andy Delort ne figure pas dans la liste finale de Belmadi, pourtant en très bonne forme et au top de ses performances. Un post sur Instagram exprimant la frustration de l’Aiglon du mois de septembre de l’OGC Nice de ne pas participer avec les Verts, une publication qui viserait l’entraîneur serait à l’origine de sa non-participation.
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Le taux de change de la monnaie unique européenne a enregistré, ce lundi 4 octobre, une légère baisse face au dinar dans les cotations officielles de la Banque et une légère hausse sur le marché parallèle des devises.
Le cours de l’euro à la Banque centrale d’Algérie a atteint 158,92 dinars à l’achat et 158,96 dinars à la vente. Sur le marché noir, il s’échange contre 208 dinars à l’achat et de 211 dinars à la vente.
Pour ce qui est du dollar, il a connu une hausse à la Banque d’Algérie, enregistrant 137,27 dinars à l’achat et 137,28 dinars à la vente. Sur le marché parallèle des devises, il s’est stabilisé à 180 dinars à l’achat, et 182 dinars à la vente.
Quant au prix du livre sterling dans les cotations officielles, il s’élevait à 184,35 dinars à l’achat, et 184,42 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il a atteint 243 dinars à l’achat et 246 dinars à la vente.
Le taux de change de monnaies de pays arabesLe prix du riyal saoudien à la Banque d’Algérie a atteint 36,56 dinars à l’achat, et 36,57 dinars à la vente. Alors que son cours sur le marché parallèle s’élève à 47,99 dinars à l’achat et à 48,52 dinars à la vente.
Dans les cotations officielles, le cours du dirham émirati s’élève à 37,36 dinars à l’achat et 37,37 dinars à la vente. Le cours de cette monnaie sur le marché parallèle est de 49 dinars à l’achat, et de 49,55 dinars à la vente.
Pour le dinar koweïtien, il a atteint 454,18 dinars à l’achat et 455,28 dinars à la vente sur le marché officiel. En revanche, il est proposé contre 597,31 dinars à l’achat et 603,95 à la vente sur le marché parallèle.
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Les services de l’Office national de météorologie ont fait état de vents violents sur l’ensemble de la bande côtière durant cette journée de lundi 4 octobre. Quelques pluies seront également au rendez-vous dans les régions intérieures.
En effet, Météo Algérie a placé plusieurs régions des wilayas côtières en vigilance jaune « vents et vagues dangereuses ». Les rafales pourront atteindre les 60 km/h, notamment au niveau des régions du centre et de l’ouest du pays.
Les vents prévus pour la journée de ce mardi jusqu’à l’aube de demain mardi, provoqueront également une agitation particulière de la mer. La hauteur des vagues attendues atteindra les 3 mètres, et ce, à compter de ma mi-journée d’aujourd’hui.
Les régions côtières concernées selon la carte de vigilance sont : Marsa Ben Mhidi, Ghazaouat, Béni Saf, Oran, Arzew, Mostaganem, Ténés, Bouharoun, Alger, Dellys, Azefoune, Bejaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Kala.
Le temps pour cette journée de lundiConcernant le temps sur les régions ouest et centre, Météo Algérie a fait état de passages nuageux, parfois denses avec quelques pluies pouvant prendre parfois un caractère orageux se dégageant progressivement à partir de l’après-midi.
Pour les régions de l’Est, le temps sera partiellement voilé le matin devenant progressivement nuageux avec quelques pluies parfois orageuses sur l’intérieur, les hauts plateaux et les Aurès l’après-midi, s’atténuant en soirée.
Dans les régions sahariennes, le temps sera partiellement voilé sur le sud-ouest, le nord du Sahara et les oasis. Il sera généralement dégagé sur les autres régions sahariennes, précise encore la même source.
Les températures prévues pour cette même journée seront entre 24 et 28 sur les régions côtières, 23 et 33 sur les régions intérieures et de 32 à 42 sur les régions sahariennes.
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Nouveau changement à la tête de Mobilis. Le ministre de la Poste et des Télécommunications Karim Bibi Triki limoge Adel Doukali et nomme un nouveau responsable à la tête de l’opérateur public de téléphonie mobile.
En effet, il s’agit de Chaouki Boukhezani. Il a été installé ce dimanche 3 octobre 2021 au poste de Président-Directeur général (P-DG) de Mobilis en remplacement de Adel Doukali.
Outre la nomination de Boukhezani, le ministre des Télécommunications a également procédé à la nomination de Khaled Zerat en qualité de nouveau PDG d’Algérie Télécom, l’entreprise mère de Mobilis.
Chaouki Boukhezani, de l’école militaire Polytechnique à PDG de MobilisAncien capitaine de la gendarmerie nationale, le nouveau PDG de Mobilis est diplômé de l’École Militaire Polytechnique d’Alger. Titulaire d’un Post Graduation Spécialisée (PGS) en Télécommunication et Sécurité des Réseaux Informatiques ; il fait ses débuts en 2011 avec la gendarmerie en tant que Développeur web.
