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Afrique

L'invité : Professeur Namewa Boubey

BBC Afrique - Mon, 25/01/2016 - 04:44
Enseignant à l'université de Dakar et observateur de la vie politique nigérienne
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Panapress (FR) - Sun, 24/01/2016 - 21:00

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Yodit Eklund surfe sur la vague wax

BBC Afrique - Fri, 22/01/2016 - 16:49
Rencontre avec Yodit Eklund, fondatrice de Bantu Wax, une marque d’articles de surf à Dakar au Sénégal
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L'invité BBC AFRIQUE 22/01/2016 : Professeur Alpha Condé

BBC Afrique - Fri, 22/01/2016 - 09:34
Président de la République de Guinée.
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Burundi : difficile intégration des handicapés

BBC Afrique - Thu, 21/01/2016 - 13:08
Le Burundi expérimente avec difficultés depuis quatre ans l'éducation inclusive qui intègre des enfants qui présentent un handicap auditif ou visuel.
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L'invité BBC AFRIQUE 21/01/2016 : Professeur Moussa Youssouf Maiga

BBC Afrique - Thu, 21/01/2016 - 05:54
Chef du département de médecine au CHU Toure
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75 fois plus riche que l’Afrique

BBC Afrique - Wed, 20/01/2016 - 13:51
Le Crédit Suisse a conclu que la richesse moyenne d'un adulte en Amérique du Nord est à peu près 75 fois supérieure à la richesse moyenne en Afrique. Le Pape contre les inégalités économiques Buhari dévoile le montant de sa richesse Débats autour de l’AGOA à Libreville
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La critique de Barkhane[1] procède d’une erreur d’analyse.

