Ce dimanche matin, Fertial, qui est une société des fertilisants issue d’un partenariat entre le Groupe algérien Asmidal et le Groupe espagnol Grupo Villar Mir, située à la zone industrielle d’Arzew à Oran, a connu une énorme explosion.
Le wali d’Oran a chargé le directeur de l’énergie, des cadres de la Sonatrach et de Fertial de se déplacer sur place pour suivre les dégâts. N’ayant pas enregistré des pertes humaines, les dommages que l’explosion a engendrés sont en cours d’évaluation selon un communiqué publié par la société sur sa page facebook.
Les services concernés sont mobilisés à savoir les unités spéciales d’intervention et de protection de la société Fertial et les unités de la société de gestion de la zone industrielle, et ce, dans le but de contrôler et endiguer les dégâts de cet accident.
Deuxième explosion en 3ansLa société a déjà connu un accident de ce genre, en 2019. En effet, une explosion de gaz a eu lieu à Fertial Annaba, à la cité Seybous de la commune d’El Bouni.
Après une lutte de deux heures contre le feu, les services de la protection civile ont réussi à contenir l’accident et éviter sa propagation vers les autres unités de la société. Un des employés a souffert de brûlures de deuxième degré suite à cet accident, en plus des dégâts matériels : des tuyaux et des équipements ont été décimés.
Il convient de noter que la société Fertial dispose de quatre unités notamment celle de la production de l’ammoniac et du nitrate, ses activités consiste à faire une mixture de plusieurs gaz dans le cadre de la production et le développement des engrais azotés et phosphatés.
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Après la forte propagation du Coronavirus en Algérie, les autorités du pays ont pris plusieurs mesures dans le but de lutter contre le virus mortel et limiter sa circulation. Parmi ces mesures, figure celle de l’interdiction de l’accès des supporters aux différentes infrastructures sportives.
En effet, les supporters des différentes infrastructures sportives en Algérie ont été interdits à y accéder à cause de la propagation du Coronavirus et les chiffres de contaminations alarmants enregistrés depuis le début de la pandémie.
À quelques semaines du coup d’envoi de la nouvelle saison sportive et de l’entame du Championnat de la Ligue 1, les autorités du pays » font un premier pas pour le retour du public sportif dans les gradins des différents stades des clubs de football de Ligue 1 « , et ce, après 20 mois d’interdiction.
Quelle est la condition pour pouvoir accéder aux infrastructures sportives ?À cet égard, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderezak Sebgag, a déclaré que les spectateurs vont être bientôt autorisés, sous condition d’être vaccinés contre la Covid-19 et munis d’un pass sanitaire, à assister à des matchs de football, ainsi qu’ils auront accès aux autres infrastructures sportives.
Par ailleurs, la fédération algérienne de football (FAF) avait déjà lancé, à la date du 25 août 2021, une campagne de vaccination en prévision de la prochaine saison sportive 2021-2022.
Notons qua ladite campagne a été destinée au profit des joueurs, staffs technique et administratif des différents clubs professionnels.
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Après la réouverture partielle des frontières aériennes en Algérie annoncée le 1er juin, les mesures préventives sont toujours exigées partout dans le monde compte tenu de la décrue de la pandémie du covid19, suite à quoi de nombreux pays ont levé certaines restrictions imposées aux voyageurs étrangers.
Une bonne nouvelle pour les algériens qui souhaitent visiter le Qatar. l’Algérie est sortie de leur liste rouge et occupe maintenant la liste verte avec la Tunisie, le Maroc et 188 autres pays. Les voyageurs entièrement vaccinés peuvent désormais y aller sans se soucier de la quarantaine, un test PCR négatif effectué dans les 72 heures avant leur arrivée est suffisant.
Ce changement entre dans le cadre de la facilitation du processus de voyage au Qatar, ce dernier relevant de la politique de voyage qui est une mesure indispensable dans la lutte contre le covid-19.
Au sujet des vaccinsEn ces temps de pandémie, le seul espoir demeure la vaccination, les voyageurs avec les vaccins Sinovac, Sinopharm et Spoutnik V doivent juste effectuer un test sérologique d’anticorps, les vaccinés de deux doses d’un vaccin approuvé, sous condition suivies d’une dose de vaccin Pfizer ou Moderna, seront considérées comme totalement immunisées 14 jours après la dernière dose.
Un certificat de vaccination original ainsi que tout document justificatif prouvant la vaccination, rédigé en arabe ou en anglais devra être présenté, en maintenant la quarantaine de sept jour à l’hôtel pour les non-vaccinés des pays verts et rouges. Seul un test négatif en fin de cette période permettra aux personnes en question de sortir.
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La campagne de vaccination contre le coronavirus en Algérie peine toujours à aboutir aux attentes des pouvoirs publics. Du point de vue des autorités sanitaires, elle n’est pas encore en adéquation avec les moyens mis en place par l’État.
Intervenant ce dimanche 10 octobre 2021 sur les ondes de la chaine trois de la Radio nationale, le membre du comité scientifique de suivi de l’épidémie en Algérie, le Pr Ryad Mahyaoui est revenu avec de nouvelles statistiques concernant l’opération de vaccination.
