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400 tonnes de marchandises exportées vers la Mauritanie

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 12/27/2018 - 22:30
Liberte-Algérie - Dans 10 jours, une deuxième opération d’exportation aura lieu et une troisième dans 15 jours, en direction de Dakar. Une...
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30.000 F/jour perçu par un ex membre de la commission d'enquête judiciaire

24 Heures au Bénin - Thu, 12/27/2018 - 22:29

Le procès de l'affaire ICC-Services devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), a repris ce jeudi 27 décembre 2018 à Porto-Novo.

L'ex-ministre de la Justice, Grégoire Akofodji a poursuivi à la barre sa déposition débutée ce mercredi 26 décembre 2018 en tant que sachant.
Me Olga Anassidé, a cherché à savoir pourquoi le gouvernement s'est autant impliqué dans le dossier ICC-Services. « Dès l'éclatement de la crise, il y avait une tension sociale », a répondu Grégoire Akofodji tout en indiquant qu'aucun gouvernement ne pouvait rester indifférent à la situation.
L'ex-ministre de la Justice n'a pu donner le nombre de déposants, ni le montant collecté. « Je n'avais pas idée du nombre de victimes par rapport à cette affaire. À l'époque où j'avais eu l'entretien avec Guy Akplogan, le comité de suivi n'avait pas avec précision le montant exact des clients, ni le montant réel du montant que représente les dépôts des victimes. Ce que je sais, avant mon départ du ministère de la Justice, personne ne pouvait dire avec exactitude le nombre réel de déposants », a-t-il confié.

L'audience a été suspendue pour permettre au ministre de reprendre le calme et aussi parce que l'antenne est reprise pour la retransmission du discours du Chef de l'Etat à la nation.

Lors de la reprise, le président de la Cour, Cyriaque Dossa a fait des remarques à l'endroit de l'ex ministre dans le but de l'amener à dire tout ce qu'il sait pour l'éclatement de la vérité.

Emile Tégbénou et l'ex-ministre Akofodji

Le promoteur de ICC-Services, Emile Tégbénou est appelé à la barre pour situer davantage la Cour sur sa déposition selon laquelle, il a été conduit au domicile de l'ancien ministre Grégoire Akofodji.
« J'étais bel et bien au domicile du ministre Grégoire Akofodji. », a déclaré Emile Tégbénou. Il explique : « C'est le régisseur Joël Gbegan qui est venu me chercher pour la destination ; domicile du ministre Grégoire Akofodji en compagnie de l'ex directeur général de la Gendarmerie Sèwadé. Il m'a demandé si je le connais et j'ai répondu oui que c'est lui le ministre de la Justice. Il me posa la question de savoir ce que je vais répondre si les juges me demandent si je connais le Président Boni Yayi et je lui ai dit Oui. Par la suite, il m'a demandé de partir ».
Quant à Grégoire Akofodji, il est resté sur sa déposition. « Je l'ai dit hier que je n'ai jamais vu Tégbénou avant de le voir ici. Quel intérêt y a-t-il a nié avoir vu Tégbénou et reconnaître avoir rencontré Guy Akplogan », a-t-il souligné.
A la question de savoir s'il a fait le compte rendu de la rencontre tenue avec Guy Akpolgan à l'ex-président Boni Yayi, Grégoire Akofodji a notifié qu'il n'a pas eu besoin de le faire puisque cette rencontre n'a pas été fructueuse.
Selon l'ex-ministre, la rencontre a été sollicitée par Me Kato Atita, avocat du promoteur de la structure ICC-Services. Il était question de la libération de son client et ce denier rembourserait les spoliés, une fois sorti.
« Si nous avions été suffisamment rassurés dans notre démarche de ce que Monsieur Guy Akplogan pourrait payer les déposants, nous allons demander au Procureur général de lui donner une liberté », a affirmé Grégoire Akofodji.
L'ex ministre dit aussi ne pas connaître le Colonel Sèwadé : « Je puis vous affirmer que le Colonel Sèwadé n'est pas un nom inconnu à moi mais si on me met trois photos je suis incapable de vous montrer qui est le colonel Sèwadé ».
Me Kassa a demandé que Joël Gbégan, en activité à l'ONU soit questionné.
Pour ce fait, le ministère public a été requis.

Rencontre de Guy Akplogan chez l'ex-ministre

A la question de savoir si Guy Akplogan a été sorti ou extrait de prison, l'ex ministre répond « C'est une extraction qui a été faite ». Grégoire Akofodji a déclaré que ladite rencontre était informelle puisqu'il l'a reçu chez lui.
Me Anassidé cherche à comprendre pourquoi c'est le domicile du sieur Tégbénou qui a été perquisitionné alors que l'ex-ministre Guy Akplogan serait le promoteur de la structure ICC-Services. « Je n'étais pas présent au domicile de Tégbénou », a déclaré Grégoire Akofodji.
L'implication du gouvernement Yayi a été remise en cause à la CRIET puisque quand bien même, il a entamé une procédure judiciaire, une mise en place des structures parallèles a été faite. L'ex-ministre a assuré que ce n'était pas des structures parallèles et que la volonté du gouvernement était d'aider à trouver des solutions au scandale.

Grégoire Akofodji, toujours à la barre

Après environ heure de pause, les débats ont repris avec toujours à la barre l'ex-ministre Grégoire Akofodji. Aux questions de Me Alain Orounla, l'ex-ministre a confié que le gouvernement n'avait pas connaissance de l'existence de la structure ICC-Services avant l'éclatement de la crise.
Répondant aux questions de Me Gbaguidi, l'ancien ministre Akofodji a admis qu'il y a eu défaillance de l'administration centrale béninoise dans la crise au niveau de la structure de surveillance des institutions financières décentralisées et en ce qui concerne la demande formulée par le ministre Topanou au procureur général.

