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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 3 days 5 hours ago

Algérie – Turquie : de nouveaux vols au programme

Mon, 10/18/2021 - 16:39

Le monde s’ouvre encore, la diaspora se réjouit ainsi que les amoureux des voyages, puisque suite à la décrue du nombre de cas de contaminations du covid-19, une mesure très importante entrant dans le cadre de la gestion et la lutte contre la pandémie est allégée. Il s’agit des frontières aériennes.

La décision de la réouverture des frontières aériennes en Algérie a été annoncée le premier juin dernier, un programme de vols autorisés a été dévoilé auquel d’autres destinations ont été ajoutées pour répondre à la forte demande des voyageurs. Le ministère des Transport a également annoncé à travers un communiqué le 11 octobre 2021 l’ouverture de 12 nouvelles lignes de vols internationales vers 6 destinations assurées par Air Algérie.

A travers le même communiqué, le ministère des Transports affirme que dans le cadre du principe de réciprocité, les compagnies étrangères vont pouvoir ajouter 12 nouveaux vols soit 24 nouvelles lignes.

Le nouveau programme Alger – Istanbul

Les vols autorisés de et vers la Turquie augmentent de deux vols soit quatre au total par semaine. La compagnie aérienne nationale turque Turkish Airlines desservira la ligne Alger – Istanbul le samedi, lundi, mercredi et jeudi. Pour Air Algérie, les vols vers la Turquie sont programmés le dimanche, lundi, mercredi et jeudi.

Bonne nouvelle pour les amoureux du pays du Bosphore, la diaspora algérienne en Turquie mais également pour les algériens souhaitant rentrer en Algérie mais qui habitent des pays pas concernés par la réouverture des frontières aériennes à savoir certains pays du Moyen-Orient. Ces voyageurs sont dans la contrainte de faire escale à Istanbul.

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Équipe nationale : Ghoulam frappe à la porte des Fennecs

Mon, 10/18/2021 - 16:32

Après les résultats obtenus lors des quatre derniers matchs des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, l’Algérie compte désormais 31 matchs sans défaite.

À cet effet, l’international algérien Faouzi Ghoulam espère pouvoir rejoindre les Fennecs, et porter à nouveau le maillot de l’Équipe nationale, avant la Coupe d’Afrique, prévue du 09 janvier au 06 février de l’année prochaine au Cameroun.

Ledit joueur qui évolue actuellement au poste d’arrière gauche au SSC Naples, a subi de graves blessures, dont la première remonte au novembre 2017, lors d’un match de son club italien face à Manchester City. Ces blessures ont affecté sa carrière de footballeur au cours des dernières années, après avoir été contraint d’effectuer plusieurs opérations.

Après une absence de sept mois, l’international algérien a récemment repris ses entrainements avec son club italien, ce qui l’a fait penser à la possibilité de revenir à l’Équipe nationale dès que possible.

Ghoulam : rejoindre l’Équipe nationale nécessite une grande préparation

Dans le même sillage, Ghoulam avait déjà confirmé, dans un live sur Instagram, que son absence auprès des Fennecs au cours des deux dernières années, était due principalement à cause de son état de santé.

 » Être avec l’Équipe nationale nécessite une grande préparation, ainsi qu’une participation régulière lors des matchs des Verts, un point qui n’est pas disponible actuellement « , a affirmé le joueur dans son live, ajoutant :  » quand je joue, je peux parler de la possibilité de retrouver ma place avec l’Équipe nationale « .

Par ailleurs, le sélectionneur algérien Djamel Belmadi avait récemment évoqué la situation de Ghoulam, où il a indiqué que le joueur du club italien de Naples bénéficie toujours de l’attention et du suivi du staff technique des Verts et qu’il est toujours sur sa liste élargie.

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Categories: Afrique

Grève nationale dans l’éducation à partir du mois de novembre

Mon, 10/18/2021 - 16:17

Le secteur de l’éducation nationale tous secteurs confondus devra connaitre, à compter du mois de novembre prochain, une grève cyclique durant deux jours par semaine. C’est ce qu’a décidé le Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest).

À l’issue du Conseil national ordinaire du syndicat tenu les 15 et 16 octobre à Boumerdès, les intervenants ont décidé de recourir au mouvement de grève deux jours par semaine, et ce, à partir de la première semaine du mois de novembre.

Le syndicat a motivé sa décision du recours à la grève, à quelques semaines de la rentrée des classes, par le « constat amer établi dans les différents rapports soumis aux travaux du Conseil national », affirme le coordinateur de Boumerdès Rabah Mâameri.

Il s’agit entre autres de la pression exercée sur les enseignants par les plans pédagogiques exceptionnels, mais aussi de l’érosion du pouvoir d’achat de ces derniers. Pour le porte-parole du Cnapest, Messaoud Boudiba « cette décision s’explique par la situation générale dans laquelle se trouve le secteur, tant au plan social que professionnel ».

Les principales revendications du syndicat

Sur le volet professionnel, les intervenants soulèvent la question de la pression sur les enseignants en raison du volume horaire imposé par les plans exceptionnels. Pour ce qui est du volet social, le syndicat évoque « l’érosion du pouvoir d’achat » des enseignants.

En effet, le syndicat énumère plusieurs revendications dans le communiqué ayant sanctionné la réunion. Il s’agit de « l’augmentation des salaires face au pouvoir d’achat de l’enseignant qui se dégrade de jour en jour, des arriérés non honorés depuis 2018 concernant les promotions et les heures supplémentaires ».

