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Afrique

Communiqué Women Independence Festival 1er édition

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 03/03/2019 - 16:33
Women Independence Festival - « Vivons nos rêves » c’est par cette aspiration qu’est né Women Independence Festival Wif(e), un premier...
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Mauritanie- Un député révèle les risques environnementaux de l’exploitation du gaz par British Pétroleum

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 03/03/2019 - 15:51
Mauriweb - Un député à l’assemblé national, cité par nos confrères arabophones du site ALAKHBAR, a attiré l’attention sur les risques...
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Désignation de Abdelwahid Temmar comme chargé d’assurer l’intérim du ministre des Travaux publics

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 15:47

ALGER -Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a chargé le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, d’assurer l’intérim du ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaâlane, indique dimanche un communiqué de la présidence de la République.

Suite à la désignation de M. Abdelghani Zaâlane comme directeur de campagne du candidat Bouteflika, « le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a chargé M. Abdelwahid Temmar, ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, d’assurer l’intérim du ministre des Travaux Publics et des Transports », précise la même source.

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Sept morts dans l’échange de tirs entre armées Indienne et Pakistanaise

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 15:19

De violents échanges de tirs ont opposé, samedi, les armées Indienne et Pakistanaise, causant sept morts des deux côtés de la frontière du Cachemire, ont annoncé des sources policières et militaires dans un nouveau bilan.

Une femme Indienne et ses deux enfants ont trouvé la mort quand un obus de mortier a détruit leur maison, ont indiqué des sources policières Indiennes.

Côté pakistanais, deux soldats et deux civils ont trouvé la mort, selon une source militaire Pakistanaise.

Dans toute la région, les villageois se sont pressés dans des abris de fortune tandis que la police interdisait la circulation non essentielle sur les routes.

Au moins douze civils ont été tués des deux côtés de la frontière depuis  le début de la semaine.

Par ailleurs, une vidéo du pilote Indien, relâché vendredi par le Pakistan, dans la laquelle il remerciait les autorités Pakistanaises, a suscité une vive colère en Inde, après qu’Islamabad eut présenté cette libération comme un « geste de paix » dans cette nouvelle crise autour du Cachemire.

Le Pakistan a affirmé avoir abattu, mercredi, deux avions militaires Indiens au-dessus de la région disputée du Cachemire et arrêté un pilote. L’Inde a de son côté indiqué qu’elle a abattu un avion pakistanais.

Région Himalayenne revendiquée aussi bien par l’Inde que le Pakistan depuis la fin de la colonisation Britannique en 1947, le Cachemire est divisé de facto entre les deux puissances nucléaires d’Asie du Sud.

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Venezuela : le président cubain persuadé que Washington veut toujours attaquer Caracas

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 15:19

Le président cubain, Miguel Diaz-Canel, s’est dit persuadé que « le gouvernement américain continuait de chercher à attaquer militairement le Venezuela », précisant que « Washington tente de fabriquer de faux prétextes pour justifier cette intervention contre Caracas », ont rapporté dimanche des médias locaux.

S’exprimant sur son compte Twitter, le président cubain a affirmé que « les Etats-Unis persistent dans leur zèle pervers à vouloir fabriquer de faux prétextes pour justifier une intervention et une agression contre le Venezuela ».

A cet effet, il a appelé « la communauté internationale a élevé sa voix contre ce plan », ont ajouté les mêmes sources.

Le dirigeant cubain a, en outre, mis en garde contre « les manœuvres de Washington visant à aider l’opposition vénézuélienne à chasser le président Nicolas Maduro du pouvoir, par la force si nécessaire ».

A la mi-février, Cuba avait lancé une pétition nationale baptisée « Touche pas au Venezuela », recueillant plus de 3,6 millions de signatures.

Il y a une semaine, les Etats-Unis ont tenté de livrer au Venezuela ce qu’ils qualifient d’aide humanitaire, en coordination avec l’opposition, mais contre l’avis de Caracas, suscitant des critiques pour sa politisation de l’aide humanitaire.

Le 28 février, le Conseil de sécurité des Nations Unies a rejeté un projet de résolution sur le Venezuela proposé par les Etats-Unis, que la Russie et la Chine ont bloqué en tant que membres permanents.

Le « plan directeur » proposé par la Maison-Blanche exigeait la tenue de « nouvelles élections présidentielles » au Venezuela et la « libre entrée » de l’aide humanitaire en coordination avec l’opposition dirigée par Juan Guaido.

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Syrie: des frappes au phosphore blanc par la coalition américaine

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 15:15

      La télévision d’Etat syrienne a dénoncé des frappes au phosphore blanc effectuées par la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis contre un village, dans le gouvernorat syrien de Deir ez-Zor.

Le village d’Al-Baghouz, a été la cible de nouvelles frappes au phosphore blanc menées par la coalition internationale antiterroriste dirigée par les Etats-Unis, a rapporté dimanche la télévision syrienne. « La coalition internationale a effectué des frappes au phosphore blanc autour de fermes à Al-Baghouz, dans le gouvernorat de Deir ez-Zor », a affirmé la chaîne de télévision Syria TV, citant des sources locales.

La diplomatie russe a dénoncé fin janvier dernier les informations selon lesquelles les « Casques blancs » en Syrie s’apprêtent à filmer une nouvelle mise en scène sur l’usage des armes chimiques contre la population civile à Idlib dans le nord-ouest du pays.