Selon lui, 10 millions et 200 000 personnes ont déjà reçu la première dose du vaccin contre le Covid-19. Le nombre de personnes ayant reçu les deux doses des vaccins disponibles en Algérie est d’ordre de 5 millions, révèle encore le spécialiste.
Commentant ces taux réalisés jusque-là en matière de vaccination contre le coronavirus, Pr Mahyaoui souligne que cela ne va pas de soi avec les moyens mis en place par l’État ni avec les objectifs fixés d’ailleurs.
S’exprimant autour de la situation épidémiologique actuelle, l’intervenant affirme que « la situation épidémiologique connaît une stabilité, reflétée par la baisse significative du nombre de contaminations et de décès enregistrés quotidiennement ».
« La vigilance est de mise »Cela a, selon lui, « créé un certain soulagement au niveau médical et administratif, mais la prudence et la vigilance restent de mise », a-t-il alerté. Dans ce sens, il a appelé à la poursuite de la vaccination, qui reste le seul moyen d’endiguer la propagation du virus, d’autant que les vaccins sont disponibles à profusion.
Dans son évaluation de la campagne de vaccination, l’invité de la Radio a confirmé la réticence des citoyens au cours des derniers jours, contrairement à la situation au cours des dernières semaines, notamment le mois de septembre.
À ce propos, il rappelle que le mois de septembre écoulé avait connu une grande campagne de vaccination, citant comme exploit, la vaccination de plus de 296 000 citoyens en une seule journée.
Toujours à propos de la situation épidémiologique, le Professeur souligne : « Il est vrai que la durée de vie du cycle du virus est de deux ans, mais ce n’est qu’une question théorique ». Et c’est pour cela, selon lui, « qu’il faut faire preuve de prudence et de vigilance et respecter des mesures de prévention, notamment le port d’un masque et la distanciation physique ».
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Le secteur des travaux publics devra entamer la réalisation de deux dédoublements au niveau de deux axes autoroutiers dans la capitale Alger. Ces projets interviennent dans le cadre du plan de décongestion de la capitale.
Lors de sa réunion tenue hier samedi 9 octobre 2021 sous la présidence du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, le gouvernement a entendu un exposé du ministre des Travaux publics sur deux textes relatifs à la réalisation de ces deux projets. Il s’agit, en effet, de la réalisation du dédoublement du chemin de wilaya (CW) reliant Heraoua à Ouled Moussa et des travaux de protection et dédoublement du CW à Draria.
Selon le communiqué des services du premier ministère ayant sanctionné la réunion, « il s’agit d’un projet de décret exécutif modifiant et complétant le décret exécutif 13-261 du 7 juillet 2013 ».
Ce décret porte sur la « déclaration d’utilité publique de l’opération relative à la réalisation du dédoublement du CW 122 reliant Heraoua à Ouled Moussa et le projet de décret exécutif portant déclaration d’utilité publique l’opération relative à la réalisation des travaux de protection et dédoublement du CW 111 Draria », ajoute la même source.
Ces deux projets de textes ont été introduits par le secteur des travaux publics dans le cadre du plan de décongestion de la capitale qui fait suite aux orientations données par M. le Président de la République, en vue de fluidifier le trafic routier à Alger, précise-t-on encore.
Cadence des travaux de 24 h/24 : le nouveau pari de BenabderrahmaneDans le souci d’accélérer les travaux, le Premier ministre a donné l’instruction d’instaurer le régime de rotation 24 h/24. Il a, en effet, demandé « d’intensifier le rythme de réalisation qui devra prévoir une rotation du personnel au niveau des chantiers du secteur avec une cadence des travaux de 24 h/24 ».
Ce régime horaire a été également demandé par le Premier ministre lors de sa visite la semaine dernière à Oran. En marge de sa visite du projet de la nouvelle aérogare de l’aéroport international « Ahmed Benbella » ayant enregistré un retard dans ses travaux, il a estimé que « l’administratif a eu raison sur la réalisation des chantiers, ce qui a impacté sur la viabilité de certains projets considérés comme stratégiques ».
Dans ce sens, le Premier ministre a cité en exemple les chantiers de construction, qui, selon lui, « doivent travailler en H 24 avec une rotation de trois équipes par jour, comme c’est le cas dans le monde entier afin d’assurer un rythme accéléré des travaux de réalisation ».
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Ce vendredi 08 octobre, le stade de Blida Mustapha Tchaker a été le terrain de la rencontre de l’Équipe Nationale du football et l’Équipe nigérienne, dans le cadre d’un match de qualifications à la Coupe du monde 2022.
À cet effet, l’Algérie a largement battu le Niger, pour six buts contre un seul, le vendredi soir, pour le compte de la 3e journée des éliminatoires du Mondial 2022 au Qatar.
Vingt-quatre heures après le match Algérie – Niger sur la pelouse du stade Mustapha Tchaker, le ministre de la Jeunesse et des sports, Abderezak Sebgag, a pris des mesures.
