Ces derniers temps, l’Algérie est marquée par des faits divers particulièrement choquants et terrifiants. Aujourd’hui encore, en ce premier jour du mois d’octobre la wilaya de Bordj Bou Arreridj a été secoué par un terrible meurtre.
L’incident s’est produit plus précisément au niveau de la commune Bir Kasd Ali ou un crime a été horriblement commis par un individu souffrant de troubles mentaux et psychologiques. Selon des sources locales, ce dernier a suivi la victime qui se dirigeait vers sa maison avant de l’attaquer avec un couperet au niveau de la tête.
Cette dernière âgée d’une cinquantaine d’années s’apprêtait à rejoindre son domicile situé dans la même commune que celle du criminel. Avant d’arriver chez lui, l’individu a été surpris par l’agresseur qui l’a sauvagement tué avec un couperet
Les services de la police nationale ont de ce fait lancé une enquête afin de mettre la lumière sur cette affaire qui est loin d’être la première qui se produit au niveau de la wilaya de Bordj Bou Arreridj. Durant le précédent mois de ramadan, un incident similaire a eu lieu dans l’un des cafés de la ville.
Deux meurtres en un seul moisRappelons que le 12 septembre de l’année en cours, cette wilaya avait connu un drame aussi choquant que celui d’aujourd’hui. Il s’agissait d’un imam retrouvé mort dans une vallée à proximité de bâtiments dans la région « El Mizane », dans la commune de Ras El Oued.
L’inédit est que la dépouille a été carbonisé et brulé ce qui révèle le degré de sauvagerie et d’inhumanité que certaines âmes sans cœur éprouvent. La peine de mort sera-t-elle une solution pour stopper ces crimes ? Ou bien, faut-il soumettre ces personnes à de sérieux suivis psychiatriques ?
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L’ancienne ministre de la Poste, des Télécommunications Imane-Houda Feraoun fera à nouveau face à la cour pénale spécialisée dans la lutte contre le crime financier et économique du Tribunal Sidi M’hamed d’Alger le lundi prochain.
Mais elle n’y sera pas seule, six autres cadres et deux sociétés chinoises comparaîtront également devant le tribunal pour le même motif, corruption pour certaines affaires et abus de fonction pour d’autres.
Dans cette affaire, l’ancienne ministre est accusé de corruption dans le dossier lié à des opérations de raccordement et d’installation de réseau fibre optique et de débit internet à très haut débit dans plusieurs wilayas.
Houda Feraoun est également poursuivie dans d’autres affaires, dont les chefs d’accusation concernent des affaires qui ont coûté à l’état plusieurs millions de dollars, comme l’affaire du projet « Mobilink » appartenant aux frères Kouninef, qui sont également poursuivis en justice pour les mêmes motifs que Feraoun.
Ayant tenu des propos accusateurs lors de son dernier procès pour plaider son innocence contre les deux anciens premiers ministres Ouyahia et Sellal, Imane-Houda Feraoun est placée actuellement en détention provisoire à l’établissement pénitentiaire de Koléa, en attendant son prochain procès qui aura lieu d’ici à quelques jours à Sidi M’Hamed à Alger.
Une liaison chinoise pas très concluanteDans le cadre de la stratégie nationale du développement des performances d’internet et de fibre optique, un partenariat algéro-chinois a été conclu avec deux entreprises sous Houda Feraoun.
L’aboutissement de cette alliance chinoise n’a pas eu de suites concluantes, une affaire éclaboussée par la corruption et le détournement des fonds publics, où le nom de l’ex-ministre de la poste et quelques cadres d’Algérie-Télécom se retrouvent mouillés jusqu’au cou.
De graves accusations, que Houda Feraoun conteste fortement, niant sa participation dans la négociation des accords établis par rapport à cette affaire, en mentionnant la participation du comité et du directeur général de la société à l’époque.
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Après la production d’un nombre suffisant de différents vaccins anti-covid, voila maintenant qu’un laboratoire américain se distingue de ses concurrents et produit un médicament contre les formes graves causées par le maudit virus. Il s’agit de « Molnupiravir », un médicament sous forme de pilule inventé par le laboratoire américain Merck en collaboration avec la société de biotechnologie Ridgeback Biotherapeutics.
En effet, et selon un article publié aujourd’hui par le journal français le Parisien, le laboratoire susmentionné a annoncé ce vendredi des résultats positifs et prometteurs quant à l’efficacité de son antiviral dans la diminution du risque d’hospitalisation et de décès.
Cette efficacité a été prouvée suite à l’essai clinique de phase 3, réalisé sur 775 patients atteint de covid-19 et ayant au moins un facteur de risque. Après avoir été divisé en deux groupes, les patients ayant pris le traitement, à savoir le « Molnupiravir » ont connu un taux de 7,3% d’hospitalisation contre 14,1% chez ceux ayant pris un placebo.
