Un incendie s’est déclaré, vendredi, au niveau d’un centre commercial au centre ville de Tipasa ravageant 15 locaux et sans faire de victimes, a-t-on appris des services de la Sûreté nationale.
« L’incendie, probablement causé par une étincelle électrique, a ravagé vendredi matin presque entièrement 15 locaux du centre commercial +Dubaï+ itué au centre ville de Tipasa », précise la même source.
Les services de la Sûreté nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances et les causes de l’incendie survenu au centre commercial, ouvert depuis à peine un mois, a-t-on ajouté de même source, précisant qu’aucune victime n’a été enregistrée à part des blessures légères à un agent de la Protection civile.
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Le trafic aérien entre l’Algérie et la France connaitra des perturbations samedi et dimanche 26 et 27 mai courant, suite à un mouvement social cyclique des aiguilleurs du ciel de la région du Marseille, a indiqué samedi la compagnie aérienne nationale Air Algérie dans un communiqué.
« Des perturbations attendues sur les vols d’ Air Algérie le samedi et dimanche 26 et 27 mai vers la France et particulièrement vers Marseille, Nice et Lyon et ce en raison d’un mouvement social cyclique des aiguilleurs du ciel de la région du Marseille » a précisé la même source.
Ainsi, les vols d’Air Algérie vers l’Europe survolant la France seront également touchés par ces perturbations, a signalé Air Algérie.
Cependant, la compagnie a pris des dispositions nécessaires afin de minimiser les retards, a-t-elle rassuré.
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Chiffre effarant que celui divulgué par la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme concernant les personnes bénéficiant de l’allocation forfaitaire de solidarité.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Ghania Eddalia, qui s’exprimait, jeudi dernier, au Conseil de la nation dans le cadre d’une séance de questions orales, a, en effet, révélé que plus de 944 000 citoyens bénéficient de l’allocation forfaitaire de solidarité (AFS). Une arithmétique à laquelle il faudra ajouter, a précisé la ministre, 113 431 bénéficiaires inscrits sur la liste d’attente dans le cadre de l’actualisation des listes des personnes démunies ayant bénéficié des différentes mesures et dispositifs d’aide sociale.
Des mesures et autres dispositifs dont la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme a étalé, à l’occasion, les données.
Elle a affirmé, à ce propos, que 243 941 personnes âgées de plus de 18 ans, handicapées à 100% et sans ressources, bénéficient d’une pension mensuelle de 4 000 DA outre la couverture sociale et que 192 347 handicapés, dont le taux d’invalidité est inférieur à 100% et âgés de plus de 18 ans et sans source de revenu, bénéficient également de l’allocation forfaitaire de solidarité (AFS) qui s’élève à 3.000 DA. Ceci en sus de la gratuité du transport ou de réduction de tarifs et de différentes autres aides de solidarité concédées à ces catégories de personnes vulnérables.
Eddalia a également évoqué les efforts déployés par son département concernant l’insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées aptes à exercer une activité professionnelle dans un milieu normal, et ceux liés à la prise en charge des enfants handicapés dont plus de 26 000 sont pensionnaires des établissements et classes spécialisés.
La ministre a également fait part de la révision et de l’actualisation périodiques des listes des bénéficiaires des différents dispositifs d’aide sociale, en vue de l’établissement d’un fichier national de cette catégorie de personnes. Ceci en adoptant des opérations de modernisation en matière de gestion des différents projets sociaux pour «une prise en charge efficace des catégories démunies».
M. K.
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Suite au drame survenu dans la commune d'Athiémé au niveau du lac Toho avec la mort de milliers de poissons, les autorités togolaises ont pris des dispositions afin de préserver la population contre une intoxication alimentaire.
