En mai, la Corée du Sud fit savoir qu’elle renonçait à doter sa marine de son premier porte-avions, dans le cadre du programme CV-X, alors que celui-ci avait été maintenu dans le plan de défense 2024-28, présenté en décembre 2023. Et que, par conséquent, elle annulerait son projet d’acquérir vingt chasseurs-bombardiers F-35B de type STOVL...
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Le Colonel Thomas SAVADOGO, Commandant de la Brigade des Volontaires pour la Défense de la Patrie (BVDP), a conduit une visite d'immersion des membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du Fonds de Soutien Patriotique (FSP) sur le terrain, le mardi 08 Juillet 2025 dans la région du Centre-Nord (Kuilsé).
L'objectif de la visite était de permettre aux membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP de prendre la mesure de l'impact de l'utilisation des ressources du FSP dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Sur le terrain, les membres ont pu toucher du doigt les acquis engrangés grâce aux ressources du FSP notamment les dotations en moyens roulants et équipements de combat aux VDP, les nombreux villages réinstallés, les travaux de sécurisation desdits villages, les travaux d'aménagement des voies selon les standards de route nationale, etc.
C'est une population reconnaissante qui s'est mobilisée de façon spontanée pour remercier les plus hautes autorités du pays et témoigner sa gratitude aux unités combattantes grâce à qui elle a retrouvé sa dignité et sa liberté de mouvement. Elle assure que la situation est stable dans ces localités respectives « Avant on ne pouvait même pas sortir, mais aujourd'hui nous arrivons à papoter jusqu'à minuit et vaquer à nos occupations sans soucis », a expliqué un habitant.
Les membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP rassurés de la bonne utilisation des ressources affectées à la lutte contre le terrorisme et à la reconquête de l'intégrité du territoire ont regagné Ouagadougou avec l'engagement d'œuvrer davantage au renforcement de la mobilisation des Burkinabè de l'intérieur et de la diaspora en faveur du financement des efforts de lutte contre le terrorisme.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la BVDP
Le Colonel Thomas SAVADOGO, Commandant de la Brigade des Volontaires pour la Défense de la Patrie (BVDP), a conduit une visite d'immersion des membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du Fonds de Soutien Patriotique (FSP) sur le terrain, le mardi 08 Juillet 2025 dans la région du Centre-Nord (Kuilsé).
L'objectif de la visite était de permettre aux membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP de prendre la mesure de l'impact de l'utilisation des ressources du FSP dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Sur le terrain, les membres ont pu toucher du doigt les acquis engrangés grâce aux ressources du FSP notamment les dotations en moyens roulants et équipements de combat aux VDP, les nombreux villages réinstallés, les travaux de sécurisation desdits villages, les travaux d'aménagement des voies selon les standards de route nationale, etc.
C'est une population reconnaissante qui s'est mobilisée de façon spontanée pour remercier les plus hautes autorités du pays et témoigner sa gratitude aux unités combattantes grâce à qui elle a retrouvé sa dignité et sa liberté de mouvement. Elle assure que la situation est stable dans ces localités respectives « Avant on ne pouvait même pas sortir, mais aujourd'hui nous arrivons à papoter jusqu'à minuit et vaquer à nos occupations sans soucis », a expliqué un habitant.
Les membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP rassurés de la bonne utilisation des ressources affectées à la lutte contre le terrorisme et à la reconquête de l'intégrité du territoire ont regagné Ouagadougou avec l'engagement d'œuvrer davantage au renforcement de la mobilisation des Burkinabè de l'intérieur et de la diaspora en faveur du financement des efforts de lutte contre le terrorisme.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la BVDP
Le Directeur Général des Douanes, l'Inspecteur divisionnaire Yves KAFANDO, a effectué, ce mardi 8 juillet 2025, une série de visites de courtoisie et de prise de contact auprès des plus hautes autorités des Forces de Défense et de Sécurité (FDS), dans le cadre du renforcement de la collaboration interinstitutionnelle.
Cette tournée a conduit le premier responsable de l'administration douanière successivement à l'État-Major Général des Armées, au Commandement de la Gendarmerie nationale, puis à la Direction Générale de la Police nationale.
