Au Burkina Faso, la justice poursuit ses investigations dans l'affaire de l'assassinat de Thomas Sankara. Et ce près de trois décennies après le meurtre de l'un des plus charismatiques leaders que le continent africain n'ai jamais connu. En effet, depuis quelques heures, une information confirmée par une source à l'Agence France Presse fait état de ce que la justice militaire du pays des hommes intègres a lancé un mandat d'arrêt international contre Blaise Compaoré.
L'organisation mondiale de la propriété intellectuelle en collaboration avec le gouvernement béninois, organise depuis ce matin à l'Infosec de Cotonou, un séminaire de formation sur la mise en pratique des informations techniques et scientifiques suivi de la formation des formateurs du réseau CATI (Centre d'appui à la Technologie et à l'innovation). Les assises dureront trois jours (21 au 23 décembre 2015). Elles rassemblent plusieurs chercheurs et inventeurs du Bénin et de la sous-région.
Au cours (...)
La fin de la crise que traverse le football béninois n'est certainement pas pour de si tôt. Alors qu'on déplore encore les dysfonctionnements notés au sein des membres du comité de normalisation (CoNor), c'est par un courrier qu'on apprend l'exclusion de deux membres de ce comité par la Fifa. Une décision qui pourrait compliquer la mission du CoNor, qui est chargé de ramener la sérénité au sein du football béninois (Lire le courrier)
Zurich, le 18 décembre 2015
SGai/pco
Décisions du Comité (...)
La représentation nationale a adopté la semaine dernière le financement de la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté et de la réalisation des grands travaux d'assainissement et d'aménagement. Ce projet contribuera à l'amélioration du cadre de vie des populations et des conditions de circulation par la construction d'ouvrages d'assainissement. Le montant du financement est de 15,765 milliards dont 15 milliards, soit 95,1% en provenance de la BOAD. (...)
- ActualitéLe déploiement des forces de l’Union africaine sur le sol burundais ne devra pas se faire sans l’aval du gouvernement du président Pierre Nkurunziza. C’est ce qu’a annoncé hier, dimanche un communiqué de la présidence du Burundi. Et pour entériner cette décision de l’Ua, les deux chambres du parlement burundais se réunissent depuis la martinée de ce lundi 21 décembre en congrès extraordinaire pour l’analyser.
Le déploiement des forces de l’Union africaine sur le sol burundais ne devra pas se faire sans l’aval du gouvernement du président Pierre Nkurunziza. C’est ce qu’a annoncé hier, dimanche un communiqué de la présidence du Burundi. Et pour entériner cette décision de l’Ua, les deux chambres du parlement burundais se réunissent depuis la martinée de ce lundi 21 décembre en congrès extraordinaire pour l’analyser.