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Categories: Afrique

4e vague du coronavirus : Dr Bekkat Berkani livre ses appréhensions

Mon, 10/18/2021 - 15:17

La situation épidémiologique liée au coronavirus s’est sensiblement stabilisée ces dernières semaines. Or, le risque d’une 4e vague, avec le relâchement constaté dans le respect des mesures barrières, menace cette stabilité du point de vue des spécialistes.

Commentant la situation épidémiologique actuelle, le président du conseil de l’ordre des médecins et membre du Comité scientifique Dr Mohammed Bekkat Berkani affirme que les contaminations au Covid-19 ne pourront pas atteindre le zéro actuellement.

Dans une déclaration à Ennahar, Berkani confirme que le pays enregistre une stabilité en matière de contaminations, or « cela ne signifie pas que nous nous sommes débarrassés de l’épidémie ».

Il a ajouté : « Beaucoup d’Algériens pensent que l’épidémie a été éradiquée, ce qui se traduit par le relâchement constaté dans le respect des mesures barrières notamment la distanciation ».

D’ailleurs, l’intervenant estime que le risque de l’apparition de la quatrième vague épidémique intervient entre les mois de novembre et janvier, une période dans laquelle est favorisée la propagation de la grippe saisonnière.

« Nous constatons un recul significatif dans la vaccination »

À ce propos, Dr Bekkat Berkani explique qu’il est difficile de faire la différence entre la contamination au coronavirus et une grippe saisonnière, d’autant que cette dernière touche également le système respiratoire.

Abordant la question de la vaccination, le président du conseil de l’ordre des médecins reconnait qu’il y a effectivement une réticence. « Nous constatons un recul significatif dans l’affluence à la vaccination ».

Selon lui, cela intervient « en raison du manque de campagnes de sensibilisation et de la sous-estimation de la gravité de l’épidémie ». « Une vaccination retardée contribuerait à la propagation de l’épidémie », a-t-il mis en garde.

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Tribunal de Tipaza : peines de prison confirmées pour Amira Bouraoui

Mon, 10/18/2021 - 14:46

La militante pour la démocratie et les droits de l’homme en Algérie, Amira Bouraoui, a vu ses peines de prison, prononcées en première instance, confirmées aujourd’hui, le 18 octobre 2021, par le tribunal de Tipaza. La militante est poursuivie depuis plusieurs années pour divers chefs d’inculpation, elle a même fait un séjour à la prison de Koléa en 2020.

La Cour de Tipaza a décidé aujourd’hui de confirmer deux peines de prison à l’encontre de Amira Bouraoui, la militante algérienne. Il s’agit d’une confirmation du verdict prononcé en première instance dans deux différentes affaires.

Deux ans de prison pour Amira

La première peine que la cour de Tipaza à confirmé est celle à deux ans de prison ferme, prononcée en première instance à l’encontre de Amira Bouraoui. La deuxième peine confirmée est une autre condamnation à deux ans de prison ferme pour la deuxième affaire, celle-ci sans mandat de dépôt.

Le CNLD précise que la première affaire porte sur « l’outrage à un fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions, Atteinte à la personne du président de la République, et Diffusion d’informations susceptibles d’attenter à l’ordre public ». La deuxième affaire, toujours selon la même source, concerne une « atteinte aux préceptes de l’Islam et au Prophète ».

Amira Bouraoui, pour rappel, a été condamnée le 4 mai dernier à deux ans de prison ferme pour la premiére affaire, et à deux ans de prison ferme (sans mandat de dépôt) pour la deuxiéme affaire. Le 11 octobre 2021, lors d’un procès en appel, en l’absence de l’accusée, le procureur a requis la confirmation du réquisitoire du premier procès à l’encontre de Amira Bouraoui.

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France : les sans-papiers montent au créneau

Mon, 10/18/2021 - 14:41

Récemment, l’Hexagone a connu beaucoup de marches et de manifestations pour diverses causes, notamment contre la vaccination et le passe sanitaire. C’est au tour du fameux sujet des harraga d’occuper les rues après avoir occupé les plateaux de télévision et les débats politiques.

C’est une semaine loin d’être anodine pour l’émigration clandestine en France. En effet, le Conseil constitutionnel s’est prononcé. Les compagnies aériennes et maritimes n’ont pas exactement l’embarras du choix ; ils pourront  exécuter les expulsions ou de payer des amendes allant jusqu’à 20 000 euros. Cela entre dans le cadre du réacheminement prévus pour les migrants clandestins faisant objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

En plus de cette décision annoncée vendredi, la métropole de Lyon fête la semaine de l’hospitalité du 13 au 23 octobre. Durant cette semaine les collectifs, élus et citoyens se mobilisent. Au menu : la régularisation des sans-papiers, la précarité, le logement, protection des mineurs étrangers, fermeture des centres de rétention et le droit à la citoyenneté.

« Il suffit d’ouvrir les frontières »

C’est ainsi et dans ce but que près de 500 personnes se sont réunies à Lyon ce samedi 16 octobre manifestant notamment pour les migrants clandestins et pour leur régularisation. Ces derniers travaillent « en noir » et sont souvent exploités par des personnes malveillantes profitant de l’irrégularité de leurs situation.

Les manifestants à Lyon n’ont pas manqué de faire entendre leurs voix, parmi les revendications exprimées à travers le chant est l’ouverture des frontières. « Qu’est ce que c’est ce pays où on peut mettre des gens à la rue sans rien prévoir pour eux, c’est incroyable! » a déploré Colette Balcon du Collectif des sans-papiers Lyon.