Saisie des biens des promoteurs de ICC-Services

S'agissant des biens meubles et immeubles de Guy Akplogan et Emile Tégbénou saisis, l'ex-ministre a affirmé qu'il a eu cette information, mais déclare : « Je ne sais plus ce qui en a été fait par la suite ».
Il a aussi indiqué qu'il n'a pas eu la chance ou la malchance de rencontrer les deux promoteurs de ICC-Services lors de ses visites au domicile de l'ex président Boni Yayi.

Fameuse rencontre du 21 juin 2010

A la barre, Grégoire Akofodji a mentionné une rencontre convoquée le 21 juin 2010 par le ministre de l'intérieur Armand Zinzindohoué.
« Je me souviens même que j'avais reçu un appel téléphonique pour assister à une réunion convoquée par le ministre de l'intérieur Armand Zinzindohoué. Une fois sur les lieux, il y avait un monde fou et je me suis retourné. J'ai eu l'impression que la salle prévue pour cette réunion était exiguë », a-t-il précisé.
Pour l'avocat, l'ancien ministre cacherait quelque chose sur ce fait.
« Je ne sais pas ce que je pourrais avoir à cacher. (...) je suis une personne honnête et responsable », a signifié Grégoire Akofodji.

Guy Akplogan à la barre

La Cour a appelé Guy Akplogan à la barre pour connaître davantage sur la rencontre qui a eu lieu avec l'ancien ministre Akofodji.
Le promoteur de ICC-Services a expliqué qu'il avait demandé une audience avec l'ex-président de la République Boni-Yayi. Et ce, dans le but de le persuader de la capacité de sa structure à rembourser les spoliés.
Selon Guy Akpolgan, il avait été sorti de sa cellule une nuit par le chef de brigade lui annonçant que l'ex- président Yayi viendrait le rencontrer. « J'ai entendu une heure mais il n'est pas venu », a-t-il souligné. Ce dernier dénote que c'est le lendemain, qu'il a été au domicile du ministre Akofodji. N'ayant pas remarqué la présence de Boni Yayi, le promoteur de ICC-Services, n'a pas voulu parler avec le ministre Akofodji.
Aussi, Guy Akplogan a-t-il soutenu contrairement au ministre qu'il a été sorti et non extrait de prison. « Je pense que j'ai été sorti (...) quand j'ai été sorti de la prison, dans le véhicules, le régisseur m'a demandé d'enlever ma tenue de prisonnier.

Un nouveau sachant devant la Cour

Gendarme à la retraite et ex membre de la commission d'enquête judiciaire mise en place par le gouvernement, Barnabé Adounsiba est appelé à la barre en qualité de sachant. L'ex membre de la commission d'enquête judiciaire a certifié qu'il connaît le sieur Tégbénou et apprend être sur le terrain pour répertorier les maisons dudit promoteur de la structure ICC-Services.
Un fait que le sieur Emile Tégbénou a confirmé et ajoute qu'il était au cours d'une perquisition chez le gendarme. Il est arrivé même a décrit la maison de l'ancien gendarme à la retraite.
Mais, ses déclarations ont été réfutées par Barnabé Adounsiba.
L'ancien gendarme admet connaître le domicile de Tégbénou mais informe qu'il ne peut s'y rendre tout seul.
Il s'y était rendu pour une perquisition puisque précise-t-il : « La commission avait appris que Tégbénou avait fait un trou dans le plafond où il mettrait de l'argent. Mais quand nous sommes allés, nous n'avons rien vu ».

30.000 FCFA /jour perçu par Barnabé Adounsiba

Questionné sur la rémunération des membres de la commission, Barnabé Adounsiba dit percevoir 30.000 FCFA par jour. Ce perdiem signale-t-il est en fonction des grades.
La Cour interpelle l'ex-ministre aux fins de savoir quel était à peu près le budget de la commission. Grégoire Akofodji indique qu'il n'a pas idée de cela. « Je ne peux vous dire quel est le budget (...) ce que je sais, je ne pense pas qu'on ait utilisé l'argent de ICC-Services pour payer les membres de cette commission ».
Tout en reconnaissant qu'il a eu de mauvais pas posés dans la gestion de l'affaire ICC-Services, Grégoire Akofodji a rassuré : « Le comité de crise et celui de suivi n'ont pas été créés avec l'objectif de faire entrave à la justice ». Si c'est arrivé poursuit l'ex-ministre, on doit en tirer les leçons.
Pour Grégoire Akofodji, l'objectif était de faire en sorte que les spoliés de ICC-Services retrouvent leurs avoirs.
« Je l'ai fait dans l'intérêt supérieur de la Nation, Je n'avais aucun intérêt personnel à inviter un détenu chez moi », a déclaré l'ex-ministre tout en admettant que son acte est illégal. S'il fallait aujourd'hui gérer le scandale ICC services, le sieur Akofodji annonce : « Je ferais les choses autrement ».
L'audience est prévue pour reprendre ce vendredi 28 décembre 2018 à 09 heures.

Akpédjé AYOSSO

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ALMOTO 2019 : le 3e salon des deux roues d’Alger programmé pour le mois de juin prochain

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 22:26

« ALMOTO EXPO, Salon de la Moto » revient pour une 3ème édition.Organisé par Aldes Média, ALMOTO EXPO 2019 est l’unique salon spécialisé dans le secteur du  cycle et  motocycle en Algérie.

Cette nouvelle édition sera placée sous le Haut Patronage de Monsieur le Ministre de l’Intérieur, des Collectivités Locales et de l’Aménagement du Territoire et organisée en partenariat avec l’Office Riadh El Feth (OREF) et le Centre National de la Prévention et la Sécurité Routière (CNPSR). Elle se déroulera du 19 au 23 Juin 2019 sur l’esplanade de Riadh El Feth à Alger.

