C'est la direction de la communication de la présidence du Faso qui a livré l'information : le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a reçu, le lundi 15 mars 2021, dans la matinée, le chargé des relations internationales de la Communauté Sant'Egidio, Mario Giro. L'entretien entre les deux hommes a porté sur l'accompagnement que pourrait apporter la Communauté au processus de réconciliation nationale.
Mario Giro, de son côté, parle non seulement de « réconciliation » mais également de « dialogue national ». Si Sant'Egidio vient ainsi à la rescousse du Burkina Faso, c'est que la Communauté a « une expérience en la matière ». C'est le moins que l'on puisse dire même si la « diplomatie parallèle » menée par la Communauté est encore, pour l'essentiel, une diplomatie sinon secrète tout au moins particulièrement discrète. Mario Giro, quant à lui, préfère évoquer « l'humilité qui sied à son environnement et à son engagement religieux ».
Depuis quelques décennies, la Communauté Sant'Egidio s'est imposée comme « un des lieux d'influence les plus fascinants et les plus singuliers de la planète ». On dit d'elle qu'elle est une « société discrète » détenant un « pouvoir énorme ». C'est que Sant'Egidio n'est jamais sur le devant de la scène. Malgré le ballet anachronique des limousines dans le Trastevere, le quartier populaire, populeux et encore authentique, au sud-ouest de Rome, où se trouve la Piazza di Sant'Egidio qui a donné son nom à la Communauté.
C'est en 1968 que Andrea Riccardi, dix-sept ans, fils d'un directeur de banque, appartenant à l'Eglise catholique mais ne « pratiquant » pas, entendait refuser l'injustice sociale sans pour autant militer au sein du PCI, le parti communiste italien. Sur ce mot d'ordre, il s'efforcera de mobiliser les fils de la bourgeoisie romaine fréquentant le collège Virgile. En 1973, le groupe s'installera à Sant'Egidio. L'église du XVIIè siècle, propriété de l'Etat italien, était vide. Et les carmélites avaient abandonné le couvent attenant.
Sant'Egidio, dans ce quartier très populaire, deviendra un pôle autour duquel s'organiseront des actions « bienfaitrices » en faveur des pauvres et des démunis. Un « Resto du Cœur » Made in Italia. C'est-à-dire « dans l'esprit œcuménique du concile Vatican II », inauguré le 11 octobre 1962 par le pape Jean XXIII et qui s'achèvera le 8 décembre 1965.
Aujourd'hui, la Communauté revendique des dizaines de milliers de membres répartis dans une soixantaine de pays, principalement en Afrique. Sant'Egidio se veut un « médiateur par défaut ». « Nous faisons ce que personne ne veut faire, dit un responsable de la Communauté. Nous pouvons aller au-delà de la diplomatie officielle, il s'agit de faire dialoguer des gens qui se considèrent comme des ennemis ».
Indépendance, disponibilité, ouverture d'esprit, expérience du terrain, austérité de mœurs, les « diplomates » de Sant'Egidio jouent, également, de l'image mi-laïque, mi religieuse qui est la leur. La Communauté regroupe essentiellement des laïcs. Mais les prêtres y jouent un rôle majeur. Quelques pères fondateurs appartiennent désormais à la plus haute hiérarchie catholique. Et la pratique religieuse y est permanente. Pour autant, Sant'Egidio a « comme principe, dans les actions qu'elle mène en faveur de la paix, de n'établir aucune séparation ni confusion avec l'action propre du Saint-Siège ».
Trouver un équilibre entre justice et paix
Mario Giro, qui a été reçu par le président du Faso, avait accepté, fin 2008, de recevoir Anne Dalaine, l'envoyée spéciale à Rome de La Dépêche Diplomatique. Il est aujourd'hui âgé d'une bonne soixantaine d'années et a accru son expérience des médiations internationales. Il a rencontré les pionniers de Sant'Egidio alors qu'il était encore au collège. Il ne les a plus quittés et a connu son épouse au sein de la Communauté.
Mario Giro, qui maîtrise parfaitement le français, a obtenu une maîtrise en histoire économique. Au civil, il occupait un poste de syndicaliste au département international du bureau national du CISL (l'équivalent de la CFDT française) et il était membre du conseil scientifique de l'Unesco à Rome. Son activité de médiateur, il l'avait débutée en 1990 dans le cadre du conflit mozambicain. « Mon rôle est d'abord et avant tout d'amener les belligérants à se parler entre eux », résumait-il en 2008. Il insistait sur la nécessité d'être patient, parce que la gestion du temps, en période de guerre, est obligatoirement différente de celle en temps de paix. Il disait qu'il fallait aussi accepter un échec : « Forcer un accord n'a pas de sens. L'imposition de la paix ne marche jamais ».
Sant'Egidio a été souvent placée à gauche sur l'échiquier politique italien (Andrea Riccardi, le fondateur de la Communauté, a été ministre de la Coopération internationale et de l'Intégration de novembre 2011 à avril 2013 dans le gouvernement Mario Monti, un anti-populiste). Un positionnement que Mario Giro ne revendiquait pas : « Qu'est-ce que la gauche ? déclarait-il à Anne Dalaine. Honnêtement, je ne le sais pas. Si c'est accepter le mariage homosexuel, je n'en suis pas. Si c'est vouloir une vraie politique sociale, alors OK ».
Cinq règles encadrent la vie de la Communauté : la prière (celle du samedi soir attire, dit-on, la foule), la propagation de l'Evangile, la solidarité, l'œcuménisme et le dialogue.
Les médiations de Sant'Egidio n'ont pas toutes été couronnées de succès. Mais c'est sur le long terme qu'il faut juger de leur impact. Mario Giro a, quant à lui, été impliqué dans le dossier ivoirien lors de la guerre des chefs, le siège régional de la Communauté se trouvant à Abidjan et le pays comptant plus de mille membres. Il était fier de ce que Sant'Egidio ne soit pas partie de la Côte d'Ivoire alors que la communauté française – pour laquelle il ne cachait pas son mépris – avait pris la fuite (Sant'Egiodio a été lauréate du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix en 2001).
Dans le dossier du Darfour, il a été amené à collaborer avec Djibrill Bassolé, qui a été le médiateur officiel de l'Onu et de l'UA. Il entretenait d'ailleurs des relations fortes avec le Burkina Faso (il a notamment mis en place le programme Bravo d'enregistrement des naissances d'enfants burkinabè). Au sujet du Soudan et du dossier du Darfour, il avait qualifié d'erreur la mise en accusation du président Omar el-Béchir par le Tribunal pénal international (TPI) : « C'est dangereux, disait-il alors. Le Soudan est un grand pays qui ne doit pas être déstabilisé et el-Béchir est un homme très intelligent, qui sait faire de la politique ! La relation entre justice et paix est toujours compliquée. Il y a un équilibre à trouver. Mais quoi qu'il en soit, le problème doit être affronté sans passion ».
Trouver un équilibre entre justice et paix c'est, aussi, sans doute, la clé de la réconciliation que le Burkina Faso dit vouloir entreprendre.