Djamel Belmadi et ses joueurs critiquent fortement la pelouse du stade Mustapha TchakerEn effet, le premier responsable du secteur du sport a tenu à dénoncer la mauvaise pelouse dudit stade, et ce, suite aux déclarations du sélectionneur national, Djamel Belmadi et de ses joueurs, Riyad Mahrez et Islam Slimani en l’occurrence.
Ces derniers ont affirmé, lors d’une conférence de presse tenue le vendredi soir, que c’était une » humiliation pour un grand pays comme l’Algérie de ne pas avoir actuellement un stade répondant aux normes internationales capable d’accueillir les matchs de l’équipe championne d’Afrique en titre « , qualifiant de » honte » un terrain pareil.
Sur ce, Abderezak Sebgag a décidé de limoger le nouveau directeur central chargé des infrastructures et équipements et des études prospectives, ce samedi 09 octobre 2021, après à peine un mois de son installation.
Dans le même contexte, le ministre de la Jeunesse et des sports a confié la gestion du stade à la fédération algérienne de football. Cette dernière doit faire le nécessaire pour garantir une bonne pelouse aux Fennecs, en prévision de leur dernier match de la phase de groupes des éliminatoires du Mondial face au Burkina Faso.
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Après les cours en ligne et les dates reportées à maintes reprises, la rentrée universitaire est enfin lancée aujourd’hui. 1.696.000 est le nombre d’étudiants rejoignant les universités ce dimanche. Des mesures de prévention et un protocole sanitaire actualisé ont été mis en place par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique afin de garantir la réussite de cette année universitaire 2021-2022 notamment en temps de pandémie.
Une alternance entre les cours en présentiel et à distance est prévue, le premier pour les unités fondamentales et méthodologiques et le deuxième pour les unités transversales et de découverte. Des nouveautés s’ajoutent à ce secteur à savoir 20.200 nouvelles places pédagogiques à travers le pays, les 21.170 lits réceptionnés dans plusieurs wilayas, 1.655 postes qui ont été pourvus pour le recrutement de maîtres assistants de classe B et 429 postes de professeurs hospitalo-universitaires de classe B.
A noter que cette rentrée est marquée par l’inauguration des Ecoles nationales supérieures des mathématiques et de l’intelligence artificielle, les premières promotions sont composées de 200 étudiants chacune.
Quelle crédibilité pour le diplôme universitaire algérien?Boualem Saïdani, directeur général des enseignements et de la formation supérieure au ministère de l’enseignement supérieur invité à la chaîne 3, a démenti les rumeurs concernant le diplôme universitaire et sa crédibilité affirmant que la réalité démontre bien le contraire.
Ayant comme principal argument la réussite des diplômés algériens dans des universités et institutions internationales. Le DG a tenu à rappeler également que l’équivalence des diplômes ne reflète pas leur crédibilité puisque l’Algérie ne reconnait pas tout les diplômes des universités étrangères.
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Depuis plus de 5 ans, le marché automobile en Algérie connait une stagnation inédite. Les prix ont atteint des niveaux extrêmement exagérés sur le marché de l’occasion. Face à cette situation, les concessionnaires reviennent à la charge et interpellent le président de la République.
Dans une lettre ouverte adressée au chef de l’État, les concessionnaires automobiles algériens ont tenu à expliquer la situation du marché. Ils demandent également d’accélérer l’octroi des agréments afin d’entamer l’activité de l’importation.
Ce que l’on peut retenir de la lettre ouverte des concessionnaires, rapportée par le quotidien arabophone Echorouk, c’est leur engagement à fournir des voitures à partir de 99 millions de centimes toutes taxes comprises. Une démarche qui devra énormément soulager le marché.
« Nous voulons t’informer, Monsieur le Président, des prix que nous comptons proposer lorsque nous entamons notre activité », ont écrit les concessionnaires. Ensuite, ils ont énuméré les prix pour chaque type de véhicule.
« Des prix à partir de 990 000 DA TTC », s’engagent les concessionnairesPour les véhicules touristiques, les concessionnaires s’engagent, auprès du président de la République, des prix allant entre « 990 000 Da à 1,8 million de dinars toutes taxes comprises, selon la marque de la voiture ».
Concernant les véhicules utilitaires et les camions poids légers, ils précisent que « les prix seront à partir de 1,05 million de dinars ». « Les véhicules utilitaires de type Pick-up seront à partir de 2.3 millions de dinars TTC ».
« Les prix des camions poids lourd varieront entre 1,9 et 4,7 millions de dinars selon les marques », ajoutent encore les concessionnaires, précisant que « ces prix sont étudiés et à la portée de tous les citoyens ».
Cela devra permettre, selon eux, « au citoyen d’acquérir un nouveau véhicule avec une garantie de 5 ans. Cela entrainera également une chute libre des prix actuels des voitures d’occasion », soulignent encore les intervenants dans leur lettre.
« Nous craignons la faillite »Les opérateurs tiennent également à préciser au président qu’ils sont « un groupe de concessionnaires automobiles algériens. Par cette lettre ouverte, nous souhaitons attirer votre attention de manière respectueuse sur la situation du marché des voitures neuves ».
« Notre groupe est composé d’opérateurs économiques algériens, qui ont au moins 15 ans d’expérience dans le domaine de l’importation et de la distribution de voitures », ont-ils également ajouté.