Ces rencontres avaient pour objectif de consolider les liens de coopération et de renforcer la synergie d'action entre les Douanes et les FDS, face aux défis communs liés à la lutte contre la fraude, à la sécurisation des frontières et à la protection de l'économie nationale.
Le Directeur Général des Douanes a exprimé sa volonté d'œuvrer dans la continuité et a sollicité l'accompagnement des FDS dans l'accomplissement des missions régaliennes de l'administration douanière.
Le Chef d'État-Major Général des Armées, le Général de Brigade Moussa DIALLO, le Chef d'État-Major de la Gendarmerie nationale, le Colonel Kouagri NATAMA, et le Directeur Général de la Police nationale, l'Inspecteur général de police Wennélebsida Jean Alexandre DARGA, rencontrés à cette occasion, ont salué cette démarche et réaffirmé leur disponibilité à soutenir la Douane dans ses efforts de sécurisation du territoire et de lutte contre les trafics illicites.
Ces échanges témoignent de l'engagement partagé des institutions en charge de la défense et de la sécurité pour la stabilité et le développement du Burkina Faso.
Lefaso.net
Source : Douanes du Burkina Faso
For the first time ever during a display, the RAF Red Arrows will fuel their jets with Sustainable Aviation Fuel at 2025’s Royal International Air Tattoo. The usually diesel-fueled smoke pod will also switch to a biofuel based on vegetable oil. Sustainable Aviation Fuel (SAF) has been trialed by the Royal Air Force since 2020, […]
The post Red Arrows Display at RIAT 2025 Will Use Sustainable Aviation Fuel appeared first on The Aviationist.
Les résultats tant attendus du Certificat de qualification professionnelle (CQP) ont été officiellement proclamés le mardi 8 juillet 2025 à Toma, chef-lieu de la province. Le Nayala qui a accueilli pour la toute première fois cette année, un centre d'examen, enregistre 89 admis sur 91 candidats présents, soit un taux de réussite de 97,80%.
Deux jurys étaient concernés par cette session inédite : le jury 239, relatif à la spécialité couturier, et le jury 253, consacré à la spécialité Teinturier-tisseur. Au total, 112 candidats (exclusivement féminins) étaient inscrits pour ces deux spécialités.
Pour la spécialité couturier (jury 239), 46 candidates étaient inscrites. Après l'absence de 9 d'entre elles, ce sont 37 candidates qui ont effectivement pris part aux épreuves. Sur ce nombre, 35 ont été déclarées admises, soit un taux de réussite de 94,59 %.
Du côté de la spécialité teinturier-tisseur (jury 253), 66 candidates étaient attendues. Malgré 12 absences, les 54 candidates présentes ont toutes été admises, enregistrant ainsi un taux de réussite de 100 %.
À l'échelle provinciale, les résultats cumulatifs révèlent 89 admis sur 91 candidats présents, soit un taux global de réussite de 97,80 %. Ce score exceptionnel place le Nayala parmi les provinces les plus performantes du pays pour cette session 2025 du CQP.
L'organisation d'un centre d'examen dans la province représente une avancée significative pour l'accès à la certification professionnelle, notamment pour les jeunes filles et les jeunes femmes en quête de qualification et d'autonomisation. Cette première édition, marquée par un fort taux de réussite, témoigne non seulement de la qualité de l'encadrement mais aussi de la motivation des apprenantes.
Y.I K-Z
Lefaso.net
Les vitrines RSE qui sont une plateforme de célébration des efforts des acteurs du privé en lien avec la responsabilité sociétale des entreprises, se sont tenues du 26 au 28 juin 2025 à Ouagadougou. Au cours de cette édition, deuxième du genre, Nestlé Burkina a été auréolé de deux prix. Il s'agit du prix pour le meilleur engagement dans le domaine de l'industrie et du prix spécial pour l'accompagnement de la jeunesse. Ces distinctions à en croire Omaro Kane, directeur de la communication et des affaires publiques de Nestlé Burkina, sont une reconnaissance de l'ensemble des programmes impactants conduits par Nestlé Burkina au profit de la population en général et des jeunes en particulier. Dans l'interview qu'il nous a accordé, il revient sur les programmes menés ainsi que sur les prochaines actions qui seront déroulées au profit de la jeunesse.