Jean-Pierre Béjot
La Ferme de Malassis (France)
18 mars 2021
L'association Semfilms à travers Ciné Droit Libre et SOS Faim organisent du 25 au 27 mars 2021 un festival de films dénommé « festival alimenterre » à l'espace Culturel Gambidi.
Trois thèmes sont inscrits au programme. Pour le premier jour (25 mars), on parlera de « environnement et agriculture ». Le deuxième jour sera consacré à la thématique suivante : « agriculture familiale et agroécologie ». Et le « foncier face à l'accaparement des terres cultivables autour des grands centres urbains » constitue le troisième thème du dernier jour, le samedi 27 mars 2021.
Une diversité d'activités est prévue. Il s'agira des panels, des projections-débats, des expositions-ventes, des visites guidées, des rencontres, des concerts, un master class, des fora, etc. cette toute première édition est parrainée par Yacouba SAWADOGO, le Prix Nobel Alternatif et Champion de la terre.
Ce festival est dédié à l'agriculture pour soutenir un paradigme alternatif mondial plus juste pour la population au travers d'un modèle agricole plus équitable et plus respectueux de l'environnement qui mise sur les exploitations familiales pour relever le défi alimentaire et lutter contre la pauvreté (au Burkina Faso). C'est une invite à aller vers cette forme d'agriculture ‘'saine'' pour les consommateurs mais aussi qui protège l'environnement.
C'est aussi l'occasion de faire la promotion de la souveraineté alimentaire et de parler de l'autosuffisance alimentaire dans nos pays. Il est temps de se prendre en charge par nos pratiques et méthodes culturales. Nous en sommes capables. Il suffit de s'y engager, avoir la volonté.
Au chapitre des activités, les festivaliers auront droit à visiter des expositions-ventes et ce, durant les trois jours. Ainsi, chaque jour de 10h à 20h à l'Espace culturel Gambidi, il sera exposé des produits de l'agroécologie mais aussi une animation des stands par des organisations paysannes et des ONG de promotion de l'agroécologie et de l'agriculture familiale.
Au cours de cette exposition, il est prévu la dégustation des mets locaux à base des produits transformés. Ce marché sera animé par plus d'une trentaine d'exposants qui ont un savoir-faire en la matière. Tout est mis en œuvre pour satisfaire vos papilles avec des dégustations qui sont l'œuvre des mains expertes.
Ce festival se déroulera sous le format un thème – un film - un débat – un plateau musical et ce, chaque jour du 25 au 27 mars à l'espace Culturel Gambidi.
Bon festival à toutes et à tous !
Contacts utiles :
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70104102
79628198
Le 15 mars 2021, le Mali perdait trente-trois de ses soldats dans une embuscade tendue par l'état islamique près de Tessit. Si ce malheur appelle évidemment beaucoup d'interrogations, c'est bien l'hommage qui leur a été rendu et surtout le combat que mènent nos soldats pour stabiliser le pays qu'il faut retenir. Quant au groupe terroriste même s'il a réussi son embuscade, il n'a pas pour autant gagné la guerre !
L'émotion qu'a suscité cette tragédie est immense, le pays n'avait pas connu pareil bilan depuis des mois. Le deuil national décrété pour trois jours révèle d'une part la gravité de cet évènement mais surtout la reconnaissance de tout une nation à ses soldats tombés pour l'honneur du drapeau et la protection de la nation malienne.
Nous ne devons pas pour autant laisser cette épreuve occulter les succès de plus en plus nombreux que remportent nos soldats sur les terroristes. Nos forces armées sont la pierre angulaire de la sécurité et de la stabilité attendus par la population depuis déjà trop longtemps. Sans une armée professionnelle, bien entrainée, bien équipée et surtout bien dirigée, il est impossible que nous sortions de cette spirale.
Il est impossible que nos villages soient un jour libérés de ces hommes qui veulent faire de notre pays un nouveau califat. Bien sûr, la stabilité de notre pays est conditionnée par la réimplantation des services de l'état dans tous nos territoires, le retour des écoles, des centres de santé, des administrations…. Nos forces de défense et de sécurité qui poursuivent leur montée en puissance ne peuvent à elles seules réparer ce qui a été détruit depuis tant d'années, mais sans leur implication totale et sans unité de la nation, aucune reconstruction n'est possible.
Les djihadistes ont parfaitement compris que les FAMa accompagnées de nos partenaires étrangers sont les seuls capables d'empêcher leur velléité d'expansion. Et c'est bien l'efficacité grandissante de nos soldats qui a poussé ces terroristes de l'EIGS à frapper à Tessit. La présence de nos forces les prive de leur liberté de mouvement, de leur liberté de prédation sur les populations. Ils ont donc voulu marquer les esprits pensant prendre un ascendant psychologique qui pousserait nos soldats à rester dans leurs casernes. Mais c'est bien l'inverse qui va se produire. Lors de l'hommage rendu à nos martyrs, le ministre de la Défense et des Anciens Combattants l'a réaffirmé : « Ce sacrifice ne sera pas vain. L'engagement et la détermination des Forces de défense et de Sécurité ne faiblira jamais ».
Paradoxalement, cette tragique attaque révèle bien que le combat des FAMa est le bon. Une fois l'émotion passée, nos soldats vont reprendre leur mission. Alors ils vont continuer à traquer les djihadistes, les pousser à se cacher, à fuir, les empêcher de soumettre tout un pays à leur idéologie mortifère et rétrograde.
Dans cette période où le Mali voit tant de réformes se mettre en place pour lui assurer un avenir meilleur, nos FAMa ont plus que jamais besoin du soutien indéfectible de toute la nation. Ils continueront à risquer leur vie et certains se sacrifieront pour que chaque malien puisse vivre libre en toute sécurité. Les djihadistes ont peut-être réussi leur embuscade mais ils sont loin d'avoir gagné la guerre et désormais ils ont face à eux une armée plus que jamais motivée à les terrasser.
Idrissa Khalou
@IKhalou
‘'A ALLAH nous appartenons et vers lui nous retournerons''
Les grandes familles BA, HAMA et MARCEL à Bani, Ouagadougou, Bagassi et Niamey ;
Les familles alliées KOITA, SANGO, DAYO, CONGO, PODA, OUEDRAOGO et LY à Ouagadougou, Antananarivo, Djibo, Zabré, Dedougou, Manga, Ouessa, Louda et Sebba
Le veuf El Hadj Amadou BA, Inspecteur des Postes à la retraite, ses enfants : Hama, Hamidou, Fatimata, Boubakar, Abdel Kader, Souaibou, Oumarou et leurs épouses et époux, ses petits enfants,
Très touchés par les marques de compassion, de solidarité et de sympathie, vous remercient très sincèrement pour vos soutiens multiformes lors du rappel à ALLAH le 28 novembre 2020 et de l'inhumation le même jour à Bani de leur bien-aimée épouse, mère, grand mère, fille, petite fille, belle fille, belle-mère, tante et cousine Hadja Kouboura BA née HAMA, affectueusement appelée Inna.
