La polémique Andy Delort continue d’alimenter les tensions entre le sélectionneur de l’équipe d’Algérie Djamel Belmadi et le club français OGC Nice ; qui est accusé d’empêcher ses joueurs de jouer avec leurs sélections.
Invité hier jeudi à l’émission Rothen s’enflamme, sur les ondes de Radio Monte-Carlo, le coach Belmadi s’est une nouvelle fois exprimé sur l’affaire Andy Delort qui a décidé de mettre l’équipe nationale de côté pour se concentrer avec son nouveau club, à savoir l’OGC Nice.
Qualifiant la décision de l’attaquant niçois de « grosse blague de l’année », Belmadi a fait savoir indirectement que le retour de Delort en équipe nationale serait impossible sous « son règne ».
« Donc nous on va jouer sous 40° au Niger, dans des conditions exécrables, on va se taper dans toute l’Afrique pendant les éliminatoires qui est un peu un enfer, et quand tout est fait, quand tout est réglé, le monsieur (Delort, ndlr) revient comme une petite mariée : ‘C’est bon je suis dispo maintenant ?’ C’est doublement nous manquer de respect », a lancé Belmadi.
« Qu’il s’occupe de sa sélection ! », lance l’entraineur niçois à BelmadiL’entraîneur de l’OCG Nice Christophe Galtier n’a tardé à réagir aux propos du sélectionneur national. « J’ai connu Belmadi comme joueur. Il était déjà excessif sur le terrain. Hier je l’ai encore trouvé très excessif. Qu’il s’occupe de sa sélection et nous laisse travailler sereinement », a-t-il lancé ce vendredi lors d’une conférence de presse.
« Quand un joueur est convoqué en sélection, on doit le laisser y aller. C’est le règlement. C’est trop facile de dire que Nice ne veut pas envoyer ses joueurs en sélection. Mettre la responsabilité sur le club, c’est très malhonnête. On est en train de créer un climat malsain et dangereux autour du club Nicois », a expliqué Galtier ; en faisant référence aux dernières déclarations de Belmadi.
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Nul ne doute de l’ampleur des pertes humaines causées par la pandémie de covid-19 notamment pendant le mois de juillet et d’aout en plein troisième vagues. Des conséquences lourdes et une augmentation vertigineuse des cas de contaminations ont poussé les autorités à suspendre certaines et fermer certains lieux notamment les mosquées.
À partir de la mi-septembre, les choses ont commencé à rentrer dans l’ordre, la situation sanitaire se stabilise, la vaccination s’élargie et le gouvernement ont allégé les mesures préventives. En effet, les restaurants, centre culturels et sportifs ainsi que les mosquées ont rouvert.
Cependant, certaines restrictions et mesures préventives ont été maintenues à l’instar de la fermeture des espaces d’ablution dans les mosquées. Une décision que l’Association des oulémas musulmans algériens ne semble pas apprécier
L’association réagit par le biais des réseaux sociauxPar le biais de sa page Facebook officiel, l’association religieuse conteste la maintenance de la fermeture des espaces dédiés aux ablutions au sein des mosquées. En publiant des images montrant des personnes entrain de faire leurs ablutions dans la rue pour se préparer à la prière, l’association n’a pas manqué de réagir.
« Des solutions existent pour remédier à ce problème dont la raison demeure inconnue… puisqu’en dehors des mosquées, tout est bondé de monde, les restaurants, cafés, marchés, trains et transport en commun, rues, etc. », commente l’Association des oulémas musulmans les images qu’elle a publiées sur son compte Facebook.
La même source poursuit » il y a-t-il pas un cerveau qui réfléchit pour trouver une solution à ce problème…. le nombre de fidèles qui fréquentent la mosquée a diminué de façon triste »
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Ces dernières semaines, des rumeurs circulent sur un risque de pénurie de l’huile de table. Une « insuffisance » dont l’Algérie a traversé en mars dernier. Mais qu’en est-il de la véracité de ces informations ? Y a-t-il un risque de pénurie ?
Tout a commencé avec la dernière flambée des prix de produits alimentaires de larges consommations. Certes le prix de l’huile de table n’a pas connu d’augmentation, mais certains commerçants ont voulu profiter de l’occasion pour gagner quelques dizaines de dinars sur ces produits ; sur le dos du citoyen.
D’un autre côté, des rumeurs sur une imminente pénurie de l’huile de table, dont l’origine est inconnue, ont été lancés sur les réseaux ; provoquant un léger mouvement de panique chez les Algériens qui se sont précipités vers les commerces pour s’approvisionner avec des quantités plus que la normale. Ce qui a mené encore une fois à un des perturbations sur les chaînes d’approvisionnement.
Mustapha Zebdi veut l’ouverture d’une enquêteDr Mustapha Zebdi, président de l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement (Apoce), n’a pas tardé à réagir à ces rumeurs de pénurie.