Cependant, ils soulignent : « nous sommes victimes de décisions administratives, du fait de la suspension de notre activité il y a 5 ans, car il a été décidé de geler l’activité le 1er janvier 2017, par les autorités en charge pendant cette époque ».
Par ailleurs, les opérateurs en question craignent « la faillite en raison du refus du comité technique ministériel de 20 demandes d’autorisation d’importation des voitures jusqu’à présent, bien que certaines d’entre elles remplissent toutes les conditions du cahier des charges ».
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Visiblement, le nord de l’Algérie semble renouer avec les tremblements de terre. En l’espace de quelques heures, deux secousses telluriques ont été enregistrées dans deux wilayas durant la soirée d’hier et la matinée de ce dimanche.
Selon deux communiqués du Centre de Recherche en Astronomie astrophysique et Géophysique (CRAAG), les wilayas de Mila et Ain Defla ont connu deux secousses de, respectivement, 3 et 3.6 degrés sur l’échelle ouverte de Richter.
En effet, le CRAAG a recensé durant la soirée du samedi 09 octobre 2021 à 22 h 19, une secousse tellurique de magnitude 3.0 localisée à 1 km sud-ouest de Hammala dans la wilaya de Mila.
Quelques heures après, soit à 06 h 15 de ce dimanche 10 octobre 2021 à 06 h 15, une autre secousse de magnitude 3.6 localisée a été enregistrée à 1 km nord-ouest d’Ain Benian dans la wilaya de Ain Defla.
Le 3 octobre dernier à 19 h 42, une secousse de magnitude 3.4 a été localisée à 5 km sud-ouest de Beni Houssine dans la wilaya de Sétif.
Le nord du pays est sujet à une « sismicité continue »En mars dernier, le géologue et consultant, Azzedine Boudiaf, a indiqué que l’Algérie a toujours été un pays sismique avec la même intensité depuis au moins 6 millions d’années. Selon lui, tout le nord du pays est sujet à une « sismicité continue ».
Dans un entretien accordé au quotidien El Watan, le spécialiste affirme que « depuis des décennies, nous avons compris et admis que tout le nord de l’Algérie est sujet à une sismicité continue ».
Alors que plusieurs localités avaient fait objet de plusieurs secousses le mois de mars dernier, le GRAAG a alors précisé que l’activité sismique enregistrée ces derniers jours dans plusieurs villes du pays, est un phénomène normal associé au rapprochement des deux plaques tectoniques africaine et eurasienne ».
Rappelons que le 17 mars dernier, la wilaya de Bejaïa avait été secouée, par un tremblement de terre d’une secousse tellurique de magnitude 4,0 degrés sur l’échelle ouverte de Richter. Plusieurs autres répliques avaient été également enregistrées.
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Des pluies, parfois sous forme d’averses orageuses, affecteront plusieurs wilayas de l’Est du pays en ce début de semaine, indiquent les services de l’office national de météorologie.
En effet, 5 wilayas côtières de l’est du pays ont été mises sous vigilance jeune pluies, pour cette journée du dimanche 10 octobre 2021. Il s’agit, selon la carte d’alerte jaune des wilayas de Béjaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Taref.
Pour ce qui est de la vigilance marine, Météo Algérie a mis plusieurs zones côtières en alerte jaune « vagues dangereuses ». Il s’agit des régions côtières d’El Kala, Annaba, Skikda, Jijel, Bouharoune, Ténés, Mostaganem, Arzew, Oran, Béni Saf, Ghazaouat et Marsa Ben Mhidi.
Les quantités attendues, selon la même source, peuvent atteindre les 20 à 30 mm, voire dépasser les 40 mm localement. Ces averses seront accompagnées par de fortes rafales de vents.
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Le marché des devises en Algérie s’est relativement stabilisé dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie ainsi qu’au niveau du marché parallèle pour ce dimanche 10 octobre 2021.
Pour ce début de semaine, le cours de l’euro à la Banque centrale d’Algérie s’élève à 158,81 dinars à l’achat et 158,87 dinars à la vente. Sur le marché parallèle des devises, il a atteint les 212 dinars à l’achat et 214 dinars à la vente.
Pour ce qui est de la monnaie étasunienne, le dollar s’est stabilisé à 137,29 dinars à l’achat et 137,31 dinars à la vente dans les cotations de la Banque d’Algérie. Son cours sur le marché parallèle s’est établi à 181 dinars à l’achat et 184 dinars à la vente.
Le prix du livre sterling à la Banque a atteint 186,36 dinars à l’achat et 184,44 dinars à la vente, tandis que sur le marché noir, l’unité de cette monnaie est proposée à 245 dinars à l’achat et de 247 dinars à la vente.
Le taux de change des monnaies des pays arabesConcernant les autres monnaies, le prix du riyal saoudien dans les cotations officielles est de 36,60 dinars à l’achat et de 36,61 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il s’achète à 48 dinars à et se vend à 48 dinars.
Le taux de change du dirham des Émirats arabes unis à la Banque d’Algérie s’élève à 37,37 dinars à l’achat et 37,38 dinars à la vente. Tandis que sur le marché parallèle, il est de 49 dinars à l’achat et de 49 dinars à la vente.
