«Le raccordement au réseau de gaz naturel se poursuivra pour les habitants des localités des zones éparses et les hameaux isolés opérant dans le territoire de la wilaya de Naâma».
C’est ce qu’a indiqué le premier responsable de la wilaya, M. Mohamed Hadjar, lors de sa visite qui l’a conduit au courant de la semaine écoulée, à l’extrême-ouest de la commune de Aïn-Benkhelil. De ce fait, dira-t-il, «une enveloppe financière serai dégagée très prochainement pour approvisionner ces localités rurales isolées des centres urbains, à l’exemple de Hassi-Defla, El-Gaâloul, Nessanisse, Tala, Forthassa, Ouzaght-Houdoudia, et bien d’autres localités et groupements d’habitations, jusqu’à atteindre la couverture totale de presque les 100% des ménages qui devront eux aussi bénéficier de cette prestigieuse énergie vitale et mettront, par conséquent, fin au casse-tête de la bonbonne à gaz ; ce sont des opérations qui rentrent dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des citoyens».
En somme, les habitants de cette contrée du sud-ouest souffrent d’un hiver connu de sa rudesse où, la température en cette période hivernale frôle entre le 0°C et les -10°C.
B. Henine
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Après l’intérieur, Renault dévoile l’extérieur de sa nouvelle et cinquième génération de Clio. Les changements sont moins flagrants que dans l’habitacle.
Quelques jours seulement après avoir dévoilé son habitacle, la cinquième génération de la citadine au losange révèle maintenant son style extérieur. Comme attendu, celui-ci ne fait pas vraiment dans la nouveauté. Si l’on parlait de révolution intérieure, cette fois il est davantage question d’évolution.
«Le design extérieur de Clio 4 a profondément séduit nos clients, et continue encore aujourd’hui de les séduire. Nous avons donc pris le parti d’en conserver les gênes tout en lui apportant plus de modernité et d’élégance», reconnaît Laurens van den Acker, directeur du Design Industriel du Groupe Renault.
Alors que les lignes générales se veulent légèrement plus marquées pour davantage de dynamisme, les principales modifications se situent au niveau de la calandre, toujours ornée en son centre d’un imposant losange mais sensiblement plus large et plus évasée qu’actuellement, ainsi que du côté des projecteurs (100% LED de série), plus effilés et dotés de feux de jour en forme de «C», comme sur les dernières créations de la marque.
Dans le même temps, les boucliers et les feux arrière (avec une nouvelle signature lumineuse en forme de C) ont été redessinés, le capot a adopté des nervures et des déflecteurs d’air ont été installés pour la première fois au niveau des passages de roues à l’avant.
Le losange lance également trois nouvelles teintes de carrosserie («Orange Valencia», «Brun Vison» et «Bleu Céladon»), ce qui porte à 11 le nombre de livrées proposées (plus 3 packs de personnalisation extérieure, rouge, orange et noir).
Côté dimensions, la nouvelle venue est raccourcie de 14 millimètres et abaisse sa carrosserie de 30 millimètres.
Le volume du coffre est, lui, porté à 391 litres, soit 91 litres de plus que sur la Clio IV. «Le double plancher facilite le chargement au quotidien et un plancher plat apparaît lorsque les sièges arrière sont rabattus», précise Renault.
Renault revoit sa version haut de gamme «Initiale Paris» avec au programme de nombreuses touches de chrome (contours de fenêtres, protections inférieures de portes, grille de calandre…), des badges «Initiale Paris», une antenne requin, des jantes spécifiques de 17 pouces, deux ambiances intérieures (noir et gris sable), des sièges en cuir matelassé et un volant en cuir moussé.
Sa première présentation au public est attendue début mars au Salon de Genève.
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ALGER- Dix huit (18) personnes ont trouvé la mort et 854 autres ont été blessées, durant la période du 27 janvier au 02 février 2019, suite à 815 accidents de la circulation survenus sur le territoire national, indique mercredi la Protection civile dans un communiqué.
« Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de M’Sila avec 03 personnes décédées et 16 autres blessées, suite à 23 accidents de la route.
« Les blessés ont été pris en charge par nos secours puis évacués vers les structures hospitalières », précise la même source.
Durant cette période, les unités d’interventions de la Protection civile ont enregistré un total de 24293 appels de secours relatifs aux différents types d’interventions, (accidents de la circulation et domestiques, évacuation sanitaire, extinction d’incendies et assistance diverses, etc), dont 15650 ont concerné les secours à personnes.
Suite à ces interventions, 1867 blessés ont été traités par les secours médicalisés de la Protection civile sur les lieux d’accidents et 13508 malades évacués vers les structures sanitaires, conclut le communiqué
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Pâte à crêpes : 2 œufs, 125 g de farine, 30 cl de lait entier, 2 c. à s. d’huile de tournesol, 1/2 sachet de levure chimique, sel, poivre
Garniture pour une crêpe : 1 poivron rouge, 1 poivron vert, 2 tomates, 20 cl d’huile de tournesol, sel
Mettez la farine, la levure, le sel et le poivre dans un grand saladier. Creusez un puits, cassez-y les œufs entiers. Mélangez énergiquement à l’aide d’un fouet et versez l’huile petit à petit. Délayez la préparation peu à peu avec le lait chaud. Laissez reposer la pâte au moins 30 min. Préparez vos crêpes dans une crêpière antiadhésive de 25 cm de diamètre et laissez-les refroidir à température ambiante.
Retirez le pédoncule des poivrons, placez ces derniers dans le four sous le gril et laissez-les, tout en les retournant, jusqu’à ce que la peau ait gonflé et noirci. Pelez-les, épépinez-les et coupez-les en lanières.
Mondez les tomates et épépinez-les, puis coupez-les en petits dés. Dans une sauteuse, mettez les poivrons, les tomates et le sel. Recouvrez d’huile. Laissez mijoter à feu doux durant 1 heure en remuant de temps en temps. Il ne doit plus y avoir d’huile à la surface. Laissez refroidir.
Coupez les crêpes en forme de rectangles. Garnissez le centre avec la chakchouka. Ramenez chacun des côtés vers le centre afin d’obtenir un petit paquet rectangulaire. Ces crêpes se dégustent froides, accompagnées d’une salade verte et du reste de chakchouka.
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Pour 6 personnes, 1 pot de yaourt nature, 1 pot 1/2 de sucre en poudre, 4 pots de farine, 3 œufs, 1 pot d’huile, 1 sachet de levure, 1 pincée de sel, 3 c. à s. de chocolat en poudre.
Préchauffez le four à 180°. Videz le pot de yaourt dans un saladier. Ajoutez le sucre, la farine et l’huile. Puis les œufs, le sel et la levure.
Mélangez le tout. Partagez la pâte en deux.Incorporez le chocolat à l’une des parties. Beurrez un moule et versez-y la préparation en alternance. Enfournez à mi-hauteur et faites cuire pendant 40 min. Démoulez et laissez refroidir.
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– Les pruneaux
En jus (le matin à jeun), ou trempés dans un verre d’eau (la veille), ou tel quel au goûter.
Il s’agit d’un laxatif naturel performant. On commence par un verre le matin ou 5 pruneaux trempés avant d’augmenter la dose si nécessaire.
– L’huile d’olive
Remplir 1 cuillère à soupe avec de d’huile d’olive et du jus de citron. A avaler le matin à jeun. Elle est aussi considérée comme un laxatif naturel.
Un remède de grand-mère qui a fait ses preuves.
– Les eaux riches en magnésium et en sulfates
Pour un effet laxatif, on conseille de boire un à deux verres avant les repas, 1 à 2 fois par jour.
– Le kiwi
1 à 2 kiwis le matin avant le petit-déjeuner.
