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Afrique

Syrie: Les autorités se préparent au retour des compagnies aériennes

Algérie 360 - Tue, 01/08/2019 - 09:13

Les autorités s’attendent à l’augmentation du trafic aérien à destination de la Syrie dans un avenir proche.

Les autorités syriennes sont à pied d’oeuvre pour la reprise prochaine des activités du transport aérien civil dans l’ensemble du territoire national après le retour de la stabilité dans le pays et le retour des diplomates étrangers, ont rapporté hier des médias locaux. Le ministère syrien des Transports a demandé aux opérateurs de transport aérien de suivre toutes les procédures et de veiller à ce que les aéroports du pays soient prêts à recevoir prochainement des vols des compagnies aériennes nationales et étrangères, a indiqué l’agence russe Sputnik.

Les opérateurs du secteur ont été invités également à mieux se préparer à faire face à toutes les situations et à fournir les meilleurs services aux passagers. Les autorités s’attendent à l’augmentation du trafic aérien à destination de la Syrie dans un avenir proche, en prévision d’une intensité de l’exploitation des aéroports syriens.

La seule compagnie étrangère opérant des liaisons aériennes régulièrement depuis et vers la Syrie est la Fly Baghdad (irakienne), alors que la compagnie nationale Syrian Arab Airlines opère aujourd’hui sur cinq aéroports civils à Damas, Alep, Qamishli, Lattaquié et Deir Ezzor. Le ministre syrien des Transports, Ali Hammoud, a déclaré dans ce contexte que son département discutait avec les partenaires russes du développement du port de Tartous, afin de pouvoir recevoir des navires transportant de lourdes charges et de poursuive les travaux de modernisation de l’ensemble des aéroports syriens ainsi que la création de nouvelles infrastructures aéroportuaires.

Lors d’une allocution devant l’Assemblée du peuple syrien portant sur la plan du ministère des Transports pour relancer le secteur, M. Hammoud a déclaré que le ministère négociait avec la partie russe de l’extension du port de Tartous, afin de recevoir des navires de transport de lourdes cargaisons et de la construction de nouveaux quais profonds.

Le ministre syrien a souligné, en outre, que «la compagnie nationale Syrian Arab Airlines avait obtenu un certificat de sécurité de l’Organisation mondiale de l’aviation et que la Syrie avait prouvé qu’elle était toujours prête à représenter le plus haut niveau de travail aérien technique et professionnel». En réponse aux interrogations des parlementaires, le ministre syrien des Transports a affirmé que le nombre d’appareils de la flotte de transport de la compagnie publique était de cinq et sera bientôt renforcée par l’acquisition de deux nouveaux appareils à grande capacité, afin d’exploiter de nouvelles lignes.

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JSK – MOB: Un derby au goût de Yennayer

Algérie 360 - Tue, 01/08/2019 - 09:12

Par Kamel BOUDJADI

La JSK prépare intensément la rencontre de vendredi prochain à Tizi Ouzou face au MO Béjaïa. Oubliée la victoire face à la JSS et place à la préparation de ce derby kabyle qui coïncide, par ailleurs avec la célébration du Nouvel An amazigh.

Tous les ingrédients semblent donc réunis pour une soirée footballistique passionnante devant un plat de couscous bien garni au poulet. Les spectateurs s’y préparent, de leur côté, pour une fête certaine car les supporters des deux équipes sont des fans des deux côtés.

Un rendez-vous festif
Toutefois, sur le tapis vert, les choses se présentent autrement car les deux équipes ne laisseront pas s’échapper si facilement une occasion de glaner le maximum de points. Les Canaris visent les trois points de la victoire pour se rapprocher davantage du leader mais également bien sûr pour confirmer la courbe ascendante des résultats. Avec un effectif très motivé grâce à la précédente victoire à Béchar, la JSK ne voudra rien de moins qu’un autre exploit. Les Canaris sont donc devant la nécessité de décrocher la timbale sans aucune concession.
Aussi, la configuration de cette rencontre, très attendue par les supporters, est nettement différente de la précédente. Face au MOB, les camarades de Renaï n’ont pas d’excuse parce qu’ils jouent à l’intérieur de leurs bases. L’autre spécificité de la rencontre est qu’elle se déroule avec l’apport supposé des nouvelles recrues intégrées lors du mercato d’hiver. Il semblerait d’ailleurs que Benchaïra est pressenti comme titulaire à son poste. Si l’on se fie aux confidences, Franck Dumas aurait bien l’intention de compter sur ce joueur pour relier les deux compartiments défensif et offensif.