Un pays, deux visions

Alors que le peuple organise des marches pour appeler à la solidarité et revendiquer les droits des migrants, la classe politique cherche des solutions pour contrer le flux migratoire et expulser. En effet, on ne peut que mettre la fermeture des centres de rétention que réclament ces 500 manifestants face au souhait du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin d’établir des camps fermés pour migrants.

Ces camps seront installés au sud de l’Europe. une région qui reçoit un nombre astronomique de migrants clandestins venus du Maghreb, ces mêmes frontières ont vu le 16 octobre 147 algériens secourus en seulement 24h par les gardes-côtes.

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Covid-19 en Algérie : le méli-mélo du retour des supporters aux stades

Mon, 10/18/2021 - 14:30

Suite à l’enregistrement des chiffres alarmants de personnes contaminées à la Covid-19 en Algérie, les autorités du pays ont procédé à plusieurs mesures afin de lutter contre ce virus et limiter sa propagation.

À cet effet, les mêmes autorités ont ordonné la fermeture des établissements d’enseignement, les centres commerciaux, les magasins, les mosquées, ainsi que les stades et les salles de sports.

Ces derniers temps, les cas de contamination à la Covid-19 enregistrent une baisse remarquable, où le nombre de personnes atteintes par ce virus n’a pas dépassé les 150 contaminés ces derniers jours.

Sur ce, les autorités concernées ont commencé à procéder à l’allégement des mesures du confinement, en rouvrant petit à petit les espaces fermés, avec l’exigence d’un nombre de personnes très limité, et ce, afin d’éviter une éventuelle vague de la Covid-19.

Dans ce contexte, des rumeurs ont été lancées à propos du retour des supporters dans les tribunes des stades, 19 mois après l’interdiction, notamment après la réouverture des stades dans deux wilayas de l’est, à savoir Annaba et Constantine.

Aucun document officiel concernant le retour des supporters aux stades

En effet, Abdelkrim Medaouar, président par dérogation de la Ligue de football professionnel (LFP), a révélé à ce propos, ce dimanche 17 octobre, que son instance n’avait encore reçu aucun document officiel concernant un éventuel retour des supporters dans les stades.

 » Jusqu’à aujourd’hui, la LFP n’a reçu aucun document officiel concernant un éventuel retour du public dans les stades, à la veille du coup d’envoi de la nouvelle saison footballistique « , a expliqué le premier responsable par intérim de l’instance dirigeante de la compétition à l’APS.

Il a ajouté :  » prendre une telle décision est du ressort exclusif du ministère de la Santé, qui saisira de son côté le ministère de la Jeunesse et des Sports « .

Par ailleurs, il est utile de rappeler que le coup d’envoi de la nouvelle saison footballistique 2021-2022 sera donné ce vendredi.

 » Nous sommes à l’approche de la nouvelle saison, tout est mis en place sur le plan organisationnel pour le bon déroulement de la saison. Nous n’avons pas prévu de nouvelles mesures. Nous tâcherons de faire de l’exercice 2021-2022 une réussite « , a fait savoir le même responsable.

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Algérie – Burkina Faso : la présence des supporters se précise

Mon, 10/18/2021 - 13:50

L’équipe nationale algérienne de football enchaine les victoires. Après le dernier match contre le Niger a Niamey, les verts s’en tirent avec 31 rencontres consécutives sans défaite. Cependant, la joie des Fennecs ne peut être complète tant que les tribunes ne seront pas secouées par le chant des supporters. Un doux souhait qui semble tout près de se réaliser.

Les hommes de Djamel Belmadi vont affronter, le 10 novembre prochain, les Étalons Burkinabés au stade désormais mythique de Mustapha Tchaker à Blida. Cette rencontre, qui va avoir lieu alors que la crise sanitaire persiste en Algérie, est voulue toutefois exceptionnelle, par les supporters, les joueurs, mais aussi par les autorités.

En effet, et selon nos sources, le comité scientifique national de surveillance et de suivi de l’épidémie du Covid-19, a donné son feu vert pour l’entrée du public et son retour aux tribunes lors de la prochaine rencontre entre l’Algérie et le Burkina Faso au stade de Blida.

Un feu vert sous condition

Alors que l’Algérie n’est pas définitivement sortie de la crise sanitaire, et au moment où le taux de vaccination de la population ne dépasse pas les 10 %, le comité scientifique national de surveillance et de suivi de l’épidémie va essayer d’encadrer la rencontre footballistique qui verra, après une longue absence, le retour du public aux tribunes de Tchaker.

Ce feu vert qui va faire le bonheur de milliers de supporters, va cependant obéir à des mesures sanitaires fixées par le comité. Ce dernier aurait toutefois donner son OK à la FAF, à qui il a exposé plusieurs conditions liées à la vaccination et à au nombre de supporters.

En effet, le comité scientifique aurait exigé des supporters qui voudraient assister au match Algérie-Burkina Faso, la présentation d’un pass sanitaire (carnet de vaccination). Le nombre des supporters des verts va également être limité à cause des mesures de la distanciation physique que la FAF sera tenue de faire respecter.

Il est à rappeler que le sélectionneur national Djamel Belmadi, a souligné le besoin des joueurs de l’équipe nationale au soutien de leur public après la rencontre victorieuse contre le Niger.

