Deux semaines après son carnage dans une boîte gay de Floride, Omar Mateen reste largement une énigme pour le FBI, les experts lui trouvant toutefois des points communs avec d'autres meurtriers de sa trempe aux Etats-Unis.
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Au moins 82 personnes, dont 58 civils, ont été tuées samedi dans des raids de l'aviation russe et du régime syrien sur Deir Ezzor (est), contrôlée par le groupe Etat islamique (EI), selon un nouveau bilan de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
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La cérémonie de remise des dons s’est déroulée, jeudi 23 juin, à la Direction générale de Sotelma-Malitel. C’était en présence du Directeur général de Sotelma-Malitel, des responsables de la société, des représentants des CSCOM bénéficiaires et de la Fenascom. Ces dons de médicaments et de matériels médicaux ont été remis aux Centres de santé communautaires de Koulouba, Samé et de Medina-coura.
Outre, la remise des matériels de santé, la Sotelma-Malitel a réalisé des travaux de rénovation de certains centres de santé de Bamako et de l’intérieur. S’y ajoutent des forages dans certaines localités
Le Directeur de la Sotelma-Malitel, Mohamed Morchi, a demandé aux bénéficiaires de faire un bon usage des matériels avant d’assurer que sa société s’engage à perpétuer cette action au profit des populations défavorisées.
« D’autres actions humanitaires vont suivre dans les mois à venir, parce que nous allons renforcer ce côté citoyenneté de la société », a fait savoir le DG de la Sotelma-Malitel.
La liste des matériels N° ARTICLES Qté 1 Microscope Electronique 1 2 Echographie 1 3 Appareil à hemocue 301 1 4 Table gynécologique 1 5 Agitateur 1 6 Spectrophotomètre 1 7 Boite d’accouchement 1 8 Bassins de lit plat 4 9 Table gynécologique locale pour les consultations post-natales 1 10 Chariot à pansement locale pour soins 1 11 Tensiomètre avec stéthoscope 1 12 Table bureau dessus bois locale 1 13 Plateau d’accouchement 1 14 Toise adulte 1 15 Paravent locale 1 16 Ciseaux droit 8 17 Pinces à Dissèque 6 18 Pinces Kocher 6 19 Haricot réniforme 21 20 Lampe gynécologique locale 1 21 lampe scialytique 1 22 Gants d’examen, 130 23 Alcool 90° 51 24 coton 60 25 Bétadine solution 44 26 Lian Scénic adulte 2 27 CRP – 100 Test 3 28 Cholestérol HDL directe 40 ml 3 29 Cholestérol LDL directe 40 ml 3 30 Glucose 4 X 100 ml 3 31 Créatinine 4 X 100 ml 3 32 Calcium OCC 4 X 100 ml 3 33 AST 3 X 100 ml 3 34 ALT / GPT 3 X 100 ml 3 35 Acide urique 4 X 100 ml 3
La rédaction
Onze personnes ont été tuées samedi dans une nouvelle attaque des insurgés islamistes somaliens shebab contre un hôtel de la capitale Mogadiscio avec un mode opératoire désormais éprouvé: l’explosion d’une voiture piégée suivie d’un commando qui pénètre dans l’établissement.
« Les forces spéciales ont mis fin à leur siège après avoir tué trois assaillants à l’intérieur de l’hôtel. Onze civils, dont deux médecins, ont été tués dans l’attaque », a déclaré à la presse le porte-parole du ministre de la Sécurité, Abdi Kamil Shukri. Outre ces victimes, l’attaque a fait une vingtaine de blessés, selon l’un des responsables des secours.
Il était environ 16H30 (13H30 GMT) samedi lorsqu’une forte déflagration a secoué la capitale somalienne, suivie d’un épais panache de fumée s’élevant dans le ciel bleu de Mogadiscio: les shebab venaient de faire exploser une voiture piégée conduite par un kamikaze contre l’enceinte de l’hôtel Naasa Hablood, situé dans la partie sud de la ville.