Conditions favorables
Le retour du MCA au carré du premier peloton va certainement rendre plus serrée la course à une place qualificative aux coupes africaines. Mais cela ne semble pas perturber pour autant les Canaris qui s’estiment en mesure de s’éloigner des poursuivants directs comme ils viennent de le faire à l’issue de la 16ème journée.
En tout état de cause, la course est relancée et les pronostics sont ouverts à toutes les supputations.
Au fil des journées, les clubs prétendant à cette course aux compétitions continentales vont se battre même avec les griffes. Les duels seront de plus en plus passionnants. De son côté, la JSK veut rester en dehors de cette configuration, en faisant un de ses objectifs de rattraper l’USMA qui montre des signes d’essoufflement ces dernières semaines. La chose ne semble plus impossible, vu l’écart en points qui vient de se rétrécir.
C’est pourquoi donc, les camarades de Soued, qui a épaté par sa dernière prestation, vont se donner à fond pour arracher ces trois précieux points du derby. La bataille sera rude car les Mobistes sont décidés à effacer leur dernière piètre prestation à domicile et surtout pour s’éloigner de la zone de danger. A la 9ème place, le MOB n’a plus le droit au faux pas car il risque de se retrouver dans la zone de la relégation.

Quelques réglages dans l’effectif…
Jusqu’à hier, la direction de l’équipe kabyle ne semblait pas avoir clôturé la campagne des recrutements. Selon les déclarations du président Cherif Mellal, le technicien français pourrait encore bénéficier d’un autre recrutement si le besoin se faisait sentir. En tout cas, même si l’on ne cite pas de nom, il n’en demeure pas moins que les radars de la JSK tournent encore à quelques jours de la clôture du mercato d’hiver. Du côté de l’Ouest, les contacts avec Tabti sont, selon nos informations, officiellement rompus. Cherif Mellal n’est pas content du comportement de ce joueur de l’USMBA qui a fait perdre beaucoup de temps à la JSK. Le dossier de sa venue est donc définitivement clos. Ce remue-ménage n’apparaît cependant pas que dans le sens des arrivées. Le sens des départs montre aussi des signes positifs. L’on évoque ainsi avec insistance, l’imminence de la libération d’Uche. Des sources affirmaient hier qu’un accord aurait été trouvé, à l’amiable, avec ce joueur, qui n’a pas donné satisfaction.

La fête dans les gradins
Si du côté du terrain, les choses sont serrées, ce n’est pas le cas sur les gradins du 1er-Novembre. Tous les ingrédients laissent prévoir une fête grandiose. Les supporters, qui ont épaté par leur comportement lors de la première période du championnat, ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Ils veulent poursuivre leur révolution des moeurs dans les stades algériens.
Après avoir banni la violence durant la première phase, les supporters se préparent à accueillir les visiteurs avec les honneurs. Comme ils l’ont fait avec les supporters et les dirigeants les clubs venus cette saison à Tizi Ouzou, l’accueil sera chaleureux pour les Béjaouis.
La direction, qui a enclenché cette nouvelle dynamique après le retour des supporters, poursuit également sa politique d’ouverture des gradins à d’autres franges de la société. Ainsi, vendredi, un grand espace sera réservé aux familles qui viendront assister à la rencontre face au MOB. Jamais dans les annales du football algérien, la gent féminine n’a pu assister aux rencontres, à cause surtout de la violence verbale qui règne dans les tribunes. Venir en famille et entendre des chants pleins d’obscénités est une chose inconcevable pour un Algérien. Mais au stade du 1er-Novembre, les familles ont assisté au match et les supporters ont respecté leur présence. Pour beaucoup, la présence des familles est un facteur positif dans la lutte contre la violence, contrairement à l’idée reçue.