« Nous assistons actuellement à un achat massif de ce produit (huile de table, ndlr) ; en raison d’une rumeur sur sa rareté sur le marché », a noté Dr Zebdi ; évoquant les spéculateurs et pointant du doigt les services de contrôles des prix et de la qualité.
Le président de l’APOCE a, par ailleurs, tenu à rappeler que « toute augmentation injustifiée des prix de l’huile de table est illégale » ; appelant les autorités à ouvrir une enquête.
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Depuis la baisse des cas de contamination et la stabilisation de la situation sanitaire, les choses commencent à rentrer dans l’ordre. Plusieurs activités issus de différents secteurs ont repris, le confinement partiel a été levé dans certaines villes et allégé dans d’autres et les dessertes aériennes s’intensifient de plus en plus.
Des vols déjà existants ont été renforcés comme ceux de Francfort et Rome, Barcelone et Istanbul. D’autres ont été enfin ajouté à savoir Londres et Dubaï, et ce, à raison de deux vols par semaine. Pour ce qui est de la France, le pays le plus desservi et fréquenté par les Algériens, aucun changement n’a été annoncé sauf qu’aujourd’hui Transavia Airlines vient de bénéficier de nouvelles décisions.
En effet, la compagnie aérienne à bas prix néerlandaise, filiale de KLM a reçu le feu vert de la part des autorités algériennes concernant son programme pour le mois prochains. Outre Air Algérie, Transavia est désormais autorisé à effectuer des dessertes commerciales aller-retour vers l’Algérie, et ce, pour le mois de novembre.
Le programme de Transavia durant le mois de novembreLa compagnie étrangère a informé sa clientèle que son programme prévu pour le mois prochain a été publié et les billets ont été mis en vente sur son site électronique. Transavia opérera des vols à partir des aéroports de Paris Orly, Lyon, Montpellier et desservira Alger, Oran et Constantine. Des avions Boeing 777-300 sont mis à la disposition de la compagnie étrangère depuis le mois d’octobre, lui permettant de ce fait de transporter 472 passagers.
Enfin, il convient de préciser que les billets du mois d’octobre ont été tous réservés, tandis que ceux du mois de novembre sont désormais disponibles. Quant aux prix, le billet pour un aller simple entre Paris Orly et Alger est fixé à 590 euros. Idem pour celui d’Oran et Constantine.
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La circulation des trains, de et vers Alger connaîtra quelques modifications ce vendredi 15 octobre. C’est ce qu’a annoncé hier jeudi la Société nationale des transports ferroviaires via un communiqué rendu public sur sa page Facebook.
En effet, La SNTFC a annoncé des changements qui toucheront momentanément la circulation des trains, de et vers Alger. Il s’agit d’une réadaptation du programme des dessertes ferroviaires prévue la journée de ce vendredi 15 octobre 2021.
Selon la même source, l’ensemble des dessertes ferroviaires de banlieue, inter-villes (régionaux) et grandes lignes, seront programmés durant cette journée à partir de la gare d’Hussein Dey (Alger), en aller/retour. Ce changement sera accompagné exceptionnellement de la suspension du train aéroport Houari Boumediene – gare d’Agha, pour la journée d’aujourd’hui 15 octobre.
La SNTF s’explique au près de sa clientèleDe ce fait, la SNTF décidé de mettre à la disposition de sa clientèle des Bus pour assurer le transport de la gare d’Alger, vers la gare d’Hussein Dey, en aller/retour. La société nationale n’a pas manqué en outre à expliquer la raison de ce changement momentané. La circulation des trains a été réadapté suite à un transport exceptionnel qui traversera la voie ferrée dans la zone d’El Hamma, à partir du Port d’Alger.
Enfin, la SNTF s’excuse auprès de ses clients des désagréments causés par cette programmation exceptionnelle et assure que la circulation normale des trains reprendra le samedi 16 octobre 2021.
Il convient de rappler enfin que la reprise des trajets en train desservant la ligne de la gare Agha et l’aéroport internationale de la capitale a eu lieu récemment, plus précisément le 4 octobre après une suspension due à la pandémie actuelle.
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La monnaie nationale connait ces dernières années des fluctuations marquées le plus souvent par une chute inexorable face aux principales devises. Le dinar algérien est loin de toute tentative de concurrence devant l’Euro et le Dinar qui trônent sur les deux marchés parallèles et officiel.
Pour ce vendredi 15 octobre, la monnaie unique européenne a connu une autre légère hausse à la banque d’Algérie par rapport à hier. En effet, un seul euro est échangé contre 159,2329 dinars algériens à la vente et contre 159,1744 dinars algériens à l’achat.
En ce qui concerne la monnaie étasunienne, elle connait une certaine stabilité. Aujourd’hui, un dollar est cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre 137.1043 dinars algériens à la vente et 137,0893 dinars algériens à l’achat.
