Capter les fonds en circulation en dehors du circuit bancaire constitue un véritable casse-tête au gouvernement. Dans l’optique d’encourager de capter les masses monétaires du marché informel, le gouvernement propose plusieurs mesures pour l’année prochaine.
Dans le cadre des dispositions de l’avant-projet des lois de finances 2022, le gouvernement lance un appel aux personnes physiques et morales non déclarées auprès des services fiscaux de s’identifier de leur propre gré avant la fin de l’année prochaine. Autrement dit, avant l’enclenchement d’une opération de contrôle fiscal.
Il s’agit donc des personnes physiques et morales qui exercent dans les activités d’achat-revente, de production, de travaux ou de services, non déclarées. L’ensemble de ces opérateurs devront se présenter spontanément au plus tard le 31 décembre 2022 pour s’identifier, précise-t-on dans l’Aplf.
Ainsi, ces opérateurs non identifiés auprès des services fiscaux ne seront pas passibles de sanctions fiscales, sous réserve que l’accomplissement de la formalité d’identification spontanée.
Dispositions d’inclusion fiscaleCes mesures interviennent, selon le texte de l’avant-projet de la loi des finances 2022, afin de permettre aux contribuables exerçant des activités non déclarées à l’administration fiscale de s’y identifier spontanément au plus tard le 31 décembre 2022.
Il s’agit donc de dispositions d’inclusion fiscale qui fait partie « des recommandations des assises nationales sur la fiscalité organisée au titre de l’année 2020 ». Elles visent « principalement la migration vers le secteur formel des contribuables exerçant dans l’informel », souligne l’Aplf 2022.
Ainsi, force est de constater que ces mesures interviennent dans le cadre des tentatives du gouvernement de mettre fin aux masses monétaires circulant sur le marché informel, en les intégrant dans les circuits légaux de l’économie.
Pour rappel, le chef de l’État avait indiqué vers la fin du mois de septembre écoulé qu’il y a « près de 10 000 milliards de dinars cachés dans le marché parallèle. Cela représente l’équivalent d’environ 90 milliards de dollars.
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L’Algérie semble déterminée à sortir de la crise dans laquelle elle patauge. Conscients que la solution au marasme multidimensionnel est avant tout économique, les autorités, dans le cadre des efforts pour le développement du secteur industriel, se tournent vers la toute puissance Nipponne. Le Japon.
C’est le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, qui a proposé aujourd’hui, mercredi 13 octobre, à l’ambassadeur du Japon, Akira Kunu, plus de contrats d’investissement pour le pays du soleil levant en Algérie. Cette proposition faite par le ministre intervient au moment ou la production industrielle locale est loin des attentes des citoyens.
Industrie : plus de présence pour les Japonais en AlgérieDans un communiqué du ministère de l’Industrie, il est indiqué que les portes de la coopération et du partenariat sont ouvertes aux investisseurs japonais. Les Japonais sont notamment invités à enrichir le paysage industriel algérien par leur expérience dans tous le domaine des industries électroniques et mécaniques, dans lequel le Japon a une large expérience en termes de maîtrise de la technologie.
Le ministre a également appelé les institutions nipponnes à intensifier leur présence en Algérie. Il a notamment évoqué « les réformes fondamentales et structurelles » dans le système juridique de l’investissement. Zaghdar a également argué de « la stabilité, de l’attractivité et des privilèges » que ce système apportera.
L’Algérie, selon le ministre de l’Industrie, pourrait devenir la porte d’entrée du Japon dans le marché africain, et ce, dans le cadre de la zone de libre-échange africaine. Pour toute réponse, le communiqué du ministère a indiqué que l’ambassadeur du Japon a exprimé « le vif intérêt des institutions japonaises » pour la proposition du ministre, notamment pour « investir à la lumière de la zone de libre-échange africaine ».
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Ce mardi, l’Équipe nationale a ajouté à sa liste une autre sacrée victoire contre l’Équipe nigérienne, dans le cadre d’un match retour à Niamey, pour la quatrième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde au Qatar 2022.
Au retour du Niger, le sélectionneur Djamel Belmadi a salué, lors d’une conférence de presse, la » sacrée victoire » de ses hommes au stade de Niamey. » Les joueurs ont présenté un bon match. Ils étaient tous à la hauteur, et ils ne m’ont pas déçu. Et on a obtenu les trois points que nous recherchions dans ces éliminatoires « , a révélé l’entraîneur.
Dans le même sillage, Belmadi a exprimé sa fierté et sa satisfaction concernant la performance présentée par Youcef Belaïli, où il a affirmé : » Belaïli est décisif dans la plupart des confrontations, il est toujours au niveau requis. Youcef constitue une menace pour le concurrent. Il est très talentueux et il sait très bien comment affronter les difficultés du jeu en Afrique « .
» Nous avons besoin de nos supporters dans les tribunes « , affirme BelmadiInterrogé sur les préparatifs du match contre le Burkina Faso, le sélectionneur a déclaré : » nous savons que l’équipe du Burkina Faso est une équipe forte et a d’excellents joueurs professionnels en Europe. Ce sont les éliminatoires de la Coupe du monde. Ce n’est pas facile. Chaque confrontation a ses propres caractéristiques « .
