Ouvert le 7 mars devant la Haute Cour de justice de Londres, le procès de la Libyan Investment Authority (LIA) contre l'américain Goldman Sachs et le français Société générale est ajourné. Les prochaines audiences sont prévues en décembre 2016 et février 2017.
Cet article Le procès du fonds souverain libyen contre Goldman Sachs et Société générale reporté à fin 2016 est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Ouvert le 7 mars devant la Haute Cour de justice de Londres, le procès de la Libyan Investment Authority (LIA) contre l'américain Goldman Sachs et le français Société générale est ajourné. Les prochaines audiences sont prévues en décembre 2016 et février 2017.
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A Bucharest court upheld a two year sentence for a Romanian MP on corruption charges; the court of appeal sustained that offering his voters fried chicken was indeed bribery.
Exchanging food for votes in rural areas in not unheard of in Romania; it is usually flour and oil. Florian Popescu went the extra mile.
During the 2012 Romanian legislative elections, candidate Florin Popescu distributed no less than 60 tons of fried chicken worth €108,000.
Since the first trial in 2014, Popescu had been known with the nickname “Chicken Baron.” He protested he did not have the time to east even one chicken wing.
Popescu resigned his post as an MP in March 2nd.
Romania ranked 58th in the corruption perception index of transparency international in 2015 making strands from its 69th place in 2014. In 2015, the famous Romanian National Anti-Corruption Agency (DNA) was pursuing 10,000 cases and was believed to be going after a third of the country’s business and political elite. Nonetheless, a Council of Europe report published in January 2016 asked Romania to do more to promote transparency, especially as at a legislative level, where the report notes “gifts” and “conflict of interest” are not unknown.
However, the use of food rather than hard cash points towards a related to corruption challenge. Besides having a serious corruption challenge, according to Eurostat, Romania has the second biggest population in Europe after Bulgaria in risk of poverty and social exclusion.
(with AP, The Telegraph)
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Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (1/2016). Rémy Hémez propose une analyse de l’ouvrage de Christopher Cocker, Future War (Oxford, Polity Press, 2015, 244 pages).
Christopher Coker, professeur de relations internationales à la London School of Economics, est l’auteur de nombreux livres dont plusieurs s’interrogeaient déjà sur le futur de la guerre (comme l’excellent Warrior Geeks, Hurst, 2013). Fervent critique des théoriciens de « la fin de la guerre », il estime que les conflits sont consubstantiels à l’humanité et pense donc qu’il est important de se pencher sur les formes qu’ils pourraient revêtir à l’avenir. Dans Future War, il se livre à un exercice de prospective sur 20 ans.
Dans une passionnante première partie, l’auteur s’interroge sur la meilleure façon de penser le futur. Il y reconnaît que faire de la prospective en prolongeant des tendances n’est pas une méthode parfaite tant l’on sait, par expérience, que l’histoire n’est pas linéaire. Cette approche demeure cependant, selon l’auteur, notre seul recours. De façon à rendre cette démarche plus crédible, Coker s’attache à observer le développement de ces tendances dans le passé le plus lointain (selon le concept de deep history) avant d’en extrapoler une probable orientation future. Le but n’est pas de prédire l’avenir mais de l’explorer le plus possible afin de réduire, autant que faire se peut, l’effet de surprise.
L’auteur souligne aussi, de façon salutaire, les conséquences que la pensée prospective peut avoir. En effet, le futur tel que nous l’imaginons change notre présent (voir par exemple les « prophéties autoréalisatrices »). Il existe ainsi de nombreux exemples qui montrent comment la science-fiction a pénétré les conceptions de penseurs militaires.
Dans la suite du livre, l’auteur passe notamment en revue les différentes technologies qui seraient susceptibles d’influencer les modes de guerre futurs, avec une appétence particulière pour la thématique du « combattant augmenté ». Viennent ensuite des développements sur les différents « types » de guerre qui pourraient exister dans le futur, entre autres : les guerres entre grandes puissances, jugées toujours possibles avec des moyens classiques, mais peu probables avec emploi de l’arme nucléaire ; « cool war », c’est-à-dire un conflit se passant essentiellement dans le cyberespace et qui cherche à maintenir un niveau de violence en deçà du risque d’une riposte conventionnelle ; guerre dans les « mega cities » ou encore « corporate raiding » avec des entreprises qui mèneraient des guerres pour elles-mêmes.
Comme à son habitude, Christopher Coker rassemble, pour appuyer son raisonnement, une multitude impressionnante de références : littérature stratégique bien entendu, mais aussi romans de science-fiction, essais de sociologie ou d’économie, etc. Il nous offre ainsi un regard pluriel sur le futur de la guerre et nous donne de nombreuses pistes de lecture.
Ce livre foisonnant – qui nécessite tout de même quelques connaissances dans le domaine des études sur la guerre pour être abordé sereinement – est une nouvelle occasion de s’interroger sur les risques d’une approche militaire qui se centrerait trop sur les questions technologiques en laissant de côté les réflexions stratégiques et tactiques. Cette réflexion renvoie à ce que l’auteur appelle la réduction de « l’espace humain de la guerre ». Interrogation utile, puisque, comme nous le rappelle Christopher Coker, « le futur n’est pas une destinée mais un choix ».
