Dans une interview accordée à l'Abp, le directeur départemental de la santé de l'Atacora, Jacob Namboni, invite les cliniques clandestines et les agents de l'État exerçant en clientèle privée à se conformer rapidement à la loi. Il annonce le démarrage imminent de la phase de répression.
Plusieurs agents de santé, agents permanents et contractuels de l'Etat, continuent encore d'exercer en clientèle privée malgré les décrets portant suspension de la pratique et la fermeture des cliniques non autorisées. Ce comportement n'est pas du goût des autorités puisque force doit rester à la loi. « On a reçu une feuille de route et juste après une séance mardi prochain avec l'ensemble des maires du département, il y aura une descente dans toutes les communes avec une équipe composée des autorités de la préfecture, des éléments de la police républicaine, de la santé et au besoin de la justice››, a annoncé le directeur départemental de la santé. Jacob Namboni entend suivre rigoureusement les instructions du gouvernement afin de mettre fin aux mouroirs. Il estime que bien des actions de terrain permettent de finir avec les réticences observées encore sur le terrain. Dr Jacob Namboni, explique que les instructions du gouvernement sont claires et bien fermes dans ce combat sans merci contre la vente illicite des médicaments, le rançonnement et le vol de matériels au niveau des centres de santé publics. « Le délai pour choisir est déjà passé, donc si on voit des agents en fonction, on doit les arrêter », a-t-il martelé avant de préciser : « S'il y a des clandestins, on ramasse tout le matériel, on détruit le centre et on arrête le propriétaire ». Il ajoute que « Ces mouroirs et même des morgues traditionnelles existent dans certaines communes de l'Atacora ». Dr Jacob Namboni estime que son département a déjà de grands soucis en personnel de santé et demande aux agents de respecter les textes pour ne pas tomber sous le coup de la loi. « Le département a déjà trop de problèmes de personnel de santé donc ce ne serait pas bon que les gens se fassent encore enfermer, c'est pourquoi nous optons pour une communication large et si quelqu'un est pris dans ce cas c'est qu'il aurait voulu », fait-il savoir. Le directeur départemental appelle à un sursaut patriotique afin d'accompagner les nobles actions du gouvernement pour le bien-être de tous.
G.A.
Un homme a été blessé dimanche par l’explosion d’une bombe à fragmentation israélienne au Liban-Sud, l’engin ayant vraisemblablement été placé parles Israéliens lors de la guerre de 2006,rapporte l’Agence nationale d’information.N. H.,
originaire de Houla, a été blessé dans la localité de Wadi-Sloukiet a été hospitalisé. Les autorités libanaise sont ouvert une enquête.Selon des chiffres publiés en 2015, depuis 2006, plus de 400 personnes, dont 90 % de civils et le tiers âgé de moins de 18 ans, ont été tuées par l’explosion de bombes à sous-munitions et des dizaines d’autres ont été atteintes de handicaps au Liban.Les sous-munitions contenues dans les armes à fragmentation sont susceptibles,quand elles n’ont pas immédiatement explosé, de tuer et de mutiler des civils longtemps après le lancement des bombes.Israël n’est pas signataire de la convention sur les bombes à sous-munitions entrée en vigueur en 2010.
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ouvement Mouwatana a réaffirmé hier sa condamnation « sans réserve », du recours à la répression et à l’interdiction des manifestationset affirme son « soutien » aux revendications de nos concitoyens du Sud et desretraités de l’armée, indique un communiqué de l’instance de ce mouvementpublié au lendemain de sa réunion tenue à Alger.
Le m « Le mouvement de protestation du Sud, en particulier à Ouargla, la protestation des retraités de l’armée ou les actions deMouwatana sur le terrain ont en communla résistance face à un pouvoir qui réprimeles libertés et qui refuse que les Algérienspuissent exiger leur dignité », estime lemouvement. Selon Mouwatana, la crisepolitique est à l’origine de tous les blocages. »Il est devenu notoire que la crisepolitique est à la source de tous les blocageset que c’est en résolvant celle-ci queles Algériens pourront trouver une issue à leurs revendications », note-t-il.D’où son appel à la solidarité. « Les contestations sectorielles, malgré lessacrifices,n’aboutissent que très rarement (…) Lasolidarité avec tous les mouvements estaujourd’hui cruciale pour accélérer le départdu régime actuel », souligne le texte.
