L’Algérie semble occuper une grande place dans la précampagne électorale pour les présidentielles en France. Les candidats ne s’empêchent pas de revenir sur la crise diplomatique qui secoue les relations entre l’Algérie et la France à chaque occasion qui se présente.
Évoquée par le président sortant Emmanuel Macron et par les autres candidats, à savoir Eric Zemmour, Eric Ciotti, Marine Le Pen, Xavier Bertrand, ou encore le socialiste Arnaud Montebourg, l’Algérie constitue apparemment un excellent atout. Sans surprise aucune, la chef de l’extrême droite française a abordé cette question.
Intervenant sur France-info, Marine Le Pen a d’emblée abordé la question concernant la décision de la France de réduire de 50% les visas accordés aux Algériens comme riposte aux autorités algériennes qui aurait refusé de reprendre les ressortissants refoulés par la France.
À ce propos, elle a salué la décision de la France en affirmant que « c’est la bonne méthode ». Pour étayer ses propos, elle explique que « l’Algérie est un grand pays qui a obtenu son indépendance, mais il faut maintenant qu’elle agisse comme une grande nation qui respecte le droit international ».
Le Pen préconise de « suspendre carrément l’octroi des visas aux algériens »D’ailleurs, la présidente du Rassemblement national ajoute que ce droit international est le suivant : « quand un de vos compatriotes est clandestin dans un autre pays, ce dernier a le droit de le renvoyer et l’autre pays est dans l’obligation de le récupérer ».
Plus loin encore, elle préconise de « suspendre carrément l’octroi des visas et le transfert de l’argent vers l’Algérie de quelque nature que ce soit ; dont l’intermédiaire des aides internationales ». D’ailleurs, elle indique que « 1,7% du PIB de l’Algérie provient des transferts de dons ».
En gros, la chef de l’extrême droite a souligné que « les choses ne vont pas bien avec l’Algérie ». Et face à cela, « l’Algérie doit respecter la France » à travers « le respect des décisions prises à l’encontre de ses ressortissants indésirables en France pour des raisons qui reviennent à leur présence illégale en France ou leur implication dans des crimes ».
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Le projet de budget, gestion 2022 du Ministère du développement et de la coordination de l'action gouvernementale a été défendu, lundi 15 novembre 2021, par le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané. C'est devant la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Au titre de la gestion 2022, les prévisions de dépenses du Ministère du développement et de la coordination de l'action gouvernementale s'établissent à 5.954.438.000 FCFA, réparties comme suit : 4.292.438.000 FCFA de dépenses ordinaires et 1.662.000.000 FCFA de dépenses en capital soit 28% du budget total. Par rapport à 2021, le budget du Ministère a connu une baisse de 45% en raison de la diminution des dépenses de fonctionnement de 15% et des dépenses en capital de 71%.
Selon le ministre d'Etat en charge du développement et de la coordination de l'action gouvernementale Abdoulaye Bio Tchané, cette baisse des dépenses s'explique par l'arrivée à échéance de la majorité des projets du portefeuille (PARASEP, PAGIPG, PCM-BONOU) et le transfèrement de certaines structures (INStaD, Ex INSAE, DGFD et SWEDD).
« Les dépenses en capital financent les deux projets prioritaires du Ministère notamment le Projet d'Etudes Prospectives et Renforcement du Cadre de Planification (PERCP) et le Projet des Moyens de Subsistance Durable (PMSD). Le PERCP est un nouveau projet du Ministère qui permettra de réaliser toutes les études de base, de prospective et d'évaluation du cadre national de la planification, d'organiser les consultations et d'échanges nécessaires à la formulation de la prochaine vision prospective post 2025 ainsi que les actions de mise en place d'un cadre de planification et d'évaluation du développement efficace, cohérent et harmonieux », a indiqué le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané.
M. M.
Ouverture du séminaire du Cercle de Réflexion et d'Echange des Dirigeants des Administrations Fiscales (CREDAF) ce mercredi 17 novembre 2021 à l'hôtel Novotel de Cotonou.