Ces résultats positifs ont été rapporté par plusieurs médias étrangers notamment LCI et le parisien. « C’est une molécule qu’on connaît et l’un des traitements les plus attendus, et ces résultats sont encourageants. Mais avec plusieurs limites, par exemple ce ne sont pas des patients lambda car ils sont à risque », indique l’infectiologue Nathan Peiffer-Smadja, chef de clinique à l’hôpital Bichat de Paris.
Le « Molnupiravir » sera-t-il commercialisé ?Suite à ces résultats « encourageants », le laboratoire américain envisage de « soumettre dès que possible une demande d’autorisation d’utilisation d’urgence » à l’agence américaine des médicaments (Food and Drug administration, FDA) dans le but de commercialiser son traitement au niveau local, et pourquoi pas aussi le mettre sur le marché international.
Si le « Molnupiravir » est autorisé, il deviendrait le premier traitement administré par voie orale et sous-formes de comprimés ayant démontré son efficacité.
Notons par ailleurs qu’au jour 29, « aucun décès n’a été signalé » parmi les patients ayant reçu l’antiviral, sachant que ce petit échantillon n’était pas atteint du type variant, précise le Parisien qui ajoute que » le Molnupiravir fonctionnerait aussi bien sur les personnes infectées par le variant Delta que sur les autres ».
En attendant l’approbation de l’antiviral par la FDA, les vaccins sont de plus en plus disponibles sur le marché. Certains pays dont l’Algérie ont même lancé leur propre production du vaccin au niveau locale.
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Ayant joué l’un des principaux rôles dans la série humoristique algérienne de l’époque “ Bila Houdoud”, dans laquelle il avait d’ailleurs brillé et gagné l’affection de millions d’algériens, Mohamed Hazim à la retraite et très malade aujourd’hui lance un énième cris de détresse.
Diffusé chaque soir pendant le mois sacré du ramadan, Mohamed Hazim et ses deux compagnons donnaient rendez-vous au peuple algérien tous les jours durant les années de la décennie noire, qui n’étaient pas si noires que ça pendant quelques minutes grâce à ce trio du tonnerre jouant dans cette célèbre série culte.
Hormis « Bila Houdoud », l’acteur a également tenu plus d’une dizaine de rôles principaux comme secondaires tout au long des années précédentes, une brillante carrière qui n’a toutefois pas suffi pour lui garantir un si bon salaire lors de son départ en retraite.
En effet, dans une déclaration à Ennahar, l’acteur a déclaré percevoir un salaire mensuel d’un montant de 20.000 DA, une pension de retraite qu’il touche grâce à son ancien poste au sein de la Sonatrach. Sans pour autant n’avoir jamais rien perçu comme rémunération de sa longue carrière d’acteur.
Un Mohamed Hazim pas tellement en formeIl y a quelques jours de celà seulement , l’acteur algérien âgé de 67 ans a été gravement malade et hospitalisé au sein de l’hôpital Abdelkader Hassani de Sidi Bel Abbès, où il a été pris en charge en urgence afin de subir une opération risquée à cause d’une pathologie cardio-pulmonaire chronique, une maladie dont il souffre depuis plusieurs années et qui lui a valu un bon nombre de précédentes hospitalisations.
Aujourd’hui, l’état de santé de Mohamed Hazim est en voie d’amélioration, une bonne nouvelle pour ses fans algériens, et ceci malgré une phase de récupération qui s’avère être tout de même un peu longue.
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La wilaya de M’sila a été secoué ce mercredi 29 septembre par un drame dont la victime est un citoyen algérien qui a mis fin volontairement à sa vie. Il s’agit d’un suicide qui s’est produit au niveau de la cour de justice de la wilaya de M’sila, a rapporté la direction de la protection civile.
Selon le quotidien arabophone El khabar, la victime est montée en dessus du siège de la cour de M’sila après avoir consommé une matière toxique. Les unités de la protection civile de la wilaya sont immédiatement intervenues pour secourir le citoyen. Ce dernier a été transféré en urgence vers l’hôpital Zahraoui ou il est décédé dans la matinée d’hier jeudi 29 septembre.
L’Algérie enregistre un taux de suicide faible par rapport à ses voisins du MaghrebLe phénomène de suicide n’est étrange à aucune société, mais personne ne peut nier qu’il dépend fortement des facteurs socio-économiques et politiques des pays.
Dans un article dédié à cette question, le journal Liberté a indiqué que le taux de suicide en Algérie s’est stabilisé durant ces deux dernières années (2020 et 2021) et varie entre “zéro” et “cinq” pour 100 000 habitants. Il est aussi l’un des plus faibles des pays maghrébins. C’est en tout cas ce qu’a communiqué hier le site en ligne français L’Important.
Le taux est certainement faible, mais il a légèrement augmenté par rapport à l’année 2019 ou il oscillait entre “zéro” et “2,5” pour 100 000 habitants. Pour ce qui est des autres pays maghrébins notamment le Maroc, le taux de suicide a également augmenté dans ce pays, mais dépasse amplement celui de l’Algérie.
