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Afrique

SAAFI, premier symposium du genre : Experts et banquiers au chevet de la finance islamique

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:42
Écrit par Rachid Bouarroudj

La finance islamique et ses perspectives d’avenir seront au cœur d’un symposium, premier du genre, qui se tiendra le 24 novembre à Alger, au palais de la Culture. Placée sous le thème «Apports de la finance islamique à l’économie nationale, enjeux et opportunités», cette manifestation ouvrira ses portes à toutes les parties prenantes du secteur de la finance et de l’assurance, dans l’objectif de leur permettre de rencontrer des experts aussi bien nationaux qu’étrangers venus de neuf pays.

Au programme, des conférences touchant à divers aspects de la thématique, animées par 25 conférenciers qui se succéderont à la tribune. Parmi eux, ceux venus de huit pays (Tunisie, France, Maroc, Emirats arabes unis, Malaisie, Bahreïn, Sénégal, Arabie Saoudite, Grèce), aux côtés de nombreux nationaux représentant des institutions, des établissements financiers, des banques, la Bourse d’Alger, ainsi que des compagnies d’assurance, dans le but d’établir un benchmark par pays sur les différentes expériences observées à travers le monde, succès ou échecs, dans l’implémentation de la finance islamique, pour en tirer les meilleurs enseignements et mesurer ses retombées et ses apports à l’économie nationale. En Algérie, l’intérêt des autorités pour la finance islamique s’est accru à mesure que grandissait le besoin pour le pays de trouver de nouvelles sources de financement de l’économie ; notamment par la captation de l’argent informel qui échappait au circuit bancaire formel. Après le «succès» relatif de l’inclusion financière, les autorités monétaires, à leur tête la Banque d’Algérie, se sont tournées vers la finance islamique afin de convaincre une partie de détenteurs de capitaux réfractaires au système moderne financier pour des considérations religieuses. Or, la finance islamique, selon ses propres acteurs, ne représente, jusqu’à aujourd’hui, que 3% du chiffre d’affaires de l’activité bancaire. Récemment, la Banque d’Algérie s’est attelée à l’élaboration d’un nouveau régime juridique qui permettrait aux banques publiques de commercialiser des produits de la finance islamique. L’annonce en avait été faite par le ministre des Finances, M. Raouya, en réponse à une question orale, lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), sur les raisons du gel de l’émission de produits islamiques dans les banques publiques. En effet, à la fin de 2017, trois banques publiques (Cnep, BADR et BDL) devaient lancer chacune leurs offres, mais l’opération n’a pas semblé faire des émules. Elle a été simplement suspendue et assujettie à un nouveau régime sur le financement alternatif ou la finance islamique, visant à encadrer l’activité des fenêtres des produits financiers islamiques au niveau des banques publiques. Un cadre juridique organisationnel qui aidera à élargir les transactions financières islamiques, notamment en émettant des emprunts souverains et la création de mutuelles d’assurance et de réassurance, est toujours en cours d’élaboration. En attendant, le premier symposium de l’assurance et de la finance islamique (SAAFI 2018) tâchera de faciliter les efforts des pouvoirs publics dans leur rôle d’intégrer les produits de la finance islamique, conformes aux préceptes de l’Islam, dans le système financier national en vue de l’élargissement de la bancarisation et l’inclusion des ressources financières disponibles. Rendez-vous est donc donné les 24 et 25 novembre prochains.

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Le taux d’inflation s’établit à 4,5% : La planche à billets sans effet

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:40

Écrit par Farid Messaoud

Les mesures d’austérité prises par les gouvernements qui se sont succédé ces quatre dernières années, ainsi que la mise en œuvre de la planche à billets n’ont pas donné lieu à des tensions inflationnistes. Le dernier indice des prix à la consommation le montre clairement.