ALMOTO EXPO donne rendez-vous aux professionnels, aux passionnés ainsi qu’au grand public pour se rassembler une nouvelle fois lors de ce grand événement annuel, véritable « fête de la moto » pour y découvrir toutes les nouveautés du secteur.

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Baic Algérie : la D20 à 1.250.000 da TTC, la moins cher du marché

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 22:25

Baic Algérie qui commercialise les véhicules BAIC assemblés au niveau de la nouvelle usine BAIC International Algérie de Batna, inaugurée il y a quelques jours, propose le véhicule le moins cher du marché, la Baic D20, proposée à 1.250.000 da.

La Baic D20 s’anime d’un bloc moteur essence livré par Mitsubishi, 1.3l de 100ch. Elle s’équipe, entre autres de 2 airbags, régulateur de vitesse, climatisation manuelle à affichage digital, des commandes au volant, une radio MP3. La D20 est proposée à 1.250.000 da TTC.

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Mostaganem : 2018, année de mutation vers un pôle touristique

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 22:14

La wilaya de Mostaganem s’est transformée, en 2018, en pôle touristique et récréatif d’excellence, grâce aux structures hôtelières de grande qualité mises en service récemment et la promotion de la région comme destination touristique privilégiée à travers les moyens de communication.

La wilaya de Mostaganem a connu, durant l’année 2018, un flux record d’estivants sur ses plages et une hausse remarquable de la fréquentation des hôtels, des résidences touristiques et des espaces de détente et de loisirs, le tout accompagné d’une grande dynamique économique et commerciale, faisant de cette région un pôle pour le tourisme national, a affirmé la directrice du tourisme et de l’artisanat, Hayet Mammeri, dans une déclaration à l’APS. Ainsi, durant la saison estivale, soit de juin à septembre derniers, plus de 623.000 estivants ont afflué vers les hôtels et les résidences touristiques de la wilaya, a souligné la même responsable. Elle a rappelé que «les établissements hôteliers, qui ont été renforcés durant cette saison de huit nouvelles structures, ont accueilli, du 1er juin au 30 septembre derniers quelque 623.000 estivants, dont 5.650 étrangers, contre 82.000 estivants dont 715 étrangers durant la même période de l’année précédente». Ces établissements hôteliers, dont la capacité d’accueil est de 5.100 lits, ont créé plus de 1.285 postes d’emploi permanents et plus de 4.500 autres postes temporaires et indirects, selon la même source. D’autre part, les 21 camps de toile familiaux ouverts dans la wilaya ont accueilli quelque 57.000 estivants. En outre, la capacité d’accueil de ces centres de vacances et les établissements de jeunes a augmenté de 60% en une année pour atteindre 16.700 lits. Pour leur part, les plages de la wilaya, s’étendant sur une façade 124 km, ont accueilli quelque 11 millions d’estivants. Quant au parc d’attraction et de loisirs «Mostaland», celui-ci a connu l’affluence de 650.000 estivants et le parc aquatique «Kharrouba aqua parc» quelque 16.000 estivants, a précisé Mme Mammeri.
Les autorités locales misent sur le développement du secteur touristique à travers la promotion de la qualité des services offerts aux estivants et la promotion de Mostaganem comme destination préférée des touristes, notamment ceux en provenance des wilayas de l’intérieur du pays.

La promotion et l’excellence des services, deux enjeux pour développer le secteur
Selon les services de la wilaya, un budget de 487 millions DA a été consacré à l’entretien des plages et leur aménagement pour accueillir les vacanciers durant la saison estivale écoulée, ce qui a participé à doubler les revenus des communes côtières qui ont atteint les 107 millions DA. Ces revenus concernent les taxes de séjour et les concessions des plages, cédées à sept établissements hôteliers, ainsi que les recettes des parkings et les concessions des terrains de camping familial . D’autre part, l’Epic de wilaya «Propreté Mostaganem», en coordination avec les communes côtières, a mobilisé 233 agents et 14 camions pour veiller à la propreté des plages et accueillir les estivants dans des conditions excellentes. En outre, les services de transport ont mis en place un plan pour mettre à la disposition des citoyens quelque 11.000 places à destination des différentes plages et les lieux de détente de la wilaya, a fait savoir la même source.

Améliorer l’offre touristique
Selon Mammeri Hayet, durant la même année, un film promotionnel de 52 minutes intitulé «Mostagnem, carrefour des cultures et des civilisations» a été produit, ainsi que l’édition d’un guide touristique de 200 pages, une publication de 50 pages et des dépliants intitulés «Mostaganem, la perle de la Méditerranée». Ces supports audiovisuels et en papier contribuent à promouvoir le tourisme, national notamment, et à faire connaître les capacités de la wilaya de Mostaganem et ses qualifications dans les domaines du tourisme balnéaire et du tourisme culturel, ainsi que le tourisme vert, a -t-elle dit . Un accord de partenariat a été signé avec le laboratoire d’études de communication de l’université Abdelhamid-Ben-Badis de Mostaganem pour la formation des cadres de la direction du tourisme et de l’artisanat dans les différentes techniques de communication touristique, avec la mise en place d’une cellule de communication et d’information. Cette dernière a pour mission la promotion du tourisme, tout au long de l’année, et ce par l’apport des nouvelles technologies. Parallèlement à ce projet, la direction chargée du secteur compte mettre en place la carte touristique de la wilaya et prévoir des opérations de restauration et de réhabilitation d’un certain nombre de lieux touristiques, culturels et archéologiques. Il est prévu également la création du parcours touristique de la ville de Mostaganem et la formation de professionnels dans différentes spécialités, notamment de guides touristiques, a ajouté la même source.

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Bouira : Première foire des produits du terroir et agrumiculture à Lakhdaria

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 22:11

La localité de Lakhdaria à une trentaine de kilomètres au nord de Bouira abrite depuis avant-hier la 1ère édition de la foire des produits du terroir et agrumes.