Par Ines Amroud.
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Ghania Oukazi
Le président-directeur général de Sonatrach pense qu’un prix du baril de pétrole entre 60 et 70 dollars permet de se projeter sur les dix ou vingt ans à venir et assure l’équité entre producteurs et consommateurs.Abdelmoumène Ould Kaddour estime ainsi que «c’est un prix moyen, il faut que les pays producteurs de pétrole trouvent un juste prix au baril, 60-70 dollars l’est, je ne suis donc pas tout à fait d’accord que ce prix augmente trop». C’est donc «un prix équitable» qui permet «aux consommateurs de consommer et aux investisseurs d’investir», dit-il. Sinon, explique-t-il, «c’est le yoyo», des fluctuations de prix dont les conséquences sont difficiles à supporter par l’économie. «Quand le baril était à 40 dollars, on ne savait pas où aller, on n’avait pas l’argent pour agir, et quand il a atteint les 100 dollars, on a gaspillé l’argent, on investissait à tout va, ce n’est pas normal ni rentable», souligne-t-il. Cependant, «quand il se situe entre 60 et 70 dollars le baril, je sais qu’il n’est bon pour personne, ni pour l’économie ni pour les caisses de l’Etat, pour ça, j’aimerai bien qu’il augmente, mais avec ce prix, je sais combien d’argent je vais engranger et ce que je vais investir, ça nous permet de nous projeter sur les 10-20 à venir, on peut prévoir combien on va construire( )», affirme-t-il. Ould Kaddour qualifie «ces aspects de planification» d’«extrêmement importants», a-t-il affirmé lors de la conférence de presse qu’il a animée hier après la présentation de la publication du World Oil Outlook (WOO) 2018 portant les perspectives du marché mondial de l’énergie pour la période 2020-2040.
Le patron de Sonatrach a rappelé les découvertes de pétrole en offshore. «Nous avons entamé les premières explorations de forage en offshore, les études préliminaires sont très bonnes, nous avons comme perspective de commencer les premiers forages au début de l’année prochaine», fait-il savoir. Il ne pense pas, par ailleurs, que les sanctions américaines prévues à partir du 4 novembre contre l’industrie pétrolière de l’Iran perturberont le marché. «A moins d’un événement politique grave, d’une guerre », dit-il.
Ould Kaddour touchera aussi du doigt la 3ème place qu’occupe l’Algérie en matière de réserves mondiales de gaz de schiste. «C’est le bon Dieu qui nous l’a donnée, on doit en profiter», affirme-t-il. A propos de l’exploitation de cette ressource par l’Algérie, il indiquera que «c’est un processus qui est assez lent, la phase d’études est lancée, on va aller vers la phase pilote d’exploitation sur site, on aura besoin pour cela entre 3 et 5 ans, c’est dans notre stratégie, c’est clair qu’on va y aller». L’extension du gazoduc à El Aricha lui fera dire que «nous l’avons décidé pour exporter et expédier notre gaz, pour cela, il nous faut de nouveaux pipes». Il affirme en réponse à des supputations sur le sujet que «le gazoduc Medgaz qui passe par le Maroc m’arrange bien, je veux qu’il reste, maintenant si les Marocains veulent l’arrêter, c’est leur problème. L’extension est pour fournir davantage de gaz à d’autres pays européens.»
