At their meeting in Hangzhou, China, on 4-5 September 2016, G20 leaders adopted a communique focusing on:
The communique also covers the migration and refugee crisis, the fight against terrorism and climate change.
September 4, 2016 (JUBA) - The United Nations refugee agency (UNHCR) has, in coordination with local authorities and South Sudan's Commission for Refugee Affairs, opened a new refugee camp in the northern part of the country's oil-rich Unity state.
The new facility, the UNHCR said in a statement, will provide better protection and services to Sudanese refugees relocating from Yida settlement and new arrivals from the war-torn Nuba Mountains.
The new camp, some 80 km south of the contested border with Sudan, it further said, is ready to accommodate up to 20,000 people at the moment. UNHCR and partners have so far demarcated 5,000 family plots, built a primary school and a health care centre.
“Drinking water is available through a sun-powered water pumping system and teachers are on site to start classes as soon as the school term resumes,” partly reads the agency's statement issued Sunday.
“Our aim is to ensure that refugees access to quality services according to international standards, but our long-term strategy is to provide them with the tools and means that enable them to become more self-reliant and less dependent on humanitarian assistance,” said UNHCR Assistant High Commissioner George Okoth-Obbo.
“This means boosting education, investing in agriculture and skill development opportunities,” he added.
According to the agency, in addition to hosting the newly opened refugee camp in Pamir, northern Unity state has two other refugee settlements: Yida, right next to the contested border with Sudan, with a population of 59,000 people and Ajuong Thok, home to more than 40,000 refugees. The latter camp, it said, has received some 10,000 new arrivals from South Kordofan in first eight months of 2016 as well as more than 4,400 refugees who had previously registered in Yida.
“With Ajuong Thok at full capacity, we had no option but opening a new camp,” said Okoth-Obbo.
“We cannot thank enough the authorities and communities of South Sudan for being so generous and hospitable to the refugees. Without their support, we never would have been able to extend protection and assistance to refugees in the first place,” he stressed.
Meanwhile, the governor of Northern Unity state, Mayol Kur Akuei said that refugees and local communities have been living together peacefully for the past five years, sharing land and resources.
“We appreciate the great cooperation with UNHCR and we hope that this partnership will go a long way as to also benefit our communities, who are often in worst conditions than the refugees”, he said.
The initial development of Pamir camp, UNHCR said, was possible as a result of funds from Canada, the Central Emergency Response Fund (CERF), Educate a Child Initiative, ECHO, Germany and the United States. Additional contributions will be required to extend development of Pamir to its full intended capacity of 52,000.
In war-torn South Sudan, UNHCR reportedly works with authorities and partners to protect and assist nearly 260,000 refugees and is also part of the multi-agency response to 1.61 million internally displaced people, as lead of the protection cluster.
(ST)
BiH is a potential candidate country for EU accession following the Thessaloniki European Council, June 2003. On 16 June 2008, the Parties signed the Stabilisation and Association Agreement.