Il a ajouté à ce propos : » nous avons besoin du public dans les tribunes, nous voulons qu’il soit avec nous, nous nous sommes manqués. J’espère bien que les supporters seront présents lors du match du Burkina Faso, pour motiver les joueurs et créer cette ambiance à laquelle nous sommes habitués « .
Par ailleurs, Belmadi a évoqué dans ses déclarations le sujet du stade de Mustapha Tchaker, en affirmant : » chacun doit porter sa responsabilité, nous voulons jouer sur un bon terrain, et s’ils ne font pas leur travail, ils n’aiment pas le pays « .
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La bonne nouvelle de la réouverture partielle des frontières aériennes en Algérie annoncée le 1er juin dernier n’est pas venu seule. En effet, beaucoup ont déploré le nombre de vols programmés. C’est suite à la forte hausse de la demande, le ministère des Transports a annoncé le 11 octobre à travers un communiqué l’ajout des vols supplémentaires dans un nouveau programme pour Air Algérie.
Qui dit nouveaux vols dit nouvelles destinations : Londres et Dubaï sont maintenant sur le programme, avec une augmentation des vols vers l’Allemagne, l’Italie, la Turquie et l’Espagne.
Cependant, la cherté des billets pourrait refroidir certains. Cela a été le cas pour les billets vers l’Algérie proposés par l’agence Lidl Voyages. Sur le programme des vols du 22 au 29 octobre pour 1802 euros l’aller-retour, et ce, pour la ligne Paris – Alger, tandis que pour l’autre ligne, à savoir Paris – Oran, le prix a légèrement baissé, estimé à 966 euros l’aller-retour.
Que demande les voyageurs?Certes, le nombre de vols a été augmenté, mais on ne peut que constater et être choqué par le prix excessivement cher de certains billets à l’exemple des tarifs fixés par Air Algérie pour Dubaï et Londres.
Pour revenir de l’Emirat bling-bling, départ prévu lundi 25 octobre, le billet d’un aller simple coûte près de 1000 euros (997 euros). Et si on veut rentrer du Grand Brouillard, un aller simple pour la date du mardi 26 octobre est fixé à partir de 525 livres sterling.
Pour rappel voici les vols ajoutés pour Dubaï et Londres :
« Alger – Dubaï » le départ programmé dimanche à 11h et le retour lundi à 16h30 et un départ jeudi à 17h et le retour vendredi à 14h30.
« Alger – Londres » est programmé mardi et jeudi à 10h30 et le retour à 14h.
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Alors que la 4ᵉ vague reste un risque auquel il faut se préparer, les Algériens font preuve d’une réticence de plus en plus grandissante envers les vaccins contre le Covid-19. Ce constat inquiet au plus haut point les spécialistes, et à leur tête le Pr Belhadj.
Il s’agit du directeur des activités médicales et paramédicales au CHU Mustapha, le Pr Kamel Belhadj a vu, lors de la troisième vague, ce que le virus est capable de faire. Aujourd’hui, lors de son passage sur les ondes de la radio nationale, le médecin spécialiste fait part de son inquiétude et livre un constat pour le moins démoralisant.
L’immunité collective, ce n’est pas pour demainPour Le Pr Belhadj, l’Algérie est encore loin de pouvoir prétendre à l’immunité collective. Il a notamment confié que dans le contexte actuel, il est difficile de vacciner les 30 à 35 millions des citoyens. Selon lui, « À ce rythme-là, nous ne pourrons jamais atteindre l’objectif de vacciner 30 à 35 millions d’Algériens d’ici le mois de décembre », déplore-t-il.
Le professeur regrette notamment le relâchement concernant les mesures de prévention, mais surtout la baisse d’engouement pour la vaccination. Kamel Belhadj s’interroge à juste titre : « lorsqu’il y a plus de cas, plus de décès et plus d’angoisse, les gens vont aller se faire vacciner. Maintenant, nous sommes dans une situation d’accalmie, avec moins de décès, moins de cas et moins de personnes hospitalisées, on est à une vitesse très faible de vaccination ».
Un constat illogique, et contraire à tous les appels lancés par les spécialistes depuis le début de la campagne de vaccination. Malgré cela, le professeur Belhadj, conscient du danger que représente la quatrième vague, refuse d’admettre la fatalité. Il assure qu’il « ne faut pas baisser les bras, mais continuer à sensibiliser la population ».
Des chiffres démoralisants« Nous avons deux millions d’étudiants, moins de 4% d’entre eux sont vaccinés », déplore le Pr Belhadj. Pour lui, ce chiffre indique la gravité du risque, et met à nu l’inefficacité des campagnes de sensibilisation. Le danger, confie-t-il « se situe dans les secteurs où il y a des masses de personnels ». Dans le cas des universités par exemple, « les étudiants en médecine sont en contact avec les patients dans les hôpitaux ».