Enfin, la plus chère monnaie à savoir la Livre Sterling, sa valeur ne cesse d’augmenter. Un seul pound s’échange contre 187,8141 dinars algériens à la vente et contre 187.7678 dinars algériens à l’achat.
Marché parallèleAu square Port-Saïd dans la capitale Alger, la monnaie nationale ne se porte pas mieux. Avec l’ouverture des frontières et l’ajout de vols puis de traversées maritimes, les cambistes affichent des taux de change exorbitants. En effet, un seul euro est cédé contre 212 dinars algériens à l’achat et contre 214 dinars algériens à la vente.
Pour ce qui est du dollar américain, il s’échange évidemment aussi plus chère qu’au niveau de la Banque d’Algérie. Un seul dollar est échangé contre 181,5 Dinars a l’achat et contre 183,5 dinars algériens à la vente. Pour terminer, la monnaie britannique continue d’enregistrer des records et trône sur les deux marchés. Un pound est échangé contre 242,5 dinars algériens à la vente et contre 240,5 dinars algériens à l’achat.
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L’Office National de la Météorologie a annoncé par le biais d’un communiqué rendu public sur son compte Twitter la météo ainsi que les températures prévues pour ce vendredi 15 octobre 2021.
Commençons d’abord par les régions du Nord du pays. La même source a fait état d’une atmosphère de claire à partiellement nuageuse, accompagnée de quelques nuages bas notamment sur les hauts plateaux de l’est et les Aurès, et ce, à partir de la matinée de ce vendredi.
Ce climat caractérisera également les autres régions du pays, à savoir l’Est et l’Ouest ou Météo Algérie prévoit un temps clair à partiellement voilé. Ainsi, les zones côtières et intérieures connaîtront au cours de l’après-midi de quelques passages nuageux. Idem pour le Sud algérien ou un climat stable avec un temps claire sera enregistré.
Les températures prévues par l’Office National de la MétéorologiePour ce vendredi 15 octobre, Météo Algérie a annoncé des températures relativement modérées. En effet, les zones côtières seront au rendez-vous avec des températures qui varient entre 22 à 28 degrés Celsius. Concernant, les régions intérieures, les températures maximales prévues varieront de 19 et 28 degrés.
Enfin, le Sud du pays sera caractérisé par des températures qui oscilleront entre 24 et 40 degrés Celsius, accompagné de vents et soulèvement de sable dans certaines villes. Il s’agit entre autre de Timimoun, Beni-Abbes, In-Salah et Adrar qui ont été placées en vigilance jaune.
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Les prochaines élections locales approchent à grand pas. Les partis politiques sont plus que jamais présent sur la scène médiatique. Après avoir critiqué les dispositions contenues dans la loi électorale, voilà que maintenant un autre problème les préoccupe.
En effet, certains partis politiques manifestent des réserves à l’égard de l’étude des dossiers de candidats. Il s’agit du Rassemblement national démocratique dont le dirigent a adressé une doléance à l’Autorité nationale indépendante des élections. Selon le Soir d’Algérie, Tayeb Zitouni déplore « les nombreuses violations enregistrées au cours de la période d’étude des dossiers ».
Sachant que Mohamed Charfi avait annoncé de nouvelles procédures permettant aux « représentants des listes de candidats de compléter ou de remédier à tout manque de documents constitutifs des dossiers de candidature, le RND semble ne pas apprécier la décision.
Le RND et El Bina mécontentsLe Rassemblement national démocratique s’est montré hostiles à certaines pratiques adoptées par certains représentants de partis politiques. Ces derniers ont profité des récentes procédures de l’ANIE afin de « modifier la liste des candidats pour remplacer un candidat par un autre en dehors des délais légaux, ayant expiré jeudi dernier à minuit », rapport le quotidien francophone.
De ce fait le parti de Tayeb Zitouni réagit en évoquant comme argument la loi qui stipule l’interdiction de » déposer ou de modifier les listes de candidats après la date d’expiration des délais légaux « .
Pour Abdelkader Bengrina, un autre problème le taraude. Il s’agit du fameux CD destiné à remplir les formulaires électoraux et qui a fait perdre au Mouvement El Bina 100 communes à cause d’un « virus ». Le chef du parti islamiste a qualifié la méthode d’inefficace, nécessitant énormément de temps afin d’y inclure les centaines de formulaires.
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Andy Delort continue de susciter polémique. Après avoir accepté de renoncer à la CAN 2021-2022 au Cameroun, la décision du joueur niçois a créé un étonnement chez le public algérien, lui qui a tout fait pour rejoindre les Fennecs en 2019.
Djamel Belmadi, connu pour sa franchise et rigueur, n’a pas hésité à dévoiler tous les détails concernant le choix de Delort souhaitant » mettre l’équipe nationale entre parenthèses, mais uniquement pendant un an, donc évidemment pas de CAN ». À ce sujet, le sélectionneur national n’a pas mâché ses mots lors de son intervention ce jeudi 14 octobre dans Rothen s’enflamme, sur RMC.
