Une équipe d'experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF a séjourné à la mairie de Bohicon du 02 au 09 novembre 2021. Soutenir la commune pour l'élaboration de son premier budget participatif, c'est l'objectif des travaux qui ont duré une semaine.
Des experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF à la mairie de Bohicon pour l'élaboration du premier budget participatif de la commune. Au lancement des travaux le 02 novembre dernier, les participants ont parcouru les arrondissements de Agongointo, Avognanna, Lissèzoun, Gnidjazoun et Saclo du 03 au 05 novembre. Au cours des entretiens, les populations de ces arrondissements, tous bénéficiaires de la phase pilote du mécanisme d'élaboration, ont exprimé et priorisé leurs besoins afin qu'ils soient pris en compte dans le budget.
A l'hôtel de ville de Bohicon, mardi 09 novembre, un des trois projets identifiés par arrondissement a été retenu par le forum communal d'élaboration du budget participatif. Ainsi, 05 projets (un par arrondissement) ont été retenus.
Le chef cabinet Abel Gbètoénonmon, représentant le maire Rufino d'Almeida, a rappelé la démarche de ce dernier, qui épouse le mécanisme d'élaboration participatif du budget prôné par Social Watch et UNICEF. « Ce mécanisme confirme la démarche expérimentée par le Maire en terme d'élaboration de budget, il y a un an, lors de l'élaboration du budget 2021 », a-t-il confié.
F. A. A.
Une équipe d'experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF a séjourné à la mairie de Bohicon du 02 au 09 novembre 2021. Soutenir la commune pour l'élaboration de son premier budget participatif, c'est l'objectif des travaux qui ont duré une semaine.
Des experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF à la mairie de Bohicon pour l'élaboration du premier budget participatif de la commune. Au lancement des travaux le 02 novembre dernier, les participants ont parcouru les arrondissements de Agongointo, Avognanna, Lissèzoun, Gnidjazoun et Saclo du 03 au 05 novembre. Au cours des entretiens, les populations de ces arrondissements, tous bénéficiaires de la phase pilote du mécanisme d'élaboration, ont exprimé et priorisé leurs besoins afin qu'ils soient pris en compte dans le budget.
A l'hôtel de ville de Bohicon, mardi 09 novembre, un des trois projets identifiés par arrondissement a été retenu par le forum communal d'élaboration du budget participatif. Ainsi, 05 projets (un par arrondissement) ont été retenus.
Le chef cabinet Abel Gbètoénonmon, représentant le maire Rufino d'Almeida, a rappelé la démarche de ce dernier, qui épouse le mécanisme d'élaboration participatif du budget prôné par Social Watch et UNICEF. « Ce mécanisme confirme la démarche expérimentée par le Maire en terme d'élaboration de budget, il y a un an, lors de l'élaboration du budget 2021 », a-t-il confié.
F. A. A.
Suite à la baisse remarquable des cas de contamination à la Covid-19, les autorités compétentes ont décidé de rouvrir toutes les enceintes sportives aux spectateurs, et ce, à la grande satisfaction de ces derniers.
À cet effet, le public sportif, notamment les amoureux du ballon rond, peuvent désormais rejoindre les tribunes des stades, supporter, mais aussi assister aux matchs officiels, à l’image de celui qui réunira les Fennecs aux Étalons.
Ladite confrontation est prévue pour le mardi 12 novembre à 17 heures (heure algérienne), au stade Mustapha Tchaker de Blida. C’est un match qualifié de « décisif » vu sa grande importance.
Ce dernier entrera dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Sachant que l’équipe nationale et son adverse, le Burkina Faso, sont à égalité de score. Les deux équipes occupent la tête du classement du groupe A. Toutefois, les Verts dépassent leurs adversaires au nombre de buts inscrits.
Sur ce, et afin de pouvoir rejoindre les tribunes et assister au grand match le mardi prochain, le gouvernement a exigé certaines mesures, dont l’obligation de la vaccination.