Alors que le président Tebboune a déclaré avant-hier que l’obligation de la vaccination n’était pas envisageable, voila que le Pr Belhadj livre une toute autre analyse. Pour ce spécialiste, « l’obligation de la vaccination pour les personnels de santé ou l’instauration du pass sanitaire pour certains secteurs sensibles » ne sont pas à exclure. Cela « est en vigueur même dans les pays les plus démocratiques », argue-t-il.
Pour conclure, le Pr Belhadj a dénoncé certains agissements dans les rangs du personnel de santé. Le professeur a déclaré que « ce n’est pas étique, ni déontologique, que des gens qui ont refusé le vaccin, demandent maintenant à se faire administrer un vaccin précis pour pouvoir faire leurs démarches de visa ».
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Avec l’approche du lancement de la vaccination contre la grippe saisonnière, la double vaccination anti-Covid-19 et antigrippale suscite déjà moult interrogations. Pour éclairer l’opinion publique, Dr Fourar apporte des précisions.
En sa qualité du porte-parole du Comité scientifique de suivi de l’épidémie du coronavirus et directeur de la Prévention et de la Promotion de la santé au ministère de la Santé, Djamel Fourar rassure quant à cette question.
Intervenant sur la chaine Echorouk News, Dr Fourar a indiqué que la vaccination contre le coronavirus n’annule pas le vaccin contre la grippe saisonnière. L’intervenant explique, à ce propos, que la vaccination contre le Covid-19 n’empêche de recevoir le vaccin antigrippal.
Autrement dit, une même personne peut recevoir l’un des vaccins ou carrément les deux, à en croire ce qu’a avancé le directeur de la Prévention et de la Promotion de la santé au ministère de la Santé.
Lancement de la campagne de vaccination antigrippale en novembrePour ce qui est du lancement officiel de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière, l’intervenant affirme qu’elle interviendra durant le mois de novembre prochain. À cet effet, il annonce l’importation de 2 millions de doses de ce vaccin.
En effet, Djamel Fourar a fait état, dimanche dernier, de l’importation, en octobre en cours, de plus de 2 millions de doses de vaccin antigrippal, annonçant le lancement de la campagne de vaccination 20 jours après réception du produit.
Selon lui, le ministère devra lancer la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière, comme chaque année, 20 jours après la réception par l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) des premières doses du vaccin.
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Les réductions sur les tarifs des assurances automobile supérieures à 50% ne seront plus proposées. Les compagnies d’assurances à travers le territoire national sont sommées de ne plus recourir à la concurrence des prix, en les réduisant à plus de 50%.
L’annonce a été faite, hier mardi, par le PDG de la Société nationale d’assurance (SAA), Nacer Sais, en marge du lancement du nouveau site web de la SAA et du paiement électronique.
L’intervenant affirme que la SAA avait signé avec les autres compagnies « un protocole, sous l’égide du ministère des Finances qui interdit aux sociétés d’assurances de proposer des réductions d’assurance automobile au-delà de 50 % ».
Concernant les raisons derrière cette décision, le PDG de la société nationale des assurances affirme que la concurrence concernant l’assurance automobile « a battu tous les records faisant que les assureurs s’arrachent les parts de marché en jouant sur les tarifs ».
« L’assurance automobile est une branche soumise à une pression importante sur les prix vers le bas », a-t-il encore constaté. Cette concurrence, ajoute encore l’intervenant, engendre des situations où les assureurs « ne peuvent plus faire face à leur engagement ».
S’agit-il d’une entente tarifaire ?D’ailleurs, il explique que « tous les intervenants dans le secteur, à savoir l’ensemble des assureurs, ont pris conscience que si on ne mettait pas fin à ces pratiques de dumping tarifaire, les compagnies d’assurance auront des problèmes ».
Cela dit, il précise que le protocole cité en haut, signé sous l’égide du ministère des Finances, « ne constitue aucunement une entente tarifaire ».
Par ailleurs, la société nationale d’assurances (SAA) a lancé mardi à Alger le paiement en ligne à travers son site web amélioré, au profit de ses clients détenteurs de cartes interbancaires (CIB).
Ce service concerne deux premiers produits d’assurance : l’assurance multirisque habitation et l’assurance catastrophes naturelles (Cat-Nat), a précisé Nacer Sais lors de la cérémonie de lancement du nouveau site de la SAA.
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Les féminicides, un fléau qui prend de plus en plus d’ampleur en Algérie et ne cesse d’endeuiller des familles à travers les quatre coins du pays.
Le nombre de victimes enregistré à cause de ce phénomène ne cesse d’augmenter et se multiplie jour après jour. Les dernières victimes sont de l’Est du pays, précisément de la wilaya de Sétif.
En effet, la page Facebook Féminicides Algérie a fait savoir qu’en date du 10 octobre de l’année en cours, un homme a tué sauvagement sa mère et sa sœur. Les faits du crime se sont déroulés lors de l’absence du père du coupable de la maison, quand ce dernier a saisi l’occasion et a poignardé sa mère Hadda âgée de 60 ans, ainsi que sa sœur Djamila, avant de les massacrer sauvagement.