« Le contrôle fiscal à l'ère du numérique : défis et opportunités », c'est le thème retenu pour le Séminaire du Cercle de Réflexion et d'Echange des Dirigeants des Administrations Fiscales (CREDAF) qui aura lieu les 17 et 18 novembre 2021 à l'hôtel Novotel de Cotonou. Ce séminaire international va rassembler les responsables du contrôle fiscal des pays membres du CREDAF. Les participants vont aborder les défis auxquels les administrations fiscales sont confrontées dans le cadre de l'exercice de leur mission de contrôle fiscal. Ils se pencheront sur les opportunités visant l'amélioration du contrôle fiscal. Un accent sera mis sur le développement de partenariats et le recours aux solutions numériques.
Les participants vont également échanger sur plusieurs programmes à savoir ‘'l'Inspecteur des Impôts Sans Frontière (IISF)'' et ‘'l'Initiative Afrique (IA)'' dans le but de trouver des solutions de soutien et de décloisonnement de la mission du contrôle fiscal dans chaque Etat membre du CREDAF.
La dernière édition du séminaire du CREDAF a eu lieu en 2019 à Madagascar. Pour l'édition 2021, les acteurs du contrôle fiscal poursuivront les réflexions et les échanges sur des sujets d'intérêt commun. L'objectif est de permettre aux administrations fiscales d'optimiser l'atteinte des objectifs de mobilisation des ressources au profit de l'Etat.
A.A.A
Le monde du sport, notamment du ballon rond, ne cesse de nous surprendre. C’est d’ailleurs le cas des déclarations inattendues de l’international algérien de Galatasaray, Sofiane Feghouli.
En effet, l’ailier droit du club turc a récemment accordé un entretien à un média turc, Mynet en l’occurrence, où il s’est lâché et dévoilé certaines révélations surprenantes, voire choquantes, à propos de l’international allemand Mesut Ozil.
Le Fennec a affirmé que le milieu de terrain du Fenerbahçe SK, faisait partie des personnes qu’il n’aimait pas. Feghouli a exprimé sa haine envers l’Allemand Mesut Ozil, à cause du fameux match entre l’Algérie et l’Allemagne lors de la Coupe du Monde 2014 au Brésil.
« Le but d’Ozil a détruit nos espoirs », Feghouli« Dans ce match, nous sommes apparus à un très bon niveau et avons pu nous qualifier, mais Ozil a détruit nos espoirs », a affirmé Feghouli.
« Nous avions terminé le temps réglementaire du match avec un nul 0-0. Ils ont marqué un but juste au début des prolongations, mais nous avons pensé que nous allions revenir. Nous n’avons pas perdu espoir. Toutefois, le but de Mesut dans les temps morts nous a atomisé », a fait savoir le Champion d’Afrique.
Par ailleurs, ce dernier n’a pas hésité à ajouter : « à ce moment-là, Ozil est devenu la personne que je haïssais le plus au monde. Bien que nous ayons marqué un but, mais c’était trop tard. »
Pour rappel, le match du quart de finale de la Coupe du Monde 2014 qui a réuni l’Algérie et l’Allemagne, a été marquée par la grande performance des Verts, ce qui a poussé les aigles allemands en prolongation. Cependant, le match s’est soldé par la victoire de l’équipe allemande (2-1).
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Les violences faites aux femmes se répandent de plus en plus partout dans le monde. Alors que les raisons derrières ces violences sont multiples et injustifiées, la réaction n’est pas une seule.
Les femmes choisissent, autant que faire se peut, de s’en sortir et de ne pas se contenter de subir cette hideuse violence, c’est le cas d’une algérienne en France. Ce samedi 13 novembre, à Montélimar au Sud-Est de la France, une dispute a éclaté entre un couple d’algériens.
La dispute a fini dans la rue, alors que les cris et l’odeur de l’alcool émanant de l’homme en colère étaient envahissants, la police est arrivée, c’est là où l’algérienne leur explique que son conjoint l’a violenté, raison pour laquelle elle s’est vu contrainte de se défendre à l’aide d’un couteau de cuisine, ce qui a engendré deux blessures au niveau du poing et de l’épaule de son conjoint.