Le prix du dinar koweïtien à la Banque est de 454,62 dinars algériens à l’achat et de 455,88 dinars algériens à la vente. Sur le marché noir des devises, il s’élève à hauteur de 596 dinars à l’achat et 603 à la vente.
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En raison de ses nombreuses vertus thérapeutiques, le CBD bénéficie d’une grande popularité auprès du public. Pour satisfaire cette croissante et diversifiée demande dont fait montre ce composant du chanvre, les marques ont alors mis sur le marché une kyrielle de formes de CBD. C’est le cas des fleurs, résines et huiles. Chacun de ces types de CBD est disponible en plusieurs variétés.
Les différentes variétés d’huiles de CBD
Sur le meilleur site CBD, ces huiles se reconnaissent par leur couleur foncée et leur goût prononcé. À côté de cette qualité d’huile de CBD se trouve celle qualifiée d’isolat. C’est une variété d’huile pure.
Elle n’est en effet constituée que d’un seul composé de la plante de chanvre et il s’agit du cannabidiol. De plus, soulignons que cette variété d’huile est obtenue grâce à un procédé d’extraction au CO2.
Quelles sont les qualités de fleurs de CBD ?
Les qualités de fleurs de CBD varient selon l’espèce et le mode de culture de la plante. Sur la base du facteur de la technique de croissance, il existe trois variétés de fleurs de CBD. Il s’agit des :
Au niveau de la première catégorie de fleurs, les plantes de cannabis sont cultivées en extérieur. Elles bénéficient donc de conditions climatiques naturelles et croissent normalement. La deuxième catégorie fait référence aux fleurs de CBD dont les plants sont cultivés en intérieur.
Ces derniers requièrent un suivi humain rigoureux pour croître. Ce qui rend leur prix d’acquisition élevé. Les plantes de la troisième variété de fleurs de CBD combinent les deux modes de culture précédemment évoqués. Elles sont reconnues pour leur bon rapport qualité-prix.
Les variétés de fleurs de CBD selon l’espèce
En considérant le facteur de l’espèce, il existe deux qualités de fleurs de CBD. Il y a celles de la variété Sativa qui ne grandissent que dans les milieux tropicaux. De plus, leur vertu est principalement à but énergisant.
Il y a également les fleurs de la variété Indica qui, elles, ne possèdent que des fonctions relaxantes. De plus, elles grandissent dans les milieux montagnards.
Les qualités de résines de CBD
Au niveau des résines de CBD, il y a deux variétés de produits. Nous avons donc les résines afghanes qui sont généralement produites en Afghanistan. Elles sont obtenues suite à un processus de pressage et de chauffage des trichomes.
Il y a également les résines produites au Maroc. Pour obtenir ces dernières, il faut battre et passer au tamis des plants de chanvre séchés. Cette étape permet d’extraire les grains de pollen et les trichomes. Il faut ensuite presser ces divers composés pour obtenir la résine CBD.
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Le FFS ne sait plus sur quel pied danser. Après avoir annoncé en grandes pompes sa participation aux prochaines élections locales, prévues pour le 27 novembre 2021, le voilà qui livre une critique pour le moins violente envers la loi électorale qui régit la tenue du scrutin.
C’est Youcef Aouchiche, le secrétaire général du FFS qui a déclaré aujourd’hui, en marge de la conférence nationale économique et sociale organisée par son parti, que « la nouvelle loi électorale est une véritable déclaration de guerre contre les partis politiques et tout ce qui est organisé ».
Cette déclaration n’est pas anodine. Après avoir annoncé sa participation au prochain scrutin, le FFS s’est vite heurtée à la difficulté de collecter des signatures.
En effet, Aouchiche indique, lors de la même intervention, que son parti a pu « retirer les formulaires de candidature dans plusieurs wilayas, … mais qu’il avait eu du mal à recueillir les signatures et à les déposer ». Aouchiche n’a pas aussi manqué de qualifier la nouvelle loi électorale de « particulièrement injuste ».
Participation du FFS : une « décision politique »Toujours en marge de la conférence nationale économique et sociale organisée par le FFS, son secrétaire général rappelle que la participation de son parti aux prochaines élections est une « participation politique, pour des raisons et des objectifs politiques ».
Il est à rappeler que le FFS, à cause de sa décision de participer aux élections locales, fait face à une fronde au sein de sa base militante. En effet, dans les semaines qui ont suivies sa déclaration officielle de participer au prochain scrutin, des communiqués appelant au boycott, émis par ses directions régionales, se multipliaient.
Contrairement au FFS, le RCD a décidé quant à lui, au cours des travaux d’un Conseil national qui ont duré plus de six heures, de « rejeter » les élections locales. Son président, Mohcin Belabes s’est même montré particulièrement acerbe dans ses déclarations vis-à-vis des partis qui participent aux élections et qui n’arrivent pas à collecter assez de signatures.
En effet, dans un numéro de l’émission CCP du média Radio M, Mohcin Belabés, chef du RCD a déclaré que cela « est grave, …. vous savez combien de signatures il faut collecter ? Un nombre infime. Vingt signatures par candidat ».
