Le conseil des ministres en sa séance de ce mercredi 16 janvier 2019 a pris des mesures préventives en vue de mieux gérer la transhumance transfrontalière.
Le gouvernement " tirant leçon des expériences des campagnes de transhumance, caractérisées par des destructions massives de champs de culture, d'affrontements sanglants provoquant des pertes en vies humaines'', a décidé de promouvoir, à terme, l'élevage intensif en lieu et place du mode intensif actuellement en cours.
Le gouvernement a décidé qu'il " il convient de renforcer le dispositif mis en place lors de la campagne 2017-2018 et d'anticiper les incidents et dégâts de la campagne à venir".
Le gouverment invite les ministres impliqués dans la gestion de la transhumance à veiller à l'observance de certaines mesures. Il s'agit pour eux de "Rendre opérationnelle l'organisation de l'accueil et l'orientation des troupeaux transhumants au niveau des points d'entrée", et de "Réactiver les comités départementaux et communaux de transhumance". Aussi doivent-ils veiller à " Faire libérer, en liaison avec les collectivités territoriales, les sites d'accueil et procéder au tracé et/ou réajustement des couloirs de passage des troupeaux transhumants" puis " Sensibiliser les populations sur les comportements à adopter pour une campagne apaisée". Il sera question en fin de compte pour les institutions impliquées de " Renforcer les équipes chargées de surveiller les transhumants en vue de prévenir tout incident au cours de leur séjour". C'est dans cette vision qu'au terme de ces mesures , " le conseil des ministres a autorisé le renfort de la police républicaine par les unités de l'armée dans les communes concernées". Le gouvernement s'engage à gérer cette campagne avec toutes les mesures idoines impliquant sur différents acteurs de la chaîne.
G.A.
Les membres du gouvernement réunis en session ordinaire du Conseil des ministres ce mercredi 16 janvier 2019, ont décidé de l'aménagement du giratoire de la ville de Tchaourou. Selon le relevé du Conseil des ministres, les travaux de la route Bétérou-Tchaourou-Frontières du Nigéria ont occasionné d'importants conflits de circulation dans ladite ville, particulièrement à l'intersection de la route Bohicon-Dassa-Parakou qui constitue le corridor principal vers les pays de l'hinterland desservis par le port autonome de Cotonou. Pour remédier à cette situation, il urge selon le gouvernement, d'aménager convenablement ce carrefour en vue de permettre la fluidité du trafic au niveau de la traversée de l'agglomération de Tchaourou.
En vue de l'exécution de ces travaux, une évaluation des offres a permis de retenir l'entreprise Sogea-Satom pour l'aménagement et le bitumage du giratoire. Le groupement du bureau Déco-Ic/Horse va offrir les prestations de contrôle et de surveillance.
F. A. A.
Le parlement européen a adopté en plénière ce mercredi 16 janvier 2019 à Strasbourg, l'accord agricole entre le Royaume du Maroc et l'Union Européenne (UE). Le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale du Maroc s'est félicité de l'adoption par le Parlement Européen, de l'Echange de Lettres concernant l'Accord Agricole conclu entre le Royaume du Maroc et l'Union Européenne.
A travers la signature de cet accord, les produits agricoles et de pêche issus des provinces du Sud bénéficieront désormais des mêmes préférences tarifaires que ceux couverts par l'Accord d'Association. Il confirme également que tout accord couvrant le Sahara marocain ne peut être négocié et signé que par le Royaume du Maroc dans le cadre de l'exercice de sa souveraineté pleine et entière sur cette partie de son territoire.
Ce vote vient couronner un long processus de négociations techniques, de concertations politiques et de validations juridiques, engagées entre le Maroc et l'UE. Durant ce processus, le Maroc a été animé par une triple logique à savoir, la défense non-négociable de son intégrité territoriale et des fondamentaux de sa position à l'égard du Sahara Marocain, la préservation de ses intérêts économiques dans un secteur important avec un partenaire commercial privilégié et un attachement sincère au partenariat multidimensionnel et profond avec l'UE.
