Il y a encore du mouvement du côté du Ministère de la Défense Nationale. Cette fois ci, ce sont les Forces de défense aérienne du territoire qui vont être dotées d’un nouveau commandant, a fait savoir aujourd’hui, le 26 décembre 2021, un communiqué du MDN.
Amar Amrani n’est donc plus commandant des Forces de défense aérienne du territoire, indique le communiqué du MDN. Ce dernier, signé par Saïd Chengriha, chef d’État-Major de l’Armée nationale populaire, a indiqué que le nouveau commandant des Forces de défense aérienne du territoire est désormais le général-major Abdelaziz Houam.
Le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, Said Chengriha, a nommé, aujourd’hui dimanche, le général-major Abdel Aziz Houam, commandant des Forces de défense aérienne du territoire, pour succéder au général-major Ammar Amrani.
Nouveau remplacement au MDNC’est au nom du Président de la République, Commandant suprême des Forces armées et Ministre de la Défense nationale, que le chef d’État-Major Said Chengriha, a supervisé aujourd’hui la cérémonie officielle de l’installation du général-major Abdelaziz Houam, commandant des Forces de défense aérienne du territoire, succédant au général-major Amar Amrani.
Abdelaziz Houam a été directeur des écoles des cadets de la nation. Amar Amrani quant à lui est resté à la tête des Forces de défense aérienne du territoire, depuis le 17 juillet 2008.
Cette nouvelle décision du MDN a été exprimée par le chef d’état-major, Said Chengriha, qui a également affirmé que l’Algérie connait, « sous la houlette du président Tebboune, une vive dynamique à tous les niveaux, notamment politiques, diplomatiques, économiques et sportifs ».
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Vers un nouveau scandale sanitaire ? Le magazine Kali a alerté ce mercredi 22 décembre sur un colorant cancérogène, le dioxyde de carbone, qui est présent dans plus de 800 médicaments les plus couramment prescrits en France.
Interdite comme additif dans le domaine alimentaire dès 2022 au sein de l'Union Européenne, le colorant E171, également appelé dioxyde de carbone, serait pourtant présent dans 800 médicaments en vente dans l'Hexagone.
L'enquête réalisée par le magazine Kali, en collaboration avec l'association AVICENN, a mis en évidence que cette nanoparticule « 50 000 fois plus petites qu'un cheveu » serait capable de s'introduire dans les cellules humaines et dans l'ensemble des organismes vivants.
« Spasfon, Doliprane, Imodium... Ces médicaments qui contiennent du dioxyde de titane font partie des plus prescrits. On retrouve également cette substance dans les cosmétiques, les vêtements, les jeux pour enfants... Partout en fait », a analysé Christelle Pangrazzi, la rédactrice en chef du magazine Kali.
LE COLORANT E171 CLASSÉ CANCÉROGÈNE CERTAIN
Classée comme cancérogène probable en 2006 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), la nanoparticule a finalement été classée cancérogène certain en 2021 par le même organisme.
Présent dans « un tiers des médicaments mis en vente sur le marché », le colorant E171 n'a même pas de fonctionnalité essentielle puisque ce dernier est utilisé pour « blanchir les médicaments et les rendre plus brillants ».
Si aucune étude n'a fuité sur les réactions liées à la prise de la nanoparticule à court terme, elle aurait de « graves effets sur l'organisme » si elle est « consommée à haute dose et sur la durée » selon Christelle Pangrazzi. Elle a indiqué que la substance pourrait « favoriser le cancer colorectal lorsqu'elle est ingérée et le cancer pulmonaire lorsqu'elle est inhalée ».
AUCUNE MODIFICATION DE LÉGISLATION PRÉVUE
« Un projet de règlement sur les additifs alimentaires prévoit pour le moment de maintenir le dioxyde de titane sur la liste des additifs autorisés dans les médicaments. Le projet de règlement prévoit une révision de la situation dans les 3 ans […] Dans l'attente de cette révision à 3 ans, l'industrie pharmaceutique doit dès à présent engager des actions pour accélérer la recherche d'alternatives visant à remplacer le dioxyde de titane dans les médicaments », a indiqué l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) dans des propos relayés par Actu.fr.
Un point de vue encore plus pessimiste a été exposé par l'Agence européenne des médicaments (EMA), estimant à 10 ans minimum la période de transition pour supprimer cet additif sur le plan médical en raison d'une prévision de pénurie de médicaments en cas de retrait accéléré.
Dans l'optique de demander le retrait de ce produit dans les médicaments auprès des instances européennes, une pétition en ligne et une demande de changement réglementaire vont être transmises au ministère de la Santé et au ministère de la Transition écologique dans les prochains jours.
La situation pandémique se corse partout dans le monde. On commence à ressentir la même peur qui précédait des vagues mortifères dans le passé. C’est une hausse inquiétante que plusieurs pays connaissent après une stabilité qui a été de courte durée.
En effet, une flambée de cas de contaminations a été détecté dans les quatre coins du monde. Ne laissant aucun choix pour les autorités à part celui de durcir les mesures préventives et mettre en place un protocole sanitaire strict pour tenter d’endiguer la propagation du coronavirus et surtout, d’empêcher l’importation de son nouveau variant, vivement appréhendé.
Il s’agit du variant Omicron, la souche la plus contagieuse du Covid-19. Bien que les premières études montrent qu’il est moins dangereux que le variant Delta, Omicron demeure la crainte de tous. En Algérie, avec deux cas détectés de ce variant, un durcissement des mesures et une mise en place de certaines restrictions s’imposent, notamment pour les voyages.