Cet indice, qui mesure l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel, a été de 4,5% jusqu’à octobre 2018. L’évolution des prix à la consommation en rythme annuel à octobre 2018 est le taux d’inflation moyen annuel calculé en tenant compte des 12 mois allant de novembre 2017 à octobre 2018 par rapport à la période allant de novembre 2016 à octobre 2017.
La variation mensuelle des prix à la consommation, c’est-à-dire l’évolution de l’indice du mois d’octobre 2018 par rapport à celui du mois de septembre 2018, est, elle, minime, se situant à 1,2%. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont subi une hausse de 2,4% en octobre par rapport à septembre dernier. Ainsi, les prix des produits agricoles frais ont augmenté de 4,9% en octobre par rapport à septembre 2018. Mais une analyse produit par produit indique que l’inflation est plus ou moins marquée, et que la variation est importante.
Celle-ci est due, essentiellement, à une hausse des prix des fruits (+15,7%), des légumes (+12,6%), de la viande de poulet (+5,6%) et des œufs(+6%). A l’inverse de la tendance observée au rayon fruits et légumes, l’inflation des prix des produits alimentaires industriels (agroalimentaires), s’est quelque peu atténuée. Ainsi, les prix ont connu une baisse modérée de 0,1%, alors que ceux des produits manufacturés ont enregistré une variation haussière légère de 0,3%. Les prix des services ont connu une relative stagnation. Par groupe de biens et services, les prix du groupe habillement-chaussures ont connu une hausse de 0,6%, tandis que ceux de l’éducation, culture, loisirs ont augmenté de 0,4%. Le groupe produits divers a, quant à lui, observé une variation haussière de 0,5%, tandis que le reste des groupes de produits s’est caractérisé, soit par des variations modérées, soit par des stagnations. L’inflation est, de manière générale, une conséquence d’un déséquilibre réel de l’économie. Certains la lient à la demande, d’autres aux coûts de production, donc à l’offre. On parle ainsi de l’inflation par la demande lorsque, globalement, la demande de produits excède durablement l’offre sur les marchés. Résultat : les prix grimpent. L’excès de demande peut avoir plusieurs origines : accroissement des dépenses publiques avec déficit budgétaire ; accroissement des dépenses de consommation des ménages… Quant à l’insuffisance de l’offre, elle peut résulter de différents facteurs : insuffisance des stocks ou inélasticité de la production ; blocage des importations… D’autres facteurs interviennent aussi dans l’évolution des tendances inflationnistes comme la masse monétaire, les baisses du taux de change (et c’était le cas pour le dinar et cela a été constaté depuis plusieurs mois) et les importations… Ces derniers éléments n’ont eu cependant qu’un impact marginal sur l’inflation, puisque les importations ne représentent que 25% dans le calcul de son taux alors que l’inflation dans les pays partenaires a été beaucoup plus faible qu’en Algérie et que la masse monétaire est restée relativement stable… L’inflation a atteint 5,6% en 2017, contre 6,4% en 2016 et 4,8% en 2015. Il importe de rappeler que, dans son dernier rapport, le Fonds monétaire international (FMI) a relevé que le financement monétaire de l’économie algérienne ne s’est pas traduit par une poussée inflationniste.
Le Fonds a maintenu ses prévisions sur l’inflation à 6,5% en 2018 et à 6,7% en 2019, des taux qui sont en baisse par rapport à ses projections d’avril dernier.

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15e journée : l’USMBA n’est plus relégable, l’ESS dans le dur

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:37

L’USM Bel Abbès a réussi à quitter la zone rouge après avoir battu le CR Belouizdad (1-0), ce jeudi en match comptant pour la suite de la 15e journée de la Ligue 1. De son côté, le MO Béjaia a réappris à gagner lors de la réception de l’ES Sétif (1-0).

Longtemps plongée dans les abymes du classement, l’USM Bel Abbès est parvenue à sortir la tête de l’eau en enchainant deux victoires de suite. Après avoir joué un mauvais tour au MC Alger (0-1), l’USMBA a fait l’essentiel face au CR Belouizdad (1-0).

Dans ce duel des mal-classés, seule la victoire compte car la manière de gagner importait peu. Les Belabessiens ont pris l’ascendant très tôt en scorant sur penalty à la 7e minute par Thabti.

Cette victoire, ô combien précieuse, permet aux capés de Bouzidi de grimper à la 13e position (15 pts). Pour sa part, le CRB reste bon dernier avec seulement 10 points dans son escarcelle.

Toujours dans la lutte pour le maintien, le DRB Tadjenanet, premier relégable (14e – 14 pts), a fait lui aussi une bonne opération en battant le Paradou AC (1-0). Plus entreprenant que son adversaire du jour, le Difaâ a été récompensé à la 70e minute suite au but inscrit par Terbah, auteur d’une très belle reprise de volet du gauche.

Le MOB réapprend à gagner

A Béjaia, le mouloudia local a fini par mettre un terme à sa série de 5 matchs sans victoire, lors de la réception de l’ES Sétif (1-0). Même si le score ne traduit pas réellement la physionomie du match, les Crabes ont réalisé le plus important face à une équipe de l’Entente en proie au doute.

Les retrouvailles de Khiereddine Madoui avec son ancienne équipe ont tourné à l’avantage de ce dernier, même si la victoire a mis du temps pour se dessiner. En effet, il a fallu attendre l’heure de jeu pour assister à l’unique but de cette confrontation, scoré par Aibout (60’).

Mathématiquement, le MOB engrange son 18e point et se replace dans le ventre mou du classement (10e). Pour sa part, l’ESS (5e – 21 pts) enchaine avec une troisième défaite de suite et s’enfonce dans une crise de résultats.

Lors de la première partie de cette 15e journée de la phase aller, jouée jeudi, le NA Hussein Dey a pris le meilleur sur le MC Oran (1-0), tandis que les deux autres parties, AS Ain M’lila – MC Alger et JS Saoura – O Médéa, n’ont pas connu de vainqueur.

De son côté, l’USM Alger s’est assurée de terminer en tête du classement général à l’issue de la phase aller suite à son succès engrangé à domicile face au CS Constantine, en match avancé joué le 15 novembre dernier.

Cette 15e et dernière manche de la phase aller connaitra son épilogue ce vendredi avec le déroulement du match CA Bordj Bou Arreridj – JS Kabylie. La partie est prévue à huis clos au stade du 20 Aout 1955 (16h00) de Bordj Bou Arreridj.