Lors d’une conférence de presse, la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova, citée par l’agence Sputnik, a exprimé « la préoccupation de son pays face à la poursuite des tentatives de provocations menées par les groupes terroristes sur l’usage des armes chimiques contre les civils à Idlib ».

« Il y a de sérieuses préoccupations à propos des informations selon lesquelles les terroristes n’abandonnent pas les tentatives de mettre en scène l’utilisation d’armes chimiques contre des civils », a-t-elle déploré. « Selon les informations disponibles, un groupe de militants de l’organisation pseudo-humanitaire des Casques blancs ont préparé dans plusieurs hôpitaux d’Idlib l’équipement nécessaire pour filmer de telles actions de provocation », a souligné la porte-parole.

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Avril 2019 : n'oublions pas de commémorer le trentième anniversaire du génocide

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 03/03/2019 - 15:10
Ciré Ba - L'enjeu de l'élection présidentielle prévue en juin 2019 et le temps ne doivent faire oublier et avoir de prises sur le devoir de...
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Malaise au sein du forum des chefs d’entreprise: Démissions en cascade

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:57

Le ciel s’assombrit au-dessus du Forum des chefs d’entreprise (FCE). L’édifice de l’organisation patronale, agréée récemment en tant que syndicat, se fissure. Mohamed-Laïd Benamor, patron du groupe agroalimentaire Amor Benamor et président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (Caci), a annoncé, hier, sa démission de son poste de vice-président du Forum des chefs d’entreprise et le gel de sa cotisation.

“Je souhaite par la présente lettre vous signifier le gel de ma cotisation au Forum des chefs d’entreprise, et de la même façon, mon souhait de démissionner de ma fonction de vice-président”, écrit Mohamed-Laïd Benamor dans une lettre adressée aux adhérents, dont Liberté détient une copie. “Si notre association, devenue syndicat, a joué par le passé un rôle essentiel pour mener nos entreprises et notre économie vers de meilleurs lendemains, je me désole aujourd’hui de la voir s’éloigner de sa base”, souligne le patron du groupe Benamor. Mohamed-Laïd Benamor reconnaît qu’il a été un partisan de la continuité.

“Non à la continuité pour elle-même, par idéologie ou dogme, mais parce qu’en tant qu’industriel, je reste convaincu que relever le défi de la diversification réclame de la stabilité”, précise-t-il.  Mais, pour lui, relever ce défi réclame aussi l’adhésion du peuple. “Le faire à rebours du désir de nos concitoyens est une ineptie. Un non-sens. C’est la négation de nos valeurs et de notre histoire”, soutient le désormais ex-vice-président du Forum des chefs d’entreprise. Un autre membre du Forum des chefs d’entreprise a également annoncé le gel de son appartenance au FCE. Il s’agit du P-DG d’Alliance Assurances, Hassen Khelifati. “Moi, Hassen Khelifati, membre du Forum des chefs d’entreprise depuis 17 ans, annonce officiellement le gel de mon appartenance au FCE”, a-t-il écrit sur sa page Facebook. M. Khelifati a affirmé qu’il avait déjà exprimé sa désapprobation en démissionnant de l’exécutif depuis 2014. Il n’a pas, également, renouvelé sa cotisation depuis 2017.

Le patron d’Alliance Assurances a participé à la grandiose marche de vendredi dernier. “Nous avons marché pour l’Algérie, pour nos enfants, pour nos jeunes. Pour un lendemain meilleur, pour redonner espoir à nos jeunes”, a souligné M. Khelifati. “Nous sommes fiers de notre peuple de Tébessa à Tlemcen et de Tamanrasset à Tizi Ouzou”, a-t-il ajouté. Pour le patron d’Alliance Assurances “la place des chefs d’entreprise honnêtes, travailleurs, créateurs d’emplois et de richesses est au milieu et parmi leur peuple, qui n’est ni à vendre ni à acheter”. Pour rappel, jeudi dernier, le P-DG du groupe Sogemetal, Mohamed-Arezki Aberkane, a décidé de claquer la porte du FCE.

“Faisant suite à mon message téléphonique, je confirme par la présente ma démission du Forum des chefs d’entreprise”, écrit Mohamed-Arezki Aberkane dans une lettre adressée au secrétaire général du FCE. Le patron de Sogemetal indique qu’il ne peut faire partie d’une organisation patronale qui prône l’anathème et le mépris à l’égard de tout un peuple qui exprime librement et dignement une revendication qui est la sienne. Mohamed-Arezki Aberkane rappelle qu’il a, en effet, “souscrit à une adhésion volontaire à cette organisation à une époque où elle rayonnait pour ses engagements et idéaux économiques en faveur de mon pays l’Algérie”.

Hélas aujourd’hui, “je m’en soustrais pour des motifs objectifs que chacun pourra comprendre et surtout pour ses positions politiques incompatibles, voire antagoniques avec ses missions statutaires auxquelles je n’ai jamais souhaité adhérer de tout temps”, a-t-il regretté, tout en confirmant son retrait du Forum des chefs d’entreprise.

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Demain au siège du journal: Le Forum de “Liberté” reçoit Nacer Djabi

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:48

Le Forum de Liberté reçoit demain(*) 4 mars 2019, à 10h30, à la salle de conférences du journal, à El-Achour (Alger), Nacer Djabi, sociologue.
Une conférence-débat sera animée par l’invité qui portera son regard de sociologue et d’analyste politique sur l’actualité nationale, particulièrement l’implication massive des jeunes et des élites dans les manifestations populaires contre le 5e mandat.
La presse est cordialement invitée. Le Forum est ouvert au public dans la limite des places disponibles.
Il sera, par ailleurs, possible de suivre le direct du Forum sur notre page Facebook et de poser des questions à l’invité dans l’espace dédié à cet effet.
(*) La date de ce Forum a été exceptionnellement décalée de dimanche à lundi.