Au moment des faits, les voisins des victimes ont entendu leur cri. Ces derniers ont immédiatement appelé la police. Aussitôt alertés, les policiers n’ont pas tardé à intervenir, pour mettre la main sur le coupable qui a pris la fuite après avoir commis son terrible crime, et le présenter à la justice.
Une autre victime enregistrée à El EulmaDans le même sillage, la ville d’El Eulma, a été témoin, ce lundi 12 octobre, d’un nouveau féminicide qui a secoué la wilaya de Sétif.
En effet, un homme de près de cinquante ans a tué hier sa femme quadragénaire et mère de trois enfants, à la suite d’une dispute. Le mari mis en cause a suivi sa victime qui a quitté le domicile conjugal en direction de son domicile familial, pour mettre fin à sa vie, en enroulant une corde autour de son cou et l’étrangler au vu de sa mère âgée, qui était incapable de protéger sa fille.
Après avoir commis son terrible crime, le mis en cause a quitté les lieux avec sang froid, laissant derrière lui le corps sans vie de la mère de ses enfants par terre.
Alertés, les éléments de la police se sont déplacés sur les lieux du crime et ont ouvert une enquête. Notons que le mis en cause a été arrêté et présenté à la justice en attendant son jugement.
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Le sujet de l’immigration fâche depuis la nuit des temps, pourtant, personne ne pouvait imaginer que cela entraînerait une crise diplomatique entre deux pays. Et alors que la diplomatie et les perturbations dans les relations entre deux pays concernent principalement le gouvernement et la classe politique, leurs répercussions ne touchent autre que le peuple. C’est l’histoire d’une petite fille algérienne et son père.
Puisque l’immigration est au cœur des problèmes entre l’Algérie et la France, l’Hexagone décide de durcir l’immigration notamment si près des élections présidentielles. Dernière ligne droite pour le président français Emmanuel Macron afin de corriger son bilan migratoire.
Ce durcissement touchera certainement un nombre considérable d’algériens, comme c’est le cas pour une petite fille et son père, ayant reçu un refus de renouvellement de son titre de séjour par la préfecture du Gard dans le sud de la France. Cela veut dire que son père devra quitter le territoire français, et la petite âgé de 10 ans devra impérativement le suivre.
Un cas qui crève les yeuxCe n’est pas tout, la situation s’avère beaucoup plus dramatique que ce que l’on peut imaginer. La petite a un cancer, une tumeur de la rétine, diagnostiquée en Algérie en 2012 à l’âge de un an, elle perd la vue cinq ans plus tard. En 2017, le constat est frappant, avec un cas compliqué et un manque de moyens dans son pays natal, elle sera orientée vers l’Institut Curie, en France, et ce après la chimiothérapie, un hôpital en Jordanie et même un coma. C’est là où son père a pris l’avion, sa fille dans les bras, laissant derrière lui son épouse et ses deux petits garçons, espérant trouver un bon suivi médical.
Son malheur ne s’arrête pas là, puisque des tests génétiques révèlent la présence du gène RB1, un accélérateur du développement tumoral. La petite fille doit continuer à être suivie.
Un départ qui peut coûter une viel’Affaire a été examinée par le tribunal administratif ce mardi 12 octobre, déterminée à aller voir et parler au juge mais finalement envahie par la peur, elle n’accompagne pas son père au tribunal. Leur avocate, Me Pascale Chabbert-Masson, explique que suite à leur éventuel départ, la fille peut mourir.
L’arrêté oblige le père à quitter le territoire dans un délai d’un mois. L’avocate déplore « l’inhumanité » de la préfecture traitant ce dossier, sachant qu’aucun représentant de la préfecture n’était à l’audience du tribunal administratif. Le jugement a été mis en délibéré.
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Depuis plusieurs mois, les prix du rond à béton enregistrent des hausses spectaculaires. Les coûts de ce matériau indispensable dans le secteur du BTP ont carrément doublé en l’espace de quelques semaines. Le ministre de l’Industrie s’exprime en fin sur ce sujet.
Intervenant en marge d’une visite d’inspection des unités de production de la Société algéro-qatarie de sidérurgie (Algerian Qatari Steel- AQS-) à Jijel, le ministre Ahmed Zeghdar a appelé à la révision les prix du fer à béton.
Dans son appel lancé à l’adresse des opérateurs et spécialistes en industrie sidérurgique, le ministre a fait état de la baisse des prix du rond à béton sur les marchés internationaux. Ceci dit, l’intervenant ne s’est pas exprimé sur les raisons ayant provoqué ces hausses exagérées, qui ont dépassé les 12 000 DA le quintal,
« Les industriels des complexes sidérurgiques de Bellara à Jijel, de Sider-El Hadjar à Annaba et Tosyali-Algérie sont appelés à réviser les prix du fer conformément aux prix appliqués sur les marchés internationaux », a, en effet indiqué Zeghdar.
Les industriels du fer locaux sont invités à revoir les prixLe premier responsable du secteur de l’Industrie en Algérie a également assuré que « tous les projets en suspens ont été relancés après la stabilité de la situation pandémique, notamment les programmes de logements et les infrastructures publiques ».