Pour rappel, hier, le premier ministère a annoncé que le pass vaccinal est exigé pour l’entrée ou la sortie du territoire national.
L’indignation d’un députéSuite aux annonces de nouvelles mesures dictées par le gouvernement, le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi n’a pas manqué de réagir.
« Bien que les autorités françaises n’obligent la vaccination à personne y compris les voyageurs arrivant sur ses territoires, les royalistes plus que le roi chez nous refusent aux passagers non-vaccinés l’embarquement sous le faux prétexte que ceux qui ne sont pas vaccinés sont refoulés à l’arrivée en France » a-t-il déploré.
Rappelant dans le même contexte, les problèmes qui attendent d’être réglés « au lieu de s’occuper sérieusement des préoccupations réelles notamment la restriction de la liberté de circulation avec la création d’une rareté artificielle – par des décisions administratives absurdes – des possibilités de réservations et la lutte contre le trafic dans les billets connu de tous et les prix exorbitants des billets ».
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La sélection nationale A’ de Madjid Bougherra a été récemment couronnée par le prestigieux titre de la Coupe Arabe de son édition 2021 au Qatar, et ce, à la suite d’une sacrée victoire contre la Tunisie, dans une rencontre de finale enflammée, qui s’est soldée par deux buts contre zéro.
Cependant, le manager général de l’équipe nationale, Amine Labdi, a révélé des déclarations « choquantes » quant à la participation des Verts à cette compétition arabe.
Dans une interview accordée à la chaine de télévision Ennahar TV, ce samedi 25 décembre, Labdi a fait savoir que Rais M’bolhi et ses coéquipiers étaient sur le point de se retirer du tournoi qui s’est déroulé au Qatar, du 30 novembre au 18 décembre en cours.
» On a menacé de se retirer du tournoi » (Labdi)« Il y a eu beaucoup de controverse avec la FIFA avant le début de la Coupe Arabe 2021, où on a menacé de se retirer du tournoi, notamment lorsque nous avons appris que la compétition était officielle et qu’elle aurait été comptée dans le classement FIFA du nombre record de matchs sans défaite », a-t-il déclaré.
En outre, le manager général des Fennecs a ajouté : « nous avons été rassurés que ces matchs sont faiblement calculés, mais quand nous avons gagné le tournoi, nous avons grimpé dans le classement. »
Par ailleurs, il est utile de rappeler que les hommes de Madjid Bougherra ont présentés une excellente performance et un haut niveau lors de toutes les rencontres disputées pour le compte de la Coupe arabe 2021 au Qatar.
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Guensh'Ever n'est plus. L'ancienne gloire de la musique béninoise a rendu l'âme, dans la soirée de samedi 25 décembre 2021, des suites d'une maladie. L'artiste a marqué les mélomanes dans les années 1980 avec son morceau Musumugbaléo.
Paix à son âme !
La semaine dernière, le gouvernement a annoncé la levée du gel des importations de la poudre de lait. Alors que les producteurs n’arrêtaient pas de dénoncer ce gel, évoquant les prémices d’une crise, un responsable au ministère de l’Agriculture explique les causes de cette décision.
Intervenant ce dimanche sur les ondes de la Radio nationale, le Directeur des services vétérinaires au ministère de l’Agriculture et du Développement rural Imad Idres, est revenu sur la décision du gouvernement de geler ces importations pendant plusieurs mois.
Selon lui, cette halte de plusieurs mois a permis de « mettre à jour le fichier des importateurs et de créer une plateforme pour recevoir leurs dossiers et d’établir les dérogations d’importation le jour même ».
Cependant, le même responsable a indiqué que « le gel n’a jamais touché l’Office national interprofessionnel du lait (ONIL) qui n’a pas arrêté les importations », ce qui fait que le marché n’a pas été impacté. « Il n’y a pas de manque sur le marché », a-t-il souligné.
« Plusieurs quantités qui étaient en souffrance ont été débloquées »D’ailleurs, l’invité de la chaine 3 explique que durant ce gel, « plusieurs quantités de poudre de lait qui étaient en souffrance au niveau du port et qui occasionnaient des surestaries au trésor public ont été débloquées et mises sur le marché ».
Autre conséquence de ce gel, il affirme « cette mesure a permis d’établir la traçabilité de la poudre de lait importée ». Dans ce sens, il explique qu’actuellement, « il y a 3 catégories d’importateurs ».
Il s’agit « d’abord, de l’ONIL qui approvisionne quelque 130 laiteries privées et les 15 laiteries publiques du Groupe Giplait, il y a ensuite les importateurs transformateurs puis, les importateurs revendeurs »,
Par ailleurs, Imad Idres indique que « l’Algérie a importé entre 400 et 500 mille tonnes de poudre de lait, en 2020, pour une facture d’un milliard 200 millions de dollars ».
Dans les détails, il explique que « les importations de l’ONIL couvrent près de 48% de cette quantité », tandis que « le reste est réparti entre les importateurs transformateurs et les importateurs revendeurs ».
Pour rappel, le ministre de l’Agriculture Mohamed Abdelhafidh Henni a annoncé lundi dernier la levée du gel des dérogations sanitaires pour l’importation de la poudre de lait à partir de demain mercredi.