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Alors que sa participation au prochain scrutin, programmé pour le 27 novembre prochain, a été sans surprise annoncée, le FLN fait face à des tirs croisés qui pleuvent sur lui de tous les côtés. Outre le « pourrissement » qui gangrène ses plus hautes sphères, l’ex-parti unique doit également faire gaffe à sa base militante et aux autres partis concurrents.
Le Front de Libération National qui faisait et défaisait autrefois les décideurs de l’Algérie moderne, n’est désormais que l’ombre de ce qu’il fut autrefois. Les scènes qui ont eu lieu au début du mois de septembre devant le siège central du parti à Hydra ont été annonciatrices d’une longue série de mésaventures, dont le parti de Baadji risque de ne pas sortir indemne.
Le FLN lâché par ses propres parlementairesLe FLN multiplie les scandales politiques. Après l’épisode qui a porté un coup dur à l’image du parti, survenu à Hydra, et les scandales judiciaires qui se sont ensuivis, voilà que des parlementaires du FLN annoncent qu’ils gèlent leurs appartenances au vieux parti unique.
En effet, aujourd’hui, le 09 octobre 2021, trois parlementaires du FLN de la wilaya de Mila ont publiquement annoncé qu’ils gèlent leurs appartenances au parti. Une décision qui vise à contester la persistance de la direction actuelle à la tête du FLN. Les trois députés ont indiqué que leur décision se poursuivra jusqu’à ce que la direction actuelle lâche les rennes du parti.
Il s’agit, affirme le quotidien Al Khabar, des parlementaires Bedroun Zakaria, Ben Abderahmane Ibrahim, tous les deux députés à l’APN, mais aussi de Chaoui Abdeloukil, membre du Conseil de la Nation. Les raisons qui ont poussé les trois parlementaires à prendre une telle décision sont à chercher du côté des listes électorales en vue des prochaines élections locales, indique la même source.
Élections locales : le FLN accusé par les autres partisAlors que le scrutin approche, le FLN multiplie les faux pas. Son image ne tient plus à rien dans le paysage politique. Après la chute de Bouteflika, le Parti qui a toujours été proche du pouvoir ne sait plus à quel saint se vouer. Aujourd’hui, des partis qui participent aux prochaines locales se sont plaint à l’ANIE de « dépassements » commis par le FLN dans le cadre du dépôt des dossiers de candidatures.
Le FLN n’aurait pas respecté les délais du dépôt. Ces derniers ont pris fin avant-hier jeudi, mais pas apparemment pour le FLN qui « jouit de la complicité de certaines administrations », toujours selon El khabar. En effet, l’ex-parti unique, qui n’avait pas pu déposer des dossiers de candidature dans plusieurs communes, dont celle de grandes villes, aurait profité de l’autorisation accordée par l’ANIE aux candidats libres.
Le FLN aurait été aidé dans les dépassements qu’il avait commis par certaines administrations, indique encore la même source, qui souligne que le parti souffre d’une impuissance à collecter les signatures et même à trouver des candidats.
De quoi le pourrissement du FLN est-il le nom ?Il n’est plus un secret pour personne que le FLN, à l’instar de plusieurs partis qui orbitaient autrefois autours des centres du pouvoir, ont pris un coup dur après le Hirak. Le cas FLN est cependant particulièrement flagrant. Alors qu’il faisait et défaisait autrefois des hauts responsables, l’ex-parti unique regarde impuissant aujourd’hui des opposants qui appelle à le mettre au musée.
Le FLN cependant est loin de répondre politiquement à ses détracteurs. Entre ses faux pas politiques, son récent passé trouble et taché par la corruption, le parti se dirige fermement vers les oubliettes.
Mais outre le destin du parti lui-même, qui a marqué l’histoire de l’Algérie indépendante, sa situation pousse à réfléchir sur l’avenir du multipartisme en Algérie. Le défi des élections locales a clairement montré que même au sein de l’opposition les avis divergent, et que les partis sont de plus en plus impuissants à changer quoi que ce soit dans l’opinion publique. Le paysage actuel scelle un véritable divorce entre le citoyen et la classe politique. Symptôme d’une crise politique qui est loin d’être réglée.
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La communauté algérienne à l’étranger est établit dans différents pays du monde, plus particulièrement en Europe. Tandis que certains Algériens occupent des posts de travail importants, en médecine, biologie ou en ingénierie, d’autres préfèrent constituer des bandes criminelles et de malfaiteurs.
Outre l’Hexagone, l’Espagne a enregistré aussi des activités criminelles menées par des ressortissants algériens. Comme c’était le cas récemment à Barcelone ou la police a réussi à mettre la main sur des Algériens impliqués dans une affaire de trafic de faux papiers européens.
En effet, des médias espagnols ont rapporté qu’un réseau de trafic de papiers d’identité a été démantelé grâce à une collaboration de la police espagnole avec Europol et la Garde urbaine de Barcelone. Il s’agit d’une organisation spécialisée dans le vol, la vente et la falsification de cartes d’identité et de passeports.