Dans la foulée, un photographe de l’AFP et plusieurs témoins ont entendu des tirs à l’arme automatique en provenance de la direction de l’hôtel. Cauchemar des forces de sécurité, le commando avait réussi à pénétrer dans le Naasa Hablood, un établissement souvent fréquenté par des hommes politiques et des membres de la diaspora somalienne.
Très rapidement après le début de l’attaque, le quartier avait été bouclé par les forces de sécurité somaliennes qui entamaient alors un siège de plusieurs heures. Selon un témoin, Adan Ibrahim, un nombre indéterminé de personnes a pu fuir l’hôtel grâce à une porte située à l’arrière de l’établissement.
Comme souvent, les shebab ont revendiqué l’attaque alors que celle-ci était encore en cours. « Des membres lourdement armés de la brigade commando des combattants shebab ont lancé une attaque coordonnée contre l’hôtel Naasa Hablood cet après-midi », ont-ils déclaré dans un communiqué posté sur le compte Telegram de leur antenne Radio Andalus.
Le communiqué précise que l’attaque a débuté par l’explosion d’une voiture piégée conduite par un kamikaze, pour permettre au commando, dont on ignore le nombre, de pénétrer dans l’hôtel.
– Stocks d’explosifs –
Les shebab, affiliés à Al-Qaïda, ont mené ces derniers mois plusieurs opérations en tous points similaires contre certains des hôtels les plus en vue de la capitale somalienne
L’attaque de samedi intervient un peu plus de trois semaines après celle de l’hôtel Ambassador, qui avait fait 10 morts le 1er juin. Le face-à-face entre les assaillants et les forces de sécurité avaient alors duré plus de douze heures.
Le 1er novembre dernier, une douzaine de personnes avaient été tuées dans l’attaque de l’hôtel Sahafi, situé au centre de Mogadiscio et fréquenté par des parlementaires, des fonctionnaires et des hommes d’affaires.
Plus récemment, fin février, les shebab avaient aussi attaqué l’hôtel YSL situé dans le centre-ville de la capitale somalienne avec une voiture remplie d’explosifs. Mais ils n’étaient pas parvenus à pénétrer dans l’établissement.
Confrontés à la puissance de feu supérieure de la force de l’Union africaine en Somalie (Amisom), déployée depuis 2007 en Somalie, les shebab ont été chassés de Mogadiscio en août 2011.
Ils ont ensuite perdu l’essentiel de leurs bastions mais contrôlent toujours de vastes zones rurales d’où ils orchestrent des opérations de guérilla et des attentats-suicides – souvent jusque dans la capitale – contre les symboles du fragile gouvernement somalien ou contre l’Amisom.
Ces derniers mois, ils ont ainsi revendiqué des opérations spectaculaires, tant à Mogadiscio que contre des bases de l’Amisom.
En janvier, les shebab avaient entièrement détruit une base du contingent kényan de l’Amisom à El-Adde, dans le sud de la Somalie, troisième attaque en quelques mois contre des bases de la mission africaine, au cours desquelles ils ont fait main basse sur de l’armement et d’importants stocks d’explosifs.
Au moins sept personnes ont été tuées samedi dans une nouvelle attaque des insurgés islamistes somaliens shebab contre un hôtel de la capitale Mogadiscio suivant un mode opératoire désormais éprouvé: l’explosion d’une voiture piégée suivie d’un commando qui pénètre dans l’établissement.
« L’attaque est terminée et tous les assaillants ont été tués », a déclaré à la presse, samedi dans la soirée, le maire de Mogadiscio, Yusuf Hussein Jimale, tout en refusant de donner des informations sur le nombre de victimes ou d’assaillants.
Selon des sources policière et médicale, le bilan de l’attaque est désormais d’au moins sept morts et plus de 20 blessés. Un précédent bilan faisait état de cinq morts.