Lefaso.net : Nestlé Burkina a récemment remporté deux distinctions lors des vitrines RSE, parlez-nous de votre participation à cette initiative.
Omaro Kane : Nestlé Burkina a été contacté par le commissariat des vitrines RSE qui lui a présenté l'initiative. Après cela, nous avons cherché à bien comprendre l'initiative, les critères d'évaluation, les catégories qui faisaient l'objet de compétition. Une fois que nous avons pris connaissance de tout cela via l'appel à candidature, Nestlé Burkina a postulé dans deux catégories. Il faut noter qu'il y a plusieurs secteurs comme les mines, les banques, etc. Et nous avons postulé pour le secteur de l'industrie et les initiatives environnementales.
Qu'est ce qui, selon vous, a demarqué Nestlé Burkina de ses challengers et qui a valu ces distinctions ?
Nous avons obtenu le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE. Le deuxième prix que nous avons reçu est une reconnaissance sous forme de prix spécial, reconnaissant l'ensemble de nos initiatives en faveur de l'employabilité et l'entreprenariat des jeunes.
Nestlé Burkina a reçu deux distinctions au cours des vitrines RSEJe dirai que ce qui nous a démarqué des autres, ce sont principalement trois aspects. La première est la qualité de nos initiatives, la deuxième est relative à l'impact qui est créé chez les bénéficiaires et le troisième élément c'est le long terme. De ce que nous avons compris, le jury a particulièrement apprécié le portefeuille élargi d'initiatives que nous avons pour les jeunes. Nous avons une diversité de projets qui visent à employer les jeunes peu importe leur niveau d'études. Qu'ils soient allés à l'école ou pas, Nestlé Burkina développe des programmes relatifs à l'entreprenariat dans la vente de boissons chaudes. Ce programme permet aux jeunes, peu importe leur niveau d'études, de se lancer dans ce business et de réussir à avoir des revenus moyens qui tournent autour de 100.000 FCFA par mois.
En plus de ce programme nous avons d'autres initiatives en lien avec l'entreprenariat. Nous avons un programme de formation digitale qui permet à tout jeune qui se trouve au Burkina Faso, d'aller sur notre plateforme mondiale (www.nestleyouthentrepreneurship.com), de s'inscrire et de suivre des cours sur comment lancer un business de l'idée à sa matérialisation et cette formation est assortie d'un certificat. Nous avons un autre programme qui vise à stimuler l'entreprenariat chez les jeunes étudiants. Aujourd'hui, seulement 10% des étudiants qui se retrouvent sur le marché de l'emploi ont des opportunités directes. Il y a donc 90% qui se retrouve de façon indirecte sur le marché de l'entreprenariat. Nestlé campus challenge permet donc à des jeunes issus des universités, de participer à un concours d'entreprenariat pour stimuler l'esprit d'entreprenariat pendant qu'ils sont toujours sur les bancs. Nous avons également un programme de formation professionnelle avec Chef André par rapport à son centre de formation aux métiers de bouche. À cela s'ajoutent les forums que nous initions sur l'employabilité notamment. Je pense que c'est cet ensemble d'initiatives qui a motivé le jury à decerner à Nestlé le prix spécial pour les initiatives jeunes.
La première distinction est le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE.Le deuxième prix que nous avons reçu est relatif à l'initiative industrie. L'industrie alimentaire est faite de produits mais aussi d'emballages. Aujourd'hui chez Nestlé, tout emballage marketing que nous produisons est récupéré après utilisation et recyclé et transformé en tables-bancs. Et en synergie avec le ministère de l'Éducation, nous identifions des écoles et nous remettons ces tables-bancs. Nous implémentons ce projet depuis trois ans avec environ 700 tables-bancs déjà distribués et qui bénéficient chaque année à un peu plus de 1 500 écoliers.
Comment est-ce que Nestlé accueille ces deux prix ? Que représentent-ils pour vous ?
