Pour la pâte :
250 g de farine, 1œuf, 30 g de sucre,
25 g de beurre, 1 cuillère à café de cannelle,
10 g de levure boulangère, 10 cl de lait, 1 pincée de sel
Pour l’intérieur des biscuits :
60 g de cassonnade, 40 g de beurre, cannelle.
1 – Faire tiédir le lait avec le beurre dans une casserole.
Dissoudre ensuite la levure dans le mélange. Rajouter le sucre, le sel et la cannelle. Bien mélanger.
2 – Battre l’œuf, puis l’ajouter au mélange. Rajouter la farine pour obtenir une pâte molle mais non collante.
Rajouter de la farine s’il faut.
Couvrir et laisser reposer 30 minutes à 1 heure dans un endroit sec.
3 – Étaler ensuite la pâte sur une surface farinée en rectangle.
Ramollir le beurre pour l’étaler sur la pâte. Puis saupoudrer du mélange sucre-cannelle.
4 -Rouler la pâte pour pouvoir en faire des boudins de 2 cm environ. Beurrer un moule et y disposer les 6 rouleaux suffisamment éloignés car ils vont gonfler. Couvrir et laisser reposer encore 30 minutes.
5 – Cuire 20 minutes à 180°C (thermostat 6).
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La peau s’irrite et s’enflamme lorsqu’elle est trop sèche, car la sécheresse donne des lésions. La peau est sèche car elle est en déséquilibre. Voila pourquoi :
1 – Lorsqu’il y a un trop d’acidité dans le corps, ce dernier lie cette acidité à des substances minérales pour la neutraliser. Il stocke ensuite ces sels neutres dans les organes, les tissus (donc la peau et le cuir chevelu) s’encrassent.
2 – Les produits cosmétiques au pH acide ont la caractéristique de fermer les pores de la peau; ils sont donc occlusifs. La peau a néanmoins un rôle d´élimination dans le corps qui est alors entravé. Ceci conduit à un stockage de déchets et de toxines dans la peau puisqu’ils ne peuvent pas être éliminés.
La peau est un lieu d´échange entre l´intérieur et l´extérieur. Si cet échange est interrompu pour les raisons nommées plus haut, elle perd son équilibre et sèche.
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2 petits blancs de poireaux coupés en tronçons de 1 cm, 200 g de blanc de poulet coupé en petits cubes, 2 œufs, 20 cl de lait concentré non sucré, 1 c. à soupe de farine, 1 pincée de sel, 1 pincée de poivre, 2 c. à café de persil, 25 g de beurre, 16 tomates cerises.
Je préchauffe le four à 180°C (Th. 6).
Je fais cuire les poireaux dans l’eau pendant 10 min.
Dans une poêle, je fais revenir à feu vif les cubes de poulet pendant quelques minutes.
Puis, dans un saladier, je mélange les œufs, le lait concentré et la farine. J’ajoute du sel, du poivre et le persil hâché.
Je verse la préparation dans 4 ramequins beurrés, puis y ajoute les poireaux, les tomates cerises et les cubes de poulet.
Je mets les ramequins au four et laisse cuire pendant 25 min.
Variante :
Pour une version plus exotique, j’ajoute 2 c. à café de curry en poudre au mélange œuf-lait.
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Nicolas Canteloup est revenu sur les élections en Algérie dans son émission « C’est Canteloup » diffusé ce soir du 26 février après le JT de 20h sur TF1.
(Visible à partir de 5mn 25)
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Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a été reçu dimanche, à Ouagadougou, par le président de la République du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré, en marge du 26e Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), indique un communiqué du ministère de la Culture. Tout en transmettant les salutations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika au président burkinabé, Azzedine Mihoubi a exposé à son hôte les grands axes des perspectives de coopération culturelle bilatérale en matière de «formation, du patrimoine matériel et immatériel» notamment.
Le président burkinabé a, pour sa part, remercié l’Algérie pour «le soutien et la solidarité agissante pour la réussite de cette édition du festival», réaffirmant la volonté de son pays de «renforcer davantage la coopération avec l’Algérie» dans tous les domaines, ajoute le communiqué.