Ils remercient particulièrement :
Les autorités politiques, administratives, militaires, religieuses et coutumières de la région du Centre, Les autorités politiques, administratives, militaires, religieuses et coutumières de la région du Plateau Central,
Les autorités politiques, administratives, militaires, religieuses et coutumières de la région du Sahel,
Les responsables, le personnel, et les retraités de la SONAPOST,
Les responsables et le personnel de I am Gold Essakane S.A,
Les responsables et le personnel de la Direction Générale des Impôts,
Les responsables et le personnel du Ministère de l'Industrie du Commerce et de l'artisanat,
Les responsables et le personnel du Ministère de la Jeunesse, de la Promotion de l'entrepreneuriat et de l'Emploi,
Les responsables et le personnel de CANAL+ Burkina et Orange Burkina Faso S.A,
Le personnel de l'ANPTIC, de Microfinance Yaaba, de Telecel Faso, Les voisins de Cissin ex secteur 17,
Les fidèles musulmans de la mosquée de Cissin ex secteur 17,
La communauté musulmane de Saaba, -La communauté de Bani vivant à Ouagadougou,
Les populations de Bani et de la région du Sahel,
Les médecins et le personnel de la Clinique saint Jérémie et du CHU de Bogodogo,
Les familles amies,
Les amis, collègues et ex collègues de Hama, Hamidou, Fatimata, Boubakar, Abdel Kader, Souaibou et Oumarou
et tous ceux qui de près ou de loin n'ont ménagé aucun effort pour soutenir la famillle endeuillée durant cette dure épreuve.
Ils se réservent de citer des noms de peur d'en oublier.
Qu'ALLAH vous le rende au centuple
la ilaha illallah mohammed rassoul allah.
L'OCADES Caritas Burkina recherche une société chargée du Transfert monétaire au profit des ménages vulnérables affectés par les crises alimentaires et sécuritaires dans les régions de la Boucle du Mouhoun (communes de Di et de Kiembara), du Centre-Nord (communes de Bourzanga et de Kongoussi) et de l'Est (communes de Diapaga et de Kantchari) du Burkina Faso.
I- CONDITIONS EXIGEES RELATIVES A L'OFFRE
Sont appelées à soumissionner toutes les personnes physiques ou morales pouvant remplir les conditions suivantes :
Disposer d'un large réseau de points de retraits de qualité, au cœur des zones cibles, pour garantir la disponibilité de la liquidité et des capacités d'accueil satisfaisantes ;
disposer d'un système de paiement accessibles quel qu'en soit le profil du bénéficiaire : aucun instrument de paiement n'est à imposer (téléphone, carte SIM, ou autre) ;
garantir la sécurité des transactions en fiduciaire, en monnaie électronique, ainsi que des facilités de réconciliation des flux ;
aucun frais de retrait ne doit être appliqué aux bénéficiaires finaux des transactions ;
disposer d'un système permettant le suivi et la traçabilité des opérateurs même à distance par l'équipe du projet ;
disposer d'un système permettant une gestion efficace des paiements en masse aux bénéficiaires et un monitoring des opérations en temps réel.
II- COMPOSITION DU DOSSIER
Le dossier sera composé :
D'une demande de candidature adressée à Monsieur le Secrétaire Général de l'OCADES Caritas Burkina ;
des documents attestant l'expérience dans des prestataires similaires ;
des documents attestant la présence, la représentation de l'opérateur dans les localités ci-dessus mentionnées ;
des documents attestant la légalité de l'institution ;
une offre technique précisant la modalité des interventions ;
une offre financière précisant les montants.
Par le présent avis, les prestataires intéressés sont invités à soumettre leurs meilleures offres techniques et financières pour la sélection d'une société chargée du Transfert monétaire au profit des ménages vulnérables des régions de la Boucle du Mouhoun, du Centre-Nord et de l'Est conformément aux conditions précisées dans les TDRs disponibles au Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina, moyennant le paiement d'un montant forfaitaire non remboursable de mille (10.000) FCFA.
Les offres établies en trois (03) exemplaires dont un original plus deux (02) copies marquées comme tels et dûment signées, devront parvenir sous plis fermé au Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina, situé au sein du Centre National Cardinal Paul Zoungrana 01 BP. 1195 Ouagadougou 01 ; Tél. (226) 25-37-00-34) au plus tard le mercredi 06 avril 2021 à 16h00mn.
Le pli fermé devra porter la mention suivante : [Réponse au dossier d'Appel d'offre pour la sélection d'une société chargée du Transfert monétaire au profit des ménages PDIs, hôtes et résidents vulnérables]. A n'ouvrir qu'en séance de dépouillement.
Les soumissionnaires resteront engagés par leurs propositions financières pour un délai maximum de 21 jours, à compter de la date limite de dépôt des offres.
Le Secrétaire Général de l'OCADES Caritas Burkina se réserve le droit de ne donner aucune suite au présent appel s'il juge les offres insuffisantes.
Ouagadougou le 18 mars 2021.
Le Secrétaire Général
Abbé Constantin Safanité SERE
Le Burkina Faso vit une situation sécuritaire et humanitaire complexe qui s'est rapidement détériorée dans les régions du Nord, du Centre-Nord, du Sahel et de la Boucle du Mouhoun. Cette dégradation a entrainé un accroissement substantiel des déplacements internes et aggravé l'accès déjà très limité aux services sociaux de base. C'est dans ce sens, que le Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina a mobilisé auprès de son partenaire Cordaid, une enveloppe financière au profit des populations de la commune de TITAO dans le diocèse de Ouahigouya.
A l'issu de la mise en œuvre du projet, le Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina recherche un auditeur externe (cabinet) pour l'audit des comptes.
I- CONDITIONS A REMPLIR
Le consultant doit :
Être un Cabinet d'Audit et d'Expertise Comptable de réputation internationale, indépendant et faisant profession habituelle de réviser les comptes ;
être régulièrement inscrit au Tableau d'un Ordre des Experts Comptables reconnu par l'IFAC ou la FIDEF ;
avoir une expérience confirmée en audit financier des projets de développement et acceptable par l'IDA.
II- QUALITE DE L'AUDITEUR
Le Consultant doit être un Cabinet d'Audit et d'Expertise Comptable de réputation internationale, indépendant et faisant profession habituelle de réviser les comptes, régulièrement inscrit au Tableau d'un Ordre des Experts Comptables reconnu par l'IFAC ou la FIDEF, ayant une expérience confirmée en audit financier des projets de développement et acceptable par l'IDA. Le personnel clé de la mission devra comporter au moins :
Un Expert-Comptable, Diplômé justifiant d'au moins 10 ans d'expérience d'audit financier et ayant une bonne connaissance des procédures de gestion administrative, financière et comptable et audits des projets financés par les partenaires au développement ;
un Chef de mission ayant au moins un diplôme niveau BAC + 5 ou plus en audit, comptabilité et justifiant d'une expérience de 10 ans au moins d'audit financier ; institution de développement ou à un poste de spécialiste de passation de marché dans un projet et familier aux procédures de passation de marché.
Les propositions techniques et financières doivent parvenir au Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina située au sein du Centre National Cardinal Paul ZOUNGRANA (01 BP.1195 Ouagadougou ; Tél. (226) 25-37-00-34) au plus tard le 29/03/2021 sous plis fermé à 15 heures 00 GMT ; avec comme mention : « Sélection d'un auditeur externe (cabinet) pour l'audit des comptes du projet « Assistance alimentaire d'urgence au profit de 400 ménages PDIs et hôtes vulnérables affectés par la crise sécuritaire et alimentaire dans la commune de Titao dans la région du Nord au Burkina Faso ».