Il varie entre 7 à 10 suicides pour 100 000 habitants au Maroc et a atteint 3,3 pour 100 000 habitants en Tunisie. « Du reste, dans la majorité du continent africain, ce taux oscille entre 10 et 15 suicides pour le même nombre d’habitants » rapportent nos confrères de Liberté.
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Après plusieurs mois sans réponse concrète faite à la FAF, Sami Tlemçani rompt enfin le silence quant à son choix de rejoindre l’équipe nationale marocaine au lieu d’assurer le poste de gardien dans les buts des Fennecs algériens.
Âgé de seulement 17 ans, le jeune gardien de l’équipe anglaise du club Chelsea, a choisi de représenter le Maroc, son pays d’origine du côté maternel. Samy Tlemçani a donc répondu présent à l’appel du sélectionneur des Lions de l’Atlas, déclinant l’offre de Djamel Belmadi pour prendre la relève des deux gardiens Mbolhi et Oukidja, âgés de 35 ans et de 33 ans, tous deux arrivés à la fin de leurs carrières respectives.
En effet, le keeper actuel de Premier League a préféré porter les couleurs du pays de sa mère, refusant catégoriquement toutes les offres de la Fédération Algérienne de Football, qui selon certains aurait mis beaucoup trop de temps pour se décider à contacter le père du jeune homme pour porter le maillot algérien, laissant ainsi champ libre à la concurrence.
Une décision pas si catégorique que çaMalgré un choix final qui s’est porté sur le Maroc et dont Samy déclare être fier, le gardien aurait pourtant fortement envisagé à une certaine époque de jouer aux côtés des fennecs pendant la prochaine coupe du monde, comme c’est le cas de plusieurs autres joueurs de grande réputation.
Le gardien aurait même fait part de sa volonté indirecte sur les réseaux sociaux à rejoindre l’équipe nationale algérienne, chose que la FAF n’a pas su mettre à profit ayant intervenu trop tard, seulement après que ce dernier eût déjà donné son accord pour la représentation du Maroc.
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L’Algérie a traversé cet Été une vague virulente de coronavirus avec des centaines de victimes par jour. Aujourd’hui, les contaminations de coronavirus poursuivent leur baisse ce vendredi 1er octobre 2021.
Selon le dernier bilan du ministère de la Santé, l’Algérie a enregistré 158 nouvelles contaminations contre 161 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier jeudi. Pour les guérisons, le bilan a fait état de 110 nouveaux cas rétablis de la maladie contre 114 hier.
Quant aux victimes de coronavirus, le bilan fait état de 3 nouveaux morts, contre les 7 décès recensés dans le bilan d’hier. Par ailleurs, 15 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source. Le bilan total des contaminations de coronavirus s’élève ainsi à 203.517 cas confirmés ; Celui des décès à 5.815 morts.
L’Algérie risque-t-elle une 4e vague ?Ces dernières semaines, la situation sanitaire s’est stabilisée en Algérie, mais le coronavirus et le risque d’un rebond de contaminations est toujours présent.
C’est ce qu’a affirmé ce vendredi le chef de service Covid à l’hôpital de Rouiba (Alger) sur les ondes de radio Séti. En effet, Pr Abdelbasset Ketfi a fait savoir que l’Algérie était toujours dans le risque d’une quatrième vague de covid-19.
« La situation que nous traversons actuellement pourrait être temporaire, si le taux de vaccination n’atteint pas celui requis pour l’immunité collective (…) Une quatrième vague est très probable entre les mois de décembre et janvier de l’année en cours, si on continue à fuir les vaccins », a-t-il expliqué.
L’article Covid-19 en Algérie : le bilan détaillé de ce 1er octobre est apparu en premier sur .
Messaoud Zeghar, un des plus riches et puissants hommes d’affaires algériens, connu pour avoir été un compagnon et ami fidèle à l’ex-président Houari Boumediène. Décédé en Espagne en 1987 et enterré au cimetière d’El Eulma, sa tombe a été retrouvée saccagée, indique un article publié aujourd’hui par certains médias locaux.
Suite à ce qui est arrivée à la tombe de Messaoud Zeghar, les services compétents se sont rendu sur le lieu de l’incident afin de s’enquérir des circonstances et entamer enquête permettant de mettre la main sur les responsables.
La commune sétifienne d’El Eulma a condamné dans son communiqué cet incident ayant touché la tombe de l’un des symboles et figures phares de l’Algérie, à savoir le défunt Moudjahid Messaoud Zeghar, tout en appelant à sanctionner et punir sévèrement les criminels responsables de l’incident.
Qui est Messaoud Zeghar, l’homme qui a fourni des armes au profit de la guerre de Libération ?Le puissant homme d’affaire algérien et un des proches de l’ex-président Boumediène est né dans une famille de commerçants en 1926 à Setif, dans la commune d’El Eulma. Entrepreneur de génie, il est surtout connu pour avoir aidé la révolution algérienne contre le colonialisme français.