Par un communiqué conjoint en date du 24 mai 2018, signé du ministre de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche et du ministre de la santé et de la protection sociale, des mesures conservatoires ont été prises pour contrôler la commercialisation de poissons en provenance du Bénin. Il est rappelé à travers ce communiqué qu'il a été signalé le 18 mai 2018, la découverte de milliers de poissons morts dans le lac Toho situé dans la commune d'Athiémé, ville frontalière avec le Togo. Le communiqué met l'accent sur l'information qui fait état d'un empoisonnement des poissons du lac par un produit inconnu. Cette situation inattendue, jamais enregistré, rappellent les autorités, peut être cause d'intoxication alimentaire collective grave des populations. C'est donc pour assurer la protection des populations frontalières que les dispositions ont été prises " pour intensifier des contrôles aux frontières par des services compétents en vue d'empêcher les poissons suspects sur notre territoire", précise le communiqué des ministres togolais. Aussi mettent-ils en garde : " toute cargaison de poissons en provenance du Bénin à destination du Togo, non accompagnés de certificat sanitaire sera purement et simplement saisie et détruite". Invitant les populations à la vigilance et l'application scrupuleuse des dispositions prises en la matière, les autorités togolaises souhaitent que " toute intoxication consécutive à la consommation de poissons soit immédiatement signalée au centre de santé le plus proche". Ces mesures des autorités togolaises entrent dans le cadre de la protection de leur population contre ce drame survenu au Bénin et les rumeurs sur la commercialisation des poissons contaminés vers les pays voisins.
Giscard AMOUSSOU
Invité par le Club press café Médias Plus, le promoteur de l'école supérieure d'enseignement privé, UATM GASA formation, Théophane Ayi s'insurge contre le comportement de l'Etat vis à vis des promoteurs. Une situation qui semble étouffer les établissements.
C'est à propos d'une question concernant le non payement des enseignants en position de cours à l'école supérieure UATM-GASA formation que le promoteur tente d'expliquer ce qui a conduit à cette situation. Tout en restant confiant de sa correction, Théophane Ayi pense que l'Etat aurait dû agir autrement. Il a été envoyé aux écoles privées un redressement fiscal qu'ils sont sommés à payer. M. Ayi s'explose et s'offusque contre cette attitude du gouvernement qui tend à détruire les promoteurs. « Depuis huit ans et vous voulez que je n'ai pas les impayés ? », se demande-t-il. Les écoles sont confrontées déjà aux problèmes de manque d'effectifs. Selon lui, « Si vous jugulez les manques d'effectifs et les impôts vous allez avoir des déficits de payement. C'est clair et c'est net ». La situation réelle est que, « on payait les impôts jusqu'en 2007 et à partir de ce moment on a attaqué CERCO de payer les impôts et nous nous sommes levés comme un seul homme pour dire qu'on ne payera pas les impôts ». Cette révolte a amené les autorités à prendre des dispositions d'allègement à l'endroit des écoles privées. C'est alors dira-t-il que « Madame Vicentia Boko (ministre de l'enseignement supérieur à l'époque, ndlr) a écrit à Monsieur Yayi Boni pour dire, vous ne donnez pas de subventions à ces gens là et vous voulez encore leur prendre les impôts ». C'est alors que sensible à la situation, l'ancien président a géré la situation suivant son tempérament. « M. Yayi Boni prend sa plume et écrit aux impôts en disant laisser les écoles privées d'enseignement supérieur parce que nous ne leur donnons pas de subventions », rapporte M. Ayi. Cette nouvelle a permis aux agents des
donneimpôts de ne plus envoyer des sommations à ces établissements pendant des années. « À partir de ce moment, les impôts pendant huit ans ne se sont adressés à personne d'entre nous pour dire contrôle-payement. Ils sont restés lascifs aussi. La TVA est enlevée, les impôts, on ne nous prend plus. », a-t-il expliqué.