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Harraga algériens : un nouveau record journalier « inquiétant »

Mon, 10/18/2021 - 13:25

Cette immigration clandestine qui n’a eu de cesse de faire parler, que ce soit pour critiquer ou pour faire l’objet de débats politiques, nous en parlons tous. Contrairement à ce que certains puissent imaginer, ce n’est guère le réacheminement de ces migrants clandestins qui fait froid dans le dos, c’est plutôt de retrouver et de repêcher des corps sans âmes. C’est donc avec inquiétude mais une infime joie que l’on apprend que ces harraga, hommes, femmes et mêmes enfants sont secourus en mer.

Le bilan s’aggrave avec un nouveau record est enregistré ce 16 octobre, Il n’aura fallu que 24h pour secourir 147 algériens. Des harraga ayant pris le large vers le sud de l’Europe. L’activiste, défenseur des droits des migrants Francisco Jose Clemente Martin a avancé ces informations inquiétantes à travers sa page facebook, indiquant l’arrivée d’embarcations débordées.

La saison estivale écoulée ne semble pas décourager les harraga. En effet, les gardes-côtes espagnols ont secouru au large des Iles Baléares, Ibiza, sud de Majorque et l’Île de Cabrera un total de 147 harraga algériens, parmi eux, au moins trois femmes enceintes interceptées. Selon la même source, tous les harraga algériens secourus vont bien, rien d’inquiétant à noter quant à leur état de santé.

L’Europe, comment va-t-elle réagir?

C’est un sujet qui fâche et qui a longuement été au cœur des débats dans les hémicycles européens. Le bilan ne fait que s’aggraver et le continent en question se voit devenir impuissant puisque jusqu’à présent, les efforts déployés n’ont pas montré la moindre efficacité, les migrants arrivent encore et encore et réussissent à passer les frontières.

On a récemment entendu parler des barrières anti-migrants, un projet que douze pays de l’Union Européenne (UE) envisagent concrétiser, une demande officielle de financement a été adressée à la Commission européenne. Une mesure drastique ayant pour but de contrer le flux migratoire notamment celui venu des pays du Maghreb.

Une chose est sûre, l’Europe ne restera pas les bras croisés face à ces chiffres et cette situation devenue incontrôlable et ingérable. Camp fermé, murs anti-migrants, quelle sera la prochaine solution pour contrer ce flux migratoire?

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Montant du dédommagement dans l’affaire Oulmi : la justice tranche

Mon, 10/18/2021 - 13:18

La chambre pénale près la Cour d’Alger vient de trancher dans le procès civil de l’affaire de montage automobile du groupe Sovac. Il s’agit de la somme des dédommagements demandés au profit du Trésor public.

Dimanche dernier, la même juridiction a confirmé le verdict de première instance concernant le procès civil de l’affaire de montage automobile du groupe Sovac de Mourad Oulmi. Ce verdict porte sur un dédommagement de 225 milliards de dinars au profit du trésor public.

Cette décision intervient deux semaines après le procès en appel dans l’affaire du montage automobile dans laquelle est poursuivi le propriétaire du groupe Sovac Mourad Oulmi, des membres de sa famille ainsi que des anciens ministres de l’Industrie.

Cette décision concerne uniquement l’action civile d’autant que l’action publique avait été jugée définitivement par la Cour suprême après le rejet en mai 2021, des pourvois en cassation de tous les accusés ainsi celui du parquet contre tous les accusés, à l’exception des accusés acquittés.

Ce qu’a réclamé le trésor public comme dédommagement

Rappelant ici que la Cour suprême avait également accepté le recours du juriste du Trésor public dans la forme et dans le fond. Ainsi, l’avocat du trésor public avait demandé, lors de l’audience d’il y a deux semaines, un dédommagement de 500 milliards de dinars.

Dans sa requête, la défense du trésor public a fait état de « l’existence de preuves solides et suffisamment de charges prouvant que les accusés ont commis des actes prémédités dans le but de commettre de graves crimes portant atteinte à l’économie nationale ».

Le préjudice financier causé par les mis en cause dans l’affaire est estimé, selon la défense du trésor public, à hauteur de 200 milliards de dinars dans le cadre du système de l’Andi. Les fonds dilapidés sont estimés à environ 290 milliards de dinars.

Rappelant que la Cour d’Alger avait condamné, le 21 octobre 2020, le président du groupe Sovac, Mourad Oulmi, pour « blanchiment d’argent et incitation d’agents publics à exploiter leur influence », à une peine de 10 ans de prison ferme.

L’ancien Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a été condamné à 10 ans de prison ferme alors que l’ancien ministre de l’Industrie, Youcef Yousfi, a été condamné à deux ans de prison, dont un, avec sursis.

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« Fahla », le premier roman en dardja fait son apparition

Mon, 10/18/2021 - 12:56

La littérature algérienne vient d’ajouter un nouveau livre à sa bibliothèque. Il s’agit en effet, du roman «Fahla», le premier livre en langue populaire algérienne.

Sorti ce samedi 16 octobre en librairies, ce livre est écrit par le sociologue, essayiste, chroniqueur et néanmoins professeur d’anthropologie linguistique à l’Université d’Oran, Rabeh Sebaa, et édité par les éditions Frantz Fanon.

Les faits de l’histoire commencent dans un cimetière, le jour de l’enterrement d’un poète. Ce dernier n’était pas autorisé d’entrer au cimetière. Sur ce, des femmes ont lancé une révolution contre la marginalisation, l’oppression et la violence.