Le mari ensanglanté a reçu les premiers soins par les pompiers, sur lesquels il aurait craché pendant qu’ils essayaient de le calmer. Une plainte signée sa femme et trois pompiers a été déposée.
Légitime défense ?Beaucoup de femmes ne réussissent pas à s’échapper où à se défendre, mais pour celle qui le font, en l’occurrence à l’aide d’un couteau, est ce que c’est de la légitime défense?
La légitime défense permet de se défendre, de protéger quelqu’un ou se protéger lors d’une attaque ou une agression dont les moyens de défense sont interdits dans une autre situation. On plaide la légitime défense lorsque ces conditions sont réunies : l’attaque doit être injustifiée, la défense doit se faire pour soi ou pour une autre personne, la défense doit être immédiate, la défense doit être nécessaire à sa protection et la défense doit être égale à la gravité de l’attaque.
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Le passage des ministres et présidents d'institutions devant la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale dans le cadre du vote du projet de loi de finances, gestion 2022 a démarré lundi 15 novembre 2021. Le ministre du travail et de la fonction publique, madame Adidjath Mathys a défendu le budget de son département ministériel.
7 milliards 190 millions FCFA. Ainsi s'établit le projet de budget 2022 du Ministère du travail et de la fonction publique. Comparativement à 2021 où il s'est établi à 7 milliards 228 millions, ce budget connaît une légère baisse de 0,54%.
Le budget du ministère du travail et de la fonction publique, exercice 2022 sera consacré prioritairement à la mise en œuvre d'un vaste programme pour rationaliser la gestion des ressources humaines de l'Etat.
« Pour l'année 2022, nous allons poursuivre l'exécution de nos projets notamment le projet de renforcement des capacités du ministère et le projet d'appui à la réforme de l'administration publique et sa modernisation. Mais pour compter de 2022, nous allons ajouter un troisième projet, un vaste projet que nous proposons au Programme d'actions du gouvernement (PAG 2) qui, s'il était retenu, va rationnaliser la gestion des ressources humaines de l'Etat depuis le recrutement jusqu'à la paie. Ce sera un grand projet qui permettra de nous doter de grands outils de travail de dernière génération. Ce que nous faisons jusque-là, c'est avec le personnel du ministère et les informaticiens. Nous avons besoin de pérenniser cela dans ce nouveau grand projet qui sera partiellement financé par l'Union Européenne », a expliqué Adidjath Mathys.
Plusieurs chantiers ouverts seront poursuivis en 2022. Il s'agit de la dématérialisation des procédures notamment en ce qui concerne la gestion des actes de carrière des agents de l'Etat, la dématérialisation du processus de mise à la retraite pour permettre au retraité de bénéficier de sa pension, le premier mois qui suit celui de son admission à la retraite.
Marc MENSAH
La levée des subventions généralisées sur les produits de première nécessité, en optant pour le ciblage des catégories éligibles, ne semble pas avoir l’approbation nécessaire. Introduite dans le cadre du projet de loi des finances 2022, cette mesure sera-t-elle adoptée par l’APN ?
Depuis son annonce dans le cadre du PLF 2022, la levée des subventions généralisées n’a pas fait, en aucun moment, l’unanimité. Débattue au niveau de la commission des finances et du budget à l’APN, les membres de cette dernière ont également émis moult réserves.
Selon des sources présentes lors du débat, citées par le quotidien Echorouk, les membres de ladite commission ont carrément demandé le report de l’application de l’article 187 du projet de loi des finances 2022. Il s’agit, rappelons-le, du ciblage des transferts sociaux et la levée des subventions sur les produits de première nécessité.
Les détracteurs de cette mesure auprès de la commission ont proposé de la reporter à la loi des finances complémentaire ou carrément à la prochaine LF. Et ce, malgré les éclaircissements apportés par le représentant du gouvernement, à savoir le ministre de l’Industrie Ahmed Zeghdar, lors de la séance à huis clos.
Selon la même source, le représentant du Premier ministre lors de la séance consacrée au débat sur le PLF a expliqué que cette démarche vise à lever les subventions de l’État sur les catégories aisées et viser les catégories les plus démunies.