Le Maroc tient également à exprimer son appréciation à l'égard de l'action de toutes les institutions européennes et des Etats membres de l'UE, et de leur engagement continu dans un esprit de responsabilité, en vue de faire face aux manœuvres et attaques menées par l'Algérie et le polisario pour torpiller ce partenariat séculaire. Il considère que l'adoption de cet accord constitue une base solide pour une relance pleine et entière de son partenariat avec l'UE, afin de relever ensemble, les défis auxquels fait face la région, et saisit ses opportunités dans un esprit de clarté, de responsabilité et d'ambition.
Le vote a été sanctionné par une majorité écrasante de 444 députés pour, 167 contre et 68 abstentions.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr. Francois Bla Nguessa, a souligné mercredi à Tissemsilt, que « l’Algérie capitalise une expérience pionnière en Afrique en matière de rapprochement des citoyens des services sanitaires ».
Dans une déclaration à l’APS, en marge de la visite de la délégation de l’OMS de l’établissement public hospitalier (EPH) de Bordj Bounâama, le Dr Nguessa a ajouté que « l’Algérie a réussi à assurer une couverture sanitaire dans ses régions intérieures par le biais de conventions de jumelage entre les hôpitaux du Nord et ceux des Hauts Plateaux et du Sud », estimant dans ce contexte, que l’Algérie compte une expérience pilote en Afrique en ce qui concerne le rapprochement des citoyens des prestations sanitaires ».
« Nous comptons mettre en oeuvre l’expérience algérienne en matière de jumelage entre hôpitaux dans d’autres pays membres de l’OMS car, cette expérience est très réussie en assurant les prestations sanitaires de qualité au profit des malades », a indiqué le Dr. Nguessa.
Il a ajouté que son organisation « enregistre avec intérêt le succès de l’expérience algérienne dans la gestion des ressources humaines au niveau des établissements sanitaires ». « L’Algérie est un pays pionnier dans ce domaine », a-t-il dit .
Par ailleurs, le même responsable a affirmé que la visite de la délégation de l’OMS à l’EPH de Bordj Bounâama a permis de s’enquérir de près de l’efficacité et de la performance de l’opération de jumelage avec l’EHU « Bachir Mentouri » de Kouba (Alger).
Dans ce contexte, il a annoncé que la délégation de l’OMS en Algérie poursuivra, cette année, ses visites aux différents EPH des wilayas des Hauts Plateaux et Sud du pays pour s’enquérir de visu des opérations de jumelage inter-hôpitaux, programmées par le ministère de la santé, de la population et de la réforme hospitalière.
A noter que la délégation de l’OMS, qui comprend quatre représentants d’Afrique et d’Europe, a visité l’EPH de Bordj Bounâama où elle a rencontré l’équipe médicale et paramédicale de l’EHU « Bachir Mentouri » de Kouba qui a assuré, au début de l’année en cours, plusieurs interventions chirurgicales dans plusieurs spécialités comme l’ORL, la gynécologie obstétrique et la chirurgie générale.
La délégation de l’OMS s’est également enquis de la gestion par informatique des ressources humaines de cet établissement hospitalier de la wilaya de Tissemsilt.
Cette délégation a été accompagnée des directeurs des services de la santé et des ressources humaines relevant du ministère de tutelle, rappelle-t-on.
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La 7e étape du Challenge national de cross country, prévue samedi à Bouchaoui (Alger), sera dédiée à la mémoire du regretté journaliste Abderazak Seghouani dit « Abdou » décédé le 4 juillet dernier.
« Vadrouilleur, Abdou dit aussi Monsieur omnisport par sa polyvalence, a aimé le sport en général, avec un penchant pour l’athlétisme en général et le cross en particulier. Ce cross que la ligue d’Alger a eu l’initiative de dénommé Abdou-Seghouani restera une compétition commémorative de la mémoire de ce grand homme qui s’était sacrifié pour l’information sportive », a indiqué la Fédération algérienne de la discipline (FAA).
« Cette 12e édition du cross d’Alger sera une opportunité pour les meilleurs de s’illustrer sur un parcours qu’ils connaissent très bien pour l’avoir foulé à plusieurs occasions et en différentes circonstances », ajoute la FAA dans son communiqué, soulignant que cette course sera qualificative au Mondial de cross-country qui aura lieu le 30 mars au Danemark.
A cette occasion, la direction technique nationale de la FAA a conditionné la participation au Championnat du monde par de bonnes prestations lors des Challenges nationaux et le Championnat national de cross du 2 mars prochain à Sétif, supervisant toutes les sorties des athlètes.