Rémy Hémez
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Der Ausschuss der Ständigen Vertreter (AStV) des Rates hat die vorläufige Einigung, die der niederländische Vorsitz am 15. März 2016 mit Vertretern des Europäischen Parlaments erzielt hat und die darauf abzielt, einen Mehrjahresplan für die Dorsch-, Hering- und Sprottenfischerei in der Ostsee zu erstellen, zur Kenntnis genommen. Die mit der Einigung erzielten Bedingungen müssen vom AStV in den kommenden Wochen noch bestätigt werden.
Der niederländische Landwirtschaftsminister Martijn van Dam erläuterte hierzu Folgendes: "Dieser Mehrjahresplan für die Fischerei ist der erste seiner Art nach der 2013 durchgeführten Reform der Gemeinsamen Fischereipolitik (GFP). Der Plan ist kohärent und steht voll und ganz mit den Grundsätzen dieser umfassenden Reform im Einklang. Die Einigung über den neuen Plan ebnet den Weg für die Ausarbeitung ähnlicher Mehrjahrespläne für die Fischerei in anderen geografischen Gebieten nach demselben Modell, zunächst für die anstehende Erneuerung des Mehrjahresplans für die Fischerei in der Nordsee." Darüber hinaus lobte er die Arbeit der vorherigen Vorsitze und die hervorragende Zusammenarbeit mit dem Europäischen Parlament und der Kommission, die die Einigung ermöglicht haben.
Mit dem neuen Plan wird der seit 2007 geltende Bewirtschaftungsplan für Dorschbestände in der Ostsee durch einen auf mehrere Arten ausgerichteten Ansatz ersetzt, der auch die Hering- und Sprottenbestände umfasst, die bisher keinem Bewirtschaftungsplan unterlagen.
Damit sollen die nachhaltige Bewirtschaftung dieser Bestände und konstante Fangmöglichkeiten gewährleistet und zugleich sichergestellt werden, dass die Bewirtschaftung auf den neuesten wissenschaftlichen Erkenntnissen beruht. Dem neuen Plan wird die Beteiligung derjenigen, die die Region am besten kennen, zugute kommen, da diese dann in der Lage sein werden, die Maßnahmen auf regionaler Ebene an die Besonderheiten der betroffenen Fischereien anzupassen.
Zudem ist er ein gutes Vorbild für eine neue Generation von mehrjährigen Fischereibewirtschaftungsplänen, die eines der wichtigsten operativen Instrumente der neuen GFP darstellen.
Weiteres VorgehenNach Billigung des Verordnungsentwurfs durch den AStV müssen der Rat und das Europäische Parlament den endgültigen Wortlaut der Verordnung förmlich verabschieden, bevor diese dann im Amtsblatt der EU veröffentlicht wird.
HintergrundDie Kommission hat im Oktober 2014 einen Vorschlag für einen Entwurf einer Verordnung über einen Mehrartenplan in der Ostsee vorgelegt. Der Rat hat am 20. April 2015 eine allgemeine Ausrichtung angenommen und das Europäische Parlament hat am 28. April 2015 über Abänderungen abgestimmt.
Nearly half of Thailand’s monks are severely overweight, according to a new study. And now the government has launched a health drive among its clerics.
A new study revealed that 48% of the country’s monks are obese and face numerous physiological problems as a result.
An academic directing the health-awareness campaign told the Bangkok Post that about 10% of the clergy suffer from diabetes, while 23% have high blood pressure and 42% show excessive levels of cholesterol.
“Obesity in our monks is a ticking time bomb,” Jongjit Angkatavanich, the academic from the Faculty of Allied Health Sciences at Chulalongkorn University in Bangkok, told the Post.
The monks are often given foods laden with high fat and sugar content by devotees, which they are reportedly forbidden from refusing.
Meanwhile, the Thai government, which pays the monks’ medical expenses, reportedly spent in excess of $8.5m on them in 2012 alone.
According to The Telegraph, the obesity epidemic in Thailand seems to contradict the requirements of the monastic lifestyle. They’re supposed to live strict, plain lives, reject materialism and excess, and spend their time in meditation. But in Thailand, Buddhism isn’t without scandal. Several financial, sexual, and lifestyle controversies have befallen senior clerics and its former spiritual leader (they’re currently lacking one) has been accused of tax evasion.
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A Russian MP prepares a law that criminalizes any comment perceived as an insult against the Russian Presidency.
The draft law is being prepared by Russian MP Roman Khudyakov, member of the nationalist Liberal Democratic Party of Russia (LDPR). The maximum penalty would be up to six years in jail. Khudyakov said the draft law was in response to several YouTube videos purportedly criticizing the Russian president, Vladimir Putin.
According to Newsweek, Khudyakov told national daily newspaper Izvestia that he started preparing the bill after citizens from his Tambov region alerted him to the videos mocking Putin. “They asked me how such videos can exist for the public to access,” Khudyakov said and added, “when I watched it I was outraged to the depths of my soul.”
The Russian MP said that he had decided to model the new bill on the 1990 law “On the protection of the honor and dignity of the president of the USSR.” Russian website, RT, reported that according to the current Russian law, insults against the Russian president can be qualified as insulting a state official, which is a criminal offense punishable by up to one year of hard labor.
The deputy head of the Russian Parliament’s Committee for Criminal Law, Sergey Fabrichnyi of the parliamentary majority United Russia party, said that he saw no obstructions to discussing Khudyakov’s proposal.
A similar law is in force in Turkey, and the Turkish authorities have used it numerous times for persecuting citizens who insulted, Turkish President, Recep Tayyip Erdogan
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