Celui qui avait pour nom de guerre Rachid Casa, avait participé à la guerre de libération en s’engageant dans l’achat d’arme au profit du FLN, et ce, en créant un des premiers ateliers de fabrication d’armement au Maroc. Outre son rôle déterminant pendant la révolution algérienne, Messaoud Zeghar entretenait des relations privilégiées avec de hautes personnalités du monde des affaires et de la politique aux États Unies.
Diplomate chevronné et homme secretLes liens qu’il a tissés avec les Américains lui ont permis d’être l’émissaire du président Boumediène dans ce continent et de consolider les relations entre les deux pays notamment en ce qui concerne la question des ressources énergétiques.
Certains pensent que Messaoud Zeghar était un patriote qui servi l’Algérie pendant l’époque coloniale et postcolonial. Alors que d’autres estimes « qu’il était un vulgaire intermédiaire qui aurait bénéficié de son amitié avec le président Boumédiène pour s’enrichir frauduleusement sur le dos de l’Algérie », lit-on dans le journal Liberté.
Cet homme hors du commun a fait parler de lui dans la presse internationale après avoir été accusé de kidnapper sa sœur Dalila à Montréal en raison de son mariage avec un étudiant français en 1975. Messaoud Zeghar l’aurait drogué pour la rapatrier.
Enfin, il convient de préciser que le mystérieux homme d’affaire a été accusé sous l’ère de l’ex-président Chadli Bendjedid d’espionnage au profit d’une puissance étrangère. Suite de quoi, il a été emprisonné et « soumis à d’intenables tortures morales, voire physiques » selon un ouvrage intitulé « L’affaire Zeghar : Déliquescence d’un État, l’Algérie sous Chadli » dont l’auteur est Hanaf Taguemout.
Dans les années quatre-vingts, l’empire Zeghar connait une dégringolade, voir une faillite. L’homme d’affaire meurt le 21 novembre 1987 dans une chambre d’hôtel en Espagne, suite à une crise cardiaque.
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Cet Été, l’Algérie a traversé une vague virulente de coronavirus, la troisième depuis le début de la pandémie, marquée par une situation chaotique des hôpitaux. Ces dernières semaines, la situation s’est stabilisée, mais le virus et le risque d’un rebond de contaminations est toujours présent.
D’ailleurs, c’est ce qu’a affirmé ce vendredi le chef de service Covid à l’hôpital de Rouiba (Alger), Pr Abdelbasset Ketfi. S’exprimant sur les ondes de la radio Sétif, le professeur a fait savoir que l’Algérie était toujours dans le risque d’une quatrième vague de covid-19.
« Le coronavirus est toujours présent parmi nous, et nous ne devons nullement être rassurés par les chiffres annoncés actuellement. Le risque d’un rebond de contaminations est là, car le variant Delta circule toujours en Algérie », a-t-il dit.
Pr Ketfi insiste sur la vaccinationLe spécialiste a tenu également à souligner que la situation que « nous traversons actuellement pourrait être temporaire », si le taux de vaccination n’atteint pas celui de l’immunité collective.
« Nous ne connaissons ni le degré de dangerosité ni le calendrier de l’éventuelle réapparition d’une nouvelle vague. Cependant, le virus regagne toujours du terrain entre deux et trois mois à compter de la fin d’une vague », a-t-il expliqué.
« Une quatrième vague est très probable entre les mois de décembre et janvier de l’année en cours, si nous continuons avec les mêmes degrés d’insouciance, d’abandon de la prévention et réticence face à la vaccination », a alerté Pr Ketfi.
Par ailleurs, le professeur a fait l’éloge du vaccin anti-covid CoronaVac produit par l’Algérie. Selon lui, ce vaccin est « efficace, sûr et prometteur ».
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Les tensions diplomatiques entre la France et l’Algérie sont montées d’un cran ces derniers jours. La raison : l’annonce de la réduction de visas pour les Algériens.
Tout a commencé le 28 septembre dernier, lors de l’annonce de la réduction de 50% les visas accordés aux algériens. Cette dernière a été faite par le porte-parole du gouvernement français Gabriel Attal.
« C’est une décision rendue nécessaire, car ces pays (l’Algérie, la Tunisie et le Maroc) n’acceptent pas de reprendre des ressortissants que nous ne souhaitons pas et ne pouvons pas garder en France » ; a ainsi justifié Gabriel Attal la décision de son pays. Face à cette décision, la diplomatie algérienne n’est pas restée les bras croisés. En effet, elle a vite convoqué l’ambassadeur de France à Alger, François Gouyette.
Dans un communiqué rendu public le 29 septembre, le ministère des Affaires étrangères a indiqué avoir notifié à Gouyette « une protestation formelle du gouvernement algérien suite à une décision unilatérale du gouvernement français affectant la qualité et la fluidité de la circulation des ressortissants algériens à destination de la France ».
Darmanin rajoute une coucheAu lendemain de la convocation de Gouyette, le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin, est revenu sur l’affaire du durcissement des conditions d’obtention des visas à l’égard de l’Algérie.
Lors d’une séance parlementaire hier jeudi ; Gérald Darmanin a tenu à souligner que cette décision, prise par le président français Emmanuel Macron, est réversible.