La FAA a également indiqué que la ligue d’Alger organisatrice de cette manifestation a pris toutes les dispositions pour parer à toutes éventualités, en cas de temps pluvieux.
Programme du cross d’Alger « Abdou-Seghouani » :
9h00 : Minimes garçons 2500m
9h15 : Minimes filles 2000m
9h30 : Benjamins 2000m
9h45 : Benjamines 1500m
10h00 : Ecole garçons 1500m
10h15: Ecole filles 1500m
10h30: U18 filles 3500m
10h50 : U18 garçons 5000m
11h00 : U20 et seniors dames 5000m
10h40 : U20 hommes 6000m
11h30 : Seniors hommes 8000m.
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Le sort de l’ancien président de Côte d’Ivoire (2000 – 2011), Laurent Gbagbo, et de l’un de ses plus proches partisans, Blé Goudé, acquittés la veille par les juges de la Cour pénale internationale (CPI), était suspendu mercredi à l’examen de l’appel introduit par les Procureurs de la Cour, qui évoquent notamment un « risque concret » que les accusés ne comparaissent pas devant la CPI en cas d’un procès en appel.
Laurent Gbagbo et Blé Goudé dont les affaires ont été jointes en 2015, devant la CPI, étaient accusés de quatre chefs d’accusation de crimes contre l’humanité, à savoir, « meurtres, viols, persécutions et autres actes inhumains ».
Toutefois, les juges Cuno Tarfusser (juge président) et Geoffrey Henderson, formant la majorité de la Chambre, ont noté le conflit politique violent ayant eu lieu dans le contexte de l’élection présidentielle de 2010, à Abidjan et dans d’autres parties du pays.
Mais, la majorité a considéré que le Procureur n’a pas fourni des preuves suffisantes en vue de démontrer la responsabilité de M. Gbagbo et de M. Blé Goudé pour les incidents faisant l’objet de l’examen de la Chambre.
De plus, la Chambre a conclu, à la majorité, que le Procureur n’a pas démontré que des discours publics de M. Gbagbo ou M. Blé Goudé auraient permis d’ordonner, solliciter ou encourager les crimes allégués.
Par conséquent, la Chambre a décidé que la Défense n’avait pas besoin de soumettre des éléments de preuves supplémentaires. Maintenant, il appartient à la Chambre d’appel, composée de cinq autres juges, de statuer sur la requête introduite par les Procureurs de la Cour.
Deux appels sont possibles, un concernant la libération immédiate des prévenus, et un autre concernant la décision même d’acquittement. Pour les procureurs, il existe des « raisons exceptionnelles » de s’opposer à la libération inconditionnelle de M. Gbagbo et de son coaccusé, Blé Goudé.
Ils évoquent notamment un « risque concret » que ce dernier ne comparaisse pas devant la CPI en cas d’un procès en appel. « On ne peut pas dire que la procédure en appel soit un mort-né. Il se pourrait très bien qu’il y ait un nouveau procès », a affirmé le procureur Eric McDonald au cours de l’audience.
L’accusation a cependant déclaré, selon des médias sur place, qu’elle ne s’opposerait pas à une mise en liberté dans un pays membre de la CPI — excepté la Côte d’Ivoire — « si le risque de fuite peut être atténué en imposant une série de conditions ».
Les deux équipes de défense ont également indiqué être prêtes à signer un document de la Chambre qui engage les deux accusés à comparaître à un éventuel procès en appel s’ils sont libérés. En détention depuis plus de sept ans, Laurent Gbagbo a explosé de rire quand, à la demande du juge, une de ses avocate est venue lui demander s’il était prêt à signer un tel document.
« Bien sûr! », a répondu son avocat, Emmanuel Altit, sous les rires euphoriques de la tribune publique, ont rapporté les médias. « L’accusation semble vouloir ignorer le changement sur le fond. Laurent Gbagbo n’est plus un accusé, Laurent Gbagbo a été accusé. Il n’est plus présumé innocent, il est reconnu innocent. Cela change tout », a-t-il martelé.
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L’ensemble des directeurs de l’Education ainsi que les directeurs des établissements scolaires des trois cycles ont été mis en alerte par ministère de l’Éducation sur l’utilisation de l’application Tik Tok.