Le Secrétaire Général
Abbé Constantin S. SERE
Les répercussions du changement climatique sur l'approvisionnement en eau des personnes ne sont pas suffisamment considérées ; elles menacent de faire reculer de plusieurs dizaines d'années les progrès visant à garantir l'accès universel à l'eau salubre si des mesures ne sont pas instamment prises pour aider les communautés les plus démunies au monde à s'adapter aux variations climatiques.
Le dernier rapport en date de WaterAid, « Changer le cours des choses : L'état de l'eau dans le monde 2021 », indique de quelle manière les personnes sont dépourvues d'un accès à l'eau potable à mesure que des sécheresses toujours plus longues tarissent les sources, que l'eau de mer s'infiltre dans les nappes d'eaux souterraines et que des glissements de terrain emportent les pompes à eau. L'organisation de développement international montre qu'investir dans des systèmes hydrologiques qui assurent un approvisionnement fiable, quelles que soient les conditions météorologiques, constitue une ligne de défense robuste contre les conséquences du changement climatique.
Dans le cadre de la lutte cruciale pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre actuelles et futures dans le monde, la situation à laquelle sont aujourd'hui confrontés les pays les plus touchés par les effets du changement climatique n'a reçu que peu de considération ou d'investissements. WaterAid, une organisation internationale à but non lucratif, exhorte les gouvernements à accorder une plus grande priorité à l'eau dans leurs plans d'action en matière climatique.
S'ils ne bénéficient pas d'un meilleur accès à l'eau potable, les populations sont condamnées à passer leur vie à endurer les maladies, la pauvreté et l'interminable corvée pour chercher de l'eau. Dans le monde, il est estimé que les femmes et les filles consacrent déjà collectivement près de 200 millions d'heures par an, soit près de 23 000 ans, à marcher pour aller chercher de l'eau.
Pour le dixième de la population mondiale qui n'a pas accès à l'eau potable à proximité de son domicile, le temps consacré à la collecte de l'eau ou à se remettre d'une maladie due à une eau insalubre, est autant de temps perdu que des communautés entières auraient pu mettre à profit pour bâtir un avenir meilleur. Mais au Burkina Faso, au 31 décembre 2020 seulement 76,4% de la population ont accès à l'eau potable, soit 23, 6% de la population qui n'ont pas accès à l'eau potable.
En matière d'eau, le changement climatique agit comme un multiplicateur de dangers ; il exacerbe les problèmes liés à la mauvaise gestion des ressources en eau, au manque de volonté politique et à l'insuffisance des investissements. Dans le cadre du scénario climatique actuel, il est estimé que la pénurie d'eau engendrera le déplacement de 24 à 700 millions de personnes d'ici à 2030 .
Actuellement, seuls 5 % de l'ensemble des fonds mondiaux destinés à financer l'action climatique sont destinés à aider les pays à s'adapter aux effets des variations climatiques, et ces fonds ne sont pas alloués en priorité aux communautés les plus vulnérables face au changement climatique. L'investissement destiné à veiller à ce que tous les individus, quel que soit leur lieu de résidence, bénéficient d'un accès à une source d'eau potable fiable afin d'aider les communautés à renforcer leur résilience au changement climatique est particulièrement inadapté au regard de la crise grandissante : certains des pays les plus vulnérables face au changement climatique ne perçoivent qu'un investissement de 1 dollar US par an et par personne à cet effet.
Le 31 mars, le gouvernement britannique organisera une manifestation virtuelle sur le thème du climat et du développement pour créer une dynamique, dans l'optique de la tenue cette année de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de Glasgow (COP26). WaterAid Burkina Faso, invite également les gouvernements des pays à revenu faible et intermédiaire à prendre des mesures pour faire face aux menaces existantes et futures qui pèsent sur l'accès à l'eau dans le cadre de leurs plans nationaux d'action contre le changement climatique, notamment des contributions déterminées au niveau national, des plans nationaux d'action et des budgets nationaux. Par ailleurs, l'organisation internationale prie instamment les gouvernements de veiller à ce que les voix des communautés locales et des groupes marginalisés soient entendues dans le cadre de la planification des décisions concernant l'adaptation au changement climatique.
Pour Eric MAMBOUE, Directeur pays de WaterAid Burkina Faso :
« Le changement climatique complique la situation pour les populations vulnérables qui ne sont plus sûres de disposer d'un accès à l'eau potable pour leur besoin. Le fait que les personnes qui souffriront le plus des effets du changement climatique sont celles qui y auront contribué le moins constitue une injustice des plus criantes.
« L'accès à l'eau, reste un défi pour les Burkinabé. Le gouvernement devrait prendre l'engagement de prioriser et d'accorder des ressources suffisantes à l'eau, s'engager à réduire les émissions de gaz à effet de serre et reconnaître le rôle essentiel de l'eau potable pour aider les communautés à s'adapter face au changement climatique »
FIN
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Pour en savoir plus, veuillez contacter :
À Ouagadougou : Roch W. OUEDRAOGO, Manager Communication, rochouedraogo@wateraid.org, +(226) 25 37 41 70
À Londres : Ekene Oboko, chargée principale des relations avec les médias, EkeneOboko@wateraid.org. Vous pouvez également nous contacter en dehors des heures de bureau au +44 (0) 7887 521 552 ou à l'adresse pressoffice@wateraid.org.
Notes à l'intention des rédacteurs :
WaterAid
WaterAid s'efforce de démocratiser l'accès à l'eau salubre, à des toilettes décentes et à une bonne hygiène pour tous et dans le monde entier, en moins d'une génération. Cette organisation internationale à but non lucratif opère dans 28 pays afin de changer la vie des personnes les plus pauvres et les plus marginalisées. Depuis 1981, WaterAid a permis à 27 millions de personnes d'accéder à de l'eau salubre et à 27 millions de personnes de bénéficier de toilettes décentes. Pour plus d'informations, consultez www.wateraid.org, suivez @WaterAidUK ou @WaterAidPress sur Twitter, ou retrouvez la page Facebook WaterAid UK à l'adresse www.facebook.com/wateraid.
• 785 millions de personnes à travers le monde (soit une personne sur dix) ne disposent pas d'eau salubre à proximité de chez elles.
• 2 milliards de personnes à travers le monde (soit près d'une personne sur quatre) ne possèdent pas de toilettes décentes.
• Environ 310 000 enfants de moins de cinq ans meurent chaque année de maladies diarrhéiques causées par le manque d'accès à l'eau et à l'assainissement. Cela représente près de 800 enfants par jour, soit un enfant toutes les deux minutes .
• Chaque livre sterling investie dans l'accès à l'eau et la construction de toilettes rapporte en moyenne quatre livres sterling en gains de productivité .
• Quinze livres suffisent à fournir de l'eau salubre à une personne.