Le Premier ministre insiste sur le certificat de vaccinationEn effet, et en marge de la discussion du projet financier 2022, le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a souligné que la vaccination est nécessaire pour les supporters qui veulent voir les Verts affronter le Burkina Faso depuis les tribunes.
» La Confédération africaine de football a autorisé l’entrée des supporters pour la rencontre des Fennecs contre les Étalons. Cette autorisation stipule l’entrée à la moitié de la capacité du stade Mustapha Tchaker, et chaque supporter doit avoir une carte de vaccination pour être autorisé à entrer dans ledit stade le 16 novembre », a déclaré ce mardi ledit ministre.
Par ailleurs, le même responsable a affirmé : » même après la qualification de l’équipe nationale pour le barrage, cette procédure restera en vigueur en attendant le lancement du passeport sanitaire à l’avenir « .
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Durant ce temps pluvieux, les habitants d’Alger font face à beaucoup de problèmes à l’instar des routes barrées et des inondations, voilà que la société des eaux et d’assainissement d’Alger (SEAAL) revient porteuse d’une nouvelle relative à l’eau, loin d’être bonne.
En effet, la société a annoncé aujourd’hui le prolongement des perturbations en alimentation en eau potable, et ce, dans 15 communes d’Alger, à savoir la commune de Reghaia, Rouiba, Hraoua, Dar el Beida, Bordj el Kiffan, Alger Plage, El Marssa, Oued Semar, El Mohammadia, Bach Djerah, Kouba, Bourouba, El Harrach, Ain Taya et Bab ezzouar.
Ces perturbations seront prolongées à cause des intempéries que la capitale a connu ces derniers temps. Une turbidité de plus de 40% des eaux brutes des barrages à l’arrivée des stations de traitement SAA et Boudouaou. La société rassure ses clients que le problème sera réglé dans les plus brefs des délais en procédant à un réajustement de l’opération du traitement des eaux, afin d’assurer une bonne qualité.
La crise persisteLa colère des citoyens ne peut passer inaperçue face à la crise de l’eau persistante. Les mêmes communiqués annonçant les perturbations se multiplient et deviennent de plus en plus fréquent à un détail près ; une cause différente à chaque annonce.
Pourtant, le nouveau PDG de la SEAAL a indiqué récemment « un plan de travail et une feuille de route ont été élaborés en coordination avec la Direction des Ressources en Eau d’Alger afin d’assurer la fiabilité et le suivi du programme de distribution, ainsi que pour trouver des solutions dans les meilleurs délais dans le cas ou une fluctuation urgente est enregistrée ».
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Au moment où les services du premier ministère ont décidé de prolonger la levée du confinement pour une période de 21 jours, les mises en garde contre l’avènement d’une 4e vague épidémique se multiplient.
Ce mercredi, c’est le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid qui revient sur cette question. Lors de son passage sur la chaine Echorouk news, il a affirmé que le risque de l’arrivée de la 4e vague est toujours présent, malgré l’accalmie constatée actuellement.
Selon lui, tous les indicateurs scientifiques confirment que l’Algérie sera confrontée à l’avènement de la 4e vague de l’épidémie du coronavirus. À ce propos, il souligne que des mesures anticipées devront être prises à tous les niveaux.
D’ailleurs, il indique que le Comité scientifique se réunira ce mercredi afin de prendre des mesures permettant de faire face à la 4e vague en cas de son arrivée.
Reconfinement et réouverture des salles des fêtes : Benbouzid préciseRevenant sur la vaccination, le premier responsable du secteur affirme qu’aucun effet dangereux n’a été constaté auprès des personnes ayant pris le vaccin contre le Covid-19. Concernant la 3e dose du vaccin, il affirme qu’il a donné des instructions afin de permettre aux personnes désirant la prendre dans 6 mois.
À ce propos, il explique que cette dose de rappel fournit une immunité plus optimale contre le coronavirus. L’intervenant affirme également qu’à défaut de la prise de cette dose, le pass sanitaire pourra être annulé.