Par ailleurs, M. Mihoubi a exposé, au président burkinabé l’«expérience de l’Algérie en matière de lutte contre le terrorisme, de réconciliation nationale et des développements socio-économiques des deux dernières décennies», affirmant que l’Algérie est «soucieuse de la stabilité et du développement, ainsi que de la promotion de la paix et du vivre ensemble» dans la région, souligne-t-on dans le communiqué.
Il a aussi exprimé la «solidarité de l’Algérie avec le Burkina Faso», confronté depuis 2015 à la multiplication des actes terroristes.
Le président Burkinabé s’est dit «très intéressé par l’expérience algérienne en matière de lutte contre le terrorisme ainsi que du processus de «réconciliation nationale».
Réitérant ses «remerciements et salutations» au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au gouvernement et au peuple algériens, Christian Kaboré a souhaité «plein succès à l’élection présidentielle du 18 avril prochain» en Algérie.
Par ailleurs, Azzedine Mihoubi, qui dirige la délégation algérienne au 26e Fespaco, où l’Algérie est l’invité spécial, s’est entretenu, la veille, avec son homologue burkinabé, Abdoul Karim Sango, ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme.
L’entretien a porté sur les moyens de renforcer les échanges culturels bilatéraux, ainsi que la «coordination des deux pays au sein des instances internationales», notamment l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) à l’effet de «converger leurs efforts pour la préservation du patrimoine culturel de l’Afrique» précise le communiqué.
Le ministre burkinabé a également remercié l’Algérie pour l’«appui» et l’«aide précieuse» consentis pour la réussite du 26e Fespaco qui coïncide avec le 50e anniversaire de sa création.
Le ministre de la Culture a par ailleurs eu des entretiens avec ses homologues du Cameroun de la Côte d’Ivoire, du Mali et de l’Afrique du Sud, en présence de l’ambassadeur d’Algérie à Ouagadougou, Mohamed Anseur, conclut le communiqué.
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Publié par Hocine Tamou
L’odyssée humaine de Ameziane Ferhani se poursuit dans ce deuxième recueil de nouvelles, pour aller bien au-delà des chemins qui coupent de Traverses d’Alger, un livre publié en 2015. Invitation à explorer, encore et toujours, la profondeur et la complexité de la nature humaine.
La vie qui bourgeonne et éclate est placée, ici, sous le signe de l’équinoxe du printemps. Plus qu’un symbole, le 21 mars est un coup de fouet soudain à l’éveil de l’imagination exubérante, de la passion, de la mémoire et du souvenir. Le 21 mars comme point fort des escapades régénératrices et de revitalisation de la mémoire.
La chute de la treizième et dernière nouvelle (celle qui a donné son titre au recueil) est révélatrice : «Certains soirs, l’oncle Mouloud, adossé au mur de sa maison, contemple la Soummam en pensant à sa dernière mission à Alger. Il dilate alors ses narines au petit vent du maghreb, respire à pleins poumons, et, l’œil amusé, se rappelle avec la délectation des bienheureux, cet incroyable coup de printemps qui l’avait assommé de bonheur.»
Le vieux Mouloud s’était extirpé lui-même de la cage à écureuil des devoirs, des habitudes, des gestes et des actes qu’il accomplissait comme un rituel. Il avait fugué ! Sans doute il avait encore beaucoup de jeunesse pour son âge, lui qui avait ajouté d’une main facétieuse un treizième coup aux douze coups de midi. Les «couffins», c’est d’abord cela : une farandole de fugues, une course rythmée qui se déroule à travers la longue enfilade des étapes propices en découvertes et en émotions.
Des haltes et des reprises d’haleine qui ont pour nom Goa, Toulouse, la région du Dahra, Alger, l’Amérique latine, Paris, les plaines de l’Oranie… Le lecteur y fait la rencontre de personnages vivants, libres, attachants, souvent «ordinaires», parfois iconoclastes.
Ecrire dans le champ de l’intensité, de la précision, de la profondeur et du rythme suppose, évidemment, une approche psychologique fine des personnages. De ce point de vue, l’auteur a plus d’un tour dans son couffin : la galerie de héros et de caractères est d’une infinie variété. Celle-ci est rendue possible par la maîtrise de l’art de la nouvelle, un exercice créatif très dynamique, concentré sur une action unique.
