Le secrétaire général du FLN Abou El-Fadhl Baâdji a tenu hier une conférence de presse dans laquelle il a fait le bilan de son parti lors des dernières élections. Malgré les résultats « satisfaisant », il n’a pas manqué de dénoncer et de lancer de graves accusations.
Lors des dernières échéances du 27 novembre, le FLN est arrivé en tête des élections avec 5978 sièges dans 124 APC à travers 42 wilayas et 471 sièges aux APW à travers 25 wilayas. Or, son secrétaire général n’a pas manqué de soulever plusieurs dépassements et des faits de fraude.
Intervenant hier lors d’une conférence de presse tenue à Alger, Baâdji a d’emblée affirmé que son parti a été victime de fraude dans plusieurs régions du pays, notamment à Alger et à Tiaret. Selon lui, sans cette fraude le FLN aurait réalisé de meilleurs résultats lors du dernier scrutin.
Soulignant que ces fraudes ont été des « comportements individuels », l’intervenant cite l’exemple de la commune de Kouba à Alger où « les résultats annoncés n’étaient pas conformes aux procès-verbaux établis à l’issue du scrutin ».
Baâdji dénonce des faits de corruptionSelon lui, c’est « les mêmes personnes qui ont usé de la fraude lors des élections législatives qui ont récidivé cette fois-ci ». À ce propos, il a demandé l’intervention de la justice qui « doit réagir et se saisir de ces dépassements ».
Plus loin encore, le SG du FLN a dénoncé comportement de certains responsables de l’autorité des élections (ANIE) qui, selon lui, « ont accepté la candidature de certains postulants déjà condamnés par la justice ».
Dans ce sens, il signale que son parti avait « refusé la candidature de certains cadres, car ils ont été déjà condamnés par la justice, mais ils étaient acceptés candidats sur d’autres listes ».
Baâdji a même accusé certains partis et listes indépendantes d’avoir usé de la corruption pour avoir des majorités dans certaines assemblées. Dans ce sillage, il déclare : « Nous ne pouvons pas chasser l’argent sale par la porte pour qu’il revienne par la fenêtre ».
L’article Locales : sorti grand gagnant, le FLN accuse et dénonce la fraude est apparu en premier sur .
Les élèves du Prytanée Militaire de Bembèrèkè et du Lycée des jeunes filles Général Mathieu Kérékou de Natitingou parmi les meilleurs aux examens de l'année 2020-2021 ont été primés.
Ordinateurs, Pockets Wi-Fi avec plusieurs mois d'abonnement et des tissus ont été offerts aux élèves du Prytanée Militaire de Bembèrèkè et du Lycée des jeunes filles Général Mathieu Kérékou de Natitingou qui ont obtenu de meilleurs résultats aux examens.
Le grand prix composé d'une moto dame, de frais de carburation et de tissus a été remis à Cristal Gaga.
La cérémonie officielle de remise des lots a été présidée par le ministre de la défense nationale Fortunet Alain Nouatin qui s'est dit fier des résultats des élèves des deux écoles militaires aux derniers examens.
« Désormais, nous mettrons la barre sur une moyenne et tous ceux qui l'atteindront ou dépasseront seront primés. Que ce soit au BEPC ou au BAC. Car beaucoup ont des mentions dans des séries mais ils n'ont pas été sélectionnés pour être primés », a indiqué le ministre de la défense nationale.
La récompense a été instituée pour encourager les élèves les plus méritants des écoles militaires. Le Prytanée fait un taux de réussite de 100% à l'examen du BEPC depuis quatre ans.
M. M.
À quelques semaines seulement du coup d’envoi de la compétition footballistique continentale, la Coupe d’Afrique des Nations, les rumeurs ne cessent de se répandre quant au report de cette 33e édition, voire son annulation.
En effet, et malgré le report de cet évènement d’une année en raison de la Covid-19, l’incertitude règne toujours concernant le bon déroulement de la prochaine Coupe d’Afrique, prévue au Cameroun du 9 janvier 2022 au 6 février, en raison de l’incapacité de ce pays d’achever les travaux liés à cet effet, dans les délais.
C’est en fait ce qui vient de confirmer l’ancien footballeur et l’ancien membre de la Confédération africaine de football, le Soudano-égyptien Abdel Moneim Hussein, surnommé « Shatta ».
Dans des déclarations accordées à la chaine égyptienne Al-Hayah TV, « Shatta » a dévoilé au public : » la délégation qui s’est rendue au Cameroun a constaté que le comité d’organisation camerounais manquait de temps pour être prêt le jour J. La FIFA a même ouvert un bureau sur place pour tenter de résoudre les problèmes « .