Pour ce qui est d’un éventuel retour au confinement sanitaire, le ministre indique que cela pourra intervenir si les contaminations repartent à la hausse. Dans le même sillage, il annonce que ses servies comptent autoriser la réouverture des salles des fêtes avec des conditions.
Il s’agit, selon lui, de limitation de la présence à 50% de la capacité de la salle ainsi que l’obligation de présentation du pass vaccinal et le respect strict des mesures de prévention.
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Le ministère des Transports s’apprête à annuler, à compter du premier janvier 2022, le retrait du permis de conduire. En contrepartie, la tutelle devra mettre en place d’autres mesures permettant la récupération immédiate du permis en cas d’infraction.
Annoncée il y a quelques jours par le ministre des Transports Aissa Bekkai, cette procédure semble se confirmer. En effet, le premier responsable du secteur avait indiqué, début du mois en cours, que son département a émis une proposition concernant l’annulation du retrait de permis.
Selon des sources bien au fait citées par le quotidien Echorouk, la suspension de la procédure de retrait de permis devra entrer en vigueur dès janvier prochain. Ainsi, tout conducteur ayant commis une infraction du Code de la route pourra récupérer son permis directement après avoir payé l’amende sanctionnant le délit.
Les contrevenants disposeront également d’un délai de 10 jours pour conduire au lieu des 48 heures précédemment établies, à condition que l’amende soit payée 45 jours avant l’expiration du délai imparti et que le dossier soit déféré devant les autorités judiciaires en cas de non -respect de la nouvelle décision, tout en conservant le permis.
Selon la même source, la procédure a été proposée par la gendarmerie nationale. Après une étude menée à ce propos, il a été constaté que des permis retirés finissent par être égarés, notamment lorsqu’ils sont transférés d’une wilaya à une autre, provoquant un véritable casse-tête, notamment pour le contrevenant.
Les détails de la nouvelle procédureAinsi, la proposition faite par la gendarmerie nationale à la tutelle porte sur l’abrogation de l’article 16 du Code de la route, régissant les commissions de retrait de permis, qui entravent la mise en œuvre de la nouvelle loi concernant les permis à points.
Dans les détails, le conducteur ayant commis une infraction du 2e, 3e ou 4e degré disposera donc d’un délai de 10 jours de conduite après le retrait de son permis. Avant, le délai est fixé à 48 jours. Une fois l’amende payée, le contrevenant pourra récupérer son permis sans passer par la commission de retrait de permis.
Si l’amende n’est pas payée dans le délai des 10 jours, le conducteur sera privé du droit de conduire, mais il bénéficiera d’une prolongation pouvant aller jusqu’à 45 jours, tout en conservant le permis de conduire et pendant cette période.
Dans le cas où l’amende n’est pas payée dans les 45 jours, à compter de la date d’enregistrement de la violation, un procès-verbal de non-paiement sera établi et adressé au procureur de la République. Le contrevenant devra donc payer une amende revue à la hausse.
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Une opération menée, mercredi 10 novembre 2021, par les agents de police du commissariat de l'arrondissement de Djèrègbé, département de l'Ouémé, apuyés d'une équipe de la Direction générale de la Police républicaine, a permis d'interpeller huit (08) présumés cybercriminels.
Un groupe d'individus installé dans une maison à Gbéhonmè pour des actes de cybercriminalité a été pris la main dans le sac. La police a effectué, mercredi 10 novembre 2021, une descente inopinée sur les lieux à la suite de renseignements. Au cours de l'opération, huit (08) individus ont été interpellés. Treize (13) ordinateurs portatifs, quinze (15) téléphones portables contenant des informations compromettantes selon la police, un important matériel de connexion ont été saisis.Retour ligne automatique
Les huit individus seront présentés au procureur dans les prochains jours.Retour ligne automatique
L'opération a été menée par les agents de police du commissariat de l'arrondissement de Djèrègbé appuyés par une équipe de la Direction générale de la Police républicaine.