S’il avance que les projections pour le marché pétrolier sont établies «en prenant en considération la production d’autres sources énergétiques», Ould Kaddour estime qu’«elles ne remplacent pas les énergies conventionnelles». Il note que «la demande mondiale en la matière va d’ailleurs augmenter à l’horizon 2040 en raison des fortes demandes entre autres de la Chine et de l’Inde». En effet, selon les projections de l’OPEP, il est attendu une augmentation mondiale de la demande en pétrole de l’ordre de 15 millions de barils/jour d’ici à 2040, soit 40% d’augmentation par rapport à 2017. «Les 15 millions de barils/jour, il faut les trouver, il faut avoir de d’argent pour investir encore plus dans la production et le transport, on doit trouver un équilibre entre le coût de production et le coût de vente, c’est important pour tout le monde», explique-t-il. Il pense qu’ «il faut que la population comprenne les dangers et le rôle de l’Algérie qui est assez important sur le marché mondial du pétrole». En évoquant l’accord entre pays membres de l’OPEP et non-OPEP conclu à Alger le 28 septembre 2016, le PDG de Sonatrach note qu’ «on a stabilisé le marché mondial, ce que nous avons fait en deux ans est fabuleux». Il revient, en outre, à la 10ème réunion du comité ministériel mixte de suivi de l’OPEP (JMMC), qui s’est tenue dimanche dernier à l’hôtel El Aurassi d’Alger en présence de 10 ministres et de représentants de différents niveaux des pays membres de l’OPEP et de certains non-OPEP pour souligner qu’«après la réunion, les choses sont bien stables, l’Algérie a joué un grand rôle dans cette situation, on doit en être fier».
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G.O.
«Il faut qu’on apprenne à faire les choses d’une façon différente, sinon, ça devient de la routine et on perdra beaucoup d’énergie, de moyens et d’argent», a dit Ould Kaddour. Avant de répondre aux questions des journalistes, il a tenu à rappeler que la stratégie de Sonatrach 2030 oblige à s’interroger sur «où va l’entreprise, avec quels moyens et quelles sont les personnes qui vont l’accompagner ? C’est une stratégie sur 15 ans avec l’objectif d’augmenter nos réserves en dollars.» C’est, dit-il, «un nouveau futur pour Sonatrach qui doit être un étendard pour l’économie nationale, il faut donc produire plus et mieux, trouver des nouvelles ressources, mieux les valoriser, renforcer notre présence internationale, protéger l’environnement, agir socialement de façon responsable, placer la performance au cœur de l’entreprise». Ould Kaddour rappelle que «depuis une année, la pétrochimie est en route tout autant que le développement de sources d’énergie offshore( ), ce travail participe à engranger 68 millions de dollars de valeur ajoutée.» Il pense qu’ «il faut donner un rêve aux gens, aller de l’avant, positiver »Elaborée en septembre 2017, la SH 2030 est, affirme-t-il, «un plan ambitieux qui répond aux défis de Sonatrach et de l’Algérie». Il veut que «tous les Algériens s’y mettent( )».
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M. Zeggai
A l’instar d’autres dirigeants avant lui, Abdelhakim Serrar a gagné la coupe d’Afrique avant de l’avoir joué, sans prendre en considération la réalité du terrain, qui stipule « que l’on ne gagne pas un match avant de l’avoir joué » alors que l’on peut le perdre. Au lendemain de son arrivée à la tête du club comme directeur général après le départ de Haddad Rebouh, Serrar s’était engagé à offrir à l’USMA son premier sacre continental. « Je le dis et je le répète, l’USMA jouera pour la victoire finale en cette coupe de la CAF », avait-il promis. « Nous aurons cette coupe de la CAF», a-t-il soutenu à la fin de la phase des poules. Finalement, le rêve s’est évaporé, au grand dam des milliers d’inconditionnels usmistes. Ainsi donc, l’aventure africaine de l’USMA a pris fin face à un adversaire bien loin du gotha du football égyptien des Zamalek, Ahly ou Ismaïly. Mais les Egyptiens d’Al Masry ont donné une leçon de combativité et d’organisation défensive que les « Rouge et Noir » n’ont à aucun moment pu contourner. Le coach Thierry Froger n’a pas trouvé de solutions, son champ de manœuvre étant limité en raison d’une mauvaise gestion de l’effectif durant l’intersaison.Le onze usmiste nous a paru mal équilibré, notamment dans le domaine offensif avec un milieu de terrain de trois récupérateurs, Chita, Benguit, Benkhamassa et l’absence d’un véritable meneur de jeu. Aussi, le choix du stade du 8-Mai 1945 a suscité quelques réactions chez certains observateurs qui estiment que les stades du 19-Mai 1956 d’Annaba ou Hamlaoui de Constantine auraient aidé l’USMA à vaincre cet adversaire en principe à sa portée, surtout lorsqu’on sait que l’équipe adverse allait adopter une stratégie ultra défensive pour conserver son avance. Dommage pour l’histoire de l’USMA et ses milliers de fans. Mais, en tenant compte de certaines circonstances, il fallait s’attendre quelque peu à cette amère élimination concédée de surcroît en Algérie, face à un adversaire loin d’être un foudre de guerre.