Il était environ 16H30 (13H30 GMT) samedi lorsqu’une forte déflagration a secoué la capitale somalienne, suivie d’un épais panache de fumée s’élevant dans le ciel bleu de Mogadiscio: les shebab venaient de faire exploser une voiture piégée conduite par un kamikaze contre l’enceinte de l’hôtel Naasa Hablood, situé dans la partie sud de la ville.
Dans la foulée, un photographe de l’AFP et plusieurs témoins ont entendu des tirs à l’arme automatique en provenance de la direction de l’hôtel. Cauchemar des forces de sécurité, le commando avait réussi à pénétrer dans le Naasa Hablood, un établissement souvent fréquenté par des hommes politiques et des membres de la diaspora somalienne.
Très rapidement après le début de l’attaque, le quartier avait été bouclé par les forces de sécurité somaliennes qui entamaient alors un siège de plusieurs heures. Selon un témoin, Adan Ibrahim, un nombre indéterminé de personnes a pu fuir l’hôtel grâce à une porte située à l’arrière de l’établissement.
Comme souvent, les shebab ont revendiqué l’attaque alors que celle-ci était encore en cours. « Des membres lourdement armés de la brigade commando des combattants shebab ont lancé une attaque coordonnée contre l’hôtel Naasa Hablood cet après-midi », ont-ils déclaré dans un communiqué posté sur le compte Telegram de leur antenne Radio Andalus.
Le communiqué précise que l’attaque a débuté par l’explosion d’une voiture piégée conduite par un kamikaze, pour permettre au commando, dont on ignore le nombre, de pénétrer dans l’hôtel.
– Stocks d’explosifs –
Les shebab, affiliés à Al-Qaïda, ont mené ces derniers mois plusieurs opérations en tous points similaires contre certains des hôtels les plus en vue de la capitale somalienne
L’attaque de samedi intervient un peu plus de trois semaines après celle de l’hôtel Ambassador, qui avait fait 10 morts le 1er juin. Le face-à-face entre les assaillants et les forces de sécurité avaient alors duré plus de douze heures.
Le 1er novembre dernier, une douzaine de personnes avaient été tuées dans l’attaque de l’hôtel Sahafi, situé au centre de Mogadiscio et fréquenté par des parlementaires, des fonctionnaires et des hommes d’affaires.
Plus récemment, fin février, les shebab avaient aussi attaqué l’hôtel YSL situé dans le centre-ville de la capitale somalienne avec une voiture remplie d’explosifs. Mais ils n’étaient pas parvenus à pénétrer dans l’établissement.
Confrontés à la puissance de feu supérieure de la force de l’Union africaine en Somalie (Amisom), déployée depuis 2007 en Somalie, les shebab ont été chassés de Mogadiscio en août 2011.
Ils ont ensuite perdu l’essentiel de leurs bastions mais contrôlent toujours de vastes zones rurales d’où ils orchestrent des opérations de guérilla et des attentats-suicides – souvent jusque dans la capitale – contre les symboles du fragile gouvernement somalien ou contre l’Amisom.
Ces derniers mois, ils ont ainsi revendiqué des opérations spectaculaires, tant à Mogadiscio que contre des bases de l’Amisom.
En janvier, les shebab avaient entièrement détruit une base du contingent kényan de l’Amisom à El-Adde, dans le sud de la Somalie, troisième attaque en quelques mois contre des bases de la mission africaine, au cours desquelles ils ont fait main basse sur de l’armement et d’importants stocks d’explosifs.
Au moins cinq personnes ont été tuées dans une nouvelle attaque des insurgés islamistes somaliens shebab contre un hôtel de la capitale Mogadiscio suivant un mode opératoire désormais éprouvé: l’explosion d’une voiture piégée suivie d’un commando qui pénètre dans l’établissement.
Il était environ 16H30 (13H30 GMT) samedi lorsque une forte déflagration a secoué la capitale somalienne, suivie d’un épais panache de fumée s’élevant dans le ciel bleu de Mogadiscio: les shebab venaient de faire exploser une voiture piégée conduite par un kamikaze contre l’enceinte de l’hôtel Naasa Hablood, situé dans la partie sud de la ville.