Marc MENSAH
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ont signé, mardi 09 novembre 2021 à Genève, un accord qui donne un ancrage politique et juridique aux actions de coopération entre ces deux organisations.
Conclu au Siège de l'OMS, par Mme Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie, et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, cet accord vient renforcer et préciser les principaux axes du Mémorandum d'entente qu'ils avaient signé en avril dernier.
Cette coopération s'articule principalement autour d'activités conjointes dans le cadre de l'Académie de l'OMS, la couverture sanitaire universelle et les soins de santé primaires et le paludisme, ainsi que dans tout autre domaine d'intérêt commun.Cet accord permet désormais à l'OIF et à l'OMS de participer mutuellement aux instances des deux organisations, selon les règles propres à chacune d'elle.
« Cet accord est la prochaine étape dans le renforcement des relations déjà étroites entre nos deux organisations », a déclaré le Dr Tedros. A l'en croire « la pandémie de COVID-19 a mis en évidence l'importance de la solidarité mondiale et de la collaboration internationale. L'engagement de la Francophonie en faveur de la paix, de la démocratie et des droits de l'homme fait de l'OIF un partenaire idéal pour l'OMS. »
Selon Mme Mushikiwabo « cet accord permettra à l'OIF de contribuer aux côtés de l'OMS au développement de la protection sociale et de l'accès universel aux services de santé publique pour tous dans le monde francophone. » Evoquant la crise COVID-19, elle a ajouté que « nous ne serons à l'abri de cette pandémie que lorsque tous les pays du monde auront vacciné leur population ».
Au-delà de ces champs d'intervention, la signature de cet Accord a permis à Madame Mushikiwabo et au Dr. Tedros de renouveler leur engagement commun en faveur de l'accès équitable aux vaccins et aux instruments de lutte contre la pandémie de la COVID-19.
L'Accord a été unanimement salué par les Ambassadeurs francophones, qui ont rappelé l'intérêt que leurs pays portent aux programmes d'assistance multilatérale et au plaidoyer en faveur de l'accès aux vaccins dans leurs pays porté notamment par l'OIF et l'OMS.
L'OIF compte 88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
Le Canada a annoncé, lundi 08 novembre 2021, à Glasgow où se déroule depuis le 31 octobre la 26ème Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP26), un financement de 10 millions de dollars canadiens en faveur du Fonds pour le changement climatique en Afrique.
Le financement qui provient de « Engagement Global du Québec » a été annoncé au pavillon Francophonie à Glasgow, où les partenaires évaluaient le bilan et les perspectives du Fonds, sept ans après sa création en 1994.
« Global Affaires Canada » s'est aussi engagé à soutenir les projets du Fonds portant sur les impacts du changement climatique pour les femmes et les filles.
L'appui a été annoncé à un moment où le troisième appel à propositions sur l'égalité de genres et la résilience climatique a recueilli 399 notes de concept dont 74 sélectionnées. Sur les 51,3 millions de dollars américains nécessaires au financement de ce projet, seulement six millions de dollars sont disponibles auprès du Fonds pour le changement climatique en Afrique.
Selon Suzanne Stéphane de Global Affaires Canada, le Canada connaît des impacts négatifs du changement climatique dans son grand Nord et est conscient que les pays en voie de développement, notamment ceux du continent africain, sont davantage vulnérables. Elle a souligné que le Canada portait son financement en faveur de la lutte contre le changement climatique de 2,6 milliards de dollars canadiens pour la période 2015- 2021 à 3 milliards de dollars.
Le troisième appel à propositions du Fonds pour le changement climatique en Afrique, porte sur l'amélioration voire la réduction des inégalités entre homme et femme concernant l'accès aux ressources nécessaires à l'adaptation au changement climatique et à l'atténuation des émissions de gaz à effet de serre (GES).
Les deux premiers appels à propositions du Fonds ont porté sur l'accès au financement climatique, le renforcement des capacités et l'adaptation à petite échelle.
Au total, quinze projets ont été sélectionnés pour un financement d'environ 7,73 millions de dollars américains.