Sonntag, 4. September 2016
G20-Gipfeltreffen – Hangzhou, China
(Ortszeit)
12.00 Uhr Presse-Briefing von Präsident Donald Tusk und Präsident Jean-Claude Juncker
14.30 Uhr Treffen mit dem kanadischen Premierminister Justin Trudeau
15.00 Uhr Offizielle Begrüßung durch Präsident Xi Jinping
15.15 Uhr Familienfoto
15.30 Uhr Eröffnungsfeier
15.40 Uhr Arbeitssitzung I
18.30 Uhr Offizielle Begrüßung durch Präsident Xi und seine Ehegattin
18.50 Uhr Familienfoto – Staats- und Regierungschefs und Ehegatten
Montag, 5. September 2016
G20-Gipfel – Hangzhou, China
(Ortszeit)
10.00 Uhr Arbeitssitzungen
15.35 Uhr Redebeitrag in Sitzung V
17.05 Uhr Abschlussfeier
18.00 Uhr Treffen mit dem türkischen Präsidenten Recep Tayyip Erdoğan
Dienstag, 6. September 2016
Telefonate mit dem griechischen Ministerpräsidenten Alexis Tsipras, dem finnischen Ministerpräsidenten Juha Sipilä und dem rumänischen Präsidenten Klaus Iohannis
Mittwoch, 7. September 2016
Dublin (Ortszeit)
12.30 Uhr Treffen mit dem irischen Ministerpräsidenten (Taoiseach) Enda Kenny
Donnerstag, 8. September 2016
London (Ortszeit)
9.00 Uhr Treffen mit Premierministerin Theresa May
Riga (Ortszeit)
16.15 Uhr Treffen mit Ministerpräsident Māris Kučinskis
Freitag, 9. September 2016
Vilnius (Ortszeit)
10.00 Uhr Treffen mit Präsidentin Dalia Grybauskaitė
Tallinn (Ortszeit)
13.45 Uhr Treffen mit Ministerpräsident Taavi Rõivas
Stockholm
16.30 Uhr Treffen mit Ministerpräsident Stefan Löfven
2016. szeptember 4., vasárnap
G20-csúcstalálkozó – Hangcsou, Kína
(helyi idő szerint)
12.00 Donald Tusk és Jean-Claude Juncker sajtótájékoztatója
14.30 Találkozó Justin Trudeau kanadai miniszterelnökkel
15.00 Hszi Csin-ping elnök hivatalos köszöntője
15.15 Csoportkép
15.30 Nyitóünnepség
15.40 I. munkaértekezlet
18:30 Hivatalos fogadás Hszi Csin-ping elnök és felesége részéről
18:50 Csoportkép a vezetőkről és házastársaikról
2016. szeptember 5., hétfő
G20-csúcstalálkozó – Hangcsou, Kína
(helyi idő szerint)
10.00 Munkaértekezletek
15.35 Felszólalás az V. munkaértekezleten
17.05 Záróünnepség
18.00 Találkozó Recep Tayyip Erdoğan török elnökkel
2016. szeptember 6., kedd
Telefonbeszélgetés Alékszisz Cíprasz görög miniszterelnökkel, Juha Sipilä finn miniszterelnökkel és Klaus Iohannis román elnökkel
2016. szeptember 7., szerda
Dublin (helyi idő szerint)
12.30 Találkozó Enda Kenny ír miniszterelnökkel
2016. szeptember 8., csütörtök
London (helyi idő szerint)
09.00 Találkozó Theresa May miniszterelnökkel
Riga (helyi idő szerint)
16.15 Találkozó Māris Kučinskis miniszterelnökkel
2016. szeptember 9., péntek
Vilnius (helyi idő szerint)
10.00 Találkozó Dalia Grybauskaitė elnökkel
Tallinn (helyi idő szerint)
13.45 Találkozó Taavi Rõivas miniszterelnökkel
Stockholm
16.30 Találkozó Stefan Löfven miniszterelnökkel
La Hongrie venait d’affronter son pire ennemi, la Roumanie. Un frustrant 0-0 et la qualif’ pour le premier championnat d’Europe de foot depuis 1986 s’éloignait. Le match à peine terminé, la bagarre commençait déjà et ça sentait la lacrymogène aux abords du stade. Pas rassasiés, des hooligans s’approchaient de la gare de Keleti. Certains étaient même passé y faire un tour plus tôt dans l’après-midi, pour lancer des pétards et faire quelques doigts d’honneur aux familles en contrebas. Des jeunes Syriens (ou peut-être des Afghans ? Peu importe) s’étaient jetés sur eux pour les éloigner de leur famille, et les lâches avaient détallé dans les bottes des CRS. Mais la nuit tombée, les bières descendues et l’euphorie du stade changeaient la donne. Heureusement que les CRS les attendaient et ont pu les tenir à distance des enfants à qui des Budapestois bénévoles venaient de diffuser la séance du soir de Tom&Jerry. Une grosse canicule sévissait depuis des jours, mais maintenant il faisait vraiment frais. La ville était devenue un grand fracas de sirènes de police et d’ambulances, de bourrasques de vent, d’hélicoptères, de jeunes dans les rues, saouls comme un vendredi soir, le vendredi d’or à Budapest.