Une CAN au Qatar, est-elle possible ?En outre, le Soudano-égyptien n’a pas manqué de fustiger, selon lui, « le manque de considération envers le football africain », où il a clairement déclaré : » personne ne prend le continent africain en considération et le président de la FIFA aurait dû trouver une solution pour éviter que la CAN 2022 ne se joue en même temps que la Coupe du Monde des clubs. C’est un manque de respect pour la CAN et l’Afrique ! »
» Si le Cameroun n’est pas prêt à temps, aucun pays africain ne sera en mesure d’accueillir le tournoi, même s’il est reporté de trois ou quatre mois. Il faudra alors l’annuler « , a fait savoir « Shatta ».
Par ailleurs, l’ancien membre de la Confédération africaine de football n’a pas hésité à répondre à la question concernant une éventuelle délocalisation de la prochaine CAN au Qatar, où il a estimé : » tout est possible. La CAF est sous l’égide de la FIFA et seule la FIFA peut approuver la délocalisation d’un tournoi en dehors de son continent « .
L’article CAN 2021 : vers une délocalisation ? est apparu en premier sur .
Les militaires blessés lors des attaques contre les positions de l'armée béninoise et hospitalisés à l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta ont reçu la visite du ministre de la défense nationale, vendredi 03 décembre 2021.
Une délégation gouvernementale conduite par le ministre de la Défense nationale Alain Fortunet Nouatin a visité les salles où sont hospitalisés les huit (08) militaires blessés lors des attaques au nord du pays. Selon frère Florent, l'un des chirurgiens de l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta, « le pronostic vital » des militaires blessés est « bon » et « certains d'entre eux seront libérés lundi prochain ».
« L'Etat béninois fera encore davantage pour mieux vous protéger et mieux vous former contre ces types d'attaques afin que plus jamais nous n'enregistrons ces dégâts », a indiqué Alain Fortunet Nouatin. Le ministre s'est réjoui de la qualité du traitement donné aux militaires blessés dans le Centre.
Le Contre-amiral Patrick Jean-Baptiste Aho, chef d'état-major général a remercié le personnel de l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta pour sa promptitude à l'égard des soldats. Le Chef d'état-major général a déploré les deux morts survenus à l'hôpital. Les décès sont survenus certainement à cause de la perte de sang ainsi que de la distance qui sépare le lieu de l'attaque de l'hôpital qui est le plus proche. Le Contre-amiral Patrick Jean-Baptiste Aho invite les populations à fournir des informations sur tout individu ou toute activité suspecte.
M. M.
L’affaire de l’accident de train survenu le 12 octobre dernier dans les Pyrénées-Atlantiques (sud ouest) au niveau de Ciboure ôtant la vie à trois jeunes migrants, refait surface, ouvrant de nouveau une plaie incurable et pour le rescapé de l’accident et pour les familles des trois victimes décédées.
Le drame est survenu à Cibourne quand un train percute quatre migrants, causant la mort de trois d’entre elles dont un quatrième grièvement blessé. Les jeunes « harragas » se trouvaient allongées sur la voie ferrée avant la collision meurtrière.
Un nouveau rebondissement dans l’affaireLe rescapé de l’accident ferroviaire, un Algérien de 28 ans appuyé par un avocat décide aujourd’hui de déposer plainte « contre X auprès du procureur de la République de Bayonne », selon le média français Sudouest. Les familles des autres victimes et plusieurs associations ont également répondu présents. Les motifs? homicide involontaire, mise en danger de la vie d’autrui, blessure involontaire, administration de substances nuisibles.
En effet, l’avocat est interpellé par les faits. Comment se fait-il qu’ils soient tous endormis sur la voie? pour lui, il est quasi-impossible qu’il n’y est pas un d’entre-deux qui « faisait la guet ». D’autant que ces jeunes migrants faisaient la routes « ensemble » depuis plusieurs jours.
Un potentiel responsable du drame?Y’a-t-il un responsable de cet accident tragique? possible! en effet, une cinquième personne, un homme âgé de 28 ans, était selon la plainte, présent au moment du drame. mais qui a « pris la fuite » avant ou après l’accident.
Deux jours après l’accident ferroviaire, l’homme a été intercepté, à Bayonne. Il était déjà connu de la police. Un « malfaiteur » jugé pour vol avec effraction.
Lors de son audition, il dit « s’être réveillé avant ses compagnons de route », qui, eux « dormaient sur la voie ». Selon lui, c’est grâce à ces « quelques exercices » effectués (loin des rails) pour se réchauffer qu’il est aujourd’hui sain et sauf.
Ont-ils été empoisonnés ?Selon les dires du jeune rescapé, le cinquième homme a une main dans cette affaire. Il le soupçonne, on ne peut plus clair, d’avoir administré des « substances nuisibles » dans leurs boissons. Chose qui doit être confirmée après les analyses toxicologiques sur les corps des défunts migrants.
Aujourd’hui, plusieurs interrogations sont soulevées autour de ce drame. Les familles de victimes réclament une enquête approfondie pour lever les doutes qui pèsent lourdement sur cette affaire.
L’article Accident de train en France : la plaie immuable d’un rescapé algérien est apparu en premier sur .