La foire a été organisée au niveau du centre de formation professionnelle (CFPA) de la commune. L’événement est organisé par la DSA, en collaboration avec la Conservation des forêts ainsi que d’autres institutions, à l’exemple de la Chambre de l’agriculture, il s’étalera sur une période de deux jours. Les organisateurs s’affairaient à installer les stands dans lesquels ont exposé du miel, des figues, de l’huile d’olive et autres fruits, mais également des désherbants et autres produits de traitement des arbres fruitiers, du matériel d’apiculture, d’aviculture et d’irrigation. La région ouest de Bouira, notamment les communes de Kadiria et Lakhdaria, étant connues pour la culture des agrumes, plus précisément les oranges, plusieurs stands dédiés à cette culture, ont été mis en place. Selon quelques agriculteurs rencontré sur mes lieux la wilaya de Bouira a été classée, durant l’exercice agricole écoulé à la troisième place à l’échelle nationale en termes de quantité de production des agrumes avec un million de quintaux, soit un rendement de 250 q/ha. Un véritable essor que les exploitants agricoles ambitionnent d’améliorer en augmentant sensiblement la production, et ce, à condition que les routes menant aux grands vergers soient aménagées, en plus de l’alimentation en énergie des structures implantées à l’intérieur des champs des agrumes et le soutien financier à ce créneau. Nos interlocuteurs, regrettent la rareté de la main-d’œuvre dans la wilaya de Bouira, à l’image d’autres régions du pays, se fait ressentir, ce qui a affecté ce créneau durant la campagne de récolte. Pour un responsable de la DSA de Bouira, cette opération démontre que les agricultures ne sont pas des spéculateurs. « Nous avons saisi cet espace pour montrer que les agriculteurs ne sont pas, les responsables de la spéculation », a-t-il tenu à souligner. Et d’ajouter
« Nous avons affiché ici les prix réels, c’est-à-dire du producteur au consommateur. Ce sont des prix imbattables. Nous ne sommes pas ici pour casser les prix, mais pour offrir au consommateur un produit à sa juste valeur ». Toutefois, certains exposants, notamment des jeunes, ont déploré le manque d’information et d’orientation de la part des services agricoles locaux.  » On est livrés à nous mêmes. Même pour obtenir des engrais chimiques, on est obligés de se diriger vers d’autres wilayas, comme Boumerdès et Tizi Ouzou », a-t-on indiqué. Parmi les exposants on retrouve la CRMA, la BADR, l’administration des forêts, le Parc national du Djurdjura, la Direction de l’environnement, mais également des particuliers issus des quatre coins de la wilaya. D’autre part, un stand a été réservé à la CRMA pour la distribution de documents et dépliants pour informer le public, notamment les agriculteurs, des différents services qui leur sont proposés par cette caisse, ainsi que des démarches à suivre afin de faire face aux éventuelles faillites qui peuvent être engendrées par les catastrophes naturelles et autres risques affectant la production (végétale ou animale) dans la région.
Omar Soualah

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NOUVEAUX HEURTS DANS TROIS VILLES DE TUNISIE Gare aux signaux d’alarme!

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 22:10

A Kasserine, point d’orgue de la contestation depuis le suicide du journaliste Abderrezak Rezgui, les heurts ont surtout lieu la nuit, comme d’ailleurs à Tebourba et Jbeniana, et ils opposent les groupes de jeunes manifestants aux forces de l’ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène.

La Tunisie va mal, très mal même. Au lendemain du décès du correspondant de Telvza Tv, Abderrezak Rezgui, qui s’est immolé par le feu à Kasserine pour protester contre le chômage et la mal-vie dont souffre une majorité de Tunisiens et notamment la jeunesse, les affrontements entre protestataires et forces de l’ordre ont gagné d’autres villes du pays. A Kasserine, il n’y a pas eu d’accalmie et les échauffourées se poursuivent alors que la tension devient de plus en plus violente. De même, à Sidi Bouzid où s’était produite la flamme qui a fait parler la poudre en 2011, jusqu’à engendrer la chute du régime de Zine el Abidine Ben Ali, la contestation des tergiversations des autorités locales et centrales a pris une tournure menaçante. Une foule de jeunes diplômés à Meknassi a procédé à la fermeture de certaines administrations et au blocage des routes tout en exigeant des réponses immédiates à leurs revendications relatives à un contrat de travail signé, mais non appliqué depuis un an! Enfin, la capitale elle-même n’est pas épargnée par la grogne qui agite la Tunisie puisqu’une manifestation a eu lieu mardi soir sur l’avenue Bourguiba où plusieurs dizaines de jeunes se sont rassemblés devant le théâtre municipal, cible du récent attentat terroriste, pour protester contre la cherté de la vie. Ils ont pris la direction du ministère de l’Intérieur aux cris de «le peuple en a marre des nouveaux Trabelsi», et «le peuple veut la chute du régime». A Kasserine, point d’orgue de la contestation depuis le suicide du journaliste Abderrezak Rezgui, les heurts ont surtout lieu la nuit, comme d’ailleurs à Tebourba et Jbeniana, et ils opposent les groupes de jeunes manifestants aux forces de l’ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène. A Jbeniana, au nord de Sfax, un policier a été blessé. Plusieurs interpellations ont eu lieu, selon le porte-parole de la sûreté nationale tunisienne, Walid Hkima, tandis que le ministère de l’Intérieur a indiqué dans un communiqué l’arrestation d’une personne impliquée dans le suicide du journaliste âgé de 32 ans tout en mettant en garde contre des Fake news visant à «embraser le pays».
Lundi dernier, il s’est immolé en justifiant son acte par le fait de protester contre la dégradation des conditions socio-économiques de sa région, à Kasserine, connue pour être une des zones les plus pauvres de la Tunisie.»Pour les habitants de Kasserine qui n’ont pas de moyens de subsistance, aujourd’hui, je vais commencer une révolution, je vais m’immoler par le feu», a déclaré Abderrezak Rezgui dans une vidéo publiée 20 minutes avant le passage à l’acte. Il a peu après succombé à ses blessures, mais le drame a déclenché la colère des habitants du chef-lieu où l’occupation du centre-ville et les affrontements sporadiques dans les quartiers n’ont pas cessé depuis. Kasserine est l’une des premières villes où a commencé en octobre-novembre 2010 la grogne contre la pauvreté et la marginalisation qui s’est nourrie ensuite de l’immolation par le feu du vendeur ambulant de Sidi Bouzid, en décembre de la même année. Il semble que l’histoire aime bégayer ou, sinon, que les dirigeants ont rarement le souci de tirer des leçons salutaires de l’expérience engrangée. La Tunisie est certes dans une situation socio-économique très difficile, par manque de moyens autant que de soutiens. Les gouvernements qui se sont succédé depuis 2011 ont tous failli dans la réponse aux aspirations de la majorité des Tunisiens, de plus en plus nombreux à s’enfoncer dans une pauvreté critique. Et dans un contexte de chômage persistant et d’inflation toujours galopante, les troubles sociaux ne sont rien d’autre qu’un exutoire pour les milliers de jeunes marginalisés que n’apaisent ni les prêches fatalistes des mosquées ni les slogans opportunistes des partis politiques qui leur font miroiter des portes du paradis entrouvertes à l’horizon…