Les réserves des députésEn revanche, cela n’interviendra pas avant l’installation d’une commission interministérielle avec la présence de membre des deux chambres parlementaires. Cette commission aura pour mission de définir le nombre des familles éligibles puis de fixer le montant destiné à ces familles et les produits concernés par la révision des prix.
Malgré ces éclaircissements fournis par le ministre, les membres de la commission des finances et du budget estiment qu’il est inutile de faire passer cette mesure dans le contexte actuel et avant même avoir arrêté la liste des personnes éligibles et le montant de la subvention.
D’ailleurs, le gouvernement n’a pas encore défini tous ces points, selon les intervenants qui soulignent également que Parlement ne dispose pas de toutes les données nécessaires, malgré sa conviction de la nécessité d’appliquer cette démarche.
Ainsi, ces députés demandent de reporter l’application de cet article jusqu’à l’achèvement du recensement démographique programmé au cours des six premiers mois de 2022, pour ensuite le soumettre au vote auprès de l’Assemblée.
Par ailleurs, il convient de rappeler que l’Assemblée populaire nationale (APN) reprendra, demain mercredi, ses travaux en séance plénière consacrée au vote du Projet de loi de finances (PLF) 2022, a indiqué lundi un communiqué de l’assemblée, repris par l’agence APS.
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Le Conseil Electoral lance un appel à candidatures pour la sélection des candidats à six différents postes techniques opérationnels de la CENA. C'est dans le cadre de la mise en place des structures techniques de la Commission et conformément aux dispositions de l'article 34 du code électoral.
Selon le président du Conseil Electoral Sacca Lafia, les postes ouverts sont : directeur général des élections ; directeur chargé des affaires administratives et financières ; directeur chargé du matériel et des opérations ; directeur chargé des systèmes d'information ; directeur chargé de la communication et de la formation et la personne responsables des marchés publics.
Les postulants déposeront leurs dossiers de candidature en version électronique en ligne et une version physique au Secrétariat du Président du CE. La date de clôture du dépôt des candidatures est fixée au 30 novembre 2021 à 15 heures. Lire les conditions et les pièces à fournir.
Des peines de prison requises contre les accusés dans le dossier de trafic de carnets de vaccination anti-Covid-19, ce lundi 15 novembre 2021.
Ouverture du procès des accusés interpellés dans le dossier de faux carnets de vaccination anti Covid-19 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A la barre, certains prévenus ont plaidé coupables. Selon Me Koukpolou au micro de Frissons, Radio, la défense a « plaidé la clémence pour certains et la remise en liberté pour d'autres (...) ».
Le ministère public a requis 05 ans de prison dont 01 ferme contre des prévenus et 05 ans de prison avec sursis pour d'autres. Il a aussi requis une amende de 2 millions de FCFA.
24 personnes sont poursuivies dans ce dossier pour abus de fonction et complicité d'abus de fonction. Le verdict est renvoyé au 29 novembre 2021.
A.A.A
Entre l’Algérie et le Maroc, ça n’allait plus, raison pour laquelle la diplomatie algérienne s’est extirpé de cette union à travers la rupture des relations diplomatiques. Alors que tout cela semble relever purement de la politique, ça touche aussi aux autres domaines de la vie : un concours de beauté.
Le Maroc donne une couronne à une resplendissante jeune femme qui représentera la beauté marocaine, après la première Miss Fatima Zahra Khayat à cause d’une foulure à la cheville, Kawtar Benhalima, est désormais Miss Univers Maroc 2021.
Kawtar, la nouvelle Miss âgée de 22 ans, a dévoilé ses origines algériennes et cette nouvelle ou plutôt cette réalité n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. En effet, les internautes ont engendré avec leurs critiques et revendications un déferlement de haine à l’égard de la nouvelle Miss, réclamant la déchéance immédiate de son titre.
Le peuple demande l’exclusion !Une pétition qui a pour titre « Kawtar Benhalima n’est pas digne de représenter les marocains » a été écrite. Accusée de « déclaration mensongère », Kawtar, a selon cette pétition, déclaré de façon « naïve ou pas » qu’elle est « en partie inspirée par sa grand-mère réfugiée d’origine algérienne qui aurait appris la couture et l’indépendance aux femmes marocaines ».
