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KIJEV. Dzsamala (Jamala) krími tatár származású énekesnő nyerte meg az idei Eurovíziós Dalfesztivál ukrajnai döntőjét, így ő képviseli az országot a májusi stockholmi dalversenyen 1944 című dalával.

A PDD Zagreb drámai ütközetben maradt alul a Veszprémmel szemben (27:25) és ezze elszenvedte a hetedik vereségét is a BL csoportkörben. Hogy milyen keményen harcoltak a horvátok, az is jól mutatja, hogy Luka Šebetić konkrétan otthagyta a fogát. A játékos a PDD Zegreb Facebook oldalán dicsekedett el a harci sérüléssel.

A PDD Zagreb drámai ütközetben maradt alul a Veszprémmel szemben (27:25) és ezze elszenvedte a hetedik vereségét is a BL csoportkörben. Hogy milyen keményen harcoltak a horvátok, az is jól mutatja, hogy Luka Šebetić konkrétan otthagyta a fogát. A játékos a PDD Zegreb Facebook oldalán dicsekedett el a harci sérüléssel.

La compagnie aérienne Atlas Atlantique Airlines lancera fin mars une nouvelle liaison entre Carcassonne et Alger, sa neuvième route entre la France et le Maghreb. La liaison vers Oran inaugurée en décembre bénéficiera cet été d’un deuxième vol par semaine.

A partir du 30 mars 2016, la compagnie régionale française (ex Atlantique Air Assistance) proposera un vol tous les mercredis entre l’aéroport d’Alger-Houari Boumediene et Carcassonne-Sud de France, opéré en Airbus A320 de 180 places pris en leasing. Le départ d’Algérie est programmé à 10h15 pour arriver à 12h45, le vol retour quittant la France à 13h30 pour se poser à 14h00. Pas de concurrence sur cet axe pour Atlas Atlantique Airlines, qui propose un tarif aller-retour depuis Carcassonne à partir de 148,10 euros (incluant une franchise bagage de 30 kilos).

Inaugurée le 20 décembre dernier et « après des débuts prometteurs », la ligne Oran – Carcassonne aura droit le 29 mars à une deuxième rotation hebdomadaire en semaine. Atlas Atlantique Airlines proposera alors des départs d’Algérie mardi et dimanche à 10h35 (arrivée 13h10) et des retours de Salvaza à 13h55 (arrivée 14h30), là encore sans concurrence et avec un aller-retour depuis la France à partir de 148,10 euros.

La compagnie basée à l’aéroport de Paris-Vatry y dessert Alger, Oran, Tlemcen, Sétif et Bejaia ; à Saint-Etienne, elle propose des vols vers Oran et Sétif. Avec les deux routes de Carcassonne, elle propose jusqu’à 16 vols par semaine entre la France et l’Algérie. Créée en 1989 et opérant sous le code L5, elle est « adossée à son propre tour-opérateur Atlas Tours mais peut aussi être vendue par toute agence de voyage », les billets d’avions étant bien sûr disponibles en ligne.

Géothermie Bouillante, centrale géothermique publique en Guadeloupe, devrait bientôt être rachetée par l’américain Ormat.

La Belgique est confrontée à une série de cyber-attaques. L'accès à plusieurs sites internet, y compris à ceux du gouvernement, est bloqué depuis ce week-end. Il semble que derrière ces actions se trouve un message politique. L'organisation Down-Sec veut en fait alerter les autorités sur le problème du harcèlement sur internet.

La chronique juridique de Slim Ben Achour Avocat

Partant du perchoir de l’ONU à la fin de l’année en cours, le secrétaire général de l’ONU joue sa dernière carte dans l’un des plus vieux conflits du monde.

La question du Sahara occidental a été au centre de la visite de l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU à Alger, Christopher Ross. L’objet de la visite n’est pas anodin, puisque Ross est chargé de préparer la visite de Ban Ki-moon dans la région, dans le cadre du règlement du conflit sahraoui. La mission de Ross est très spéciale en raison du caractère inédit du déplacement du secrétaire général de l’ONU.
En effet, malgré ses multiples déplacements à travers la planète, Ban Ki-moon, qui suit le dossier de décolonisation du Sahara occidental au même titre que ses prédécesseurs, ne s’est jamais personnellement impliqué. Ce développement augure-t-il d’une issue finale au conflit qui oppose le Maroc à la République sahraouie? Il est certainement difficile de répondre à cette question, sachant les soutiens dont bénéficie le Maroc de la part de la France et des Etats-Unis. Mais l’on sait d’ores et déjà que Ban Ki-moon sera en Algérie le 6 mars prochain, sans rien de spécial en poche que les résolutions de l’ONU qui prévoient un référendum d’autodétermination en application des règlements internationaux.