Le Ministre des Transports de la Mobilité Urbaine et de la Sécurité Routière communique :
Il me revient que certains usagers de la Direction Générale des Transports Terrestres et Maritimes (DGTTM) se plaignent de délais de traitement anormalement longs de leurs dossiers de demandes d'immatriculation.
Je voudrais par le présent, porter à la connaissance du public burkinabè et surtout des usagers de la DGTTM que des efforts ont été faits relativement au délai de traitement.
En effet, ces délais sont passés de 60 jours à 30 jours depuis plusieurs mois pour les cyclomoteurs, et à 14 jours pour les véhicules automobiles hors mis le délai de vérification auprès de l'administration douanière.
Les dossiers sans suite ou ceux dont les délais de traitement sont anormalement longs ont des raisons indépendantes de mes services. Il s'agit généralement des cas suivants :
introduction de faux documents de douane dont la situation est de mille cent trente (1.130) dossiers rejetés à la date du mars 2021 ;
non-dépôt réel des dossiers par les intermédiaires ou les vendeurs de cycles. A ce sujet, certains cyclomoteurs objets de fraude ou non encore dédouanés ne peuvent être immatriculés au profit de leurs acheteurs alors que le vendeur prétend vendre avec immatriculation incluse.
Il convient de souligner aussi que malgré l'utilisation par la DGTTM de tous les canaux de communication, à ce jour, vingt-deux mille sept cent quarante (22 740) cartes grises produites attendent d'être retirées par leurs propriétaires auprès de ses guichets de remise.
En conséquences, j'invite les usagers dont les délais sont plus longs que ceux annoncés ci-dessus, à bien vouloir passer soit aux « guichets récupération » avec le récépissé de dépôt de dossiers pour entrer en possession de leur carte grise, soit au « guichet des instances » afin de mieux se renseigner sur l'état ou l'existence de leurs dossiers aux services de délivrance de titres.
Le Secrétaire Général,
Bernard BEBA
Chevalier de l'Ordre de l'Etalon
Le Directeur régional des impôts du Centre a l'honneur d'informer tous les bailleurs d'immeubles bâtis ou non bâtis, tous les locataires et sous locataires de la commune de Ouagadougou et environnants, qu'une opération spéciale de recensement fiscal portant sur l'impôt sur le revenu foncier (IRF) sera effectuée à compter du 23 mars au titre de l'année 2021.
Les données collectées permettront entre autres à la Direction régionale des impôts du Centre de disposer d'un fichier exhaustif et actualisé des bailleurs et locataires, de faire établir des contrats de bail réguliers pour tous les locataires recensés, de renouveler les contrats de bail expirés et d'accroitre le niveau de recouvrement de l'IRF.
Le Directeur régional sait compter sur le civisme fiscal de tous et de chacun pour faciliter le travail des agents recenseurs des impôts sur le terrain.
Aussi, afin d'éviter des désagréments éventuels, il invite tout bailleur, locataire et sous locataire non à jour de ses obligations fiscales notamment en matière d'enregistrement des contrats de bail, du paiement de l'IRF et de la déclaration d'existence (immatriculation au numéro IFU) à prendre toutes les mesures nécessaires pour se conformer aux dispositions fiscales.
Mamadou NOMBRE
Inspecteur des impôts
Depuis quelques jours, la fourniture de l'électricité enregistre des perturbations ; particulièrement dans le Centre Régional de Consommation de Ouagadougou. Les coupures d'électricité qui en résultent sont essentiellement dues à des incidents répétés constatés sur la ligne d'interconnexion Bolgatanga-Ouagadougou.
En effet, des perturbations internes au réseau électrique du Ghana sont régulièrement enregistrées et entraînent la disjonction de la ligne d'interconnexion Bolgatanga-Ouagadougou qui apporte une contribution substantielle à la satisfaction actuelle des besoins énergétiques du Réseau National Interconnecté (RNI).
Les clients subissent alors des désagréments le temps de la reconstitution du réseau.
Des discussions sont en cours avec le partenaire ghanéen pour résorber ces incidents.
La SONABEL présente ses excuses à la clientèle pour les désagréments liés à ces perturbations , et se tient à disposition pour toute information complémentaire à son Centre d'appels ouvert 24H/24, 7j/7 au 80 00 11 30 et au service de dépannage joignable par whatsapp au 25 31 37 20 à Ouagadougou et au 20 98 49 53 à Bobo-Dioulasso .
Le Département Communication et Relations Publiques
Une mère amante. Un (1) an que tu nous as quitté…
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi » 2 Timothée 4 :7
Marie Rufine ZOUNGRANA/BONKOUNGOU
30 juin 1955 - 24 mars 2020.
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La famille demande à tous ceux qui l'ont connu et aimé d'avoir une pensée pour elle et informe qu'une messe sera dite en sa mémoire le mercredi 24 mars à 18h30 mn à la paroisse St Pierre de Gounghin.
Les informations concernant la messe de requiem vous seront bientôt communiquées.
Union de prières
“L'Arbre et la graine”
Quelqu'un meurt, et c'est comme des pas qui s'arrêtent.
Mais si c'était un départ pour un nouveau voyage ?
Quelqu'un meurt, et c'est comme un arbre qui tombe.
Mais si c'était une graine germant dans une terre nouvelle ?
Quelqu'un meurt, et c'est comme une porte qui claque.
Mais si c'était un passage s'ouvrant sur d'autres paysages ?
Quelqu'un meurt, et c'est comme un silence qui hurle.
Mais s'il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ?
Benoît Marchon
Les grandes familles BONKOUNGOU, DIENDERE, OUEDRAOGO, SABA, KISSOU,NANEMA à Moutoulou, Song-naba, Yako, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Abidjan ;
Les familles LINGANI et ZEBA à Tangare, Gomma, Ouagadougou et Bobo-Dioulasso ;
La famille alliée TRAORE ;
La veuve Angèle BONKOUNGOU née LINGANI ;
Les enfant :Maimouna, Safi, Djamila et Beni Izak ;
Les petits-enfants : Andrea Bernie et Yanis ;
très touchés par vos nombreuses marques de compassion, de sympathie et de solidarité expriment leur profonde gratitude et leurs sincères remerciements à tous ceux et toutes celles, qui de près ou de loin, leur ont apporté leurs soutiens multiformes lors du rappel à Dieu, le 26mars 2020 à Ouagadougou, de leur fils, frères, époux, père, beau-père grand père et oncle :
Dr BOUNKOUNGOU METE, Conseiller Technique du ministre de la Santé, admis à la retraite.
Ils vous informent qu'un doua pour le repos de l'âme du défunt aura lieu le dimanche 28 mars 2021 à son domicile à Gounghin à partir de 8h.