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Mauritanie : les orpailleurs ne peuvent désormais vendre leur produit qu’à la BCM

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 09:12
Sahara Médias - Les orpailleurs n’ont plus désormais qu’un seul client pour le produit de leur prospection. L’état les oblige...
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Elle était le porte-voix des femmes malheureuses: Zohra nous a quittés il y a 24 ans

Algérie 360 - Tue, 01/08/2019 - 09:10

Par Kamel BOUDJADI

Ce jour-là, Aguemoune grelotait de froid sous les flocons blancs de la neige qui tombait depuis la nuit. Le paysage était habillé d’un linceul blanchâtre pour accompagner sa fille de trente-deux printemps à sa dernière demeure pour un repos éternel. C’était un 9 janvier. Zohra s’en allait laissant derrière elle un trésor de chants et poésies pour la postérité.

En effet, Il y a vingt-quatre ans, jour pour jour, s’en allait la chanteuse Zohra après une courte carrière artistique, mais très riche d’amour entre elle et ses fans, très nombreux en Kabylie et dans l’émigration. La jeune diva naissante disparaissait dans un tragique accident de circulation en France. Selon les témoignages, Zohra est morte alors qu’elle se rendait de Paris où elle avait animé un gala, pour Marseille. Le destin voulait complètement autre chose; elle n’arrivera pas à destination.

En route, la jeune fille de 32 printemps mourut dans un accident effroyable. La nouvelle a vite fait le tour de la Kabylie et de la France où elle avait un large public. Un véritable deuil a été décrété par les mélomanes tellement la jeune chanteuse a, en l’espace de quelques années seulement, conquis les coeurs. Elle sera enterré dans le silence glacial comme il n’en existe que dans ces villages couverts de neige. Sur les hauteurs du Djurdjura, à Larbaâ Naït Iraten, les sifflements du vent portaient sur leurs ailes une âme qui a tout donné et n’a reçu que peu de bonheur dans sa vie.

Le chanteur Rabah Ouferhat, du même patelin qu’elle, décrivait «une fille très timide issue d’une famille manquant beaucoup de moyens. Elle a vécu une enfance difficile, elle n’avait pas connu la joie à cette époque comme les autres filles de son âge. Elle a quitté l’école très tôt. Elle avait un penchant pour la chanson, ajoute-t-il. «Elle m’a maintes fois demandé conseil déjà tout au début, mais ce n’était pas facile à cette époque d’encourager une fille vers la chanson», raconte Rabah Ouferhat.

Zohra est née en 1962 a Aguemoune, dans la commune de Larbaâ Naït Iraten. Elle mènera une jeunesse des plus perturbées. Après un premier mariage raté à l’âge de 18 ans, elle contractera une deuxième union qui ne durera non plus pas longtemps. Zohra reprendra sa liberté avec la charge de deux filles. Elle trouvera finalement réconfort dans le monde de l’art et de la chanson. Son passage à la chanson sera matérialisé par l’enregistrement d’un premier album qui sortira en 1982. Ce fut un véritable coup de maître.

Les chansons rencontreront un franc succès. La jeune fille d’Aguemoune s’imposera vite comme l’une des voix les plus admirées et écoutées. Les prévisions ne seront pas déçues car Zohra composera des chefs-d’oeuvre. Ayen, Ayen, lwerd Ifsan, zerâgh ur mgiregh ara resteront des hymnes à la condition féminine de cette époque-là dans la société kabyle. Elle lèguera à la postérité un recueil de 36 chansons dédiées au mal vécu par les femmes. Malgré les années qui passent, Zohra est encore présente dans les mémoires et les coeurs.

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Cinuvers et la littérature: Humanbook au rendez-vous

Algérie 360 - Tue, 01/08/2019 - 09:06

Par O. HIND

Humanbook ou les hommes-livres, est une manifestation organisée par le collectif Cinuvers qui a donné rendez-vous à ses habitués samedi dernier en entrant bien comme il se doit cette nouvelle année 2019.

Le concept est simple, nous confie l’un des cofondateurs de Cinuvers, Khalil Redouane Madani: «Chaque personne se dénude de sa personnalité et se met dans la peau d’un livre. Elle essaye de donner envie aux gens de découvrir et de lire un livre, tout en présentant un petit synopsis, en parlant de la profondeur et le style d’écriture de ce dernier comme une vraie note de lecture à présenter aux lecteurs. Une sorte de fiche de lecture humaine en somme.