« Cette décision (de réduction de visas) est réversible. Le jour où la Tunisie, le Maroc et l’Algérie reviennent à des relations normales de laissez-passer consulaires (accepter le rapatriement des sans papiers) ; nous reviendrons à une relation normale avec eux », a-t-il lancé.
À noter que la France a décidé de diviser par deux le nombre de visas délivrés aux algériens et Marocains. La Tunisie également touchée par cette mesure, mais avec une réduction de 30 % des visas.
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Dans la nuit de mardi à mercredi, un incident s’est produit au port d’Alger vers 1 h 24 mn nécessitant l’intervention des unités de la Protection civile de la capitale.
Il s’agit de basculement d’un navire portugais « IVAN MADERA » sur le flanc droit suite à une infiltration des eaux de mer, et ce, lors de son déchargement de marchandises au niveau du quai n9. Suite de quoi, les éléments de la protection civils sont intervenus pour secourir 17 marins qui étaient à bord du navire stationné au port d’Alger.
Le communiqué publié par la direction de la PC a indiqué que six marins de nationalité philippine ont été légèrement blessé et transféré par la suite vers l’hôpital Mustapha Bacha.
Cependant, une personne appartenant à l’équipe des travailleurs portuaires qui supervisaient l’opération de transport, a été portée disparue. À cet effet, neufs plongeurs de la Protection civile et un canot de sauvetage ont été mobilisé pour mener une opération de rechercher intensifie.
« Des informations fournies par des témoins oculaires à la protection civile font état de la disparition en mer d’une personne », indique le communiqué de la direction de la PC.
Le corps de la personne disparu a été repêchéHier jeudi 30 septembre, les plongeurs relevant de la Protection civile (PC) de la wilaya d’Alger sont enfin parvenu à repêcher le corps la personne disparue, victime du chavirement du navire portugais.
Le corps de la personne disparue a été retrouvé sans vie, hier jeudi aux environs de 16:35. La victime qui est de nationalité algérienne a été en effet trouvé coincée à l’intérieur du navire, selon la même source.
Il convient de préciser en outre, qu’une « une commission spéciale a été envoyée pour enquêter sur les motifs et les raisons de cet incident en coordination avec la compagnie de transport propriétaire du bateau et son équipe ainsi que son agent agréé en Algérie ».
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C’est une affaire qui se passe rarement entre les sélections nationales de football. Un joueur franco-algérien s’est vu être convoqué par les sélectionneurs des moins de 18 ans de la France et de l’Algérie, pour le même match. Puisque, les deux équipes vont s’affronter dans quelques jours.
En effet, il s’agit de Yannis Lagha, jeune milieu de terrain de l’olympique lyonnais. Né en 2004, le joueur franco-algérien se retrouve en effet dans une situation absurde ; puisqu’il a été convoqué par les sélectionneurs des deux pays, et ce, pour les deux prochaines rencontres amicales programmées entre les U18 de la France et les U18 de l’Algérie à Clairefontaine (9 octobre et 12 octobre).
À moins de dix jours de la première rencontre, Yannis Lagha va donc devoir faire un choix difficile. Selon nos sources, le joueur franco-Algérien a déjà tranché : il a décidé de faire le choix du cœur, à savoir l’Algérie. De ce fait Yannis a décidé de continuer son aventure avec les verts. Pour rappel, il a déjà joué avec les U17 algériens.
Un Algérie – France en U18Dans le cadre de sa préparation aux Jeux Méditerranéens d’Oran 2022, l’equipe d’Algérie des moins de 18 ans va disputer deux matches amicaux contre la France. Un affrontement qui aura lieu à Clairefontaine (France).
« Ces deux rencontres viennent concrétiser le travail de rapprochement et de coopération entre la Direction technique nationale (DTN) de la Fédération algérienne de football et son homologue de la Fédération française de football (FFF) », a écrit la fédération algérienne de football (FAF) dans un communiqué rendu public cette semaine.
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Après la pénurie d’oxygène, de farine et de l’eau, un autre problème vient s’ajouter à cette longue liste de pénuries ayant taraudé les esprits des Algériens pendant tout l’été de cette année. Avec la rentrée scolaire qui intervient dans un contexte particulier, un nouveau problème apparait.
Il s’agit de la rareté des livres scolaires dont beaucoup de parents se plaignent. Outre que les médias traditionnels, les réseaux sociaux numériques sont également envahi par des appels lancés par des parents d’élèves à la recherche de livres scolaires. Un problème que le premier responsable du secteur de l’éducation vient de nier l’existence.
Abdelhakim Belabed a en effet déclaré que son département n’a pas mis fin à l’opération de vente des livres scolaires au niveau des établissements d’enseignements tout en précisant qu’aucun changement n’a été mis en place concernant les mécanismes d’acquisition des livres scolaires. Ces derniers sont disponibles et ne connaissent aucune pénurie, réitère le même responsable.