Le Forum EPA 2021 a eu lieu les 02 et 03 décembre 2021 à l'hôtel Golden Tulip de Cotonou. Initié par le réseau EPA et cordonné par le Centre d'Actions pour l'environnement et le développement durable (ACED), le forum a réuni pendant deux jours en ligne et en présentiel, les chercheurs, les pa,,,rtenaires au développement, les organisations internationales, les organisations à but non lucratif, les acteurs du secteur privé, et les organisations de producteurs du secteur agricole.
« Connecter les données et la recherche aux politiques pour transformer le secteur agricole », c'est le thème du forum EPA 2021 (Evidences-Politiques-Actions). Il s'agit d'une initiative de l'EPA, un réseau d'acteurs et d'organisations qui promeuvent l'utilisation des données probantes dans la formulation et la mise en œuvre des politiques et des interventions. Selon le directeur exécutif de ACED, Fréjus Thoto, le forum EPA est « né du constat général qu'il existe un déficit de cadre d'interaction entre les chercheurs (universités, cabinets, instituts, etc.), les politiques (Gouvernement central et municipalités) et les praticiens du développement (Organisations non gouvernementales, partenaires au développement, secteur privé, etc.). « Pourtant cette interaction reste indispensable pour orienter les chercheurs sur les questions d'intérêt ; informer le secteur privé sur les innovations et ouvrir la voie pour leur valorisation ; et fournir aux politiques les intrants nécessaires à la formulation de politiques », a relevé Fréjus Thoto.
L'objectif du Forum EPA poursuit-il, est de créer un cadre de dialogue et de partage de connaissances entre les acteurs de la recherche, les décideurs politiques et les praticiens sur l'utilisation des données probantes dans la formulation et la mise en œuvre des politiques et des interventions dans l'agriculture, la sécurité alimentaire et la nutrition. L'ambition est de renforcer l'écosystème de production et d'utilisation des données probantes.
Mettre la recherche agricole au service du développement
Selon le directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Josué Azandégbé, le gouvernement à travers le ministère s'inscrit dans la dynamique de réformes structurelles pour pouvoir apporter le type de gouvernance nécessaire au sous-secteur de la recherche et de l'innovation.
L'interaction entre les différents acteurs de la recherche et de l'innovation permet de mettre la recherche au service du développement, a-t-il ajouté.
« Nos institutions de recherche regorgent d'innovations et de résultats de recherche qui proposent des solutions aux problèmes de développement dans plusieurs secteurs. Il s'agit de nous assurer que les résultats de recherche et d'innovations technologiques sont valorisés par les principaux utilisateurs que sont les acteurs », a affirmé le représentant du ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Il a salué les organisations non gouvernementales, notamment le centre ACED et les structures privées qui œuvrent inlassablement au développement de cette interaction entre les différents acteurs.
Procédant au lancement officiel du forum EPA, le directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Agriculture de l'Élevage et de la pêche, Abdoulaye Toko a indiqué que le volet « Agriculture » du Programme d'Actions du Gouvernement accorde un intérêt particulier à la recherche agricole comme levier de développement des innovations agricoles. Face aux défis du secteur agricole, le gouvernement mène plusieurs actions. Il y a entre autres la conduite du Recensement National de l'Agriculture (RNA), les récentes réformes au niveau de l'Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) et la mise en place du Système National de Recherche Agricole (SNRA). Abdoulaye Toko a exhorté les participants à mener des échanges fructueux devant aboutir à des actions concrètes à mettre en œuvre pour accompagner le développement de l'agriculture au Bénin.
La société civile dans la promotion de l'utilisation des données probantes
Trois sessions ont marqué la première journée de ce forum. Le président du Réseau national des ONG actives dans l'agriculture durable (RENOVA), Patrice Sewade et les secrétaires permanents Ernest Pedro et Bernadin Toto, respectivement de la Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin (PASCiB) et de la Plateforme Nationale des Organisations Paysannes et de Producteurs Agricoles du Bénin (PNOPPA) ont relevé le rôle de la société civile dans la promotion de l'utilisation des données probantes. Chercheuse dans le domaine agricole, Dr Laure Tall, directrice de recherche à IPAR Sénégal a partagé son expérience.
Lors de la deuxième session, le directeur de la recherche et de l'apprentissage du Centre ACED, Castro Gbedomon, a présenté les activités et services de l'organisation et du réseau EPA sur l'utilisation des données probantes dans le secteur agricole. Le secteur agricole n'a pas échappé aux conséquences de la crise sanitaire Covid-19. La troisième session a permis d'échanger sur l'utilisation des données et la recherche pour faire face à la crise sanitaire de la Covid-19. Elle a été animée par Massaoud Williams du Comité inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS), Donald Houessou de ACED et Donald Tchaou de Tic Agro Business Center.
Les participants ont poursuivi les échanges le vendredi 03 décembre 2021 autour de l'écosystème de l'utilisation des données probantes pour le développement agricole, la digitalisation de l'agriculture et les questions de production de données probantes.