Un effet étonnant pour ce laxatif naturel peu connu et souvent bien accepté, même par les enfants.
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Le groupe Ival affiche une attention particulière à l’entretien des véhicules de marque Iveco qu’il assemble en Algérie en consentant des remises exceptionnelles atteignant les 35% sur les opérations de vidange et de filtration.
C’est ce qui ressort notamment du communiqué qui nous a été transmis et qui détaille les avantages de cette offre. Ainsi, aussi bien au niveau des succursales du groupe que de son réseau d’agents agréés, il est proposé aux clients Iveco une vidange en moins d’une heure au prix de 8 340 DA HT comprenant le remplacement du filtre à huile, du filtre à gasoil, la mise à niveau du liquide du lave-glace, du liquide de freins, du liquide de refroidissement, de l’huile de direction, le diagnostic d’une quinzaine de points de contrôle et surtout la garantie de pièces et de l’huile préconisée par Iveco.
Ival précise également qu’il met à la disposition de ses clients une gamme large et variée de pièces et services pour la maintenance et l’équipement de véhicules Iveco ainsi que des conseils et une expertise technique qualifiée. Pour lui, il est impératif que le système de filtration soit maintenu dans un parfait état de fonctionnement pour assurer une longévité au véhicule et garantir sa fiabilité.
B. B.
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Le Conseil des Ministres s'est réuni en sa séance hebdomadaire ce mercredi 06 février 2019. Votre journal publie ici en intégralité compte rendu des travaux.
Veuillez cliquer sur le lien ci-après pour lire
La remise du site pour les travaux de construction du giratoire de Tchaourou a été effectuée, mardi 5 février 2019, par le directeur général des Infrastructures, Jacques Ayadji. Pour ce chantier confié à l'entreprise Sogea Satom, le contrôle et la surveillance des travaux seront exécutés par le bureau Dépôt IC Horse.
« Pour démarrer tout de suite les travaux du giratoire de Tchaourou avec la section des deux fois deux voies qu'il y a sur la route Bétérou-Tchaourou-Frontière du Nigéria, les ressources sont disponibles au niveau du budget national››, a affirmé le directeur général des infrastructures.
La remise du site a été faite en attendant la reprise des travaux de la route Bétérou-Tchaourou-frontière du Nigéria. L'infrastructure fait un total de 1,7 km sur l'axe, avec des amorces au niveau de la Route inter-Etats N°2 qui va de Tchaourou à Parakou.
Le directeur des infrastructures estime qu'il fait gagner du temps. Aussi, explique-t-il que l'économie qui sera réalisée sur les ressources de la Banque islamique du développement (Bid) servira à d'autres travaux comme des pistes connexes et des infrastructures sociocommunautaires au niveau de Tchaourou et ses environs.
Le problème auquel pourraient être confrontés les travaux, c'est la libération des emprises concernées. L'appel est lancé au maire de la commune, Sounon Bio Bouko, pour jouer sa partition pour que, dans un bref délai, les espaces soient effectivement dégagés afin que les travaux puissent démarrer.
Pour le maire, le gouvernement a vu juste en démarrant les travaux de la route Bétérou-Tchaourou-frontière du Nigéria par les ouvrages dont la réalisation prendra assez de temps. « Nous allons faire la sensibilisation, mais il faut que les populations sachent les personnes qui vont déguerpir », affirme le maire. Tout en demandant le dédommagement des sinistrés, le maire Sounon Bio Bouko se dit engagé à accompagner le gouvernement. Jacques Ayadji signale que « Le gouvernement n'a pas le choix. Nous allons faire les estimations et puis, le dédommagement suivra ». Il invite les sinistrés à ne pas attendre nécessairement d'entrer en possession de ce qui leur est dû, avant de chercher à libérer les lieux.
L'opération de marquage, démarre ce mercredi sous le contrôle du directeur départemental des Infrastructures et des Transports du Borgou, Wilfried Gbédji.