UNION DE PRIERES
Les grandes familles KIENOU, BICABA, SANOU, KEITA, DIOMA et COULIBALY à Ouagadougou, Ouorowé, Wakara, Nouna et Dédougou ;
Les familles alliées, AZOUPIA, OUEDRAOGO, KAM, YARA, SAMA, KOULIBALY et TUINA à Ouagadougou, Ouorowé, Pô, Abidjan, Soaw, Ottawa, Gassougou, Dédougou, Toussiana, Bobo Dioulasso, Ouahigouya, Tchad et Abidjan ;
La communauté Bobofing et Bwaba à Ouagadougou ;
Monsieur KIENOU Komon Benjamin, cadre de banque à la retraite et épouse à Ouagadougou ;
Monsieur KIENOU Komon Jean, à la Banque commerciale du Burkina (BCB) à Ouagadougou,
Son épouse KIENOU / BICABA Francine Marie Yvette, à Société Générale Burkina Faso (SG BF) à Ouagadougou ;
Les frères : KIENOU Laurie Shanelle Divine ;
KIENOU Melvinn Jeff Céleste ;
Les cousins, les tantes, les oncles les neveux ;
Vous réitèrent leur profonde et sincère gratitude pour les nombreuses marques de compassion, de soutien spirituel, moral, matériel et financier lors du rappel à Dieu, le samedi 06 mars 2021, et de l'inhumation le dimanche 07 mars 2021 à Ouagadougou, de leur très cher regretté petit-fils, fils, neveu, frère et cousin
KIENOU Komon Dylan Steven
Précédemment en classe de 4e au lycée le Creuset plus à Ouaga 2000
des suites d'une courte maladie
Ils remercient tout particulièrement :
Le Président du Conseil d'Administration de la BCB ;
La Direction Générale et l'ensemble du personnel de la BCB ;
Le Directeur Général de Société Générale Burkina Faso (SG BF) ;
L'ensemble des directeurs et collaborateurs de SG BF ;
Le corps enseignant et administratif du Lycée Creuset Plus ;
Le corps enseignant et administratif du Groupe scolaire les Violettes ;
Le CCB Saint Raphaël Archanges de Kossyam ;
L'Association des femmes de Kossyam (AFK) ;
L'association ADO 55 de Kossyam ;
Les voisins de Kossyam, de Patte d'oies et koulouba ;
Les amis et connaissances ;
Ils adressent leurs sincères remerciements et reconnaissance à tous ceux qui, dans leur douleur extrême, ont compatis avec eux et dont les noms n'ont pu être cités.
Que le seigneur tout puissant dans sa grande bienveillance vous bénis abondamment et que par sa miséricorde infinie vous rende au centuple tous vos biens faits.
Union de Prières !
13 OCTOBRE 1936-31 MARS 2021
Au nom de Dieu, le Tout –Miséricordieux, le Très-Miséricordieux
« Nous appartenons à Allah et c'est à lui que nous retournons »
Coran sourate 2 verset 156
La grande famille YATASSAYE à Ouagadougou secteur 26 pissy et à Dédougou ;
Monsieur Djibril YATASSAYE, Madame KOUSSE Kadia YATASSAYE, Madame Djiénaba YATASSAYE leurs frères et sœurs à Dédougou, Ouagadougou, Bobo Dioulasso, Dakar et Bamako ;
Le Grand Imam de Dédougou,
Les ressortissants de Dédougou à Ouagadougou ;
La veuve Massara Sanon, les enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants à Ouagadougou, Ziniaré, Dédougou, Fada N'Gourma, Banfora, Bobo Dioulasso, Paris, Bamako, Dakar, Abidjan et New York ;
Les Familles SANON, LOMPO, DIOP, FAMANTA, OUEDRAOGO, SANOGO, KONTE , DERRA, SOUKO, OUATTARA, DIALLO, MAIGA, SEREME, WANGRE, KONATE, DRAMERA, DJIM, TRAORE, ZONOU,KONE, COMPAORE, DIALLO,CAMARA, SOUKO à Ouagadougou, Fada, Podor, Bobo-Dioulasso, Dédougou, Fada, Banfora, Dakar, Bamako
Les familles alliées
KOUSSE, TOURE, FOFANA, CAMARA, TAMINI, SOME, BENON, ROMBA, ZERBO, CISSE, REIMBOLD, DIALLO, GUIGUEMDE, ZONOU, TOE, SANOGO, SISSOKO à Ouagadougou, Bobo, Bamako, Mopti, Dakar, aux Etats-unis.
Les familles amies
SANOGO, ZONOU, DIALLO, TOE, OUEDRAOGO, à Ouagadougou, Bobo Dioulasso ;
Les familles bassinga ;
El Hadj Moussa SANOGO, Magistrat à la retraite ;
Le chef de Tangay,
Monsieur TOE Barthelemy, Magistrat à la retraite, Monsieur Jean BADO Magistrat à la retraite, Monsieur Yacouba COULIBALY opérateur économique
Dr Nacoulma Innoncent, professeur Jean Yves Togueyini
Très touchés par les nombreuses marques de sympathie et de compassion qui leurs ont été témoignées lors du rappel à Dieu de leur regretté de leurs frère, époux, père, oncle, cousin, beau-père, grand père, arrière-grand-père et ami :
Maitre AMADOU YATASSAYE, Ancien Magistrat, Avocat à la Cour
Arraché à leur affection le mardi 31 mars 2020 à Ouagadougou et inhumé le mercredi 1er avril 2020 au cimetière de Gounghin.
La famille adresse ses sincères remerciements ainsi que sa gratitude à tous ceux qui, dans cette douloureuse circonstance, leur ont apporté de près comme de loin, leur réconfort, leur soutien moral, spirituel, matériel et financier.
Elle vous informe par la même occasion que pour le repos de son âme, un doua sera dit le DIMANCHE 28 MARS 2021 à DEDOUGOU à partir de 8h 30.
Que le Tout Puissant rende à chacun le centuple de ses bienfaits.
Qu'Allah SWT, dans son infinie bonté lui fasse miséricorde et lui accorde le paradis.
Union de prières
Le Prytanée militaire de Kadiogo (PMK) souffle sur sa 70e bougie, cette année 2021. En marge des festivités commémoratives, une cérémonie solennelle a été présidée par le chef suprême des forces armées nationales, le président du Faso, Roch Kaboré, dans la soirée du vendredi 19 mars 2021.
1951-2021. Cela fait 70 ans que le Prytanée militaire de Kadiogo (PMK) existe. Cette école qui a vu le jour avant l'indépendance de la Haute-Volta (5 août 1960) devenue Burkina Faso, a formé des cadres civils et militaires du Burkina Faso et d'autres pays du continent. Si l'histoire retient que le président Thomas Sankara a étudié dans ce temple du savoir, le représentant de l'Amical des anciens enfants de troupe du Burkina Faso (AET-BF), rappelle que l'ancien président ivoirien, Robert Guéï, y a également étudié. Il faut retenir que c'est une école avec des souvenirs.
« S'instruire pour mieux servir », tel est le slogan du PMK. A en croire les interventions au cours de la cérémonie solennelle de ce 70e anniversaire, l'excellence est le maître-mot de cet établissement. Selon le Lieutenant-colonel Ismaël Diawari, commandant du PMK, « cette excellence est devenue une étiquette » voire « une marque de fabrique » de l'école.
Lire aussi Prytanée militaire de Kadiogo (PMK) : 70 ans d'excellence célébrés
Au-delà de l'excellence, « le Prytanée est la nation burkinabè en miniature », de par le mode de recrutement des élèves, a déclaré le ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, Chérif Sy. Même si des modifications ont été opérées dans le mode de recrutement, « il y avait toujours une constante : donner la chance à toutes les composantes de la nation d'intégrer ce temple de l'instruction et de formation d'une élite nationale », s'est félicité le ministre.