C'est déjà une reconnaissance donc c'est une fierté. Nous aimons bien dire que nous sommes fiers d'être Nestlé. Et nous sommes encore plus fiers lorsque nous créons plus d'impact. Pour nous, ces distinctions confirment la vision de Nestlé, qui est d'être une force au service du bien. Être une force, c'est parce que nous sommes leader mondial dans l'alimentaire, ce qui signifie que notre responsabilité est grande. Et cette force que nous avons doit être au service du bien donc le bien nutritionnel parce que c'est notre corps de métier. Et au-delà des aspects nutritionnels, il y a les aspects communautaires et planétaires.
La deuxième distinction est un prix spécial récompensant l'engagement de Nestlé dans l'accompagnement de la jeunesseCette reconnaissance est aussi un appel à faire plus et cet appel nécessite l'implication de tout le monde. C'est un appel à faire une synergie d'action avec d'autres entreprises, des organisations de la société civile mais aussi avec le gouvernement. Et ces prix sont aussi des prix qui reviennent au gouvernement parce que tout ce que l'on fait est en droite ligne avec les stratégies du gouvernement et nous nous assurons que tout ce qui est fait est associé avec les autorités gouvernementales donc pour nous c'est une satisfaction partagée.
Ces distinctions reçues tout en reconnaissant vos efforts sont sûrement une invite à la persévérance, quelles sont vos perspectives en matière d'accompagnement des jeunes pour les jours à venir ?
Nous allons continuer à faire ce que nous faisons, car nous estimons que ce qui est fait est déjà bien. Nous allons chercher à être le plus stable possible dans ce que nous faisons et renforcer la collaboration avec les parties prenantes. Notre fierté c'est de voir un jeune qui participe à un programme d'entreprenariat de Nestlé et qui arrive à s'installer, voir son business grandir. Nous allons donc nous assurer de maintenir la stabilité de ce que nous faisons et étendre ces projets à d'autres localités. Pour le cas par exemple du programme Nestlé campus challenge, la deuxième phase va s'ouvrir à plus de jeunes. Nous allons passer de 10 à 15 universités. Nous avons également un programme de stages en gestation et qui sera disponible très bientôt. Il va permettre à plusieurs jeunes d'avoir des stages d'immersion sur une période de deux à trois mois chez Nestlé Burkina. Pour ce qui est de l'aspect durabilité environnementale, le nombre de tables-bancs distribués va être porté à 1 000 à la rentrée prochaine car nous allons ajouter 300 autres tables-bancs.
Un dernier mot ?
Rejoignons nos forces ! Nestlé aujourd'hui est lauréat de ces prix, en réalité les véritables lauréats ce sont les bénéficiaires. C'est également un appel au secteur privé. Nous sommes une force donc regardons les synergies d'actions là où nos intérêts coïncident pour faire plus d'impact. Continuons la collaboration avec la société civile locale et travaillons en synergie avec la stratégie gouvernementale. Nestlé est présent au Burkina Faso pour le long terme et nous continuerons d'impacter.
Propos recueillis par Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Auguste Paré
Lefaso.net
Les vitrines RSE qui sont une plateforme de célébration des efforts des acteurs du privé en lien avec la responsabilité sociétale des entreprises, se sont tenues du 26 au 28 juin 2025 à Ouagadougou. Au cours de cette édition, deuxième du genre, Nestlé Burkina a été auréolé de deux prix. Il s'agit du prix pour le meilleur engagement dans le domaine de l'industrie et du prix spécial pour l'accompagnement de la jeunesse. Ces distinctions à en croire Omaro Kane, directeur de la communication et des affaires publiques de Nestlé Burkina, sont une reconnaissance de l'ensemble des programmes impactants conduits par Nestlé Burkina au profit de la population en général et des jeunes en particulier. Dans l'interview qu'il nous a accordé, il revient sur les programmes menés ainsi que sur les prochaines actions qui seront déroulées au profit de la jeunesse.
Lefaso.net : Nestlé Burkina a récemment remporté deux distinctions lors des vitrines RSE, parlez-nous de votre participation à cette initiative.