« Haja jdida fi aâadatna. Lakin fardou nfousshoum. Men temma bda el kifah dad eddoulm wa el hogra. Kharjou ennssa igoulou khlass barakat men elhogra ! Fahla wa Lila fathou ettrig ou bdaw ennadmo el kifah. Men ajl blad horra. Blad win ma ikhaffouch men jich eddlam li bgha ikkahel lablad. Nadou igoulou la. Habbine blad entâa el houria wel fikr wel karama. Houriat ettifkir. Men dar el mout kharjou ennssa innadou lelhayat », lit-on dans la couverture du roman.

Écrit en dialecte algérien (dardja), «Fahla» est rédigé avec une transcription latine, où l’auteur vise à ouvrir la voie à une nouvelle littérature d’expression algérienne, afin d’enrichir le patrimoine linguistique de la culture nationale.

Rabeh Sebaa : l’algérien est une langue à part entière

Interrogé sur son choix d’écrire un livre en langue populaire, Rabeh Sebaa a expliqué dans une déclaration à l’APS : « l’algérien n’est pas un arabe dégradé. Ou un arabe périphérique. L’algérien est une langue à part entière. L’algérien est une langue avec sa grammaire, sa syntaxe, sa sémantique et toute sa personnalité linguistique ».

Pour le titre de son roman, l’auteur a fait savoir que « Fahla, est le nom du personnage principal du roman mais également une métaphore pour désigner (blad Fahla), un pays qui a su résister à toutes les agressions et qui est un symbole de résistance ».

Il convient également d’indiquer que l’écrivain Rabeh Sebaa a publié plusieurs livres, dont L’Algérie et la langue française ou l’altérité en partage ; L’arabisation dans les sciences sociales : le cas de l’Algérie ; Algéricides, en plus de nombreux articles dans la presse nationale.

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Terrorisme : les modalités de la liste nationale fixées

Mon, 10/18/2021 - 12:35

Instituée par l’article 87 bis 13 du code pénal, la liste nationale des personnes et des entités terroristes se dote enfin de son décret exécutif. Ce dernier vient de paraître dans le dernier numéro du journal officiel. Outre la validation de l’article, ce décret fixe les modalités d’inscription et de radiation, de personnes et d’entités, mais aussi les sanctions qu’ils encourent.

L’Algérie a déjà classé deux entités comme étant des organisations terroristes. Il s’agit du MAK et de RACHAD. « Tout acte visant la sûreté de l’État, l’unité nationale et la stabilité et le fonctionnement normal des institutions » est considéré, par l’article 87 bis, comme étant « un acte terroriste ou sabotage ». Suite à cette loi, le premier ministre a fini par fixer « les modalités d’inscription et de radiation de la liste nationale des personnes et entités terroristes et des effets qui en découlent ».

Une commission spéciale créée

Pour inscrire des personnes ou des entités dans cette liste ou bien les radier, une commission a été formée. Présidée par le ministre de l’Intérieur, elle est toutefois constituée des représentants des  ministères des Affaires étrangères, de la Justice, des Finances et de la Défense nationale.

Seront également présents dans cette commission le chef de la gendarmerie nationale, le chef  de la DGSN, le DG de la sécurité intérieure, le DG de la documentation et de la sécurité extérieure, le DG de l’organe national de prévention et de lutte contre les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication ainsi que le président de la cellule de traitement du renseignement financier.

Inscription/radiation : comment ça marche ?

Il est à noter que la commission « peut se réunir, en cas de besoin, … sur décision de son président ». Ceci dit, elle « est tenue de se réunir, au moins, une fois tous les six (6) mois pour réviser la liste et déterminer si les raisons de l’inscription sur la liste sont toujours justifiées et pour radier les personnes décédées ».

La commission peut être saisie par quatre ministères : la Défense nationale, Intérieur, Affaires étrangères et Justice. Pour demander l’inscription d’une personne ou d’une entité, outre la présentation de son identité complète, sont également demandés : un exposé des faits qui lui sont reprochés, un rapport sur l’opportunité de son inscription sur la liste, ainsi que le justificatif qu’elle fait l’objet d’enquête préliminaire, de poursuite judiciaire ou de condamnation par un jugement ou un arrêt.

Pour être radier de la liste, la personne ou l’entité concernée peut présenter une requête dans un délai de trente jours. La commission elle-même pourrait s’autosaisir, dans le cas ou « les motifs de son inscription sur la liste ne sont plus justifiés ». Les décisions d’inscrire ou de radier une personne ou une entité sur la liste sont suivies par une publication sur le journal officiel.

Plusieurs sanctions prises à l’encontre des inscrits

Le décret prévoit plusieurs sanctions à l’encontre des personnes ou des entités inscrites dans la liste nationale du terrorisme. La commission est chargée de « prendre les mesures nécessaires afin d’interdire l’activité de la personne ou de l’entité inscrite sur la liste, confisquer et/ou geler ses fonds ou lui interdire de voyager ».

L’interdiction d’activité « entraîne la fermeture des locaux de la personne ou de l’entité concernée et l’interdiction de ses réunions ». Si l’entité est une association, « son activité est suspendue durant toute la durée de son inscription sur la liste, à moins que sa dissolution n’en soit prononcée par décision judiciaire ».