Résultats des rencontres :

USM Bel Abbès – CR Belouizdad             1 – 0

DRB Tadjenanet – Paradou AC                 1 – 0

MO Béjaia – ES Sétif                                 1 – 0

NA Hussein Dey – MC Oran                      1 – 0

AS Ain M’lila – MC Alger                            1 – 1

JS Saoura – O Médéa                                0 – 0

USM Alger – CS Constantine                     2 – 1

Vendredi (16h00) :

CA Bordj Bou Arreridj – JS Kabylie (huis clos)

Mohamed Kermia

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Action de solidarité «Yed fel yed»: 30 wilayas prendront part à la Chaine humaine

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:36

La traditionnelle « Chaîne humaine » de lutte et de sensibilisation contre le Sida, «Yed Fel Yed» (main dans la main) revient, cette année, avec  un programme varié et avec la participation d’un grand nombre d’acteurs.  

Le rendez-vous pour cette 9ème édition est pris le 30 novembre à 9h du matin sur l’esplanade de Ryad el Feth et le 1er décembre à la salle Atlas pour l’organisation d’un gala artistique.

Wahida Salem Chérif, présidente de l’association Zahra, a annoncé, lors de son passage, mardi 20 novembre, dans l’émission service public de la radio Chaine 3, que le nombre de wilayas participant à cette activité est passé de 15 à 30 wilayas.

Participer à la chaîne humaine, une meilleure façon de rendre hommage à Yazid Ait Hamadouche

L’invité de l’émission n’a pas manqué l’occasion de rendre un hommage chargé d’émotion et de reconnaissance à Yazid Ait Hamadouche, l’un des fondateurs de cette action de solidarité.

«C’est très difficile de préparer cet événement sans la présence de Yazid, sans son énergie et son engagement», regrette avec beaucoup d’émotion Mme Salem Chérif qui appelle ceux qui veulent rendre hommage au célèbre animateur de la Chaîne 3, décédé le 28 août dernier à Alger à perpetuer la tradition qu’il avait fondé. «Il a toujours été le maestro de cette action, le meilleur hommage à lui rendre c’est de porter son combat», déclare l’invitée de l’émission.

Une chaîne virtuelle, en attendant la chaîne humaine

Sur les réseaux sociaux, une chaîne virtuelle s’est déjà constituée avec plus de 9000 abonnés sur la page facebook du collectif «Yed f el Yed». Des jeunes épris de solidarité publient des photos et postent des vidéos portant des messages de sensibilisation à cet événement, désormais, incrusté dans le calendrier des actions de solidarité nationale.

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Tunisie : une grève paralyse la fonction publique pour des revendications salariales

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:32

La Tunisie est paralysée, depuis jeudi matin, par une grève générale de la fonction publique, pour des revendications salariales, à l’appel de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), le principal syndicat du pays.

Dans une déclaration à l’agence officielle de presse tunisienne (TAP), la Secrétaire général adjoint de l’UGTT chargé de la fonction publique, Monem Amira a estimé le taux de suivi de la grève à 95%.

C’est la première grève de cette ampleur depuis 2013, et selon l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), la première menée par la seule fonction publique dans l’histoire du pays.

Les fonctionnaires tunisiens, représentant plus d’un sixième des travailleurs du pays, réclament des augmentations salariales.

Selon les observateurs, la grève de l’UGTT constitue un fort message de défiance au gouvernement à l’approche d’élections nationales.

Grève de la fonction publique en Tunisie – Analyse du journaliste tunisien Anis Mourî, contacté par Faiza El Kenz de la Chaine 3

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Dédoublement du tronçon Cheraga-Ain Benian: le déplacement des réseaux enterrés à l’origine du retard des travaux

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:29

ALGER – Des difficultés liées au déplacement des réseaux enterrés (électricité, gaz et eau) sont à l’origine du ralentissement de la cadence des travaux du dédoublement de la route wilayale numéro 11, reliant Cheraga à Ain Benian (Alger), a-t-on appris jeudi auprès du Directeur des travaux publics de la wilaya d’Alger, Abderrahmane Rahmani.

Les travaux du dédoublement de la route wilayale numéro 11, dite la route du Plateau, reliant Cheraga à Ain Benian (Alger) lancés en septembre de l’année dernière pour un délai de 16 mois ont été retardé par des difficultés liées au déplacement des réseaux enterrés (électricité, gaz et eau), a indiqué à l’APS M. Rahmani.

Soulignant que la régularisation de la situation des propriétaires objet d’expropriation pour utilité publique était également à l’origine de ce retard, il a assuré que les travaux connaitront une accélération pour la livraison du projet le plus rapidement possible dés la finalisation des procédures juridiques et administratives et le déplacement par Sonalgaz des réseaux enterrés.

Le dédoublement de ce tronçon sur 8Km permettra de désengorger la circulation routière au niveau de Chéraga et en direction de la route wilayale numéro 41 vers Ain Benian. Une enveloppe de 50 milliards de centimes a été allouée à ce projet.

Les différents projets routiers à Alger connaissent un taux d’avancement de plus de 90% et 5 grands projets devront être  réceptionnés avant fin 2018.