Chaque personne est une forme de fiche de lecture humaine qui partage avec les autres leurs coups de coeur littéraire» et d’ajouter: «Il y a eu beaucoup d’Amine Maâlouf, du Dostoïevski, de Stephen King, de Oscar Wild de la science-fiction… Nous faisons cela une fois par mois. Il y a, en fait, deux rencontres littéraire de ce genre par mois, à l’issue desquelles on élira le livre du jour qu’on va décortiquer. Ce sera le livre du mois». Evoquant les projets de l’année, Khalil avoue que ce qui importe aujourd’hui est «le retour en force du ciné-club.

Nous sommes en train de travailler là-dessus avec une toute autre approche que nous sommes en train d’entreprendre. Ça avance assez bien. Peut-être d’ici un mois ou deux, le ciné-club reviendra. Mais le ciné-club n’est jamais mort…» le prochain rendez-vous cinéma, que parrainera cette fois Cinuvers, aura lieu le 19 janvier à l’Esaa (Ecole algérienne supérieure des affaires). En réunissant une somme d’intervenants, évoluant dans le métier de la réalisation, production, acteur et critique, le but de cette conférence, soulignera notre interlocuteur est de faire découvrir tous les métiers en rapport avec le cinéma». Bref, littérature, jeu de société et littérature sont au menu actuellement du collectif Cinuvers en attendant de «trouver le moyen pour organiser une rencontre cinématographique».

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Tiaret: Des éleveurs mis en garde

Algérie 360 - Tue, 01/08/2019 - 08:57

El-Houari Dilmi

L’inspection vétérinaire de la wilaya de Tiaret maintient l’état d’alerte à son niveau maximum, après la détection de plusieurs foyers de fièvre aphteuse. En effet, la vigilance est de mise surtout que les éleveurs réclament le vaccin pour protéger leurs cheptels contre les épizooties mortelles de fièvre aphteuse et de la peste des petits ruminants qui font des ravages dans plusieurs régions du pays.

L’inspecteur vétérinaire et ses équipes sillonnent tout le territoire de la wilaya depuis plusieurs jours pour apporter aide et conseils aux éleveurs en proie à une grande inquiétude. En attendant les résultats des analyses du laboratoire de référence et la fourniture de la quantité nécessaire de doses de vaccin aux éleveurs dans une région qui compte l’un des plus importants cheptels ovins et bovins du pays avec plus de 2,2 millions de têtes, l’inspection vétérinaire et la direction des services agricoles montent la garde.

L’inspecteur vétérinaire, M. Kouadria Mehdi, en faisant le tour des éleveurs dans les communes à risque, n’a pas manqué d’attirer l’attention sur la « triche » que certains éleveurs pratiquent en déclarant un nombre gonflé de bêtes mortes pour bénéficier de l’indemnité de l’Etat. « Tout éleveur pris en train de tricher sera sanctionné et sa carte d’agriculteur retirée », a menacé l’inspecteur vétérinaire.

Pour rappel, trois foyers suspectés de fièvre aphteuse ont été détectés, la semaine dernière, à Chehaïma, Takhmaret et Mellakou, sans aucun cas signalé de peste des petits ruminants (PPR), selon l’inspection vétérinaire.

En attendant, les prix des viandes rouges continuent de flamber, certains consommateurs préférant carrément les bouder de peur de contracter des maladies.

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Dzaïr TV: un producteur s’immole au siège de la chaîne de télévision

Algérie 360 - Tue, 01/08/2019 - 08:56

Le producteur Youcef Goucem s’est immolé hier au sein du siège de la chaîne de télévision privée Dzair TV, rapporte le site d’information Interlignes Algérie

Youcef Goucem, à la tête de l’entreprise de production GoFilm, et qui réclamait à la chaîne de télévision appartenant au groupe d’Ali Haddad d’être payé depuis de nombreux mois, est actuellement en salle de réanimation dans un hôpital à Douera.

Le litige en question concerne un programme de télévision diffusé sur la chaîne du Groupe Media Haddad « Il n’arrêtait pas de réclamer son argent depuis des mois, mais les responsables de la chaines se foutaient de lui » précise une source proche du producteur à Interlignes Algérie.

Le média, qui a rencontré un témoin de la scène, raconte ce qui est arrivé « Youcef est sorti très énervé du bureau du directeur fraîchement installé Abrous Outoudert et s’est précipité vers la salle d’eau avant de ressortir mouillé de produit inflammable (probablement essence), auquel il a mis feu » 

Une enquête a été ouverte par les services de sécurité pour déterminer les causes de cet incident, précise le site web d’information.