Le recueil est un champ d’expérimentation narratif et stylistique fécond, un espace de pratique de l’ensemble des techniques de la construction d’une histoire quel que soit son genre. Chacune des nouvelles fonctionne d’ailleurs sur un ou plusieurs registres : réaliste, historique, tragique, comique, symbolique, fantastique, sentimental… «L’authentique prédiction de cheikh Larbi Boukanssi», premier texte du recueil, est une nouvelle fantastique qui mêle le réel et le surnaturel.
Le point de départ est hyperbolique : le narrateur emploie le ton du conteur (le goual, le griot) pour que le lecteur soit immédiatement immergé dans le monde du fabuleux et de l’inexpliqué. Le narrateur amplifie les effets, les images (métaphores, comparaisons, périphrases…), les exagérations. Il utilise toutes les ressources d’un vocabulaire varié et adapté à ce genre de registres. Interviennent ensuite des éléments réalistes et le narrateur témoin cède la place à un récit à la troisième personne. L’auteur rapporte les faits.
C’est l’histoire des habitants du village de Tajda, perché sur une crète du Dahra. Tajda est le dernier village de la région à ne pas avoir une boulangerie. Alors, «à Tajda, emplie de téléviseurs, on ne rêva plus que d’une boulangerie». Oui, mais il y avait les présages de cheikh Boukanssi qui se réalisaient toujours !
Quelques années avant sa mort, le vénérable cheikh avait dit aux siens : «Si une boulangerie ouvrait sa porte ici,/Du fond de son pétrin, des tréfonds de son four,/Le malheur surgira, le doute, la peur aussi./Alors à Damous, vous verrez apparaître/Des nuées continues de moustiques obscurs/Et le monde alentour en sera renversé/Ô gens de Tajda, si cela advenait,/ Vous ferez provision de sel et d’allumettes./Vous fermerez alors notre village au monde. /Et le Seigneur à l’abri peut-être vous mettra».
Depuis, personne n’avait osé aller à l’encontre de cette prédiction. Sauf que les femmes, la télévision («l’ennemie jurée de la galette») et quelques hommes rusèrent et poussèrent tant et plus que le village eut enfin sa boulangerie. Un jour mémorable que ce mardi 5 octobre 1988 et ses premières fournées.
La prédiction de cheikh Boukanssi était aussi dans les mémoires. Les tragiques évènements du 5 Octobre virent ainsi les habitants de Tajda prendre les devants, très tôt le lendemain : «Tout ce qui roulait et portait à Tajda s’ébranla vers la vallée avec les hommes les plus valeureux chargés des cotisations des habitants. On raconte qu’ils achetèrent tout le sel et les allumettes qu’ils purent trouver dans un rayon de soixante kilomètres.»
La fin de la nouvelle, aussi mystérieuse qu’inattendue, ouvre la voie à une réinterprétation du texte, car elle déclenche une réflexion chez le lecteur. Celui-ci revient sur le texte, y découvre des subtilités qui lui avaient échappé, il lui donne alors un tout autre sens. Le suspense, le rythme, la chute et son impact, la cohérence des thématiques et du recueil lui-même… Ameziane Ferhani excelle dans l’écriture de ces histoires courtes qui, immanquablement, font basculer le lecteur dans une interrogation. «Il n’est jamais question qu’il raconte tout, il sait plus de choses encore qu’il n’en dit. C’est que le langage est ellipse», disait justement Jean-Paul Sartre.
A présent, imaginons que la mémoire et les souvenirs ont des odeurs. Partons à la recherche des souvenirs olfactifs que le subconscient fait revenir en mémoire. Ouvrons la nouvelle L’odeur du voyage (un titre qui fait sortir les papilles de la routine), une éblouissante variation narrative sur l’odorat, la temporalité et l’imagination.