La capitale devra être renforcée par plusieurs axes routiers avant la fin de l’année en cours dont l’échangeur de Zeralda, à proximité du CET Hamici, et l’échangeur de la RN67 menant à Kolea.

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Boumerdes: une production prévisionnelle de 15.000 tonnes de poissons/an en 2020

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:23

BOUMERDES – Une production de 15.000 tonnes de poissons/an est attendue à Boumerdes dans le cadre de la mise en exploitation de quelque 32 projets d’investissement en aquaculture, adoptés au titre de la stratégie nationale de développement de l’aquaculture, s’étalant de 2014 à 2020, a-t-on appris jeudi auprès de la direction de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya.

L’entrée en exploitation de ces projets, visant le développement de l’aquaculture en tant qu’alternative à la régression persistante de la production halieutique, est attendue pour le « début de l’année prochaine », a indiqué à l’APS Kadri Cherif.

Ces projets s’ajouteront à six autres dans la filière aquacole, entrés en exploitation ces dernières années, a-t-il précisé.

M.Kadri a signalé l’implantation de ces projets dans une vingtaine de sites, mis à la disposition des investisseurs, au niveau des trois barrages de la wilaya (Keddara Bouzegza, Beni Amrane et El Hamiz), des embouchures des cours d’eau, des grands bassins hydriques, des retenues collinaires (naturelles et artificielles) et du littoral de la région, qui peuvent accueillir, à l’occasion, des cages flottantes ou des opérations d’ensemencement en alevins.

D’autres projets d’investissement similaires sont également prévus au niveau de la zone d’activités spécialisée dans les métiers de la pêche et de l’aquaculture de Zemmouri El Bahri, dés parachèvent de son aménagement et équipement, a-t-il fait savoir.

Parmi ces projets ayant bénéficié du droit de concession depuis 2010, le même responsable a cité les fermes d’élevage de daurade (400 tonnes/an) et de moules (120 tonnes/an) ans des cages flottantes respectivement dans la région de Sghirate, sur le littoral de la ville de Boumerdes, et à Cap Djinet.

La ferme d’élevage aquacole en eau de mer de cap Djinet, entrée progressivement en production, demeure, néanmoins, le plus important projet en la matière à Boumerdes. Selon les objectifs qui lui sont fixés, ce projet devrait produire, une fois achevé, près de 1.500 tonnes/an de daurades et de moules.

Les autres projets d’élevage en cages flottantes « partiellement exploités » sont localisés sur le littoral de Zemmouri El Bahri et le lieu-dit « les Salines » du littoral de Dellys, où des fermes aquacoles sont en réalisation, en vue d’assurer une production moyenne de 200 tonnes de moules/an.

L’autre enjeu futur de la valorisation de la filière aquacole consiste dans son intégration dans la fertilisation des superficies agricoles par l’ensemencement en alevins des plans d’eau destinés à l’irrigation agricole, a souligné M. Kadri.

A ce jour, il a été procédé, à cet effet, au lâchage de près de 100.000 alevins dans des bassins d’irrigation agricole, a-t-il signalé.

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Oran: appel à la labellisation de la « Clémentine-Misserghine »

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:22

Le président de la chambre d’agriculture de la wilaya d’Oran a appelé jeudi à la labellisation de la « Clémentine-Misseghine », produit du terroir par excellence.

« Nous allons soumettre dans les tout prochains jours, dans le cadre de la valorisation des produits agricoles, au ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, un dossier de la ‘’Clémentine-Misserghine’’, un produit de terroir qui remplit tous les critères pour son éligibilité à sa labellisation », a indiqué à l’APS Hadj Meftah Brachemi, en marge de la « fête de la Clémentine-Misseghine ».

Lors de cette manifestation, la première du genre organisée à la place publique de Misserghine, commune située à l’ouest de la ville d’Oran, il a rappelé la labellisation de trois autres produits ayant un signe distinctif de qualité, à savoir « la figue de Beni- Maouche », la datte « Deglet Nour » et l’olive « la Sigoise ».

Cet agrume porte le nom du père Clément qui a réussi à Misserghine un croisement entre la mandarine et le bigaradier (porte-greffe), a-t-on expliqué de même source.

« Nous devons réhabiliter le verger agricole de manière générale et particulièrement la clémentine de Misserghine », a enchainé le directeur des services agricoles de la wilaya, Tahar Kadi, dans une déclaration à l’APS, tout en déplorant le fait que la superficie agrumicole a régressé ces dernières années notamment avec l’arrachage des vielles plantations (plus d’un siècle) et la remontée des sels.

« Une situation qui nous a incité à planter des agrumes, dans le cadre de la concession avec le concours des investisseurs, dont deux porteurs de fonds et de projets ainsi que des propriétaires de la région depuis plus de trois années », a ajouté le même responsable, assurant que pas moins de 80 hectares ont été plantés pour augmenter la surface agrumicole.