Partant du perchoir de l’ONU à la fin de l’année en cours, le secrétaire général de l’ONU joue sa dernière carte dans ce qu’il est convenu de qualifier d’un des plus vieux conflits du monde, mais aussi l’ultime dossier de décolonisation. Ban voudrait sans doute sortir par la grande porte en réglant la question d’une manière ou d’une autre, mais les chances d’y parvenir en une seule tournée dans la région sont très faibles, pour ne pas dire quasi nulles. En effet, le Maroc s’entête à proposer son plan de large autonomie et refuse toute idée de négociation avec la Rasd, tout en développant un discours de défiance à l’endroit de l’envoyé spécial de l’ONU. Il lui a d’ailleurs refusé l’accès aux territoires sahraouis occupés et fait agir ses puissants alliés pour empêcher toute enquête onusienne sur les violations des droits de l’homme dans le Sahara occidental.
Mais pour illusoire que puisse paraître la prochaine visite de Ban Ki-moon dans la région, les Sahraouis veulent tout de même y croire. «Il est important que l’ONU assume ses responsabilités pour trouver une solution et mettre un terme à l’occupation marocaine au Sahara occidental, de même qu’il est important qu’elle puisse compter sur les efforts de la communauté internationale pour mettre fin à l’entêtement du Maroc», a déclaré Khatri Addouh, chef de la Délégation sahraouie aux négociations.
Le gouvernement du Sahara occidental entend profiter de la présence du secrétaire général de l’ONU au Maghreb pour mobiliser la communauté internationale et placer le problème de décolonisation au coeur du débat public, le temps de la présence de Ban Ki-mon dans les alentours du Sahara occidental. L’opération relève certainement de la simple communication politique, mais les enjeux sont tels que le peuple sahraoui n’a d’autres moyens de lutte que celui d’attirer l’attention du reste du monde sur la situation de déni de liberté qu’il vit depuis près de 40 années.

Et surtout depuis la signature de l’accord de paix en 1991, garanti par la communauté internationale et violé depuis par le Maroc dans une sorte d’indifférence générale. Cette visite, espèrent les responsables sahraouis, peut rouvrir les yeux des dirigeants du monde sur la politique marocaine dans les territoires occupés. C’est, estime Khatri Addouh, ce que craint le Palais royal. Pour le chef de la Délégation sahraouie aux négociations, «la date prévue pour cette visite doit être respectée par l’ONU et par Ban Ki-moon qui a bénéficié la semaine dernière d’un soutien franc et affiché du Conseil de sécurité».

Il y a donc un réel espoir sahraoui de voir leur combat pacifique aboutir enfin après tant d’années d’attente. «Il est temps que l’ONU assume ses responsabilités et que la communauté internationale fasse pression sur ceux qui font obstacle à la visite de l’envoyé spécial de l’ONU dans les territoires occupés et à la Minurso, en l’empêchant d’accomplir ses missions et d’élargir ses prérogatives à la surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental», souligne Addouh, convaincu que son peuple touche presque au but.
L’enthousiasme des populations sahraouies est néanmoins contredit par la froideur des puissances amies du Maroc qui disent soutenir les résolutions de l’ONU, encouragent Ban Ki-moon à se rendre dans la région, mais affichent une trop grande indulgence à l’endroit d’un régime marocain liberticide

discriminations France Stratégie a publié une étude concernant des écarts inexpliqués entre salariés. Le lieu de résidence, le sexe ou l’origine sont des facteurs importants d’inégalités.

Les colossales surcapacités de production industrielles chinoises, notamment dans l'acier, continuent de gonfler face à une demande toujours terne, pénalisant la croissance du pays et menaçant l'économie mondiale, avertit ce lundi la Chambre de commerce de l'Union européenne (UE) à Pékin.

Eddig négy eljárást indítottak a hatóságok a kijevi orosz bankok, illetve Rinat Ahmetov donyecki milliárdosnak az ukrán fővárosban lévő irodája ellen szombaton elkövetett támadások ügyében – tájékoztatott közleményben a hétvégén az ukrán rendőrség.

Szombaton a két évvel ezelőtti hatalomváltó Majdan-tüntetések áldozataira emlékeztek az ukrán fővárosban. 2014. február 20-án haltak meg a legtöbben a Viktor Janukovics államfő távozását követelő tüntetők közül azután, hogy a karhatalom tagjai tüzet nyitottak rájuk Kijev központjában.

Ismeretlenek a megemlékezések közben utcakövekkel bezúzták két orosz bank, az Alfa és a Szberbank ablakait, előbbibe be is hatoltak, és a pénzintézetben törtek-zúztak. Ahmetov System Capital Management nevű cégének kijevi irodáját szintén kövekkel dobálták meg ismeretlen tettesek.