« Ça, c’est la grosse blague de l’année. C’est ou de la grosse stupidité, ou le culot qui n’a pas de limite. Donc nous on va jouer sous 40° au Niger, dans des conditions exécrables, on va se taper dans toute l’Afrique pendant une campagne de qualifications qui est un peu un enfer, et quand tout est fait, quand tout est réglé, le monsieur revient comme une petite mariée : ‘C’est bon je suis dispo maintenant ?’ C’est doublement nous manquer de respect. »
On ne communique pas une telle décision par message, estime BelmadBelmadi n’a pas hésité en outre à critiquer la façon par laquelle Delort lui a communiqué sa décision. « En conférence de presse, j’ai dit mot pour mot ce qu’il a écrit, mais on appelle les personnes. On dit les choses en face. C’est une décision lourde de sens. Il aurait dû s’adresser d’abord à la presse et à la population algérienne. »
« Il aurait dû dire qu’il mettait la sélection entre parenthèses, qu’il privilégie son club parce qu’il y a de la concurrence et rajouter qu’il n’était pas le premier choix en équipe d’Algérie. Mais il me parle de la concurrence qu’il a à Nice. Donc il accepte la concurrence à Nice et il se bat, mais il ne l’accepte pas en équipe nationale d’Algérie. Il y a un non-sens total », poursuit l’entraineur algérien.
Pour Djamel Belmadi, qui a pu atteindre un score de 31 matchs sans défaite, « le Niçois ne serait plus appelé tant qu’il sera en poste », rapporte RMC Sport
En conclusion, l’entraineur des verts révèle que : « Islam Slimani était demandé par Nice. Ils lui ont proposé la même chose qu’à Andy Delort ». Cependant, l’ancien joueur du CR Blouizdad leur a répondu « Même pas en rêve ». Deux poids, deux mesures. Chacun met son amour pour son pays où il le souhaite. Voilà où place Islam le curseur, voilà où Andy place le curseur », ajoute la même source.
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Après avoir été abordé à mainte reprise par le chef de l’État lors de la rencontre gouvernement-wali et du conseil des ministres, le sujet relatif à la spéculation et la flambée des prix est toujours d’actualité.
En effet, le président Tebboune avait fortement dénoncé et menacé les spéculateurs qui constituent selon lui la raison principale de la cherté des produits alimentaires, et ce, en déclarant qu’ils risquent mdes peines allant jusqu’à 30 ans de prison. Aujourd’hui, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural n’a pas hésité lui aussi à les
fustiger.
En les qualifiant de déstabilisateurs de « l’ordre public », Abdelhamid Hamdani a réitéré lors de son passage à l’émission l’Invité de la Rédaction, la responsabilité des spéculateurs dans la crise actuelle liée aux produits alimentaires.
La création d’une commission mixte« Il y a des visées à caractères politiques qui sont derrière les récentes spéculations. On ne peut prétendre à ce type d’opérations avec un dédoublement des prix en 48 heures, alors que la disponibilité du produit n’a pas été impactée », a-t-il déclaré.
De ce fait, une commission mixte a été mise en place en collaboration avec le ministère du Commerce afin de suivre « méticuleusement ce phénomène dont l’ampleur est inédite, ce qui prouve encore une fois ses ambitions de déstabiliser l’ordre public », a fait savoir l’hôte de la chaine 3 de la radio nationale.
Selon la même source, cette commission sera « active aussi bien au niveau central qu’au niveau local. »
Réduction de l’importationS’exprimant sur les projets relevant de son département, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a indiqué que son secteur s’engage à réduire la facture des importations afin d’assurer une sécurité alimentaire.
« Nous avons essayé de réduire l’importation des huiles, notre feuille de route est en train de se réaliser sur le terrain, il suffit de voir en premier lieu le lancement d’une des filières oléagineuses, à savoir le colza qui commence à donner ses résultats. », a-t-il indiqué.
Selon l’interlocuteur, l’Algérie vise à réduire la facture des importations à 2 milliards dollars à l’horizon de 2024, et ce, en ouvrant les portes aux investissements et en débureaucratisant l’acte économique.
« Sur un examen de 200 dossiers d’investisseurs, 70 s’avèrent être éligibles dont 50 sont déjà installés sur leurs parcelles et ont entamé les travaux. Or, sur une superficie qui dépasserait les 80 000 hectares sur un premier portefeuille de 200 000 hectares, je juge frileux ces résultats vu toutes les facilitations qu’offrent nos structures »a-t-il conclu.
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Une bombe de confection artisanale a explosé hier mercredi 13 octobre 2021, près de la frontière algéro-marocaine, plus précisément dans la commune de At-Boussaïd à l’ouest de la wilaya de Tlemcen. L’information a été relayée aujourd’hui jeudi 14 octobre dans un communiqué publié par le ministère de la Défense Nationale.