Des erreurs ont été commises et l’USMA a « récolté ce qu’elle a semé ». A propos de recrutement, certaines transactions sont jugées douteuses car, à notre avis, cette opération n’a pas été gérée de façon étudiée, des joueurs ayant été recrutés puis libérés, tels que les Mashumba, Bentiba, Ntouba, Gious et Madani, Mexès qui n’ont pas convaincu l’entraîneur français. Mezeghrani, Mahious et Benchaâ ne sont pas utilisés d’une manière régulière. Quant à Ibara, même s’il a tendance à imposer sa puissance physique, il n’en demeure pas moins que, techniquement, il est loin de répondre aux critères exigés pour porter le maillot de l’USMA, une équipe réputée par son jeu technique. Aussi, les Abdelaoui, Darfelou, Beldjillali, Belhacene, Farhi (prêté à la JSS), Hamzaoui et Hajhouj n’ont pas été remplacés. Là, l’USMA a commis l’erreur de tourner le dos à sa philosophie de club formateur. Concernant le staff technique, plusieurs techniciens, surtout étrangers, ont été pressentis ou contactés par le biais de managers avant la venue de Thierry Froger pour succéder à Miloud Hamdi dont on a précipité le départ en pleine compétition. En somme, on ne peut pas gagner un titre continental quand on ne possède même pas un stade et une vraie politique de gestion pour assurer l’avenir. On ne peut pas prétendre remporter une coupe d’Afrique quand on est incapable de battre des équipes modestes comme celle des Young Africans de Tanzanie. On peut leurrer l’opinion publique, mais jamais la réalité du terrain. Ne dit-on pas que « Celui qui n’ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile ? ».
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Kamel Mohamed
Le président de l’ES Sétif, Hassen Hammar, a indiqué qu’il a saisi « amicalement » le président de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar, pour lui faire part de son souhait de reporter le mach qui opposera son équipe à la JS Kabylie jeudi prochain. Il s’agit du match-phare de la 8e journée du championnat de Ligue 1 qui s’annonce difficile pour les deux équipes, lesquelles affichent une grande forme en ce début de saison. Hammar a précisé qu’il s’agit d’un «souhait», soulignant qu’il respecte toujours son engagement, à l’instar des autres clubs, de ne pas demander de report.Toutefois, il a estimé que la LFP pourrait se montrer compréhensible et accorder des circonstances atténuantes à l’ESS qui se déplacera en Egypte le 29 septembre prochain par vol spécial pour y disputer dans la capitale égyptienne le match aller de la demi-finale de la Ligue des champions d’Afrique contre Al Ahly d’Egypte. Il a fait savoir qu’il avait évoqué avec Medouar ce report quand ils étaient ensemble au Maroc, sachant que le président de la LFP a été désigné par la FAF pour diriger la délégation sétifienne à Casablanca à l’occasion du match retour des quarts de finale de la Ligue des champions d’Afrique contre le Widad de Casablanca. Hammar a indiqué qu’il a discuté avec Medouar d’un éventuel report du match contre la JSK. Pour rappel, le président de la LFP avait déjà affirmé qu’il n’y aura pas de report de match et aucune exception ne sera accordée à un club, de peur d’ouvrir une brèche et inciter d’autres clubs à demander des reports. Il s’agit d’une position de principe pour Medouar, dont la LFP aura à trancher quant au maintien ou au report du match opposant ce jeudi la JSK et l’ESS.