Pour rappel, le groupe Media d’Ali Haddad connait des difficultés financières depuis quelques années. A de nombreuses reprises, les employés de l’entreprise ont subi des retards de paiement.

Yasmine Dorbane

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Mauritanie. "Marche contre l'extrémisme et la haine": pourquoi l'opposition est non partante

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 08:29
Le360 Afrique - Invité à la marche contre "l'extrémisme et la haine" prévue pour le mercredi 9 janvier, le FNDU, un collectif de...
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Le président de la FIFA en visite mercredi à Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 07:45
Sahara Médias - Le président de la FIFA, Gianni Infantino, va effectuer dès mercredi une visite officielle en Mauritanie. Il sera à la...
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Déclaration RFD/marche UPR

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 07:00
RFD - Nous avons reçu une invitation de l'Union pour la République pour participer à une marche que ce parti compte organiser contre ce qu'il a...
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Patrice Talon présente ses voeux aux institutions de la République

24 Heures au Bénin - Tue, 01/08/2019 - 06:49

Le président de la Républque, Son Excellence Patrice Talon va procéder, ce mardi 08 janvier 2019, à la traditionnnelle cérémonie de présentation de voeux de nouvel An aux institutions de la République.
Le chef de l'Etat échangera les voeux du nouvel An avec les membres des institutions de la République ; le Corps Diplomatique accrédité au Bénin ; et la hiérarchie des Forces de Défense et de Sécurité.
Le déroulement de la céremonie serait en direct sur les canaux digitaux de la présidence du Bénin.

Akpédjé AYOSSO

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Ensemble contre le disocurs haineux/L’Unité Nationale : « Contre vents et marées »

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 01:00
AMI - Depuis quelques temps maintenant notre atmosphère politique et sociale est polluée à saturation de discours de haine et de mépris social...
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Super D1 : l’ASC Tidjikja renoue avec la victoire

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 00:30
RIM Sport - Après avoir été battue par la Garde , lors de la 11e journée , l'Asc Tidjikja s' est ressaisie en s'imposant largement (3-0)...
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Démission surprise du patron de la Banque mondiale

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/08/2019 - 00:00
Euronews - Trois ans avant la fin de son mandat, le président de la banque mondiale a annoncé lundi sa démission surprise. Fils d'un...
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Post-scriptum : cette idée du discours de haine que seul le pouvoir a le droit d’avoir

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 01/07/2019 - 23:15
Initiatives News - La marche du 9 janvier contre “le discours de haine” que dirigera le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz sera le...
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Education : une grève et des rassemblements le 21 janvier

Algérie 360 - Mon, 01/07/2019 - 22:48

Mohamed.K

Les six syndicats autonomes de l’Intersyndicale de l’éducation, réunis ce lundi à Alger, ont appelé les travailleurs de secteur à une journée de grève pour le lundi 21 janvier, ainsi qu’à des rassemblements de protestation devant les directions de l’éducation des wilayas.


Selon plusieurs responsables syndicaux, cette décision est un premier avertissement à la tutelle.


L’Intersyndicale de l’éducation est composée de six syndicats autonomes qui sont le Conseil national des enseignants du secondaire et du technique (Cnapest), le Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapeste), l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef), le Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef), le Conseils des enseignants des lycées d’Algérie (Cela) et le Syndicat national des travailleurs de l’éducation (SNTE).


Les syndicats en question, rappelons-le, ont annoncé récemment leur retrait de la charte d’éthique signée avec le ministère de l’Education depuis 2015.


Une charte qui avait permis d’éviter des perturbations dans le secteur de l’éducation, notamment depuis de le début de l’année scolaire en cours. Samedi dernier, la ministre de l’Education, Nouria Benghabrit, avait anticipé sur ce mouvement en précisant qu’un appel à la grève est « un manquement à la relation qui lie le ministère et les syndicats ».


Selon elle, la relation du ministère avec les syndicats était « sereine » et « continuait à l’être ». Benghabrit avait même menacé de recourir à des ponctions sur salaires en cas de débrayage.


Ainsi, après l’accalmie qu’a connue le secteur ces derniers mois et en dépit des appels au dialogue avec les partenaires sociaux, la situation risque de s’enliser et de connaître des dérapages, alors que la tutelle tablait sur une année scolaire sereine et stable dans tous les paliers.