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''La police n'est pas là pour faire peur à la population'' (DGPR)

24 Heures au Bénin - Sun, 03/03/2019 - 14:48

Invité sur l'émission "Ma part de vérité" de ce dimanche sur Golfe Tv, le Directeur général de la police républicaine (DGPR), Nazaire HOUNNONKPE a exposé les actions du gouvernement pour permettre aux fonctionnaires de la police de faire leur travail en toute quiétude. Il n'a pas manqué de mettre l'accent sur le rôle qu'elle joue pour la protection de la population.

" La police n'est pas là pour faire peur à la population. Elle travaille pour la population et c'est en cela qu'on s'attèle", précise le général de brigade Nazaire Hounnonkpè. Il rappelle qu' "A l'avènement de ce régime, la sécurité était assurée par la police nationale et la gendarmerie nationale.
La gendarmerie qui devrait être sous l'autorité fonctionnelle du ministère de l'intérieur ne l'était pas". " Non seulement cela a été corrigé grâce à ce régime mais le gouvernement a aussi doté les unités de sécurité de matériels roulants et d'une dotation spéciale", a-t-il ajouté.
Evalué à 4 milliards FCFA par an, le gouvernement s'emploie à donner à la police ses moyens.
Le général Hounnonkpè explique qu'il " faudrait ne plus voir la police républicaine comme une fusion des ex police nationale et gendarmerie mais la voir plutôt comme un autre corps de sécurité qui a été créé et qui est en train de se doter graduellement de ses textes et de ses attributs". Et pour cela, il ne doit en avoir de doute. Son rôle aujourd'hui va au-delà de deux corps fusionnés. C'est d'ailleurs ce qui fait que pour le général, "Notre pays est ainsi passé de l'ère ou nos populations devaient débourser par elles-mêmes les fonds nécessaires pour toute intervention sécuritaire devant leur profiter à l'ère du fonctionnement normal d'une nation. Aujourd'hui, l'État prend en compte effectivement et systématiquement la sécurité des populations". Plusieurs avantages des forces de la police republicaine sont en finalisation. Pour le directeur général de la police republicaine, "S'agissant de la reconstitution de la carrière des agents, nous savons qu'on ne peut rien attendre d'un agent frustré et nous travaillons à cela sur la base des statut". En cela tout est fin prêt. Ainsi donc, "Il ne s'agit pas de se baser sur la comparaison entre ce que vaut un ex-policier et ce que vaut son homologue de l'ex-gendarmerie mais il est plutôt question de se baser sur le point d'ancrage qui est établi par les textes de droit qui régissent la police républicaine pour accorder à chacun ce qu'il mérite". " Le commandement n'a aucun intérêt à se baser sur les jugements avec le risque de brimer les agents, il travaille plutôt à appliquer les textes tels qu'ils se doivent de l'être", a précisé le général Hounnonkpè.
Le numéro 1 de la police fait comprendre que "La création de la police républicaine a permis de mettre fin à cette situation qui se caractérisait par la présence d'une unité de police et d'une unité de gendarmerie dans une même localité alors que plusieurs autres localités n'en ont aucun". Mieux, il signale que "la Police Républicaine est dans la phase de réalisation d'un vaste programme qui permettra de doter chacun des arrondissements de notre pays d'un base de sécurité".
Là dessus, Nazaire Hounnonkpè dévoile que " 150 arrondissements ont déjà été pris en compte et les autres arrondissements seront pris en compte avant la fin du quinquennat".

Des réformes positives
"Nous avons désormais 24h sur 24h les équipes sur les corridors béninois de l'est à l'ouest et du Nord au Sud. Tout cela est le fruit des réformes et participe de la sécurité de nos concitoyens", se réjouit le général de brigade. Il ajoute que "Désormais, il faut être titulaire du Baccalauréat pour devenir agent de police, d'une licence pour devenir brigadier et d'un master pour devenir officier". Il faut dire donc que " La police républicaine est désormais un corps d'élite parce que la sécurité est un domaine suffisamment sensible dans la vie d'une nation". Il souligne par ailleurs que des efforts restent certainement à faire. " mais avec l'avènement de la police républicaine notre pays cerne aujourd'hui de plus en plus la question de la sécurité".
L'autre chose importante dont a fait cas le directeur général de la police republicaine est le numéro vert et l'enregistrement des plaintes où que la personne se trouve. Pour lui, "En dehors du numéro vert ( 166 : appel gratuit) qui permet aux populations de faire prendre en compte leurs préoccupations, la Police peut aujourd'hui enregistrer les plaintes des population où qu'elles soient et même depuis l'étranger. Il estime que "La philosophie de la police est de rassurer les populations".
Il renchérit que " Notre crédo aujourd'hui est d'inspirer confiance à nos concitoyens dans l'optique de la coproduction de la sécurité".
Le général martèle que "C'est un devoir citoyen que de travailler à la sécurité et à la quiétude de sa communauté". "Nous avons toiletté les curricula de formation de manière à ce que les policiers soient bien formés, qu'ils cultivent le plus possible les valeurs morales et éthiques et qu'ils soient bien préparés aux nouvelles formes d'agression", assure le DGPR. Aujourd'hui, il se dit convaincu qu'avec les réformes, "L'argent ne doit pas être la première source de motivation dans la décision d'embrasser une carrière". Il faut pour cela, ajoute-t-il la quête de la satisfaction morale par rapport au service bien rendu. Selon lui, "La police républicaine à l'obligation d'assurer la sécurité publique et intérieure du pays, de protéger les institutions et les installations de l'État, de veiller aux respect des lois et des textes, de préserver l'ordre puclic".