« Notre engagement sera total pour le démarrage et l'accomplissement de ce projet », a assuré, le chef projet, Tony Charpentier.
G.A
Léon Anjorin Koboudé, ancien journaliste reconverti dans la communication stratégique vient d'être nommé par Oswlad HOMEKY, Ministre du Tourisme, de la Culture et des Sports.
Léon Anjorin Koboudé est le nouvel Assistant du Ministre du Tourisme, de la Culture et des Sports du Bénin. La nouvelle vient d'être rendue publique. Elle est confirmée par l'intéressé lui-même, joint au téléphone ce mercredi : « Oui, je suis le nouvel AM du Ministre Oswald Homéky. C'est un honneur de rejoindre une équipe dynamique et efficace. » Quant à sa mission à ce poste, Léon Anjorin Koboudé s'est montré peu bavard : « Je vous confirme ma nomination. Mais permettez que ma fiche de poste reste entre mon patron et moi ».
Selon nos recherches, un Assistant de Ministre est généralement chargé de la planification et du suivi des activités du ministre, élabore ses projets de discours et le représente à certaines réunions. Le département ministériel dirigé par Oswald Homeky est l'un des plus denses du gouvernement.
Sur la plateforme professionnelle linkedin, il est indiqué que Léon Anjorin Koboudé est Co-fondateur de l'entreprise de conseils MinDo Consultants. Il a été journaliste international et a travaillé pour plusieurs médias panafricains. Cet ancien étudiant du Centre d'études des sciences et techniques de l'information (CESTI) s'est reconverti après dans la communication stratégique, une compétence qu'il a fait valoir chez PlaNet Finance (Positive Finance), Bureau de Restructuration et de Mise à Niveau (BRMN) etc… Une expérience professionnelle acquise entre le Bénin, le Sénégal et la France. Il est aussi titulaire de deux Masters en Sciences politiques et communication obtenus dans les universités de Paris 1 Sorbonne et de Nanterre.
Léon Anjorin Koboudé est un parfait connaisseur du milieu politique et médiatique beninois. Avant sa nomination, il n'avait aucun engagement politique.
Paul Tonon
Un taxi a percuté l'arrière d'un gros porteur immatriculé à quelques centaines de mètres du giratoire AEFI, à l'entrée de la ville de Kandi, dans la matinée de ce mercredi 06 février 2019 vers 07 h. Sous le choc, les 06 passagers à bord du taxi ont perdu la vie après leur évacuation à l'hôpital de zone de la localité.
Les circonstances de l'accident ne sont pas élucidées.
F. A.
La wilaya de Jijel compte 19 zones d’expansion touristique créées à la fin des années 1980 en vertu du décret numéro 88/232 daté du mois de novembre 1988, a-t-on appris auprès des services de la Direction du tourisme et de l’artisanat.
Ces zones s’étendent sur une superficie de 4 232 hectares reparties sur les neufs communes côtières dont la plus grande est celle de Oued Zhor, relevant de la commune d’El Milia avec 1 327 hectares suivie par celle de Beni Belaïd, relevant de la commune de Kheiri Oued Adjoul avec 482 hectares.
Cependant, la réalité de terrain de ces ZET est toute autre car la quasi-totalité de ces ZET se trouve dans un état d’abandon, faute des travaux d’aménagement. Il convient de souligner, par ailleurs, que certaines ZET ont été détournées de leur vocation initiale soit par les pouvoirs publics en vue d’implanter des équipements publics stratégiques ou autres dont entre autres le port de Djendjen, la centrale électrique d’Achouet, le chemin de fer reliant Jijel à Constantine, soit par des citoyens qui ont érigé une nuée des constructions illicites sur ces terrains face au laxisme des services concernés.