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GENDARMERIE NATIONALE ET BRI Tous unis contre la harga

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 22:01

la laddh avance le chiffre d’environ 3 000 personnes ayant péri en mer depuis 2009 à ce jour. C’est tout simplement un drame qui doit interpeller tous les résponsables et les élus dont les députés.

Lourd est le bilan des interpellations liées à la harga, opérées ces dernières 48 heures un peu partout dans les parties d’Oran, est et ouest. Le bilan fait état de l’interpellation de 25 personnes, dont trois ressortissants étrangers et un mineur. Les mis en cause s’apprêtaient à quitter clandestinement le territoire national par voie maritime. L’offensive lancée par les éléments de la Gendarmerie nationale, a été appuyée par des éléments de la BRI de Bir El Djir. Aussitôt, le plan peaufiné, les éléments représentant les deux corps de sécurité se sont mis en branle en se lançant dans la région d’Aïn Franine. Cette opération combinée a été concluante, car elle a abouti à stopper le projet suicidaire de sept personnes, dont trois étrangers et un mineur se préparant à rallier les côtes espagnoles. Dans le sillage de cette action, une somme de 1 570 euros a été saisie. Lors d’une autre opération similaire, les gendarmes ont intercepté, lors d’une patrouille au niveau de la plage de Aïn Franine, dans la daïra de Bir El Djir, 11 candidats à l’émigration clandestine et saisi huit jerricans remplis d’essence, dissimulés dans les broussailles. Les mêmes services ont procédé samedi dernier lors d’une patrouille au niveau du CW 75 reliant la commune de Bir El Djir au village de Kristel, dans la commune de Gdyel, à l’arrestation de sept personnes, âgées entre 17 et 35 ans, se préparant à s’aventurer dans leur projet incertain en quittant clandestinement le territoire national par voie maritime. Véritable phénomène de société, la harga prend des allures inquiétantes. Dans son bilan annuel coïncidant avec la Journée internationale des migrants, célébrée le 18 décembre, la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme a tiré la sonnette d’alarme sur le phénomène inquiétant de l’émigration clandestine. Dans ce sillage, la Ligue a avancé le chiffre de environ 3 000 personnes ayant péri en mer depuis 2009. Ce chiffre englobe également les personnes disparues. La Ligue a dénoncé «le recours systématique des pays européens, aux expulsions arbitraires». Ainsi, chaque année, plus de 5 000 Algériens sans-papiers sont expulsés du territoire européen. Comment est-ce possible qu’un tel phénomène puisse prendre des ascensions aussi fulgurantes? La réponse est toute simple. Des sources proches des services de sécurité affirment «suivre avec une grande inquiétude l’expansion et le développement de ce phénomène d’activité tout en ouvrant plusieurs fronts de bataille dans le cadre de sa lutte». Outre, les embarcations de fortune, fabriquées clandestinement, des équipements solides sont exploités dans le cadre de la traversée. Il s’agit plus précisément des moteurs d’une puissance de 25 à 40 Ch ainsi que de petits bateaux de 4,80 à 7 mètres obtenus par des jeunes, dans le cadre des dispositifs mis en place par l’Etat pour la résorption du chômage. Ces embarcations sont par la suite revendues à des prix dérisoires entre 35 et 40 millions de centimes, à des barons mafieux les utilisant pour faire passer les harraga. Les wilayas côtières du pays sont les plus touchées par ce nouveau phénomène. Après son acquisition, ce matériel, déplacé illégalement à bord de camions frigorifiques vers les lieux «d’embarquement», les plages servant de point de départ vers l’Eldorado incertain. Et c’est à partir de là qu’intervient le rôle des réseaux et des relais spécialisés, les passeurs, d’autant plus qu’ils arrivent à se faire délivrer de faux papiers ainsi que des reçus et des factures en bonne et due forme pour ensuite transporter en toute quiétude ce matériel vers l’extrême est et ouest du pays. Ce phénomène prend des proportions alarmantes après que les garde-côtes aient resserré l’étau autour de ces passeurs en intensifiant les opérations de contrôle sur les points de vente des équipements de pêche. Ceci a conduit les passeurs à se rabattre sur les jeunes propriétaires de bateaux acquis dans le cadre de l’Ansej et autres dispositifs. D’ailleurs, des commissions d’enquête ont été mises sur pied. Des investigations sont lancées pour s’enquérir de l’état du matériel financé par le biais du dispositif à l’emploi des jeunes. Les bénéficiaires contrevenants risquent des poursuites judiciaires

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Syrie: réouverture de l’ambassade des Emirats arabes unis après 7 ans de fermeture

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:49

L’ambassade des Emirats arabes unis (EAU) en Syrie a rouvert ses portes jeudi dans la capitale, Damas, sept ans après le déclenchement de la crise en Syrie en 2011.