Omaro Kane : Nestlé Burkina a été contacté par le commissariat des vitrines RSE qui lui a présenté l'initiative. Après cela, nous avons cherché à bien comprendre l'initiative, les critères d'évaluation, les catégories qui faisaient l'objet de compétition. Une fois que nous avons pris connaissance de tout cela via l'appel à candidature, Nestlé Burkina a postulé dans deux catégories. Il faut noter qu'il y a plusieurs secteurs comme les mines, les banques, etc. Et nous avons postulé pour le secteur de l'industrie et les initiatives environnementales.
Qu'est ce qui, selon vous, a demarqué Nestlé Burkina de ses challengers et qui a valu ces distinctions ?
Nous avons obtenu le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE. Le deuxième prix que nous avons reçu est une reconnaissance sous forme de prix spécial, reconnaissant l'ensemble de nos initiatives en faveur de l'employabilité et l'entreprenariat des jeunes.
Nestlé Burkina a reçu deux distinctions au cours des vitrines RSEJe dirai que ce qui nous a démarqué des autres, ce sont principalement trois aspects. La première est la qualité de nos initiatives, la deuxième est relative à l'impact qui est créé chez les bénéficiaires et le troisième élément c'est le long terme. De ce que nous avons compris, le jury a particulièrement apprécié le portefeuille élargi d'initiatives que nous avons pour les jeunes. Nous avons une diversité de projets qui visent à employer les jeunes peu importe leur niveau d'études. Qu'ils soient allés à l'école ou pas, Nestlé Burkina développe des programmes relatifs à l'entreprenariat dans la vente de boissons chaudes. Ce programme permet aux jeunes, peu importe leur niveau d'études, de se lancer dans ce business et de réussir à avoir des revenus moyens qui tournent autour de 100.000 FCFA par mois.
En plus de ce programme nous avons d'autres initiatives en lien avec l'entreprenariat. Nous avons un programme de formation digitale qui permet à tout jeune qui se trouve au Burkina Faso, d'aller sur notre plateforme mondiale (www.nestleyouthentrepreneurship.com), de s'inscrire et de suivre des cours sur comment lancer un business de l'idée à sa matérialisation et cette formation est assortie d'un certificat. Nous avons un autre programme qui vise à stimuler l'entreprenariat chez les jeunes étudiants. Aujourd'hui, seulement 10% des étudiants qui se retrouvent sur le marché de l'emploi ont des opportunités directes. Il y a donc 90% qui se retrouve de façon indirecte sur le marché de l'entreprenariat. Nestlé campus challenge permet donc à des jeunes issus des universités, de participer à un concours d'entreprenariat pour stimuler l'esprit d'entreprenariat pendant qu'ils sont toujours sur les bancs. Nous avons également un programme de formation professionnelle avec Chef André par rapport à son centre de formation aux métiers de bouche. À cela s'ajoutent les forums que nous initions sur l'employabilité notamment. Je pense que c'est cet ensemble d'initiatives qui a motivé le jury à decerner à Nestlé le prix spécial pour les initiatives jeunes.
La première distinction est le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE.Le deuxième prix que nous avons reçu est relatif à l'initiative industrie. L'industrie alimentaire est faite de produits mais aussi d'emballages. Aujourd'hui chez Nestlé, tout emballage marketing que nous produisons est récupéré après utilisation et recyclé et transformé en tables-bancs. Et en synergie avec le ministère de l'Éducation, nous identifions des écoles et nous remettons ces tables-bancs. Nous implémentons ce projet depuis trois ans avec environ 700 tables-bancs déjà distribués et qui bénéficient chaque année à un peu plus de 1 500 écoliers.
Comment est-ce que Nestlé accueille ces deux prix ? Que représentent-ils pour vous ?
C'est déjà une reconnaissance donc c'est une fierté. Nous aimons bien dire que nous sommes fiers d'être Nestlé. Et nous sommes encore plus fiers lorsque nous créons plus d'impact. Pour nous, ces distinctions confirment la vision de Nestlé, qui est d'être une force au service du bien. Être une force, c'est parce que nous sommes leader mondial dans l'alimentaire, ce qui signifie que notre responsabilité est grande. Et cette force que nous avons doit être au service du bien donc le bien nutritionnel parce que c'est notre corps de métier. Et au-delà des aspects nutritionnels, il y a les aspects communautaires et planétaires.