Dans ce récit à la troisième personne, le héros est présenté d’une façon apparemment très ordinaire. Mais l’ordinaire n’est que de surface, suggère l’auteur dès l’entame du texte. Entre le début et la fin de la nouvelle, une transformation psychologique s’est opérée chez Farid, l’unique personnage de cette histoire circulaire. Le héros préparait sa valise pour un énième voyage. Les préparatifs éveillent des souvenirs, des aventures et des images du passé.
Il y a surtout cette mémoire olfactive qui, chez Farid, conditionne sa façon d’appréhender le monde. Le voyage est décrit «gustativement» et s’achève en point d’orgue : «Portée par l’excitation du départ, elle avait toujours été là, cette odeur du voyage. Pas ‘‘de’’ mais ‘‘du’’. L’odeur du voyage, oui. Identique quelle que soit la destination, la raison, la durée, le mode de transport ou le temps qu’il faisait. (…) Cette odeur semblait produite par une glande inconnue titillant un sens intérieur. C’était l’odeur de l’ailleurs.»
Elle était encore au rendez-vous et lui, Farid, venait enfin de trouver le moyen de la garder intacte. «Nichée dans sa mémoire, une citation de T. S. Eliot lui revint : ‘‘C’est le voyage qui importe, non l’arrivée.’’ Non, Monsieur le poète, lui dit-il avant de s’abandonner. Ni le voyage ni l’arrivée, mais le départ. Et sous sa couverture, les yeux fermés, les narines palpitantes et le cœur léger, il partit», nous apprend la révélation finale. Cette fois encore, c’est l’impact de la chute qui donne à la nouvelle tout son relief, ouvrant la voie à sa réinterprétation.
Dans le sac à malices du prestidigitateur, il y a plein d’autres tours de passe-passe, d’artifices et de belles surprises littéraires qui invitent à voyager sans plan. Par exemple, dans la nouvelle C’est la maison qui offre, le lecteur découvre un Gabriel Garcia Marquez très fantaisiste. Le grand écrivain sud-américain s’était déguisé pour pouvoir voyager incognito. Une fugue qui se termine par un éclat de rire homérique. De la saveur et du piquant caractérisent également les trois compositions en gradation que sont «Sanaa, Kafka et l’anophèle», «Les types en bas» et «Personne dans la rame». Ah ! cette Sanaa de Beyrouth. Elle «avait jeté une bouteille dans l’océan cybernétique». Et voilà notre héros plongé dans des réflexions philosophiques et existentielles dans sa chambre à Alger. D’autant que cette Sanaa «dont il ignorait l’existence huit minutes auparavant lui racontait sa métamorphose en moustique, lui décrivait les ailes petites et fines qui poussaient sur le dos de son désespoir». Il pensa à La métamorphose de Kafka (dans le livre, il y a pleine de clins d’œil à de grands auteurs), mais «le texte sublime de Kafka lui parut soudain incongru face au cri balancé dans le tourbillon de la messagerie planétaire».
La chute de la nouvelle est renversante, avec un effet dernière ligne qui conduit le lecteur là où il ne s’attendait pas. Grande tension dramatique, force narrative, fulgurances, retournements, suspense et émotion caractérisent particulièrement les deux autres bijoux que sont Ramz de Numidie et A jamais Goa. Dans ces deux nouvelles, l’action gouverne la psychologie des personnages et nous la révèle.
Deux histoires complètes et qui, elles aussi, débouchent sur le mystère de la nature humaine. Ramz de Numidie, c’est l’histoire d’un cheval (Ramz), d’une fille de colon (Sophie) et d’un jeune palefrenier algérien (Kali), ayant pour cadre les plaines de l’Oranie dans les années 1930. Une histoire que résume si bien cet aphorisme : «Il n’y a pas d’amours impossibles, seulement des amours que l’on empêche de devenir possibles.»
Dans A jamais Goa, l’auteur s’inspire de faits réels et d’éléments autobiographiques pour construire un texte en enchâssement (un récit dans le récit) et esthétiquement abouti, à forte charge émotionnelle.