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Wed, 20/01/2016 - 11:43
Ce communiqué peut être repris à la condition d’en citer la source et le lien.
Les sanglantes attaques terroristes menées à Bamako le 20 novembre 2015 et à Ouagadougou le 15 janvier 2016, font dire à certains journalistes spécialisés dans les questions militaires[2] que « l’opération Barkhane a été contournée » et que la question à la fois de son coût -700 millions par an-, et de son terme, doit donc être posée. Jean-Dominique Merchet écrit même que « (…) Barkhane est victime du syndrome de la ligne Maginot. Ces opérations empêchent l’ennemi de passer là où l’on a décidé qu’il ne passerait pas, mais il n’en a cure et prend un autre chemin ».Cet avis rappelle la controverse Lyautey-Pétain quand, durant la guerre du Rif, le second, qui ne connaissait le Maroc que par les cartes, reprochait au premier sa manoeuvre d’étouffement d’Abd el-Krim parce qu’elle ne donnait évidemment pas les résultats immédiatement visibles qu’aurait pu produire un frontal assaut de tranchée... Oublions donc les visions métropolitaines et même à certains égards « betteravières », pour ne prendre en compte que les réalités des grands espaces de l’ouest africain. Or, ces derniers ne peuvent s’analyser en chambre: 
1) Les connaisseurs de la région savent que sans quadrillage de l’immense zone saharo-sahélo-guinéenne, il est impossible d’éradiquer le jihadisme. Or :- Nos moyens drastiquement réduits par le couple Sarkozy-Morin nous l’interdisent.- De plus, et même à supposer que nous puissions couvrir toute cette région, nous ne contrôlerions pas pour autant l’Algérie, la Libye et le Nigeria d’où pourraient être lancées des actions terroristes.- Plus encore, nous n’aborderions toujours que le volet militaire alors que le fond du problème devient de plus en plus celui de la wahhabisation des populations de la bande sahélo-guinéenne qui fournit un terreau fertile aux jihadistes.
2) Dans ces conditions, à moins d’abandonner l’ouest africain pour consacrer tous nos moyens à une illusoire « ligne Maginot » métropolitaine de type « Sentinelle », que pouvons-nous faire d’autre que de perturber les mouvements terroristes, limiter leur liberté d’action, empêcher leur coagulation et couper leurs liaisons avec leurs bases de Libye ? Ce que fait excellemment Barkhane…Nous avons en effet deux priorités :- La première est de rendre la plus hermétique possible la frontière entre la Libye et le Niger, afin d’éviter le ré-ensemencement du jihadisme sahélien à partir de la Libye.- La seconde est de protéger la région du lac Tchad, pivot régional, afin d’éviter l’embrasement du Cameroun et de toute la sous-région à partir du foyer allumé par Boko Haram.Or, jusqu’à présent, Barkhane a parfaitement rempli cette double et difficile mission, notamment, mais pas exclusivement, grâce aux implantations dans la zone de la passe Salvador-Toumno-Madama. Cependant, et sur ce point Jean-Dominique Merchet a raison, et je ne cesse d’ailleurs de mettre en garde mes auditoires militaires, car il ne faudrait pas que cette barrière défensive installée dans le nord du Niger, devienne effectivement une « ligne Maginot ». En plus d’être vulnérable[3], elle est en effet facilement contournable à l’ouest, à partir des passes orientées est-ouest qui tombent du plateau de l’Acacus pour confluer sur la frontière algérienne[4]. Les actuels bons rapports que Paris et Alger entretiennent devraient (en principe…) mettre nos forces à l’abri de mauvaises surprises venues de la région de la passe d’Anaï. Quant à un contournement depuis l’est, c'est-à-dire par le Tchad, comme il devrait se faire par l’espace de peuplement toubou, il se heurterait aux forces armées tchadiennes et à nos éléments sur zone.
3) La critique de Barkhane ignore un autre résultat essentiel de l’opération qui est que les trafiquants commencent à se séparer des jihadistes. Nous sommes là au cœur du problème :- C’est en effet sur les réseaux de la contrebande transsaharienne que se sont originellement greffés les jihadistes repliés d’Algérie ;- Or, les incessantes patrouilles de Barkhane, même si elles ne sont pas prioritairement dirigées contre eux, perturbent les trafics. Comme, de plus, les katibas jihadistes ont été défaites et dispersées, comme elles ne disposent plus de leur sanctuaire des Iforas et comme elles ne se meuvent plus en terrain conquis, elles n’inspirent donc plus la même peur aux trafiquants qui voient leurs « affaires » péricliter en raison de la guerre.- Nous savons que pour ces derniers, la question qui se pose est désormais simple : faut-il continuer à collaborer avec des jihadistes dont la présence conduit les Français à « mettre le nez » dans des activités de contrebande ancestrales et vitales pour les populations de la zone ?
4) Bousculés dans la partie nord peu peuplée de la zone saharo-sahélienne, et s’y sentant moins en sécurité qu’auparavant, les jihadistes ont replié leurs « états-majors » en Libye, à l’abri de Barkhane. Parallèlement, ils ont ouvert les hostilités plus au sud, dans la bande sahélo-guinéenne, d’où de nombreuses attaques dans la région de Mopti au Mali et sur la frontière du Burkina Faso, là où les populations sont en cours de wahhabisation. Le site Mondafrique nous apprend à cet égard  que pour la seule année 2013, près de 722 missions  « humanitaires sont parties du Qatar vers le Burkina Faso (…) ». Or,  ces « actions humanitaires qataries servant de cheval de Troie à l’islam radical sont concentrées sur les zones frontalières entre le Mali et le Burkina ». Là est désormais le vrai problème. Or, il échappe aux militaires de Barkhane puisqu’il est politique : la France peut-elle lutter contre le jihadisme ouest africain tout en continuant à privilégier des rapports politiques et commerciaux avec un Qatar clairement à l’origine de la radicalisation des populations de la zone que nous protégeons ?
En définitive,1) Si nous allégions Barkhane, nous provoquerions un appel d’air pour les jihadistes de la zone saharo-sahélienne qui auraient tôt fait de reprendre le contrôle des régions  d’où ils furent chassés par Serval, ainsi que des réseaux de contrebande sur lesquels ils avaient ancré leur précédente implantation.2) C’est tout au contraire à un élargissement et à un renforcement de Barkhane que nous devrions procéder, mais en y associant des unités mixtes franco-africaines à recrutement local,c'est-à-dire ethno-régional et non national, dont l’élément français serait composé d’éléments permanents, et dont les cadres, qui devraient parler la langue de ceux qu’ils auraient à commander, auraient reçu une formation du type des anciennes « Affaires indigènes ».3) Enfin, dans l’optique de l’intervention internationale qui devrait se faire en Libye, le rôle de Barkhane serait d’une telle évidence qu’il est inutile de développer ce point. 
Bernard Lugan20/01/2016 