Le secrétaire général de la chambre de l’agriculture d’Oran, Lahouari Zeddam, a, de son coté, mis en avant les potentialités agrumicoles des communes de Misserghine et Boutlélis qui renferment, à elles seules, près de 66 % de la superficie agrumicole de la wilaya (275 ha), ainsi que la qualité des variétés « Clémentine », « Thomson Navel », « Washington Navel », « Double fine », « Sanguine » et « Portugaise », estimant nécessaire la récupération des points d’eau, au nombre de huit situés dans les vergers agrumicoles, qui servaient auparavant aux besoins domestiques des populations rurales et aujourd’hui fermés depuis deux années.

Ces puits pourront servir à l’irrigation pour l’extension des superficies en priorité les agrumes, a-t-il expliqué, déplorant la baisse des superficies, qui est passée de 600 à 275 ha à cause de certains impondérables liés également à l’organisation de la filière agrumicole.

Abdelhakim Tahraoui, un agrumiculteur de père en fils, propriétaire d’une exploitation à Misserghine, a estimé qu’il était temps de valoriser les produits agricoles dont la Clémentine de Misseghine, avec en prime l’élargissement des étendues. « Nous disposons d’un savoir-faire et d’une main d’œuvre jeune, qualifiée et qui peut relever le challenge, celui d’exporter », a-t-il affirmé.

C’est le cas de Salem Hamada, un agrumiculteur qui dispose d’une pépinière au niveau d’une exploitation agricole à Misseghine qui a exposé des produits de qualité distinctifs dont la clémentine, le citron sucré, pamplemousse royale, Mandarine et autres variétés « qui méritent d’être préservées », a-t-on soutenu.

Une quarantaine d’exposants parmi les agrumiculteurs, des institutions de formation spécialisée, à savoir l’institut technique de protection de végétaux (INPV) de Misserghine (Oran), l’institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITFVA) de Mohammadia (Mascara), ainsi que d’autres structures financières (CRMA et BADR) ont pris part à cet évènement.

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Hasbellaoui: de nouveaux équipements médicaux pour Tamanrasset et Béchar en 2019

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:21

ALGER – Le ministre de le Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui a annoncé jeudi à Alger la dotation des établissements hospitaliers des wilayas de Tamanrasset et de Béchar de nouveaux équipements médicaux en 2019.

Répondant aux préoccupations des députés des deux wilayas concernant le manque en équipements médicaux et en ressources humaines lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire nationale consacrée aux questions orales, M. Hasbellaoui a affirmé que « la wilaya de Tamanrasset, qui dispose de deux scanners seulement au niveau de l’établissement hospitalier du Chef-lieu de la wilaya et de celui de Ain Salah, « bénéficiera en 2019 d’équipements d’un montant de 50 millions de dinars, outre l’acquisition de 10 ambulances, 5 véhicules légers médicalisés (VLM) et 5 véhicules frigorifiques destinés au transport des vaccins et sérums ».

La wilaya sera renforcée également, a-t-il dit, par de nouveaux établissements hospitaliers se trouvant actuellement en cours de réalisation avec une capacité d’accueil de 120 lits à Ain Salah, 60 lits à Ain Guezzam et 60 autres à Tin Zaouatine, outre des polycliniques, un établissement hospitalier spécialisé dans la psychiatrie d’une capacité d’accueil de 120 lits, un appareil d’imagerie à résonance magnétique (IRM) et un autre pour la radiothérapie au profit des cancéreux, en vue de réduire les déplacements des malades vers d’autres wilayas.

Après avoir rappelé les structures dont dispose la wilaya, le ministre a cité les ressources humaines disponibles, à savoir 148 médecins généralistes et 520 agents paramédicaux, annonçant l’ouverture de nouveaux postes d’emploi pour renforcer la wilaya en médecins spécialistes dans le cadre du service civil.

Concernant l’état critique des établissements de santé dans la wilaya de Béchar, notamment en termes de ressources humaines et d’équipements médicaux, M. Hasbellaoui a affirmé qu’en dépit de la garantie d’une formation continue des facultés de médecine depuis l’indépendance à ce jour, 50% des ressources humaines « exercent dans le secteur public, alors que les 50% autres s’orientent vers le secteur privé ou l’étranger ».

Répondant à une question sur le retard accusé dans la réalisation d’un établissement hospitalo-universitaire (CHU) dans la wilaya, annoncé auparavant par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le ministre de la Santé a indiqué que le Gouvernement avait affecté les fonds nécessaires pour la concrétisation de ce projet, ajoutant que les autorités locales procédaient actuellement à l’aménagement du sol deant abriter cette structure et à l’application des mesures administratives idoines pour le lancement des travaux de réalisation de ce pôle destiné à la formation, à la recherche et au traitement.

Dans le cadre de la coopération entre les ministères de la Santé, de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, le ministre a annoncé que trois régions avaient été choisies pour assurer la formation à distance au profit des praticiens des régions sud du pays.

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Ouverture de la 9ème édition du Salon Djurdjura des arts plastiques

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:19

TIZI-OUZOU – La 9ème édition du Salon Djurdjura des arts plastiques placée cette année sous le thème « Sur le chemin de tajmaât », s’est ouverte jeudi à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, avec la participation d’une cinquantaine d’artistes de la wilaya.