La pétition réclame donc l’exclusion de la Miss aux origines algériennes, et de donner la chance à une Miss qui correspond au profil autrement dit, 100% marocaine.
Section commentaire ou l’impitoyable défouloirLa Miss qui devra représenter le Maroc à Miss Univers 2021 à Eilat en Israël ce 12 décembre prochain, a désactivé l’option commentaire sur ses réseaux sociaux. Lorsqu’on se rend sur le compte Instagram « missuniversemorocco » et on clique sur sa photo, on comprend pourquoi.
Un hashtag « kawtar n’est pas marocaine » omniprésent, des mots blessants et des avis politiques saupoudrés de haine et de méchanceté.
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Depuis la prise du décret N°2018-398 du 29/08/2018 portant statuts particuliers des corps de contrôle de l'ordre administratif en République du Bénin notamment des Inspections Générales des Ministères (IGM), aucune de ses dispositions n'a été appliquée à ce jour. Cette situation a induit un climat de travail délétère caractérisé par une démotivation du personnel et la nomination d'agents de profil non prévus par les textes. Ce qui impacte négativement la gouvernance administrative et la gestion efficiente des ressources publiques.
Vivement que ces réformes aboutissent pour une meilleure qualité dans la gestion des finances publiques dans notre pays.
Nous y reviendrons
Quelques heures seulement nous séparent de la rencontre décisive de l’équipe nationale face au Burkina Faso, qui se déroulera aujourd’hui, 16 novembre, à partir de 17 heures.
En effet, cette confrontation footballistique, entrant dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, se jouera sur la pelouse du stade Mustapha Tchaker de Blida.
L’amour que portent les supporters algériens à leur sélection n’a pas de limites, le stade Mustapha Tchaker connaît maintenant un très fort afflux de supporters des Fennecs, et ce, des heures avant d’affronter les Étalons.
Les Algériens, notamment les amoureux du ballon rond, n’ont pas pu patienter jusqu’à 17 heures, l’heure du début de ladite rencontre. Ces derniers se sont rendus sur les lieux des heures plutôt.
Le public algérien fortement présentEn fait, des dizaines, voire des centaines de supporters de l’équipe nationale se sont déplacés tôt le matin, précisément aux environs de 08 heures 30, au stade de Blida qui va être témoin d’un grand match réunissant deux grandes équipes, à savoir l’Algérie et le Burkina Faso.
Il semble clair que les Algériens sont désireux de soutenir Riyad Mahrez et ses coéquipiers, et les supporter de près, et ce, après une longue absence qui a duré 19 mois, en raison de la pandémie du coronavirus.
Il convient également de préciser que la rencontre d’aujourd’hui sera marquée par la présence de 14 000 spectateurs, un nombre défini par la Confédération africaine de football, après la demande de la Fédération algérienne de football à ce propos.
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Loin d’être une problématique passagère, la crise climatique prend de l’ampleur et sa cause gagne du terrain au sein même des hautes sphères gouvernementales internationales. Le défi de réduire les émissions mondiales en carbone forcent même des puissances mondiales rivales à se rapprocher et à collaborer.
Dans le cas des pays en développement, comme c’est le cas de l’Algérie, la prise de conscience se fait timidement. La position de l’Algérie tente d’éviter de céder du terrain à ce sujet, afin de ne pas avoir à payer les pots cassés par les pays industrialisés.
C’est dans ce contexte que le président du comité des affaires économiques et financières au conseil de la Nation, vice-président du comité de l’énergie, de l’environnement, et de l’eau, M. Rachid Achouri, a participé à une réunion en visioconférence afin de discuter les recommandations qui seront présentées pour approbation à la tenue de la seizième session de l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée, qui se tiendra début décembre 2021.
Le député n’a pas hésité à qualifier la crise climatique de « priorité mondiale », tout en soulignant que « la responsabilité historique de l’Algérie », est quasi inexistante. Cette position rejoint celle affichée à l’occasion de la COP 26, ou la responsabilité des pays développés a été pointée du doigt par l’Algérie.