Tik Tok , anciennement appelée Musical.ly , la nouvelle application préférée des préados, sert aux jeunes algeriens à partager des clips d’eux, la plupart avec un fond sonore préenregistré. L’occasion pour eux de chanter en play-back les paroles de leurs artistes préférés, ou encore de rejouer les répliques de leurs films favoris.
A cet effet, le ministère de l’Education soulève deux problématiques : Les défis parfois dangereux lancés sur ce réseau social et qui pourrait pousser les mineurs à se mettre en danger pour les réaliser. Ainsi que le caractère immoral ou obscène de certaines vidéos réalisées par des mineurs et qui pourraient les exposer au danger du chantage sur les réseaux sociaux.
Ainsi, les directeurs de l’Education, ainsi que les directeurs des établissements scolaires, sont appelés à sensibiliser davantage les parents quant à l’utilisation adéquate des réseaux sociaux par leurs enfants.
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Le conseil des ministres s'est réuni en sa séance hebdomadaire ce mercredi 16 janvier 2019 sous la présidence d'un chef de l'Etat. Votre journal publie ici en intégralité le compte rendu des travaux
Veuillez cliquer sur le lien ci-après pour lire
https://sgg.gouv.bj/cm/2019-01-16/download
Le Parlement européen a entériné mercredi l’accord agricole « illégal » UE-Maroc visant à étendre les préférences tarifaires aux produits du Sahara occidental, à l’issue d’un vote entaché d’ »irrégularités » et d' »illégalité », ont dénoncé des eurodéputés.
Après un long processus de négociations entre l’UE et les autorités marocaines visant à contourner les arrêts de la Cour de justice de l’Union européen (CJUE), le Parlement européen a entériné mercredi l’accord agricole UE-Maroc visant à étendre les préférences tarifaires aux produits du Sahara occidental.
Cet accord est qualifié par des eurodéputés d' »illégal », soulignant à ce propos que le Parlement européen n’a pas respecté les arrêts de la CJUE qui avait statué sur le caractère « distinct » et « séparé » du territoire du Sahara occidental et de l’inapplicabilité dudit accord à ce territoire ainsi que sur l’impératif du consentement du peuple sahraoui pour toute action d’exploitation de ses ressources.
Le Parlement européen a procédé, également, au vote sur un rapport « biaisé » validant l’accord UE-Maroc établi par l’ex-rapporteur, Patricia Lalonde, alors que cette eurodéputée française a été contrainte de démissionner début décembre 2018 après l’ouverture d’une enquête à son encontre suite à des révélations l’impliquant dans un cas de « conflit d’intérêt manifeste » et de « violation du code de conduite » du Parlement européen, ont ajouté les eurodéputés.
L’adoption de l’accord a été effectuée, en outre, sans aucun débat public au niveau du Parlement, et ce, après le rejet par 10 voix d’écart de la demande introduite par le Groupe des Verts/ALE d’inscrire un débat, préalablement au vote, à l’ordre du jour de la session plénière du 14 janvier 2019.
En refusant ce débat, plusieurs eurodéputés ont été privés de parole afin de mettre en évidence les multiples « contrevérités » et « incohérences » du rapport Schaake ou ex-Lalonde, mais surtout de la possibilité d’interpeller publiquement cette dernière sur les raisons l’ayant poussé à la démission et vérifier la « régularité » de procéder au vote sur un rapport que la « rédactrice » n’a pas assumé jusqu’au bout.
Les parlementaires européens n’ont pas manqué de relever, dans ce contexte, la position de nouvelle rapporteuse, remplaçante de Patricia Lalonde, la néerlandaise Marietje Schaake, qui a tenu à se démarquer de la position affichée par le Parlement.
S’exprimant dans une tribune qu’elle a publiée, mercredi, avant le vote sur le rapport controversé, celle-ci a reconnu que la CJUE a clairement exigé le consentement du peuple du Sahara occidental préalablement à tout extension d’accord au Sahara occidental.
Apportant son soutien à la proposition de résolution introduite par une centaine d’eurodéputés et par laquelle ils sollicitaient l’avis de la CJUE avant d’entériner l’accord au niveau du Parlement, Mme Schaake a confié avoir introduit un amendement, dans lequel elle a sollicité la Commission d’explorer les moyens pour que les préférences commerciales soient effectivement accordées à l’avenir à la totalité du peuple vivant au Sahara occidental.