Les vrais actes
Le directeur général des forces de sécurité souligne que "La police travaille à ce que les perturbations soient prévenues mais elle a aussi et surtout le rôle de circonscrire et de maîtriser en un temps record les troubles lorsqu'ils surviennent''.
Et c'est témoigne le ''rôle que nous avons joué dans le cas des incidents survenus ces derniers jours à Tchaourou et à Kilibo", évoque le général. Il précise aussi que "dans le cas des troubles survenus à Tchaourou et à Kilibo, les fonctionnaires de la police républicaine ont fait preuve de beaucoup de retenue pour ne utiliser que la force minimale nécessaire pour régler le problème en dépit des traitements inhumains dont ils ont fait l'objet de la part des populations qui étaient dans une disposition de créer un incident sans précédent dans notre pays". Pour Nazaire Hounnonkpè, "Rien ne peut justifier le fait que des Béninois prennent des fusils de chasse et qu'ils tirent à bout portant sur les policiers, des Béninois comme eux qui étaient venus juste pour leur demander d'agir dans le respect des textes que notre nation s'est librement donnés". A cela, il pense qu'il est important "que chacun comprenne et intègre le fait que la police ne doit en aucun cas être pris pour cible puisque sa mission est de servir pour la sécurité des personnes et des biens dans la nation, sans parti pris et dans le strict respect des textes de la République". Selon le directeur, "Le policier doit être une personne digne. Nous sommes fiers de savoir qu'aujourd'hui certaines qualifications du genre ''deux cents avec tes pièces'' ( descends avec tes pièces) ont considérablement régressé avec l'avènement de la Police Républicaine". Il n'a pas manqué de louer la bravoure de ses éléments notamment leur professionnalisme. "Je salue une fois encore le courage et le professionnalisme dont les forces de sécurité ont fait preuve lors des incidents de Kilibo et de Tchaourou".
Pour le chef de la police republicaine, " Elles ont tout fait pour ne pas tirer le moindre coup de feu en dépit de la détermination des populations armées de fusils de chasse qui n'ont pas hésité à tirer à bout portant sur eux". Il déplore néanmoins que " Certains de nos éléments se trouvent encore à l'hôpital actuellement avec du plomb dans le corps mais je suis très heureux de dire que notre nation ne déplore aucune perte en vie humaine des suite de cet incident".

L'appel au dialogue
A travers les textes et les matériels de travail aujourd'hui, le directeur pense que la police doit jouer convenablement son rôle pour décourager les faussaires. "Il me paraît important de souligner que la période d'imprescribilité de ces délits est de 10 ans", indique-t-il. En la matière, le directeur informe que " la police républicaine dispose déjà des vidéos qui retracent les faits et elle se réserve donc le droit de poursuivre aussi bien les auteurs, les commanditaires que les complices de ces actes qui ont consisté à tirer à bout portant sur des forces de sécurité qui étaient dans l'exercice de leur mission républicaine". Nazaire Hounnonkpè précise que " Ceci n'est pas une affaire d'individu à individu. Il s'agit plutôt d'une affaire d'institution et les concernés devront en son temps répondre de leurs actes devant la justice". Le directeur général de la police republicaine pense que " Le dialogue est le seul instrument et doit demeurer notre arme privilégiée pour la résolution des différends et malentendus". Et cela ne peut pas manquer de survenir dans nos relations en tant qu'humains. "Faisons donc en sorte d'éviter toute forme de violence et plus particulièrement, celles qui pourraient nous amener à détruire les édifices publiques ou à nous en prendre à l'intégrité physique de nos concitoyens ", conseille-t-il.
G.A

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Caractère national, pacifique et conscience des enjeux des manifestants: Les leçons d’une mobilisation

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:46

      Cette jeunesse que le pouvoir s’est pourtant employé, deux décennies durant, à soudoyer pour l’exclure de la politique, a fait montre d’une conscience politique sur les enjeux.

“Grandioses”, “historiques”, “impressionnantes” : les observateurs et les médias, particulièrement ceux de la presse privée, n’ont pas manqué de qualificatifs pour dépeindre la formidable mobilisation des Algériens lors des manifestations de vendredi. Jamais sans doute l’Algérie n’aura vécu une mobilisation d’une telle ampleur. Elle fera dire, d’ailleurs, pour les plus vieux que cela leur rappelait le jour de l’indépendance.“Beaucoup de monde a prévu qu’il y aurait plus d’Algériens dans les rues vendredi, que la sociologie allait se diversifier.

On a vu beaucoup de familles, des jeunes, des vieux, des filles et même des enfants. Elle avait un cachet populaire et national”, relève le sociologue, Nacer Djabi. Mais, c’est incontestablement, la forte mobilisation de la jeunesse qu’il convient de relever. Cette jeunesse que le pouvoir s’est pourtant employé, deux décennies durant, à soudoyer pour l’exclure de la politique. Bien mieux, contrairement à une idée assez répandue, elle a fait montre d’une conscience politique sur les enjeux.