A rendőrség közleménye szerint garázdaság, illetve a szétvert bankfiókban dolgozók mobiltelefonjainak és pénztárcáinak eltulajdonlása miatt indítottak eddig eljárásokat. Arról viszont nem tájékoztatott a rendőrség, hogy vettek-e már őrizetbe gyanúsítottakat.

A korábbi híradások alapján az arcukat kendőkkel, símaszkokkal eltakaró rongálók a jobboldali Ukrán Nacionalisták Szervezet (OUN) önkéntes alakulatához tartozók voltak. Bohdan Cservak, a szervezet vezetője viszont vasárnap cáfolta, hogy tagjainak vagy a kelet-ukrajnai harcokban részt vevő önkénteseinek bármi köze lett volna a támadásokhoz. Szavai szerint ők a dél-ukrajnai Mikolajivban emlékeztek meg a Majdan-tüntetések áldozatairól. Hozzáfűzte, hogy nem először próbálják hasonló provokációkkal lejáratni a szervezetet. “Egy igazi ukrán nacionalista sohasem dob utcakövet egy ukránra, nem játszik össze a Kremllel, és nem takarja el az arcát maszkkal” – szögezte le az OUN vezetője.

A megemlékezések vasárnap is folytatódtak országszerte. Az éjszaka nyugodtan telt az ukrán fővárosban. Napközbeni jelentések szerint a főtéren, a Majdanon, ahol előző nap egy nagyobb és több kisebb sátrat állítottak fel a megemlékezők, nyugodt a helyzet. A közlekedés zavartalan a belvárosban, atrocitásokról nem érkezett hír. A közrend fenntartásának érdekében viszont továbbra is fokozott készenlétben maradt a rendőrség Kijevben.

ZÜRICH - ZH - Die Bank EFG International kauft die Tessiner Privatbank BSI für rund 1,328 Milliarden Franken. Mit kombinierten verwalteten Vermögen von rund 170 Milliarden Franken soll eine der grössten Privatbanken der Schweiz entstehen.

Der Kaufpreis wird in bar und in EFG-Aktien bezahlt. Die bisherige Alleineigentümerin der Tessiner Bank, die brasilianische Bank BTG Pactual, wird dadurch Aktionärin der fusionierten Bank. Sie wird einen Anteil von circa 20 Prozent halten, wie EFG und BSI am Montag in einem gemeinsamen Communiqué mitteilten.

Die Mehrheitsaktionärin der EFG International, die Schweizer Bankholdinggesellschaft EFG Group, wird auch grösste Aktionärin der neuen Bank. Die von den Latsis Familienbeteiligungen kontrollierte Holding wird einen Anteil von 35 Prozent halten.

Der Abschluss wird vorbehaltlich der Genehmigung der Aktionäre und der Aufsichtsbehörden im vierten Quartal 2016 erwartet. Beide Marken sollen nach dem Zusammenschluss bestehen bleiben, wie es weiter hiess. Es bestehe aber die Absicht, in der Zukunft in den meisten Märkten eine kombinierte Marke einzuführen. Zürich, Genf und Lugano blieben wichtige Standorte für die Führung und den Betrieb der neuen Bank.

Mit dem Zusammenschluss erhoffen sich die Banken weiter Kostensynergien im Umfang von 185 Millionen Franken vor Steuern. Diese sollen vor allem durch die Nutzung einer gemeinsamen IT-Plattform erzielt werden.

Schon seit Monaten war bekannt, dass die BSI verkauft werden sollte. Die bisherige Eigentümerin BTG Pactual war im Zuge des Korruptionsskandals beim staatlichen Ölkonzern Petrobras unter Druck geraten. Nach der Verhaftung des früheren BTG-Chefs Andre Esteves begannen Kunden offenbar Gelder abzuziehen und die Finanzierungsbedingungen verschlechterten sich, weshalb das brasilianische Institut in Liquiditätsnot geriet.

Terrorisme, intervention en Libye, Bachar al-Assad, droits de l'homme, Frères musulmans... Le président égyptien a reçu Jeune Afrique et répond sans ambages à toutes les questions.

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An Egyptian centre for treatment and documentation of alleged torture victims vows to continue to work despite an order for it to shut down.

Vegyesen alakult a forint árfolyama a főbb nemzetközi devizákkal szemben a bankközi piacon hétfő reggelre: az euróval, a dollárral és a svájci frankkal szemben gyengült, míg a japán jenhez képest stagnált.

Consultation Après l’introduction du référendum en entreprise dans le préprojet El Khomri, le chercheur Guillaume Gourgues alerte sur ses dérives, qui doivent provoquer un électrochoc sur les syndicats.