La deuxième distinction est un prix spécial récompensant l'engagement de Nestlé dans l'accompagnement de la jeunesseCette reconnaissance est aussi un appel à faire plus et cet appel nécessite l'implication de tout le monde. C'est un appel à faire une synergie d'action avec d'autres entreprises, des organisations de la société civile mais aussi avec le gouvernement. Et ces prix sont aussi des prix qui reviennent au gouvernement parce que tout ce que l'on fait est en droite ligne avec les stratégies du gouvernement et nous nous assurons que tout ce qui est fait est associé avec les autorités gouvernementales donc pour nous c'est une satisfaction partagée.
Ces distinctions reçues tout en reconnaissant vos efforts sont sûrement une invite à la persévérance, quelles sont vos perspectives en matière d'accompagnement des jeunes pour les jours à venir ?
Nous allons continuer à faire ce que nous faisons, car nous estimons que ce qui est fait est déjà bien. Nous allons chercher à être le plus stable possible dans ce que nous faisons et renforcer la collaboration avec les parties prenantes. Notre fierté c'est de voir un jeune qui participe à un programme d'entreprenariat de Nestlé et qui arrive à s'installer, voir son business grandir. Nous allons donc nous assurer de maintenir la stabilité de ce que nous faisons et étendre ces projets à d'autres localités. Pour le cas par exemple du programme Nestlé campus challenge, la deuxième phase va s'ouvrir à plus de jeunes. Nous allons passer de 10 à 15 universités. Nous avons également un programme de stages en gestation et qui sera disponible très bientôt. Il va permettre à plusieurs jeunes d'avoir des stages d'immersion sur une période de deux à trois mois chez Nestlé Burkina. Pour ce qui est de l'aspect durabilité environnementale, le nombre de tables-bancs distribués va être porté à 1 000 à la rentrée prochaine car nous allons ajouter 300 autres tables-bancs.
Un dernier mot ?
Rejoignons nos forces ! Nestlé aujourd'hui est lauréat de ces prix, en réalité les véritables lauréats ce sont les bénéficiaires. C'est également un appel au secteur privé. Nous sommes une force donc regardons les synergies d'actions là où nos intérêts coïncident pour faire plus d'impact. Continuons la collaboration avec la société civile locale et travaillons en synergie avec la stratégie gouvernementale. Nestlé est présent au Burkina Faso pour le long terme et nous continuerons d'impacter.
Propos recueillis par Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Auguste Paré
Lefaso.net
Ouagadougou, 8 juillet 2025. L'Institut des sciences des sociétés (CNRST) organise un colloque international les 10 et 11 juillet 2025 sur les langues, les langages numériques, l'intelligence artificielle et l'éducation en Afrique.
Dans un monde en constante évolution, l'essor du numérique et de l'intelligence artificielle (IA) modifie en profondeur les pratiques éducatives et l'apprentissage des langues. Ces nouvelles technologies proposent des traductions automatiques et des plateformes d'enseignements adaptatifs et intuitifs. En passant par les chatbots pédagogiques et les systèmes de reconnaissance vocale, elles redéfinissent la place de l'enseignant, les méthodes d'enseignement et les modes d'acquisition des compétences linguistiques.
Ainsi, les technologies numériques ont révolutionné l'enseignement/ l'apprentissage des langues en facilitant l'accès à une variété de ressources pédagogiques, encouragent l'apprentissage autonome et stimulent l'interaction entre apprenants à l'échelle mondiale.
Pour ce qui est de l'IA, elle apporte des perspectives nouvelles à l'enseignement des langues grâce à sa capacité à traiter d'importants volumes de données, à offrir des solutions personnalisées et à ses possibilités d'instrumentation des langues africaines et leur enseignement, …
Cependant, l'IA soulève des préoccupations éthiques concernant la collecte et l'utilisation des données par des apprenants, ainsi que son impact sur le rôle central de l'enseignant dans le processus éducatif. Mais en intégrant à bon escient les possibilités de l'IA, l'Afrique peut accélérer la mise en œuvre de l'Objectif de Développement Durable 4, visant à garantir une éducation équitable et de qualité pour tous.