De retour à Alger après un périple en Inde pour les besoins d’un reportage, Ameziane raconte son voyage à des hôtes constantinois. Goa l’avait particulièrement charmé. Dans cette ville, il apprit qu’un Algérien avait séjourné dans la même chambre d’hôtel que lui. L’homme était mort lors d’une excursion, victime d’une crise cardiaque. Des années plus tard, Ameziane découvrit enfin qui était ce malheureux compatriote. Une découverte qui allait l’entraîner sur la piste de la ferme Ameziane, près de Constantine, un lieu de torture durant la guerre d’indépendance. La chute ? «La nostalgie de la vie alors que vous êtes vivant», suggère subtilement l’auteur.
Parmi les autres récits courts qui se lisent d’une seule traite : Histoire des trois œufs, La crue, Baltimore 1631. Leur principal enseignement : «Dans l’histoire comme dans la vie, rien n’est tout noir ou tout blanc.» L’oued en crue, lui, évoque cette autre réflexion : «Nous sommes aussi inconstants que les oueds de notre pays, invisibles d’ordinaire et imprévisibles en leurs surgissements, capables de longues absences dociles avant de débouler en fureurs irrésistibles.» Les couffins de Ameziane Ferhani exhalent la sagesse du terroir et fleurent bon cette tendresse humaine portée par un regard tourné vers l’avenir.
Ameziane Ferhani, Les couffins de l’équinoxe, éditions Chihab 2018, 230 pages, 1 000 DA.
Hocine Tamou
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Par R. C.
Vingt-trois (23) films au total sont officiellement en compétition pour l’Olivier d’or, la plus haute distinction du Festival culturel national annuel du film amazigh (FCNAFA) dont la 17e édition se tiendra du 28 février au 4 mars prochain dans la wilaya de Tizi-Ouzou, a annoncé dimanche le commissaire de cette compétition cinématographique Amar Tribèche.
Il s’agit de 4 longs métrages, 10 courts métrages, 6 films documentaires et trois d’animation dans les variantes chaouie, mozabite et kabyle qui ont été sélectionnés pour cette nouvelle édition et ce, sur une quarantaine de films déposés, ont indiqué le commissaire du FCNAFA et la directrice locale de la culture, Nabila Goumeziane, lors d’une conférence de presse qu’ils ont animée conjointement à la maison de la culture Mouloud-Mammeri.
Cette nouvelle édition sera dédiée à la mémoire des défunts artistes Djamel Allam et Youcef Goucem et coïncidera avec la commémoration du 30e anniversaire de la disparition de l’écrivain et anthropologue Mouloud Mammeri, a indiqué Mme Goumeziane.
Cette manifestation sera ponctuée par plusieurs activités culturelles dont une exposition, des conférences sur le cinéma et un atelier de formation en écriture du scénario, selon le programme remis à la presse.
Parmi les films en compétition et dans la section documentaire JSK asmi Tervah, la joyeuse saga des Canaris de Abderezak Larbi Cherif dédiée au club phare de la Kabylie, Asefrek n yiduman di Bouzgan de Djamel Bacha qui aborde le tri des déchets ménagers et la préservation de l’environnement par les habitants de certains villages de la commune de Bouzguène, à l’instar de Sahel et Ahriq et Juba II de Mokrane Aït Saâda.
Les cinéphiles pourront également découvrir à l’occasion de ce festival quatre long métrages, à savoir Isegmi n tayri de Lounes Medjnah, Le rival, un film d’action de Nassim Khelladi,Tamachahut n Selyouna, un film inspiré d’une légende locale autour d’une princesse réalisé par Aziz Chelmouni, et le choc de Karim Mouali. La catégorie court métrage s’intéresse à plusieurs sujets de la vie dont la pauvreté avec Aygher a dunit de Nabil Chalal, le temps qui passe avec I tazzalen Isegwasen de Djamel Ould Braham et La bouteille d’ailleurs de Nabil Meziani.
La catégorie films d’animation, qui n’a pas enregistré de films sélectionnés lors de la précédente édition, revient cette année avec trois productions qui sont Debza u dmagh d’Ahmed Hadibi, inspiré de la chanson éponyme du chanteur Slimane Azem, Ighalen i dduklen de Rabah Hattabi et War, Derz lfetna de Amar Amarni.