Ajoutons à cela l’attribution controversée des centaines d’hectares d’assiettes foncières au milieu des années 1990 à des pseudo-investisseurs dans le cadre du Calpi pour la réalisation des projets qui n’ont jamais vu le jour. Pour l’anecdote, au début de l’année 2000, un cas social demandeur de logement social dans la commune d’El Milia s’est retrouvé «accidentellement» bénéficiaire d’une concession d’une grande assiette foncière pour la réalisation d’un complexe 4 étoiles. A cet effet, une simple virée à la splendide côte jijelienne qui s’étend sur 120 km nous renseigne sur ce gâchis car ces pseudo-investisseurs se sont accaparés de «Rezk el beyleck» sans réaliser la moindre bicoque au su et au vu de tous.
Interrogé par nos soins il y a quelques années sur un éventuel assainissement du dossier du foncier touristique et la restitution des terrains vierges, un ancien wali qui a marqué son passage à Jijel était clair «j’ai du mal à faire face à cette jungle foncière». Le triste aveu d’un commis de l’Etat car certains de ces pseudo-investisseurs ont des ramifications et des protections en haut lieu, la faiblesse des élus locaux qui cherchent eux aussi des rentes pour monter leurs affaires afin de profiter d’une retraite paisible, une fois hors de ces circuits de privilèges et d’allégeances.
Il ya lieu de rappeler que l’ancien wali Larbi Merzoug a mené une guerre sans merci contre les constructions illicites et les spéculateurs fonciers de tous bords en restituant 24 hectares d’une partie de la ZET de Adouane Ali, qui était squattée par un bidonville en recourant à la force publique pour déloger les squatteurs qui manœuvraient pour une éventuelle opération de leur recasement alors que certains d’entre eux étaient des commerçants connus sur la place locale.
Sur une autre plan, parallèlement à cette situation de statu quo qui arrange les affairistes de tous bords, des élus locaux ont proposé l’annulation de sept ZET qui ne sont pas en mesure d’abriter des investissements et dont la superficie est de l’ordre 500 hectares. Il s’agit des ZET de Casino, Beni Kaïd, Ouled Bounar relevant de la commune de Jijel, Aftis dans la commune d’El Aouana, Taza, Boubletane et Ouldja dans la commune de Ziama Mansouriah ainsi que la révision de la délimitation de la ZET de Adouane Ali, El Aouana, Sidi Abdelaziz, Beni Belaid, El Kennar. A signaler, en outre, que de nombreux citoyens qui habitaient depuis longtemps à l’intérieur de ces ZET ont du mal à régulariser leurs habitations dans le cadre de la loi 08/15 portant conformité des bâtisses en dépit de leurs démarches bien que certaines d’entre elles soient réalisées dans des lotissements étatiques créés par l’Agence foncière de wilaya.
Il convient de souligner que seule la ZET d’El Aouana qui s’étend sur une superficie de 197 hectares a connu le démarrage des travaux de sa réalisation comme futur pôle touristique susceptible d’abriter 3 210 lits et pourrait créer 6 000 emplois, selon les prévisions de la Direction du tourisme de Jijel.
On apprend aussi que l’étude pour l’aménagement de la ZET de Adouane-Ali dans la commune de Jijel est en cours alors qu’on chuchote çà et là que trois «heureux investisseurs» ont déjà eu leurs décisions en poche bien avant l’achèvement de l’étude.
Bouhali Mohammed Cherif
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L’Association nationale des commerçants et artisans algériens réitère son accord pour la levée d’interdiction à l’importation des produits soumis à la suspension provisoire durant 2018, mais n’adhère pas au droit additionnel provisoire de sauvegarde appliqué. Qualifiant cette taxe d’«exagérée», elle plaide ainsi pour sa réduction jusqu’à 30%.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Pour son président, Hadj Tahar Boulenouar, cette taxe va créer un monopole sur le marché extérieur. «Avec l’application de cette taxe élevée, nous craignons que beaucoup d’importateurs vont abandonner cette activité. Cela conduira vers la création d’un monopole aux mains d’un groupe réduit d’importateurs et donc de la spéculation», a-t-il expliqué hier, au forum du quotidien El Mihwar, à Alger.