En témoignent les slogans scandés et la réponse cinglante infligée à Ahmed Ouyahia qui, la veille, devant les parlementaires, brandissait la menace du chaos en évoquant le cas syrien. “Ouyahia, l’Algérie n’est pas la Syrie”, “Le peuple ne veut ni Bouteflika ni Saïd”, “Le peuple veut la chute du régime”, “Voleurs, vous avez pillé le pays” ou encore “Pacifique, pacifique”, comme pour signifier de leur degré de conscience sur l’enjeu de la stabilité. Autre image fort saisissante : cette fraternisation avec les policiers.

Un des policiers dont une vidéo est relayée sur les réseaux sociaux, n’a pu contenir ses larmes. Rue Hassiba-Ben Bouali, peu avant d’arriver à la trémie de la place Maurétania, des manifestants avaient même formé un bouclier autour des policiers pour éviter d’éventuels dérapages. Message sous-jacent : “Nous sommes frères”, comme le clameront, par ailleurs, les manifestants à la vue de colonnes de policiers dont certaines, auront droit à un tonnerre d’applaudissements.

Si la manifestation a vu la présence de nombreuses figures de la scène politique, du monde économique et de la société civile, certains, à l’image de Moussa Touati, n’ont pas échappé aux sarcasmes et aux huées des manifestants. Comme quoi, les jeunes savent séparer les “opposants” des “faux-semblants”. Il faut relever également l’absence des islamistes dont aucun slogan n’a été brandi même si certains leaders, à l’image de Makri du MSP ou encore de l’irréductible Abdallah Djaballah, ont tenu à participer à la marche.

Reste que comme tout mouvement de cette ampleur, sans encadrement et sans une homogénéisation de ses revendications, sa force, pour l’heure cristallisée autour du départ de Bouteflika, peut constituer à la longue sa faiblesse. L’exemple des Gilets jaunes en France est à ce titre assez édifiant. D’où le souci, pour certains, que la détermination affichée vendredi par les manifestants ne soit pas neutralisée et polluée par toute sorte d’artifices.

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Rencontre-dialogue avec les écrivains Ryad Girod et Jérôme Ferrari à Alger: “L’écriture est un acte politique”

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:34

     Lors de cette rencontre organisée à la librairie l’Arbre à Dires, les deux auteurs sont revenus sur leur écriture, l’interaction avec le monde et l’engagement dans la littérature.

Dans le cadre de la traduction en langue arabe par les éditions Barzakh du roman Où j’ai laissé mon âme de Jérôme Ferrari, le lauréat du prix Goncourt 2012 était l’invité de la librairie l’Arbre à Dires. Accompagné de son acolyte Ryad Girod, prix Assia Djebar pour son roman Les yeux de Mansour, les deux écrivains ont dialogué jeudi, devant un public nombreux, autour de diverses thématiques liées à leur écriture, l’engagement littéraire et autres problématiques du monde contemporain, notamment la bonté, la métaphysique, le mal et la noirceur.

Sur la manière dont il articule ces thématiques, Ryad Girod a soutenu que dans son précédent roman La fin qui nous attend (éditions Barzakh) avoir abordé “une réflexion autour de la bonté où j’ai mis en scène un clan d’autoritaires et de religieux qui ne sont pas fixés dans un lieu précis. Cela aurait pu se dérouler à Alger des années 90, au Liban ou en Syrie”.

Dans ses écrits, l’écrivain a expliqué qu’il tente de questionner et de trouver “une possibilité de compréhension sur ce monde actuel qui va très vite et dans lequel nous sommes bombardés d’informations”. Malgré leur “différence” avec Jérôme Ferrari, “nous avons le souci de nous engager dans ce monde, d’apporter quelque chose. Je pense qu’écrire est un acte politique. On apporte une vision, une analyse, des interrogations, et c’est fortement un engagement politique”. Interrogé par le modérateur Sofiane Hadjaj sur l’interaction d’un auteur avec le monde qui l’environne, Girod a indiqué avoir “besoin d’un temps assez long pour choper l’esprit et l’âme qui le traverse, sans jamais m’extraire d’un engagement politique”.

Et de renchérir : “Je préfère prendre le temps et poser des questions dans le roman, afin de mettre en lumière des problématiques et poser la complexité des choses.” Pour sa part, Jérôme Ferrari a précisé qu’il y a “plein de manière de faire de la littérature. Penser qu’un texte a une dimension politique n’est pas nécessairement parce qu’il prend position sur des éléments d’actualité”. Pour l’auteur d’À son image, le texte littéraire peut être “politique sans prendre position. Il faut écrire le livre sans donner d’avis, montrer la complexité des choses, et montrer les rouages à l’œuvre c’est refuser de reprendre le débat dans les termes qui sont inacceptables”.

D’ailleurs, il a informé l’assistance avoir toujours refusé d’écrire pour la presse, mais s’il a été chroniqueur dans le quotidien La Croix en 2015, “car le débat public en France est devenu intolérable. Avant, je me disais qu’il n’y avait pas de raison que ma vision soit plus pertinente, mais à un moment donné, je devais le faire !”, a-t-il martelé.

À propos de l’engagement dans les médias par les auteurs, Ryad Girod a raconté vouloir le faire “depuis quelques jours, je bouillonne fortement mais je ne me sens pas vraiment compétent ; la situation actuelle est compliquée et complexe, ce qui m’intéresse le plus est de comprendre plus que de m’exprimer et donner mon avis”. Cette rencontre-dialogue à la librairie l’Arbre à Dires a permis entre autres à ces deux enseignants de lycée, convertis en écrivains prolifiques, d’échanger également sur la littérature d’urgence et l’interculturalité dans les écrits.