Une université militaire pour rénover l'armée
Depuis sa création, le PMK a formé plus de 3600 élèves pour le Burkina Faso et ses pays amis. Après 70 ans d'existence, des défis se présentent face à cette école. Et selon le ministre Chérif Sy, suite à une étude commanditée par l'Etat-major général des armées, l'une des recommandations consiste à créer « une université de la défense » pour prolonger la philosophie du PMK. En plus du Covid-19, « d'autres facteurs finissent par nous convaincre de la nécessité pour les forces armées nationales de disposer d'une structure de formation de l'enseignement supérieur », a indiqué Chérif Sy.
Prenant part à cette cérémonie, le président du Faso, Roch Kaboré, a partagé cette volonté qu'il y ait un continuum au sein du PMK « Le gouvernement prendra toutes les dispositions pour qu'il en soit ainsi et que nous puissions faire de cet établissement, un creuset pour l'élite intellectuelle de notre pays », a rassuré le chef suprême des forces armées nationales.
En plus de cette université, les infrastructures au sein du PMK ont été évoquées durant les allocutions. Selon le Lieutenant-colonel Isamël Diawari, le renforcement des infrastructures permettra de contenir des élèves. Du côté de l'AET-BF, leur siège qui était en construction, mais qui n'avance plus faute d'argent, a été un sujet de plaidoyer auprès de leur premier chef hiérarchique, Roch Kaboré. A son tour, il fait la promesse : « L'ensemble de ces préoccupations, nous allons les prendre en compte parce que nous avons le souci d'avoir une formation de qualité pour assurer la relève de demain au Burkina Faso ».
Décoration et défilé
Au cours de cette cérémonie commémorative, une série de décorations est intervenue. Dans un premier temps, c'est le drapeau du PMK qui a été élevé au rang de la « Dignité de grand officier de l'ordre de l'étalon » par le président du Faso.
Des anciens enseignants ont également vu leur carrière au PMK récompensée. En effet, une dizaine d'entre eux ont reçu l'Ordre de palme académique ; un a été élevé Commandeur de l'Ordre de mérite et un autre, Officier de l'ordre de mérite. Dans la foulée, des médailles de Grand officier de l'Ordre et Chevalier de l'ordre de l'étalon ont été également décernées.
Contexte oblige, un défilé militaire des sept sections d'enfants de trompe a tenu en haleine les officiels, anciens prytanes et les parents et amis présents pour l'occasion. Vers 19 heures, les feux d'artifice qui ont caché la lune un temps ont été sans doute l'un des moments marquants de cette cérémonie.
Cryspin Masneang Laoundiki
Lefaso.net
Des jeunes réunis au sein du Comité de réflexion et d'actions pour la réconciliation et la paix (CRARP) veulent apporter leur contribution au processus de réconciliation nationale enclenché au Burkina. Ils ont initié une conférence de presse ce samedi 20 mars 2021 à Ouagadougou pour dévoiler leurs vision et stratégie.
La réconciliation nationale semble être en marche au Burkina. Sinon qui l'aurait cru, dans un passé récent, retrouver Alpha Yago du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), Hervé Ouattara, leader d'Organisation de la société civile, et Moussa Zerbo, député de l'Union pour le progrès et le changement (UPC) sur la même table et parler d'une même voix ?
Réunis au sein du Comité de réflexion et d'actions pour la réconciliation et la paix (CRARP), ces membres ont animé une conférence de presse ce samedi 20 mars 2021 à Ouagadougou pour donner leur vision de la réconciliation nationale ainsi que les objectifs visés par la création du comité. « Nous sommes soucieux de la marche de notre pays et la priorité aujourd'hui au Burkina Faso, c'est la réconciliation nationale », a déclaré Alpha Yago, membre du CRARP. Il s'agit pour le CRARP de faire la réconciliation par l'exemple. « Cela est perceptible par le présidium. Ici, nous, nous sommes déjà réconciliés, car la vraie réconciliation est celle qui commence par la base et avec la base », a-t-il confié.
Selon le député Moussa Zerbo, la vision que le Comité a de la réconciliation est « holistique ». « Beaucoup ont affirmé que le Burkina ne souffre pas d'une question de réconciliation mais plutôt de justice. Ceux qui font cette affirmation ignorent l'histoire du pays », a-t-il fait savoir. Pour lui, il faut d'abord créer un cadre, se retrouver afin de se pardonner et de s'accepter. C'est seulement ensuite, a-t-il poursuivi, qu'on peut parler de justice. « Notre vision de la réconciliation n'est pas une porte ouverte à l'impunité, loin s'en faut », a-t-il soutenu. « Le ministre d'Etat Zéphirin Diabré, à lui seul, ne peut pas réussir sa mission. Chacun de nous doit apporter sa contribution », s'est-il défendu à la question de savoir si ce n'est pas un regroupement de plus, inutile.
Le CRARP compte mener des activités les jours à venir dans le sens de sensibiliser et d'inciter l'adhésion de la population au processus de la réconciliation nationale. Il s'agit entre autres de rencontrer les associations des victimes, identifier des points focaux du CRARP par région et par province, organiser des activités socio-culturelles et sportives en vue de promouvoir la question de la réconciliation nationale et lui donner un caractère populaire.
Le CRARP n'a pas installé de bureau. A en croire les membres, lorsque l'on formalise ce type de regroupement, on risque d'avoir des blocages. « Nous sommes tous membres et chacun dans son domaine de compétence, apporte sa contribution. C'est le mode de fonctionnement qu'on a choisi », a précisé Alpha Yago.
Obissa Juste MIEN
Lefaso.net
L'excellence des meilleures performances municipales au titre de la gestion de 2019 a été célébrée, ce vendredi 19 mars 2021 à Ouagadougou. Pour cette édition 2020 de la compétition pour l'excellence dans la gouvernance locale (COPEGOL), 42 communes lauréates ont été primées. Lefaso.net a tendu son micro à quelques maires afin de recueillir leurs impressions à l'issue de la cérémonie.
Boureima Youmou, maire de la commune urbaine de Houndé dans la province du Tuy
« Mes premiers sentiments, ce sont des sentiments de joie d'avoir été consacré meilleure commune urbaine à la compétition pour l'excellence dans la gouvernance locale. Ce prix est une interpellation pour moi et pour toute mon équipe, à savoir l'équipe de l'administration municipale mais aussi l'équipe du conseil municipal. C'est aussi une interpellation pour tous ceux qui nous soutiennent dans notre action dont les partenaires techniques et financiers.
Je saisis cette occasion pour remercier d'abord l'équipe de la COPEGOL qui a consacré beaucoup de temps pour faire ce travail technique. C'est également l'occasion pour moi de remercier l'Etat central qui nous accompagne quotidiennement dans notre action municipale. J'associe mes remerciements à l'ensemble des opérateurs économiques de la région des Hauts-Bassins qui ne ménagent aucun effort pour nous accompagner à chaque fois que nous sommes dans le besoin.