Un dur examen pour Medouar quand on sait que Hammar a fait valoir le caractère important du match contre Al Ahly du Caire, l’Entente étant le dernier représentant de l’Algérie dans les compétions africaines des clubs après l’élimination de l’USM Alger.
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M. Z.
Est-ce l’éclaircie au Mouloudia d’Oran ? C’est la question qui revient à l’esprit des fans. La dernière victoire sur le MCA a eu un impact considérable chez le MCO, mettant ainsi fin à plusieurs années de disette face à cet adversaire.La satisfaction réside dans la volonté et la détermination affichée par les Oranais depuis le départ de Badou Zaki. Mais l’objectivité nous oblige à dire que c’est loin de la perfection au sein de la formation oranaise qui a pleinement exploité les errements défensifs des Algérois. Dans le camp oranais, on considère que cette victoire, ô combien précieuse, est celle du renouveau. Mais cela exige une confirmation dès les prochaines retrouvailles face au CRB à Alger, d’autant plus que ce dernier sera privé de quelques éléments-clés, Nessakh, Sidibé et Djerrar (suspendus). Samedi dernier, le MCO, soutenu par son formidable public, a éprouvé les pires difficultés à tenir le rythme et à imposer son jeu. Pire encore, les Oranais ont été malmenés par les Algérois, qui sont parvenus à revenir au score après avoir été menés à la mi-temps par 3 à 1, donnant des sueurs froides aux supporters locaux. Sur le terrain, certains joueurs doivent faire preuve de discipline pour éviter de fâcheuses conséquences à l’avenir. A titre d’exemple, au milieu de terrain, le MCO a grandement besoin d’un régulateur de jeu. En tout cas, le MCO donne l’impression d’avoir retrouvé ses marques mais, il faut le souligner, sans être convaincant. C’est là où se situe le mal et c’est ce qui lui manque pour lui permettre d’exprimer ses qualités et mettre en doute l’adversaire.
Par ailleurs, concernant la venue d’un nouvel entraîneur, c’est le mutisme le plus total, le président Belhadj Ahmed garde inexplicablement le secret. Certains de ses proches nous ont fait savoir que le président ne veut pas se précipiter dans la mesure où, comme l’exige la FAF, il n’a droit qu’à une deuxième et dernière licence d’entraîneur. Evoquant la situation actuelle de son équipe, notamment la vacance du poste d’entraîneur, Baba a indiqué être en contacts avec deux entraîneurs pour succéder à l’ancien sélectionneur du Maroc. Il était prévu que le prochain coach du MCO sera connu après le match contre le MCA, mais jusqu’à l’heure actuelle, aucune nouvelle n’a filtré sur l’identité du successeur de Badou Zaki.
Des informations font état d’un éventuel retour de Cherif El Ouazani qui a l’intention, selon nos sources, de mettre fin à sa collaboration avec le CRB en raison des multiples problèmes qui secouent le Chabab avec en plus cette crise de résultats. Contacté par nos soins, ce dernier a confirmé l’information sans pour autant confirmer sa venue au MCO. « J’ai plusieurs contacts pour le moment, mais je refuse de tourner le dos au CRB de cette façon, on verra l’évolution de la situation. Je ne vous cache pas non plus que le MCO c’est chez moi et le club de cœur ne se refuse pas », nous a-t-il avoué, confirmant ainsi son approche avec le Mouloudia.