Hana Menasria

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Fespaco: le cinéaste rwandais Joël Karekezi décroche l’Etalon d’or de Yennenga

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 03/03/2019 - 14:30
RFI - Le pays invité d’honneur du Fespaco, le Rwanda, a décroché le gros lot lors du palmarès du plus grand festival du cinéma africain....
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Kia Al Djazaïr dévoile pour la première fois la Nouvelle Rio berline, Assemblée dans l’usine Gloviz de Batna.

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:28

Kia Al Djazaïr, filiale de Global Group et représentant officiel de Kia en Algérie, dévoile pour la première fois la Nouvelle Rio berline, Assemblée dans l’usine Gloviz de Batna.

Cet événement a lieu dans le Showroom de Kaidi (Fort de l’eau) au sein de la Direction Générale de Kia Al Djazair. C’est une occasion de présenter la nouvelle Rio 4 portes. Cette dernière est une variante de la Rio déjà commercialisée en version 5 portes.

Pour rappel, la conception de la nouvelle Rio a été supervisée par les centres de design Kia en Allemagne et en Californie, en étroite collaboration avec le siège social international de design de la société à Namyang, en Corée.

L’apparence de la nouvelle Rio est définie par ses lignes effilées et des surfaces profilées, procurant à ce modèle une nouvelle allure à la fois caractéristique et sportive.

Cette version berline se caractérise principalement, par rapport à la version à hayon, par son coffre avec une capacité de chargement de 387 litres, affichant ainsi une longueur de 4,38 mètres soit 32 cm de plus.

La Rio 4 portes est disponible au lancement en motorisation 1.4 essence de 100 ch couplée avec une boite manuelle à 6 rapports.

La nouvelle Rio 4 portes est commercialisée en deux versions, Easy et Sensation. D’entrée de gamme, la version Easy offre une multitude d’options telles que les vitres électriques, une clé pliable et fermeture des portes à distance, un autoradio tactile de 7’’ avec caméra de recul, Bluetooth avec reconnaissance vocal, commandes au volant, jantes en alliage 15’’, ABS, régulateur de vitesse, rétroviseurs à réglage électrique…

La version Sensation quant à elle, est dotée d’un toit ouvrant électrique, de la climatisation automatique, de jantes en alliage 17’’, de phares à LED à projections bifonctions, de rétroviseurs extérieurs dégivrants rabattables électriquement, d’un volant et pommeau de vitesse gainés de cuir, d’une grille de calandre en noir finition chromée…

La nouvelle Rio 4 portes est proposée au prix de 1 990 000 Da en version Easy et 2 370 000 Da en version Sensation. Le Kit GPL est disponible sur toutes les versions essence commercialisées par Kia Al Djazair.

Finalement, la configuration 4 portes assure une bonne polyvalence et, comme tous les autres modèles de la marque, cette Kia propose une garantie rassurante de 5 ans/100 000 km.

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Mobilisation contre le cinquième mandat: Dimanche, une journée ouverte à toutes les éventualités

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:22

Le délai pour le dépôt des dossiers de candidature à la candidature à l’élection présidentielle du 18 avril prochain expire aujourd’hui à minuit. La journée s’annonce longue, mais surtout chaude. Des appels à des manifestations publiques  contre le 5e mandat ont été diffusés sur les réseaux sociaux.

Des manifestations à l’intérieur mais aussi à l’étranger, là où est établie une forte communauté nationale.
Entre une journée de grève générale, pour certains, trois ou cinq jours pour d’autres, et des marches pacifiques dans la capitale, Alger, et dans d’autres villes du pays, ou encore un rassemblement devant le siège du Conseil constitutionnel, ces appels convergent tous vers le même objectif : faire barrage au 5e mandat d’Abdelaziz Bouteflika que voudraient imposer ses partisans contre la volonté populaire. Parmi les appels identifiés, il y a notamment celui lancé par les avocats de la wilaya de Bouira pour l’organisation d’une marche pacifique.

Dans un communiqué rendu public, hier, cité par notre correspondant, les robes noires de cette wilaya du Centre, soulignent qu’ils sont “plus que jamais interpellés, de ce fait, nous ne pouvons-nous désengager de notre mandat de défenseurs des libertés et des droits de la personne humaine”.
Cette marche dite “de la dignité” est prévue à partir du siège de la cour de justice du chef-lieu de wilaya. À Alger, un appel anonyme lancé sur les réseaux incite à l’observation d’une grève générale aujourd’hui.
Au vu de la réussite de l’ensemble du mouvement de protestation depuis la première marche, le 16 février dernier, à Kherrata, il est fort à parier que les nouveaux appels trouveront un écho favorable chez les citoyens dont la détermination à en finir avec le régime de Bouteflika a été prouvée notamment lors des grandioses marches des deux derniers vendredis au niveau national.