Avec les années, il gravit les échelons au sein de l’équipe de la digitalisation de la gendarmerie nationale jusqu’à ace qu’il devienne en 2016 chef de projet « Tariki DZ« , un site web / applications qui permettent aux usagers de la route de s’informer sur la situation routière en temps réel.
Après son passage à la tête du projet « Tariki », Chaouki Boukhezani a continué son aventure avec la gendarmerie nationale jusqu’à juillet 2019 en tant que responsable des réseaux informatiques et du contrôle. En octobre 2019, il intègre l’équipe de la télécommunication de Mobilis avant de finir aujourd’hui à la tête de l’opérateur public.
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Le Président Abdelmadjid Tebboune a présidé, ce dimanche 3 octobre 2021, une réunion du Conseil des ministres. À l’ordre du jour, l’examen de plusieurs dossiers ; dont celui du projet de la loi de finances (PLF) 2022 ainsi que le dossier du pouvoir d’achat.
Lors de la réunion ayant regroupé plusieurs ministres, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a donné plusieurs instructions. Il a également pris une décision importante en confiant au ministre de la Justice d’élaborer un projet de loi de lutte contre la spéculation avec des peines allant jusqu’à 30 ans de prison.
La réduction de l’IRGLe président Tebboune a évoqué, lors de la réunion d’aujourd’hui, la flambée des prix de produits alimentaires, soulignant la nécessité de prendre toutes les dispositions pour préserver le pouvoir d’achat des Algériens.
De ce fait, chef de l’État a donné des instructions pour faire face à la hausse des prix. En effet, il a ordonné « immédiatement » la réduction de l’impôt sur le revenu global (IRG). Il a également ordonné l’augmentation du point indiciaire dans la Fonction publique.
Les spéculateurs, dans le viseur de TebbouneSur le plan de la lutte contre la spéculation, le président Tebboune a insisté sur la coordination entre les ministères du Commerce et de l’Agriculture en vue d’assurer un contrôle maximal sur les produits agricoles, les légumineuses et les pâtes alimentaires.
Il a aussi insisté sur le renforcement du contrôle sur le terrain des commerces pour interdire toute hausse injustifiée des prix des produits alimentaires, avec le retrait définitif des registres de commerce pour les commerçants impliqués.
D’un autre côté, le président Tebboune a chargé le ministre de la Justice d’élaborer le projet de loi relatif à la lutte contre la spéculation avec des peines allant jusqu’à 30 ans. « Il s’agit d’un crime à part entière », a-t-il lancé lors de la réunion.
Le dossier des logements au MenuÉvoquant le dossier des logements, le chef de l’État a donné deux instructions. La première concerne la mise en place d’un mécanisme facilitant la cession des logements locatifs de l’État ; relevant des Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI). Ce mécanisme a pour but de veiller à actualiser les prix et à faciliter aux concernés l’obtention des livrets fonciers.
L’autre instruction concerne l’Agence nationale pour l’amélioration et le développement du logement ; le président Tebboune a ordonné l’introduction d’un abattement de 10% au profit des personnes concernées par l’acquittement des créances des logements AADL qui s’acquittent de la valeur du logement en un seul versement.
L’article AADL, IRG et pouvoir d’achat : 7 points à retenir du conseil des ministres est apparu en premier sur .
Après la crise de la semoule et de la farine ; le consommateur algérien se retrouve aujourd’hui face à une flambée sans précédente des prix de produits alimentaires. Le salarié peine à joindre les deux bouts, et à sa souffrance s’ajoute la nouvelle hausse du prix du poulet ; qui dépasse les 500 dinars le kilo.
Face à cette situation, les autorités sont en alerte. Lors des travaux de la rencontre Gouvernement-Walis, le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé sur ce sujet ; en accusant les spéculateurs d’être dernière la hausse des prix alimentaires.
Ce dimanche 3 octobre, le chef de l’Etat s’est de nouveau exprimé sur la flambée des prix alimentaires lors de la réunion du conseil des ministres qu’a présidé cette après-midi. Contrairement à sa dernière sortie, il n’a pas lancé des accusations, mais donné des instructions.
Jusqu’à 30 ans de prison pour les spéculateursPour faire face à la hausse des prix, le président Tebboune a chargé le ministre de la Justice d’élaborer un projet de loi de lutte contre la spéculation contenant des peines allant jusqu’à 30 ans de prison contre les spéculateurs. Lors de la réunion, il a insisté pour que ce projet soit présenté au plus tard, au cours de la prochaine réunion du conseil des ministres.
Lors de la même réunion, le chef de l’État a également insisté sur le renforcement du contrôle sur le terrain des commerces pour interdire toute hausse injustifiée des prix des produits alimentaires ; avec le retrait définitif des registres de commerce pour les commerçants impliqués.
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