À cet effet, il réitère que les industriels du fer locaux sont invités à revoir les prix de vente de ce produit qui a connu une augmentation ces derniers mois, afin de pouvoir mener à bien les différents projets lancés.
Il convient de rappeler que les prix du rond à béton ont carrément doublé durant les mois derniers. En début de ce mois d’octobre, les prix ont tout de même enregistré de légères baisses, mais restent encore loin des attentes des opérateurs en BTP et des particuliers.
En effet, le quintal du rond à béton de diamètre 8 mm est proposé à 11 300 DA, le quintal du diamètre 12 mm est vendu entre 10900 et 11400 Da, tandis que le diamètre 14 mm affiche 112000 Da le quintal.
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Certains habitants d’Alger n’hésitent pas à qualifier leurs quartiers, pourtant flambant neufs, de véritables zones d’ombre. Outre la crise économique qui les frappent de plein fouet, ces citoyens, majoritairement habitants de quartiers AADL, ont aussi du mal à retrouver leur chemin une fois la nuit tombée.
Des quartiers à Mahelma, dans la capitale Alger, sont des zones d’ombre, accusent certains habitants. Une chose à laquelle les responsables ont répondu en lançant un éco-projet d’éclairage public.
En effet, la wilaya d’Alger a alloué plus de quatre milliards de centimes pour faire sortir des quartiers de Mahelma de l’ombre. Il s’agit d’un projet d’éclairage public basé sur le système LED et l’énergie solaire, selon le président de l’APC de Mahelma, Hamidou Merzouk.
LED, énergie solaire : éveil écologique ?Toujours selon la même source, ce projet touchera Sidi Abdellah, mais aussi d’autres « zones d’ombre ». À titre d’exemple, les quartiers de Medad Boualem et de Hamissi vont être dotés d’un éclairage publique LED qui coutera plus de 300 millions de centimes. Plus de 200 lampadaires à Mahelma-centre vont également basculer vers la LED, avec un cout qui avoisine les 700 millions de centimes.
L’énergie solaire est également au cœur de ce projet qui ménage l’environnement. En effet, plus d’un milliard et 200 millions de centimes sont alloués à un éclairage public à l’énergie solaire à Mahelma-centre. Meme le stade de Hamissi va pouvoir bénéficier de cet éco-projet. Son éclairage va également se reposer sur des techniques modernes basées sur l’énergie solaire.
Il est à noter que le système LED permet de limiter la consommation d’électricité, mais aussi de donner plus de lumière. En outre, il s’agit d’un système considéré comme une alternative écologique aux vieilles ampoules à incandescence.
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Abordée à maintes reprises par le chef de l’État et le gouvernement, la question de la révision des subventions directes de l’État sur divers produits et services, dont les produits alimentaires, se précise. Cette révision devra être lancée au début de l’année prochaine.
Si la révision de la politique des subventions directes de l’État a été longtemps évoquée, mais jamais concrétisée, cette fois-ci tout pourra changer. Cette question sera sans doute engagée dans le cadre de la loi des finances pour l’exercice de l’année prochaine, à savoir la LF 2022.
En effet, l’avant-projet de la loi des finances (APLF 2022) prévoit, notamment dans l’article 187, le ciblage des ménages nécessiteux aux subventions de l’État. Ainsi, il a été clairement stipulé « l’introduction d’une nouvelle disposition de loi de finances pour la mise en place d’un dispositif de ciblage des subventions de l’État, au profit des ménages à faible et à moyen revenu ».
Cela intervient, selon la même source, dans l’objectif de « passer d’un système de subventions généralisées vers un système de subventions dirigées en faveur des ménages nécessiteux et, par conséquent, garantir l’équité sociale ».
Un dispositif national de compensation monétaire au profit des nécessiteuxPour ce faire, « un dispositif national de compensation monétaire au profit des ménages qui y sont éligibles » sera donc mis en place. Ce même dispositif sera mis en œuvre, « suite à la révision et l’ajustement des prix des produits soutenus ».
Il sera concrétisé, selon ce que propose le gouvernement dans l’Aplf 2022, « à travers un programme de transfert monétaire direct au profit des ménages qui y sont éligibles ». Or, le ciblage des ménages nécessiteux éligibles au soutien de l’État se conditionné par une « révision et ajustement des prix des produits soutenus ».
Autrement dit, les subventions directes de l’État sur les produits de large consommation, à l’effigie du lait en sachet, de la semoule, de l’électricité …, seront revues à la baisse. Néanmoins, l’Aplf prévoit « un programme de transfert monétaire direct au profit des ménages qui y sont éligibles ».
Ainsi, et selon les termes du projet de loi des finances 2022, une fois adopté par le gouvernement et les deux chambres du parlement, les ménages à faible revenu seront compensés par un apport financier ciblé, en cas de la levée partielle ou totale des subventions.
Quels sont les modalités de transfert et les critères d’éligibilité ?Par ailleurs, il convient de noter que l’avant-projet de la loi des finances en prévision de l’exercice de l’année prochaine, n’a pas encore dévoilé tout. En effet, les modalités et critères d’éligibilité des bénéficiaires ou la liste exhaustive et définitive des produits concernés ne sont pas encore définis.