Intervenant lors d’une conférence dans le cadre des activités de la Foire de la production nationale, le ministre a souligné que son département « accordera les dérogations sanitaires pour l’importation de la poudre de lait à tous les opérateurs de la filière à compter du 22 décembre ».
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Le coronavirus a fait plus de 6.000 morts en Algérie. Plusieurs citoyens ont été contaminés, et les hôpitaux ont été débordés à plusieurs reprises. Mais peut être que le plus grand impact de la pandémie a été finalement constaté du côté de la santé mentale des Algériens.
Pour Messaoud Ben Halima, professeur de psychologie à l’Université d’Alger, bien des comportements sont apparus au sein des Algériens, comme l’émergence de l’hystérie et l’absence d’équilibre psychologique chez de larges segments de la société.
Plusieurs cas affichent des comportements hystériques que ce soit dans la joie ou dans la tristesse. Certains Algériens, selon ce professeur, n’ont plus de confort psychologique, ils ont peur, et il arrive même qu’ils entrent dans un état de confusion entre réalité et imaginaire.
Des symptômes de l’hystérie, selon le Professeur, ont été fortement enregistrés lors des célébrations de la victoire de l’EN dans la Coupe arabe, ou il a été constaté que la joie provoque des décès. Le spécialiste ajoute que la crainte d’une quatrième vague de l’épidémie peut exacerber les effets psychologiques négatifs.
Les Algériens ont été impactés à long terme par la pandémie, fait savoir Abdelhalim Madi, psychologue. Il explique, pour le journal arabophone Echourouk, qu’en plus de la peur qui survient à chaque nouveau confinement, isolement, et enfermement, la peur s’installe aussi à cause du chômage, de la pauvreté, et de la faillite, qui ne sont jamais très loin.
Quand la peur infante la fraudeLe même spécialiste a affirmé que plusieurs commerçants algériens ont été spécialement touchés par la pandémie. Ces derniers éprouvent une sorte paranoïa, de la peur d’un nouveau confinement qui les exposerait à la faillite de nouveau.
C’est à cause de cette peur d’essuyer de nouvelles pertes, ou de carrément fermer boutique, que certains commerçants ont choisi de basculer du côté sombre de leur métier. Le spécialiste et expert en développement humain indique que la fraude et l’escroquerie ont connu une hausse sensible dans la société.
Toujours selon le même intervenant, tout le monde cherche à gagner de l’argent, peu importe la manière, afin de récupérer ce qu’ils ont perdu durant le confinement, mais aussi de peur de faire face à une nouvelle vague qui les mettrait en faillite. Certains commerçants essaieraient même de traficoter les prix et de berner leurs clients, affirme-t-il.
La covid a brisé des famillesBien des relations ont été avortées à cause du coronavirus, soutient M. Madi. Il rappelle que le report des mariages et la fermeture des salles des fêtes a négativement impacté plusieurs couples. Au-delà de ce constat, le même intervenant indique que son bureau a recensé une hausse de plus de 40 % concernant les différends conjugaux.
Les membres d’une même famille, qui ont perdu un membre à cause du coronavirus, souffrent à chaque fois qu’une nouvelle vague de l’épidémie se déchaine, et le confinement ne fait qu’empirer les choses.
La détérioration du pouvoir d’achat, et de la situation économique en général, à cause de la situation sanitaire, a fortement augmenter le nombre des problèmes familiaux, sans oublier les violences conjugales. Le phénomène de la Harga a également explosé, mais aussi celui de la consommation de la drogue.
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Voulant rendre hommage aux victimes algériennes assassinées lors de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris, le pochoiriste et l’artiste urbain, Christian Guémy, connu sous le pseudonyme de « C215 », avait peint, en octobre dernier, au pochoir sur un mur d’un garage d’Ivry, un portrait de Ahmed Khalfi, l’une des dizaines de victimes de la répression meurtrière sous l’autorité de Maurice Papon.
Hier samedi, le pochoiriste a publié une photo sur les réseaux sociaux faisant état de la dégradation de l’œuvre artistique « de manière manifestement raciste ». L’artiste ne décolère pas et dénonce, de ce fait, une « offense jetée au visage non seulement de la victime, mais également des gens du présent ».
Un acte « raciste » et « indécent »Sur son compte Twitter, l’artiste C215 n’hésite pas à publier le portrait de la victime du massacre de 17 octobre 1961 qui était dans un état de dégradation avérée. En effet, l’inscription « Jeté dans la Seine le 17/10/1961″a été effacée au burin et le portrait a été aspergé de taches rouges, couleur sang, selon le média français Le Point. Un dessin « indécent » a également été gravé sur l’œuvre ».
Indigné, le pochoiriste qualifie cet acte de « violent pour tous les Maghrébins et les gens qui peuvent s’identifier vraiment à lui (Ahmad Khlafi, NDLR) ». « Ce n’est pas un personnage politique, c’est juste une victime d’un massacre qui a été commis dans des circonstances de racisme ordinaire. Et là, on perpétue tout ça », fulmine-t-il.
« Je m’en suis aperçu aujourd’hui mais ne sais pas quand cela a été fait. C’est dans une petite rue, il n’y a pas beaucoup de passage », a-t-il indiqué ajoutant qu’il a essayé « de rendre son portrait le plus vivant et le plus humain possible ».