Le revirement
Ils en étaient là quand « un gouvernement arrive pour chercher des moyens à tout prix pour pouvoir promouvoir le développement à une vitesse XY. C'est son rôle mais la vitesse doit être contrôlable », souligne M. Ayi. Promoteur et gestionnaire bon teint, il pense que « vous ne pouvez pas gérer quand vous n'avez pas totalement les moyens et vous ne pouvez pas programmer votre développement si vous n'avez pas d'argent. » Néanmoins, il est convaincu que « c'est une affaire de texte et de bon sens ». Mais il dira qu' « à partir de 2007 jusqu'en 2016, nous n'avons pas payé ». Une fois le gouvernement en place, les écoles sont interpellées. « Le nouveau gouvernement est arrivé et on nous a sommés de faire les déclarations le plus rapidement possible », confie-t-il. Il affirme que « nous n'avons pas refusé, nous avons fait les démarches qu'il faut. Nous avons opposé les écrits, nous avons tout dit. On dit, ce n'est pas mentionné dans une loi de finances. Nous mêmes nous sommes d'accord. Ce qui s'est passé et même les impôts sont au courant ou il y a du laxisme même dans le contrôle des sous au niveau de l'Etat », a-t-il expliqué. Il estime que « la logique voudrait que au lieu de redressement, sur quatre à cinq ans pour une société, qu'on exige qu'on déclare l'année en cours tout simplement et qu'on reprenne la route vue la nature sociale que nous avons ». Ce qui est bien étonnant pour le promoteur de l'UATM-GASA formation est que « en 2017, on envoie deux redressements 2014, 2015, 2016, 2017 jusqu'en août, deux redressements coup sur coup en sauvant l'année 2013 plus les quatre années ». « Nous n'avons pas refusé de payer », déclare-t-il. « 2013 fait un peu plus de 21 millions FCFA, que j'ai payé et le reste vous me dites de payer urgemment sur le même exercice. Je dis niet. Si vous voulez venez fermer la boutique », dira-t-il. « En payant ça fait des imprévus qui sont sur mon budget », fait-il savoir. « Nous avons demandé à ce que la seconde tranche, soit payée à partir d'octobre par échelonnement. D'octobre à décembre, on va payer », promet M. Ayi.
La qualité de la formation
« J'ai essayé de faire autant que je peux sans diminuer la qualité de mon enseignement », soutient-il. « On a payé les enseignants jusqu'en février », précise-t-il. Avec les nouvelles organisations dans l'enseignement supérieur, M. Théophane Ayi semble avoir pris d'autres dispositions pour mieux encadrer les étudiants de son école. « En avril, j'ai totalement fini tous mes cours. Je n'ai plus de cours à l'UATM Gasa formation », affirme-t-il. Il a opté pour cette forme « parce que j'étais inscrit depuis l'an dernier au système d'examen national et si mes étudiants ne partaient pas en stage en février et mars, ils sont en retard ». Pour le promoteur, « les envoyer en stage et dire venez faire les cours, suppose que je n'aurai pas les bulletins à temps ». Il précise que « les cours sont terminés et mes étudiants sont tous en stage ». Il explique qu'en tant que promoteur, les établissements roulent sur deux années d'exercice le plus souvent. « Le salaire des vacataires chez moi, c'est 20 millions par mois et le salaire des permanents, c'est 13,8 millions par mois. Le tout fait 33.800.000 que je verse tous les mois ». Voilà le problème.
Giscard AMOUSSOU
(Par Roger Gbégnonvi)
L'article 35 de la Constitution du 11 décembre 1990 dit : ‘‘Les citoyens chargés d'une fonction publique ou élus à une fonction politique ont le devoir de l'accomplir avec conscience, compétence, probité, dévouement et loyauté dans l'intérêt et le respect du bien commun.'' Comme dirait l'évangéliste Matthieu, ‘‘voilà la Loi et les Prophètes'', la Règle d'Or de notre présent heureux et de notre avenir radieux. L'article 35 aux SIX VERTUS s'adresse aussi bien à la classe politique qu'à la société civile. Il s'adresse, en fait, à tous les Béninois.
Si la classe politique avait eu à cœur PROBITÉ et LOYAUTÉ, elle aurait retrouvé et fait juger les acteurs de l'assassinat raté de Martin Assogba, ceux de l'assassinat réussi de Bernadette Agbossou, ceux de l'enlèvement réussi suivi, peut-être, du meurtre de Pierre-Urbain Dangnivo. Quand les crimes d'Etat s'enchaînent et s'accumulent, leur odieuse et nauséeuse ‘‘perfection'' finit par vider l'Etat de sa prérogative de garantir la liberté et la sécurité des citoyens. Alors s'installe l'anarchie, sauve-qui-peut général, presque toujours suivie d'une dictature, le plus fort et les siens contre tous. Dans le premier cas, les citoyens se maltraitent, dans le second, ils sont maltraités. Le citoyen est le bien le plus précieux que l'Etat démocratique doit servir en mettant à sa disposition les conditions du bien-être.