La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de l’artiste Denis Martinez, auquel est dédiée cette édition, qui n’a pas caché sa « joie de se retrouver encore une fois en ce lieu (la maison de la culture) » où un grand espace lui a été exclusivement réservé pour exposer ses différentes créations, tableaux et fresques, retraçant son parcours.

Retraçant sa trajectoire à travers ses œuvres qui expriment « la diversité de l’Algérie », l’artiste a plaidé pour « l’émergence de capitales culturelles à travers toutes les wilayas du pays » pour permettre « l’expression de l’algérianité dans sa diversité et le partage entre les artistes et les Algériens ».

Dans son allocution d’ouverture, la directrice locale de la culture, Nabila Goumeziane, a indiqué que le salon demeure « un forum de rencontres et d’échanges entre artistes » et « revêt une importance particulière dans la mesure où il recherche à maintenir une dynamique permanente de création dans le domaine des arts plastiques au niveau de notre wilaya ».

Outre des expositions, ventes-dédicaces, ateliers et plusieurs autres activités, le salon sera ponctué par une table ronde qui sera animée dimanche 25 novembre par les artistes plasticiens, Ouchene Smail, Karim Sergoua et Abdelhalim Kaibeche. Elle sera suivie d’une conférence-débat ayant pour thème « Le rêveur d’impossible : Denis Martinez dans l’aventure du raconte-Arts » qui sera donnée par Hacène Metref et Youcef Merahi.

Des activités destinées à la frange juvénile sont également au programme de cette manifestation, à l’exemple des ateliers de calligraphie, de peinture, de dessin et de lecture qui seront toutes dédiées au thème de Tajmaât et qui seront animées par plusieurs artistes.

Né en 1941 à mers-El Hadjadj, Denis Martinez est l’un des plus importants artistes algériens contemporains. Après une carrière d’enseignants à l’école des Beaux-arts d’Alger de 1963 à 1993, il s’exile en France où il initie plusieurs manifestations culturelles portant sur la culture algérienne. « Culture algérienne, cultures vivantes » en 1995, « Expressions algériennes contemporaines » en 2000 et « Jonctions Djazair » en 2003.

En 2004, il est l’initiateur, avec Hassan Metref et salah Silem, du festival nomade Raconte-Arts qui sillonne depuis, chaque été, un des villages de la wilaya de Tizi-Ouzou. Il se lança également, à la même période, dans une aventure qui l’a amenée à intervenir régulièrement avec des « créations éphémères », en compagnie d’autres artistes, à travers des Tajmaâts de plusieurs villages de la Kabylie.

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Report de plusieurs projets culturels à Béjaïa pour des considérations financières

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:18

Le ministre de la Culture, Azeddine Mihoubi a affirmé, jeudi à Alger, que plusieurs projet culturels dans la wilaya de Béjaïa avaient été reportés pour des « considérations financières ».

Le secteur de la culture s’emploie à pallier le manque en infrastructures culturelles dans la wilaya de Béjaïa en y inscrivant plusieurs projets « en cours de réalisation et dont la livraison est prévue pour 2019 », à l’instar de la réhabilitation de l’ancien tribunal de Béjaïa, converti en conservatoire, a indiqué M. Mihoubi lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN), présidée par Mouad Bouchareb et consacrée aux questions orales.

Dans le même contexte, le ministre de la culture a cité d’autres projets réalisés récemment dans cette wilaya, à l’instar de la bibliothèque principale de Béjaïa et le cinéma de Kherrata.

La wilaya de Béjaïa compte 38 monuments historiques et archéologiques, a rappelé le ministre ajoutant que l’ancienne ville avait été classée secteur sauvegardée depuis 2013.

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Problème technique sur nombre de DAB: 90% des clients ont restitué les montants indus

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 21:17

La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du numérique, Houda Imane Feraoun, a indiqué, jeudi, que 90% des clients d’Algérie Poste, ayant retiré des sommes ne leur appartenant pas suite à un problème technique survenu au niveau de nombre Distributeurs automatiques (DAB) les avaient restitué « volontairement ».

« 90% des clients d’Algérie Poste, ayant retiré des sommes ne leur appartenant pas suite à une panne technique au niveau de nombre distributeurs automatiques (DAB) les avaient restitué volontairement et les citoyens qui ne l’ont pas fait ont été contactés par SMS », a précisé la ministre lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, tenue sous la présidence de Mouad Bouchareb.

Affirmant que pour les réfractaires, « ces sommes seront débitées de leurs comptes CCP (Compte courant postal) », elle a affirmé que cette procédure s’inscrit dans le cadre des prérogatives légales de l’entreprise Algérie Poste.

La ministre a assuré que les fonds retirés d’Algérie Poste suite à cette panne technique « ne représentent pas une grande masse monétaire », précisant que le problème technique, qui a duré trois jours, sur certains DAB, à « un dysfonctionnement entre le système de paiement électronique par la carte Edahabia et le système central des comptes CCP, qui a cessé de fonctionner pendant 30 secondes au lieu de 3 secondes, suite à quoi, les opérations de retrait se sont multipliées spontanément, en raison de cette erreur de programmation, a-t-elle dit.