Des Algériens à la tête de l’organisationCe réseau de trafic, dirigé par des ressortissants algériens est installé à Ciutat Vella, à Barcelone. Il procède à des opérations de vols effectués dans les rues de la ville, et ce, avec l’aide d’un nombre important d’adolescent.
Les documents volés sont des pièces d’identités et des passeports étrangers.
Ces documents sont revendus par la suite dans différents pays, selon la demande. La perquisition de trois maisons à Barcelone a permis à la police de récupérer environ 2000 cartes d’identité et de passeports appartenant à des européens notamment espagnols et français.
L’enquête ayant abouti à démanteler ce réseau de trafic remonte au début de l’année 2021. Après plusieurs mois, la police a réussi à mettre la main sur un colis en partance vers la Grèce, dans lequel se trouvait une centaine de documents. Ainsi, trois personnes ont été arrêtées dans cette affaire, en attendant la poursuite de l’enquête en dehors des frontières espagnoles.
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L’Algérie retrouve sa stabilité sanitaire après une troisième vague particulièrement meurtrière de la covid-19. Le bilan quotidien des contaminations confirme encore une fois la décrue ce 09 octobre. Selon les chiffres d’aujourd’hui, le pays a connu d’ailleurs une nouvelle et légère baisse.
Le bilan du ministère de la Santé fait état aujourd’hui de 102 nouveaux cas de contaminations à la covid-19, contre 112 enregistrés hier. Ces dernières 24 heures, et toujours selon la même source, l’Algérie a enregistré 4 nouveaux décès, 77 nouvelles guérisons, ainsi que 13 nouvelles admissions en réanimation.
Ces derniers chiffres révélés par le ministère de la Santé indiquent que le bilan total des contaminations s’élève désormais à 204.227 cas. Le pays a déploré, depuis le début de la crise sanitaire en mars 2020, pas moins de 5852 décès liés à des dangereuses complications du virus.
Covid-19 et troubles dépressifs : un drame souvent occultéLe souvenir de la troisième vague qui a dévasté l’Algérie reste encore dans les esprits des citoyens. Mais certains plus que d’autres souffrent particulièrement des séquelles de la Covid-19. Des séquelles qui peuvent être physiques, mais également psychologiques.
La revue scientifique britannique The Lancet indique dans son dernier numéro que depuis l’arrivée de la Covid-19 en 2020, les cas de dépression et d’anxiété ont augmenté de plus d’un quart dans le monde. Les chiffres donnés par les scientifiques sont respectivement de 28 % et 26 % pour 2020 et 2021.
Si certains prennent à la légère ces symptômes d’autres pas. Alize Ferrari, la coautrice de l’étude, a notamment déclaré que « pour de nombreuses raisons, les femmes ont été davantage susceptibles d’être plus touchées par les conséquences sociales et économiques de cette pandémie ».
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La décrue des cas de contaminations en Algérie, se confirme de jours en jours. Après l’allègement du confinement sanitaire et la reprise de certaines activités, les Algériens peuvent enfin respirer.
Une autre bonne nouvelle annoncée aujourd’hui 9 octobre va les réjouir encore plus. Il s’agit du retrait de l’Algérie de la liste rouge établit par la France. En effet, l’Hexagone ne considère plus l’Algérie comme zone à haut risque. C’est ce qu’a été publié ce samedi au Journal officiel de la République française.
Ainsi, l’arrêté publié par le ministre français de la Santé Olivier Véran indique que la décision entrera en vigueur à partir de lundi 11 octobre. Les deux voisins maghrébins sont également concernés par la bonne nouvelle. Suite à une amélioration de la situation sanitaire, le Maroc et la Tunisie ne figurent plus sur la liste rouge.
Que va-t-il changé pour les voyageurs ?Rappelons par ailleurs que l’Algérie a été considérée par la France comme zone à haut risque le 21 aout dernier. Une période durant laquelle le pays traversait une troisième vague de covid-19 des plus virulentes. Aujourd’hui, l’Algérie quitte la liste rouge et se retrouve sur la liste « orange » comme cela a été le cas auparavant.
Cette nouvelle décision va logiquement alléger les conditions d’entrée en France. Ce sont uniquement les voyageurs non-vaccinés qui sont concernés par ces conditions puisque le Sinovac a été reconnu.
Désormais, ils doivent présenter un motif impérieux, un test PCR de moins de 72 h (au lieu de 48 h actuellement) ou antigénique (- 48 h, inchangé) avant le départ. À cela s’ajout, l’auto-isolement de 7 jours au lieu d’une quarantaine obligatoire de 10 jours.
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La chute du pouvoir d’achat et l’inflation auxquelles fait face le citoyen algériens alimentent l’actualité et suscite le débat. Sachant que le président a annoncé dimanche dernier la baisse de l’IRG, d’autres propositions font surface la part de syndicalistes et militants.
C’est le cas notamment de l’analyse livré par Noureddine Bouderba, militant syndicaliste, expert des questions sociales et du monde du travail, qui a accordé un entretien au quotidien « Reporters ».
