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Diplomacy & Crisis News

Did Trump Just Reverse Himself On Making the Military Obey Illegal Orders?

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 21:56
Can we trust Trump's latest reversal?

Trump Flip-Flops on Promise to Torture Suspects, Kill Families of Terrorists

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 21:42
Donald Trump has changed course on his widely-condemned promise to bring back torture and kill families of terrorists.

Do Americans Really Want a Wall?

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 20:33
Trump has tapped a powerful vein of nationalist isolationism. A President Hillary Clinton would have a hard time persuading Americans that global leadership still matters.

Defending the Honor of the U.S. Military From Donald Trump

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 20:12
To protect the Constitution under a Trump presidency, the U.S. military must refuse any orders to torture.

Now You, Too, Can ‘Breathe’ With Your Very Own Ted Cruz Yoga Mat

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 19:56
Ted Cruz is cashing in on Marco Rubio's yoga joke by selling yoga mats.

Brexit : les risques du référendum

Politique étrangère (IFRI) - Fri, 04/03/2016 - 10:00

Suite au sondage réalisé sur ce blog, nous avons le plaisir de vous offrir l’article du numéro de printemps 2016 de Politique étrangère que vous avez choisi : « Brexit : les risques du référendum », par Vivien Pertusot.

À l’évocation de la relation entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, le titre de l’ouvrage de Stephen George Awkward partner (« partenaire embarrassant ») vient à l’esprit. Cette relation est le fruit d’une incompréhension entretenue, désormais bien ancrée et jamais réellement combattue au Royaume-Uni. Pourtant, elle recouvre une complexité que l’on ne peut occulter. Les Britanniques restent moteurs sur certains dossiers européens, dont le marché intérieur et le développement. Ils sont un utile mouton noir derrière lequel se cacher. Par ailleurs, la marginalisation croissante du pays n’est pas imputable à Londres seul. Ses partenaires européens se sont progressivement désintéressés du Royaume-Uni et se sont accordés sur une série de mécanismes intégrationnistes dont il ne fait pas partie.

C’est dans ce contexte peu lisible de l’étranger que va se tenir le référendum. Le Premier ministre britannique David Cameron a promis de le tenir avant la fin de l’année 2017. À l’heure où ces lignes sont écrites, les contours d’un accord se dessinent dans les négociations menées entre les 27 états membres et Londres ainsi donc que la tenue prochaine du vote.

Le débat britannique sur le Brexit et le référendum à venir incitent à s’interroger sur quatre risques. Le premier est la possibilité bien réelle d’une une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Le deuxième est lié au fait que le résultat du référendum ne marquera pas la fin du débat outre-Manche sur l’UE, et pourrait même engendrer un climat politique chaotique. Le troisième renvoie à la cohésion de plus en plus fragile du Royaume-Uni. Enfin, le quatrième risque touche à l’attitude du reste de l’Union qui, trop pressée d’en finir avec cet épisode, pourrait ne pas justement mesurer les conséquences du maintien, ou la sortie, du Royaume-Uni.

Le Brexit est possible

La réélection de David Cameron, et surtout la majorité absolue obtenue par le parti conservateur aux Communes, ont rendu inévitable la tenue d’un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne.
La question posée est désormais connue : « Le Royaume-Uni doit-il rester membre de l’Union européenne ou quitter l’Union européenne ? »

Le risque d’un Brexit ne doit pas être balayé, tant l’euroscepticisme est omniprésent au Royaume-Uni. Cinq facteurs sont communément admis pour expliquer ce phénomène : la géographie, l’histoire, la politique, l’économie et les médias. L’insularité du Royaume-Uni et sa forte tradition maritime sont des éléments identitaires très forts. Deuxièmement, le Royaume-Uni – ou plutôt l’Angleterre – a historiquement cherché à maintenir
un équilibre des puissances en Europe afin de prévenir l’émergence d’une puissance hégémonique continentale. En outre, l’issue de la Seconde Guerre mondiale joue un rôle central dans l’histoire contemporaine britannique.
Contrairement aux pays continentaux, le Royaume-Uni n’a pas éprouvé l’urgence de construire une Europe kantienne : son armée avait su repousser la Wehrmacht. Surtout, l’intégration au projet européen en 1973 constituait plus le constat d’une rétraction du statut international du pays qu’un moyen de le restaurer. Troisièmement, le Royaume-Uni est un ardent défenseur de son système démocratique parlementaire. Toute entrave à cette souveraineté est vue avec méfiance. Quatrièmement, le Royaume-Uni est une nation fondamentalement tournée vers le commerce international. Avant de rejoindre la Communauté économique européenne (CEE), le Royaume-Uni commerçait moins avec l’Europe qu’avec le reste du monde. Enfin, il est difficile de savoir si la presse nourrit l’euroscepticisme, ou si elle s’adapte à un euroscepticisme persistant des Britanniques, mais il est indéniable que la couverture négative de nombreux quotidiens influe sur le débat.