La ministre a affirmé que son secteur s’emploie à éviter la survenue de telles pannes techniques qui affectent souvent les différents systèmes informatiques, et ce, en veillant à « assurer une formation continue aux ingénieurs du secteur », a-t-elle soutenu.

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Affaire Khashoggi: la France adopte des sanctions contre 18 Saoudiens (Affaires étrangères)

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 11/22/2018 - 21:00
Romandie News - La France a adopté des sanctions contre 18 ressortissants saoudiens soupçonnés d'implication dans le meurtre du journaliste...
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Mauritanie-Pêche-FiTi : Dernière ligne droite pour le GNM avant le dépôt de candidature du pays

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 11/22/2018 - 20:16
Mauriweb - Le Groupe national multipartite (GNM) est en conclave depuis jeudi pour passer en revue les documents susceptibles de permettre à la...
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Algérie-Mauritanie : comment sécuriser l’immense frontière entre les deux pays ?

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 11/22/2018 - 19:30
Algérie Monde Infos - La frontière entre l’Algérie et la Mauritanie étant immense, le contexte étant marqué par l’explosion du terrorisme...
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Nouakchott King’s obtient un précieux succès devant la police (2-1)

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 11/22/2018 - 18:45
RIM Sport - Les hommes de Pape Seck se sont mis en confiance avant leur match de la coupe de la confédération , en battant l'Asc Police sur la...
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Affaire Khashoggi : Erdogan pourrait rencontrer le prince héritier saoudien en marge du G20

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 11/22/2018 - 18:00
Jeune Afrique - Le président turc Recep Tayyip Erdogan pourrait rencontrer le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohamed Ben Salman, en marge du...
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Katrina Sharkey au contact des bénéficiaires à Tchaourou et Savè

24 Heures au Bénin - Thu, 11/22/2018 - 17:44

La journée de mercredi 21 novembre 2018, fut remplie pour certains bénéficiaires du Projet Emploi des Jeunes (PEJ), financé par la Banque mondiale au Bénin. Et pour cause, ils ont reçu une visite de marque. Il s'agit de la Représentante résidente de la Banque mondiale au Bénin, Mme Katrina Sharkey, qui est allée prendre contact avec lesdits bénéficiaires et s'enquérir de l'évolution de leurs activités.

C'est la tisserande Mariam Chabi Olou, qui a accueilli à Tchaourou, la délégation conduite par la Représentante résidente de la Banque mondiale au Bénin.
Elle est l'une des bénéficiaires de la subvention de 200.000 francs CFA pour développer des activités génératrices de revenus dans les secteurs de l'artisanat, du tourisme et de la transformation agricole.
Un projet visant à permettre à 17.000 jeunes Béninois de se lancer dans la vie active.
Mme Sharkey a longuement échangé avec la tisserande pour mieux comprendre ses motivations, l'organisation qu'elle met en place pour optimiser son activité et la transformation que la subvention a apportée dans son travail et dans sa vie.
Mariée et mère de cinq (05) enfants, Mariam Chabi Olou est installée à Okélagba, dans l'arrondissement de Tchaourou Centre, où elle exerce la profession de tisserande. Diplômée du métier, par faute de matériels de travail, elle était devenue ménagère et revendeuse de gâteaux. Elle était ainsi confinée dans un état de pauvreté qui l'empêchait d'exploiter pleinement son potentiel d'exercer son métier et d'être épanouie.
Après sa sélection, Mariam a bénéficié des formations offertes par le projet, notamment les Ateliers de Compétences de Vie courante (Acv), les modules « Trouver son Idée d'Entreprise (Trie) », « Créer son Entreprise (Créer) » et « Gérer Mieux son Entreprise (Germe) », ainsi que la subvention qui lui a permise de se relancer autrement.
Aini à l'aide de ladite subvention, Mariam a pu s'acheter les matériels de travail et s'est installée convenablement. Elle est actuellement patronne d'un atelier avec six (06) apprenties. Elle se dit heureuse puisqu'aujourd'hui, elle arrive à satisfaire la clientèle de Tchaourou et des environs en tissus qu'elle fabrique. Elle envisage maintenant un renforcement de capacité en technique de combinaison des couleurs pour mieux satisfaire la clientèle et augmenter son chiffre d'affaires. La subvention du PEJ l'a sortie du cercle vicieux de la pauvreté et l'aide aujourd'hui à contribuer efficacement aux différentes charges du ménage.
La Représentante résidente de la Banque mondiale s'est rendue au Centre intégré de formation et de production des artisans des artisans de Savé dont le partenariat avec le projet PEJ a permis la formation de plusieurs jeunes de la commune pour l'obtention du Certificat de Qualification professionnelle. A travers une visité guidée, Mme Sharkey a sous la conduite de Mme Félicité Afouda, directrice du Centre, parcouru les métiers, les salles de formation et la boutique avant d'engager des discussions avec les stagiaires.
La Représentante résidente n'a pas manqué de laisser un mot à l'endroit des bénéficiaires du centre. Elle a incité les filles à croire aux valeurs du travail qui constituent, selon elle, l'unique voie pour gagner la bataille de l'autonomisation.
Centre Intégré de Formation et de Production des Artisans de Savè (Cifpas)