[1] Cette opération a été lancée le 1er août 2014.[2]Notamment Jean-Dominique Merchet sur son blog Secret Défense.[3]Nous savons que les jihadistes  cherchent à y lancer une opération suicide doublée d’un assaut rapide dont les conséquences politiques pourraient être dévastatrices.[4] Voir à ce sujet les cartes de mon « Atlas des guerres africaines ». Pour le commander, cliquer ici.
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L'invité BBC AFRIQUE 20/01/2016 : Bernard Gnantonnou

BBC Afrique - Wed, 20/01/2016 - 09:11
Directeur exécutif de l'Ong "survie de la mère et l'enfant "au Bénin
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Fidélité franco-congolaise

Survie - Sat, 16/01/2016 - 14:59
Après un passage en force pour faire adopter la modification constitutionnelle qui lui permet de se présenter ad vitam aeternam aux « élections », le dictateur Denis Sassou Nguesso, qui n'a pas encore officialisé sa prochaine candidature, a décidé d'avancer la date de la prochaine présidentielle au 20 mars, plutôt qu'à l'été 2016 comme cela était prévu. L'objectif est de prendre de court une opposition en partie désorientée suite à la promulgation de la nouvelle Constitution, le 6 novembre dernier. Et hélas, (...) - 253 - janvier 2016 / , , ,
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Déchéance de nationalité

Survie - Sat, 16/01/2016 - 14:57
En 1972, Mongo Beti publie chez l'éditeur Maspero Main Basse sur le Cameroun, un essai politique qui tente de briser l'omerta sur les crimes de la dictature d'Amadou Ahidjo et de la puissance tutélaire de Paris, qui vient enfin d'anéantir la rébellion indépendantiste avec laquelle elle était aux prises depuis 15 ans. Le livre est immédiatement interdit, les stocks saisis, et l'écrivain né au Cameroun, professeur agrégé dans un lycée de Rouen, installé en France depuis vingt ans, se voit convoqué au (...) - 253 - janvier 2016 / ,
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Victoire partielle

Survie - Sat, 16/01/2016 - 14:54
Par un jugement rendu le 10 décembre, la Cour européenne de justice a déclaré illégal l'acte du 8 mars 2012 du Conseil de l'Union européenne relatif à la conclusion de l'accord agricole entre l'UE et le Maroc. Il s'agit d'une victoire pour le Front Polisario qui avait saisi cette juridiction trois ans plus tôt, et d'un désaveu pour l'UE qui cautionne la politique coloniale du royaume marocain sur le Sahara occidental. Mais rappelons qu'il existe également, depuis 2013, un autre accord de coopération signé (...) - 253 - janvier 2016 / , ,
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Justice pour Sankara ?

Survie - Sat, 16/01/2016 - 14:51
L'échec du putsch mené par le général Diendéré et l'ex Régiment de Sécurité présidentiel (RSP) a­-t­-il sonné le glas de l'impunité au Burkina ? La justice militaire burkinabé vient en effet de lancer un mandat d'arrêt contre Blaise Compaoré, accusé, comme Diendéré, d'« assassinat, attentat et recel de cadavre » au sujet de Sankara. 27 ans après sa prise du pouvoir, l'ex-­autocrate sera­-t­-il enfin jugé pour le crime fondateur de son régime ? En exil en Côte d'Ivoire où il a été exfiltré par l'armée française, il a (...) - 253 - janvier 2016 / , ,
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Le retour des morts-vivants

Survie - Sat, 16/01/2016 - 14:46
La liste de ceux qui n'en finissent pas de signer « l'acte de décès de la Françafrique », selon l'expression de Bockel, l'ex et éphémère secrétaire d'État de Nicolas Sarkozy, n'en finit pas de s'allonger, au point qu'on s'étonne de cet acharnement sur un cadavre déjà maintes fois enterré. Le mois dernier, c'est Jean-­David Levitte, conseiller diplomatique sous Chirac et Sarkozy, qui affirmait : « La Françafrique a complètement disparu et depuis longtemps. C'est une époque révolue. » (JeuneAfrique.com, 13/11). Ce (...) - 253 - janvier 2016 / , , ,
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Déchéance d'une nation