« Dans le cadre des opérations exécutées par des unités et détachements de l’Armée nationale populaire pour la sécurisation des frontières et la lutte contre la criminalité organisée, une bombe de confection artisanale a explosé au passage d’une patrouille des Garde-frontières, hier mercredi 13 octobre à 20H45, lors d’une mission de reconnaissance près des frontières Ouest du pays, dans la localité de Deglen, commune de Béni Boussaïd, wilaya de Tlemcen », lit-on dans le communiqué du MDN.
La même source a annoncé « le décès en martyr du sergent contractuel Sraoui Seifeddine et de la blessure de deux autres, à savoir le caporal-chef contractuel, Zebiri Ahmed, et le caporal contractuel Seffari Abdelhak ». De ce fait « toutes les mesures sécuritaires nécessaires ont été prises pour le bouclage et le ratissage de cette zone et élucider les causes et les circonstances de cet acte terroriste. »
Le chef d’état-major de l’ANP et le président de la république réagissentSuite à cette mauvaise nouvelle faisant état du décès d’un soldat et de la blessure de deux autres, le premier responsable du secteur de la Défense, à savoir le général de corps d’armée Said Chanegriha a « exprimé ses sincères condoléances et sa profonde compassion à la famille et aux proches du Chahid », tout en « souhaitant un prompt rétablissement aux deux blessés. »
Ainsi le chef de l’État n’a pas manqué à réagir par le biais de son compte officiel tweeter. Abdelmadjid Tebboune a exprimé ses sincères condoléances à l’ANP et à la famille de la victime à savoir, le sergent contractuel Sraoui Seifeddine. Il a souhaité également un bon rétablissement aux deux militaires blessé, tout en qualifiant l’incident de « lâche attentat terroriste ».
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Les féminicides, un phénomène que ne faiblit pas en Algérie, ce fléau continue toujours à faire de nombreuses victimes, dans les quatre coins du pays, où les chiffres sont devenus désormais alarmants.
En effet, des femmes continuent d’être froidement tuées par leurs proches plus que par des inconnus. Ces victimes sont tuées par leurs maris, frères, pères, plus que par des étrangers.
À Médéa, la population est encore sous le choc, où un crime sordide a secoué, aujourd’hui jeudi 14 octobre, les habitants de la commune d’El Guelb El Kebir, située à l’Est de la wilaya de Médéa.
Il s’agit d’un quadragénaire qui a sauvagement massacré son épouse, dans l’après-midi d’aujourd’hui, au sein de leur domicile familial, à la commune d’El Guelb El Kebir.
Le mis en cause souffre de pressions psychologiquesLe mari mis en cause a terriblement massacré son épouse à l’aide d’un couteau, pour des raisons qui demeurent encore inconnues. Selon le média arabophone El Khabar, des sources affirment que le mis en cause souffre de pressions psychologiques, qui les ont emmené à mettre le feu à son domicile familial, il y a plusieurs années.
Aussitôt alertés, les services sécuritaires territorialement compétents sont intervenus et ont immédiatement ouvert une enquête pour connaitre les circonstances exactes de ce drame.
Pour rappel, le continent africain détient le deuxième record du plus grand nombre de féminicides (19 000), après l’Asie qui détient le triste record (20 000).
En outre, les Amériques et l’Europe ont compté respectivement 8 000 et 3 000 femmes tuées par leurs conjoints ou leurs proches en 2017, selon les chiffres de l’ONU.
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Lors d’un colloque organisé ce mercredi 13 octobre à Jérusalem, en Palestine, le président de la FIFA Gianni Infantino a traité le sujet d’une éventuelle organisation d’une Coupe du Monde par Israël, les Émirats arabes unis et un ensemble d’autres pays voisins, au Premier ministre israélien Naftali Bennett.
En effet, le président de la Fédération internationale de football Gianni Infantino a saisi l’occasion dudit colloque, pour discuter avec Naftali Bennett, sur la possibilité de coorganiser la Coupe du Monde 2030 par Israël, les Émirats arabes unis et un ensemble d’autres pays voisins, rapporte l’Équipe.
» Lors d’échanges entre nous deux, le président de la FIFA a lancé l’idée qu’Israël puisse accueillir la Coupe du Monde 2030 avec d’autres pays de la région menés par les Émirats arabes unis « , a affirmé le Premier ministre israélien dans un communiqué.
Président de la FIFA : » pourquoi ne pas rêver et y penser «De son côté, Gianni Infantino a révélé : » je pense que coorganiser est l’avenir et donc pourquoi ne pas en rêver et y penser, que ce soit au niveau senior, junior, pour les hommes ou les femmes, parce que la Coupe du Monde de la FIFA a cette magie unique de rassembler et d’unir les gens « , indique la même source.