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Tayeb Zgaoula
En ramenant un point de son déplacement à El-Harrach face à l’USMH dans le dernier quart d’heure de la partie, les poulains de Kamel Mouassa restent aux basques du groupe de tête avec 9 points au compteur. De fait, c’est le troisième nul pour les coéquipiers de Adel Maiza, qui comptent renouer rapidement avec la victoire sur la pelouse de leur stade fétiche du 19-Mai 1956 pour chasser le doute. Il s’agit assurément d’une tâche difficile pour le groupe annabi face à une formation de l’ES Mostaganem qui carbure bien en ce moment, sans oublier l’absence du grand public, huis clos oblige. « La forte pression exercée sur le groupe a eu des répercussions sur le plan psychologique. Or, pour obtenir de bons résultats, l’USM Annaba a besoin de ses supporters. Il convient de se remobiliser autour de l’équipe pour éviter le doute et tout dérapage. Les joueurs doivent être encouragés pour consentir des sacrifices et être ainsi à la hauteur de la confiance placée en eux », estime le coach annabi. Et d’enchaîner : « Les débuts d’une compétition sont toujours difficiles.Il faut du temps et du travail pour parfaire la cohésion du groupe. Le huis clos a pénalisé les supporteurs ainsi que l’équipe », a-t-il souligné. Pour le prochain match, le technicien guelmi estime que « tous les matchs sont difficiles et la seule solution, c’est de négocier match par match, chacun d’eux ayant ses particularités », dira-t-il en conclusion.
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A. M.
«A ce train-là, le MOC s’achemine vers une crise inévitable dont l’entraîneur Mechehoud pourrait être la première victime », nous ont dit dimanche de vieux supporters du club, en commentant la rencontre des « Bleu et Blanc » disputée dimanche et perdue à Chelghoum Laïd face à l’équipe locale du Hilal. A l’issue de cette rencontre, les milliers de fans, qui s’étaient déplacés dans cette ville distante d’une cinquantaine de kilomètres de Constantine, ont ouvertement critiqué l’entraîneur et les joueurs. Car ils avaient espéré que leurs favoris allaient remporter une victoire facile contre ce team souffrant pourtant du manque de préparation et composé en outre à la hâte. Malheureusement, les poulains de Mechehoud, qui ont dominé sur tous les plans la partie, ont fait preuve d’une inefficacité qui a fait pleurer de rage les supporters. Dominant outrageusement leurs vis-à-vis, les camarades de Ghenaï ont gâché de nettes occasions et finiront par encaisser un but avant la fin de la rencontre. Pour Mechehoud que nous avons contacté dimanche, il s’agit uniquement de malchance. « Nous sommes poursuivis par la malchance, ce que les supporters ne veulent pas comprendre. La chance, il faut la provoquer et elle finira par vous sourire. Mais, en toute logique, nous pouvons remédier à ce phénomène négatif par le travail. D’autre part, moi, je pense qu’il ne faut pas mettre en cause la qualité de l’effectif que beaucoup d’équipes nous envient, car nos joueurs font preuve de volonté et d’efforts dans chaque match pour gagner et rendre heureux leurs supporters. Et cela a même été reconnu par nos adversaires et aussi par les connaisseurs qui ont vu l’équipe jouer pendant les trois rencontres du championnat que nous venons de disputer ». Courroucé par la réaction des supporters à son égard, Mechehoud a remis dimanche l’ouvrage sur le métier pour tenter de provoquer chez ses joueurs le déclic psychologique qui leur fait défaut.The post MO Constantine: L’efficacité, ce maillon faible appeared first on .
Abid Djebbar
L’IS Tighennif a réussi à récolter un point de son périlleux déplacement à Bouguirat au terme de la seconde journée du championnat inter-régions Ouest devant le CRM Bouguirat , le promu de ce groupe qui a bien préparé la période d’avant-saison. Les hommes de Yessad Mohamed, coach du CRM Bouguirat, ont joué l’attaque à outrance pour surprendre la défense de Tighennif et de prendre l’avantage, mais cette dernière veillait au grain et a su comment se surpasser dans ce domaine, repoussant tous les assauts de l’équipe locale soutenue par ses supporters. Les Tighenifois se sont contenté de ce point du nul devant un adversaire coriace et soignent leur classement, en restant sur les talons du groupe de tête.On notera que, pour le compte de la prochaine journée, l’IST recevra le CRB Hennaya, une équipe mal lotie dont il faudra justement se méfier. Ce n’est qu’à cette condition que les gars de l’Idéal pourraient conserver l’espoir de participer à la lutte pour le titre.
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Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, présidera demain une nouvelle réunion du Conseil des ministres, a appris ALG24 de source bien informée.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, présidera demain une nouvelle réunion du Conseil des ministres, a appris ALG24 de source bien informée.