Ces projets ont produit des résultats probants. Trois pays sur les seize bénéficiaires ont partagé leurs expériences lors de cette rencontre au pavillon de la Francophonie à Glasgow.
En Côte d'Ivoire, le Fonds pour le changement climatique en Afrique a, entre autres, apporté un appui de six millions de dollars américains à un projet de développement agricole qui a bénéficié à 2600 producteurs de riz et de cacao. Quelque 40 acteurs nationaux ont bénéficié d'un renforcement de capacités en finance climatique.
Au Sénégal, il s'est agi de « lever les barrières à l'accès aux financements climat des collectivités territoriales ». Difficultés liées à la centralisation de la gouvernance climatique, rareté de l'information pour monter des projets bancables, déficit des collectivités territoriales à monter des projets, déficit dans la mobilisation des ressources, difficulté d'accès à des données fiables et aux renforcements de capacités techniques et institutionnelles, ont été entre autres défis relevés.
Les participants ont souligné la nécessité de renforcement des capacités pour l'accès aux financements climat.
Le ministre malien de l'Environnement, Modibo Koné, a souhaité que la Banque africaine de développement, initiatrice du Fonds pour le changement climatique en Afrique communique davantage sur les conditions d'accès à ses financements. Il a souhaité que les processus d'acquisition et d'accès aux financements soient mieux expliqués, accessibles et simplifiés tout en évitant les nombreuses procédures.
M. Koné a souligné que le projet de la Grande Muraille verte qui a mobilisé près de 75% de ses financements reste à la traîne parce qu'aucune action concrète n'a pu être entreprise. Selon lui, le Fonds pour le changement climatique en Afrique est une structure qui va permettre de lutter véritablement contre le changement climatique en Afrique à condition que soient réglée la question de l'accès à l'information, de la compréhension et de l'appropriation des procédures pour le montage des projets bancables. Cela permettra, a-t-il affirmé, que plusieurs acteurs participent aux activités de lutte contre le changement climatique.
A propos du FCCA
Le Fonds pour le changement climatique en Afrique est une initiative de la Banque africaine de développement. Il a été créé en 2014 dans le but d'accompagner les pays africains dans le renforcement de leurs capacités sur l'adaptation au changement climatique afin de permettre la transition vers une croissance durable à faible émission de carbone. Le Fonds est soutenu par les gouvernements de la Flandre, d'Italie, du Québec, d'Allemagne via la GIZ, (qui a pourvu le financement de départ à hauteur de 6,2 millions de dollars) et Global Affaires Canada.
Le capital du Fonds pour le changement climatique en Afrique, sept ans après sa création, a été porté à 24,9 millions de dollars américains.
Dans la nuit du mardi 09 au mercredi 10 novembre 2021, trois malfrats ont été abattus par la police, à Cocotomey, un quartier de l'arrondissement de Godomey (Abomey-Calavi).
Informés de la présence des hors-la-loi dans la rue appelée "Zico" entrain de vouloir mettre en exécution un plan, les hommes en uniforme se sont rendus sur les lieux. A la vue de la police, le cerveau de la bande, un albinos reconnu pour vols à main armée dans le quartier a ouvert le feu. La riposte des policiers ne s'est pas fait attendre. L'albinos, un de ses acolytes et le zemidjan qui les conduisait ont été mortellement atteints.
F. A. A.
Dans les cotations de ce mercredi 10 novembre, la monnaie européenne et le dollar américain enregistrent une légère hausse sur le marché officiel des changes. Sur le marché parallèle, le taux de change n’a pas connu de changements majeurs.
En effet, le tableau des changes publié aujourd’hui par la Banque d’Algérie fait état d’un euro contre 159,47 dinars à l’achat et 159,48 dinars à la vente. Dans les cotations d’hier, un euro s’échangeait contre 159,03 dinars à l’achat et 159,08 dinars à la vente.