« Il est peint à hauteur d’homme, dans un quartier où il y a beaucoup de diversité en plus. », explique-t-il avant d’asséner « à une époque où on parle de diversifier la représentation mémorielle dans l’espace public, on n’est pas sorti de l’auberge… », rapporte la même source.
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Alors que l’édition 2022 de la Coupe d’Afrique des Nations est prévue pour très bientôt, les mauvaises nouvelles et les obstacles qui font face à ce grand tournoi footballistique du continent ne cessent de s’enchainer.
En effet, les sélections africaines participantes à ladite compétition, dont la sélection nationale de Djamel Belmadi, viennent de recevoir une mauvaise nouvelle de la part de la FIFA.
Dans une correspondance adressée à la Fédération algérienne de football, la FIFA a indiqué que les joueurs algériens, évoluant dans les clubs européens et concernés par les matchs officiels avec ses derniers, sont obligés de rester avec leurs équipes, et ce, entre le 27 décembre et le 3 janvier.
Une nouvelle désagréable pour le coach Djamel Belmadi, qui risque d’affecter son programme d’entrainement avant la CAN, prévu à partir de ce lundi, notamment avec l’absence de ses stars, à savoir Riyad Mahrez (Manchester City) et Said Benrahma (West Ham United).
Mahrez et Benrahma participent-ils aux matchs amicaux ?Lesdits footballeurs risquent également, à ne pas participer au match amical avec leurs coéquipiers, face à la Gambie, qui est prévu le 1er janvier 2022 à Doha au Qatar. Ainsi, il est peu probable que ces derniers participent au deuxième match face au Ghana, le 5 janvier 2022.
Il convient d’indiquer que le capitaine des Verts Riyad Mahrez, serait au rendez-vous avec son club anglais des Citizens, dans une rencontre l’opposant à Brentford FC ce mercredi 29 décembre, et un autre match prévu le 1er janvier 2022 face à Arsenal.
Quant à son coéquipier Said Benrahma, celui-ci est concerné par les confrontations face à Watford FC ce mardi 28 décembre et Crystal Palace FC le 1er janvier.
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Vers la fin de la semaine dernière, des informations ont été relayées sur le risque de saisie d’avions d’Air Algérie dans les aéroports de pays européens. Ce dimanche, le porte-parole de la compagnie aérienne a apporté des précisions quant à cette affaire.
Intervenant sur la chaine TV Echorouk News, Amine Andaloussi, porte-parole de la compagnie nationale a tenu à affirmer que les informations ayant fait état de risque de saisie d’avions d’Air Algérie à l’étranger « sont fausses ». Selon lui, les billets non consommés seront tous remboursés.
Ainsi, même s’il n’a pas fourni plus de détails sur l’opération de remboursement, il s’est plutôt montré rassurant quant aux réclamations de milliers de clients, dont des étrangers, sur le remboursement de leurs billets non consommés. Notons ici que les informations relayées sur le risque de saisie d’avions sont liées à cette question.
Or, l’intervenant a confirmé que cette situation concerne effectivement un demi-million de billets non consommés. « Plus d’un demi-million de billets ne sont pas consommés à cause de l’épidémie du Covid-19 et nous allons rembourser tous nos clients », a-t-il souligné. En effet, il a également affirmé que la compagnie a déjà « entamé le remboursement ce ces billets qui sont d’une valeur totale de 25 milliards de dinars ».
Situation financière d’Air AlgériePour ce qui est de l’impact de l’épidémie planétaire sur Air Algérie, Andaloussi n’a pas manqué de réitérer que la compagnie avait été fortement impactée. Par conséquent, il reconnait qu’elle « traverse effectivement une situation financière difficile ».
En outre, le porte-parole de la compagnie nationale affirme qu’Air Algérie effectue actuellement 25 vols hebdomadaires avec une couverture allant jusqu’à 15% de la totalité des vols assurés avant l’avènement de l’épidémie du coronavirus.
Malgré les retombées désastreuses de l’épidémie ressenties à l’échelle mondiale, le même responsable affirme qu’Air Algérie est la seule compagnie au monde qui n’a pas procédé au licenciement des travailleurs.
Par ailleurs, il annonce que le service de maintenance d’Air Algérie se transformera incessamment en une société indépendante qui s’activera au niveau régional et continental
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Le gouvernement béninois a procédé à la signature de la première convention financière destinée à la mise en œuvre de la stratégie nationale de l'enseignement et la formation technique et professionnel (SN-EFTP).
Il s'agit d'un montant de 20 millions d'euros (soit plus de 13 milliards FCFA). Octroyé par l'Agence Française de Développement et de l'Ambassade de France (AFD), ce financement permettra la construction et l'équipement d'un Lycée technique agricole (LTA) à Malanville ; la réhabilitation, l'extension et l'équipement du LTA de Banikoara ; la construction des dispositifs d'exploitations agricoles associés à chacun de ces deux établissements.
Par ce financement, « 13 770 jeunes Béninois en seront bénéficiaires en plus de la formation des formateurs déjà en cours ».
Pour le ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances, « ce n'est qu'une étape franchie ! ».
« Grâce à la vision du président Patrice Talon, notre stratégie nationale en matière de formation permettra une meilleure insertion sociale et économique des jeunes Béninois pour en faire des acteurs de premier plan de la transformation nationale enclenchée par le chef de l'État ! », a soutenu Romuald Wadagni. Le ministre n'a pas manqué de saluer l'Agence Française de Développement et de l'Ambassade de France pour leur confiance et leur soutien.