Avant de proposer ses solutions relatives à l’augmentation du pouvoir d’achat, l’expert a tenu à préciser que l’Algérie est le seul pays au monde ou « l’IRG sur les salaires est supérieur à l’impôt sur les bénéfices des sociétés ». Selon Noureddine Bouderba, tout travailleur dont le revenu est deux fois supérieur au SNMG doit être exempté de l’IRG.
« Il faut exempter de l’IRG la fraction du salaire qui est inférieur à deux fois le SNMG/ Cette nuance est très importante de fraction de salaire, cela veut dire que toute fraction de salaire comprise entre deux fois le SNMG et exempte de l’IRG », poursuit-il.
« Ce n’est pas normal qu’un retraité paie plus d’impôt de l’IRG qu’un professionnel libéral »D’un autre côté, l’expert estime qu’il faut réduire le taux de l’IRG de 50% ce que paye actuellement le travailleur, et ce, pour la fraction de salaire comprise entre deux fois le SNMG et 120 000 dinars. Quant à ceux qui gagent plus de 120 000 DA, ils doivent bénéficier d’une réduction de 25%.
Idem pour la pension des retraités, car il est inadmissible qu’un retraité paye plus d’impôt de l’IRG qu’un professionnel libéral. Cependant, ces mesures ne seront efficaces que si l’inflation recule, a-t-il soutenu, tout ajoutant que la dévaluation du dinar est à l’origine de cette inflation.
Pour conclure, le syndicaliste réitère l’importance du rôle de l’État pour maintenir « la cohésion sociale », et ce, en renforçant les dépenses sociales, à savoir le maintien de la subvention des produits alimentaires de base et des produits énergétiques
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Depuis sa nomination à la tête de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra a mené un marathon diplomatique multipliant les rencontres et les consultations avec ses homologues des quatre coins du monde.
Trois mois après sa prise de fonction, Lamamra est revenu aujourd’hui, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la diplomatie, sur le rôle de l’Algérie sur la scène internationale.
Lors d’un point de presse tenu ce samedi 9 octobre, au siège du ministère des Affaires étrangères, Lamamra a mis en avant « le rôle capital et central » de la diplomatie algérienne qui, selon lui, est liée directement à la sécurité nationale.
Selon le chef de la diplomatie algérienne, le rôle de cette dernière est « capital » voire « central » dans « la stratégie de sécurité nationale ». Le ministre des Affaires étrangères explique notamment que l’activité diplomatique de l’Algérie veille, « à la préservation de l’intégrité territoriale, de l’indépendance et de la souveraineté et de l’unité nationales ». Cette tache, indique le meme intervenant, est honoré « aux côtés des services de sécurité ».
La sécurité nationale est donc selon Lamamra, Intrinsèquement liée à l’efficacité de l’appareil diplomatique. Ce dernier aurait donc pour mission principale « d’anticiper les événements et de déceler les menaces extérieures ».
Lamamra précise encore que les efforts de la diplomatie visent à défendre les intérêts de la nation, à contribuer à l’instauration de la sécurité et de la stabilité dans la région, mais aussi à renforcer les liens « avec l’Afrique et le Monde arabe et à la promotion du partenariat et de la paix dans le monde« .
Paix en Libye : quel rôle pour l’Algérie ?L’Algérie a joué un rôle pour mettre fin à la crise qui déchire la Libye depuis plus de dix ans maintenant. Toujours lors du même point de presse, Lamamra a indiqué que l’Algérie n’a jamais cessé de contribuer au processus de paix chez le voisin libyen.
Selon Lamamra, Outre le soutien au processus de dialogue national en Libye, l’Algérie a également « œuvré à la création et à l’activation du mécanisme de ses États voisins ».
l’Algérie, ajoute Lamamra reste attachée à « l’intensification de la coordination et de la coopération » dans le but d’arriver à un véritable « processus politique » en Libye. Toujours selon le chef de la diplomatie, l’Algérie souhaite que le prochain scrutin que connaitra la Libye va la tirer de sa crise.
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Le financement du déficit budgétaire demeure d’une extrême nécessité sur le plan du gouvernement. Pour ce faire, l’Algérie a opté pour « la solution interne » ; qui jusqu’à aujourd’hui semble être déjà lancée.
Ces dernières semaines, le gouvernement a lancé une « mini-reforme » des conditions d’importations. Après avoir interdit l’importation de plusieurs produits, dont alimentaires, le ministère du Commerce est revenu aujourd’hui avec une nouvelle mesure d’interdiction.
Suspension de l’importation sous la position tarifaire « Autres »Jeudi dernier, l’Association des banques et établissements financiers (ABEF) a adressé une note aux banques et établissements financiers au sujet des importations. Cette dernière concerne les opérations d’importations effectuées sous la position tarifaire ‘Autres‘.
Selon la note de l’ABEF, toute opération d’importation classée sous la position tarifaire « Autres » est dorénavant suspendue. Une décision prise dans le cadre de « l’encadrement et de la rationalisation des importations », d’après la même source.
« Il vous est demandé d’instruire vos services ; à l’effet de surseoir à la domiciliation de toute opération d’importation sous la rubrique ‘Autres’ et de veiller à la stricte application de cette mesure », a ordonné l’ABEF dans sa note destinée aux banques et aux établissements financiers.
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