Les personnes ou entités inscrites sur la liste pourront donc voir leurs fonds et avoir gelés. La commission peut aussi « demander le gel, à l’étranger, des fonds des personnes et/ou des entités inscrites sur la liste, conformément aux procédures en vigueur en matière de coopération internationale ».

L’interdiction de l’activité, le gel des fonds et l’interdiction de voyager, « sont levés de plein droit, dès que la décision de radiation de la personne ou de l’entité concernée de la liste, est publiée au Journal officiel, à moins que la personne concernée ne fasse l’objet d’une procédure judiciaire contraire ».

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Procès Houda Feraoun, « Huawei » et « ZTE » : le verdict est tombé

Mon, 10/18/2021 - 11:36

Le tribunal de Sidi M’hamed a rendu ce lundi son verdict dans l’affaire de l’ancienne ministre de la Communication, Houda Feraoun.

L’ancienne ministre, poursuivie pour plusieurs chefs d’inculpation, dont dilapidation de deniers publics, octroi d’indus avantages et abus de fonction, a fini par être condamnée pour une seule accusation. Elle a, en effet, écopé d’une peine de 3 ans de prison ferme assortie d’une amende de 500 000 DA.

Cette condamnation a été prononcée dans l’accusation d’abus de fonction. L’ancienne ministre des Télécommunications a donc été acquittée dans toutes les autres accusations portées à son encontre.

La même juridiction a également prononcé une peine de 5 ans de prison ferme et une amende d’un million de dinars contre l’ancien PDG d’Algérie télécom Kebbal Tayeb.

Plusieurs autres anciens hauts responsables cités dans l’affaire ont été acquittés. Il s’agit de l’ancien vice-président directeur général d’Algérie Télécom, Ahmed Choudar, du président de la commission des marchés d’Algérie Télécom Berrani Sid Ahmed ainsi que des membres de cette commission.

Les verdicts contre les sociétés impliquées dans l’affaire

Concernant les sociétés impliquées dans l’affaire de l’ancien ministre des Télécommunications, la même juridiction a prononcé une amende de 4 millions de dinars avec ordonnance de saisie contre « Huawei » et « ZTE ».

En outre, le tribunal de Sidi M’hamed a décidé un dédommagement d’une valeur de 100 000 DA à la faveur du trésor public. Cette somme doit être payée par l’ancienne ministre Houda Feraoun et l’ancien PDG d’Algérie télécom Kebbal Tayeb.

Les deux sociétés impliquées dans l’affaire à savoir « Huawei » et « ZTE » devront également s’acquitter d’un dédommagement à hauteur de 10 millions de dinars pour le trésor public.

Les réquisitoires

Pour rappel, le Procureur de la République près le Tribunal de Sidi M’hamed a requis, mardi dernier, une peine de huit (8) ans de prison ferme assortie d’une amende de 100.000 DA contre Houda Feraoun et Tayeb Kebbal.

Le parquet a requis six (6) ans de prison contre l’accusé Berrani Sid Ahmed et quatre (4) ans de prison contre le reste des accusés, dont l’ancien vice-président directeur général d’Algérie Télécom, Ahmed Choudar et des membres de cette de la commission des marchés d’Algérie Télécom.

Le Procureur de la République a également requis une amende de cinq (5) millions de DA contre les sociétés « Huawei » et « ZTE », avec confiscation du solde de comptes bancaires et postaux et de biens saisis sur ordre du juge d’instruction du Tribunal de Sidi M’hamed.

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Météo : les prévisions et les températures de ce lundi 18 octobre

Mon, 10/18/2021 - 10:39

Dans ses prévisions pour cette journée du lundi 18 octobre 2021, météo Algérie a fait état d’un temps dégagé à peu nuageux sur l’ensemble du territoire national. Aucune vigilance particulière n’a été signalée.

Dans les régions nord du pays, excepté quelques bancs de brume locaux et nuages bas durant la matinée notamment à l’est, le temps sera dégagé à peu nuageux le reste de la journée.

Pour les régions Sahariennes, l’Office national de météorologie prévoit un temps partiellement nuageux sur le nord Sahara et les oasis. En Outre, le temps sera partiellement voilé de l’extrême sud-est vers le Sahara oriental.

Concernant les températures maximales attendues pour cette journée du lundi, Météo Algérie fait état de 23 degrés à 29 degrés sur les régions côtières. Les régions intérieures du pays seront au rendez-vous avec des températures allant entre 20 et 27 degrés. De 23 à 39 degrés sur les régions sahariennes.

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Taux de change du dinar : les cotations de ce lundi 18 octobre

Mon, 10/18/2021 - 10:19

Le cours de l’euro a enregistré une légère hausse, ce lundi 18 octobre dans les cotations officielles. Sur le marché parallèle, la situation reste relativement stable.

Le taux de change de la monnaie européenne dans les cotations de la Banque centrale d’Algérie ce matin, a atteint les 159,19 dinars à l’achat et 159,25 dinars à la vente. Au niveau du marché parallèle des devises, l’euro s’affiche dans les environs des 212 dinars à la vente contre 214 dinars à la vente.

Le cours du dollar a baissé sur le marché interbancaire des changes d’Alger pour atteindre les 137,04 dinars à l’achat et 137,06 dinars à la vente. Dans le marché parallèle des devises, il s’est établi à 181 dinars à l’achat, et 183 dinars à la vente.

Concernant la livre sterling, le cours officiel de ce lundi a affiché 189,19 dinars à l’achat contre 188,27 dinars à la vente. Dans le marché noir des devises, l’unité de cette monnaie s’échange contre 242 DA à l’achat 239 DA à la vente.