A.A.A
Le président de la République Patrice Talon a adressé un message aux Béninoises et Béninois à l'occasion de la fête de Noël célébrée ce samedi 25 décembre 2021.
« Mon gouvernement et moi souhaitons# un joyeuxNoel à chacun de vous », a souhaité Patrice Talon, président de la République dans un post publié sur sa page Facebook ce samedi 25 décembre 2021.
M. M.
Des vents forts provoquant l’agitation de la mer toucheront presque la totalité de l’ensemble de la bande côtière du pays ce dimanche 26 décembre 2021, selon l’Office national de météorologie.
Les vents signalés dans la carte de vigilance de niveau « jaune » et « orange » sont prévus à compter de 06 h 00 du matin de ce dimanche jusqu’à l’aube de demain lundi, précise la même source.
Les zones côtières concernées par la vigilance jaune « vents violents et vagues dangereuses » sont les côtes d’El Kala, Annaba, Skikda, Jijel, Béjaia, Azefoune, Déllys et Alger.
Les régions concernées par la vigilance orange sont les côtes de Bouharoune, Ténés, Mostaganem, Arzew, Oran, Béni Saf et Ghazaouat.
Les prévisions météo de ce dimanche 26 décembreEn outre, les services de Météo Algérie ont indiqué que les wilayas de l’ouest du pays devront connaitre, dans les prochaines heures, l’arrivée d’une perturbation. Les autres régions du nord du pays seront également touchées à partir de ce dimanche.
Selon les prévisions météo, les pluies attendues sur plusieurs régions du nord du pays sont estimées à 50 mm localement, et ce, jusqu’à demain lundi. Sur les régions sahariennes, le temps sera généralement dégagé à part quelques pluies attendues sur le sud-ouest.
Pour les températures maximales attendues pour la journée de ce lundi, Météo Algérie prévoit entre 11 et 18 degrés sur les régions côtières, entre 8 et 16 degrés sur les régions intérieures et entre 16 et 26 degrés sur les régions sahariennes.
L’article Météo : vents violents et vagues dangereuses sur les zones côtières est apparu en premier sur .
Certains affirment que les monnaies numériques sont de nouveaux moyens d'échange, développés au profit des super-riches et Les crypto-monnaies ont récemment fait l'objet d'un examen approfondi quant à leur rôle dans la réduction des inégalités de revenus dans le monde.
Les analystes financiers et les universitaires ont des avis partagés sur la question de savoir si les crypto-monnaies comme le Bitcoin peuvent mettre fin aux inégalités de revenus. des milléniaux férus de technologie. D'autres pensent que les crypto-monnaies sont les instruments financiers de l'avenir qui rationaliseraient les inégalités économiques mondiales, en facilitant la libre circulation des capitaux vers ceux qui en ont besoin.
L'histoire du Bitcoin et des autres crypto-monnaies montre que leurs créateurs voulaient combler le fossé mondial en matière de richesse. Le Bitcoin est apparu sous les feux de la rampe en 2009, juste après la crise financière de 2008. Une partie importante de la crise était due à la manipulation des devises par les gouvernements et les banques. Satoshi Nakamoto a donc inventé le Bitcoin pour éliminer les bureaucraties des systèmes financiers traditionnels, comme la monnaie centralisée et la manipulation du marché.
Pendant ce temps, l'inégalité des richesses continue de faire rage dans de nombreuses régions du monde. De nombreux pays ont établi de nouveaux records en matière d'inégalité des revenus, et l'écart semble se creuser au fil du temps, avec une classe moyenne qui se réduit rapidement. Toutefois, les experts estiment que la popularité et l'adoption croissantes du Bitcoin dans le monde entier pourraient contribuer à restructurer l'économie mondiale, en luttant contre les inégalités de revenus. L'article suivant explore comment le Bitcoin peut s'attaquer aux inégalités de revenus.
De Solides Opportunités Economiques
Le Bitcoin est à la fois une réserve de valeur et un moyen de paiement utilisé pour acquérir des investissements et acheter divers biens et services. De nombreuses entreprises mondiales et des investisseurs de premier plan ont accumulé d'importants avoirs en Bitcoins pour diversifier leurs actifs et se protéger de l'inflation, car il s'agit d'un instrument financier décentralisé.
Le Bitcoin a inspiré la prolifération de plusieurs entreprises. Par exemple, les plateformes d'échange de crypto-monnaies telles que bitcoin-prime.cloud permettent aux particuliers de gagner de l'argent en négociant et en investissant en Bitcoins. Ceux qui ont les compétences informatiques appropriées peuvent également se joindre à l'action, en minant des Bitcoins pour obtenir des récompenses. Le Bitcoin a également ouvert de nombreuses voies économiques pour les consultants en crypto-monnaies, les développeurs d'applications mobiles et les innovateurs.
Le Bitcoin est le moteur de la croissance et du développement de l'ensemble de l'industrie cryptographique mondiale, actuellement évaluée à plus de 2 000 milliards de dollars. Il a suscité la création de plusieurs nouvelles crypto-monnaies. Les vastes opportunités économiques favorisent l'inclusion financière en réduisant les taux de pauvreté et de chômage dans le monde. Cela contribuerait de manière significative à combler l'écart de richesse mondial au fil du temps.