Dans le but de suivre et d’évaluer les différentes opérations d’organisation relatives à la scolarisation des élèves, le ministre a présidé une réunion tenue par vision conférences avec certains cadres du secteur notamment les directeurs de l’éducation aux niveaux des différentes wilayas.
Dans le cadre de cette rencontre, le ministre de l’Éducation a indiqué que l’opération de vente des livres scolaires s’effectue avec une cadence assez élevée accompagnée d’une baisse de pression sur les établissements scolaires. À ce sujet, Abdelhakim Belabed salue la contribution des associations de parents d’élèves et des syndicats.
La vente des livres relève des prérogatives des établissements scolairesRappelons que le ministre a nié lors de cette réunion l’implication de son département dans l’annulation de vente des livres scolaires aux niveaux des établissements. Selon lui, aucun changement n’a été annoncé par le ministère sur ce plan, car l’opération de vente revient en priorité aux écoles qui sont responsables d’un point de vue pédagogique de cette question.
Ainsi, les librairies, point de ventes et expositions ne sont que des moyens facultatifs et supplémentaires permettant d’appuyer les établissements scolaires et de diversifier les sources d’acquisition des livres selon ce qui arrange les parents.
Enfin, le ministre a appelé à mettre en place des expositions de livres scolaires surtout dans les régions ou la demande est élevé, et ce, en communiquant tous les détails sur les pages officiels des directions de l’éducation. En conclusion, il a tenu à saluer les efforts des établissements d’enseignement ayant achevé cette opération, plus particulièrement les directeurs des écoles qui n’ont pas tardé à reprendre les opérations de vente de livres aux niveaux de leurs établissements.
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Le gouvernement se réunit de nouveau. Hier jeudi, le premier ministre Aïmene Benabderrahmane a présidé une réunion du Gouvernement. Cette dernière a eu lieu au Palais du Gouvernement à Alger.
Lors de la réunion, Aïmene Benabderrahmane et les membres du Gouvernement ont évoqué trois dossiers importants relatifs à la finance, la justice et l’Enseignement Supérieur.
En tout, ils ont examiné quatre projets de Décrets exécutifs ainsi que deux avant-projets de Loi ; mais les deux dossiers les plus importantes sont le Partenariat Public-Privé. Aussi la création de deux écoles supérieures au sud du pays.
Un Avant-projet de loi relative au Partenariat Public-PrivéDans le cadre des chantiers prévus dans le Plan d’action du Gouvernement ; il a été présenté l’Avant-projet de Loi relative au Partenariat Public-Privé. Ce dernier constitue une nouvelle forme de relation contractuelle liant le secteur public au secteur privé.
Il constitue également une alternative « prometteuse » dans le financement des projets d’infrastructures économiques et sociales ; en mesure de générer des ressources financières à travers leur exploitation.
Cet avant-projet de loi permettra aussi de bénéficier des capacités financières, managériales et du savoir faire du secteur privé et de garantir contractuellement l’effectivité des services ainsi que leurs fournitures dans les délais et avec la qualité requise tout en maintenant le caractère public des infrastructures réalisées dans ce cadre. Ce projet de texte sera examiné lors d’un prochain Conseil des Ministres.
Vers la création de deux écoles supérieures au SudLors de la même réunion, le Gouvernement a entendu un exposé de Abdelbaki Benziane, ministre de l’Enseignement Supérieur. Son exposé est relatif à deux projets de Décrets exécutifs.
Le premier porte sur la création d’une école supérieure d’agriculture saharienne à Ouargla. Quant au deuxième, il porte sur la création d’une école supérieure d’agriculture saharienne à El Oued.
La création de ces deux écoles visent à répondre aux enjeux et défis d’acquisition de savoir faire, d’innovation et de développement de l’agroalimentaire. Il s’agira de structures scientifiques accompagnant les industries agro-alimentaires et ouvrant de nouvelles perspectives de développement d’une agriculture durable.
L’école supérieure d’agriculture saharienne de Ouargla aura pour mission d’assurer la formation supérieure, la recherche scientifique et le développement technologique dans les différentes spécialités de l’agronomie saharienne et industries et technologies agroalimentaire.
D’un autre côté, l’école d’agriculture d’El Oued aura pour mission d’assurer formation, la recherche scientifique dans le domaine de l’aménagement hydro-agricole et phytopathologie.
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L’automne en Algérie a été marqué par la persistance de la vague de chaleur dans plusieurs régions du pays notamment celle du Nord et de l’Ouest. Cependant, et avec la fin du moins de septembre la chaleur commence à baisser considérablement, atteignant une température maximale de 27 degrés au Nord et 35 degrés au Sud.
Pour ce premier jour du mois d’octobre, plusieurs wilayas de l’est du pays seront au rendez-vous avec une pluie abondante dont la quantité varie entre 15 et 20 mm, selon les prévisions des services de l’office national de météorologie.
La même source a précisé que cinq wilayas seront touchés, à savoir Guelma, Souk-Ahras, Tebessa, Khenchla, Oum el Bouaghi. Les services météorologiques ont indiqué dans une alerte de niveau 1 (vigilance jaune) que les wilayas concernées seront affectés à partir de l’après-midi de ce vendredi jusqu’à 9 h du soir.