Les cotations commerciales d’ouverture du dinar pour cette même journée ont fait état d’un dollar contre 137,59 dinars sur le cours de l’achat et 137,61 dinars sur le cours de la vente. L’on note ainsi une légère baisse par rapport à hier (137,68 dinars à l’achat et 137,69 à la vente).
Pour ce qui est de la livre sterling, un pound s’échange sur le marché officiel des devises contre 186,60 dinars à l’achat et 186,69 dinars à la vente. L’on note une conséquente hausse par rapport à hier ; (185,30 dinars à l’achat et 185,37 dinars à la vente).
La Banque d’Algérie a également fait état, dans son tableau de change pour les cotations commerciales d’ouverture du 8 au 10 novembre en cours, d’un dollar canadien contre 110,52 dinars à l’achat et 110,54 dinars à la vente.
Le taux de change du dinar sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle, le taux de change de l’euro s’est stabilisé ce mercredi. Un euro s’échange, en effet, contre 219 dinars à l’achat et 217 dinars à la vente.
Concernant la monnaie étasunienne, un dollar s’échange contre 191 dinars à l’achat et 189 dinars à la vente. De son côté, la livre sterling n’a enregistré aucun changement majeur. L’unité de cette monnaie s’échange contre 248 dinars à l’achat et 245 dinars à la vente.
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Les fortes précipitations que connait le nord du pays ces derniers jours vont se poursuivre sur plusieurs wilayas, indiquent les services de l’Office national de météorologie.
Dans sa dernière carte de vigilance, Météo Algérie a placé pas moins d’une dizaine de wilayas en vigilance orange pluie. Il s’agit des wilayas de Béjaia, Tizi Ouzou, Boumerdès, Alger, Tipaza, Chlef, Ain Defla, Blida, Médéa et Bouira.
La validité de l’alerte s’étalera jusqu’à 21 h 00 de ce mercredi. Les quantités de pluie prévues durant la validité du BMS sont estimées entre 30 et 50 millilitres et pourraient atteindre ou dépasser les 70 mm sur les wilayas côtières, ajoute la même source.
Les prévisions de ce mercredi 10 novembreSur les régions est du pays, les prévisions de ce mercredi font état d’un temps souvent nuageux avec quelques pluies vers l’ouest de la zone, s’atténuant progressivement en cours de la nuit.
À l’ouest du pays, le temps sera nuageux avec quelques averses de pluie sur la partie est de la zone. En outre, le temps sera dégagé à peu nuageux sur les hauts plateaux occasionnant quelques pluies sur les régions intérieures.
Concernant les régions sahariennes, le temps sera voilé à nuageux sur le nord du Sahara, les oasis et le Sahara oriental. Il sera dégagé sur les autres régions du sud du pays.
Les températures maximales attendues pour cette journée de mercredi, Météo Algérie prévoit entre 15 et 20 degrés sur les régions côtières, entre 9 et 18 degrés sur les régions intérieures et entre 16 et 34 degrés sur les régions sahariennes.
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Le ministre de la justice, Séverin Quenum s'est prononcé ce mardi 09 octobre 2021 sur la grève des avocats.
La tenue des audiences devant les juridictions est perturbée sur tout le territoire national depuis lundi 8 novembre et ce jusqu'au mercredi 10 novembre du fait de la grève de 72h déclenchée par l'Ordre des Avocats du Bénin.
« Ce mot d'ordre de boycott, destiné à perturber le bon fonctionnement du service public de la justice, a été déclenché sans discussion préalable avec la Chancellerie sur les préoccupations qui le motivent », a déploré le ministre de la justice dans un communiqué en date du 09 novembre 2021. Le Garde des Sceaux rassure les justiciables de ce que les « dispositions nécessaires en vue d'assurer le fonctionnement continu du service public de la justice » ont été prises.