L’Algérie s’en lave les mainsLe même intervenant a affirmé que « le phénomène du changement climatique est une priorité mondiale qui nous oblige à discuter des voies, des moyens, et des mécanismes appropriés pour y faire face, mais aussi à étudier des mesures mondiales afin de préserver la planète ».
Le député ajoute que « ces dérèglements climatiques ne sont pas seulement un facteur multiplicateur de menaces à la paix et à la sécurité mondiales, notamment en Méditerranée et en Afrique, ils exacerbent également les tensions, l’insécurité et les flux migratoires ».
Malgré cela, le représentant de l’Algérie a tenu à souligner que « l‘Algérie, tout comme la plupart des pays en voie développement, ne possède aucune responsabilité historique dans le phénomène de réchauffement climatique et dans l’augmentation du niveau mondial des taux d’émission de gaz à effet de serre ».
Selon M. Achouri, Alger appelle à « fortement à appliquer des mesures et des approches qui assurent un équilibre des intérêts entre tous les États signataires de l’Accord de Paris conclu en 2015″. Le parlementaire a également plaidé pour « un système climatique mondial équitable, efficace et stimulant les efforts de la communauté internationale ».
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Nouveauté, AXA Assurances Algérie permet désormais à ses clients automobiles d’optimiser leur budget en leur offrant la possibilité de payer mensuellement, et en toute simplicité, leur assurance automobile tous risques.
Autoflex comment ça marche ?
Pour y souscrire, il suffit simplement d’être détenteur d’un compte postal ou bancaire. L’ensemble des établissements sont acceptés sans que le client ait à ouvrir un nouveau compte. Le paiement de la première tranche se fera en agence lors de la souscription, les prélèvements mensuels seront, par la suite, effectués automatiquement sans avoir à se déplacer en agence. Autoflex d’AXA est disponible aussi bien pour les nouveaux clients que pour les renouvellements de l’assurance tous risque « Tout en 1 ».
« Nous sommes très heureux de lancer le service « AutoFlex » qui constitue une étape supplémentaire à notre démarche d’amélioration de l’expérience client, notamment en cette période marquée par des pressions énormes sur les bourses des ménages. Avec ce service innovant, qui est une première pour le marché algérien, AXA Assurances Algérie souhaite mettre à la disposition de ses clients une offre de financement qui leur permet de préserver leur budget tout en bénéficiant d’une assurance automobile tous risques complète », précise Said HADDOUCHE, Directeur Général d’AXA Assurances Algérie Dommage.
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Après un été particulièrement chaud et suffoquant, voici que cet automne s’avère bien généreux en pluies. Il pleut sur Alger la capitale, sur la Kabylie, ainsi que sur plusieurs autres régions depuis près de deux semaines, lavant ainsi les séquelles d’une canicule sans précédent qui s’est abattue sur le pays.
Aujourd’hui, le 16 novembre 2021, l’ONM a annoncé que les pluies vont encore se poursuivre sur plusieurs régions du pays. Selon le dernier bulletin de l’Office Nationale de la Météorologie, les pluies vont toutefois se concentrer sur le centre et à l’est du territoire national. Il s’agit de 18 wilayas au total, selon la même source.
En effet, dans une alerte météo de niveau 2 (vigilance Orange), l’ONM a annoncé qu’entre 40 et 60 mm de pluies, parfois sous forme d’averses orageuses, qui peuvent atteindre ou dépasser localement 80 mm, vont s’abattre sur les wilayas du nord.
Il s’agit de Chlef, Ain Defla, Medea, Tipaza, Blida, Alger, Boumerdes, Tizi Ouzou, Bouira, Bejaia, Jijel, Bordj Bou Arreridj, Sétif et Mila indique la même source, qui ajoute que la validité de ce bulletin météo s’étend jusqu’à ce mercredi 17 novembre 2021 à 12 h 00 au moins.
Des pluies sur 4 autres wilayasDans une alerte cette fois ci de niveau 1 (alerte jaune) l’Office National de Météorologie indique que 4 autres wilayas vont être touchées par les pluies. Il s’agit de Constantine, Annaba, Skikda et de Taref.