Ceci illustre, selon les eurodéputés, du caractère « bancal » de l’accord, dans le sens où la nouvelle rapporteuse de la Commission du commerce international (INTA) admettait que cet accord ne bénéficie pas à la totalité du peuple vivant au Sahara occidental, contrairement à ce que défendait la Commission européenne dans son rapport.
La nouvelle rapporteuse a annoncé avoir proposé un deuxième amendement portant sur la suppression d’un passage du rapport (paragraphe 9) qui laissait entendre que le projet d’accord UE-Maroc serait « compatible » et ne « porterait pas préjudice au processus onusien sur la question sahraouie ».
Des « dépassements ignorés » par les instances européennes
Outre ces « irrégularités » signalées, les déclarations faites par le Commissaire européen en charge des Affaires économiques, Pierre Moscovici ont suscité l’inquiétude des eurodéputés.
L’ex-ministre français de l’Economie a reconnu, dans une lettre rendue publique par l’ONG Western Sahara Resource Watch, que le Maroc avait refusé la proposition de la Commission européenne visant à mettre en place un mécanisme de « traçabilité » des produits importés du Sahara occidental, avouant que la Commission européenne a dû accepter une proposition « alternative » marocaine, qui ne répondait pas aux attentes en la matière.
A cet égard, plusieurs eurodéputés ont exprimé leur étonnement que ce vote ait lieu, alors que des questions concernant un « conflit d’intérêt manifeste » et des « dépassements » vis-à-vis de la loi n’ont pas trouvé d’explications de la part des instances européennes.
Appelant au rejet « sans réserve » de cet accord, des centaines d’eurodéputés ont insisté sur la sollicitation de l’avis de à la Cour européenne de justice préalablement au vote sur l’accord. Dans un communiqué publié par l’Intergroupe Sahara occidental du Parlement européen, juste avant le vote, ses membres ont exhorté le Parlement européen à respecter les arrêts de la CJUE.
L’intergroupe a également indiqué dans son communiqué que « le non-respect total du droit international et du droit de l’UE par le biais de l’accord proposé suscitent de vives inquiétudes quant au rôle contre-productif de l’UE dans le processus de paix onusien ».
« Tant que toutes les grandes questions juridiques et politiques ne seront pas réglées, nous rejetterons l’accord proposé », ont souligné les membres de l’Intergroupe, s’engageant à dénoncer de la même manière le projet d’accord de pêche UE-Maroc qui sera soumis au vote le mois prochain.
Toutes ces « incohérences » et « irrégularités », ayant conduit à l’approbation de cet accord « illégal », seront autant d’éléments à charge qui vont peser dans le balance en prévision de futures batailles juridiques que le Front Polisario compte engager prochainement.
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L’entraîneur du CS Constantine, Denis Lavagne, a indiqué que son équipe, métamorphosée depuis l’arrivée du Français à la tête de la barre technique, ambitionnait d’ »aller le plus loin possible » en Ligue des champions d’Afrique.
« Le CSC, qui a renforcé son effectif durant le mercato hivernal, compte désormais une doublure dans chaque poste », ce qui permet « de donner plus de confiance à l’équipe pour atteindre un tour avancé en Ligue des champions », a déclaré le technicien français à l’APS.
Le club de « Cirta » a signé mardi une septième victoire de suite, toutes compétitions confondues, en dominant à domicile le CA Bordj Bou Arréridj (1-0) en match décalé de la 17e journée de Ligue 1.
Lavagne, concentré déjà sur la rencontre de samedi soir qui devra opposer, au stade Chahid-Hamlaoui de Constantine (20h00), les Sanafir au TP Mazembe (RD Congo), pour le compte de la 2e journée (groupe C) de la phase de poules de la Ligue des champions, affirme avoir privilégié le « turn-over » mardi en faisant souffler des joueurs comme Abid, Zaalani et Yettou, « en attendant l’intégration de Dylan Bahamboula et Arouna Dang ».
En C1, le CSC reste sur un succès de prestige à Sousse devant le Club Africain de Tunis (1-0) vendredi dernier et devra confirmer samedi face au TP Mazembe avant de se rendre le 1er février en Egypte pour affronter Al-Ismaïly.