Depuis des jours, on manifestait sur le parvis de la gare pour pouvoir embarquer dans un train. C’était toujours le même cirque : un petit groupe se levait, faisait des tours dans le souterrain, un passage, deux, trois, quatre, jusqu’à ce que des centaines de personnes se retrouvent nez à nez avec les policiers qui protégeaient l’entrée de la gare. Ce n’était pas violent, les policiers étaient conciliants, jouaient l’apaisement, mais la colère était là et parfois il fallait un ancien ou même une jeune femme se mettre en travers du chemin de jeunes décidés à forcer le passage. « Syria! Syria! », criaient les Arabes ; « Afghanistan! Afghanistan! », rétorquaient les Asiatiques qui faisaient tout pour rester dans le coup face à ces réfugiés de première classe à qui Merkel semblait avoir promis le Graal. Puis tout le monde s’entendait pour scander ensemble des « Germany! ». Quelques caméras arrivaient à extraire un « Allah Akbhar! », mais il fallait vraiment être patient pour l’avoir. Et cela se prolongeait certains soirs en fête.
Diaporama – La gare de Budapest, un camp retranché de réfugiés
Les journaleux de la télé adoraient les enfants quand ils étaient en train de jouer ou de dessiner. Une nouvelle vie s’ouvrait à eux, à Hambourg, Düsseldorf ou ailleurs. Mais les vieux, ils avaient tout perdu et ils ne gagneraient plus rien. Ils n’étaient bons que pour des images de migrants…en train de migrer, en chaise roulante si possible. Quand l’odeur de la pisse descendait dans les souterrains, elle les couvrait de honte. Les Bangladais non plus ne voyaient jamais un micro s’approcher d’eux, ou seulement si un novice s’était trompé. « Vous êtes Syrien ? Ah…Mince…Même pas Afghan ? ».
« Moi, je ne suis pas syrien, alors… »
Plus de mille personnes s’étaient mis en route dans la journée, à pied, direction l’Autriche, direction l’Ouest. Un tour de force. Ils étaient encore bien plus nombreux à être restés sur le carreau à la gare, piégés dans un pays dont ils ne voulaient pas et qui ne voulait pas d’eux non plus de toute façon.
Quand, après une trentaine de kilomètres parcourus, ils ont vu débouler les bus, ils ont cru à un coup fourré, comme le jour d’avant où un train qui devait partir pour l’Autriche avait finalement dévié pour le centre de rétention de Bicske. Alors les frondeurs envoyèrent un premier bus en éclaireur jusqu’à la frontière pour s’assurer que cette fois, le gouvernement ne les menait pas en bateau, mais en bus, et jusqu’en Autriche. Les bus de Volan, réquisitionnés ! Les bus de la BKV, réquisitionnés ! Une centaine de vieux Ikarus accordéon lancés tambour battant sur l’autoroute M1 !
On chanterait des louanges aux sauveurs Autrichiens, mais ce n’était pas tout à fait aussi simple. A Budapest, une cellule de crise au milieu de la nuit avait décidé d’envoyer cent quatre bus et tant pis pour les Autrichiens qui – en coulisses – avaient envoyé leurs flics flanqués de collègues allemands pour s’assurer que les Hongrois ne leur joueraient pas de mauvais coup en laissant partir quelques trains, par inadvertance…
Et les Autrichiens arrachèrent les réfugiés des griffes des barbares hongrois
Le lendemain, l’opération recommençait : les réfugiés laissés sur les carreaux des souterrains de Keleti imitaient ceux du jour précédent et se mettaient aussi en route. La police leur ouvrait littéralement la route. Sur leur passage, une jeune blonde sur une affiche gouvernementale proclamait en hongrois : « Nous ne voulons pas de clandestins ! ». Une camionnette de l’organisation Migszol les suivait pour acheminer des vivres. Certains habitants donnaient des bouteilles d’eau ou à manger. Un volontaire se plaignait : « Le gouvernement allemand est irresponsable, la situation est devenue hors de contrôle ici, le gouvernement essaie d’improviser mais il ne sait pas quoi faire ». « On marchera jusqu’en Autriche ! », assuraient les marcheurs. Ils avaient pris leur destin en mains et fait plier les lois.