Transactions Financières Transparentes
La plupart des individus pensaient que le Bitcoin ne profiterait qu'aux personnes fortunées et férues de technologie, puisqu'il s'agit d'une monnaie numérique. Cependant, le Bitcoin fonctionne d'une manière unique qui favorise la transparence à tous les stades des transactions financières. Il fonctionne sur la technologie blockchain, vérifiant et validant les données des utilisateurs et les enregistrements des transactions sur un grand livre numérique partagé.
Le Bitcoin est un réseau peer-to-peer, qui permet aux particuliers et aux entreprises d'effectuer des transactions sans intermédiaire. Contrairement aux transferts d'argent traditionnels, les envois de fonds transfrontaliers en Bitcoins n'impliquent aucune tierce partie. Au lieu de cela, la blockchain valide toutes les données transactionnelles et les adresses des utilisateurs sur un grand livre en permanence.
Tous les utilisateurs peuvent accéder au grand livre de la blockchain. La transparence de haut niveau décourage les actes de corruption tels que les pots-de-vin qui contribuent à l'inégalité des richesses. Elle pourrait également permettre de lutter contre la fraude et d'autres délits financiers. Ainsi, le Bitcoin permet à ses utilisateurs d'acquérir et de gérer leurs actifs dans le monde entier avec la plus grande responsabilité. La transparence accrue encourage également le flux d'investissements et d'aide étrangère vers les régions les moins développées, réduisant ainsi les inégalités de richesse.
Monnaie Décentralisée
Le Bitcoin est une monnaie décentralisée, non soumise à des influences gouvernementales ou institutionnelles. Ses utilisateurs n'ont pas besoin de passer par une autorité centrale pour effectuer des transactions. En outre, l'offre de Bitcoins est plafonnée, ce qui signifie qu'aucune puissance ne peut manipuler son offre. Cela facilite les transferts d'argent transfrontaliers transparents, plus rapides et peu coûteux, ce qui favorise considérablement la libre circulation des capitaux dans le monde entier. Le Bitcoin permet même aux populations non bancarisées d'effectuer des transactions financières avec le monde développé, ce qui réduit simultanément les inégalités de revenus.
Si le Bitcoin ne peut pas entièrement effacer les inégalités de richesse, il offre plusieurs alternatives pour réduire les niveaux de pauvreté et promouvoir l'inclusion financière dans le monde entier. Il s'agit donc d'un outil potentiel pour réduire l'écart de richesse mondial.
Le taux de change de la monnaie nationale face aux principales monnaies s’est stabilisé en ce début de semaine tant au niveau du marché parallèle des devises que dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie.
Ce dimanche 26 décembre, le cours de la monnaie européenne dans les cotations de la Banque d’Algérie s’est stabilisé à 157,12 dinars à l’achat et 157,15 dinars à la vente, soit les mêmes valeurs qu’hier.
Pour ce qui est de la monnaie étasunienne, un dollar s’échange dans le circuit officiel contre 138,80 dinars à l’achat et 138,82 dinars à la vente. La livre sterling est cédée contre pas moins de 185.54 dinars algériens à l’achat et 185.61 dinars algériens à la vente.
Le dollar canadien s’échange dans les cotations commerciales d’ouverture de la Banque d’Algérie du 23 au 27 décembre 2021 contre 108,25 dollars à l’achat et 180,27 dinars à la vente.
Taux de change du dinar sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle des devises, un euro s’échange toujours contre pas moins de 217 dinars algériens à l’achat et 215 dinars algériens à la vente.
Le cours du dollar sur le même marché de change s’est également stabilisé à 194 dinars à l’achat et 192 dinars à la vente.
Pour ce qui est de la monnaie de la Grande-Bretagne, un pound s’échange contre 250 dinars à l’achat et 248 dinars à la vente. Le dollar canadien vaut, par ailleurs, 148 dinars algériens à l’achat et 145 dinars algériens à la vente.
L’article Taux de change du dinar : les cotations de ce dimanche 26 décembre est apparu en premier sur .
Avec la multiplication des rapports d'escroqueries liées aux crypto-monnaies, il est essentiel de toujours vérifier la validité d'une adresse Bitcoin avant d'envoyer un paiement.
Le Bitcoin est une monnaie virtuelle décentralisée qui permet aux particuliers et aux entreprises d'envoyer et de recevoir de l'argent au-delà des frontières internationales. Sa décentralisation contribue à plusieurs avantages importants, notamment des frais de transaction moins élevés, un traitement plus rapide des paiements et la transparence. Toutefois, cette caractéristique présente également certains inconvénients, en créant une faille pour les escroqueries et autres activités financières frauduleuses.
Le réseau Bitcoin détecte automatiquement les fautes de frappe et refuse les paiements vers des adresses Bitcoin invalides. Les sites d'échange de crypto-monnaies réputés, tels que bitcoincode-fr.com disposent également d'un logiciel unique et d'autres outils analytiques pour détecter et prévenir les escroqueries. Toutefois, ces mesures ne sont pas suffisantes car de nombreuses arnaques au Bitcoin existent encore en ligne.
Voici quelques-unes des principales alternatives pour vérifier les adresses Bitcoin.
Vérifier la Base de Données "Bitcoin Abuse"
Le nombre d'escroqueries liées au Bitcoin a rapidement augmenté ces dernières années. La plupart d'entre elles demandent aux individus d'envoyer des Bitcoins à des adresses données. Par exemple, les escroqueries de type "Bitcoin giveaway" promettent des retours doubles sur le nombre de fonds envoyés à leurs adresses Bitcoin. Elles utilisent également de faux comptes de réseaux sociaux pour diffuser les escroqueries à plusieurs personnes en ligne.