Or, le document fait déjà référence à la farine, donc au pain, à la semoule, au lait en sachet, à l’huile, au gaz et à l’électricité. À ce propos, le texte précise qu’il faut d’abord définir clairement « les modalités d’application de cet article ».
Dans l’attente de la concrétisation de l’article 187 de l’Aplf, notamment la définition des produits subventionnés concernés, des catégories de ménages éligibles à la compensation et les modalités de transfert monétaire, le gouvernement semble plus que motivé à en finir avec la politique des subventions directes.
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Le cours de l’euro, dans les cotations officielles de ce mercredi 13 octobre, a connu une légère baisse par rapport à la journée d’hier. Sur le marché parallèle, les cours ont gardé leur stabilité.
En effet, l’unité de la monnaie européenne sur le marché interbancaire des changes d’Alger a affiché 158,73 dinars à l’achat et 158,71 dinars à la vente. Hier, un euro s’échangeait contre 158,83 dinars à l’achat et 158, 86 dinars à la vente.
Pour le dollar américain, les cotations commerciales d’ouverture du dinar pour cette même journée ont fait état de 137, 34 dinars sur le cours de l’achat et 137,36 dinars sur le cours de la vente. L’on note une légère hausse par rapport à la journée hier ; (137, 26 DA à l’achat et 137,28 DA à la vente).
Concernant la livre sterling, le cours de ce mercredi a affiché 186,68 dinars à l’achat et 186,73 dinars à la vente. Dans les cotations d’hier, un Livre sterling s’échangeait contre 187,34 dinars à l’achat et 187,39 dinars à la vente.
La situation au niveau du marché parallèle des changesSur le marché parallèle des devises, la monnaie européenne tout comme le dollar américain affichent une stabilité relative. Un euro est proposé aux environs de 213,50 à 214,00 dinars à l’achat et ente 211 et 212 dinars à la vente.
Le dollar, quant à lui, s’échange à 179 DA à la vente contre 181 DA à l’achat. De son côté, la livre sterling n’a enregistré aucun changement majeur. L’unité de cette monnaie s’échange contre 241 DA à l’achat et 238 DA à la vente.
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Les services de l’Office national de météorologie prévoient pour la journée de ce mercredi 13 octobre 2021, le retour des pluies sur plusieurs wilayas, notamment à l’est du pays.
Dans son alerte niveau 1, météo Algérie a placé 8 wilayas en vigilance jaune pluie et orages. Il s’agit, selon la carte de vigilance des wilayas de Souk Ahras, Mila, Guelma, Annaba, Skikda, Jijel, Constantine et El Taref.
Les quantités attendues sont estimées à plus de 30 mm sur l’ensemble des wilayas citées. La validité du bulletin s’étalera à partir de 18 h 00 jusqu’à l’aube de demain jeudi, précise encore la même source.
En outre, plusieurs zones côtières seront au rendez-vous avec des vents violents pouvant provoquer une agitation particulière de la mer. Il s’agit, selon la carte de vigilance jaune (vents violents et vagues dangereuses) des côtes d’Annaba, El Kala, Skikda, Jijel, Béjaia, Azefoune, Dellys, Alger, Mostaganem et Ténés.
Les prévisions de ce mercredi 13 octobreSur les régions ouest du pays, météo Algérie prévoit des bancs de brume avec nuages bas en début de matinée, puis un temps dégagé à partiellement voilé. Quelques formations cumuliformes seront observées sur les hauts plateaux durant l’après-midi pouvant engendrer de faibles pluies locales.
Les régions du centre et de l’est du pays seront au rendez-vous avec des passages nuageux devenant de plus en plus denses sur les régions côtières et intérieures du centre-est et de l’est occasionnant quelques averses de pluie.
Ces passages nuageux pouvant être parfois sous forme d’averses orageuses sur les régions côtières de l’extrême est en soirée. Sur les hauts plateaux et les Aurès, le temps sera voilé à peu nuageux.
Sur les régions sahariennes, le temps souvent voilé sur le nord Sahara, les oasis et le nord du Sahara oriental avec faible tendance orageuse durant l’après-midi. Il sera dégagé à partiellement voilé sur les autres régions sahariennes.
Pour ce qui est des températures attendues pour cette même journée, Météo Algérie a fait état de 23 à 26 degrés sur les régions côtières, de 18 à 26 degrés sur les régions intérieures, et entre 26 et 40 degrés sur les régions sahariennes.
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Le verdict du procès de l’ancien ministre de la Justice Tayeb Louh et de ses coaccusés, poursuivis pour entrave au bon déroulement de la Justice, est enfin tombé.
Après trois jours de procès, marqué par des révélations ahurissantes, le juge du Tribunal criminel de Dar El Beida (Alger) prononce enfin son verdict. Le principal accusé de l’affaire, à savoir Tayeb Louh, est condamné à une peine de six ans de prison ferme assortie de 200 000 dinars Algériens.