HÍRKÉP – „Megünnepeltették” az anyanyelv világnapját a kolozsvári sürgősségi gyermekkórházzal: vasárnap magyarul, románul, angolul és a Föld veszélyeztetett nyelvein megfogalmazott üzenetekkel ragasztották tele az intézmény bejáratát.
Kategória: Erdélyi hírek

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The razor wire fence built by Hungary to stop migrants and refugees from crossing the border from neighbouring Serbia is not impenetrable. Police arrested 550 people getting through in January and more than 1,200 were caught in the first three weeks of February.

As reported by the BBC, Hungary caused controversy with the barrier, completed in September. While the number of people crossing from Serbia dropped after Hungary built the fence along the 175km border, police say migrants are cutting through or climbing over the barrier.

Many are from Pakistan, Iran and Morocco, who are no longer admitted through other routes, reported the BBC. But the majority of migrants and refugees have headed for countries like Germany and Sweden via Hungary and Austria after crossing from Turkey to Greece. Many are fleeing the conflict in Syria.

Meanwhile, Hungary is planning a second fence. Janos Lazar, the Hungarian prime minister’s chief of staff, was quoted as saying: “Migration will restart in the spring, possibly putting pressure on our borders. We have to prepare for that and for the building of a fence on the border with Romania”.

EU leaders have announced a summit in early March in Turkey to try to seek a fresh solution to the brewing crisis.

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The first ever document mentioning Bran Castle, a national monument and landmark in Romania, is an act issued by King Lajos I of Hungary on 19 November 1377. The act gave the German Saxons of Kronstadt (Brasov) the right to build the stone citadel at their own expense and labour. The settlement of Bran began to develop nearby. Between 1438 and 1442, the castle was used as a fort to defend against the Ottoman Empire and later became a customs post on the mountain pass between Transylvania and Wallachia.

The Wallachian ruler Vlad III Tepes (Vlad the Impaler), 1448-1476, did not seem to have had any significant role in the history of the fortress, although he did pass several times through the Bran Gorge. Bran Castle belonged to the Hungarian monarchs, but due to some failure to repay loans, the city of Brasov gained possession of the fortress in 1533.

New Europe spoke with Archduke Sándor von Habsburg about the famous castle of Bran, which is now owned by his family. Archduke Sándor was in Brussels for an award ceremony organised by Baron Henri Estramant in order to bestow upon President Herman Van Rompuy the prestigious “Flame of Peace Award” from the Association of the Furtherance of Peace to which he serves as the vice president.

Can you tell us how your family came into possession of the castle?

The castle belongs to the town of Bran, but the administration searched for a suitable person who would bring an economic added value to the community. So the decision was to give it to Queen Marie of Romania (née Princess of Edinburgh and Saxe-Coburg and Gotha), my great-grandmother. She then invested a lot to completely restore the building and make it her permanent summer residence. It became her favourite place in Romania. She was also known in Romania as the “Queen of Hearts” because she wrote a lot of very nice children’s tales when she was in Bran. My father, Archduke Dominic, was there until he was 10 years old in 1947. Then with the abdication of King Mihai I and the introduction of the communist regime, they had to leave the country.

But your family owned the castle from before?

To be precise, before it became property of Queen Marie, the city of Brasov offered it in 1916 as a present to the last king of Hungary Károly IV from the House Habsburg yet from a different line of the dynasty. The problem was that the King asked the city not to register the castle under his name because of the war he didn‘t want to receive such an ostentatious present during a period in which people were suffering. Hence he “officially” accepted the castle as a gift and his personal property, however, it was never registered as such in the property books. In 1919, Transylvania was annexed by Romania, and the last King of Hungary was exiled.

How did the story of Dracula make the castle such a big tourist attraction?

Historically, Bran was brought in conjunction with Dracula and the story of Bram Stoker. As far as we know, Prince Vlad (Princely House Drăculești) who is the inspiration for Count Dracula never lived in the castle. It is believed he was there a couple of nights, but this has made the castle the most famous tourist attraction in Romania, being the only still surviving abode where he allegedly resided.

Today, as in the communist era, it is a museum open 365 days a year. We also open it four times a year free of charge to school children and we organise a children’s festival so they can learn about its history. Most of the famous movie productions were made during the communist era, so this was before our time. But the story of Dracula created a lot of publicity and visitors. According to state officials, today approximately 40% of tax revenues are generated in conjunction to the castle – restaurants, hotels and tourism-related activities – because there are between 3,000 and 5,000 people visiting the area each day.

Which parts of the castle are the most interesting?

The castle has a very homely atmosphere and it holds four apartments in its structure. It has small rooms, small winding staircases and secret staircases in the walls like the one going directly from the second to the fourth floor. You will see a home and a palace, but also I would say it is a sanctuary, a very spiritual place where you can come to reflect. The castle is full of small places where you can contemplate and be alone. In this place, it is possible to see and experience how a royal family really lived in private. The castle which has a very nice garden and a tea house sits up high on top of a [hill], so you can also have a nice view of the Romania-Transylvania border.

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