Le Forum EPA 2021 a été également l'occasion de lancer l'initiative « des 100 questions de recherche critiques et actuelles sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle ». Il s'agit d'une initiative de ACED qui vise à élaborer 100 questions de recherche critiques et actuelles dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Ces questions de recherche seront définies avec tous les acteurs et devront répondre aux besoins réels du Bénin suivant les défis et réalités des populations.
Akpédjé A. Ayosso
A propos du Centre ACED
Le Centre d'Actions pour l'environnement et le développement durable (ACED) est une organisation à but non lucratif créée le 16 juin 2009 et reconnue officiellement le 07 avril 2010. ACED travaille sur les défis de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Bénin en combinant la recherche, les politiques et les actions locales dans le but de réduire la pauvreté et la faim, dans les communautés les plus vulnérables. Elle coordonne l'organisation du Forum EPA pour le compte du réseau EPA.
ACED dans toutes ses activités, fait l'effort de collaborer avec les acteurs de la recherche, les décideurs politiques et les praticiens du secteur agricole. Le Centre d'Actions pour l'Environnement et le Développement durable s'assure que les résultats de recherche et les données probantes sont intégrés dans la prise des décisions. Son statut lui permet d'utiliser les différents résultats de recherche directement dans ses actions au profit des communautés à la base.
Les dernières instructions émises hier par le président de la République concernant l’importation automobile sont-elles un début pour le dénouement tant attendu ? Des spécialistes affichent déjà leur optimisme quant à déblocage imminent.
Lors du Conseil des ministres tenu hier, le chef de l’État a ordonné la révision « immédiate » du cahier des charges fixant les conditions d’importation des véhicules et l’accélération de l’annonce des concessionnaires agréés.
Dans le même sillage, Tebboune a insisté sur l’impératif de fournir un réseau de services après-vente, au niveau régional et dans les grandes villes, en tant que condition pour accepter les dossiers des concessionnaires. Il a également a rappelé que la loi n’interdisait pas l’importation individuelle des voitures.
Suite à ces instructions, des spécialistes dans le domaine automobile et des défenseurs des droits du consommateur affichent déjà leur optimisme quant à l’amélioration de la situation du marché et une baisse imminente des prix qui se trouve actuellement à des niveaux exorbitants.
« Les responsables n’ont qu’à les appliquer les instructions »Pour Youcef Nebbache, le président de l’Association des concessionnaires automobiles multimarques (ACAM), « les instructions du président à ce propos sont claires et l’anarchie que vit l’est également. Ainsi, les responsables n’ont qu’à appliquer les instructions du président ».
Dans une déclaration rapportée par Ennahar, l’intervenant prévoit une baisse des prix dès le début de l’importation et la stabilité du marché. Il a également noté que « le président aborde à chaque fois ce problème et donne des instructions, par conséquent, les responsables n’ont qu’à les appliquer ».
Ainsi, il estime que « les services concernés doivent accorder les agréments aux concessionnaires qui remplissent les conditions afin d’entamer l’importation et régler le problème de l’automobile en Algérie.
Le président de l’ACAM prévoit que « les prix des voitures devront baisser de 20% avec le début de l’importation ». En outre, il reconnait que, certes « le problème de l’automobile est international, mais le marché algérien devra se stabiliser avec le retour de l’importation ».
« On s’attend au dénouement après l’intervention du président »Pour sa part, le président de l’Organisation Apoce pour la protection des consommateurs, rapporté par le même média affirme que « le feuilleton de l’importation automobile prend une tout autre dimension ». Or, il s’attend à « un dénouement après l’intervention du président ».
D’ailleurs, l’intervenant a insisté sur l’urgence de ce dénouement, d’autant que le véhicule est devenu désormais une nécessité et les prix appliqués actuellement dépassent toutes les bornes. Pour Mustapha Zebdi, libérer la situation par des mesures exceptionnelles est le seul moyen pour satisfaire le marché et répondre aux besoins des citoyens.
Dans le même sillage, il explique que l’allègement des conditions du cahier des charges d’importation de véhicules neufs permettra aux concessionnaires agréés de bénéficier de plus grandes opportunités lors de la prochaine étape de l’opération.
L’article Marché automobile : les spécialistes affichent déjà leur optimisme est apparu en premier sur .
La commission chargée de contrôle des structures de prestation de soins médicaux au cours d'un point de presse vendredi 03 décembre dernier a alerté sur l'existence de cabinets illégaux de soin sur le territoire national. Sur 20 cabinets visités dans les départements du Borgou et de l'Alibori, seulement 02 étaient en règle.
Selon le point présenté, 08 cabinets ont été fermés, et 10 par leurs promoteurs ». Le coordonnateur, Blaise Ayivi et son équipe a émis le vœu que les cabinets fermés aient « la bonne foi de se mettre en règle. Dans tous les cas, la veille est maintenue, a-t-il averti.