Cette nouvelle réunion du Conseil des ministres sera consacrée à l’examen del’avant-projet de la loi de finances 2019,précise notre source.La première mouture de la loi de financespour 2019, dont ALG24 a révélé plusieurs dispositions, ne prévoit pas de grands changements. Par ailleurs, elle revoit à la forte hausse le budget de fonctionnement de l’Etat, avec une rallonge de plus de 100milliards de dinars au ministère de la Défense nationale.
Cette nouvelle réunion du Conseil des ministres sera consacrée à l’examen de l’avant-projet de la loi de finances 2019,précise notre source.La première mouture de la loi de finances pour 2019, dont ALG24 a révélé plusieurs dispositions, ne prévoit pas de grands changements. Par ailleurs, elle revoit à la forte hausse le budget de fonctionnement de l’Etat, avec une rallonge de plus de 100 milliards de dinars au ministère de la Défense nationale.
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La paix n'est pas un vain mot, c'est un comportement, a su si bien dire feu Houphouët Boigny. Et il n'y a rien de plus malléable que d'agir sur le comportement des tout petits enfants. C'est ce qu'a compris Wanep Bénin qui a profité de la journée internationale de la paix pour inculquer à ces âmes innocentes les notions de la culture de la paix en milieu scolaire. Grâce a l'appui financier de GIZ, cette activité a pu se tenir à Grand-Popo, le vendredi 21 septembre 2018.
Commencer par apprendre aux tout petits enfants à adopter des comportements pacifiques. Tel est le but poursuivi par Wanep-Bénin qui a initié cette séance d'échanges avec les écoliers de Grand Popo. Pour Bienvenue Kassehin, chargé de programme à Wanep Bénin et formatrice des enfants sur l'importance de la culture de la paix par le truchement des dessins et autres, il urge qu'à travers les divers jeux d'éveil, les enfants apprennent à cultiver la paix autour d'eux. Le choix des enfants n'est pas un hasard car il est plus facile d'agir sur eux et de leur inculquer les valeurs premières en matière de la culture de la paix. Innocents, les enfants sont plus captifs, plus accessibles à ces notions et pourront les mettre en pratique aussi facilement plus tard. Et quand on sait qu'avec les activités ludiques, les enfants apprennent et retiennent plus vite, cette approche proposée par Bienvenue Kassehin ne pourra que donner de bons fruits. Victorin Modogoï, chef région pédagogique 31, quant à lui, a exhorté les enfants à adopter des aptitudes conduisant à la paix. ''Mes chers apprenants, cherchez toujours à régler vos différents par la voie pacifique'', leur a-t-il conseillé.
Il va sans dire que Wanep Bénin a compris que s'il faille changer quelque chose dans le monde en matière de paix durable, il faudrait donc agir sur la conscience des enfants dès leur bas âge. Et cette activité n'est qu'un pas pour donner la voie à suivre aux éducateurs à divers niveaux. Car aucun développement n'est possible sans la paix.
Cokou Romain COKOU
L'affaire ayant entraîné la disqualification des Écureuils Cadets à la CAN U17 vient de faire d'autres victimes.
Le premier adjoint au maire de la ville de Parakou, Ibrahim Mama Chabi, a été mis sous convocation après son audition, ce lundi 24 septembre 2018. Plusieurs chefs d'arrondissements seraient également cités dans cette affaire.
Par ailleurs, le Chef d'arrondissement (CA) d'Adjohoun ainsi que le Secrétaire général sont sous mandat de dépôt.
Les enquêtes se poursuivent pour interpeller les élus locaux et autres responsables d'état civil impliqués dans ce dossier.
Le procureur de la République a ouvert une information judiciaire aux fins de connaître cette affaire de fraude, faux et usage de faux et complicité ayant entraîné la disqualification de l'équipe cadette de football à la CAN U17.
Plusieurs joueurs, des responsables de la Fédération béninoise de football et autres personnes sont déjà en prison dans ce dossier.
F.A.A.