Dans cette affaire, Tayeb Louh étai poursuivi pour plusieurs chefs d’accusations, dont « incitation à la partialité », « abus de fonction » et « entrave au bon déroulement de la justice ».
En effet, l’ancien ministre de la Justice et ses coaccusés sont accusés d’être impliqués dans l’affaire de l’annulation du mandat d’arrêt international émis contre l’ancien ministre de l’Énergie, Chakib Khelil qui est actuellement en fuite à l’étranger.
2 ans de prison contre Said BouteflikaPoursuivis dans le même dossier, Said Bouteflika et son bras droit Ali Haddad ont pris deux ans de prison avec une amende de 100.000 DZD. L’inspecteur général Tayeb Benhachem a également été condamné de la même peine que Haddad et Said.
D’un autre côté, le tribunal a prononcé des acquittements l’ex président de la cour d’Alger Mokhtar Benharadj et l’ex-secrétaire général du ministère de la Justice, Zouaoui Laadjine.
pour le juge Semaoun Sid Ahmed et le procureur Khaled Bey du tribunal de Sidi M’hamed, ainsi que
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Le procès de l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, a pris fin ce mardi 12 octobre au Tribunal criminel de Dar El Beida (Alger).
Cette affaire concerne plusieurs dossiers, dont celui de l’annulation du mandat d’arrêt international émis contre l’ancien ministre de l’Énergie sous Bouteflika, Chakib Khelil ; actuellement en fuite à l’étranger.
Aujourd’hui, c’était au tour des avocats de Said Bouteflika de plaider de la défense de leur client. Me Hadjouti Salim était l’un des premières à intervenir, en plaidant l’acquittement total ; en rejetant toutes les accusations portées à l’encontre de Said.
En effet, Me Hadjouti a fait savoir que c’est Abdelaziz Bouteflika qui était derrière l’annulation du mandat d’arrêt international contre Chakib Khelil ; émis par le Procureur général de la Cour d’Alger à l’époque, Belkacem Zeghmati.
« Mon client transmettait les instructions de son frère le président (Abdelaziz Bouteflika, ndlr) lequel avait ordonné le ministre Louh de revoir les procédures juridiques liées à ce mandat d’arrêt international prononcé par Zeghmati à l’époque », a-t-il dit.
Said Bouteflika prend la paroleAprès un long échange entre les avocats et le juge ; l’heure du passage à la barre à sonner pour Said Bouteflika. « J’ai de lourds secrets qui pourraient ébranler l’État« , a-t-il lancé.
« J’ai été menacé par le juge d’instruction de la Cour militaire de Blida, le Colonel Amalou, qui a fait de moi un accusé sur la base d’une fausse enquête », s’est-il défendu en s’adressant au juge.
« Avant de devenir conseiller du président ; j’étais professeur à l’université de Bab Ezzouar (USTHB) et membre d’un syndicat, mais j’ai fini par suivre le chemin de ceux qui m’ont élevé. Que dieu m’accorde son aide pour mourir dignement en silence comme mon frère et le président Boumédiène », a-t-il ajouté avant que le procès ne prend fin.
Quelques heures plus tard, le verdict est tombé. Said Bouteflika est condamné à une peine de deux ans de prison ferme assortie d’une amende de 100.000 dinars. Tayeb Louh, quant à lui, a été condamné à 6 ans ferme.
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L’équipe d’Algérie de football a affronté ce mardi 12 octobre 2021, le Niger en match retour ; dans le cadre des qualifications de la Coupe du monde 2022 qui se déroulera au Qatar.
Après un match largement dominé par les hommes de Djamel Belmadi, les verts sont sortis à la fin de la rencontre d’aujourd’hui avec une belle victoire face aux Nigériens : 4 buts à 0 ; un score qui booste la confiance des coéquipiers de Riyad Mahrez dans leurs capacités à aller au mondial.
Un beau jeu collectifComme lors du match aller (6 buts à 0 pour l’Algérie), c’est le capitaine des verts qui a ouvert le score aujourd’hui à la 21e minutes de jeu. Sur un beau travail de Bellaili et Bounedjah dans le couloir gauche de l’attaque ; Mahrez se retrouve servit d’une belle passe de Baghdad et pousse le ballon dans le but vide.
Dix minutes plus-tard, Aïssa Mandi double la mise suite à un cafouillage sur la défense adverse. Le latéral gauche récupère le ballon et double la marque. Un but précieux qui donne une bouffée d’air frais pour les fennecs.
Malgré leur avantage, les hommes ne sont pas restés les bras croisés en deuxième période. En effet, dès le début de la mi-temps (47e minutes), Bennacer ajoute le troisième but grâce à un beau travail de Feghouli sur le couloir droit.
Quelques minutes plus tard, les verts décident de plier le match en ajoutant un quatrième but signé Baghdad Bounedjah sur une passe décisive de son coéquipier Mahrez.
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Malgré les problèmes que l’Algérie rencontrent sur plusieurs niveaux, elle demeure unique, spéciale et séduisante notamment de part les paysages et les cadres époustouflants qu’elle possède tel son désert.