Créé en décembre 2006 avec l'appui financier de Swiss Contact Bénin, principal partenaire et de la Coopération Belge, le Cifpas est un centre mixte de formation, avec toutefois une prédominance de filles.
Le Centre offre des formations de type dual des apprentis, de recyclage des maîtres artisans et des formations initiales en teinture, couture et tissage.
Le centre est dirigé par Mme Félicitée Afouda, et dispose de deux sites.
Le contrat de partenariat signé entre le PEJ le Cifpas vise à offrir la formation complémentaire par apprentissage de type dual aux bénéficiaires du projet, dans les métiers de la couture (58 bénéficiaires dont 14 hommes) et dans le tissage (20 filles bénéficiaires).
Le centre a présenté 61 candidats (dont 12 hommes) dans la couture et 16 candidates dans le tissage à l'examen du Certificat de Qualification Professionnelle (Cqp), dont tous ont réussi à l'examen.
Le PEJ a soutenu des jeunes en apprentissage, accompagné le perfectionnement des patrons et appuyé 73 centres de formation professionnelle dont 12 centres publics. Il s'est également investi dans le renforcement des capacités en entreprenariat des jeunes à travers la mise en place de petites subventions pour leur insertion.
Giscard A.

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Turquie : Un arbre vieux de 2 800 ans découvert

Algérie 360 - Thu, 11/22/2018 - 17:43

Un arbre vieux de 28 siècles, de 56 m de hauteur, a été découvert à Kahramanmaras, province du sud de la Turquie, a rapporté, hier, l’agence de presse turque Anadolu. Il s’agit d’un taxus, conifère de la famille des taxacées, aussi appelé “if”. Découvert dans le quartier de Koklu du district Andirin, l’arbre mesure 56 m de hauteur et 5,4 m d’envergure. Son âge a été estimé à 2800 ans par les experts de la Direction de la protection de la nature et des parcs nationaux de Kahramanmaras. L’arbre a immédiatement été intégré dans un programme de protection pour lequel les universités seront impliquées.

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L'indispensabilité de coopération

24 Heures au Bénin - Thu, 11/22/2018 - 17:28

La rencontre d'échanges entre des directeurs et programmateurs de festivals dans le cadre du Fitheb 2018 a lieu, ce mercredi 21 novembre, à l'hôtel Rivieira à Cotonou. Après d'intenses et profondes analyses, ils se sont penchés sur comment réussir les prochains festivals.

« Faire du théâtre le point de mire de la culture et des arts ». C'est l'ambition du directeur du Festival international du théâtre du Bénin (Fitheb) à travers cette 14ème édition placée sous le thème « Théâtre et Engagement Civique et Social pour un Développement Durable au Bénin, en Afrique et dans le Monde ». « Nous irons le 21 novembre à la rencontre des directeurs de festival. Nous voulons ouvrir la voie côtière et la voie sahélienne et nous explorerons la voie maghrébine », a martelé Eric-Hector Hounkpè, à l'entame de cette édition.
Les directeurs et programmateurs ont au cours de ladite rencontre évoqué les problèmes liés à l'organisation des festivals.
Sur toute la ligne de l'organisation d'un festival selon les différents points de vue, le réel problème mis en exergue est celui relatif à la coopération entre artistes, directeurs et programmateurs de festivals. Selon les directeurs de festivals, un spectacle est un produit que « l'on vend sur le marché du public ».
En cela, ils estiment que les artistes doivent faire un travail de fond et de forme.
Le
directeur du Fitheb souligne qu'il faut « une réelle coopération » entre les artistes, les directeurs et programmateurs de festivals. Erick Hector Hounkpè, estime qu'il faut une véritable coopération entre tous les acteurs de la chaîne.
Les difficultés inhérentes au sein de la famille des artistes sont relatives aux problèmes de financement de leurs spectacles, de l'absence d'espaces adéquats de diffusion, de rentabilité après diffusion etc.
Du coup, l'artiste dépense plus qu'il gagne sur un spectacle.

Comme l'avait souligné le ministre de la culture, Oswald Homeky, « le Fitheb va au-delà de chacun de nous et même s'il a été initié par des Béninois, même si plusieurs acteurs culturels revendiquent sa paternité, il faut avoir le courage de reconnaître que le Fitheb appartient désormais à l'univers mondial du théâtre.
Le Fitheb a cessé d'être béninois. Il est désormais pour tous les passionnés du théâtre du monde entier. C'est pour cette raison que le Bénin s'honore de l'accueillir ». Cette rencontre des directeurs et programmateurs de festivals rend compte ainsi de la teneur de cette 14ème édition.
Artiste conteur de la Côte-d'Ivoire, Ange Grah, explique que dans le contexte africain, il faudra « rééduquer le public ». Et ce, dans le but de permettre aux programmateurs et aux artistes de combler le vide du financement.
Artistes comme programmateurs doivent tous participer à part égale pour la diffusion d'un spectacle car pour lui, les artistes doivent vivre de leur création.

G.A.

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