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PE 1/2016 en librairie !

Politique étrangère (IFRI) - Wed, 02/03/2016 - 13:13

Le nouveau numéro de Politique étrangère (1/2016) vient de paraître ! Il consacre un dossier aux migrations en Afrique, sous un regard qui se veut à la fois novateur et différent, ainsi que de nombreux articles liés à l’actualité comme le retour de la question allemande, les rivalités entre l’État islamique et Al-Qaïda, le Brexit ou encore l’évaluation du poids de l’armée russe.

Les déplacements des Africains concernent massivement…l’Afrique seule. Se préoccuper des migrations internationales, c’est donc porter le regard bien au-delà des conjonctures européennes. Ce numéro de Politique étrangère s’y attache, tentant de décrire (dans son dossier Migrations en Afrique : un regard neuf) les déterminants multiples des mouvements migratoires, les tentatives des États du continent noir pour gérer le problème majeur des déplacés internes, les difficultés d’intégration des migrants du travail dans les sociétés d’accueil, ou les faux-semblants des accords euro-africains de réadmission…

Dans une Europe confrontée à ses « polycrises », y a-t-il un retour de la question allemande ? – thème de notre rubrique Contrechamps – ? Sans doute oui. Non que l’Allemagne le souhaite, mais du fait de son poids propre, parfois de l’incertitude de ses choix, et surtout du doute fondamental, existentiel, des Européens sur eux-mêmes, sur les conditions de leur entente. Un doute qui valorise, dans les faits, les positions allemandes.

Le Moyen-Orient s’enfonce dans la tragédie, et cette livraison de Politique étrangère propose de multiples réflexions : sur les rivalités inter-djihadistes, les risques de contagion vers des pays encore vaguement stables, sur les rapports de force militaires sur le terrain, ou sur les logiques internes qui gouvernent l’acteur turc – joueur décisif dans toutes les hypothèses.

Avec, sous-jacente, une question qu’on avait en Occident chassée depuis vingt ans, et que l’actualité nous ré-impose : que vaut vraiment l’armée russe ?…

* * *

Découvrez le sommaire complet ici.

Téléchargez le dossier de presse ici.

Lisez gratuitement l’article d’Isabelle Facon, « Que vaut l’armée russe ? », ici.

Achetez le numéro 1-2016 de Politique étrangère ici.

Abonnez-vous à Politique étrangère pour les 4 numéros de l’année 2016  ici ou à cette adresse : revues@armand-colin.com.

 

Examining the current state of Nigeria

Crisisgroup - Wed, 02/03/2016 - 12:26
E.J. Hogendoorn, Deputy Africa Program Director, joins a panel discussion as part of the "Examining the current state of Nigeria" event that took place on 29 February 2016 at the Brooking Institution, Washington D.C.

Señales rusas equívocas en el este de Ucrania

Crisisgroup - Wed, 02/03/2016 - 10:06
Uno de los elementos más peligrosos del conflicto en Ucrania, que ya va para dos años, sigue siendo la imprevisibilidad de las tácticas de la vecina Rusia. A pesar de sus declaraciones de apoyo al proceso de paz de Minsk y el reconocimiento de la soberanía ucraniana sobre las repúblicas separatistas de Donetsk y Lugansk, las acciones llevadas a cabo por Moscú en el este de Ucrania parecen diseñadas para reforzar dichas entidades en lugar de prepararlas para ser desmanteladas.

Battle over Syria (IV)

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - Wed, 02/03/2016 - 00:00
(Own report) - In an interview with Germany's ARD public television, the Syrian President Bashar al Assad acknowledged Germany's role in hosting Syrian refugees and does not rule out Germany's playing an influential role in Syria's future. He "hopes" that other countries, "especially European countries" - and Germany as the strongest EU power - would "play a role" in ending the Syrian war. However, to accomplish this, they must be "independent" of the USA, Assad declared. The ARD broadcast the exclusive interview at a time when Berlin is seeking a leading role in the international Syria negotiations and preparing to enhance its influence within the framework of the eventual reconstruction of this Middle Eastern country. Meanwhile, a US think tank is strongly criticizing the West's war on the "Islamic State" (IS/Daesh). According to the military-affiliated Institute for the Study of War (ISW), it is a mistake to focus the fight on Daesh and ignore other jihadi militias, such as Jabhat al Nusra. This would only facilitate the al Qaeda subsidiary Jabhat al Nusra taking power, particularly in Northern Syria, where the jihadists have firmly established themselves in the population. Berlin would also be confronted with significantly reinforced jihadist organizations, such as Al Nusra, in the framework of the eventual reconstruction efforts.