F. A. A.
L’économie est au cœur des défis auxquels l’Algérie fait face aujourd’hui. Entre l’incertitude qui caractérise le marché des hydrocarbures et la détérioration du pouvoir d’achat du citoyen, le gouvernement est sommé, en urgence, de trouver des sorties de crises afin d’éviter une explosion sociale dont les prémices se dessinent clairement.
Dans le cadre de la conclusion des travaux de la Conférence nationale sur la relance industrielle, le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benaberrahmane a assuré aujourd’hui, lundi 06 décembre 2021, l’engagement du gouvernement à revoir sa politique d’investissement.
10 milliards de dollars en vainAujourd’hui donc, au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif-Rahal, dans la capitale Alger, le premier ministre et ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane a déclaré que « l‘État a fourni un montant de 10 milliards de dollars aux investisseurs, mais sans que ces derniers ne créent de la richesse ou des emplois ».
C’est pour cela que le ministre a ensuite affirmé qu’il « est temps de changer de politique de soutien afin de l’orienter vers les vrais investisseurs qui le méritent ». Benabderrahmane a également déclaré que « l’État a décidé de reprendre tout l’immobilier industriel aux investisseurs fictifs et de le redistribuer sur les véritables investisseurs ».
En outre, le premier ministre a indiqué que « les prêts à l’investissement s’élevaient à 142 mille dossiers au niveau des banques en septembre 2021″ et que « les exportations hors hydrocarbures ont pu atteindre les 4 milliards de dollars au cours des 10 premiers mois de l’année en cours ».
Recenser les projets paralysésLe ministre a également confié que le gouvernement va tenter de « réviser les accords internationaux pour les mettre au service de l’économie nationale sans pour autant porter préjudice aux relations avec les pays partenaires, conformément aux instructions du Président de la République ».
Benabderrahmane a assuré qu’un comité national va être mis en place afin de « fournir des chiffres sur les projets paralysés, les noms des entreprises et leurs activités, et ce, pour évaluer les pertes économiques dues à la bureaucratie ».
Le haut responsable ajoute qu’« il y a plusieurs propriétés industrielles qui ont été concédées il y a plusieurs années et qui n’ont pas été exploitées ». Le premier homme indique que « seul un petit pourcentage de ces propriétés n’a pas été encore connecté aux réseaux d’électricité et de gaz ».
L’article Investissement : « Il est temps de changer de politique » selon le PM est apparu en premier sur .
Le Canada, qui a ouvert grand ses portes cette année pour l’immigration professionnelle et estudiantine, s’est vu épinglé récemment suite à des chiffres révélant une discrimination envers les étudiants francophones africains.
En effet, la proportion de refus de permis d’étudiant a atteint 90 % pour les Guinéens, 77 % pour les Algériens. En 5 ans, 16 000 étudiants algériens ont été refusés. Suite à quoi, plusieurs responsables ont réagi dont le ministre fédéral de l’immigration, Sean Fraser, qui a dénoncé cette situation discriminatoire, s’est montré favorable à l’augmentation de la proportion d’étudiants de l’Afrique francophone.
Raison pour laquelle le gouvernement de Justin Trudeau est pointé de doigt notamment pour les demandes destinées au Québec qui connaissent le taux de refus le plus élevé soit 80% et plus.
Trudeau réagit à la « discrimination estudiantine »Après les exhortations et les dénonciations de plusieurs responsables, le Premier ministre Canadien Justin Trudeau, connu pour ses initiatives et ses positions anti-discrimination, a reconnu la gravité de la situation inquiétante concernant le refus considérable des étudiants africains francophones, il envisage également de procéder à « un examen détaillé » pour étudier, identifier et remédier aux retombées des critères des programmes fédéraux sur la composition de l’immigration.
Reconnaissant une discrimination qui existe dans plusieurs institutions du pays, Trudeau a tenu à rappeler « nous n’allons tolérer aucune discrimination systémique », affirmant que ces dossiers et ces demandes doivent impérativement être traitées de façon équitable.
Le Canada va-t-il réussir à identifier et éliminer cette « discrimination estudiantine » ? Les étudiants algériens auront-ils plus de chance suite à cet « examen détaillé » ?
L’article Refus des étudiants Africains au Canada : Trudeau rétorque est apparu en premier sur .
À la veille de la finale du groupe D de la Coupe Arabe qui opposera l’équipe nationale A’ et son homologue égyptienne, les Verts sont déterminés et motivé plus que jamais.
Présent en conférence de presse à cet effet, le sélectionneur national Madjid Bougherra, a abordé plusieurs sujets et a traité plusieurs points.
En effet, ledit entraineur a tout d’abord commencé à parler des précédentes confrontations, où il a déclaré : » nous sommes satisfaits de notre parcours jusque-là « .
» Il nous reste désormais un match de haut niveau pour terminer premiers face à l’Égypte. Tout est là pour continuer à progresser « , poursuive-t-il.