Face à ce défi, la recherche joue un rôle déterminant d'où l'organisation de ce colloque, afin que les chercheurs et les universitaires proposent des réflexions pouvant aboutir à une exploitation intelligente et efficiente de l'IA en faveur de l'éducation. En effet, l'IA demeure un sujet central pour le monde de la recherche, du CNRST et de l'Institut des Sciences des Sociétés. Il offre un cadre d'expression pluridisciplinaire et les regards croisés permettront d'appréhender son impact sur nos sociétés dans leurs préoccupations au quotidien ; ainsi que les leviers d'adaptation pour réduire les risques liés à ses utilisations.
Pour ce faire, plusieurs dizaines de chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et autres professionnels du Burkina Faso, du Mali, de la Côte d'Ivoire, du Togo, de l'Algérie, du Gabon, de Madagascar, du Congo, sont annoncés à ce colloque international qui permettra d'analyser les implications des langues, des langages numériques et de l'intelligence artificielle pour l'éducation inclusive de qualité en Afrique.
Contacts :
Tél : (226) 25-35-55-94/25 35-88-68
E-mail : insscolloque25@gmail.com
Ouagadougou, 8 juillet 2025. L'Institut des sciences des sociétés (CNRST) organise un colloque international les 10 et 11 juillet 2025 sur les langues, les langages numériques, l'intelligence artificielle et l'éducation en Afrique.
Dans un monde en constante évolution, l'essor du numérique et de l'intelligence artificielle (IA) modifie en profondeur les pratiques éducatives et l'apprentissage des langues. Ces nouvelles technologies proposent des traductions automatiques et des plateformes d'enseignements adaptatifs et intuitifs. En passant par les chatbots pédagogiques et les systèmes de reconnaissance vocale, elles redéfinissent la place de l'enseignant, les méthodes d'enseignement et les modes d'acquisition des compétences linguistiques.
Ainsi, les technologies numériques ont révolutionné l'enseignement/ l'apprentissage des langues en facilitant l'accès à une variété de ressources pédagogiques, encouragent l'apprentissage autonome et stimulent l'interaction entre apprenants à l'échelle mondiale.
Pour ce qui est de l'IA, elle apporte des perspectives nouvelles à l'enseignement des langues grâce à sa capacité à traiter d'importants volumes de données, à offrir des solutions personnalisées et à ses possibilités d'instrumentation des langues africaines et leur enseignement, …
Cependant, l'IA soulève des préoccupations éthiques concernant la collecte et l'utilisation des données par des apprenants, ainsi que son impact sur le rôle central de l'enseignant dans le processus éducatif. Mais en intégrant à bon escient les possibilités de l'IA, l'Afrique peut accélérer la mise en œuvre de l'Objectif de Développement Durable 4, visant à garantir une éducation équitable et de qualité pour tous.
Face à ce défi, la recherche joue un rôle déterminant d'où l'organisation de ce colloque, afin que les chercheurs et les universitaires proposent des réflexions pouvant aboutir à une exploitation intelligente et efficiente de l'IA en faveur de l'éducation. En effet, l'IA demeure un sujet central pour le monde de la recherche, du CNRST et de l'Institut des Sciences des Sociétés. Il offre un cadre d'expression pluridisciplinaire et les regards croisés permettront d'appréhender son impact sur nos sociétés dans leurs préoccupations au quotidien ; ainsi que les leviers d'adaptation pour réduire les risques liés à ses utilisations.
Pour ce faire, plusieurs dizaines de chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et autres professionnels du Burkina Faso, du Mali, de la Côte d'Ivoire, du Togo, de l'Algérie, du Gabon, de Madagascar, du Congo, sont annoncés à ce colloque international qui permettra d'analyser les implications des langues, des langages numériques et de l'intelligence artificielle pour l'éducation inclusive de qualité en Afrique.
Contacts :
Tél : (226) 25-35-55-94/25 35-88-68
E-mail : insscolloque25@gmail.com