« Nous respectons nos adversaires mais nous ne les craignons pas, bien que certaines équipes de ce groupe se sont adjugées le trophée de cette compétition », a souligné l’entraîneur du CS Constantine, assurant que si son équipe reste dans le même état d’esprit, « elle pourra bien se qualifier au prochain tour ».
S’agissant de la préparation du match du TP Mazembe, l’ancien sélectionneur du Cameroun a fait savoir que ses joueurs « devront d’abord bien récupérer et se préparer mentalement pour pouvoir être solidaires, éviter d’encaisser des buts à domicile et surprendre l’adversaire par des contres afin d’avoir le dernier mot sur une équipe congolaise redoutable ».
Et d’ajouter : « Le TP Mazembe a réalisé une belle performance contre Al-Ismaïly en s’imposant sur le score de 2 à 0, mais après avoir analysé son style de jeu, je pense que nous pouvons les bousculer vu que nous avons les qualités nécessaires et nous jouerons devant nos supporters ».
De son côté, le manager général du club, Tarek Arama, a souligné la difficulté de la mission et du calendrier chargé du CS Constantine qui devra disputer sept matchs durant ce mois de janvier, toutes compétition confondues, estimant que son équipe « relèvera le défi et fera tout pour satisfaire ses supporters ».
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Chaque année, le monoxyde de carbone est responsable de plusieurs intoxications en Algérie, ce gaz est indétectable mais peut être mortel en moins d’une heure. Il émane généralement des systèmes de chauffage par combustion, présentant un défaut d’aération ou d’installation. C’est pourquoi il est important de les faire vérifier avant chaque hiver. Suivez nos conseils.
Comment éviter les intoxications ?En cas d’intoxication grave (chronique ou aiguë), les personnes gardent parfois des séquelles : migraines chroniques ou bien dépendances neurologiques invalidantes (troubles de la coordination motrice, paralysies de toutes formes). Les femmes enceintes nécessitent souvent une prise en charge spécifique.
Massin.A
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Le ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, Abdelkader Bouazghi, a pris part mercredi à une conférence débat au niveau du Congrès américain à Washington où il a présenté les réalisations enregistrées par l’Algérie grâce aux programmes de développement agricole initiés depuis 2000.
Lors de son allocution, M. Bouazghi, qui effectue une visite de travail du 13 au 18 janvier aux Etats-Unis, a présenté les différents programmes de développement agricole initiés par le président de la République Abdelaziz Bouteflika dans le cadre du Plan National de Développement Agricole (PNDA) « au moment où l’Algérie a renoué avec la paix et la sécurité grâce à la politique de réconciliation nationale », indique un communiqué du ministère.
Cette stratégie a permis d’enregistrer des résultats notables qui contribuent à la consolidation de la sécurité alimentaire du pays par le développement de l’ensemble des filières stratégiques, selon la même source.
Le ministre a mis en avant « les résultats probants enregistrés, qui permettent aujourd’hui à notre pays de couvrir, par la production nationale, la quasi-totalité des besoins en produits maraichers, fruitiers et carnés et démontrent la pertinence de la stratégie adoptée comme l’illustrent la réhabilitation de l’activité agricole et la création de multiples créneaux d’investissements pour la promotion d’une agriculture productive et moderne ».
Ces avancements « nous encouragent à poursuivre les efforts consentis afin de les consolider à travers la diversification des productions agricoles pour l’amélioration de l’offre, la réduction des importations et la dynamisation des exportations hors hydrocarbures », en s’appuyant sur « une mobilisation plus accrue des capitaux et de l’initiative privée », indispensables à la relance de l’investissement dans le secteur, a souligné le ministre à cette occasion.
En marge de la rencontre, M. Bouazghi a assisté au lancement du livre « Algeria et Transatlantic Relations ».
La délégation conduite par le ministre effectuera des visites à de grandes exploitations de production laitière, céréalière, fourragère, de fruits et d’élevage ainsi qu’à des unités de transformation et de conditionnement en Californie.
La présence de nombreux opérateurs économiques algériens aux Etats-Unis vise, selon la même source, à établir des partenariats avec leurs homologues américains dont la mise en œuvre contribuera à renforcer d’avantage les relations bilatérales et de partenariat économique entre les deux pays dans le domaine agricole.
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