Pour rappel, l’Intersyndicale s’est retirée en décembre dernier de la charte d’éthique signée il y a trois ans, en signe de protestation, et avait menacé de lancer des actions de débrayage.


Les responsables de ces syndicats ont annoncé également le boycott de toutes les rencontres officielles organisées par la tutelle aux niveaux national et local.


Cette décision extrême a été prise pour protester contre le mode de gouvernance du secteur adopté par la tutelle qui, selon un communiqué des syndicats, n’a pas respecté ses engagements. « Nous dénonçons la manière avec laquelle le ministère de l’Education agit avec les syndicats aux niveaux local et national. Cette manière n’est pas conforme au contenu de la charte d’éthique qui donne la priorité au dialogue social.


De plus, le ministère exerce des pressions et entrave l’activité syndicale, à travers l’annulation du travail avec les PV, le refus d’octroyer des sièges aux syndicats, les entraves à l’action des syndicalistes et le recours à la justice pour résoudre les conflits sociaux », avaient expliqué les responsables desdits syndicats dans leur communiqué diffusé le jour même de leur décision de retrait de la charte.


Les leaders des six syndicats regrettent aussi le fait que le ministère recoure à de fausses promesses concernant la gestion des grands dossiers, notamment ceux des œuvres sociales et du statut.


Les dernières décisions du ministère de l’Education, portant surtout sur l’obligation de rattrapage des cours durant les week-ends et la question des arrêts maladies, sont aussi critiquées.

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Vidéo. Mauritanie : Biram Dah ABEID pose "ses premiers pas" à l’Assemblée Nationale

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 01/07/2019 - 22:30
Le député Sawab/RAG Biram Dah ABEID a réaffirmé lundi son engagement à faire entendre la vérité à l’Assemblée Nationale, contrôlée par...
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L’opération débutera au deuxième semestre 2019: Vers la commercialisation de l’électricité solaire au profit de Sonelgaz

Algérie 360 - Mon, 01/07/2019 - 22:15

Alors que le groupe Sonelgaz a toujours eu le monopole en matière de production électrique, il semblerait que celui-ci devra, dès le deuxième semestre de 2019, faire appel à des entreprises privées pour acheter la production électrique générée par les panneaux photovoltaïques. Ainsi, quelques entreprises, notamment privées, entameront, dans quelques mois, la commercialisation de l’électricité générée par les panneaux photovoltaïques au profit de Sonelgaz.

Cette commercialisation de l’énergie électrique générée par les panneaux photovoltaïques interviendra au second semestre de 2019, et répondra aux exigences d’un cahier des charges qui sera alors proposé aux acteurs de ce nouveau domaine que l’on qualifie de prometteur. Ces derniers injecteront donc leur production dans le réseau de la société nationale de l’électricité et du gaz. Selon les explications, cette transaction obéira à un contrat qui liera les parties, à savoir les producteurs et Sonelgaz sur une période de 22 ans, avec à la clé une période d’amortissement de 4 ou 5 ans, ce qui confèrera près de 17 ans de bénéfices à ces opérateurs.

Rappelons que Sonelgaz dispose déjà d’une filiale pour la production de l’énergie électrique à partir du solaire et parvient à atteindre des taux d’intégration appréciables dans ce créneau inédit. Toutefois elle est tenue, par les textes officiels, de passer à l’étape supérieure, c’est-à-dire contracter des partenariats avec des investisseurs dans le photovoltaïque.

Parmi les entreprises pressenties pour cette nouvelle aventure, citons le Groupe industriel Condor qui produit ses propres panneaux. Le vaste territoire du Sud algérien est qualifié de gisement particulièrement riche pour l’exploitation de l’énergie solaire. Des expériences concluantes sont d’ailleurs citées à ce titre dans quelques localités comme El Meghaïer, à quelques encablures de l’oasis Tolga, à Biskra. Des écoles de formation, à l’instar de Royal School, dispensent des formations qualifiantes dans le domaine relatif à l’énergie solaire et au photovoltaïque et dont les équipements requerront, à l’avenir, une maintenance rigoureuse.