» Les évènements de 2009 font désormais du passé » (Bougherra)Dans le même chapitre, Bougherra s’est exprimé conscient quant à l’importance de la rencontre de demain soir, dont le coup d’envoi est prévu à 20 heures (heure algérienne) : » on a toujours affronté l’équipe égyptienne dans des matchs décisifs, il y a une rivalité sportive importante. C’est un match qui doit se jouer sur l’état d’esprit avant tout, nous devrons faire preuve d’une solidarité extrême même si l’aspect tactique reste bien-sûr important « .
Lors de la même conférence de presse, le coach a également abordé le sujet relatif aux évènements de 2009, où il a souligné que ces derniers ne font plus partie de son présent : » pour moi, ce qui s’est passé en 2009, c’est définitivement du passé « .
Par ailleurs, Bougherra a précisé : » la rivalité sportive entre les deux équipes reste, bien sûr, mais ça reste et ça doit se limiter au domaine sportif. L’Algérie a récemment joué en Égypte sans problème et avec même un trophée au bout « .
L’article Algérie – Égypte : Bougherra s’exprime sur l’importance du match est apparu en premier sur .
L'arbitre béninoise Rosalie Ndah Tempa est représentée au sein de la Commission des arbitres de la Confédération africaine de football (CAF). Elle fait partie des officiels béninois à la CAN Cameroun 2021.
Grâce à son parcours brillant, la Béninoise Rosalie Ndah Tempa a été nommée au sein de la Commission des arbitres la CAF. Maîtresse coiffeuse et formatrice en coiffure, l'arbitre de football béninoise est âgée de 48 ans. Elle a retenu l'attention des responsables de la Commission centrale des arbitres de la Fédération béninoise de football lors d'un programme de formation de jeunes arbitres dans l'Atacora. Intervenue en première division au Bénin, Rosalie Ndah Tempa officie dans un match international pour la première fois en 2003. Elle a arbitré la finale de football des Jeux africains, au Nigéria.
L'arbitre béninoise a pris part notamment aux Jeux olympiques d'été de 2004 à Athènes, à la Coupe d'Afrique des Nations féminine de football 2004 en Afrique du Sud, à la Coupe du monde féminine de football des moins de 20 ans 2006 en Russie, à la Coupe d'Afrique des nations féminine de football 2006, à la Coupe d'Afrique des nations féminine de football 2008 en Guinée équatoriale.
Rosalie Ndah Tempa a également participé à la finale dame aux Jeux olympiques d'été de 2008 à Pékin, puis aux Jeux olympiques d'été de 2012. Lors de la Coupe du monde féminine de football 2007 en Chine, elle a été arbitre assistant. Elle était aussi à la Coupe du monde féminine de football 2011, à la Coupe du monde féminine de football des moins de 20 ans 2014 au Canada. En 2017, Ndah Tempa a été désignée comme l'un des meilleurs arbitres assistants du Bénin.
Coordonnatrice de l'équipe de football féminine Natitingou, elle est aussi directrice d'un Centre de formation en Coiffure.
A.A.A
Dans le cadre de l'opération sécuritaire ‘'Gbowélé'', trois (03) hors-la-loi ont été neutralisés à Akpakpa (Cotonou).
Les agents du commissariat de Tokplégbé ont intercepté une motocyclette qui remorquait trois individus aux environs de 22 heures le vendredi 03 décembre 2021. Les passagers ont pris la fuite à la vue des policiers. Les policiers se lancent à leur poursuite mais les individus suspects ouvrent le feu. Les trois suspects sont mortellement atteints lors de la riposte des policiers. Sur les corps sans vie des trois malfrats, il a été retrouvé un pistolet de fabrication artisanale, une cartouche, une machette et une clé passe partout. La motocyclette Bajaj qui remorquait les trois malfrats est sans immatriculation. Les corps des trois malfrats ont été déposés à la morgue du Centre National Hospitalier Universitaire (Cnhu). La police a ouvert des enquêtes complémentaires.
Selon les informations, les trois individus abattus appartiennent à un réseau spécialisé de vols à mains armées au quartier Akpakpa. La bande se remorque à trois sur une motocyclette pour identifier leur victime potentielle. Le réseau s'attaque ensuite à leur cible, s'empare de sa moto et/ou la dépouille de ses biens.
La mise hors d'état de nuire de trois membres du réseau fait suite aux renseignements obtenus dans le cadre de l'opération sécuritaire ‘'Gbowélé'' déclenchée par le commissariat central de Cotonou.
M. M.
Le parti d'opposition Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) a enregistré une nouvelle vague de démission, dimanche 05 décembre 2021, à Parakou. Les cinq (05) démissionnaires annoncent appartenir désormais au parti de la mouvance Bloc Républicain (BR).