Le ministère syrien de l’Information a invité les journalistes à couvrir la cérémonie d’ouverture, sans toutefois préciser s’il s’agissait d’une réouverture avec représentation diplomatique complète ou partielle.

La presse locale a indiqué que des travaux de maintenance avaient été accomplis dans l’ambassade.

Tous les Etats du Golfe avaient fermé leurs ambassades à Damas après le déclenchement de la crise syrienne en 2011. APS

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Amical : les A prime s’imposent face au Qatar (1-0)

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:48

La sélection nationale des joueurs locaux (A’) s’est imposée face à l’équipe première du Qatar en match amical disputé ce jeudi au Khalifa Stadium de Doha (Qatar).

L’unique but de cette joute fraternelle a été scoré en seconde mi-temps par l’incontournable, Beghdad Bounedjah. Le buteur d’Al Sadd (Qatar) continue d’affoler les compteurs en signant son 59e but, durant l’année 2018, toutes compétitions confondues.

A cette occasion, l’entraineur national, Djamel Belmadi, a essayé de faire une large revue d’effectif au sein des joueurs évoluant dans la Ligue 1 pour tenter de trouver ceux qui ont les qualités d’intégrer l’équipe première.

Pour ce troisième match amical des camarades de Zeghba en 2018, après ceux joués face au Rwanda et à l’Arabie saoudite, le coach des Verts a réussi à faire tourner son effectif pour avoir une idée sur l’ensemble des joueurs convoqués. Mis à part le gardien de la JS Kabylie, Abdelkadir Salhi, et l’attaquant du Paradou AC, Zakaria Naidji, tous les autres joueurs ont pris part à ce match.

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Soudan: démission d'un haut responsable, appel à de nouvelles manifestations

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 12/27/2018 - 21:45
Romandie News - Un haut responsable gouvernemental dans une province du nord du Soudan a démissionné jeudi sur fond de répression de...
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ORAN : Trois corps sans vie repêchés

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:30

Dans son message, Mohamed Aïssa laisse croire que la cote d’alerte est à son apogée.

Trois corps sans vie viennent d’être repêchés par les pêcheurs d’Oran, apprend-on auprès du directeur de la pêche Mohamed Bengrina. Il a ajouté que «les deux premiers corps, d’un homme et d’une femme, ont été découverts dans la nuit de mardi à mercredi dans les eaux territoriales entourant l’île de Paloma, faisant face à Bousfer-Plage». Le troisième a été repêché hier matin prés de la plage de Bouzedjar rattachée à la wilaya de Ain Témouchent», a-t-il affirmé à L’Expression. Pour les besoins de l’enquête, les dépouilles mortelles ont été transférées vers les structures sanitaires pour identification. «Nos pêcheurs se sont mobilisés dans cet élan de recherche des disparus», a-t-il annoncé.

À Oran, c’est le branle-bas de combat. L’accentuation, ces derniers jours, des tentatives de l’émigration clandestine, oblige. En effet, la wilaya d’Oran vient de décider de la mise en place d’une cellule de crise. Celle-ci, comprenant les services de la Protection civile, ceux de la sûreté de wilaya et de la direction des transports, a pour mission principale de gérer les opérations de recherche de 18 candidats à l’émigration clandestine, portés disparus en pleine mer depuis jeudi dernier.

Ladite cellule est chapeautée par la wilaya d’Oran. Le directeur de la Protection civile de la wilaya d’Oran a souligné que «d’importants moyens ont été mobilisés pour ces opérations auxquelles participent également les services des gardes-côtes». En plus d’une vingtaine de zodiacs semi-solides et de 10 zodiacs, 40 plongeurs se sont lancés dans les recherches en collaboration avec des gardes-côtes de la façade maritime de l’ouest du pays. Les personnes portées disparues jusque-là, ont, dans leur tentative avortée, pris une embarcation transportant 29 candidats à l’émigration clandestine à partir des côtes oranaises. En pleine haute mer, un incendie a ravagé l’embarcation. Jusque-là, neuf personnes ont été sauvées, dont trois mineurs, par un bateau commercial battant pavillon du Libéria, près de Ténès, dans la wilaya de Chlef. Aussi, les corps sans vie d’une femme et de sa fille, faisant partie des disparus, ont été repêchés samedi dernier au large d’Oran. Il s’agit là d’une mesure décidée par la wilaya d’Oran visant d’abord la recherche des disparus, mais entrant essentiellement dans le cadre de la lutte contre le phénomène de la harga ayant endeuillé, ces derniers mois, plusieurs dizaines de familles algériennes. Outre cette mesure, d’autres institutions se mettent de la partie, en l’occurrence le ministère des Affaires religieuses et des Waqfs ayant décidé de se lancer dans une campagne de sensibilisation. Mohamed Aissa a appelé, mardi, les imams à travers le territoire national à consacrer une partie de leur prêche de demain à la sensibilisation sur le phénomène de la migration clandestine, tout en prodiguant des conseils aux jeunes pour qu’ils ne «cèdent pas à cette funeste tentation». Expliquant sa démarche, le ministre a, dans sa page Facebook, souligné que «cet élan national vise à prodiguer des conseils aux jeunes dans les prêches de vendredi et les halakate organisées dans les mosquées pour qu’ils ne cèdent pas à cette tentation funeste». Conscient du rôle prépondérant des imams, le ministre a, toujours dans son appel, invité les imams à consacrer une partie de leur prêche du vendredi 28 décembre à ce sujet». Il a argumenté son appel en mettant en valeur «toute initiative à même d’éveiller la conscience de la société». À décoder le message du ministre, il laisse croire que la cote d’alerte est à son apogée. Il a, d’ailleurs, jugé utile de rappeler que «les barques de la mort ravissent des enfants à leurs familles pour les jeter à la mer ou leur offrir une vie humiliante dans des centres de rétention à l’étranger».