«Officielle» qui se tiendra au théâtre régional Kateb Yacine sera marqué par la projection du court métrage Banc Public de Djamel Allam produit en 2012 et qui avait décroché à la 13e édition du FCNAFA le prix de l’Olivier d’or dans cette catégorie. La projection des films en compétition aura lieu du 1er au 3 mars à la salle de spectacles de la maison de la culture Mouloud-Mammeri qui abritera également la cérémonie de clôture le 4 mars prochain.
Les films en lice pour l’Olivier d’or seront projetés dans la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri à raison de trois séances quotidiennes (une la matinée et deux l’après-midi) entre le 25 et le 27 de ce mois. Un programme de proximité, à travers plusieurs localités de la wilaya, a été également tracé, a observé le commissaire du FCNAFA.
Amar Tribèche a souligné lors de cette conférence que les échos qui lui sont parvenus de la commission de visionnage sont plutôt «favorables» quant à la qualité des films sélectionnés. «La productrice et docteur en cinéma Malika Laichour, connue pour sa rigueur sur la question qualité, m’a dit que le jury a été agréablement surpris par la fraîcheur, la qualité et la poésie des films selectionnés»,
a-t-il dit.
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Les services de la Sûreté de wilaya de Sétif sont parvenus en début de cette semaine, dans le cadre de la lutte contre toutes formes de commerce informel ayant pour objectif de garantir une meilleure protection de la santé du consommateur, à saisir une importante quantité de viande blanche (poulet de chair) estimée à plus de deux quintaux et demi d’une provenance douteuse et transportée dans des conditions d’hygiène déplorables.
Cette opération a été entreprise par les éléments de la brigade d’assainissement relevant du service de wilaya de la sécurité publique de Sétif, qui, lors d’une patrouille de contrôle effectuée au niveau de l’un des quartiers du chef-lieu de la wilaya, ont été attirés par l’allure suspecte d’un véhicule utilitaire.
Après son contrôle, il s’est avéré que son propriétaire transportait une quantité importante de viande blanche ne possédant aucun document ni de certificat prouvant sa provenance, de plus, le véhicule qui est dépourvu d’équipements de refroidissement n’est pas adapté au transport d’une telle denrée alimentaire.
C’est ainsi qu’il a été procédé à la saisie d’une quantité de 2,5 quintaux de viande blanche. Sur la totalité de la marchandise saisie, une partie a été incinérée après avoir été contrôlée impropre à la consommation par un vétérinaire.
Une procédure judiciaire a été établie à l’encontre du contrevenant pour transport de viande blanche avariée et non-respect des conditions de santé et d’hygiène portant atteinte aux règles et dispositions de la loi relative à la protection du consommateur et la répression de fraude.
Imed Sellami
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Les accidents de circulation ont connu un net recul en 2018 dans la wilaya de Tamanrasset, par rapport à ceux enregistrés en 2017, a-t-on appris hier des services de la Gendarmerie nationale (GN).
Le bilan de la GN fait état d’un nombre de 126 accidents, ayant fait 75 morts et 318 blessés l’an dernier, contre 162 accidents en 2017 et 223 autres en 2016. Ces accidents sont imputés au facteur humain, notamment en raison du non-respect du code de la route, l’excès de vitesse et les dépassements dangereux, en plus de l’état des véhicules. Dans certains cas, la faute des piétons est pointée.
Pour renforcer la culture de la sécurité routière chez les usagers de la route, les services de la gendarmerie ont lancé dimanche, et jusqu’au 5 mars prochain, une caravane de sensibilisation animée par les différentes unités de ce corps de sécurité, pour éveiller la conscience des usagers de la route sur le respect des règles de conduite et éviter les accidents.
Cette initiative vise la prévention des dangers encourus du non-respect de la route ainsi que la sensibilisation sur la nécessaire formation pour les chauffeurs de transport commun, sur les dangers de la conduite en état d’ébriété, et sur l’importance de la maintenance des véhicules en vue d’éviter les causes mécaniques d’accidents, ont souligné les services de la gendarmerie.