Le Conseil de l'Ordre des Avocats du Bénin a lancé boycott de toutes les audiences, devant toutes les juridictions sur l'ensemble du territoire à la suite d'une situation lié à leur collègue, Me Enosch Chadaré, qui aurait été « violenté, son téléphone et son porte-carte contenant sa carte professionnelle, arrachée, et lui-même conduit manu militari au Commissariat de police d'Ekpè » alors même que celui-ci se rendait auprès de l'un de ses clients interpellé dans une affaire de drogue.
M. M.
La crise entre l’Algérie et la France ne cesse pas de d’être agitée en France. Contrairement aux officiels français qui en appellent à l’apaisement, la droite quant à elle, appelle à continuer sur la lancée.
Cette fois ci, c’est Xavier Bertrand cadre du parti de Droite, LR (Les Républicains), le mieux placé dans les sondages pour être candidat aux présidentielles françaises, qui a évoqué la crise franco-Algérienne.
Selon cet homme politique, la France n’est plus respectée par l’Algérie officielle, ce qui implique une réponse digne des dirigeants français en ce qui concerne des lois liées à l’immigration.
En effet, Xavier Bertrand, lors de son passage dans l’émission Le Grand Débat de la chaine Française LCI, a déclaré que « Les dirigeants algériens ne nous respectent pas, ne nous respectent plus. Ils nous empêchent de survoler leur espace aérien alors que nos avions en ont besoin pour se rendre au Sahel ».
Le candidat favori du LR ajoute que « Si les dirigeants algériens persistent, j’entends revenir sur les accords bilatéraux de 1968 ». Ces accords, rappelons le, accordent aux algériens plus de facilités dans l’obtention des titres de séjours et dans la libre circulation en France.
Campagne contre la repentanceXavier Bertrand, lors de la même émission n’a pas manqué de rappelé la sortie d’Emmanuel Macron en 2017. Il a fait savoir que « qu’il est vrai qu’il y avait ces propos lors de la dernière campagne présidentielle de M. Macron qui avait osé parler de crimes contre l’humanité. Cette phrase est insupportable ».
L’homme politique de Droite poursuit en déclarant : « Je ne serais pas un président de la République adepte de la repentance, je le dis très clairement».
D’un autre côté, l’Elysée a fait savoir aujourd’hui que le président Tebboune a été invité pour assister à la conférence sur la Libye qui aura lieu à Paris. Par la même occasion, le même communiqué indique que » « Macron a le plus grand respect pour la nation algérienne, pour son histoire et pour la souveraineté de l’Algérie ».
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Le Bénin accueille mercredi 10 novembre 2021, 26 œuvres culturelles de l'ex-royaume du Dahomey. Les anciens présidents Nicéphore Soglo et Boni Yayi sont invités à la cérémonie de retour des biens prévue au Palais de la Marina.
Dans le cadre de la restitution de 26 trésors royaux du Bénin par la France, le gouvernement béninois organise une cérémonie solennelle d'accueil au Palais de la Marina. Les présidents Nicéphore Soglo et Boni Yayi sont attendus à la cérémonie selon le porte-parole du gouvernement Wilfried Léandre Houngbédji lors d'un point de presse ce mardi 09 novembre 2021. Il a aussi signalé que l'ex-président Boni Yayi serait hors du territoire national. La signature de l'acte de transfert de propriété par les ministres de la culture du Bénin et de la France a eu lieu ce mardi 09 novembre 2021 au palais de l'Elysée en présence de Patrice Talon et Emmanuel Macron.
A.A.A
A travers une publication sur sa page facebook ce mardi 09 novembre 2021, l'ex-président du Bénin, Boni Yayi a remercié Patrice Talon pour les diligences accomplies dans le cadre de la restitution de 26 œuvres culturelles par la France
« Pour la première fois dans l'Histoire, la France restitue certaines des œuvres pillées à une de ses anciennes colonies . Chose impossible hier, une réalité aujourd'hui, avec comme bénéficiaire, le Bénin qui en devient pionnier à une telle échelle », a écrit Boni Yayi.