La base de données "Bitcoin Abuse" vous permet de vérifier si l'adresse à laquelle vous avez l'intention d'envoyer des jetons Bitcoin a commis une escroquerie. Ce site populaire est une base de données publique, qui contient une liste des adresses Bitcoin couramment utilisées par les criminels et les pirates informatiques. Les visiteurs peuvent rechercher différentes adresses Bitcoin, signaler les adresses frauduleuses et surveiller les adresses signalées par d'autres.
Si d'autres utilisateurs ont signalé l'adresse Bitcoin que vous recherchez, le site Web affiche des informations, notamment le nombre de fois où l'adresse a été signalée. Il indique également la date et l'heure du dernier signalement, le montant total de Bitcoins qu'elle a reçu et le nombre de transactions qu'elle a effectuées. La plateforme fournit également un lien vers blockchain.info, où vous pouvez suivre les transactions liées à cette adresse Bitcoin.
Le site Web Bitcoin Abuse fournit également d'autres informations utiles, notamment le nombre d'escroqueries en Bitcoin signalées quotidiennement, hebdomadairement et mensuellement. Par exemple, en juillet 2021, la plateforme avait reçu 156 rapports quotidiens, 989 rapports hebdomadaires et 4 112 rapports mensuels d'escroqueries en Bitcoins.
Vérification des Adresses Bitcoin Grâce à "Scam Alert"
Scam Alert est également une plateforme fiable pour vérifier les adresses Bitcoin. Le site web récemment dévoilé insiste sur le fait que sa mission est de rendre la blockchain plus sûre pour tous en exposant les escrocs et les criminels qui abusent du réseau. Il encourage les utilisateurs de Bitcoin à signaler les escroqueries, les vols et les sites Web frauduleux impliquant toute crypto-monnaie et blockchain.
Scam Alert émettra immédiatement un message d'avertissement, "arnaque confirmée", chaque fois que les utilisateurs saisiront des adresses Bitcoin préalablement signalées comme frauduleuses. Il avertit également les utilisateurs de ne pas envoyer de paiements à ces adresses. Le site fournit également des informations supplémentaires, comme la description des escroqueries, les sites Web associés, le nombre de fois où les utilisateurs ont signalé une adresse Bitcoin, et ses gains globaux en dollars américains.
Contrairement à la base de données Bitcoin Abuse, Scam Alert va plus loin en fournissant des informations utiles sur les différents types d'escroqueries liées aux crypto-monnaies, notamment les systèmes de Ponzi, la sextorsion, les cadeaux, les ransomwares, le dark web et le vol. Sa liste des dix principales adresses d'escroqueries au Bitcoin indique que les escroqueries les plus réussies résultent de systèmes de Ponzi, de fausses plateformes d'échange de crypto-monnaies et de faux dons de Bitcoins. Le site Web donne également quelques conseils essentiels pour prévenir les escroqueries en crypto-monnaies.
Il existe plusieurs autres types d'escroqueries qui incitent les utilisateurs de Bitcoins peu méfiants à envoyer des fonds à des adresses particulières. Le site Web Bitcoin a déjà exposé certaines techniques, notamment Bitcoin Trader, Bitcoin Evolution, Moon Bitcoin Live et Bitcoin Loophole. Certaines escroqueries se produisent également par le biais d'emails, qui semblent légitimes avec des critiques payées sur divers sites Web et des classements Google.
La croissance prévue de la valeur des Bitcoins et la complexité des transactions en crypto-monnaies attirent continuellement les criminels qui cherchent à escroquer des personnes peu méfiantes. C'est pourquoi les experts recommandent de vérifier les adresses Bitcoin par le biais des plateformes susmentionnées avant d'effectuer toute transaction afin d'éviter les escroqueries.
Beaucoup décrivent le Bitcoin et la blockchain comme la prochaine frontière dans la lutte contre la corruption. Découvrez comment le Bitcoin peut aider à lutter contre les pratiques corrompues.
Les crypto-monnaies comme le Bitcoin ont récemment fait l'objet d'un examen sévère en tant que facilitateurs d'activités internationales illégales telles que la cybercriminalité et le blanchiment d'argent. Cependant, de multiples études et rapports de l'industrie ont également prouvé que le Bitcoin, et sa technologie sous-jacente, peuvent également servir d'outils potentiels pour lutter contre la corruption. Néanmoins, l'article suivant examinera comment le Bitcoin peut faciliter la lutte contre la corruption.
Anonymat et Discrétion
Le Bitcoin permet à ses utilisateurs d'effectuer des transactions anonymes, dans le plus grand respect de la vie privée. Sa technologie blockchain sous-jacente enregistre les détails des échanges et de la propriété des devises dans un registre numérique public. Elle stocke les données dans des clés cryptographiques sans révéler l'identité des utilisateurs réels. Même les plateformes d'échange de crypto-monnaies respectent un haut niveau d'anonymat. Cliquez ici un excellent exemple d'échanges de Bitcoins qui permettent aux individus d'échanger et de payer des biens en utilisant la crypto-monnaie de manière anonyme.