Autre conséquence de cette taxe appréhendée par Boulenouar : la hausse des prix de la production nationale.
Selon lui, de nombreux produits non fabriqués en Algérie ont été taxés à plus de 60% alors que d’autres fabriqués localement tels que les produits d’hygiène corporelle et les détergents sont soumis à une taxe qui ne dépasse pas les 40%.
S’érigeant contre l’imposition d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde excessivement élevé, le président de l’Association nationale des commerçants et artisans algériens appelle à sa baisse jusqu’à 30%.
Quant à la banane exonérée de cette taxe, Boulenouar souligne que ce produit porte préjudice à la production nationale en fruits. «Nous demandons à ce que la banane soit, elle aussi, soumise à la taxe additionnelle», dit-il.
De son côté, le président de la commission nationale des opérateurs des équipements électriques et d’éclairage, Hocine Merabti, déplore que des produits de son secteur soient aujourd’hui soumis à une taxe de 127% surtout, dit-il, qu’«ils ne sont même pas fabriqués en Algérie». Il cite l’exemple des spots led qui, précise-t-il, «permettent pourtant l’économie de l’énergie prônée par les pouvoirs publics».
Pour sa part, le représentant des opérateurs et importateurs de meubles et dérivés de bois, Djaber Bensdira, dit ne pas comprendre la démarche de l’Etat qui impose une taxe additionnelle de 127% à un produit qui «n’est pas fabriqué à une échelle industrielle en Algérie». Il a assuré à cet effet que les importateurs du secteur sont prêts à se convertir en producteurs. Il rappelle ainsi le projet d’une ville industrielle pour les meubles dans la wilaya de Boumerdès qui allait engendrer dix mille postes de travail.
Il suggère ainsi à ce que le produit semi-fabriqué soit soumis à une taxe réduite afin d’encourager les industriels.
Ry. N.
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La 137ème édition du Salon international des fruits et légumes « Fruits Logistica 2019 » s’est ouverte dimanche matin à Berlin en Allemagne. Cette édition, marquée par la présence d’une vingtaine exposants algériens, se poursuivra jusqu’au huit (8) février prochain.
Conduite par le ministre du Commerce, Said Djellab, la délégation algérienne participe à « Fruits Logistica 2019 » afin d’affirmer le potentiel agricole algérien à l’international et de prospecter de nouvelles opportunités d’exportation.
Ce salon sera donc l’occasion pour les entreprises algériennes de faire connaitre la qualité du produit local en proposant une offre diversifiée, et de nouer de nouveaux contacts d’affaires permettant de promouvoir les exportations des produits agricoles et agroalimentaires.
En effet, les exportations agricoles algériennes connaissent, depuis ces dernières années, une cadence soutenue affirmant la vitalité et le dynamisme du secteur de l’agriculture qui enregistre des surplus importants dans plusieurs filières.
Les exportations agricoles algériennes ont atteint une soixantaine de millions de dollars en 2018 contre 44 millions de dollars en 2017.
Toutefois, les opérateurs algériens activant dans cette filière veulent ouvrir de nouvelles perspectives à leur activité et ne plus se contenter de quelques opérations d’exportation occasionnelles.
Ils cherchent désormais des débouchés plus durables pour leurs produits en misant notamment sur la grande distribution à l’étranger.
Dans ce sens, les entreprises algériennes participantes à cette foire ont pour objectif principal de discuter avec les opérateurs de la grande distribution de l’approvisionnement régulier des marchés internationaux en fruits et légumes algériens.
« Fruits Logistica » regroupe plus de 3.200 exposants de 90 pays
Considérée comme l’une des plus importantes foires commerciales des fruits et légumes en Europe, « Fruits Logistica » regroupera plus de 3.200 exposants de 90 pays.