Le taux de change des monnaies des pays arabes

Le prix du riyal saoudien s’est stabilisé à 36,54 dinars à l’achat, et 36,55 dinars à la vente, dans les cotations de la Banque d’Algérie. Sur le marché parallèle, il est resté à 47,99 dinars à l’achat, et 48,52 dinars à vendre.

Pour ce qui est le dirham émirati, il a enregistré une hausse dans les cotations officielles, pour enregistrer 37,35 dinars à l’achat, et 37,32 dinars à la vente. Sur le marché noir des devises, il s’est stabilisé à 49,00 dinars à l’achat, et 49,55 dinars à la vente.

Le cours du dinar koweïtien à la Banque centrale a atteint 453,78 dinars à l’achat et 455,04 dinars à la vente. Il est proposé contre 596,48 dinars à l’achat et 603,11 à la vente sur le marché parallèle (noir).

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Société Générale Algérie honore les champions paralympiques

Mon, 10/18/2021 - 00:35

Société Générale Algérie a organisé une réception ce jeudi 14 octobre à l’hôtel Hyatt Regency pour honorer les athlètes médaillés des jeux paralympiques de Tokyo 2020.

Les athlètes handisport apportent leur part de distinctions dans toutes les manifestations sportives internationales auxquelles ils participent.

Ils offrent ainsi, tant à l’Algérie qu’à son sponsor officiel, Société Générale Algérie, une fierté toujours grandissante.

En cette occasion, Société Générale Algérie a primé les athlètes médaillés de TOKYO en offrant :

  • 500 000 DA pour les médaillés d’Or  (au nombre de quatre)
  • 300 000 DA pour les médaillés d’Argent  (au nombre de quatre)
  • 200 000 DA pour les médaillés de Bronze (au nombre de quatre)

Nos athlètes donnent le meilleur d’eux-mêmes à chaque compétition. Leurs succès offrent une raison supplémentaire à la banque pour aller de l’avant dans leur accompagnement.

Banque citoyenne, Société Générale Algérie est le Sponsor Officiel de la Fédération Algérienne Handisport (FAH) depuis dix années.

En plus du handisport, la banque est Partenaire Officiel de la Fédération Algérienne de Rugby. Elle est, entre autre, engagée dans plusieurs partenariats solidaires avec des associations activant en faveur de l’insertion sociale des handicapés, de l’enfance défavorisée, de la promotion de l’art et de l’émergence de jeunes talents, de la prévention du cancer et du don de sang.

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Logements AADL : les prix vont-ils augmenter ?

Sun, 10/17/2021 - 23:09

Ces derniers mois, le secteur de la construction assiste à des hausses spectaculaires dans les prix du Rond à béton ; un matériau indispensable dans le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP).

Face à cette hausse de cout de construction, certains opérateurs ont déjà commencé à évoquer des « hausses importantes » dans les prix des logements. Certaines rumeurs ont même évoquer la hausse des prix des appartements AADL ; provoquant la réaction du premier secteur du secteur de l’habitat en Algérie.

Ce qu’a dit le ministre

Dans un entretien accordé à nos confrères d' »El Khabar », le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Tarek Belaribi s’est exprimé sur les rumeurs de l’augmentation des prix des logements AADL.

« Aucune hausse n’est prévue dans le contrat de location, ni dans les transactions électroniques, ni pour les modalités de paiement (…) Pas même pour les prix du logement AADL », a déclaré le ministre.

« Nous tenons à rassurer les bénéficiaires et les souscripteurs, notamment après la campagne de désinformation relayée sur les réseaux sociaux, qu’il n’y a jusqu’à présent aucune hausse du montant des charges mensuelles, ni des prix du logement AADL », a-t-il ajouté.

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3 points à retenir du conseil des ministres de ce 17 octobre

Sun, 10/17/2021 - 21:32

Le Président Abdelmadjid Tebboune a présidé, ce dimanche 17 octobre 2021, une réunion du Conseil des ministres. À l’ordre du jour, l’examen de plusieurs dossiers ; dont celui du projet de la loi incriminant les spéculateurs qui encourront jusqu’à la perpétuité.

Lors de la réunion ayant regroupé plusieurs ministres, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a donné plusieurs instructions ; relatives à la lutte contre la spéculation, la rentrée universitaire et professionnelle.

Tebboune insiste sur la formation de qualité

Le président Tebboune a évoqué, lors de la réunion d’aujourd’hui, la rentrée universitaire, soulignant la nécessité trouver des mécanismes pour orienter la répartition générale des spécialités universitaires vers les sciences exactes et la technologie.

De ce fait, chef de l’État a ordonné aux responsables de l’enseignement supérieur d’impliquer les compétences universitaires algériennes dans les différents programmes visant la réalisation de la souveraineté numérique. Il a également insisté sur la disponibilité des moyens nécessaires pour assurer une formation de qualité, tout en veillant à tirer profit des compétences des cadres universitaires.

Par ailleurs, le président a ordonné l’encadrement scientifique supérieur, avec un intérêt particulier, dans les écoles des mathématiques et de l’intelligence artificielle, en respectant les meilleures moyennes dans toutes les régions du pays.

Les spéculateurs risquent jusqu’à la perpétuité

La question de la lutte contre la hausse des prix alimentaires s’est invitée à la réunion du conseil des ministres de ce dimanche ; durant laquelle le président Tebboune a une nouvelle fois insisté sur la révision du code pénal pour prévoir une peine maximale allant jusqu’à 30 ans de prison et la perpétuité pour les individus impliqués dans le crime de la spéculation.