Les autorités chargées de l'application de la loi craignent que le haut niveau d'autonomie et de discrétion des transactions en Bitcoins ne les rende attrayantes pour les criminels, qui les utilisent pour échapper à l'impôt, blanchir de l'argent et commettre d'autres cybercrimes. La blockchain est l'un des systèmes les plus sûrs, mais elle peut aussi faire l'objet de cyberattaques. C'est pourquoi certains pensent que le Bitcoin pourrait encourager les actes de corruption.
Pas d'Autorité Centrale
Le Bitcoin est une monnaie décentralisée sans aucun organisme central de réglementation comme les monnaies fiduciaires. Les gouvernements ou les institutions ne peuvent pas réglementer le Bitcoin. En outre, son approvisionnement et ses transferts ne dépendent d'aucune loi gouvernementale. Cela offre des avantages substantiels, ayant un impact sur la libre circulation des capitaux dans le monde entier en raison des faibles frais de transaction et du traitement plus rapide des paiements associés au Bitcoin. Toutefois, cela pourrait créer une faille dans la corruption.
Le Bitcoin permet aux utilisateurs de déplacer de l'argent de manière transparente à travers les frontières internationales et d'effectuer diverses transactions sans aucune autorité. En outre, il protège également l'anonymat de ses utilisateurs, ce qui rend difficile la détection et le suivi des activités illégales par les enquêteurs de la police, même si elles ont de véritables raisons. Bien qu'il soit très difficile de suivre et de découvrir l'identité réelle des personnes qui effectuent des transactions en Bitcoins, les chercheurs et les experts ont prouvé que c'était possible avec les bons outils d'analyse.
La décentralisation du Bitcoin pourrait également jouer un rôle essentiel dans la lutte contre la corruption. Les transactions s'effectuent sur un réseau peer-to-peer, ce qui permet aux utilisateurs d'effectuer des transactions de manière indépendante, sans intermédiaire. Le Bitcoin peut également réduire les pratiques de corruption telles que les pots-de-vin, puisqu'il n'y a pas d'implication d'un tiers dans les transactions. La transparence et la sécurité accrues associées aux transactions en Bitcoin pourraient également contribuer à décourager les criminels d'utiliser le Bitcoin pour commettre des délits financiers.
La Technologie Blockchain
La technologie Blockchain est l'outil anti-corruption potentiel du Bitcoin qui pourrait aider les autorités chargées de l'application de la loi et les entreprises à décourager la cybercriminalité. La technologie Blockchain recueille, vérifie et compile les données et les enregistrements des transactions des utilisateurs. Elle crypte toutes les transactions Bitcoin et les adresses des utilisateurs sur un grand livre numérique permanent, accessible à tous les utilisateurs du réseau Bitcoin.
La blockchain distribue des copies du grand livre à des milliers de nœuds sur le réseau. Les nœuds vérifient constamment les uns avec les autres pour s'assurer qu'ils ont des copies similaires du registre. Ils mettent automatiquement à jour ou suppriment toute incohérence, rendant impossible à quiconque de compromettre les données. La capacité de la technologie à stocker efficacement les données dans un système décentralisé est l'un des moyens les plus efficaces de lutter contre la corruption.
La technologie sous-jacente du Bitcoin offre une sécurité et une transparence accrues dans les transactions financières. Ainsi, une réglementation appropriée pourrait permettre aux gouvernements et aux autorités de retracer les activités de corruption et les criminels dans l'espace en ligne. En outre, les données facilement disponibles sur les grands livres publics pourraient réduire considérablement les coûts d'enquête sur la fraude, le blanchiment d'argent, l'évasion fiscale et d'autres activités de corruption.
Dans l'ensemble, le cadre actuel du Bitcoin et sa technologie sous-jacente offrent des alternatives solides pour lutter contre la corruption. Toutefois, l'utilisation du Bitcoin pour lutter contre les pratiques de corruption se heurte encore à certains obstacles réglementaires.
Dans le cadre du dispositif de gestion de la crise sanitaire liée à la pandémie du Coronavirus, les services du premier ministère ont annoncé, ce samedi 25 décembre 2021, plusieurs mesures, dont l’instauration du pass sanitaire.
Dans un communiqué rendu public durant la soirée de ce samedi, le premier ministère a annoncé que le pass vaccinal est désormais exigé pour l’entrée ou la sortie du territoire national et l’accès à certains espaces, lieux et édifices affectés à usage collectif ou accueillant du public.
Ainsi, le gouvernement a décidé d’adopter une « nouvelle démarche, par l’institution d’un pass vaccinal, déjà mis en œuvre pour l’accès aux stades et salles des fêtes, et ce, comme condition d’entrée et de sortie du territoire national ».
En outre, cette mesure concerne également l’accès « à certains espaces, lieux et édifices affectés à usage collectif ou accueillant du public où se déroulent les cérémonies, fêtes et manifestations d’ordre culturel, sportif ou festif », ajoute la même source.
Les 7 espaces concernés par le pass sanitaireÀ côté des espaces et lieux de célébration de cérémonies et événements à caractère national et local, des salles, salons et foires d’exposition, des salles des fêtes et des hammams, le pass sanitaire est exigé, dans une première étape, dans 7 espaces. Il s’agit :
Par ailleurs, d’autres dispositifs seront également mis en place pour intensifier les opérations de la vaccination des fonctionnaires et certains corps des administrations et institutions publiques.
Cela touchera aussi « d’autres métiers des secteurs des services et du commerce devant être raisonnablement en première ligne en matière de vaccination et qui se trouvent plus exposés ou susceptibles d’être des vecteurs importants de contamination ».
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