Selon les organisateurs, plus de 78.000 visiteurs professionnels de 130 pays sont attendus à cet événement qui offre d’importantes opportunités d’affaires pour les participants en mettant en réseau les acteurs clés du secteur des fruits et légumes.
Sur une surface globale de 132.000 m2, « Fruits Logistica » essaie de fournir une image complète des innovations, produits et services sur tous les maillons de la chaîne d’approvisionnement internationale.
Outre les producteurs et distributeurs de fruits et légumes, cette foire regroupe également des entreprises activant dans le domaine technique agricole (semences, développement de variétés, matériels, technologies de surveillance emballage…), de la logistique (transport, services de dédouanement, terminaux de fruits et légumes, entrepôts frigorifiques, grande distribution…) ainsi que les services (contrôle de qualité et certification, systèmes de gestion des stocks, marketing, assurance…).
En 2018, l’Algérie avait participé à 25 salons et foires à l’étranger
La participation algérienne à « Fruits Logistica » s’inscrit dans le cadre du programme des manifestations économiques internationales auxquelles l’Algérie prend part.
Au menu, 53 foires et salons internationaux sont programmés pour la période 2019/2020.
Durant l’année 2018, l’Algérie avait participé à 25 salons et foires à l’étranger et avait organisé des expositions algériennes spécifiques à Washington, Bruxelles, Nouakchott, Libreville, Dakar et Doha.
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Les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont appelé mardi à assurer « une protection totale » des dénonciateurs de faits de corruption, mettant en avant la nécessité d’élaborer une stratégie nationale globale pour la lutte contre toutes les formes de corruption.
Lors de la séance de l’après-midi consacrée à l’examen du projet de loi, modifiant et complétant la loi 06-01 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption, les députés de l’APN ont réaffirmé « l’impératif d’introduire des garanties supplémentaires pour protéger les dénonciateurs de faits de corruptions à l’instar de la dissimulation de leur identité ».
Dans ce cadre, la députée Zedam Hassina (groupe des indépendants), a relevé la nécessité « d’assurer une protection totale aux dénonciateurs de faits de corruption, eu égard à leur rôle dans la lutte contre ce phénomène qui ronge l’économie nationale ».
Abondant dans le même sens, la députée Zahra Megar, du Rassemblement national démocratique (RND), a proposé « la dissimulation ou le changement de l’identité du dénonciateur pour qu’il ne se transformera pas en témoin », alors que le député Abdelkader Hasnaoui, de la même formation politique, a estimé nécessaire l’introduction de dispositions incitatives en faveur de ces dénonciateurs en leur assurant « une protection administrative et légale ».
Pour sa part, le député Bakhouche Seddik du Parti national pour la solidarité et le développement (PNSD), a appelé au « renforcement des procédures de protection des dénonciateurs à travers la consultation des experts dans ce domaine », affirmant que « la lutte contre la corruption demeure une responsabilité collective nécessitant l’élaboration d’une stratégie nationale susceptible de contribuer à l’application des lois ».
De son côté, le député, Ahmed Taleb Abdellah (Parti des jeunes) a mis l’accent sur l’importance de l’association de la société civile dans la lutte contre ce phénomène.
Dans le même contexte, le député Abdelkader Bidi du Mouvement de la société de la paix (MSP) a proposé l’annulation des poursuites contre les dénonciateurs de faits de corruption, appelant, à ce propos, à la consolidation des prérogatives des institutions chargées de la lutte contre ce fléau.
Pour sa part, le député Hassane Aribi (Union Ennahda-Adala-Bina), a estimé que la lutte contre la corruption exigeait « une véritable solution politique et une volonté politique forte ».
Les interventions de certains députés ont porté sur la nécessité d’assurer une formation spéciale aux magistrats chargés des affaires de corruption ainsi que la création de pôles pénaux financiers régionaux afin de permettre le traitement des affaires de lutte contre la corruption.
Le débat autour de ce projet de loi, présenté mardi par le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Tayeb Louh se poursuivra mercredi en séance plénière.
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