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Adoption d’un projet de loi relative aux activités nucléaires civiles

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:25

DJELFA – Le prix « El Kantass 2018 » (concours en arts pastiques) de la wilaya de Djelfa, a été décerné à l’artiste peintre Bouziane Bousaid, également enseignant à l’Institut des beaux arts de Tizi-Ouzou.

L’artiste a obtenu ce prix pour son tableau intitulé « l’interrogation de l’innocence », selon l’annonce faite par le jury du concours, dans la soirée de mercredi, à la cérémonie de clôture de cette 9ème édition du genre, abritée par la maison de la culture « Ibn Rochd ».

Ce prix El Kantass « est un honneur pour moi et pour tous les artistes », a assuré Bouziane Bousaid dans son allocution à l’occasion, soulignant « l’intérêt et l’importance » de cet événement artistique ayant réuni différents styles et genres. Evoquant son parcours, l’artiste a signalé avoir déjà obtenu le 2ème prix d’un salon international sur les arts plastiques, organisé dernièrement à Paris (France).

Dans son intervention à la cérémonie, le président du jury du concours, Oubah Smail, a assuré que « le seul critère pris en compte dans l’attribution de ce prix est bien la valeur de l’œuvre ». Il s’est, également félicité du retour du concours « El Kentass » sur la scène culturelle locale après une éclipse de cinq années. Institué en 2006, ce concours a connu un arrêt depuis 2013.

Marquée par la présence d’une multitude de styles, expressions et genres artistiques, cette édition 2018 a enregistré la participation de 73 artistes, issus de 45 wilayas, a signalé M. Oubah, déplorant, néanmoins, l’absence dans ce salon de l’art de la sculpture.

Le directeur de la culture de la wilaya, Abdelmadjid Merssis, a pour sa part loué la « contribution du ministère de tutelle » dans le retour de ce salon artistique, au même titre que du Festival de la chanson Nailie, a-t-il dit.

Outre ces deux rendez vous artistiques (salon « El Kentass » et le Festival de la chanson Nailie), il a également annoncé le retour en 2019 du Festival de la création littéraire, en plus de l’organisation programmée du Salon arabe des arts plastiques à Djelfa dont « la date n’a pas encore été fixée », a-t-il indiqué.

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Olympiades des activités de jeunes à Ouargla : près de 150 participants en lice

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:18

OUARGLA – Près de 150 jeunes, des deux sexes, issus des quatre coins du pays prennent part aux olympiades des activités de jeunes ouvertes jeudi au centre scientifique et de loisirs au quartier Ennasr (périphérie Ouest d’Ouargla), en présence des autorités locales.

Devant s’étaler jusqu’au 30 décembre prochain, cette manifestation nationale, placée sous le signe « Vivre ensemble en paix », s’assigne comme objectifs la formation d’une jeune génération innovante dans les arts et les sciences et bien imbue des valeurs de citoyenneté, ainsi que la promotion de l’émulation intellectuelle et scientifique.

Le programme de ce rendez-vous juvénile prévoit l’organisation de diverses compétitions, à savoir le Soroban (une technique de calcul mental), les jeux d’échecs, de guitare en individuel et le monologue, selon les organisateurs.

Il s’agit aussi de l’animation d’une conférence sur la promotion du Soroban au niveau des structures juvéniles, des ateliers d’exposition consacrés aux activités scientifiques et culturelles et des concours des meilleures œuvres des participants, a indiqué la même source.

Les participants auront à profiter de s’enquérir des compétitions du festival de ski sur sable au niveau des dunes de la commune de Ain El-Beida (10 km d’Ouargla), ainsi que de la visite des sites touristiques à travers la région, notamment le lac de Hassi Benabdallah, le musée saharien, le vieux ksar d’Ouargla et Souk El-Hadjar, a-t-on ajouté.

Des soirées artistiques, animées par des troupes folkloriques locales, figurent également au menu de cette manifestation destinée aux catégories d’âge oscillant entre 10 et 30 ans, a-t-on signalé. Tous les moyens humains et matériels nécessaires ont été mobilisés pour assurer le bon déroulement et la réussite de ces olympiades des activités de jeunes, en offrant un séjour agréable aux invités d’Ouargla.

Organisée conjointement par la direction de la jeunesse et des sports (DJS) avec l’Office des établissements de jeunes (ODEJ) et la Ligue de wilaya d’animation de proximité des jeunes, cette manifestation qui coïncide avec les vacances scolaires d’hiver constitue une opportunité de rencontre et d’échange entre le jeunes algériens venant de différentes wilayas pour favoriser le développement de leurs activités dans plusieurs domaines et l’évaluation de la créativité chez eux.

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Aviation-sécurité : création d’une agence de l’aviation civile autonome

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:07

ALGER – Une agence nationale de l’aviation civile destinée à assurer la gestion de la sûreté et de la sécurité civile sera mise en place, a indiqué jeudi un communiqué du conseil des ministres.

Le projet de loi portant amendement de la loi fixant les règles générales relatives à l’aviation civile précise qu’il s’agit là d’une recommandation de l’Organisation de l’aviation civile internationale qui invite les Etats membres à se doter d’une instance autonome pour la gestion de la sûreté et de la sécurité de l’aviation civile.

La mise en place de cette Agence permettra aussi à l’Algérie de renforcer les capacités humaines et les ressources financières qui seront dévolues à la gestion de la sûreté et de la sécurité de l’aviation civile, mission actuellement prise en charge par une direction du ministère chargé des transports, explique-t-on de même source.