Sur ce point, le chef de l’État a enjoint au ministre du Commerce, Kamel Rezig, de sensibiliser les commerçants et la société civile ; pour faire la distinction entre le stockage organisé à des fins commerciales et le stockage visant à créer la pénurie.

D’un autre côté, le président Tebboune a insisté sur la rationalisation de la consommation pour lutter contre les parties qui tentent d’augmenter les prix dans le but de susciter le chaos et semer le désespoir.

La formation professionnelle au Menu

Lors de la même réunion, le chef de l’État a évoqué la rentrée de la formation professionnelle. Sur ce dossier, le président a donné plusieurs instructions pour développer le secteur. En effet, il a ordonné la valorisation de la formation dans des branches et domaines qui reposent encore sur des méthodes de gestion traditionnelles, en particulier l’aquiculture, la construction des bateaux de pêche et les énergies renouvelables.

Le président a, par ailleurs, insisté sur la cohésion entre les programmes de la formation professionnelle et de l’Enseignement supérieur, dans le cadre du plan du développement national, notamment dans les secteurs prometteurs, à l’instar de l’industrie pharmaceutique. Enfin, il a ordonné l’ouverture du domaine de la formation aux travailleurs détachés des sociétés et des entreprises, dans les différents centres de formation professionnelle, avec l’aide de l’Etat.

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Lutte contre la hausse des prix : 4 nouvelles instructions de Tebboune

Sun, 10/17/2021 - 20:10

Ayant déjà des difficultés à joindre les deux bouts, le simple salarié algérien fait face, ces dernières semaines ; à une flambée sans précédente des prix de produits alimentaires de larges consommations, dont la volaille.

Ce dimanche 17 octobre ; la question de la lutte contre la hausse des prix alimentaires s’est invitée à la réunion du conseil des ministres. Après avoir déclaré « la guerre » aux spéculateurs, lors de sa rencontre avec la presse, le président Abdelmadjid Tebboune est revenu aujourd’hui avec de nouvelles instructions.

Lors de la réunion d’aujourd’hui ; le chef de l’État a, une nouvelle fois, insisté sur l’élaboration de la loi incriminant les spéculateurs. Sur ce point, il a ordonné la révision du Code pénal ; afin d’alourdir les sanctions contre les spéculateurs impliqués dans la hausse injustifiée des prix.

Avec cette nouvelle loi, les spéculateurs encourront une peine de pas moins de 30 ans de prison ; qui pourrait aller jusqu’à la perpétuité, voire la peine capitale.

Tebboune veut sensibiliser les commerçants

Lors de la même réunion, le président Tebboune a chargé le ministre du Commerce, Kamel Rezig, de mener des campagnes de sensibilisation auprès des commerçants et de la société civile, afin de leur expliquer la différence entre « le stockage à des fins commerciales » et « le stockage visant à provoquer des pénuries et la hausse des prix ».

Dans le même sillage, le chef de l’État a insisté sur l’implication de la société civile et des médias dans la lutte contre ces « pratiques commerciales déloyales ». Il a également insisté sur la rationalisation de la consommation afin lutter contre les parties qui tentent d’augmenter les prix pour « créer le chaos et semer le désespoir ».

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Tuerie du 17 octobre : Boudjedra remet en cause la version officielle

Sun, 10/17/2021 - 18:58

Dans le cadre du 60e anniversaire des événements du 17 octobre 1961, L’écrivain Rachid Boudjedra a apporté aujourd’hui quelques rectifications au rapport officiel. Soucieux des dates, et témoin de son temps, Boudjedra n’a pas hésité, lors d’une table ronde organisée aujourd’hui, à mettre les points sur les i.

Selon l’auteur de « la répudiation », les événements du 17 octobre n’ont pas commencé à cette date, mais le 16 du même mois. Toujours selon le même intervenant, le chef de la police parisienne, Maurice Papon, est loin d’être le seul responsable de ce qui est vu par certains comme un véritable génocide.

Rachid Boudjedra, un témoin de l’histoire

Selon les dernières déclarations de Rachid Boudjedra, lors d’une table ronde où étaient présents plusieurs responsables du gouvernement, le massacre des Algériens à Paris n’a pas commencé le 17 octobre, mais plutôt le 16, à 17 h.

L’écrivain qui avait 20 ans au moment des faits indique que « la police française a arrêté plus de 13 000 immigrés algériens ce jour-là. Ils ont été concentrés au niveau de plusieurs stades, narre encore Boudjedra, qui souligne qu’il s’agit d’une information peu connue.

Boudjedra indique également que le responsable du massacre des Algériens à Paris n’était pas Maurice Papon à lui seul. Selon l’écrivain algérien, la décision a été prise à un plus haut niveau, et affirmer le contraire est « un sophisme qui s’inscrit dans le cadre des manipulations des services de renseignement ».

Il est à noter que le président Français Emmanuel Macron, a déclaré que « les crimes commis cette nuit-là sous l’autorité de Maurice Papon sont inexcusables pour la République ».

Pour le militant algérien ouvertement communiste, un film relatant ce qui s’est passé en octobre 1961 a été réalisé. Le documentaire a été cependant censuré et interdit de sortie, explique-t-il, jusqu’à 1994, après que le réalisateur ait entamé une grève de la faim.

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