CrisisWatch | Tracking Conflict Worldwide

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 18:40
The month saw conflict continue to rage in Turkey’s south east between Ankara and the Kurdistan Workers’ Party (PKK), looking likely to further escalate in March. Afghanistan and Somalia both saw armed insurgencies capture new territories. In Africa, political tensions rose in Chad, Mozambique and Zimbabwe, while in Venezuela, deadlock between the opposition-held parliament and government has brought the country closer to political and economic implosion. In Asia, North Korea’s announcement of a satellite launch in violation of UN Security Council resolutions prompted international condemnation and calls for tough new sanctions. On a positive note, the coming month brings the possibility of a final agreement to end Colombia’s decades-old insurgency.

عرسال... من التهميش إلى الصدارة

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 11:57
تعيش بلدة عرسال اللبنانية، منذ نحو سنتين، شبه حصار بسبب المعركة التي شهدتها في أغسطس/آب 2014 بين الجيش اللبناني ومجموعات مسلحة، في مقدمتها تنظيما الدولة الإسلامية (المعروف بالدولة الإسلامية في العراق والشام ـ داعش سابقاً) وجبهة النصرة، وخلفت تدميراً وقتلاً لمدنيين وجنود لبنانيين ومسلحين كثيرين، وأسر عناصر من الجيش والأمن العام.

Der Westen sollte niemanden unterstützen

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 11:46
49 Prozent der Bewerber für die iranischen Wahlen sind disqualifiziert worden. Doch eine verächtliche Reaktion des Westens könnte mehr Schaden anrichten als Gutes.

One sure way to bring down Iran’s pragmatists? An ‘attaboy’ from the U.S.

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 11:12
Many in the West had hoped that the nuclear accord with Tehran would bolster the more pragmatic forces in Iranian politics that promoted it. Many in Iran, especially the country’s conservatives, feared exactly the same.

Thai elite must bridge the political divide while it still can

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 11:01
As the twilight deepens on the almost 70-year reign of Thailand's King Bhumibol Adulyadej amid reports of his deteriorating health, the contradictions inherent in this modern, middle-class country ruled by a traditionalist elite are becoming increasingly difficult to reconcile.

Uganda: An Opposition is Born

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 10:55
Crowds queued patiently in Jinja, a sleepy town on the shores of Lake Victoria, to vote in Uganda's third multi-party elections. Prospective voters remained at polling stations, which were often little more than open grassy spaces with a tree providing shade for election staff underneath trees Like many places in the country, voting materials were delivered late several hours late. But that didn't affect the determination of millions of Ugandans to register their vote, underlining an established belief in electoral democracy as the only method to decide the political future of the country.

ELN: tan cerca y tan lejos de la paz

Crisisgroup - Tue, 01/03/2016 - 10:41
¿Cuál es la fuerza militar de esta guerrilla? ¿Cuál es su situación política? ¿Por qué el proceso de negociación es tan distinto del de las FARC? ¿Por qué ha escalado sus acciones armadas? ¿Será que pierde la oportunidad para la paz?

UN Radio podcast features Oscar-nominated film to explore refugees and migration

UN News Centre - Fri, 26/02/2016 - 18:02
The issue of refugees and migration has risen to the top of the international community’s agenda with the massive flow of people seeking safety and new lives in Europe of late.

UN Security Council endorses cessation of hostilities pact in Syria

UN News Centre - Fri, 26/02/2016 - 06:00
The United Nations Security Council today endorsed the joint statement announced on Monday by United States Secretary of State John Kerry and Russian Foreign Minister Sergey Lavrov, as co-chairs of the International Syria Support Group (ISSG) Ceasefire Taskforce, on the terms of a nationwide cessation of hostilities in Syria, and demanded that the agreement take effect at midnight Damascus Syria time.

South Sudan: UN deputy humanitarian chief calls for end to civilian suffering

UN News Centre - Fri, 26/02/2016 - 06:00
The United Nations deputy humanitarian chief today called on all parties to the conflict in South Sudan to protect civilians and grant safe and unhindered humanitarian access as she wrapped up a two-day visit to the African country.

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