En outre, le projet de texte introduit le métier d’évacuation sanitaire dans la nomenclature des activités de l’aviation civile autorisées en Algérie.

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Le président Bouteflika signe la loi de finances 2019 et préside une réunion du Conseil des ministres

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 21:05

ALGER – Plusieurs projets de loi et décrets présidentiels ont été adoptés jeudi par le Conseil des ministres qui s’est réuni sous la présidence du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Il s’agit de projets de loi relatifs aux activités spatiales, aux activités nucléaires civiles, à l’aviation civile, un autre projet complétant la loi de 2006 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption, ainsi qu’un projet de loi amendant la législation en vigueur relative à l’activité de médecine vétérinaire ont été examinés et adoptés lors de ce Conseil des ministres, le dernier de l’année 2018.

Le Conseil des ministres a entamé, en effet, ses travaux par l’examen et l’approbation du projet de loi relatif aux activités spatiales, un domaine qui « revêt une importance stratégique » pour l’Algérie, avant d’examiner et d’adopter un autre projet de loi complétant la loi de 2006 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption.

Ce texte a été élaboré pour mettre la législation en concordance avec la Constitution révisée en 2016, qui a codifié et enrichie les missions de l’Organe national de prévention et de lutte contre la corruption. Le Conseil des ministres a également examiné et adopté un projet de loi relative aux activités nucléaires civiles.

L’Algérie est, de longue date, l’un des États ayant ratifié le Traité sur la Non prolifération des armes nucléaires. Elle a également adhéré graduellement à l’ensemble des Conventions élaborées par les Nations unies sur le nucléaire. Le Conseil des ministres a, par la suite, examiné et adopté un projet de loi amendant la législation en vigueur relative à l’activité de médecine vétérinaire et à la protection animale.

Un amendement destiné à offrir une meilleure assise à l’encadrement de la profession de médecins vétérinaires qui totalise déjà 20.000 intervenants dont 3.000 sont des fonctionnaires exerçant au niveau d’organes publics de contrôle.

A ce titre, le projet de loi énonce l’ancrage légal pour la création d’un Ordre national des vétérinaires. Par ailleurs, le Conseil des ministres a examiné et adopté un projet de loi portant amendement de la loi fixant les règles générales relatives à l’aviation civile.

Cet amendement a pour objectif d’instituer une Agence nationale de l’aviation civile conformément aux recommandations de l’Organisation de l’aviation civile internationale qui a invité les États membres à se doter d’une instance autonome pour la gestion de la sureté et de la sécurité de l’aviation civile.

Poursuivant ses travaux, le Conseil des ministres a examiné et adopté une série de décrets présidentiels validant des contrats ou avenants à des contrats relatifs à l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures. Ces textes concernent une série de gisements en exploration ou en exploitation par la Sonatrach avec ses partenaires étrangers qui sont respectivement, Total, Eni, Equinor (ex-Statoil), et Pertamina.

Le Conseil des ministres a également validé, conformément à la loi, deux opérations de déclassement de terres agricoles, liées à la réalisation d’un important investissement d’exploitation et de transformation de phosphates à l’Est du pays, dans le cadre d’un partenariat algéro-chinois.

Le Conseil des ministres a adopté, en outre, de décisions individuelles relatives à des emplois supérieurs civils. Auparavant, le président de la République avait présidé la cérémonie de signature de la loi de finances 2019 et une réunion du Conseil des ministres, consacrée à l’adoption de plusieurs projets de loi et décrets présidentiels.

Le chef de l’État a apposé sa signature sur le texte portant loi de finances 2019 au siège de la présidence de la République, en présence de hauts responsables de l`État et de membres du gouvernement. Enfin, le président Abdelaziz Bouteflika a saisi cette occasion pour adresser au peuple algérien ses meilleurs vœux de santé, de bonheur, de progrès et de sérénité pour l’année 2019.

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Mauritanie: le Complexe touristique Lemhar obtient "ses papiers" après 18 ans de procédures …

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 12/27/2018 - 21:00
Financial Afrik - Quand après des années de bons et loyaux services en Gambie, dans le secteur de l’hôtellerie, Mory Guéta Cissé (MGC)...
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Une toile urbaine des années 50 découverte à Oran

Algérie 360 - Thu, 12/27/2018 - 20:56

Une toile urbaine géante faite de la main de François Fauck a été découverte à Oran presque 70 ans après sa réalisation.

Le peintre français François Fauck qui a connu une aventure algérienne de plus d’une décennie s’est retrouvé réhabilité après la découverte d’une de ses toiles à Oran.

C’est sur le mur d’une propriété de l’entreprise publique Sonelgaz que l’œuvre du peintre a pu être reconnue. L’espace servait à l’entretien et au contrôle technique des véhicules de service.

Haute de 6 mètres et large de 29 mètres, la fresque qui date des années 1950 a été authentifiée par une équipe d’experts qui s’est rendue sur place. Cette même équipe étudie la possibilité de restaurer l’œuvre et de la déplacer.

Pour rappel, François Fauck était un peintre d’origine belge, naturalisé français et s’est illustré dans la gestion administrative de certains secteurs culturels en Algérie dans les années 1950 et 1960.

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Kinshasa "invite instamment" l'UE à rappeler son représentant en RDC "dans les 48 heures"

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 12/27/2018 - 20:16
Romandie News - Kinshasa a enjoint jeudi à l'Union européenne (UE) de rappeler dans les "48 heures" son représentant en République...
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Document : Transmission à la justice du rapport d’inspection se rapportant à AL MOURITANIYA TV

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 12/27/2018 - 19:58
Adrar Info - L’agence de presse Alakhbar.info a obtenu le texte du document, transmettant à la justice mauritanienne, le rapport de...
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