Cela est d’autant plus plausible que les réseaux sociaux, désignés désormais comme le “cinquième pouvoir”, sont devenus de véritables vecteurs et mobilisateurs de la société, davantage que les canaux classiques, tels que les partis politiques ou autres organisations. Ainsi, et c’est le moins que l’on puisse dire, la journée d’aujourd’hui s’annonce riche en événements. La colère citoyenne risque d’être attisée dans le cas où le président sortant Abdelaziz Bouteflika oserait se présenter à l’élection présidentielle du 18 avril prochain. Ce qui n’est, logiquement, pas envisageable au vu de son état de santé. Sauf entêtement de ses partisans…

Farid Abdeladim

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Premier film pour enfants made in DZ: Avant-première nationale du “Bélier magique” à Constantine

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 14:13

Organisée par l’association culturelle Numidi-Arts (les zinzins du cinéma) de Constantine, la projection en avant-première nationale du long métrage Le bélier magique a eu lieu hier à la maison de la culture Malek Haddad de Constantine.

Considérée comme le premier film pour enfants jamais réalisé dans le cinéma algérien, cette fiction de 90 mn, produite par le CADC et la boîte Lalla Moulati, relate l’aventure de quelques élèves en visite au zoo d’Alger où ils font la rencontre d’animaux mais aussi du directeur du zoo qui s’avère être, à la grande surprise des élèves, un magicien. Khawla, une des élèves, et son ami le bélier qui ne veut pas être égorgé partagent à eux trois un secret. La journée au zoo ranime l’amour et le respect des élèves pour tous les animaux.

Pour le réalisateur du film, Saddek El-Kebir, ce long métrage est “un film pour petits et grands. Il parle des droits de l’enfant et des droits de l’animal. Il a également une portée pédagogique et cinématographique surtout que nous sommes dans une période de changement à travers laquelle nous voulons construire une nouvelle Algérie et peut-être que ce film aussi va ramener les gens vers le cinéma qu’ils ont abandonné depuis longtemps”, a-t-il martelé. Et d’ajouter : “Une chose : nos enfants ont vraiment besoin de cinéma et de théâtre, c’est très important, et ce film est une très bonne occasion.”

Tourné en 2016 entre Alger, El-Kala et Jijel, le film regroupe plusieurs acteurs, notamment Rym Takoucht et Mustapha Laribi ainsi qu’une vingtaine de comédiens en herbe, à l’instar de Slimane Selimi, Norhene Zeride, Fatiha Keroumi, Saddek El-Kebir. “Je suis très heureux d’avoir été parmi les acteurs de ce film, c’est une très belle expérience qui m’a permis d’apprendre beaucoup de choses dans ce domaine. J’ai été choisi pour ce rôle grâce à mes anciennes participations dans le film Le puits et aussi grâce à des pièces théâtrales avec ma troupe d’El-Ghouat”, nous confie le jeune comédien Slimane Selimi.

Par ailleurs, Lounis Yaou, président de l’association Numidi-Arts, dira à cette occasion : “Comme nous sommes la seule association à Constantine qui possède un ciné-club, nous avons invité Sadek Lekbir pour la projection en avant-première nationale de son film.” Tout en regrettant que “les gens ne voient plus de films parce que nous n’avons plus de salles de cinéma, dans notre association nous maintenons cette activité comme une sorte de combat”.

Concernant les activités de l’association, M. Lounis a fait savoir que “la maison de la culture Malek-Haddad abritera du 22 au 27 mars courant les premières journées du théâtre lycéen, une première dans la ville de Constantine et dans l’histoire du 4e art algérien. Organisé par l’association Numidi-Arts, à savoir sa commission les zinzins du théâtre, cet évènement verra la participation de 12 lycées, qui seront évalués par un jury de professionnels”. À noter que cet événement sera organisé en partenariat avec la direction de l’éducation et la direction de la culture de la wilaya.

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TechnipFMC remporte un contrat EPCIC sur le gaz sénégalo-mauritanien

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 03/03/2019 - 13:51
Agence Ecofin - Vendredi, la société d’ingénierie TechnipFMC a obtenu un nouveau contrat sur le gaz du champ Tortue / Ahmeyim, situé au large...
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Bouteflika toujours hospitalisé en Suisse

Algérie 360 - Sun, 03/03/2019 - 13:36

Le président Bouteflika serait encore hospitalisé au sein du HUG de Genève, rapporte le journal La Tribune de Genève.

« Calme plat au huitième étage des HUG. Deux policiers sont toujours en faction, ils ont reçu comme instruction de ne faire aucun commentaire. À 11 heures ce dimanche, rien ne semblait bouger derrière eux. Aucun signe n’indique que le patient – Abdelaziz Bouteflika, le président de l’Algérie – s’apprête à sortir, ou à être transféré (…)  Calme similaire à l’aéroport. L’avion qui a transporté le président dimanche dernier (et qui est aussitôt reparti pour Alger) n’a pas annoncé son retour, selon des sources bien informées. Aucun autre appareil VIP immatriculé en Algérie et dans un pays voisin n’est prévu à Cointrin » ajoute le média.

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« Ce n'est pas parce que quelqu'un ne va pas aux élections qu'il y aura problème », Elvis Dagba

24 Heures au Bénin - Sun, 03/03/2019 - 13:26

« Il faut que la classe politique se ressaisisse », invite Elvis Dagba
L'invité de l'émission Zone franche de ce dimanche 3 mars 2019 est le pasteur Elvis Dagba. Sur la situation politique actuelle avec le dépôt des dossiers à la CENA, le pasteur a démontré le faux entretenu par les opposants tout en exposant les bienfaits du gouvernement. Il a par ailleurs laissé franc jeu à l'ambition du chef de l'État pour le Bénin même s'il estime que le péché du gouvernement est l'insuffisance de communication sur ses actions.