La température commence à baisserRappelons que la journée d’hier a été marqué par une baisse sensible des températures au niveau de la région du Nord, et ce, en raison de l’arrivée de courants humides Nord-Est provenant de la Méditerranée.
Quant aux régions du centre et du sud du pays, les prévisions d’Arabiaweather concernant l’Algérie ont indiqué le temps reste chaud, avec des vents Sud-Est qui seront actifs dans les zones sahariennes pouvant provoquer quelques soulèvements de sable.
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L’Algérie se lance enfin dans la production du vaccin chinois contre le coronavirus CoronaVac. La première phase de production a été lancé hier mercredi par l’usine Saidal de Constantine ; avec la présence d’une délégation ministérielle à sa tête le premier ministre Aimene Benabderrahmane.
Avec le lancement de ce vaccin anti-covid « Made in Algeria« , les internautes algériens ont soulevé, sur les réseaux sociaux, plusieurs interrogations quant à son efficacité et sa crédibilité. C’est pour cela qu’aujourd’hui, nous avons décidé de vous faire un résumé de ce vaccin.
En effet, le premier chiffre à retenir est le taux d’efficacité de ce vaccin qui atteint les 78% contre les formes graves du coronavirus. Contrairement aux vaccins utilisés dans l’hexagone, le CoronaVac fonctionne selon un principe classique, se basant sur la manipulation d’un virus inactif auquel l’organisme sera exposé, sans pour autant encourir le risque d’une réaction dangereuse à la maladie.
Les effets indésirables du CoronaVacL’autre point à retenir est que le vaccin chinois a subi une série de tests confirmant son efficacité dans des pays étrangers, en l’occurrence la Turquie et l’Indonésie, qui ont révélé des résultats très concluants entre 65,3 % et 91,25% sur la base des données intermédiaires des essais effectués.
Outre le bon taux d’efficacité, le CoronaVac a un avantage : la facilité de conservation, qui peut se faire dans un réfrigérateur ordinaire à une température entre 2 à 8 degrés C°.
Le cinquième et dernier point à retenir de ce vaccin, c’est ses effets secondaires. En effet, le CoronaVac comporte seulement de quelques probables maux de tête, une fatigue ou des douleurs musculaires notamment au site de l’injection.
D’un autre côté, il convient à noter que le CoronaVac produit en Algérie est reconnu par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) après avoir fait ses preuves à 78% dans le cas des contaminations bénignes et à 100% dans la prévention des cas modérés.
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Mandat de dépôt pour l’ancien patron la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE), le général-major Mohamed Bouzit, alias Youcef.
Le général-major Bouzit a été placé en détention provisoire, la semaine dernière, par le tribunal militaire de Blida, et ce, après avoir été arrêté au début du mois de septembre par les services de sécurité de l’armée, a-t-on appris ce jeudi de sources concordantes.
Après son interpellation, le général Bouzit a été remis aux enquêteurs de la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée qui ont passé avec lui plusieurs heures d’interrogatoires.
Selon nos sources, l’ex-patron de la DDSE est accusé d’espionnage au profit d’une entité étrangère. En effet, le général Bouzit aurait révélé aux services secrets d’un pays du golf des informations confidentielles. Avec ces accusations, l’ancien homme fort des renseignements extérieurs risque une lourde peine, car il pourrait être jugé pour haute trahison.
Qui est le général Bouzit ?Âgé de 70 ans, le général Bouzit est l’un des plus influents généraux des services secrets. Avant sa chute, il avait dirigé la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure pendant des années, mais en deux phases.
Sa première nomination à la tête de la DDSE remonte à septembre 2013. Après six ans de fonctions, il finit par tomber avec le clan de Bouteflika en mars 2019.
En avril 2020, le président Abdelmadjid Tebboune le réhabilite en le nommant de nouveau à la tête de la sécurité extérieure, mais il a été rattrapé par une enquête du tribunal militaire de Blida qui a réuni un lourd dossier à son encontre. Face à cette enquête, le chef de l’État a décidé de le limoger en janvier dernier.
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C’est une grosse frayeur qu’ont connu les passagers d’un vol d’Air Algérie ; lors d’un atterrissage qui a légèrement mal tourné à l’aéroport Houari Boumediene d’Alger
Ce jeudi 30 septembre, l’avion du vol AH6133 qui assure la liaison Béchar- Alger a fait une sortie de piste cette après-midi lors de son atterrissage sur le tarmac de l’aérodrome de la capitale. En effet, il s’agit d’un ATR de la compagnie nationale aérienne Air Algérie.
Dans un communiqué rendu public Air Algérie a apporté des explications sur cet incident. Selon la compagnie nationale, la raison de cette sortie de piste est un problème technique.
« Le vol AH type ATR a connu un incident technique lors de son arrivée à l’aéroport Houari Boumediene en provenance de Béchar. À l’issue de son atterrissage, il s’est immobilisé avec le train avant partiellement en dehors de la piste », lit-on dans le communiqué d’Air Algérie ; précisant qu’aucun blessé ni de dégâts matériels n’ont été enregistrés.