Concernant les températures prévues pour aujourd’hui, l’ONM affirme qu’elles vont varier entre 12 et 17 degrés au nord du pays, entre 8 et 13 degrés dans les wilayas d’intérieur et, enfin, entre 17 et 31 degrés sur les régions sahariennes.
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La monnaie nationale continue de souffrir face aux principales devises sur les deux marchés parallèle et officiel. Face à l’Euro et au Dollar américain, le Dinar Algérien demeure faible, sans aucun signe d’un proche redressement.
Après l’ouverture des frontières et la reprise des vols internationaux, le dinar algérien enchaine les chutes face aux différentes monnaies fortes, notamment devant la monnaie unique européenne, dont la valeur a flambé sur le marché noir.
Aujourd’hui, le 16 novembre 2021, les cambistes du Square Port-Saïd cèdent un seul Euro contre pas moins de 218 dinars algériens à la vente et contre 216 dinars algériens à l’achat.
Concernant la monnaie étasunienne, sa valeur ne cesse d’augmenter sur le marché parallèle. Un seul Dollar américain s’échange aujourd’hui contre 189 dinars algériens à l’achat et 192 dinars algériens à la vente.
Le Dollar Canadien quant à lui est cédé par les cambistes contre 140 dinars algériens à l’achat et contre 143 dinars algériens à la vente.
Enfin, la valeur de la livre Sterling ne bouge pas d’un iota. Un seul Pound s’échange par les cambistes contre pas moins de 248 dinars algériens à la vente et 245 dinars algériens à l’achat.
Cotations officielles de la banque d’AlgérieÀ la banque d’Algérie, la monnaie nationale ne s’en sort pas mieux. Les cours officiels des principales devises restent très chers. Le Dollar américain ainsi que l’Euro poursuivent leur hausse.
Un seul Dollar américain est cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre 137.95 dinars algériens à la vente et contre 137.94 dinars algériens à l’achat.
Le Dollar Canadien quant à lui est cédé contre 110.08 dinars algériens à l’achat et contre 110.10 dinars algériens à la vente.
La monnaie européenne reste stable. Un seul Euro s’échange contre 158.00 dinars algériens à la vente et contre 157.98 dinars algériens à l’achat.
La Livre Sterling enfin reste très chère. Un seul Pound s’échange contre 185.15 dinars algériens à la vente et contre 185.06 dinars algériens à l’achat.
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Le gouvernement du Bénin à travers le ministre de la Santé a apporté un démenti formel sur une supposée imposition de la vaccination anti-covid aux écoliers et élèves.
« Le Gouvernement n'a jamais imposé une quelconque vaccination anti Covid-19 aux apprenants du primaire et du secondaire », a indiqué le ministre de la Santé.
Par une note en date du 10 novembre 2021, le médecin-chef du centre de santé de la commune d'Abomey-Calavi a informé les directeurs et directrices des écoles privées et publiques de la commune de l'organisation d'une campagne de vaccination contre la Covid-19. Le médecin-chef a demandé aux directeurs des établissements d'autoriser les agents des formations sanitaires publiques à faire vacciner les élèves sous leurs ordres contre la Covid-19.
A en croire Benjamin Hounkpatin, la polémique qui a eu cours le week-end écoulé est une mauvaise lecture faite par certains citoyens. « Selon les responsables du Ministère de la santé approchés, il n'a jamais été question de soumettre les apprenants à une vaccination forcée. Aucune décision n'a donc été prise au niveau central dans ce sens », a-t-il déclaré.
Le Gouvernement poursuit-il, ne saurait imposer une vaccination aux enfants alors qu'il a toujours requis l'obtention préalable du consentement des parents avant toute administration de vaccins. Le ministre de la Santé rappelle que seul le vaccin Pfizer peut être administré aux enfants de 12 à 17 ans suite à l'obtention du consentement préalable des parents. Il rassure les parents qu'« aucune équipe de vaccination ne se présentera dans les écoles et collèges pour une vaccination forcée des enfants ».
A.A.A