« Dans la vie il faut savoir faire des bilans. Il faut prendre des résolutions », dira le pasteur sur son absence sur les médias depuis quelques années. Maintenant plus en politique, il affirme « Je suis un homme de Dieu. Je suis attaché à mon ministère et j'interviens aussi en politique quand il y a lieu. Je crois en Patrice Talon et en sa vision ». A l'en croire, « Les choses se passent comme cela devrait l'être. Les choses se passent suivant les textes. Nous sommes à un moment où chacun doit démontrer son attachement au pays. Chacun est dans son rôle et il faut laisser les institutions jouer leur rôle. Quand on est important il faut faire ce qu'il y a à faire. Il faut respecter les textes ». Selon lui, la situation que rencontrent les opposants n'est pas bien mais ils ont voulu. « A qui la faute ? », Se demande-t-il. Le pasteur pense que

« Ce n'est pas parce que quelqu'un ne va pas aux élections qu'il y aura problème. Quand vous passez votre temps à vous promener. Vous passez votre temps à parcourir les lieux où il ne faut pas aller. Vous passez à vous promener de maison mortuaire en maison mortuaire. Vous passez votre temps à vous plaindre, au lieu de vous y prendre très tôt pour vous conformer ».

Il jette le tort sur les députés de l'opposition qui selon lui ne s'imprègnent pas des textes de lois à voter. « Les députés ne lisent pas forcément les lois qu'ils votent. Les députés de l'opposition disent de ne pas voter telle ou telle loi pourtant adoptée et promulguée. Mais le non aussi est un vote. Pour voter une loi, il faut lire avant de voter. Nos députés ne lisent pas la loi sinon ils n'allaient pas voter contre parce que cela porte des choses positives pour le pays. Ils rejettent même sans lire », martèle l'homme de Dieu.
Selon Elvis Dagba, « L'idée de la réforme dérive d'un constat. Il n'y a aucun mal en cela. La réforme du système partisan est là pour régler les problèmes des partis politiques. Le Bénin est entrain de démontrer aujourd'hui qu'il peut faire de grandes choses. Quand nous parlons de réformes, il y aura forcément des grincements de dents ». Il estime qu'il n'y a pas péril en la demeure car souligne-t-il, « Ce qui se passe est normal ». Les soulèvements parfois n'ont pas de sens selon lui. Il faut que chacun comprenne ce qu'il a à faire. Il pense que « Les politiciens doivent dire la vérité à leurs manifestants. Il y a des gens qui manifestent sans savoir pourquoi ils manifestent. Est-ce qu'il faut soulever la population pour une faute commise soi-même ? Est-ce qu'il faut inviter à la rébellion alors qu'on n'est pas dans son droit ? », s'interpelle l'invité. Il pense simplement que « L'opposition est dans la diversion. Au lieu de se concentrer sur ce qu'il y a à faire, elle ne le fait pas ». Pour lui, certains sont allés en congrès. Certains ont déposé des listes non signées alors qu'ils devaient bien lire les textes pour se conformer. « Pour moi, il y a une volonté manifeste de jeter de l'opprobre sur ce que le Chef de l'État fait. Il y a des cas par exemple sur ceux qui sont à l'extérieur. Ils ont commis des erreurs. Le cas Djènontin qui a publié sur les réseaux sociaux, un document administratif qui est contre la loi. Le peuple est intoxiqué. Il faut que la classe politique se ressaisisse. Il ne faut pas regarder la tête de celui qui dirige le pays pour tout refuser », estime Elvis Dagba. Même s'il pense que « La loi c'est la loi et elle s'applique à tout le monde et que les gens (ministère, Cena) se basent sur les textes. Certains peuvent ne pas être d'accord ». Pour cela, il estime qu'il faut qu'on pense à envoyer à l'Assemblée des gens qui ont un certain niveau donné et limiter le nombre de temps à faire. A la question d'expliquer le mobile du retour de presque tous les anciens députés de la mouvance en tête de liste des deux grands partis de la mouvance, il demande « Est-ce que tous les soutiens du chef de l'État sont positionnés. Non ? Est-ce qu'il y a des jeunes ? Oui ». Il fait savoir que « Le président est un homme méthodique. Même si on ne le comprend pas maintenant, on va le comprendre demain. Je voulais saluer les actions du Chef de l'État. Nous voyons les actions aujourd'hui alors qu'il y a un an ce n'est pas pareil ». Il ajoute que « Le président est resté dans la logique de ne pas faire la propagande inutilement ». Malheureusement il indique que, « On a tellement mélangé le peuple, les choses ont été dites méchamment contre le gouvernement ». A comprendre les actions du chef de l'État qui lui donne autant de courage, Elvis Dagba laisse entendre, « Nous avons un président bâtisseur, engagé. Vous avez vu le projet Arch a commencé. Ce qui m'impressionne quand vous suivez le président, il travaille pour un grand nombre. Il a de la vision et il est décidé à mettre de l'ordre ». Il n'a pas manqué d'apporter des arguments pour défendre la lutte contre la corruption engagée par le Chef de l'État surtout avec la promulgation de la loi sur la CRIET. Un vrai instrument contre l'impunité selon lui.
La seule chose que déplore le pasteur est le défaut de communication autour des actions du gouvernement. Pour lui, « La communication n'est pas bien faite. Il n'y a pas une réelle communication sur les actions. Il a laissé le temps à l'intoxication. Mais c'est le choix du chef de l'État ».

Giscard Amoussou

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