Pour rappel, de nombreux pays ont nominalisé en 2020 leurs relations avec Israël, à savoir, Les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc, et ce, sous l’impulsion du président américain de l’époque, Donald Trump et de son gendre, Jared Kushner, architecte de cette stratégie.
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Parfois, les scènes effrayantes au bord d’un avion ne se passe pas toujours en plein air entre les nuages, un accident peut également survenir à l’atterrissage. C’est ce qu’a évité un Boeing 737-800 exploité par Air Algérie qui était à deux doigts de de provoquer un accident grave. Le 6 décembre 2019, un incident a eu lieu à l’aéroport Paris-Orly, le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) raconte les détails à travers ses rapports.
Ayant pour point de départ l’aéroport de Tlemcen, l’appareil d’Air Algérie avait reçu l’autorisation de se poser sur une piste de l’aéroport d’Orly, une alarme du système de Surveillance des mouvements au sol et de détection automatique d’incursions sur piste (RIMCAS) se déclenche, pour cause, la présence d’un véhicule de lutte aviaire aux abords des servitudes de piste.
Le contrôleur a tenté de contacter le conducteur du véhicule de surveillance, sa tentative échouée force l’équipage d’Air Algérie à interrompre l’atterrissage sachant que l’avion était déjà descendu à moins de 500 pieds de hauteur soit 5 mètres en dessous de l’altitude où le pilote doit se décider : interrompre ou poursuivre l’atterrissage. Leur comportement exacte ne peut être analysé puisque les enregistrements à l’intérieur du cockpit ne sont pas accessibles pour le BEA.
23 minutes plus marquées par la panique et les acrobaties passent, l’avion finit par monter à 3000 pieds avec une vitesse trop élevée. C’est là où l’équipage active le pilote automatique guidé par le contrôleur aérien pour réussir enfin à atterrir sur la piste 25 de l’aéroport Paris-Orly.
Réouverture des frontièresLe 1er juin dernier les autorités algérienne ont décidé de rouvrir partiellement les frontières aériennes mais pas que, les traversées maritimes reprennent également, et ce, suite à la décrue considérable du nombre de cas de contamination de covid-19.
La diaspora souffle enfin mais déplore tout de meme le nombre de vols et de traversées programés, ainsi que la cherté excessive de certains billets.
L’Algérie se dirige-t-elle vers une ouverture entière des frontières? seul l’avenir nous le dira.
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Après la légère hausse constatée hier, voilà que les chiffres du bilan de contamination à la Covid-19 retombe encore une fois. Tout en restant au-dessus de la barre symbolique des 100 cas, une légère baisse est toutefois constatée aujourd’hui, le 14 octobre 2021.
En effet, l’Algérie a enregistrée ces dernières 24 heures 105 nouveaux cas de contamination à la Covid-19, affirme le communiqué publié aujourd’hui par le ministère de la Santé. La même source déplore également 2 décès. En outre, les chiffres quotidiens du département de Benbouzid font état de 77 nouvelles guérisons et de 12 nouvelles admissions en services de réanimation.
Ces derniers chiffres dévoilés par le ministère de la Santé font monter le bilan total des contaminations à 205.005 cas. L’Algérie a également déploré, depuis le mois de mars 2020, pas moins de 5864 décès dus à des complications liées au virus.
Covid-19 : des séquelles sociales durablesDes études menées en France ont démontré que les séquelles de la pandémie du Covid-19 sur les franges les plus fragiles de la société sont plus durables que ce que l’on pensait.
Ce sont les associations de lutte contre la pauvreté en Provence-Alpes-Côte d’Azur qui ont poussé un véritable cri d’alarme. Elles ont notamment plaidé pour la création d’un « observatoire régional des grandes pauvretés » pour contrer « les conséquences sociales de la crise sanitaire qui se sont avérées durables ».
En Algérie, la crise sanitaire n’a fait qu’empirer une crise économique déjà grave. Les citoyens peinent de plus en plus à joindre les deux bouts. La crise inflationniste ne fait, évidemment qu’empirer les choses.
L’article Covid-19 : le bilan détaillé de ce 14 octobre est apparu en premier sur .
Après son rappel par Alger, voilà que l’ambassadeur de l’Algérie en France, Mohamed Antar Daoud, revient aux devants de la scène diplomatique. À cette dernière, encore marquée par des tensions entre El Mouradia et L’Elysée, s’ajouteront dorénavant les déclarations pour le moins osées, faites aujourd’hui par le premier représentant de l’Algérie en France.
Mohamed Antar Daoud a notamment déclaré aujourd’hui, le 14 octobre, lors de son passage au Forum d’El Moudjahid, que la diaspora algérienne en France doit « constituer un levier de commande » capable d’apporter une différence dans la politique de l’Algérie, mais aussi dans celle de la France.
La diaspora, premier atout de l’Algérie en FranceL’ambassadeur de l’Algérie en France, rappelé le 2 octobre dernier suite aux déclarations du président Français Emmanuel Macron, a frappé fort aujourd’hui au niveau du siège du journal El Moudjahid.