Dans la foulée, un photographe de l’AFP et plusieurs témoins ont entendu des tirs à l’arme automatique en provenance de la direction de l’hôtel. Cauchemar des forces de sécurité, le commando avait réussi à pénétrer dans le Naasa Hablood.
« Ce que nous savons, c’est qu’il y a au moins cinq victimes, dont trois gardes de sécurité, et six autres personnes sont blessées », a déclaré à l’AFP un responsable de la police, Ibrahim Mohamed, en fin d’après-midi.
A 19H00, alors que la nuit était tombée sur la capitale somalienne, des coups de feu sporadiques en provenance de l’hôtel étaient encore entendus, selon des témoins.
On ignorait en début de soirée si un ou plusieurs assaillants étaient encore retranchés dans le Naasa Hablood, un établissement souvent fréquenté par des hommes politiques et des membres de la diaspora somalienne.
Toutefois, selon le responsable policier Ibrahim Mohamed, « les forces de sécurité ont réussi à investir l’hôtel et sont en train de finir de le sécuriser ». Très rapidement après le début de l’attaque, le quartier avait été bouclé par les autorités et les journalistes étaient dans l’impossibilité de s’approcher de l’hôtel.
Par ailleurs, un témoin, Adan Ibrahim, a expliqué à l’AFP qu’un nombre indéterminé de personnes avaient pu fuir l’hôtel pendant l’attaque grâce à une porte située à l’arrière de l’établissement.
Comme souvent, les shebab ont revendiqué l’attaque alors que celle-ci était encore en cours, dans un communiqué posté sur les réseaux sociaux.
« Des membres lourdement armés de la brigade commando des combattants shebab ont lancé une attaque coordonnée contre l’hôtel Naasa Hablood cet après-midi », ont-ils déclaré dans ce communiqué posté sur le compte Telegram de leur antenne Radio Andalus.
Le communiqué précise que l’attaque a débuté par l’explosion d’une voiture piégée conduite par un kamikaze, pour permettre au commando, dont on ignore le nombre, de pénétrer dans l’hôtel.
– Stocks d’explosifs –
Les shebab, affiliés à Al-Qaïda, ont mené ces derniers mois plusieurs opérations en tous points similaires contre certains des hôtels les plus en vue de la capitale somalienne
L’attaque de samedi intervient un peu plus de trois semaines après celle de l’hôtel Ambassador, qui avait fait 10 morts le 1er juin. Le face-à-face entre les assaillants et les forces de sécurité avaient alors duré plus de douze heures.
Le 1er novembre dernier, une douzaine de personnes avaient été tuées dans l’attaque de l’hôtel Sahafi, situé au centre de Mogadiscio et fréquenté par des parlementaires, des fonctionnaires et des hommes d’affaires.
Plus récemment, fin février, les shebab avaient aussi attaqué l’hôtel YSL situé dans le centre-ville de la capitale somalienne avec une voiture remplie d’explosifs. Mais ils n’étaient pas parvenus à pénétrer dans l’établissement.
Confrontés à la puissance de feu supérieure de la force de l’Union africaine en Somalie (Amisom), déployée en 2007 en Somalie, les shebab ont été chassés de Mogadiscio en août 2011.
Ils ont ensuite perdu l’essentiel de leurs bastions mais ils contrôlent toujours de vastes zones rurales d’où ils mènent des opérations de guérilla et des attentats-suicides – souvent jusque dans la capitale – contre les symboles du fragile gouvernement somalien ou contre l’Amisom.
Ces derniers mois, ils ont revendiqué des opérations spectaculaires, tant à Mogadiscio que contre des bases de l’Amisom.
En janvier, ils avaient ainsi entièrement détruit une base du contingent kényan de l’Amisom à El-Adde, dans le sud de la Somalie, troisième attaque en quelques mois contre des bases de la mission africaine, au cours desquelles les shebab ont fait main basse sur de l’armement et d’importants stocks d’explosifs.