Selon lui, c'est le preuve que le combat pour la liberté et la maitrise de notre histoire passée, présente et à venir, n'a jamais été abandonné. « À l'Afrique de savoir toujours compter avec le Bénin », a ajouté l'ex président. Boni Yayi a salué le courage et l'esprit d'ouverture du Président Français.
« Merci au Président de la République du Bénin pour les diligences accomplies et à notre vaillant peuple si attaché à sa culture et son patrimoine. Je suis de cœur avec vous. Que Dieu bénisse le Bénin, notre patrie commune », a-t-il conclu. Boni Yayi est invité à la cérémonie de retour des œuvres prévue pour ce mercredi 10 novembre 2021 au Palais de la Marina. Il serait hors du territoire national.
A.A.A
La sardine, crevette des pauvres comme certains aiment bien l’appeler, va être de moins en moins disponible sur le marché algérien ces prochains jours. Le ministère de la pèche et des productions halieutiques a voulu proposer une alternative au consommateur algérien, en l’encourageant à consommer le Tilapia Rouge.
À l’ombre d’une crise économique qui a considérablement réduit le pouvoir d’achat du simple citoyen algérien, la sardine qui faisait le bonheur de la classe moyenne se fait de plus en plus rare, et son prix connait des fluctuations qui se soldent à chaque fois par des hausses permanentes.
Le Tilapia Rouge pour remplacer la sardineLe ministère de la pèche et des productions halieutiques tend à faire changer de réflexes au consommateur Algérien. Alors que la Sardine, largement consommée par la majorité des Algériens est sur le point de se faire rare sur le marché, une campagne est lancée pour la remplacer par le Tilapia Rouge.
En effet, sur sa page Facebook le ministère de la pèche et des productions halieutiques a fait savoir que ce type de poisson qui demeure inconnu par beaucoup d’Algériens, est commercialisé à 500 dinars le Kilo au niveau des poissonneries de Ouled Fayet et de Zeralda.
Le ministère a également encouragé les citoyens à consommer ce type de poissons vu les multiples bienfaits qu’il offre, mais aussi parce qu’il est une alternative à la sardine et aux poissons bleus qui vont se faire rare ces prochains jours. Il est à rappeler que le prix de la Sardine avait déjà atteint des niveaux insoupçonnés il y a quelques mois.
L’article À 500 dinars le Kilo, le Tilapia Rouge va-t-il détrôner la sardine ? est apparu en premier sur .
Pas de retour au confinement en Algérie pour le moment. C’est ce qu’a indiqué le dernier communiqué du premier ministère, qui a fait savoir que la levée du confinement sanitaire a été prolongée, et ce, malgré les prémices d’une flambée qui menace la stabilité épidémiologique actuelle.
En effet, dans un communiqué paru aujourd’hui, le 09 novembre 2021, le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, a annoncé que « le dispositif actuel de protection et de prévention contre le Covid-19 est prolongé pour une durée de vingt-et-un (21) jours, à compter du mercredi 10 novembre 2021″.
Cette annonce du premier ministère intervient au moment où les cas de contamination connaissent une forte hausse. L’Algérie a enregistré aujourd’hui plus de 130 cas d’infection, contre 98 la veille. Tous les spécialistes s’accordent à dire que le pays va bientôt vivre une quatrième vague.
Un prolongement hésitantLe même communiqué indique que « le gouvernement rappelle les recommandations du comité scientifique et de l’autorité sanitaire, qui insistent sur la nécessité de faire preuve de prudence et de la plus grande vigilance ».
Le communiqué souligne aussi « que la diminution des cas de contamination de pandémie durant cette étape, ne signifie guère que le danger est complètement écarté au moment où de nombreuses régions du monde assistent au début d’une nouvelle vague de la pandémie ».
Prenant en considération tous ces facteurs menaçants, le gouvernement exhorte les citoyens à respecter les mesures de protection, mais surtout d’aller se faire vacciner.
Le gouvernement rappelle « une fois de plus, l’importance de la vaccination, qui avance à un rythme faible malgré la disponibilité de millions de doses de vaccin », déplore le communiqué du premier ministère.
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