Le diplomate a notamment indiqué qu’il est « inadmissible » que l’Algérie, avec ces 18 consulats qui représentent « la plus grande communauté étrangère en France » ne puisse pas « constituer un levier de commande pour intervenir non seulement dans la politique algérienne, mais (aussi) au niveau de la politique française », rapporte l’APS.
Cette déclaration a été faite dans le cadre de la commémoration des massacres du 17 octobre 1961. Profitant de cette occasion, l’ambassadeur a également indiqué que « la double, la triple ou la quadruple nationalité doit constituer un atout » pour l’Algérie et les Algériens. Et d’ajouter que « la communauté Algérienne en France est une communauté engagée auprès de son pays ».
Mohammed Antar Daoud a également dénoncé les dérives bureaucratiques qui constituent, selon lui, un véritable « parcours du combattant » pour « ceux qui veulent investir en Algérie« . Le diplomate algérien n’a pas omis de rappeler, enfin, le grand élan de solidarité de la diaspora algérienne en France lors de la quatrième vague et des incendies en Kabylie.
L’article Tensions avec la France : l’ambassadeur d’Algérie à paris s’exprime est apparu en premier sur .
Lors d’une conférence de presse en marge de sa première rencontre avec les directeurs de la jeunesse et des sports, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderrezak Sebgag en l’occurrence, a révélé, ce jeudi 14 octobre, la date de la réception du stade « 5 juillet », et sa remise en service, ainsi qu’il a abordé d’autres points importants.
En effet, Sebgag a déclaré aujourd’hui : » à la fin de ce mois en cours, le stade « 5 juillet » sera prêt à accueillir les matchs. Ce dernier pourra être utilisé comme un plan alternatif « .
Le ministre de la Jeunesse et des Sports a ajouté : » si les travaux du stade d’Oran sont achevés à la fin de ce mois, le terrain sera également prêt à accueillir des matchs de football « .
En ce qui concerne le sujet du stade de Blida Mustapha Tchaker, Sebgag a fait savoir que la gestion du stade ayant été officiellement transférée à la Fédération algérienne de football. » Actuellement, on a commencé à s’occuper de la pelouse de Tchaker. Je reçois quotidiennement des rapports sur ce sujet par des spécialistes « , a-t-il affirmé.
Sebgag révèle la date officielle du prochain match face à DjiboutiPar ailleurs, le ministre a dévoilé que son secteur fonctionne toujours avec la mentalité d’administration locale et de bureaucratie » qui ne sert à rien « . Ajoutant que » certains responsables ne viennent que pour compléter leurs heures de travail « . Ce dernier a également déclaré que tous ces directeurs doivent être tenus responsables du gaspillage de l’argent public dans des projets inexploités.
Ainsi, il a souligné, lors de sa première rencontre avec les directeurs de la jeunesse et des sports des différentes wilayas du pays, que le mouvement sportif stipulé par le Premier ministre doit être relancé, précisant que cette situation ne peut être tolérée.
Lors de ladite conférence, Sebgag a confirmé que le match de l’équipe nationale contre son homologue djiboutien pour le cinquième tour des éliminatoires de la Coupe du Monde au Qatar 2022 se déroulera officiellement au Caire, en Égypte, le 10 novembre prochain à 20 h 00 (heure locale).
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Un drame a secoué le sud ouest de la France dans les Pyrénées-Atlantiques lorsque ce mardi, un train express régional (TER) a percuté quatre personnes, engendrant la mort de trois d’entre elles et un quatrième gravement blessé. La gravité de l’accident a interrompu le trafic ferroviaire dans la zone, ce dernier n’a pas été repris qu’au bout de trois heures.
Avant 6h du matin, au niveau de Ciboure à proximité de la gare de Saint-Jean-De-Luz, les quatre personnes se trouvaient allongées sur la voie ferrée au moment du passage du train selon les premières informations. Aujourd’hui suite à l’enquête de la police judiciaire nous en savons plus.
En effet, les quatre personnes en questions sont des ressortissants algériens, le seul rescapé, l’homme blessé de 28ans explique depuis son lit d’hôpital qu’ils s’étaient réfugiés sur les voies pour tenter d’échapper à d’éventuels contrôles de police. Ces derniers s’étaient arrêtés sur les voix pour se reposer, ils se sont endormis et n’ont pas vu le train arriver. Cependant, le blessé n’a pas pu donner l’identité des trois hommes décédés, affirmant avoir fait leur connaissance en Espagne il y a peu de temps.
Mercredi soir, environ 200 personnes se sont rendues à la gare de Saint-Jean-De-Luz pour rendre hommage aux victimes de l’accident tragique, et ce, suite à un appel lancé par les associations locales d’aide aux migrants. Selon la présidente du Collectif « Solidarité-Migrants Etorkinekin », Amaia Fontang, le drame est survenu après « une journée de pression policière importante dans plusieurs points du Pays basque, qui pourrait expliquer que ces migrants aient cherché à se réfugier à un endroit pour être tranquilles ».