Cette caravane donnera lieu également à l’animation, avec le concours d’acteurs de la sécurité routière, notamment la direction des transports et les chefs d’entreprises de transport de voyageurs et de marchandises, des Scouts musulmans algériens (SMA) et l’association de la sécurité routière, d’espaces de sensibilisation à travers le réseau routier de la wilaya, en plus de sorties sur le terrain au niveau des gares routières et des aires de repos et stations-services, selon la même source.
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Pas moins de 3 436 postes pédagogiques en formation professionnelle ont été retenus dans la wilaya de Mostaganem, au titre de la rentrée de la formation professionnelle de la session de février 2019.
L’offre globale de cette session prévoit donc 3 436 nouveaux postes de formation en formation diplomante, en formation qualifiante, en formation résidentielle et en formation cours du soir.
Le secteur a mobilisé tous les moyens nécessaires en infrastructures, équipements techniques et scientifiques et encadrement, a ajouté le directeur de la formation professionnelle de wilaya lors de la rentrée de la formation professionnelle. La rentrée a été marquée par des nouvelles spécialités réparties dans les domaines de l’agriculture, l’industrie et le tourisme.
Du point de vue moyen infrastructurel, le secteur dispose de 15 centres de formation professionnelle (CFPA) et un institut de formation (INFSP). Ces établissements sont répartis à travers plusieurs communes de la wilaya avec un taux de couverture d’une place pédagogique pour 106 habitants.
En matière d’équipements, le secteur de la formation professionnelle dispose à travers ses établissements, des équipements technico-pédagogiques.
Par ailleurs, une convention de partenariat a été signée entre le secteur de la formation professionnelle et la société PMG 5 Play Mode Galery spécialisée dans le prêt-à-porter.
A. Bensadok
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Les dates de compositions des examens de fin d'année ont été rendues publiques par un arrêté interministériel n°005, portant calendrier national des examens et concours scolaires et universitaires et tests de recrutement au titre de l'année académique 2018-2019 en République du Bénin.
Les candidats aux différents examens nationaux sont désormais fixés sur les dates de démarrage des compositions auxquelles ils doivent prendre part.
L'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) aura lieu du lundi 27 au mercredi 29 mai 2019.
Quant à l'examen du Baccalauréat, les épreuves pratiques se dérouleront du jeudi 30 mai au vendredi 14 juin 2019.
Les candidats à cet examen plancheront pour la phase écrite du mercredi 19 au samedi 22 juin 2019.
Akpédjé AYOSSO
Plusieurs produits pharmaceutiques viennent d'être retirés de la vente. C'est ce que révèle une lettre du directeur de la pharmacie, des médicaments et des explorations diagnostiques. Son objet porte sur la Mise en quarantaine de Falciart 80 mg/480 mg comprimé B/6 et Palucure 40 mg/240 mg comprimé B/6 X2, suite aux informations faisant état de ce qu'une erreur serait glissée sur la notice desdits produits. Ainsi, une investigation a été menée auprès des structures de distribution et de dispensation des produits de santé. Ce qui a confirmé selon le directeur, l'information de l'erreur sur les notices notamment la posologie. Le professeur Gbaguidi invite les responsables concernés au retrait desdits produits de leurs stocks.
G.A.
La mobilisation est à peine visible. Annoncée à grand bruit sur les réseaux sociaux, la marche de l'ancien ministre Ganiou Soglo n'a mobilisé qu'à peine une dizaine de manifestants. Cette mobilisation manquée montre non seulement le manque d'organisation des organisateurs mais aussi le désintérêt des populations à leur appel. Aujourd'hui où la volonté manifeste du chef de l'État se remarque dans l'implication de tous les acteurs pour la réussite du processus électoral, il n'est pas bienséant de voir des individus manifester un quelconque mécontentement. La sagesse appelle à ce que chacun fasse l'effort de se conformer à la loi en attendant le dernier virage. Il n'est nullement opportun de s'adonner à un quelconque théâtre sur la voie publique. L'échec de la marche de ce jour initiée par Ganiou Soglo n'est que le résultat de la confiance du peuple au chef de l'État qui s'est impliqué déjà dans le règlement du contentieux avec les partis de l'opposition. Il est important aux manifestants de revoir leur copie afin de sauvegarder la paix dans la nation.
G.A.