Air Algérie absente du Top 10 des meilleures compagnies aériennes africainesCette année ; la compagnie nationale Air Algérie n’a malheureusement pas figuré dans le top dix des meilleurs compagnies aériennes en Afrique. Le classement a été établi par l’organisme Skytrax qui est present dans le domaine depuis 1999.
À noter qu’Air Algérie n’est pas la seule compagnie aérienne absente du maghreb. La compagnie tunisienne TunisAir est également Out. En haut du classement, on retrouve Ethiopian Airlines (1ère), South African Airlines (2ᵉ), Kenya Airlines (3ᵉ) et le Royal Air Maroc, quatrième.
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Suite à la décision des autorités algériennes prise le 1er juin dernier, concernant la réouverture partielle des frontières aériennes, un programme de vols internationaux a été mis en place la fin d’août, visant à renforcer le nombre de vols hebdomadaires.
En effet, ledit programme à viser 64 vols chaque semaine, incluant sept pays, à savoir l’Espagne, la France, la Turquie, la Tunisie, l’Allemagne, la Russie et l’Italie.
Bien que la Belgique ne figure pas sur la liste des pays desservis, la compagnie low cost belge TUI Fly a mis en vente sur son site des billets d’avions vers l’Algérie, de la ligne Charleroi – Alger.
La diaspora algérienne établie en Belgique n’a pas hésité a réservé, pour être surprise par la suite de l’annulation de ses vols, et ce, quelques jours seulement avant la date de départ.
La porte-parole de la compagnie s’expliqueÀ cet effet, la porte-parole de la compagnie TUI Fly a apporté des explications, cette semaine, à propos des billets commercialisés et les vols annulés.
» Il y a peu de perspectives de réouverture des frontières de l’Algérie avec la Belgique. Par conséquent, nous appliquons un délai de rétractation de 4 semaines « , a fait savoir la porte-parole.
Elle a ajouté : » les vols restent en vente, car cette route est traditionnellement caractérisée par des réservations de dernière minute et l’impact sur nos clients est donc limité « .
Par ailleurs, elle a espéré que l’Algérie ajoute la Belgique à sa liste des pays concernés par le programme de vols internationaux et les frontières aériennes entre les deux pays soient réouvertes.
» Nous espérons que l’Algérie ajoutera bientôt la Belgique à sa liste de pays « sûrs », ce qui stimulerait le trafic aérien. Nous suivons la situation de près « , a-t-elle indiqué.
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Dans le cadre de la relance économique établie dans les priorités du gouvernement, le financement du déficit budgétaire demeure d’une extrême nécessité. Pour ce faire, l’Algérie est confrontée à trois options envisageables.
Dans son dernier discours à l’occasion de l’installation des membres du CNESE, le chef de l’État a mis l’accent sur « l’édification d’une économie nationale créatrice de richesse et ne dépendant pas de la rente comme par le passé ». Il a également souligné que 85% des financements du secteur privé provenaient des dépenses et des banques publiques.
Le constat est donc vite fait ; il faut trouver urgeant des sources de financement afin de mener à bien de telles projections et faire face au déficit budgétaire qui ronge les caisses du pays. Ce dernier est estimé à 3 300 milliards de dinars. Face à cela, deux options s’imposent ; l’endettement extérieur ou le recours à la planche à billets.
Or, à maintes reprises, Tebboune a catégoriquement écarté ces deux options. Chose qu’il a réitérée mardi dernier en insistant que l’Algérie « ne procèdera pas à l’endettement extérieur », d’autant que l’argent en circulation sur le marché noir est estimé colossal.
À ce propos, le président a fait savoir que « les chiffres font ressortir la circulation sur le marché parallèle d’un montant d’environ 10.000 milliards DA, soit 90 milliards USD ». Ainsi, l’exécutif doit œuvrer, « en cas de besoin » à capter ces fonds.
Endettement intérieur : la 3e option pour laquelle l’Algérie a optéDe par ces indices, entre le recours à l’endettement ou au financement non conventionnel (planche à billets), l’Algérie a opté pour la troisième option ; « l’endettement intérieur ». Autrement dit, au captage des fonds du marché parallèle, où des « sommes faramineuses sont cachées ». « Et il est temps de faire sortir cet argent pour financer l’économie », a souligné le chef de l’État.
Au titre de la loi des finances complémentaire 2021, le déficit budgétaire est prévu à hauteur de 3 300 milliards de dinars, soit près de 25 milliards de dollars. La dette publique quant à elle, elle s’élevait fin 2021 à plus de 9 000 milliards de dinars, soit près de 70 milliards de dollars.
Par conséquent, les pouvoirs publics doivent trouver les mécanismes adéquats afin de mener à bien et à la fois, le financement de déficit budgétaire et des projets dans le cadre de la relance et seulement avec des fonds internes sans recourir ni à l’endettement extérieur encore moins à la planche à billets.
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