Contrôles de police, une mesure à renforcer pour les migrants clandestinsLe flux migratoire devient de plus en plus important et incontrôlable même face aux mesures mises en place par l’Europe pour tenter de le contrer. L’idée des camps fermés pour migrants pourrait se concrétiser suite à l’appel du ministre de l’Intérieur français, Gérald Darmanin. Lors de sa visite au camp fermé de Samos en Grèce, Darmanin encourage l’établissement de ces camps pour une gestion meilleure de l’immigration clandestine et plus de contrôle des frontières extérieures.
A noter que dans un camp fermé qui sert à fouiller, contrôler, identifier et surtout enregistrer le nombre des migrants clandestins, les demandeurs d’asile ne peuvent sortir que de 8 heures à 20 heures et ils doivent présenter leurs empreintes digitales et un badge électronique au portail magnétique à l’entrée.
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Alors que la société algérienne traverse une crise socio-économique des plus difficiles, le ministre de l’Intérieur Kamel Beldjoud, s’est penché dans ses dernières déclarations sur les migrants africains et sur le phénomène de la mendicité qui marque le paysage citadin.
En effet, et lors de son passage au Sénat, le ministre de l’Intérieur kamel Beldjoud a révélé aujourd’hui que de sévères décisions ont été prises en ce qui concerne les migrants africains. Ces décisions visent notamment à endiguer la mendicité et l’exploitation des enfants, indique le haut responsable du gouvernement de Benabderrahmane.
Beldjoud accable les mamans subsahariennesLe ministre a notamment déclaré que 77 affaires liées à la mendicité des enfants subsahariens ont été recensées au niveau du territoire national. Répondant aux questions des sénateurs, Beldjoud indique, dans le même contexte, que 17 personnes se trouvent actuellement sous mandat de dépôt tandis que 54 autres sont sous surveillance judiciaire.
Beldjoud a également fait savoir que 50 % des accusés dans ces affaires d’exploitation d’enfants dans des activités de mendicité ne sont que les mamans même de ces mineurs majoritairement âgés de moins de 10 ans. Le ministre a affirmé aussi que des enquêtes sont lancées à ce propos, et ce, afin de mettre la lumière sur les réseaux qui exploitent à la fois les femmes et enfants en les livrant aux affres de la mendicité.
Il est à noter que la crise économique que le pays traverse ne peut que toucher les franges les plus fragiles de la société. Par conséquent, les réfugiés subsahariens en Algérie, qui ne jouissent d’aucun encadrement, se sont vite retrouvés très impactés. Aucune déclaration du ministre ne mentionne cependant une décision qui porte sur une probable scolarisation de ces enfants souvent livrés à la charité des citoyens.
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Dans une émission intitulée » 30 minutes avec Hafid « , présentée par le journaliste et commentateur algérien Hafid Derradji, un complot contre la stabilité de l’Équipe nationale et son entraineur Djamel Belmadi a été abordé.
Travaillant actuellement au Qatar, à la chaîne beIN Sports, l’ex-journaliste de l’ENTV, Hafid Derraji en l’occurrence, a estimé que la stabilité de l’Équipe nationale est visée par un complot qui a été menée contre les joueurs et son sélectionneur Djamel Belmadi.
En effet, le commentateur dénonce l’état catastrophique de la pelouse du stade de Blida Mustapha Tchaker, un problème qui n’a pas été réglé malgré toutes les plaintes et le mécontentement de Riyad Mahrez et ses coéquipiers, ainsi que leur sélectionneur.
Derradji estime que cela » ne serait pas le fruit du hasard « , et qu’il y a quelque chose qui ne va pas derrière. Le journaliste a même pointé du doigt certains membres du bureau fédéral de la Fédération Algérienne de Football, pensant également que le président de la FAF » subit en ce moment une rébellion « .
La pelouse du stade de Tchaker, un problème déjà signaléPour rappel, le sélectionneur de l’Équipe nationale, Djamel Belmadi, avait déjà qualifié l’état de la pelouse de stade de Blida de « catastrophique ». Ce dernier a même dénoncer une tentative de « sabotage »
« J’ai l’impression d’avoir discuté de la problématique Tchaker depuis mon arrivée en 2018 et pas beaucoup de choses ont changé. Quand ça change, ça change le temps d’un match « , a révélé Belmadi lors d’une conférence de presse tenue la veille du match face à Djibouti.
» En juin, nous avions une bonne pelouse après un long travail. Nous avions donc décidé que nous jouerions à Tchaker avec l’accord des joueurs. Comme par magie, deux mois après, on retrouve une calamité. Je vais employer le terme, c’est du sabotage », a annoncé l’entraineur.
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