Cinq membres de la coordination communale de Parakou ont déposé leur démission au parti FCBE, présidé par le chef de file de l'opposition Paul Hounkpè. Il s'agit de Mare Bio Abdoulaye, Secrétaire général de la coordination communale, de Sare Boni Khoda Mashoud, coordonnateur zone A du 3ème arrondissement ; Bio Pibou Gounou Soulé, coordonnateur zone B du 3ème Arrondissement ; Esse urbain, Chef de la cellule de communication du bureau communal et Adambi Assimiou, secrétaire exécutif adjoint communal. C'est à travers une déclaration, dimanche 05 décembre 2021, à la presse. « Nous, membres du bureau communal des FCBE Parakou, annonçons notre démission au profit du Bloc Républicain. (...) », ont indiqué les démissionnaires dans une déclaration lue par Bio Abdoulaye Maré.
Les démissionnaires ont salué le chef de l'Etat Patrice Talon « pour les œuvres salvatrices amorcées jusqu'ici ».
M. M.
Au moment où l’Europe fait face à la menace du variant Omicron, l’Algérie quant à elle se concentre sur le variant Delta, qui demeure la souche dominante de la covid-19. Malgré le taux de vaccination assez faible, les Algériens, après les 3 vague consécutif de la pandémie, ont quand même acquis une certaine immunité cillective naturelle.
Peut-on toutefois miser sur cette immunité naturelle pour faire face à la prochaine vague ? Selon le Professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d’immunologie clinique, une étude a déjà été menée par ses services à l’hôpital de Rouiba afin de calculer le taux de l’immunité collective.
Répondant à une question posée par nos confrères du quotidien le Soir d’Algérie, le Pr Kamel Djenouhat a soutenu que « non, nous n’avons pas encore atteint l’immunité collective ». Pour ce spécialiste, l’Algérie est encore loin de pouvoir miser sur son immunité collective naturelle et ce « malgré le nombre de cas très élevé enregistré lors des vagues précédentes ».
Le Professeur Djenouhat ajoute que selon les résultats préliminaires d’une étude que son équipe est en train de réaliser au niveau de l’hôpital de Rouiba, « le taux de l’immunité collective est aux alentours de 65 à 68% ». Un chiffre que le spécialiste juge insuffisant vu « les nouvelles valeurs de l’immunité collective imposées par les nouveaux variants qui sont de 90 à 95% », précise le même spécialiste.
Variant Omicron, une menace sur l’Algérie ?Concernant le variant Omicron, Le Pr Djenouhat a affirmé que son émergence est certainement due au manque de vaccination. Il confie que « l’Afrique représente le continent le moins vacciné dans le monde avec un taux de couverture vaccinale qui n’excède pas les 10% ». Le spécialiste rappelle qu’avant qu’Omicron ne voit le jour, « les variants, qu’ils soient «préoccupants» ou «d’intérêts», ont émergé en Inde, en Colombie, en Équateur et au Pérou, tous ces pays avaient à l’époque un taux de couverture vaccinale très bas ».
À propos de la dangerosité du variant Omicron, le président de la Société algérienne d’immunologie clinique a affirmé que quand un variant dispose de « 50 mutations dont 32 touchent la protéine Spike et parmi lesquelles 10 concernent le domaine RBD, la partie ciblée par les anticorps protecteurs secondaires à l’infection naturelle ou au vaccin, on est en face d’une situation inquiétante. »
Comparativement au variant Delta, le spécialiste affirme que « chez les sujets ayant déjà contracté l’infection Covid-19, le taux de réinfection par le variant Omicron est trois fois supérieur à celui des variants Delta ou Alpha » avant de nuancer précisant qu’il s’agit d’un « d’un constat clinique sans preuve biologique » établi par une publication sud-africaine parue ce vendredi ».
L’Algérie, comme tous les pays du monde, ne va pas échapper à ce variant, estime le Pr Djenouhat. Le spécialiste affirme que « aucun pays ne va échapper à ce variant, pour la simple raison qu’il est déjà sorti de l’Afrique australe ».
L’article Omicron et immunité collective : la mise au point du Pr Djenouhat est apparu en premier sur .
Bonne et heureuse nouvelle pour tous les Algériens, notamment le public sportif et les amoureux du ballon rond : « le ministre du Bonheur », Djamel Belmadi, est désormais classé quatrième dans la liste des meilleurs entraineurs dans le monde.
En effet, le sélectionneur national Belmadi a été nominé dernièrement, par la Fédération Internationale de l’Histoire du Football et des Statistiques (IFFHS), pour le Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021.
Cette nomination est intervenue à la suite des grands résultats ainsi que les nombreux titres obtenus par les Fennecs, et ce, depuis que Belmadi est arrivé à la tête du staff technique de l’équipe nationale en août 2018.
Le coach a mené ses joueurs à remporter le fameux trophée de la Coupe d’Afrique des Nations 2019 en Égypte et une sacrée série de 33 matchs sans défaite.
Djamel Belmadi occupe désormais la quatrième placeSur ce, la Fédération internationale d’histoire et de statistiques du football (IFFHS), qui est une organisation d’études historiques et statistiques sur le football, créée en 1984, a classé Djamel Belmadi quatrième, avec un score de 15 points, tout comme son homologue brésilien Tite.