Pour rappel, les pouvoirs publics algériens ont affiché leur détermination à développer les potentialités nationales en énergies renouvelables, notamment le solaire, pour contribuer au renforcement des capacités de production d’électricité pour une meilleure réponse aux besoins des citoyens en la matière. D’ailleurs, le programme national des énergies renouvelables algérien prévoit une introduction progressive des sources alternatives, notamment le solaire avec ses deux branches (thermique et photovoltaïque), dans la production d’électricité sur les 20 prochaines années.

Dans cette perspective, la production d’électricité à partir des différentes sources d’énergies renouvelables, que l’Algérie compte développer sur la période 2011-2030, serait de 22 000 mégawatts à l’horizon 2030, soit 40% de la production globale d’électricité. Sur les 22 000 MW programmés pour les deux prochaines décennies, l’Algérie ambitionne d’exporter 10 000 MW, alors que les 12 000 MW restants seraient destinés pour couvrir la demande nationale.

Lamia B.

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Violence dans les stades : Le huis clos a montré ses limites, le fichier national tarde à voire le jour

Algérie 360 - Mon, 01/07/2019 - 22:10

Lors de la première édition des états généraux sur le sport clôturée avant-hier à Alger et organisée par le MJS, un atelier spécial a été consacré au pertinent dossier de la violence dans les infrastructures sportives. Il s’avère que jusque-là, tous les remèdes essayés pour endiguer ce fléau qui ne cesse de prendre des dimensions alarmantes n’ont pas donné leurs fruits.

A la tête de ces mesures qui continuent d’être mises en œuvre, on peut citer le huis clos. Ce dispositif, appliqué depuis déjà plusieurs années et auquel aucun club n’a échappé, a montré ses limites. Dans la foulée, les responsables ne semblent pas faire l’effort pour trouver d’autres règles dissuasives et extrêmes. Les observateurs pensent d’ailleurs que le barème des sanctions doit être revu et s’il faut frapper fort, les responsables ne devront pas hésiter. Ce n’est d’ailleurs pas en infligeant quelques matches à huis clos et des sanctions financières que cela va mettre un terme au problème de la violence.

Le risque devient encore énorme avec l’entame de la deuxième partie de la saison, où l’enjeu devient plus important. Un stade de football est un lieu de spectacle et il ne devrait pas être un lieu dangereux. Beaucoup de personnes évitent d’aller au stade parce qu’ils ne savent pas ce qui peut les attendre là-bas. Ce lieu est devenu le meilleur endroit pour exprimer le mal-être des jeunes. Le stade est devenu un défouloir, un cadre pour exposer un mal-vivre général et cela n’est pas interdit puisque la Constitution assure la liberté d’expression.

Ce qui est interdit, c’est de toucher à l’intégrité physique des gens et à l’infrastructure. Et pour justement combattre les énergumènes des stades en Algérie, les autorités publiques ont songé à un autre procédé consistant à l’établissement d’un fichier national qui prive les personnes y figurant d’assister aux rencontres de football. Il s’agirait certainement d’une minorité qui provoque les événements et la plupart d’entre ces pseudo-supporters s’extirpent des sanctions. Seulement, cette action est loin d’entrer en vigueur. On est même tentés de dire qu’il faudra encore patienter des années durant pour y arriver. En attendant, l’installation de caméras de surveillance, la mise en place de stadiers suffisamment formés pas des supporters, peuvent constituer d’autres palliatifs. Les récalcitrants, ceux reconnus coupables de violence et fauteurs de troubles doivent être interdits d’accès à tous les stades du pays. Cela se fait à travers le monde et permettrait la diminution sensible du nombre des voyous dans un stade.

Il faut dire que le combat contre la violence dans les infrastructures sportives est censé être l’affaire de toutes les parties. De l’Etat, des organisateurs des rencontres, du comité de supporters, des dirigeants de club et des joueurs également. En attendant aussi, l’on continue à croiser les doigts.
H. S.

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Aït Yahia Moussa – Riche programme de commémoration: Dire aux jeunes la bataille du 6 janvier 1959

Algérie 360 - Mon, 01/07/2019 - 21:59

Six (6) janvier 1959 – 6 janvier 2019. Soixante ans, jour pour jour, que la célèbre bataille du 6 janvier 1959 a eu lieu. Pour commémorer cet événement, la Kasma des Moudjahidine et l’APC d’Aït Yahia Moussa ont tracé un programme «pour rappeler aux jeunes générations l’engagement indéfectible de la région dans la lutte armée pour le recouvrement de l’indépendance».