C’est un fait que confirme Pascal Denoël , un entrepreneur français polyvalent. Réunissant des secteurs des deux antipodes : aventurier, écrivain mais aussi patron du groupe Zekat spécialisé dans la mécatronique, l’électronique et l’informatique. Un accident tragique est venu changer la vie de cet homme passionné, en plus d’une dépression et un divorce, la révélation de cet homme aux multiples casquettes était algérienne.
En effet, c’est en 2005 après une convalescence physique et un moral affaibli que Pascal décide d’effectuer un trek dans le Hoggar, le fameux montagneux du sud de l’Algérie. Dans une déclaration au journal Les Echos, l’entrepreneur français raconte « J’étais au fond du trou. Ce contact avec les grands espaces m’a revigoré, m’a fait me sentir pleinement citoyen du monde » . Cette destination lui a ouvert un appétit d’aventurier, c’était d’ailleurs le début de sa quête spirituelle étendue jusqu’au pole nord, l’Amazonie ou même l’Inde.
L’Algérie, à nouveau prête à accueillir les amoureux de l’aventureMalgré la crise sanitaire du covid-19, le monde respire après la décrue du nombre de cas de contamination l’Algérie a donc permis un allègement dans les mesures préventives permettant d’ouvrir les frontières aériennes.
Cependant, avec la forte demande et le peu de vols proposés, les tarifs proposés pour les vols en destination d’Algérie sont les plus chers. Un constat fait sur le site de l’agence Lidl Voyages. 1802 euros l’aller-retour pour la ligne Paris – Alger, tandis que pour l’autre ligne, à savoir Paris – Oran, le prix est légèrement baissé, estimé à 966 euros l’aller-retour.
Encouragé par la baisse des contaminations, les personnes souhaitant visiter l’Algérie peuvent être découragées par le prix des billets.
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Les crimes et les délits se poursuivent toujours en Algérie, où la police enregistre quotidiennement un nombre important de crimes et arrête pas mal de criminels.
Cette fois-ci, c’est le tour de la wilaya d’Ain Defla, où une affaire étrange qui a secoué la ville de Miliana, a été traitée récemment par les services sécuritaires territorialement compétents.
Il s’agit en effet, d’un auxiliaire d’anesthésie et de réanimation, travaillant dans l’établissement public hospitalier à Miliana, au nord d’Ain Defla, qui était arrêté dernièrement par les éléments de la police judiciaire pour son implication dans des pratiques liées à la profession médicale avec détournement de fonds publics.
Des médecins et des infirmiers suspectés d’être impliqués dans l’affaireCe dernier a été pris en flagrant délit en possession de matériel médical et paramédical sans Droit, médicaments de divers types, prescriptions, certificats et formulaires médicaux, dont la plupart sont signés en blanc portant les cachets des établissements hospitaliers publics et des médecins.
En fait, son arrestation est intervenue suite à l’exploitation d’informations portant sur son activité suspecte représentée par la réalisation d’avortements illégaux, où il a été arrêté le 6 octobre dernier à bord de sa voiture.
Sur ce, le mis en cause a été arrêté et présenté devant le tribunal de Miliana, où il a fait l’objet d’un mandat de dépôt, en attendant son jugement.
Par ailleurs, le véhicule du suspect a été mis en fourrière. Outre, plusieurs personnes ont fait l’objet d’une enquête, dont des médecins et des infirmiers.
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Alors que des personnalités politiques en Algérie ne décolèrent toujours pas suite aux derniers propos du président Français Emmanuel Macron, en France, au contraire, on appelle à l’apaisement. Après le presque « mea culpa » de Macron, voilà que c’est au tour du chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, de remettre les points sur les i.
En effet, aujourd’hui, le 12 octobre, le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française, Jean-Yves Le Drian, lors de son discours devant l’Assemblée nationale, a rappelé que l’Algérie est un État souverain, et que le destin des Algériens est entre leurs mains.
Respecter le peuple, c’est affirmer la souverainetéLe Drian n’a pas manqué de rappeler devant les députés français que le Président Emmanuel Macron a très récemment « rappelé son profond respect pour le peuple algérien ». Selon le chef de la diplomatie Française, il s’agit là d’une preuve affirmant le « respect fondamental de la souveraineté algérienne ».
Le ministre français n’avait pas manqué de mettre une limite entre les problèmes de l’Algérie et ceux de la France. Pour lui « c’est aux Algériens et à eux seuls de décider de leurs destins et de définir les contours de leurs choix et de leur débat politique ».
Interrogé sur le rappel d’Alger de son ambassadeur à Paris, Le Drian s’est montré pour le moins déçu. Il affirme que « cela ne correspond pas à l’importance que nous attachons à la relation entre nos deux nations ». La relation entre l’Algérie et la France pour Le Drian rapporte beaucoup pour les deux parties. Il indique notamment que « nous sommes convaincus de l’intérêt commun de nos deux pays à travailler ensemble ».
Pour conclure, le ministre confie que cette vision de collaboration et de bonne entente entre les deux pays de la méditerranée est « partagée par beaucoup de responsables algériens à tous niveaux ».
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