Survie - Sat, 16/01/2016 - 14:41
L'année 2015 aura été une année faste pour le terrorisme, puisque les tristes événements de janvier et de novembre auront justifié de graves atteintes aux libertés individuelles, notamment au droit à la sûreté et au respect de sa vie privée ainsi qu'à la liberté d'aller et venir et autres droits constitutionnellement protégés en théorie, avec l'accord de tous les partis représentés au Parlement. Moins de dix hommes n'auraient pas pu à eux seuls mettre ainsi à bas ces grands principes démocratiques s'ils (...) - 253 - janvier 2016 / , , ,
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Derrière l’attaque meurtrière à Ouagadougou (Burkina Faso)

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sat, 16/01/2016 - 12:40
Au moment où, paniqués par la progression de Daesh en Libye, certains en sont quasiment arrivés à croire qu’il était possible de soutenir une partie des jihadistes contre les autres, le massacre commis à Ouagadougou venant après celui de l’hôtel Radisson de Bamako le 20 novembre 2015, rappelle que nous sommes en présence d’un même phénomène. Comme en Syrie, où le président Poutine ne cesse de  dire qu’il n’y a pas plus de jihadistes « modérés » qu’au Sahel.Au-delà de la description événementielle et journalistique, l’analyse du massacre qui vient de se produire à Ouagadougou peut se faire autour de quatre points : 
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Libye : le retour des apprentis-sorciers

Survie - Sat, 16/01/2016 - 11:44
Tandis qu'un accord fragile a été imposé sous l'égide de l'ONU, une coalition internationale se met en place pour combattre l'organisation État islamique en Libye. Il y a un peu plus d'un an, le ministère de la Défense commençait à préparer les esprits à une nouvelle intervention militaire en Libye, avec comme point d'orgue les appels en ce sens de quelques chefs d'État africains au sommet de Dakar sur la sécurité (cf. Billets n°242, janvier 2015). Mais « les Affaires étrangères étaient, jusqu'à présent, (...) - 253 - janvier 2016 / , , ,
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Terreur d'état à Djibouti

Survie - Sat, 16/01/2016 - 09:14
Pour tenter de conserver sa présence à Djibouti, la diplomatie française sacrifie une fois de plus la population, les opposants et les défenseurs des droits humains livrés à la répression sanglante du régime. Aux élections législatives du 22 février 2013 à Djibouti, l'USN (Union pour le Salut National, qui regroupe les 7 partis d'opposition) avait présenté des candidats après plusieurs scrutins boycottés. Officiellement la coalition (UMP) qui soutient le dictateur Ismaël Omar Guelleh, au pouvoir depuis (...) - 253 - janvier 2016 / , , ,
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« Situation de pré-génocide »

Survie - Sat, 16/01/2016 - 08:37
Depuis la réélection truquée du président Pierre Nkurunziza pour un troisième mandat illégitime en juillet 2015, le Burundi semble s'approcher progressivement du précipice. Jean François Dupaquier, journaliste auteur de plusieurs ouvrages sur le Burundi et le Rwanda, nous livre son analyse. Comment appréciez-vous la situation politique aujourd'hui au Burundi ? Nous voyons s'installer une situation de pré-génocide. Ne jouons pas les prophètes de malheur. Un génocide n'est jamais une « fatalité ». Il (...) - 253 - janvier 2016 / , , ,
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Terreur de l'anti-terrorisme

Survie - Sat, 16/01/2016 - 08:07
Les définitions usuelles du « terrorisme » renvoient aujourd'hui aux actions violentes de groupes visant à déstabiliser une société ou un État. Étymologiquement, le mot désignait pourtant, à la Révolution française, la doctrine des partisans de la Terreur ... une politique d'État. Il n'y a aucune raison de limiter la portée lexicale du mot : « terrorisme » doit qualifier le recours à des moyens « terrifiants » dans la poursuite d'un but politique – comme le « terrorisme bonapartiste » dénoncé par Victor Hugo. (...) - 252 - décembre 2015 /
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