Aujourd'hui, il s'offre à l'Etat démocratique du Bénin une belle opportunité de s'amender de ses crimes économiques et de sang d'il y a douze ans environ. Il s'amendera en traitant avec CONSCIENCE et COMPÉTENCE le dossier scabreux du siège du nouveau Parlement, dont on sait maintenant qu'il ne sera jamais ni nouveau ni ancien. Les noms de ceux qui ont orchestré ce gigantesque détournement de notre argent devront être rendus publics, de façon toutefois à ne pas livrer les mis en cause à la vindicte populaire. Car le peuple est en colère. Les hôpitaux et les écoles n'ont pas attendu d'être informés de ce énième hold-up avant de déclencher une grève si longue qu'elle a fini par banaliser nos vies et porter atteinte au progrès de l'homme. Mais comment l'Etat de droit peut-il espérer le DÉVOUEMENT de la part des travailleurs et le RESPECT de leur engagement lorsque le médecin dans son hôpital sans matériel et l'instituteur face à ses écoliers assis sur des briques subodorent des fraudes énormes du genre ‘‘nouveau siège du Parlement'' ?
Mais la turpitude condamnable de la classe politique ne doit pas entraîner la turpitude intolérable de la société civile qui, sentinelle avertie, garde les idées claires pour dire toujours le sens et la raison. L'actualité lui offre une belle opportunité de s'amender à propos d'une formule rappelant notre errance de la ‘‘pensée unique'' : prisonnier politique. Que ne nous égare point quelque dérive sémantique. On a beau être syndicaliste de renom ou député ayant pignon sur rue, on n'est pas et ne sera pas prisonnier politique si ce dont on est soupçonné, malversation ou trafic illégal, relève du droit commun. S'ils doivent connaître la prison sur la base de ce pourquoi les magistrats français les ont mis en examen (l'un est déjà jugé), Jérôme Cahuzac et Nicolas Sarkozy ne seront pas dits prisonniers politiques, car un politicien en prison n'est pas d'office un prisonnier politique. Jusqu'au prononcé du verdict, camarades et collègues présumés innocents ont droit à notre soutien. Mais il est de leur honneur et de celui de l'Etat de droit que la justice passe et tranche. Au demeurant, on ne va plus en prison au Bénin pour délit d'opinion. Nous avons vaincu l'idiote pensée unique.
Concluons. Même si enfant, il a été champion de la mémorisation à l'école coranique, devenu adulte, le Béninois le plus patriote ne peut réciter par cœur les 160 articles de notre Constitution. Mais point n'est besoin, puisqu'il lui suffit d'un seul. D'où le mot d'ordre : tous accrochés à l'article 35, l'article aux six vertus, boussole de notre bien-être citoyen au Bénin !
Les poissons morts suite à une intoxication dans le lac Toho à Kpinnou, dans la commune d'Athiémé ont été incinérés, ce mercredi 23 mai sur un site identifié par les autorités des structures décentralisées et déconcentrées de l'Etat.
Des dispositions pratiques ont été prises avant, pendant et après l'incinération. Le site qui a servi d'incinération est éloigné d'environ 1,5km de la ferme de M. Olivier Zaga, un promoteur qui a été victime de la situation en perdant 10 tonnes de tilapia dans ses 28 enclos. Pour la calcination totale des poissons morts, la préfecture du Mono a assuré l'achat de chaux-vive, de carburant et du fagot de bois. En plus du personnel, l'Agence nationale pour la protection sociale (ANPC) a mis à disposition, une pelle adaptée pour la fouille. L'opération a été menée sous la supervision des directeurs départementaux de la santé, de l'agriculture de l'élevage et de la pêche, du cadre de vie et du développement durable, des sapeurs-pompiers, appuyés par des manœuvres qui ont mis en sachets lesdits poissons.
Selon la procédure de façon graduelle, du bois et de la chaux-vive, une première couche de poissons en sachets imbibée de carburant y est déposée. Elle a été faite jusqu'à trois couches avant l'incinération. L'équipe de supervision est restée sur les lieux jusqu'à la calcination totale des poissons.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)