Après un rassemblement devant la mairie, la procession a pris le chemin du carré des martyrs «6 janvier 1959», à Vougarfène, à quelque quatre kilomètres de l’ex-Oued-Ksari. En plus des autorités locales, étaient présentes les autorités civiles et militaires et des figures révolutionnaires. Après le dépôt d’une gerbe de fleurs et l’observation d’une minute de silence à la mémoire des martyrs de la révolution, en général, et ceux de la bataille, en particulier, des intervenants sont revenus sur cette bataille ayant marqué la révolution par, non seulement, le nombre de martyrs tombés au champ d’honneur, mais aussi par les pertes au sein de l’armée coloniale. «C’était comme un tremblement de terre. Des hélicoptères appelés en renfort arrosèrent les habitations avec du napalm. C’était un crime contre l’humanité. Même si la région connut d’autres batailles, il n’y pas eu pire que celle du 6 janvier.

Les soldats français crurent mater la révolution en éliminant de hauts responsables qui voulurent se rencontrer à Tizra Aïssa, plus précisément dans la maison natale de Krim Belkacem. Mais Si Moh Nachid et ses hommes purent les extirper de cette zone et les accompagner jusqu’au Djurdjura. L’opération aurait été une parfaite réussite si des harkis ne les avaient dénoncés auprès de l’armée française, peu avant le début de cette importante réunion. Ce jour-là, les moudjahidine donnèrent du fil à retordre à l’une des armées de l’Otan les plus aguerries et supérieure en hommes et en armes», racontera un rescapé de cette grande bataille.

D‘autres témoignages poignants corroboreront les propos de dernier. Ils étaient nombreux à vouloir prendre la parole. Chacun voulait raconter un fait ou une anecdote sur cet épisode révolutionnaire, le plus important toute la région. Du côté des civils, on parle de dizaines d’habitations détruites, avec à l’intérieur des bêtes et des provisions, et de plusieurs blessés, brûlés. Juste après cette bataille, ce fut la ruine pour les montagnards qui n’avaient plus rien à manger. Les Français s’étaient alors acharnés contre la population civile. C’était aussi une manière pour eux de couper définitivement la logistique que donnaient les civils aux Moudjahidine. Depuis cette importante bataille, la région d’Aït Yahia Moussa fut déclarée zone interdite. Il y eut non seulement l’installation de camps militaires partout mais aussi de postes avancés. «Trois mois après cette bataille, une autre a eu lieu, le 5 mars 1959 à Tachtiouine», racontera un autre moudjahid. Pour cette grande bataille, selon les chiffres dont nous disposons, l’armée française avait mobilisé 32 000 hommes de troupe, 32 avions de chasse et une grande artillerie. Devant l’ampleur des blessés et des morts, les combats tournèrent au corps à corps dans les oliveraies de Vougarfène, alors que les avions survolaient toute la région afin de resserrer l’étau sur les Moudjahidine, qui devaient arriver en renfort des villages voisins, tels Tafoughalt, Tarikht, Imzoughène et même de Maâtkas.

On compta 385 martyrs tombés au champ d’honneur ce jour-là, alors que l’armée française perdit de nombreux soldats, dont le nombre reste indéterminé à ce jour. «Des hélicoptères ne cessèrent de transporter les morts et les blessés vers l’hôpital de Tizi-Ouzou, mais on ne savait pas exactement leur nombre», se rappellera un ex-combattant. Le fait saillant de cette importante bataille fut la capture du lieutenant Chassin et du capitaine Garazziani, sinistre tortionnaire de Louisette Ighil Ahriz et de nombreuses autres Moudjahidate dans les prisons de l’Algérois et les centres de torture. C’était peut-être cela qui enragea les soldats en recourant à toutes formes d’extermination. Ce massacre reste gravé dans la mémoire collective. On croit savoir qu’un film sera réalisé pour ouvrir cette page glorieuse du parcours héroïque soldats de l’ALN. «Un exemple de bravoure et de courage à méditer et à prendre en exemple à chaque fois qu’il faudra défendre cette patrie arrosée par le sang d’un million et demi de martyrs», insiste un ancien maquisard.

Amar Ouramdane

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Categories: Afrique

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