Pour le prestigieux Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021, il est obtenu par l’italien Roberto Mancini, avec 225 points. On trouve également dans la deuxième place l’Argentin Lionel Scaloni qui a eu 30 points, et le Français Didier Deshamps dans la troisième place, juste avant Djamel Belmadi, avec une différence de 10 points, soit 25 points.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que le sélectionneur français Didier Deschamps a décroché ledit titre de l’année dernière.
L’article Meilleur entraineur dans le monde 2021 : Belmadi dans le top 5 est apparu en premier sur .
On a tous vu et entendu parler des harragas qui prennent le large avec leurs enfants, fuyant un quotidien douloureux à travers un risque sans pareil, espérant pour eux et pour leurs enfants une vie nouvelle, différente et meilleure. A leur grande et triste surprise, ils se retrouvent dans des situations déplorables.
Ces algériens vivant « en noir » sur le territoire français, survivent tant bien que mal. A l’exemple de certains qui se retrouvent sans-logis à Toulouse. « Un toit, c’est la loi », voici la phrase que les 39 sans-abri dont 21 enfants en bas âge (dont des algériens) ont choisi de mettre à l’entrée d’un gymnase situé sur la place de la basilique Saint-Sernin, au centre-ville de Toulouse, à 500 mètres de la place du Capitole. Ces sans-abri ont y trouvé refuge à leur corps défendant, face à l’inertie des autorités et dans l’impitoyable froid du mois de décembre.
C’est là où Yamna, une algérienne de 43 ans y vit avec son conjoint et ses trois enfants ages de 7 à 17 ans, et ce, après son arrivée d’Algérie il y trois mois. Malgré la situation pour le moins qu’on puisse dire, difficile, Yamna raconte avec le sourire « depuis des semaines nous dormions dans la rue, un peu partout dans Toulouse. C’est bien Toulouse mais dehors il fait trop froid. Ici, on est mieux« .
Les associations se mobilisentPlusieurs associations se mobilisent pour trouver une solution pour ces sans-abri et soutiennent par la même occasion cette occupation, notamment vu l’omniprésence des enfants vivant dans de telles conditions. Le collectif droit au logement (DAL) a déploré « les autorités ne font rien, ces familles dorment à la rue depuis plusieurs semaines« . Selon le même collectif, 250 personnes dorment encore dehors à Toulouse.
Les harragas algériens sont plus exposés à de telles conditions, d’autant plus que leur situation irrégulière ne leur permet pas de bénéficier des aides de l’Etat.
L’article France : délaissés, des Algériens s’abritent dans un gymnase est apparu en premier sur .
Le gouvernement s’apprête à ouvrir les capitaux des banques publiques dès le début de l’année prochaine. Cette démarche intervient dans le cadre de la révision du système de gouvernance des entreprises publiques.
L’annonce a été faite hier par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane lors d’une intervention au niveau des quatre ateliers organisés dans le cadre de la Conférence nationale sur la relance industrielle.
Selon lui, l’ouverture des capitaux de banques publiques interviendra à l’entame de l’année 2022. À cet effet, il réitère la nécessité de la révision du système de gouvernance des entreprises publiques, dont la situation économique actuelle est en deçà des aspirations.
Ainsi, l’intervenant précise que ce changement dans le mode de gouvernance auprès des entreprises publiques sera opéré, à la faveur de l’octroi de davantage de prérogatives aux conseils sociaux, notamment les conseils d’administration. Cela aura pour but d’introduire une gestion efficace dans ces entreprises.
Entre autres dispositions à adopter dans le cadre du nouveau mode de gestion adopté par le Gouvernement, le PM cite « la soumission des gestionnaires à une évaluation périodique, semestrielle et annuelle pour évaluer l’efficacité du processus de gestion ».
L’importance d’améliorer les mécanismes de gestion de la bourse d’AlgerDans les détails, le premier responsable au gouvernement souligne que le capital de certaines entreprises publiques sera ouvert via la bourse. Il a également mis l’accent sur l’importance d’améliorer les mécanismes de gestion de la bourse d’Alger et lui conférer un rôle important.
Dans le même sillage, Benabderrahmane a indiqué que le gouvernement trouvera d’autres outils pour le financement des entreprises publiques, et ce, en vue d’alléger la charge sur le trésor public.
À ce propos, il explique que la contribution de l’État à l’assainissement des entreprises publiques en difficulté a dépassé à ce jour 2.900 milliards de DA.
L’article Banques publiques : l’ouverture des capitaux se précise est apparu en premier sur .
Incendie au marché international de Malanville dans la soirée du dimanche 05 décembre 2021. Plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés dans cet incendie.
Aux environs de 19h30, un incendie s'est déclaré au marché international de Malanville au niveau des vendeurs de colas. Les causes de l'incendie ne sont pas connues. Plusieurs boutiques ont été détruites par les flammes. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée. Il a fallu des heures aux sapeurs-pompiers pour maîtriser l'incendie.
A.A.A