Cette reconnaissance est véritablement un challenge que nous devons dans les années à venir faire encore mieux. L'idée de la compétition est bonne, mais notre objectif c'est d'améliorer les conditions de vie de nos populations, des ménages et contribuer au développement durable de notre pays. Notre secret, c'est que dans la commune de Houndé, il y a d'abord une entente particulière dans le conseil municipal. C'est de là que partent toutes les décisions. Nous décidons de voter le budget et nous passons à l'action. Le deuxième secret, c'est qu'on s'appuie sur des cadres compétents dans l'administration municipale. Mais je puis vous dire que nous avons demandé à l'Etat central de mettre à notre disposition plusieurs cadres compétents et dans des secteurs différents. Egalement, on s'appuie énormément sur les opérateurs économiques de la localité, non seulement en termes d'idées mais aussi en termes d'actions pour nous accompagner et nous orienter dans notre action municipale. »
Safiatou Soré/Koanda, maire de la commune rurale de Bingo dans la province du Boulkiemdé
« C'est un sentiment de joie, de satisfaction pour cette distinction. Il n'y a pas de secret hormis le travail. Il faut sensibiliser la population pour les recouvrements, mettre tous les agents au pas afin que chacun à son niveau travaille comme il le faut. Aussi, il faut travailler honnêtement. »
Issouf Nikiéma, maire de la commune rurale de Komsilga
« Cette distinction, c'est le fruit d'un travail d'équipe. Je remercie le conseil municipal, en général la population, et le personnel de la mairie à qui je demande de fournir davantage d'efforts pour que nous puissions être de nouveau parmi les meilleures lors de la prochaine édition de la COPEGOL. Au titre des réalisations, on s'est investi à travers des activités éducatives, sanitaires. Nous avons également réalisé des infrastructures. Dans le domaine du WASH, nous avons réalisé plus de 30 forages, etc. »
Propos recueillis par Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net
Le 20 mars de chaque année est célébrée la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire. Ce samedi 20 mars 2021, c'est le CHU pédiatrique Charles de Gaulle (CHUP-CDG) qui a été choisi par l'Ordre national des chirurgiens-dentistes du Burkina pour abriter la célébration officielle sous le thème « Sois fier de ta bouche ». Une célébration qui a eu lieu en présence de la directrice générale du CHUP-CDG, Cyrille Priscille Kaboret/Ouédraogo, et de Dr Liliane Gounabou, représentante du ministre de la Santé.
Selon les chiffres de l'Organisation mondiale de la Santé, 60% d'enfants et d'adolescents sont affectés par la carie dentaire qui, pourtant, peut être prévenue par une bonne hygiène bucco-dentaire. Le constat indique que les enfants burkinabè, comme l'ensemble des Burkinabè, ne bénéficient pas vraiment d'un programme fonctionnel qui permet de lutter efficacement contre les maladies bucco-dentaires. Pourtant ces maladies touchent des milliers de personnes chaque année et constituent un réel problème de santé publique avec des conséquences qu'on ne soupçonne pas toujours.
« La bouche est le reflet de notre santé générale. Quand on est malade, on a ce qu'on appelle une anorexie (perte d'appétit) sélective, on sélectionne les aliments, on a la bouche qui est fade. Il y a un retentissement de notre santé générale dans notre cavité buccale. Et pour ce qui est des conséquences des maladies bucco-dentaires sur les enfants, il y a une perturbation de la croissance staturo-pondérale de l'enfant et une perturbation des fonctions oraux-faciales qui sont la mastication et la déglutition. Les enfants sont la relève de demain, il faut qu'ils grandissent en bonne santé, ce qui n'est pas possible, s'ils n'arrivent pas à se nourrir correctement et la première fonction c'est la mastication et la déglutition. Au-delà de cela, on a les complications de la carie dentaire et nous voyons cela tous les jours avec les enfants. C'est triste de recevoir un enfant avec la joue enflée, qui est fébrile, qui risque sa vie parce que sa joue est enflée. Cette joue enflée qu'on appelle une cellulite est une pathologie qui est grave et qui peut conduire à l'hospitalisation de l'enfant et à une prise multidisciplinaire, médico-chirurgicale à l'hôpital », a exposé Pr Aimé Désiré Kaboré, président de l'Ordre national des chirurgiens-dentistes du Burkina.
La célébration de la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire est donc l'occasion pour l'Ordre national des chirurgiens-dentistes du Burkina d'attirer l'attention sur l'importance de la santé bucco-dentaire, notamment chez les enfants. D'où le choix du CHU pédiatrique Charles de Gaulle pour abriter la célébration. Pour ce faire, les enfants qui fréquentent l'hôpital ont bénéficié d'une sensibilisation sur l'hygiène bucco-dentaire, notamment le brossage des dents par l'association FOSNOZA.
Plaidoyer pour doter le CHUP-CDG d'une unité d'odontologie
A en croire le président de l'Ordre national des chirurgiens-dentistes du Burkina, la célébration de la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire au CHUP-CDG avait aussi pour objectif de susciter la création d'une unité de chirurgie dentaire dans cet établissement sanitaire de référence.
Un plaidoyer auquel a adhéré la directrice générale du CHUP-CDG, Cyrille Priscille Kaboret/Ouédraogo. « Il faut dire que le CHU pédiatrique Charles de Gaulle accueille tous les enfants du Burkina de 0 à 14 ans. Parmi cette tranche d'âge, il y a également des enfants qui sont reçus pour des pathologies bucco-dentaires. Et parmi les dix pathologies les plus dominantes, il y a la carie dentaire. Nous avons des pédiatres, des chirurgiens-pédiatres qui accueillent ces enfants, mais nous n'avons pas une unité de chirurgie dentaire. Donc à un certain niveau, ils peuvent soigner, mais comme c'est une spécialité, souvent nous référons les enfants au niveau des services bucco-dentaires. Donc j'emboite le même pas que le président dans son plaidoyer, pour que nous puissions avoir une unité de chirurgie bucco-dentaire au CHUP CDG », a-t-elle laissé entendre.
Une doléance qui a reçu un écho favorable auprès de Dr Liliane Gounabou, conseillère technique, représentant le ministre de la Santé à la cérémonie. « On transmettra fidèlement les doléances en ce qui concerne l'unité d'odontologie pour l'hôpital et on verra dans quelle mesure accompagner le CHU Charles de Gaulle avec le leadership de la directrice générale qui se bat quotidiennement pour que l‘hôpital puisse avancer. Nous prendrons à bras-le-corps toutes les doléances », a-t-elle indiqué.
Mais en attendant, l'accent doit être mis sur la prévention. Et pour ce faire, Pr Kaboré invite les populations « à faire de l'hygiène bucco-dentaire une affaire de famille. » « Lorsqu'on lave les enfants, il faut aussi leur brosser la bouche, de sorte que l'enfant grandisse en ayant conscience que sa bouche fait partie de son corps. Le brossage doit être régulier et efficace », conseille-t-il.
Pour joindre l'acte à la parole, l'Ordre a fait don de kits d'hygiène bucco-dentaire au CHUP CDG, qui se chargera de les distribuer aux enfants qui fréquentent l'hôpital.
Justine Bonkoungou
Lefaso.net